Quand charme et agréabilité se mêlent à arrogance et puérilité, voici Aaron [Terminé]
Auteur
Message
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Quand charme et agréabilité se mêlent à arrogance et puérilité, voici Aaron [Terminé] Mer 20 Jan - 13:40
« Aaron Lecomte » Feat. Simon Baker
Âge : 35 ans Date & Lieu de naissance: 1er Janvier 1975 en Irlande Groupe: Adultes UFR : 1 Étude: Professeur de Théâtre Prédéfini ou Inventé : Inventé
Sweet about me :
Dernière édition par Aaron Lecomte le Mer 20 Jan - 19:57, édité 8 fois
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Quand charme et agréabilité se mêlent à arrogance et puérilité, voici Aaron [Terminé] Mer 20 Jan - 13:40
« MORE ABOUT MY PERFECTION »
Physique & Style :
Aaron est le genre d'hommes qui prend du charme et de la beauté avec l'âge. Non pas qu'il était laid lorsqu'il était plus jeune, mais aujourd'hui, il est bien plus apprécié physiquement. Les rides qu'il possèdent au coin des yeux semblent plaire à la gente féminine. Néanmoins, il a gardé sa bouille d'ange qu'il possède depuis son enfance. On l'a toujours caractérisé par son sourire constant, un sourire étonnamment beau qui pourrait pousser les gens à l'observer durant des heures entières. Bien entendu, on ne peut nier le fait qu'il possède une dentition quasiment parfaite. De plus, lorsque ses lèvres s'étirent, c'est deux belles fossettes qui se creusent sur ses joues, ce qui augmente énormément les remarques du genre : "Il est trop craquant." Beaucoup d'hommes détestent qu'on les qualifie de "mignons". Pour Aaron, c'est un compliment, il en est fier. Et aussi étonnant que cela puisse paraître, il obtient tout ce qu'il désire avec son charme, son sourire, ainsi qu'un regard adorable. En effet, il possède deux perles bleus qui virent au vert lorsque le soleil tape. Bien entendu, ses cheveux blonds, légèrement bouclés, coiffés en un brushing parfait ne sont pas pour déplaire aux femmes. Au niveau de sa corpulence, Aaron est qualifié de grand, un bon mètre quatre-vingt, et on peut aisément voir qu'il n'est pas un fanatique des salles de musculation. Certes, il n'est pas un gringalet fragile, ni même une larve avec des kilogrammes en trop, il possède seulement quelques muscles, des abdominaux légèrement dessinés, assez pour que son corps ressemble à celui d'un homme. La virilité de son corps se présente également sous la forme d'une certaine pilosité. Pour lui, cela le rassure, il se sent plus viril avec cela. Côté vestimentaire, Aaron possède deux styles bien à lui. Le premier, décontracté. A trente-cinq ans, il n'hésite pas à mettre ses T-shirt délavés, ses jeans usés, parfois troués, et ses fidèles converses qui semblent avoir fait la guerre. Oui, on peut dire que c'est un style de jeune. Et alors? Cela lui va parfaitement bien. Son second style est beaucoup plus classe. Il adore les costumes, notamment ceux à trois pièces, soit d'une veste, d'un pantalon, d'une chemise et d'un gilet assorti. Cela le rend plus charmant et on pourrait le confondre avec un homme de bonnes familles, bien plus qu'aisé. Donc, il est clair que physiquement, Aaron a été très gâté.
Caractère :
Aaron est un homme très adorable. Comme tout le monde, il possède des qualités et des défauts qui influencent le jugement des gens. Néanmoins, on le considère bien plus comme un homme bien, comme le gendre idéal. Son côté angélique n'est pas pour déplaire. D'une constante bonne humeur, il fait sourire son entourage, il les amuse. En effet, il est bien rare de voir Aaron dans une grande tristesse. Non pas que sa vie a toujours été rose, mais il part dans le principe qu'il faut avancer, qu'il ne sert à rien de vivre dans le passé pour souffrir, même si parfois, c'est bien plus facile à dire qu'à faire. Il a également un grand sens de l'humour très développé. Faire rire, c'est un de ses dons. On lui a souvent donné le rôle de clown au lycée et pour cause, il passe son temps à divertir les gens, que ce soit avec une réplique bien placée, une blague parfois douteuse, ou bien par un de ses nombreux tours de magies. Aaron aime se faire passer pour un être doté de dons extraordinaires. C'est un de ses plus grands amusements. Adepte des tours de magie, il n'hésite pas à en faire des compliqués afin de semer le doute chez les gens. Très bon acteur, il est souvent difficile de savoir ce qu'il pense réellement. Néanmoins, on se rend compte très vite si son sourire est sincère ou non. Passons maintenant aux défauts d'Aaron. Il faut savoir qu'il est d'un naturel serviable mais également très fainéant. Ainsi, il n'hésite pas à demander qu'on lui fasse un café, un sandwich et toutes sortes de choses. Après tout, il a un côté persuasif tellement grand qu'il serait idiot de ne pas s'en servir. Mais, lorsqu'il décide de mettre la main à la pâte, notamment au niveau gastronomique, Aaron devient un véritable cordon bleu. Pour lui, la cuisine est un jeu doublé d'un art. Cependant, n'allez pas croire qu'il est très compliqué. Les cheeseburgers font souvent l'affaire lorsqu'il a besoin de calmer son estomac très demandeur. Oui, le professeur Lecomte est un réel gourmand. Il passe le plus clair de son temps à manger, et ça, sans prendre un gramme. Il peut manger plus d'une pizza entière qu'il criera encore famine. Autre défaut, Aaron est quelqu'un de très arrogant. Qu'il soit face à une personne en haut ou bien en bas de l'échelle sociale, cette dernière aura le droit au même traitement. Il pourrait se trouvent devant le présent des États-Unis, il prônerait le petit coup de poing sur l'épaule plutôt que le serrage de main. Que voulez-vous? Il ne connait pas vraiment les règles de conduite, enfin... seulement celles qui lui conviennent. Enfin, il faut savoir qu'Aaron a souvent la mentalité d'un enfant de dix ans. S'il neige, vous pouvez être sûr qu'il sera partit sur le parking de l'université pour faire un bonhomme de neige, de même que s'il se trouve sur la plage, c'est pour faire un château de sable. Il aime les jeux vidéos, et notamment ceux qui ne sont pas très compliqués, dont l'histoire est souvent considérée comme enfantine. Le fait qu'il soit père célibataire d'une fillette de cinq ans le mène à jouer à des jeux puérils. Et Bon Dieu qu'il aime ça ! SOS Ouistiti, il aime, il adopte ! Et je ne vous parle pas des playmobiles...
Histoire : I) Une enfance pas comme les autres :
Femme 1 : "Aaron et Sarah, arrêtez de faire les idiots et tenez-vous mieux."
J'observais la jolie demoiselle qui venait nous rappelez à l'ordre. Je tournais la tête vers ma sœur jumelle et comme à mon habitude, une sensation étrange m'envahit, un sentiment d'un grand amour, d'une fraternité immense. A seulement sept ans, nous faisions toujours tout ensemble. Inséparables on disait. Certains s'inquiétaient de nous voir aussi proches, avouant que plus tard, ça poserait problème. Nous étions assez sur la même chaise, je posais ma tête sur son épaule et fermais les yeux. Je m'y sentais bien, j'étais dans mon monde, avec elle.
Homme 1 : "Ça m'inquiète un peu qu'ils soient autant dans leur monde. Il est clair qu'ils sont leur unique raison de vivre. Certes, ils sont encore enfants, ils peuvent se permettre d'être aussi proches. Mais comment feront-ils lorsqu'ils seront adultes et qu'un d'eux ira se marier? Je pense qu'il est temps de les séparer un peu, pour qu'ils prennent une certaine habitude."
A présent, ma sœur et moi nous regardions dans les yeux. On communiquait ensemble, sans avoir à prononcer le moindre mot. Nous comprenions très bien où cet homme voulait en venir. Qu'il essaie de nous séparer, à deux, nous étions plus forts. Sarah attrapa ma main et d'un geste protecteur, je descendais de la chaise afin de me mettre devant elle, comme si mon petit corps frêle de bambin pouvait être un rempart solide pour protéger ma jumelle.
Femme 2 : "Il est hors de question de les séparer. Ils n'ont que sept ans et sont orphelins. Tu penses que ça va leur faire du bien de se voir moins souvent? A mon avis, ça fera tout le contraire. La famille qui voudra les adopter prendra les deux, ou aucun, mais pas un seul !" Homme 1 : "Tu penses vraiment qu'il existe des couples prêts à prendre deux enfants d'un coup? C'est de la folie !" Femme 2 : "Ils sont moins nombreux, mais ils existent. Pense ce que tu veux, mais je ne laisserais personne les séparer. Regarde les, il est évident qu'ils se sentent bien uniquement lorsqu'ils sont ensemble."
J'étais heureux qu'elle prenne notre défense, bien que je ne l'exprimais ni avec des paroles, ni avec aucune expression. Je continuais de regarder ma sœur dans les yeux, esquissant un fin sourire en coin qui dévoilait mes deux fossettes.
II) C'est une nouvelle vie qui commence :
Finalement nous trouvâmes une famille prête à nous adopter tout les deux. C'était un couple de français. On s'inquiéta dans la mesure où ce sera un nouveau pays qui nous attendrait, avec une nouvelle culture, une nouvelle langue. Tout de même ! On est en Irlande là, pas en Chine ou en Inde. Tant que je partais avec ma sœur, j'étais d'accord, j'aurais pu aller n'importe où. Nos "nouveaux parents" avaient l'air totalement gentils. Aux alentours de trente-cinq ans, quoi que l'homme ne semblait pas loin de la quarantaine. Je jugeais son épouse heureuse de pouvoir enfin avoir des enfants. Lui, répandait une source de chaleur partout où il allait. La première fois que nous nous vîmes, ma sœur et moi étions couverts de terres. Pour cause, nous avions joué dans la forêt voisine. Néanmoins, il sembla que ce fut le coup de foudre.
Homme 1 : "Je vous présente Sarah et son frère Aaron."
Nous passâmes quelques heures avec eux, en compagnie de nos "tuteurs". Nous nous étions quelque peu éloignés. Un arc en ciel était apparu et je comptais bien trouver avec ma jumelle la marmite pleine d'or à une de ses extrémités.
Femme 1 : "Nous devons vous prévenir qu'ils sont assez dans leur monde. Depuis la mort de leurs parents, ils se sont renfermés dans une bulle, ils ne communiquent que très peu avec les autres enfants, pour ne pas dire jamais." Homme 1 : "Il faudra que vous les obligiez à parler pour qu'ils apprennent correctement le français, sans trop les brusquer s'entend." Femme 1 : "Il est quasiment impossible de leur faire faire chambre à part, car la nuit, ils finissent toujours par se rejoindre. Le mieux que l'on puisse espérer, c'est deux lits dans la même pièce. Pour le moment, c'est ce qui leur correspond le mieux." Homme 1 : "Bon, à côté de ça, on ne doute absolument pas de leurs compétences. S'ils font l'effort de parler, ils apprendront très rapidement la langue française et pourront rapidement retourner à l'école." Femme 1 : "Oui, ils ont dû passer des tests qu'ils ont accepté de faire et il s'est révélé qu'ils possèdent une très grande intelligence. Ils ont créé leur propre langage pour que personne ne les comprennent, mais ça, c'est très commun chez des jumeaux." Couple : "Ils sont parfaits."
III) Une adolescence heureuse ou presque :
Aaron : "Papa? Maman?" Père : "Oui Aaron?" Aaron : "J'ai été pris dans le club de théâtre du lycée !" Mère : "Mais c'est magnifique ça mon cœur !"
J'étais heureux, très heureux. J'allais pouvoir progresser dans le domaine qui me passionne le plus. Certes, ce n'était qu'un club de théâtre dans un lycée, mais il faut bien commencer quelque part, non?
Père : "Je suis fier de toi sincèrement. Va prévenir ta sœur." Aaron : "Ouais, j'y vais." Père : "Elle est..." Aaron : "Je sais !"
Le coupais-je. Je filais dehors en courant. A côté de cette maison de Haute-Normandie se trouvait des plaines, des forêts, quelques lacs. Pour tout avouer, ce département français ressemblait assez à l'Irlande, de ce fait, nous n'étions que peu dépayser. Soudain j'entendis du bruit, je me stoppais net. Une sensation de malaise m'envahit. Cette sensation appartenait à ma sœur. Mes sourcils se froncèrent et je continuais tout droit. Lorsque nous étions arrivés en France, nous avions pour habitude de traîner près de la rivière pour de longues parties de pêche à la grenouille. Lorsque j'arrivais sur place, mes yeux bleus se posèrent sur elle et un jeune homme de notre classe. Je savais qu'il lui courrait souvent après et cette idée ne me plaisait guère dans la mesure où il était connu pour être un vrai coureur de jupons. Je n'avais pas envie qu'elle soit une fille de plus sur son tableau de chasse. Je restais silencieux, préférant les observer de loin. Il tenta une approche pour l'embrasser, elle tourna la tête. Un sourire s'afficha sur mon visage. Cependant, il disparut bien vite lorsqu'il l'embrassa de force. Mon cœur s'emballa directement et je sortais de ma cachette afin de me ruer vers lui.
Aaron : "Tu vas la lâcher sale pervers !"
Et voila que je le plaquais au sol. S'en suivit ma toute première vraie bagarre. En effet, je ne comptais pas la petite bataille dont j'avais été un des acteurs lorsque j'étais gosse. Je me découvrais un côté violent lorsque l'on s'en prenait aux personnes chères à mon cœur.
IV) Les études supérieures, quelque chose de fantastique :
Le bac en poche, nous devions à présent faire nos études supérieures. C'est à ce moment précis où nous comprîmes, ma sœur et moi, que nous ne souhaitions pas faire la même chose. Néanmoins, il était totalement exclu d'obliger l'un de nous à faire le même parcours scolaire que l'autre alors que l'envie n'y était pas. Ce fut une lourde décision que nous dûmes prendre. Il était temps pour nous de nous séparer, du moins sur ce plan là. Je souhaitais entrer dans une école des arts de la scène à Paris, tandis que ma sœur, elle, partait pour l'université de Rouen, restant en Haute-Normandie avec nos parents adoptifs. Ce fut un énorme déchirement et nous eûmes tout deux beaucoup de mal à apprendre à vivre l'un sans l'autre. C'était comme ci on m'avait arracher une partie de moi, une partie de mon corps. Dans cet état handicapant, je devais néanmoins avancer. Nous nous sommes promis de s'appeler tout les soirs, sans exception. Lorsque venait le week-end, je tâchais de revenir en Normandie. Trois heures de train, ce n'est pas grand chose après tout, bien qu'au niveau de mon faible revenu en travaillant comme barman, cela m'empêchait de venir toutes les semaines. Nous prîmes beaucoup de temps à estomper cette souffrance du vide. Puis finalement, c'est passé petit peu par petit peu. Nous continuâmes de nous passer des coups de fil tout les jours, nous passions nos vacances ensemble et nous nous voyions autant que possible. Ainsi, ce déchirement moins douloureux, je pouvais profiter pleinement de mes études supérieures. Je comptais bien percer dans le monde du spectacle et je fus vu par mes professeurs comme un réel jeune talent. J'étudiais en plus du théâtre - ma spécialisation -, le chant, la danse, la musique. Ainsi, je pouvais améliorer mes compétences au piano, une autre de mes passions. Les activités sportives étaient mises en avant dans la mesure où nous devions canaliser notre énergie. Je n'ai jamais été un adepte des salles de musculation, j'étais beaucoup plus doué à monter à une corde et faire le singe. Souple oui, musclé comme Monsieur Propre, non. Mais années d'études passèrent trop vite à mon goût. Je mettais fait de réels amis, les professeurs étaient proches de nous, ils devenaient des confidents, des conseillers, et finalement, de l'amitié naissait entre nous tous.
V) Enfin entré dans la vie active :
Mon diplôme en poche, je commençais à monter sur les estrades de théâtre peu connus à Montmartre. Il faut savoir qu'on a tous commencé par ici. Finalement, alors que je jouais dans le comique, un homme reconnu dans le monde du spectacle me découvrit. En effet, il était à la recherche de jeunes talents, de visages encore inconnus. C'est ainsi que j'entrais réellement dans ce monde. Je me retrouvais pas la suite à jouer des pièces dans de grands théâtres parisiens avec une troupe d'acteurs reconnus. J'étais heureux d'avoir réussit à aller aussi loin, bien que je restais conscient que tout pouvait s'arrêter du jour au lendemain. On me donna l'opportunité de commencer la télévision, chose que je refusais pour la bonne et unique raison que je préférais l'estrade et un public en face de soit, que de passer derrière un écran. Oui, il y a une grande différence entre la télévision et le théâtre. Contrairement à beaucoup, je choisissais ce dernier. Ce fut un soir, à la fin d'une représentation que je fis la rencontre de Helia, une charmante américaine d'origines portugaises qui deviendra par la suite ma femme. Entre nous, ce fut le coup de foudre. Apparemment, je l'avais étonné lors de la représentation et elle avait tenu à m'attendre à la sortie du théâtre, côté coulisse. Je lui ai offert un verre dans un pub irlandais, nous parlâmes toute la soirée, jusqu'à ce que le barman nous mette dehors afin de pouvoir fermer. Par la suite, nous nous sommes revus à plusieurs reprises et une belle histoire d'amour commença. Pour la première fois de ma vie, je tombais amoureux. Amoureux d'une charmante demoiselle brune aux reflets cuivrés, au regard perçant, entre le marron et le vert, au sourire d'ange. Elle possédait un humour qui me rendait fou. Elle était pourvue d'une gentillesse et d'une générosité sans limite. Professeur d'Histoire depuis peu, elle enseignait dans un lycée réputé de Paris, principalement réservé à des élèves de classes aisées. Nous nous mariâmes un an seulement après notre rencontre. Oui, ce fut quelque peu précipité. Néanmoins, nous ne souhaitions pas attendre davantage. Je ne doutais pas une seule seconde de mes sentiments pour elle et c'était réciproque. De notre union naquit Jade, une petite demoiselle à la bouille d'ange, aux cheveux châtains. Elle avait mes yeux bleus, mes fossettes. Elle avait hérité du sourire de sa mère et de son nez parfait. La première fois que j'ai tenu ce petit bout de chou dans les bras, j'en tombais totalement sous le charme. La première fois qu'elle m'avait regardé, elle avait sourit, avait gazouillé en tendant ses minuscules mains vers mon visage. C'est à ce moment précis que je compris que j'étais l'homme le plus heureux du monde, moi qui avait pourtant douté durant neuf mois sur le fait que je serais un bon père. Maintenant, tout était clair. Je ferais absolument tout pour cette petite, elle devenait le centre de mon attention.
VI) Direction, la Californie :
Un an après la naissance de Jade, Helia me montra son immense désir de retourner à New York, là où elle avait passé son enfance. Elle trouvait bien dur d'être séparée de toute sa famille depuis tant d'années. J'avais longuement hésité car si je la suivais, je serais contraint d'abandonner la mienne. Ainsi nous fîmes un marché.
Helia : "On reste une année là-bas au minimum. On reviendra voir ta famille en Normandie pendant chaque vacance. Si c'est trop difficile pour toi, on fait machine arrière et je te promets qu'on retourne en France directement. Je te demande seulement d'essayer, de ne pas partir avec l'idée que tu n'aimeras pas."
C'est ainsi que j'acceptais de jouer le jeu, en ayant la certitude que si j'avais trop le mal du pays, je pourrais revenir sans qu'elle ne me le reproche. Et puis dans un couple, il faut faire des concessions, non? Voila comment je mettais les pieds pour la toute première sur le continent américain. Cela fait quatre ans maintenant que j'y habite. J'eus certes un peu de mal à m'habituer à cet endroit, d'autant plus que le climat était totalement différent de celui que j'avais connu toute ma vie. J'avais l'impression que les pluies étaient moins nombreuses. Bonjour le soleil et la chaleur insoutenable. Désormais, j'attends l'automne et l'hiver avec impatience. Néanmoins, je menais ma petite vie avec bonheur. J'étais heureux, très heureux. Jade grandissait un peu trop vite et je ne ratais aucun grand moment. J'abandonnais par la suite les planches pour devenir professeur de Théâtre. On m'avait donné cette opportunité et l'idée d'enseigner ma passion à des jeunes m'intéressait grandement car être professeur avait toujours soutenu mon envie. Néanmoins tout bonheur à malheureusement une fin. Cette vie parfaite se termina lorsque j'eus un accident de voiture. Ma femme était côté passager et je fus le seul à en sortir vivant. Jamais je ne pardonnerais Dieu, en admettant seulement qu'il existe, de ne pas avoir pris ma vie plutôt que celle de Helia. Mais au fond, c'était de ma faute, c'était moi qui conduisait. Et pourtant, je pouvais m'estimer heureux que la petite Jade ne fut pas dans cette voiture comme il en était convenu au départ. Cette tragédie s'est passée il y a tout juste un an. Depuis, j'élève seul ma fille, avec un peu de mal je dois l'avouer. Elle vient de fêter ses cinq ans et mine de rien, c'est une véritable tornade qui m'en fait voir de toutes les couleurs. Je dois donc jongler entre mon rôle de père, et celui de professeur de Théâtre à Fordham University, pour la quatrième année consécutive.
Signe(s) particulier(s) :
Aaron n'est pas très piercing. L'idée de se "trouer" volontairement ne l'intéresse guère. Néanmoins, il possède un tatouage, bien que petit, au niveau de son poignet droit. Ce tatouage est un trèfle, symbole de l'Irlande. Il possède également une cicatrice malheureusement assez imposante au niveau de l'abdomen. Après, ses signes particuliers restent ses cheveux d'or, son sourire angélique et ses charmantes fossettes.
Orientation Sexuelle :
Aaron aime les femmes, les a toujours aimé et les aimera certainement toute sa vie.
Citation favorite :
« Carpe Diem »
Dernière édition par Aaron Lecomte le Mar 26 Jan - 22:36, édité 7 fois
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Quand charme et agréabilité se mêlent à arrogance et puérilité, voici Aaron [Terminé] Mer 20 Jan - 13:40
« BEHIND THE COMPUTER »
Prénom : Marine Âge : 18 ans Comment as-tu connu ce forum ? : Sur un top site Ton avis (design, contexte, ...) : <333 Présence sur le forum : 4/7 voir 5/7 Autre(s) compte(s) : Non Exemple de RP :
Spoiler:
Barman : "Alors l'Irlandais, qu'est-ce que je te sers aujourd'hui?"
A croire que je suis un réel habitué... tout de même... bon d'accord, je viens souvent dans ce bar le soir et pour cause, je n'ai pas spécialement envie de rentrer chez moi pour me retrouver tout seul. Cet homme qui tenait le Satoshi était particulièrement agréable et nous nous parlions assez souvent. J'étais devenu un client fidèle, un ami même.
Logan : "Une bière s'il te plaît, ça ira."
J'esquissais un sourire en coin, tandis que je tournais la tête vers la droite. Le barman était en train de prendre une petite bouteille de bière puis il la décapsula.
Barman : "Voila Logan. Ton travail se passe bien?"
J'attrapais la bouteille entre mes doigts puissants alors que je relevais les yeux vers lui. J'haussais les épaules, visiblement indécis.
Logan : "Et bien... mon travail en lui même est bien, c'est le Japon le problème."
L'homme se mit à rire, amusé par mes paroles, tandis que j'esquissais un nouveau sourire. Pourtant, nous étions conscients tout les deux que c'était la stricte vérité. Je portais ma bière à mes lèvres afin d'en boire une gorgée. En même temps, je tournais encore une fois la tête, mais cette fois-ci sur la gauche. En effet, je me sentais observé. Soudain je me mis à froncer les sourcils. Une belle nippone m'observait avec insistance, une jeune femme que j'avais rencontré la soirée dernière, et que j'avais connu plus... intimement durant la nuit. Une expression gênée s'afficha sur mon visage. Soudain, mon regard couleur noisette se porta sur une personne non loin d'elle. Mais... c'était Koharu Kusumi. Mon visage se fendit en un sourire à la fois sincère et malicieux. Entre elle et moi, tout était question de défis, un jeu du "cap ou pas cap" qui nous avait rendu particulièrement complices bien que j'étais professeur et elle, mon élève. Je ne me rendais même pas compte que je piquais un fard en l'observant.
Barman : "Tu veux un sceau? T'es en train de baver."
Aussitôt je détournais mon regard de Koharu afin d'observer le barman. Je prenais une nouvelle gorgée de ma bière en secouant négativement la tête.
Logan : "N'importe quoi, c'est une de mes élèves."
Barman : "Si tu le dis. N'empêche qu'elle est très mignonne."
Logan : "Je t'en pris, tu as presque trois fois son âge."
Barman : "Et alors, ce n'est pas pour ça qu'elle va devenir laide tout d'un coup."
Logan : "Vu comme ça, c'est sûr... et arrête de la regarder comme ça."
Barman : "Tu fais la même chose..."
Logan : "Ferme la."
De nouveau il se mit à rire. Un soupir s'échappa de mes lèvres. Il n'avait pas tord pourtant. Koharu était particulièrement belle et terriblement charmante. Et encore, il ne l'avait pas vu sourire, il serait tout simplement tombé par terre. Il est inutile de préciser qu'elle fait plus que dix-sept ans. Encore une fois je portais ma bière à mes lèvres. Nos regards se croisèrent, je lui adressais un hochement de tête plutôt arrogant. Après tout, elle me connaissait ainsi. Soudain je sentis une présence derrière moi et une voix suave chuchota quelque chose à mon oreille. Mes sourcils se froncèrent, jusqu'à ce que je découvre qui c'était. Mon aventure de la nuit dernière.
Kim : "J'espérais bien te trouver ici ce soir. J'ai... très apprécié cette nuit. Et comme j'ai oublié de te donner mon numéro..."
Je tournais la tête vers elle afin de la regarder dans les yeux. Mon esprit typiquement masculin commença à avoir des pensées peu catholiques. Mh... sauf que je n'allais pas laisser une des mes élèves me voir flirter avec une femme. Néanmoins mes lèvres effleurèrent celles de la belle nippone.
Logan : "Ecoute, j'ai des étudiants dans ce bar. Je n'ai pas réellement envie que les rumeurs fusent derrière mon dos. Tu comprends...?"
Excuse bidon... je sais.
Kim : "Ah... je comprends oui..."
Logan : "Mais, je ne serais pas contre avoir ton numéro de téléphone si tu as envie de..."
Sans avoir compris pourquoi, je sentis une main s'abattre sur ma joue. Pourquoi venait-elle de me gifler? Je fronçais les sourcils par l'incompréhension.
Kim : "Je ne suis pas une femme que tu vas appeler juste quand tu auras envie de t'envoyer en l'air !"
Ma main contre ma joue, la massant légèrement, je l'observais tourner les talons pour quitter le bar. Quant au Barman, il était victime d'un réel fou rire qui l'obligeait à se plier en deux près du comptoir.
Barman : "Ah c'est magnifique de voir ça ! Le Dom Juan vient de se faire remettre à sa place et violemment !"
Logan : "Chut toi..."
écrire ici.
Code du règlement :
Spoiler:
Ok by Lo <3
écrire ici.
Dernière édition par Aaron Lecomte le Mer 20 Jan - 15:28, édité 2 fois
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Quand charme et agréabilité se mêlent à arrogance et puérilité, voici Aaron [Terminé] Mer 20 Jan - 13:50
Bienvenue ici ^^ The Mentalist
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Quand charme et agréabilité se mêlent à arrogance et puérilité, voici Aaron [Terminé] Mer 20 Jan - 14:14
Merci Ella
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Quand charme et agréabilité se mêlent à arrogance et puérilité, voici Aaron [Terminé] Mer 20 Jan - 14:36
Bienvenue =)
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Quand charme et agréabilité se mêlent à arrogance et puérilité, voici Aaron [Terminé] Mer 20 Jan - 14:45
Ella A. Pille a écrit:
Bienvenue ici ^^ The Mentalist
Bienvenue && Bonne continuation ^^
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Quand charme et agréabilité se mêlent à arrogance et puérilité, voici Aaron [Terminé] Mer 20 Jan - 15:16
Merci à vous deux =)
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Quand charme et agréabilité se mêlent à arrogance et puérilité, voici Aaron [Terminé] Mer 20 Jan - 15:51
Bienvenue et bonne chance pour la suite :!:
J'adore Mentalist
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Quand charme et agréabilité se mêlent à arrogance et puérilité, voici Aaron [Terminé] Mer 20 Jan - 16:07
Ahhh Guillaume !!
Merci =)
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Quand charme et agréabilité se mêlent à arrogance et puérilité, voici Aaron [Terminé] Mer 20 Jan - 16:24
Oh, un nouveau Aaron ^^ Bienvenue et bon rp (:
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Quand charme et agréabilité se mêlent à arrogance et puérilité, voici Aaron [Terminé] Mer 20 Jan - 16:53
A croire que c'est un prénom très à la mode =P
Merci à toi
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Quand charme et agréabilité se mêlent à arrogance et puérilité, voici Aaron [Terminé] Mer 20 Jan - 17:08
Bienvenue parmi nous
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Quand charme et agréabilité se mêlent à arrogance et puérilité, voici Aaron [Terminé] Mer 20 Jan - 17:33
Merci beaucoup =)
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Quand charme et agréabilité se mêlent à arrogance et puérilité, voici Aaron [Terminé] Mer 20 Jan - 18:52
Bienvenue sur le forum
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Quand charme et agréabilité se mêlent à arrogance et puérilité, voici Aaron [Terminé] Mer 20 Jan - 19:53
Merci !
Je pense avoir terminé =)
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Quand charme et agréabilité se mêlent à arrogance et puérilité, voici Aaron [Terminé] Mer 20 Jan - 20:24
Validé, bon jeu parmi nous. Pense à voter pour NYCL sur les topsites & a signer le recensement mit en place dans la partie "annonce". Ton histoire (enfin le début) me fait trop penser à c'est quoi l'amour avec des jumeaux il y a peu de temps ^
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Quand charme et agréabilité se mêlent à arrogance et puérilité, voici Aaron [Terminé] Mer 20 Jan - 20:48
Merci beaucoup =)
Ah j'ai pas vu l'émission xD Pourtant ça m'aurait bien plût, j'adore la connexion des jumeaux =P
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Quand charme et agréabilité se mêlent à arrogance et puérilité, voici Aaron [Terminé] Ven 22 Jan - 15:34
Bienvenueeee =D
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Quand charme et agréabilité se mêlent à arrogance et puérilité, voici Aaron [Terminé] Sam 23 Jan - 4:20
Merci
Contenu sponsorisé
Empire State of Mind
Sujet: Re: Quand charme et agréabilité se mêlent à arrogance et puérilité, voici Aaron [Terminé]
Quand charme et agréabilité se mêlent à arrogance et puérilité, voici Aaron [Terminé]
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum