Âge : 19 ans Date & Lieu de naissance : 27 décembre 1991, New York, Etats-Unis. Groupe : Rebel UFR : 2, Langues et cultures étrangères Étude : Francophone Prédéfini ou Inventé : Inventé
Sweet about me :
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Physique & Style :
De longs cheveux châtains, un petit dégradé sur des mèches noires, légèrement rebelles ou un petit carré court pour un look assez sage, Eiko se cherche et n’hésite pas à s’essayer à tous les styles. Tantôt rockeuse, tantôt détendue, elle pioche ses vêtements au hasard de son armoire sans jamais savoir par avance ce qu’elle va porter. Son corps est le reflet de sa quasi-absence d’alimentation. Elle est frêle et maigre. Ses yeux en amande lui donne un regard mystérieux, rêveur sur le monde qui l’entoure, elle semblerait presque absente parfois. Mais ce regard peut tout aussi bien se montrer froid voir glacial. Etant de nature insaississable, il est difficile de se référer à ces expressions puisqu'elle réagit bien souvent de façon différente. Le maquillage est chez elle tout aussi aléatoire que les vêtements. En vérité, elle trouve la notion même de look assez idiote car finalement elle ne fait que nous placer dans une catégorie ou une autre. C'est pourquoi elle préfére ne pas choisir et rester libre de changer quand bon lui semble.
Caractère :
Eiko est quelqu’un d’inaccessible, du moins en apparence. Assez introvertie, elle crée sa propre tour d’ivoire dans laquelle elle s’enferme parfois lorsque la vie n’est pas à la hauteur de ses aspirations. Elle voit alors le rêve et la musique comme un exécutoire, une manière de s’exprimer autrement que par les mots avec lesquels elle se sent maladroite. Elle communique peu ou mal, elle préfère être devinée même si elle se sent souvent incomprise. Au fond, elle est assez déroutante et insaisissable, ce qui révèle sa force de caractère. Elle a la ferme intention de ne plus se laisser faire par qui que ce soit et c’est pourquoi se tenir loin des attaches la rassure. Malgré tout, elle est quelqu’un de sensible, d’émotif et d’inspiré qui cherche à masquer ses problèmes d’anorexie et de drogue. Même si elle essaie de s'en sortir, elle n'est toujours pas suvie par des médecins et il lui arrive de s'étourdir et de tomber lorsque vraiment elle ne mange pas. En vérité, elle est seulement le renard à apprivoiser, ou peut-être qu'elle cherche seulement quelqu'un qui puisse la comprendre assez pour enfin se sortir de cet enfer...
Histoire :
Lorsqu’on nous donne la vie, personne ne nous préviens sur ce qu’on devra endurer, personne jamais ne nous dit qu’on devra ramper face au sol à s’en écorcher la peau. La vie…Est-elle légitime, est-ce que je dois la désirer plus que tout au monde car au fond elle est tout ce que j’ai ?
Je suis née au cœur de la société de consommation, où des hommes se battent pour du pétrole, où des gens crèvent sur le bord des routes sans que le temps s’arrête. On tue des forêts, on rend des hommes esclaves, on en élève d’autres au rang de roi, on veut faire du profit, on a besoin d’argent, on aime les chiffres et pas les gens. On pense à soi, on est égoïste, on s’autodétruit, on se ment, on croit tout avoir et au final, il ne reste rien, on est toujours seul. Je sais qu’aujourd’hui beaucoup de gens me croit pessimiste et bornée aussi, mais au fond, je sais que je n’ai pas totalement tort. Il y a des gens qui arrivent à vivre en sachant que le monde se désagrège doucement, des gens qui arrivent à sourire même lorsque tout va mal. Ces gens là, je les envie sincèrement parce que tout serait peut-être plus simple si j’arrivais, moi aussi, à faire semblant.
J’avais toujours vécu ici, entourée d’immeubles et de buildings immenses, dans le tumulte d’une ville qui ne dort jamais. Je me souviens encore avec exactitude de ces quatre murs dans lesquels j’ai enfermé mon enfance. Je me rappelle de l’odeur de l’orchidée et des effluves de patchouli, ce parfum aux arômes presque insaisissables qui égayait un peu l’odeur si fade et poussiéreuse de notre appartement de banlieue. Le métro qui passait près de chez nous faisait trembler les murs sur son passage, lançant un rapide faisceau de lumière par ma fenêtre avant de disparaitre à nouveau, engloutit par la nuit. Dans les rues, la population grouillait comme dans une fourmilière géante, ne cessant jamais de grandir, remplissant les rues de New York avec empressement, chacun trouvant finalement une place définitive dans le monde, le monde des adultes. Lorsque je n’étais qu’une enfant, je m’étais créer ma propre forteresse, comme un univers parallèle plein de rire et d’amis imaginaires aux noms féeriques ou simplement étranges. Et tant que j’avais cette carapace, cette si fragile illusion qui me protégeait, je savais que tout irait bien, seulement le doux voile d’innocence qui berce l’enfance finit tôt ou tard par tomber…
Mon père était le directeur d’une grosse firme internationale installée au Japon. Ma mère, elle était seulement la stagiaire de passage, la jeune femme perdue dans la fourmilière qui essayait de gagner sa vie. Puis, les méandres du hasard on fait que leur chemin se sont croisés et ce qui n’était alors qu’un simple flirt est devenu une histoire, une histoire au fond d’un bureau, une idylle entre deux réunions. Elle était jeune, elle croyait encore au prince charmant. Il était riche, il achèterait son silence. Leur amour n’était fait de rien, elle espérait, il profitait et ça s’arrêtait là. Pourtant un jour, le destin a décidé de donner une autre tournure à cette histoire là. Il a suffit d’une nuit, il était pressé, elle le désirait plus que tout, il a oublié, elle a succombé. Quelques brûlants baisers plus tard, sans qu’il le sache et qu’elle s’en doute, j’allais devenir le fruit de cet amour, de cette illusion d’amour entre deux êtres qui n’avaient rien à s’offrir de plus que des corps sans sentiment. Lui, il avait besoin d’oublier et elle, elle voulait simplement être un peu aimée. Moi j’allais devenir, leur problème. L’enfant non désiré d’un semblant d’amour qu’on avait partagé, l’espace de quelques minutes, dans un petit bureau fermé à clef. J’étais une gêne, la chose à faire disparaitre.
Je suis arrivée dans le monde sans peine, puisqu’elle n’avait pas eu le temps de me réduire au silence, pas eu le temps de m’exterminer. J’avais résisté à la drogue et à l’alcool qu’elle ingurgitait, j’avais survécu à sa dépression et à ses envies suicidaires. Malgré moi, mon si petit corps, à peine assez fort pour se tenir debout avait lutté pour la vie, lutter pour avoir la chance de voir, lui aussi, le monde. Je suis née en plein hiver, un peu après les fêtes de noël et aujourd’hui, quand j’y pense, je trouve ça presque drôle. J’étais le cadeau en retard, le paquet empoisonné. Il neigea beaucoup ce soir là, et même si elle attendit longtemps, il ne lui rendit jamais visite. Il envoya seulement des fleurs. Des orchidées. Lorsque j’étais si petite, je pouvais avoir des tas de jouets, je ne manquais de rien. On m’achetait comme si j’étais un produit. On m’offrait tout et je me taisais. Je laissais mes couvertures m’engloutir tandis que je bouchais mes oreilles pour ne pas entendre. Pour ne pas les entendre, ces géniteurs qui m’avaient donné la vie pour aussitôt me la détruire. J’ai voulu demandé, une seule fois, je me suis glissée dans cette cuisine, parce que je voulais comprendre. Ce jour-là, j’ai reçu la claque de ma vie celle qui allait définitivement me faire haïr tout ça. Ma vie, eux, tous, j’avais envie de les haïr, de les exterminer comme ils avaient voulu le faire avec moi. Et du fond de mon lit, je me bouchais les oreilles plus fort encore, je serrais les dents de toutes mes forces parce que je ne voulais pas pleurer. Ma joue était écarlate et je ne pouvais pas broncher. Je n’avais que 6 ans. Qu’est-ce qu’il nous reste lorsqu’on perd tout ses espoirs à seulement 6 ans ?
Evidemment, rien n’a jamais changé dans ma vie, j’ai seulement continué à grandir. J’ai vécu, je me suis droguée jusqu’à manquer l’overdose, j’ai arrêté de manger, je me suis mise à devenir un fantôme, un spectre. J’étais morte née. On m’avait tué en me donnant le jour. Pourquoi on ne m’avait pas laissé une seule chance, une toute petite chance d’être heureuse ? D’avoir des rêves, de l’espoir ? A 17 ans, j’enchainais les petits jobs, mais je n’arrêtais pas les cours. Toujours j’ai continué à apprendre parce qu’au fond je cherchais à être quelqu’un malgré cette ombre que j’étais devenu. Avec mon pitoyable salaire, je me suis acheté une guitare. Une simple guitare, de quoi jouer, de quoi oublier peut-être aussi. J’apprenais à jouer en regardant la télévision et je n’étais pas vraiment mauvaise. Au bout de plusieurs mois, je jouais plutôt bien. Et je crois que ça m’a sauvé, pas entièrement, pas physiquement, mais la musique à sauver mon âme. Lorsque j’ai commencé à jouer, à jouer vraiment, je me suis mise à fumer beaucoup moins même si je continuais à ne pas manger. Mon corps doit vraiment être en mauvais état. Je suis devenue une épave, et pourtant un jour, j’ai décidé de changer ça. De quitter cet endroit que j’avais toujours maudit en silence.
Il a tourné la clef dans la serrure. Je savais déjà que c’était lui. Il a posé son manteau sur une chaise du salon, il m’a regardé comme si j’étais un simple objet. Il m’a demandé si elle était rentrée, j’ai fais non de la tête. Je le regardais droit dans les yeux, lui que j’avais toujours redouté. Il m’a demandé de ne pas faire ça, de ne pas le regarder de cette façon. J’ai ris.
-Pauvre type.
-Qu’est-ce que tu viens de dire ?
Je le sentais déjà prêt à bondir, prêt à tordre mon corps entre ses grosses mains d’homme d’affaire bien propre sur lui avec ce même petit pli impeccable que lui faisait sa femme en appuyant bien fort sur le fer. Il me regardait avec un air féroce, un air dominateur, sachant qu’il gagnerait la bataille. Je l’ai regardé à nouveau et j’ai redit avec exactitude cette insulte formidable que je venais de lui assigner. Immédiatement, le petit patron s’est dressé sur ses deux pieds, il s’est approché, le rouge lui montait déjà aux joues. Il m’a repoussé contre l’une des cloisons qui a tremblé sous l’impact. Il a mis son visage à quelques centimètres du mien, laissant sa main gauche appuyée sur mon épaule pour me maintenir contre le mur.
-Est-ce que tu sais à qui tu parles ? Est-ce qu’il faut que je te rappelle tout ce que j’ai fais pour toi ? Comment tu crois que ta mère peut encore avoir un toit au dessus de sa tête ?
Il avait ce sourire satisfait du héros qui vient de sauver une famille en danger. Je n’ai pas répliqué. Je profitais de l’instant, de le voir si énervé.
-Excuse-toi.
Il me l’a demandé à nouveau. Est-ce qu’il croyait que je ne l’avais pas entendu ? Je sentais son corps se raidir, il était prêt à frapper.
-J’ai dis excuse toi.
J’ai alors tendu la main, ma main qui tenait une énorme enveloppe marron. Je la lui ai mise sous le nez avant de le repousser, de toutes mes forces.
-Maintenant c’est toi qui va m’écouter, pauvre petit bureaucrate raté. Tu vois cette enveloppe, cette simple petite enveloppe ? Là dedans, il y a assez de preuve pour faire un scandale, un scandale qui attirerait toute la presse, qui te foutrait les avocats de ta femme à dos, qui détruirait ta réputation en trois secondes. J’imagine déjà ta tête d’imbécile avec en gros titre ta culpabilité et tes explications bidon. T’entend bien là ? Ca fait 19 ans que tu profite de ta petite situation et t’as vraiment envie de tout ruiner ? N’importe qui me paierait gros pour cette enveloppe et le privilège de descendre le si parfait petit patron que tu es. Mais tu vois, je ne suis pas complètement idiote. Je te laisse une chance de te rattraper. Je veux aller à Fordham et toi, tu vas m’acheter un appartement et m’inscrire dans cette université. Je ne ferais pas d’excuse, pas de blabla supplémentaire. Je ne veux pas de toi dans ma vie et tu veux que je disparaisse. Tu paies et ces preuves disparaissent.
Il avait vraiment l’air d’un abruti. Je lui avais cloué le bec. Il est resté là, il s’est rassit sur le canapé, il a fixé le sol et mit sa tête entre ces mains comme cherchant une parade, une solution mais il n’y en avait pas. Il était vaincu.
-Très bien, je vais payer ta foutue école et ton appartement. Je paierais.
Je n’ai rien ajouté parce qu’il n’y avait besoin de rien d’autre. Il était humilié, blessé dans son amour propre. C’était mieux que tout. Evidemment, la suite de tout ça est logique. J’ai pris mes affaires, je suis partie. Il n’y a pas eu d’adieux émouvants ou quoique ce soit d’autre. Juste une belle liasse et c’était fini. Je pouvais enfin dire adieu à tout ça et essayer de m’en sortir. Mais comment on peut rattraper 18 années de sa vie ? Et au final, est-ce qu’on peut changer ?
Signe(s) particulier(s) :
Eiko possède un tatouage au creux de son poignet gauche qui représente une étoile. C’est un symbole d’espoir qui lui rappelait cette phrase: Du chaos nait une étoile. Elle avait du l’entendre ou la lire quelque part sans savoir vraiment où et pourtant cette phrase s’était gravée en elle, pour toujours.
Orientation Sexuelle :
Eiko n’a jamais eu à choisir entre l’un et l’autre sexe. Pour elle, l’amour est asexué, simplement universel même si elle a toujours préféré fuir ce sentiment. Elle ne veut rien promettre, et surtout pas l’amour, elle se sent vide, comme si elle n’avait rien à offrir, comme si par avance, elle savait que le simple mot amour l’entrainerait dans des tourments abominables.
Citation favorite :
« Le temps d'apprendre à vivre il est déjà trop tard
Sa vie, elle ressemble à ces soldats sans armes
Qu'on avait habillés pour un autre destin
A quoi peut leur servir de se lever matin
Eux qu'on retrouve au soir désœuvrés incertains
Dites ces mots, ma vie et retenez vos larmes»
« BEHIND THE COMPUTER »
Prénom : Pöw Âge : 17 ans Comment as-tu connu ce forum ? : Des amis Ton avis (design, contexte, ...) : Euh .. la ban me fait penser à un forum pour super héros ^^" Présence sur le forum : Aussi souvent que possible Autre(s) compte(s) : Celui-ci est mon premier : ) :
Spoiler:
Eiko s’était rendue à l’endroit indiqué par le seul papier qu’elle avait à sa disposition. Tout avait tellement changé depuis qu'elle avait quitté la maison. Elle ne se souvenait même plus comment elle avait trouvé le courage de tout envoyer en l'air. Une nouvelle école pour une nouvelle vie ? Elle n’avait pas essayé de comprendre et les raisons de son choix étaient pour elle-même encore incertaines. Elle a seulement pensé que ce serait mieux, pour elle .
Soudain, un petit bus d’aspect tout à fait banal apparu, semblant sortit de nulle part, comme si elle l’avait fait apparaitre le temps de cligner des yeux. La porte coulissante s’ouvrir, découvrant un vieux chauffeur assez étrange, comme entouré d’une aura assombrie et impénétrable. Elle grimpa dans l’engin, tendant son papier au vieil homme qui lui adressa un petit bonjour courtois, fermant la porte derrière elle. Elle s’assit dans le fond, près d’une fenêtre. Elle jetait un coup d’œil sur les autres passagers. Deux filles parlaient avec entrain, agitant leur bras comme des moulins à vent, sans doute l’une d’elle espérait-elle décoller. Plus avant encore, se trouvait un jeune homme seul, le regard fixe et glaçant, comme un éclair transcendant bleu acier. Le genre de type à faire froid dans le dos. Eiko pour sa part sortit un mini Mp3 et lança un vieux rock avant d’appuyer sa tête contre la vitre, regardant une dernière fois ce quartier qu'elle quitterait pour toujours.
Le bus démarra, faisant plusieurs arrêts sans pour autant se remplir complètement. Alice regardait les nouveaux arrivants choisir leur place, se rassemblant en bande pour se raconter leurs dernières vacances. Il n’y avait rien de différent. Ce voile entre réalité et absurde lui semblait mince et de plus en plus futile. Ses yeux n’avaient jamais aussi bien vu le monde que depuisqu'elle avait quitté l'appartement. Elle vivait dans un monde de mensonge qui ne faisait que masquer les évidences. Ce qui est différent nous fait peur, ce qui est inconnu nous terrifie. Elle n’était pas dans les normes, les normes connues et reconnues par les hommes. Elle devait admettre qu'elle ait eu une vie différente. Mais aujourd’hui, elle trouvait que cela avait quelque chose d’injuste de devoir maintenir et préserver ce genre de secret. Mais malgré tout, elle savait que ce monde continuerait de la rejeter, de la repousser vers la berge, comme une vague avec toujours plus de force.
Eiko regardait le paysage changer sous la fenêtre lorsque le bus se stoppa, ouvrant ses portes en souhaitant la bienvenu aux premiers élèves qui descendaient. Elle se leva la dernière, remerciant le chauffeur qui lui souhaitait bonne chance. Elle s’avança vers ce milieu inconnu qui lui parut dans un premier temps austère et terrifiante. Elle suivit la masse, mémorisant le chemin comme pour connaitre l’issue de secours. Et puis finalement, le bâtiment apparut, le portail de ferraille de noir était ouvert en grand comme tendant les bras à tous les élèves qui affluaient de toute part. Eiko les suivit, se retrouvant finalement dans ce qui semblait être le hall.
C’était un grand espace maculé de blanc avec d’immenses escaliers qui semblaient se perdre dans le plafond, donnant à la pièce une perspective impressionnante qui donnait le vertige. Les élèves arrivaient par flux, pareil aux oiseaux migrateurs. Certains se croisaient sans se connaitre, d’autres se regardaient du coin de l’œil et certain se contentait de retrouver leur ami dans la masse qui ne cessait de grandir. Eiko se posta dans un coin, un peu à l’écart, cherchant à éviter tout ce tumulte. Elle attendit un moment dans l'ombre, le temps de se dire que maintenant, tout, absolument tout allait changer.
Code du règlement :
Spoiler:
Have fun
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Dernière édition par Eiko Mizuki le Mar 19 Jan - 21:36, édité 1 fois
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Sujet: Re: .Eiko Mizuki. [The end] Mar 19 Jan - 21:23
Bienvenue
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Sujet: Re: .Eiko Mizuki. [The end] Mar 19 Jan - 21:25
Bienvenue et bonne chance pour la suite (:
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Sujet: Re: .Eiko Mizuki. [The end] Mar 19 Jan - 21:26
Merci à vous deux
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Sujet: Re: .Eiko Mizuki. [The end] Mar 19 Jan - 21:32
Bienvenue sur le forum, bon courage pour ta fiche :^^:
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Sujet: Re: .Eiko Mizuki. [The end] Mar 19 Jan - 21:34
Guillaume Merci Enzo =)
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Sujet: Re: .Eiko Mizuki. [The end] Mar 19 Jan - 21:40
(iiiih Mizuki)
Bienvenue et bon futur Rp !
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Sujet: Re: .Eiko Mizuki. [The end] Mer 20 Jan - 0:43
Validée (: N'oublie pas de voter pour NYCL sur les top sites & un système de parrainage a été mit en place pour faciliter l'intégration pour plus d'infos' n'hésite pas à me Mpotter
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Sujet: Re: .Eiko Mizuki. [The end] Mer 20 Jan - 8:21
Merci Noah et June, j'essaierais de voter le plus souvent possible ;p
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Sujet: Re: .Eiko Mizuki. [The end]
.Eiko Mizuki. [The end]
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