Deux bras, deux jambes, deux yeux, rien ne manque ! Ah il faut détailler mince… Bon hé bien Léandre est un bel homme de taille moyenne, de type caucasien. On peut assez aisément discerner des origines étrangères, en effet sa grand-mère maternelle était russe et il en garde quelques traits. Physiquement il ressemble à son père : mêmes cheveux châtains, quelques similitudes aux niveaux du visage et une carrure musclé qui rappel assez celle de son père, bien que Léandre n’aime pas beaucoup qu’on les compare il faut avouer que la ressemblance est bien là. Pour le reste il a les yeux de sa mère, d’un bleu profond virant au gris celons l’éclairage.
Au niveau de sa manière de s’habiller, Léandre porte des vêtements onéreux, qui laissent penser à qui le veut qu’il vient d’une famille aisée, ce qui amuse beaucoup Léandre. Il porte ce genre de vêtement uniquement pour les apparences, tant pour les gens qui l’entourent, que pour ses clientes, qui étant des personnes assez riches, estimes que leurs « amis » se doivent d’avoir une apparence irréprochable.

mature, réaliste, sûr de lui, joueur, bagarreur, charmeur, bon cuisinier, bordélique, acro aux dessins animés et aux films d'horreur, artiste, gourmand, protecteur, possessif, gros fumeur.

Léandre est un jeune homme assez mature et réaliste, il est sûr de lui et sait où se fixe ses capacités. Très attiré par l’art et d’autant plus par la peinture, il a depuis tout petit eu un talent certain en la matière, mais préférant s’assurer un métier stable il a décidé d’abandonner l’idée dans faire son métier très tôt.
Bien qu’étant assez mature, Léandre n’en reste pas moins un homme joueur et bagarreur. Il aime tant les jeux d’argent que les jeux de séduction. Jeux auxquels ils détestent perdre, pour ça il est assez mauvais perdant et on ne peux plus têtu et déraisonnable. Ne jamais s'avouer vaincu fait partit des ses devises. Pour ce qui est de ce battre et bien là encore cela fait en quelque sorte partit de son côté joueur car pour lui jouer des poings est quelque chose de réellement amusant… Pour autant il ne se considère pas comme quelqu’un de violent ou de colérique. Il n’a pas envie de finir comme son père, d’ailleurs il ne boit pas d’alcool, hormis de la bière et du champagne qui pour lui ne sont pas à considérer comme de vrais alcools.
Très charmeur, il sait séduire par ses paroles tout comme par ses actes. Pas vantard, ni prétentieux pour autant, c’est juste que lorsqu’il plait à une femme, en général, il en est assez conscient et se plait à en jouer.

Le père de Léandre quitta sa mère lorsque le jeune garçon atteignit l’âge de quatorze ans. Pour Léandre, le départ de son père n’était pas un énorme problème car, ce que les gens ne savaient pas, c’est que le père du petit garçon était alcoolique et de surcroit il était même violent. Il battait Léandre, essentiellement, car ce dernier s’interposait toujours quand il tentait de s’en prendre à sa mère, mais lorsqu’il n’était pas là, personne ne pouvait protéger la pauvre femme. Pourtant la mère de Léandre fut affectée par le départ de son mari, même s’il était alcoolique, même si s’était une brute, elle ne pouvait cesser de l’aimer… chose incompréhensible pour Léandre qui encore aujourd’hui, ne voit pas comment on peut aimer un personne qui semble t-il ne vous aime pas, même si par le passé ses sentiments étaient peut-être existant à quoi servait-il d’éprouver des sentiments non réciproques ?

La mère de Léandre, Marie, était néanmoins une femme formidable. Elle chérissait ses enfants plus que tout au monde et elle faisait tout pour subvenir à leurs besoins, les faisant passer avant elle. A ses côtés, toujours là pour elle, pour la réconforter, il y avait sa meilleure amie. Toutes deux travaillaient dans une boutique de vêtements. Elles se connaissaient depuis des années et avaient ouvert cette boutique ensemble, parce qu’elles voulaient avoir quelque chose qui leur appartiendraient rien qu’à elles. Durant toutes ses années Melinda, la meilleure amie de Marie, avait toujours été là pour la soutenir et la réconforter, elle était la seule personne à qui Marie se confiait au sujet de son mari, n’osant pas en parler à qui que ce soit d’autres.

Melinda avait un fils, du même âge que Léandre, ce qui faisait bien l’affaire des deux enfants qui étaient toujours fourrés l’un avec l’autre. Marie était toujours inquiète des conséquences que l’amitié des deux petits pourrait avoir. C’est vrai qu’Aiden était tellement timide et adorable, le voir aux côtés de Léandre, qui était une petite tornade dévastatrice, cela ne présageait rien de bon s’il se mettait à déteindre sur le petit ange. Melinda pour sa part voyait la chose d’un œil plus amusée et elle aimait beaucoup le fait que Léandre pousse Aiden à avoir plus confiance en lui et à aller d’avantage vers les autres.

Les deux petits bouts grandirent, passant de l’enfance à l’adolescence sans jamais voir leur amitié s’éteindre ou s’amoindrir de quelques manières que ce soit. Bien au contraire en grandissant ils étaient d’autant plus proches et les gens les prenaient toujours pour des frères, c’est vous dire à quel point ils étaient liés.

La petite vie de Léandre, bien qu’il ne soit pas riche et qu’il n’ait, pour ainsi dire, pas de père, aurait pu continuer à être aussi « parfaite » si l’année de ses vingt et un ans sa mère n’était pas morte dans un accident de voiture… Le laissant seul avec sa sœur a élevée alors qu’il allait entrer à l’université.

La mère de Léandre s’était endettée jusqu’au cou pour que son fils puisse entrer à l’université et alors qu’il allait enfin y entrer elle n’était plus là pour le voir. La dette de se mère revint donc à Léandre qui dut trouver un moyen rapide pour se faire énormément d’argent. Tout le monde sait que le moyen le plus rapide pour se faire de l’argent passe soit par la drogue, les armes ou bien le sexe. Le jeune homme ne souhaitant pas entrer dans un marché trop dangereux pour lui (parce qu’après qui pourrait prendre soin de sa sœur ?), Léandre décida de devenir gigolo. A New York beaucoup de femmes riches s’ennuient, soit parce que leurs maris n’ont pas de temps pour elles, soit parce qu’elles sont veuves et dans ce cas vers qui ce tournent-elles pour venir prendre soin d’elles ? Vers des hommes dont c’est le métier évidemment…
Ce qui est bien lorsqu’on travaille en réseau comme Léandre, c’est qu’on peut se permettre de refuser des clientes, après tout il y a des limites, les femmes d’un certain âge ce n’est pas vraiment ce qu’il y a de plus… attractif et contrairement aux femmes pour un homme, feindre son « intérêt » n’est pas quelque chose de possible (si l’on met de côté les petites pilules bleus ^.^).

Léandre parvint à se faire suffisamment d’argent pour payer ses études, s’acheter un studio en centre ville assez grand pour lui et sa petite sœur et rembourser les dettes de sa mère. Il doit cependant encore travailler en tant que serviteur de ses dames pour payer ses factures et tout ce dont il a besoin pour vivre.