Sujet: Once upon a time ... Léorlia Harmonyes Phinsys Dim 31 Jan - 1:57
« Léorlia Harmonyes Phinsys » Feat. Kirsten Dunst
Âge : 21 ans. Date & Lieu de naissance : Le 23 octobre 1988 à Glasgow. Groupe : Les Sportifs. UFR : 1 Étude : Journalisme Prédéfini ou Inventé : Inventé.
Sweet about me :
« MORE ABOUT MY PERFECTION »
Physique & Style :
L'apparence, maudit est ce mot qui hante notre société actuelle. Les jambes de sauterelles dans les magazines de mode, les délires extravagants des créateurs fashions, la collection de produits de beauté entassée dans la salle de bain "temple sacré", les boites à chaussures qui débordent de leurs placards, les minutes passées devant le miroir à essayer, se changer, réessayer ... Léorlia ne possède aucun tatouage, elle ne s'est fait percer nulle part ailleurs d'autre que les oreilles comme toute petite fille qui se respecte dès son plus jeune âge. Elle n'a fort heureusement jamais fait de séance artificielle ou prolongée d'ultra-violets et sa peau n'étouffe pas sur l'amas de milles et unes crèmes inutiles. Sa peau est porcelaine et ses cheveux variant entre le roux et le blond. Ses yeux ont la forme gourmande de deux amandes qui pétillent, et qu'elle a l'habitude de maquiller avec une touche de mascara et un peu de crayon khôl, parfois même de l'eye-liner mais très rarement un fard à paupière, cela la rend allergique. Pour ce qui ses fines lèvres, un coup de gloss ou de rouge à lèvre et le tour est joué. Sa carrure athlétique ? Elle la doit au sport qu'elle pratique quotidiennement,le volley et à la salle de sport qu'elle fréquente régulièrement. Sa souplesse ? Elle l'a cultive depuis l'enfance, depuis qu'elle est entrée à l'Académie de Danse de Glasgow, autant dire depuis qu'elle sait marcher sur ses deux jambes. Elle était dotée d'une souplesse et d'une agilité incroyable. Or dès lors sont accident, les longs mois confinés dans sa chambre, coulée dans son lit avec un énrome plâtre à la jambe lui a fait perdre cette caractéristique qui la représentait tant. Chaque jour, elle continue ses entraînements et chaque jour elle recommence ses étirements, pour sûr qu'elle ne retrouvera jamais son agilité d'antan mais si elle peut en retrouver quelque-peu ... Chaque jour c'est un combat, un centimètre de plus, une victoire.
Caractère :
On ne sait jamais véritablement qui l'on est. La personnalité, la quête de soi, c'est le travail, la recherche acharnée de toute une vie. On est toujours plus ou moins, volontairement ou involontairement influencé, que ce soit par les médias, qui mettent en avant ce qu'ils veulent donc ne sont jamais véritablement neutre, mais aussi avec et grâce à l'intervention de la famille, du cadre social, de l'école, et des pairs, entre autres ... Léorlia n'a jamais aimé être le centre des préoccupations, redoutant le regard des autres, autant l'attention de quelques personnes sur elle ne la dérangeait pas, autant se voir fixer par une masse de personnes l'horrifie, et il en faut peu, ne serait-ce que dix personnes en qui elle n'a pas la confiance absolue qu'ils ne feront pas preuve de intolérance ni d'irrespect. Mais cette timidité n'empêche pas d'avancer dans la vie. Longtemps critiquée d'insociable par ses camarades, le jour où Léorlia osa enfin s'affirmer, oser dire non et littéralement ouvrir sa gueule, ce jour là, beaucoup s'en seraient bien passé. Sortant de son silence, elle se sentait à présent extrêmement vulnérable et devint ainsi méfiante, or ce sentiment de méfiance se traduisit par des réactions jugées agressives par ses camarades. Mais après tout, il ne fallait pas lui demander de changer, maintenant c'était à eux d'assumer. D'une nature toujours discrète, elle n'aime cependant pas montrer ses sentiments et ne s'extériorise pas aisément. Léorlia fait parti de ces rares catégories de jeunes personnes dont il faut vraiment de bonnes raisons pour réussir à les faire sortir de chez elle. Caractère jugé égoïste par certain, et pourtant, et pourtant Léorlia est une personne quoi de plus gentille, attentionnée et dévouée, mais aussi de profondément vulnérable, émotive, fragile, et nostalgique sous sa carapace. D'une sensibilité hors du commun, elle verse de chaude larmes à la vision d'un film ou durant la lecture d'un roman, ces deux arts qu'elle affectionne tout particulièrement.
Histoire :
« Où allez-vous mademoiselle ? » « N'importe où. »
Et voilà comment mademoiselle arriva jusqu'à New York City, la grosse pomme, en auto-stop. Le conducteur se pencha pour ouvrit la porte passager et Léorlia s'installa dans la voiture. Le voyage fut long, si long que la nuit tombée la jeune femme s'endormit. Elle n'avait aucune idée de l'endroit où elle allait et ça lui était devenu bien égal. A son réveil, les immenses buildings se dressaient déjà devant ses yeux. La voiture s'arrêta, Léorlia remercie son chauffeur de fortune, et prit la route.
23 octobre 1988, c'est le crépuscule et la météo annonce une journée grisaille. C'est certainement de là que vient l'affection que porte Léorlia au ciel gris et épais semblables au temps qu'il fait lorsqu'une tempête de cyclone approche. Pendant ce temps, des cris retentissent dans la chambre 1408 du Queen Mother's Maternity Hospital de la ville, et l'Ecosse accueille un nouvel habitant. Une femme est assise sur une chaise d'accouchement, les cheveux trempés de sueur et le visage brillant, mais elle sourit, le plus beau des sourire, celui qui vous illumine un visage. Un peu plus long, un homme assiste à la scène derrière une vitre, lui aussi sourit, de ce même sourire, presque irréel. Bientôt il entre et se positionne derrière sa femme à qui on a tendu le bébé. C'est le troisième enfant de la famille Phinsys. Famille Phynsis : père avocat, mère historienne, premier enfant : Adan second enfant : Ruben. Et en ce jour du 23 octobre 1988, le couple accueille son troisième et qui sera leur dernier enfant, une petite fille, enfin. Johanna et Anthony sont comblés. C'est le stéréotype parfait de la bonne petite famille britannique : niveau de vie aisé, maison victorienne dans un quartier résidentielle, fille au pair pour garder les enfants, thé tous les matins, école privées avec uniforme pour les enfants ... La vie rêvée. Mais cette vie de rêve a un prix, le travail, Johanna et Anthony travaillent d'arrache-pied, Anthony dirige un cabinet d'avocat, il est très connu dans son milieu et a une très bonne réputation, Johanna quant à elle, travaille au Museum d'Histoire Naturelle de la ville, elle aussi a son propre bureau, elle dirige les restaurations d'œuvres et tout ce qui suit autour. C'est une famille unit et aimante, comme on en voit dans les séries et films anglais, mais elles ont toute une face cachée, un vice, et celui des Phinsys est l'absence. Offrir des présents à ses enfants c'est bien joli, mais un câlin, un petit-déjeuner au lit, une partie de Monopoly, une veillée devant la cheminée, une sortie au parc ... ensemble c'est cela le plus important, être en famille, faire des choses en famille. Rassurez-vous, les enfants n'étaient pas livrés à eux-mêmes quand ils n'étaient pas à l'école et que leurs parents travaillaient, ce qui au passage arrivait fréquemment. Entre Anthony Phinsys qui rentrait parfois très tard le soir et Johanna qui partait en conférence. Mais il y avait la fille au pair, ah la fille au pair, cette baby-sitter à l'année. Celle des enfants Phinsys se prénommait Lia-Ode prénom peu commun et aux origines incertaines. Elle était irlandaise et fut la seule fille au pair de la maison. Elle avait débarquée en Ecosse pour perfectionner sa langue, elle voulait devenir professeur et c'était un bon moyen de payer ses études. Les enfants Phinsys ne manquèrent donc jamais de rien, sauf peut-être d'amour, oui de présence et d'affection. Pour sûr que leurs parents les aimaient, plus que quiconque, mais une petite preuve de temps en temps n'aurait pas été trop. Cependant qu'ils n'étaient point des enfants à papa-maman pourris gâtés, et fort heureusement. Car bien malgré leur niveau de vie élevée, les parents surent très tôt inculquer à leur progéniture le sens des valeurs et la considération de la chance qu'il avait de cette situation privilégiée. Comme la tradition le veut, chaque enfant se devait d'être inscrit dans une noble activité extrascolaire. Ainsi, Adan le premier né de la famille, aîné des enfants Phinsys, s'inscrivit dans l'équipe de football locale. Puis vint le tour de Ruben, qui lui fut envoyé à l'école de musique de la ville. Enfin le cas Léorlia arriva, et la jeune fille se vit entrer à l'Académie de danse de Glasgow. Il semblait de mise que les garçons reprennent le cabinet de leur père, c'était une évidence, leur dessein était d'ors et déjà tout tracé devant eux et ils n'avaient pas à se faire de soucis. Mais la fille ... qu'est-ce qu'on allait bien pouvoir faire d'elle ? Et c'est de cette discussion parental que surgit la question du mariage arrangé. Anthony était très ami avec un chirurgien, c'était d'ailleurs son ami d'enfance et les deux meilleurs amis avaient gardés contact, d'ailleurs, les deux familles se conviaient régulièrement. Or il se trouvait justement qu'il eut un fils, Solomon d'à peu près le même âge que Léorlia. L'accord fut entendu et les parents respectifs attendirent l'âge légal pour les fiançailles des deux jeunes gens. Un mois après leurs fiançailles, Solomon annonça qu'il s'était engagé dans l'armée britannique, aux côtés des anglais. Il ne tarda pas à être envoyé en mission à l'étranger. Dans l'aéroport militaire, avant d'embarquer, Solomon promit à Léorlia de l'épouser dès son retour. Et ce fut la dernière chose qu'il fit avant de revenir en boîte. C'était comme se marier avec son meilleur ami pour Léorlia, ils seraient heureux ensemble et au moins ce serait une manière plus décente de continuer leurs disputes quotidiennes. Six mois après le départ de Solomon, Léorlia l'attendait toujours. L'avion se posa, les soldats descendirent, mais au fur et à mesure qu'ils le vidaient, Léorlia ne voyait aucune trace de Solomon. Elle avait voulu se faire belle pour le retour de son fiancé. La mère de celui-ci, sa future belle-mère lui serrait l'épaule derrière elle. Léorlia tourna son visage vers elle le temps d'échanger en regard. Puis ce fut un cercueil que l'on descendit de l'avion. Aucun mot, aucun regard, aucune parole, rien, rien de la part de l'armée. Elle venait de rendre à sa famille un soldat mort au combat et aucun militaire ne s'était rendu à l'enterrement, aucun de ces hommages comme on peut les voir à la télévision avec trompettes, drapeaux et tout ne fut accordé au soldat Solomon. Léorlia enterra son fiancé, le lendemain elle prenait la route pour elle ne sait où. Emportant le stricte nécessaire, elle garde cependant toujours sur elle son précieux i-pod que Solomon lui avait offert avec une compilation des morceaux de piano qu'il avait composé pour elle.
« Mais chérie où vas-tu ? » « Je ne sais pas. » « Voyons, tu ne peux pas partir comme cela ... » « Et pourtant c'est ce que je fais. »
La mère de Solomon avait proposée son soutien à son ex-future-belle-fille pour cette épreuve mais Léorlia refuse. Tout ce qu'elle désirait c'était partir, peu importe où du moment qu'elle partait, elle en avait besoin.
« J'en ai besoin maman. » « Bon, très bien, mais tu nous téléphones !? » « Et au moindre problème … »
Le ton qu'avait employé Mrs Phinsy était proche de l'hystérie et le regard de son père inquiet. Léorlia savait que si elle n'appelerait pas, sa mère ferait certainement une crise cardiaque et son père n'hésiterait à bouleverser ciel et terre pour la retrouver.
« Oui, je vous le promets. »
Jura t-elle.
« Maman, Papa, Frérots. »
Prononça t-elle en embrassant tendrement chacun d'eux.
« Fais gaffe à toi sœurette. » « Oh les garçons ! » « Pardon Man’, prends bien garde à toi petite sœur. » « Merci. »
Finit Léorlia d'un ton quoi de plus sincère, doux, léger et voluptueux, à son image. Et la porte claqua dans ce mois d'octobre gris comme les aimait la cadette des Phinsys. Là où elle partait, elle n'avait aucune idée de ce qui allait l'attendre, aucune possibilité d'avenir. Autrefois membre de l'école de danse de Glasgow, une chute en duo vertigineux l'avait fait perdre tout espoir de carrière dans ce domaine. Et c'est de ses longs mois dans le plâtre qu'elle s'était découvert une nouvelle passion, celle de la littérature. Et dès lors qu'elle passa devant les portes de l'université, une certitude se révéla en elle. Ce qu'elle voulait c'était écrire. Et en un coup de téléphone, l'aide financière qu'elle avait longtemps refusée arriva à sa propriétaire dès le lendemain. Trop heureux de voir leur fille enfin remonter la pente en se trouvant une raison de vivre et un avenir prometteur, le couple Phinsys était une fois de plus comblé et surtout rassuré. Léorlia s'inscrivit à l'Université et son père lui offrit un spacieux appartement en plein Manhattan. Là-bas, elle trouva son bonheur en étant solicitée à l'équipe de volley du campus et réintégra un institut de dans incognito. Une nouvelle vie qui commence mais l'autre est toujours là et les blessures avec.
Signe(s) particulier(s) :
Possède une fracture du fémur suite à un accident de danse qu'elle tente de dérober. Pique une crise et finit en larmes quand elle ne retrouve pas son i-pod. Porte toujours au doigts la bague de fiançailles que lui avait offert Solomon.
Orientation Sexuelle :
Léorlia est officiellement hétérosexuelle, le fait est qu'elle ne s'est jamais sentie attirée par les femmes et n'a jamais essayée.
Citation favorite :
« La littérature, c'est une télévision qui nous montre tout ce que l'on rate. » L'Elegance du hérisson, Muriel BARBERY
« BEHIND THE COMPUTER »
Prénom : écrire ici. Âge : écrire ici. Comment as-tu connu ce forum ? : par Bazzart. Ton avis (design, contexte, ...) : tout simplement divin. Présence sur le forum : 4 à 5/7 j. Autre(s) compte(s) : Nop. Exemple de RP :
Spoiler:
« La force des choses est dans la réalité qu'on leur donne. »
Il n'était pas rare, même pour des vampires, d'utiliser communément les technologies des humains, cela leur permettait de mieux s'intégrer à la société, sans trop de crainte d'être suspecté, emportés par la foule, suivant le mouvement des mortels, ils passaient incognito. Apollynaria avait appris cela au cours des années, et plus particulièrement que les humains ne voyaient que ce qu'ils voulaient voir. Ainsi, tant qu'elle aurait l'apparence d'appartenir à leur quotidien, alors il l'a verraient comme l'une des leurs et ne se douterait jamais de rien. C'est comme si vous portez une tenue, peu importe que vous soyez vêtus en guenille ou en robe de soirée, l'important est la posture et l'attitude a avoir. Pour sûr, quelqu'un qui porte des vêtements en pensant qu'ils sont moches, alors il dégagera cette impression et les autres mortels la ressentiront et seront du même avis, alors que si cette même personne porte ses effets avec dignité, alors le phénomène se répétera, mais à l'inverse cette fois-ci. Tout comme celles qui croient en l'existence de fantômes et autres esprits frappeurs, dès qu'ils auront cette idée en tête, et étrange d'autant plus la nuit, alors chaque bruit, du plus anodin au plus bizarre deviendra suspect et le cerveau se focalisera sur cette idée de l'inconnu du surnatuel, créant ainsi une illusion du réel.
Toutes ces doctrines et ces thèses ne sont que la fruit de longues années d'observation de la part d'Apollynaria qui malgré le fait qu'elle ai souvenir de son passé de mortelle, a du mal à percevoir encore les sensations humaines, à comprendre leur fonctionnement et les regarde à présent d'un point de vue critique, tout en copiant leurs moeurs et coutumes afin de mieux passer inaperçue dans la ville. Il n'y avait aucune entrée dans le répertoir d'Apollyn', aucun numéro d'enregistré depuis qu'elle avait acheté son portable. A vrai dire, elle ne l'avait même jamais utilisée, mais il restait constamment allumé, au cas où. Seulement le au cas où quelqu'un l'appelerait n'aurait pu se produire étant donné qu'elle n'avait donné son numéro à personne encore, bien que l'ayant très vite assimilée de mémoire. La rencontre avec le vendeur s'était passé sans encumes, ce n'était pas quelqu'un de très intéressant, au fond il était vide, vide de sens, vide de tout. C'est une façon un peu cruel de dire les choses mais certaines personnes sont comme de simples et modestes coquilles vides, et par conséquent, elles dégagent rarement une odeur subtile et attrayante. La jeune femme l'avait laisser déballer son baratin, encore un discours appris par coeur et qu'il récitait comme une machine à chacun de ses clients. Elle ne portait aucunement attention au monologue de son interlocuteur et regardait d'un regard vide la vitrine dans laquelle était entreposée les téléphones mobiles. Si elle avait fait plus attention, elle aurait compris qu'il était en train de lui faire valeur tout l'aspect avantageux du tout nouveau mobile en vogue, tel une véritable propagande à l'avantage du produit. Au final, le vendeur se retrouvait bien piètre de se féliciter d'avoir réussi à vendre son produit le plus cher car au fond l'argent bien sûr n'avait jamais été un souci pour les immortels et Apollynaria savait que peu importait le téléphone qu'il lui aurait mis en valeur, elle l'aurait achetée. Du moment que c'était ce que tous les humains avaient ... le reste, n'était que purement superficiel, et on le sait bien, les vampires n'ont pas besoin d'artifices pour plaire, ils sont génétiquement modifiés dans ce but après leur transformation. C'est exactement semblable aux OGM, ces organismes génétiquement modifié par la société afin dans un but lucratif afin d'en retirer tous les bénéfices. Autrefois mortels, ces humains avaient étés métamorphosés et subit des changement à toute échelle phénotype, incluant des modifications de la pigmentation de la peau, de l'iris des yeux, de la dentition etc ... essentiellement basé sur l'apparence physique, pour non pas servir au principe de plaire et instruire, mais bien de plaire et détruire.
Et cette ****** de sonnerie qui retentissait encore. Maudit était le jour où elle avait cédé aux insistance de ce piéton malfamé et lui avait donné son numéro de téléphone afin de se débarasser de lui. Remarquez, elle ne pouvait à présent s'en prendre qu'à elle même puisqu'elle aurait très bien pu lui donner un faux-numéro, ce qu'elle n'a pas fait, donc ... Et pas la peine de se demander qui appelle, comme dit précédemment, elle n'avait donné son numéro, à personne, enfin, personne, sauf à partir de ce fameux jour où il s'était littéralement jeté sous les roues de sa voiture. Que les humains pouvaient être colants certe il ne lui avait pas tenu rigueur de cet incident mais qu'est-ce qu'ils pouvaient être lourd, de vrais de petits boulets, des sangsues ! Cela faisait juste la vingtième fois qu'elle se faisait entendre dans la journée, et depuis le jour où elle lui avait donné, des milliers de fois. Apollyn' pensait qu'en ne répondant point il abandonnerait, croyant justement qu'elle lui aurait donné un faux-numéro ou un numéro inconnu, mais non, la preuve est faite que les mortels sont tenaces, de véritables sangsues oui ! Près d'un quart d'heure plus tard, le portable vibra une fois encore sur la table basse, tandis que la jeune femme assise sur son canapé comme si elle était prête à se lever, fixait de ses pupilles noires l'engin en se demandant si la meilleure chose à faire était de le mettre en miette, ou bien de répondre, tout en s'amusant à faire tournoyer son trousseau de clés. Quand soudain, la sonnerie, mais de son appartement cette fois-ci se mit à retentir, deux coups, sec et brute. C'était la première fois qu'elle l'entendait, n'ayant jamais invitée personne, faute de n'en connaitre aucune, mais elle ne mit pas longtemps à comprendre l'origine de ce bruit soudain. La vampire sursauta un coup, le regard tourné en direction de sa porte d'entrée, avant de se reposer sur le téléphone d'un air intérrogateur. Mais la sonnerie retentit de plus belle, toujours aussi rude et cassante. La jeune femme se leva en silence, et s'approcha de la porte à pas de chat, elle regarda par le petit trou prévu à cet effet puis se plaqua dos contre la porte. Il était déjà là, il oui celui qui venait à l'instant de téléphoner, décidemment il n'arrêterait jamais. Allait-elle continuer à vivre littéralement harcelée par lui jusqu'à ne plus sortir de chez elle. Le bruit du verrou se fit retentir et la porte aussi inattendue s'ouvrit. La réponse était non.
[...]
La porte s'ouvrit donc laissant ainsi apparaître un Keith au visage, et dont le large sourire de fierté et de victoire qui s'était dessiné sur ses lèvres ne donnait qu'une envie à Apollynaria, c'était tout simplement de lui arracher la tête. Chose dont elle aurait été aisémment capable, même en étant un vampire affamé, après tout les humains sont si des êtres si fragiles. Il plongea sans attendre et sans retenue ses yeux dans le regard de braise que lui lançait la vampire, qui le fusillait littéralement du regard. Car au fodn d'elle même elle lui en voulait, oui elle lui en voulait. De quoi ? Et bien de s'être jeté sous ses roues, d'être né, d'être né humain, d'avoir été si lourd avec qu'elle se sentie alors presque obligée de lui donner son numéro, de n'avoir pas perdu ce fichu bout de papier, de ne l'avoir pas oublié, de n'avoir pas renoncé, d'être venu jusqu'ici, et enfin d'exposer ainsi la fierté de sa victoire sur son visage. Apollyn' sentie petit à petit la colère bouillir en elle, elle ne daigna même pas jeter un regard sur l'étranger et resta derrière la porte, en attendant que ce monsieur daigne bien entrer de lui -même. Il ne manquerait plus qu'elle l'invite. Après tout c'était lui et lui seul qui l'avait obligé à faire tout cela, lui qui l'a harcelé depuis le début. Si jamais il lui arrivait quelque-chose, il ne pourrait s'en prendre qu'à lui même. Le jeune mortel resta cependant immobile devant la porte ouverte, mains dans les poches, ses yeux se mirent à parcourir les lignes du corps de la jeune femme. Tandis que pendant ce temps, la vampire le laissait faire, avec un calme olympien, et pourtant il prenait son temps et elle sentait la rage monter. Enfin, enfin il détourna son regard qui pesait sur la jeune femme en secret, et avança un premier pied, quelques secondes plus tard il était enfin entré dans l'appartement. A présent devant elle, il lui tournait le dos en déposant son regard aux alentours de l'appartement. Que pensait-il il trouver ?
«Hey, je me demandais ce qui se passait…»
Lança t'il avant de redéposer son regard dans celui de la vampire. lançais-je une première fois, avant de regarder en face de moi, et donc Apollynaria. Puis il agita sa main dans laquelle il tenait désormais son portable en affichant hyppocritement un air d'inquiétude sur son visage.
«J'ai essayé de t'appeler mais tu ne répondais pas, je me demandais s'il t'était arrivé quelque chose.»
C'était si pathétique, Apollyn' n'avait qu'une envie, c'était de broyer littéralement le portable de ce très cher Keith.
«Bon, je suis venu car j'avais envie de te voir. Il n'y a rien de mal à désirer ce genre de choses, non? Après tout, on est des humains, on ne se contrôle pas et on se laisse guider par nos envies, c'est ça que l'on est sensé faire, non?»
Des humains oui, c'était bien la pire espèce qui soit et qu'il ai jamais été d'exister, des êtres rongés par le péché et puériles.
Soudain, s'en étais trop, et la colère qui bouillonait en elle tel un volcan en soudaien éruption jaillit, et la vampire eut seulement le temps d'étouffer d'n sourd grognement. Il appuyait sa tête sur le rebord de la porte avec une expression de défiance sur le visage qui ne donnait qu'une envie à la vampire et c'était toujours la même, de le détruire. Elle aurait pu, le balancer au fond du couloir, elle aurait prétextée un accident dans les escaliers, ou lui arracher la tête et s'enfuir, de toutes façon, personne ne la connaissait ici, aucun soupçons ne se serait levé contre elle. Heureusement qu'elle avait déjà évacuer un peu de sa colère dans ce rugissement étouffé. Enfin, le jeune homme poussa la porte et entra dans l'appartement, il devait certainement perdre patience devant le mutisme de la vampire. Il marchait à présent dos face à elle et s'avançait dans la salle de séjour. Tandis qu'Owen venait de refermer la porte en douceur et les bras croisées contre elle, étaient appuyé contre le mur.
C'est alors que la jeune femme changit subitement de comportement, tel un dédoublement de personnalité, elle essaya de se rappeler sa vie d'humaine pariat et de retrouver les coutumes et bienséances. Or il aurait été stupide de lui proposer quoique ce soit puisqu'elle n'avait rien. Quoiqu'il en soit, elle était préparée à toutes ses questions mais ne comptait pas y répondre, elle n'avait pas à se justifier de rien envers cet enfant et pour l'instant, le seul sentiment qui émanait d'elle à la présence de cet intru était plus que tout le méfiance. D'ailleurs, elle aurait très bien pu justifier le fait qu'elle n'ai pas répondue au téléphone en prétextant être sortie en ville et avoir oublier ici son portable et venir seulement de rentrer, cela elle l'avait pensée, imaginée même comme réponse, car son cerveau lui permettait de trouver une parade au quart de tour, mais elle se refusa à cette idée, elle ne connaissait rien de cet homme et n'avait strictement aucun compte à lui rendre. Cependant elle daigna tout de même à lui accorder un sourire lors de ses dernières paroles, prétextant comprendre cette attitude en décidant de jouer un jeu, jusqu'à ce qu'elle trouve un moyen de se débarrasser de ce sangsue.
- Je suis désolé.
Comme si elle l'était véritablement, mais c'était les premiers mots qu'elle prononçait en sa présence, et elle ne comptait pas en dire davantage, ces mots étaient sorties de sa bouche comme cela, si innatendu, mais pour le moment elle se comportait encore hostilement.
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OKAY BY JUNE
« I'M SO BEAUTIFUL »
Dernière édition par Léorlia H. Phinsys le Mer 3 Fév - 11:32, édité 12 fois
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Once upon a time ... Léorlia Harmonyes Phinsys Dim 31 Jan - 2:59
bienvenue et bonne continuation pour ta fiche. bon courage ^^.
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Once upon a time ... Léorlia Harmonyes Phinsys Dim 31 Jan - 3:21
Merci Vladimir
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Once upon a time ... Léorlia Harmonyes Phinsys Dim 31 Jan - 4:05
Kirsten Bienvenue !
Dernière édition par Stella J. Smith le Dim 31 Jan - 16:05, édité 1 fois
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Once upon a time ... Léorlia Harmonyes Phinsys Dim 31 Jan - 4:24
Bienvenue sur NYCL
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Once upon a time ... Léorlia Harmonyes Phinsys Dim 31 Jan - 14:04
Bienvenue parmi nous && Bonne continuation ! Il faudra que tu changes dans ton pseudo pour mettre Harmonyes L.
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Once upon a time ... Léorlia Harmonyes Phinsys Dim 31 Jan - 14:12
Welcooooooome
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Once upon a time ... Léorlia Harmonyes Phinsys Dim 31 Jan - 14:51
Bienvenue parmi nous !
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Once upon a time ... Léorlia Harmonyes Phinsys Dim 31 Jan - 16:06
Bienvenue sur le forum!
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Once upon a time ... Léorlia Harmonyes Phinsys Mer 3 Fév - 1:25
Un grand merci à tous ! Je pense avoir terminée.
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Once upon a time ... Léorlia Harmonyes Phinsys Mer 3 Fév - 11:42
Validée (: N'oublie pas de voter pour NYCL sur les top sites & un système de parrainage a été mit en place pour faciliter l'intégration pour plus d'infos' n'hésite pas à me Mpotter
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Once upon a time ... Léorlia Harmonyes Phinsys Mer 3 Fév - 11:48
C'est noté, MERCI !!!
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Sujet: Re: Once upon a time ... Léorlia Harmonyes Phinsys
Once upon a time ... Léorlia Harmonyes Phinsys
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