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[ Thomas Kerner, the French ! ] [MODO]

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Empire State of Mind
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MessageSujet: [ Thomas Kerner, the French ! ] [MODO] [ Thomas Kerner, the French ! ]  [MODO] EmptySam 6 Fév - 18:42



« Thomas Kerner »
Feat. Drew Fuller

Âge : 20 ans
Date & Lieu de naissance : Le 13/11/... à Paris, France.
Groupe : Les Rebels
UFR : UFR 11
Étude : informatique
Prédéfini ou Inventé : inventé.



Sweet about me :
[ Thomas Kerner, the French ! ]  [MODO] Drew-Fuller-drew-fuller-934001_100_100 [ Thomas Kerner, the French ! ]  [MODO] Drew-Fuller-drew-fuller-473978_100_100 [ Thomas Kerner, the French ! ]  [MODO] Drew-Fuller-drew-fuller-933996_100_100

« MORE ABOUT MY PERFECTION »


Physique & Style :
    On me dit grand, mince tout comme mon père l'était avant qu'il ne disparaisse dans la nature avec son homme. Je suis brun comme l'ébène, chose dont j'ai hérité de ma famille maternelle, comme les yeux clairs, ternes, dans les bleus mêlés aux gris, disons que leur couleur dépend du temps. Plutôt beau jeune homme, sans me vanté non plus, je suis dans la moyenne disons. C'était mon regard qui jouait beaucoup, un seul coup d'œil et elles tombaient comme des mouches... Irrésistible. Ma vie à Paris ne me permettait pas de me laisser aller de point de vue vestimentaire, non sans être à la pointe de la mode, j'avais mon propre style. L'ancien mêlé au tout neuf, tout beau, très mode... Tant que cela correspondant à mon style, à ma personnalité, je m'étais. Classe était mon mot d'ordre, souvent habillé de sombre: gris, noir; avec une petite touche de couleur, jamais vive plutôt discrète même, mais qui prouvait que j'étais malgré tout dans le vent... sans paraître victime de la mode non plus.

Caractère :
    Ce qu'on dit de moi lorsqu'on me voyait aux premiers abords, c'est que je suis un garçon très social, que j'aime être entouré de beaucoup de gens. C'est le cas d'ailleurs, on me voit toujours bien entouré. J'aime les gens, je ne dirais jamais le contraire! Disons jusque je suis plutôt réticent lorsqu'il s'agit de créer de vrai lien avec les personnes d'amitié ne serais-ce que ça et ne me parler pas d'engagement, ce mot même ne fait pas partit de mon vocabulaire. C'est peut-être bien ça qui me fait peur, l'engagement... Je n'ai jamais su rester avec une fille plus d'une semaine. Peut-être suis-je difficile aussi, mais n'étant pas du genre à me remettre en question sur le sujet, je me contente de me convaincre que ce sont elles le problème, et pas moi. Parce qu'elles s'emballent toujours très vite, pour certaine c'est limite si au bout de quatre jours, elles nous voient avec dans une grande maison avec des bébés, pleins de bébés! Tire moi une balle, je meurs! Elles le problème, pas moi. Est-ce de ma faute si j'aime les gens avec beaucoup de tempérament et qui sur les bords ont des côtés un peu sombre?! Je suis difficile, et en attend toujours beaucoup des gens qui serait susceptible de devenir mes amis... Mais certains y parviennent tout de même, bien heureusement.

    On dit souvent de moi aussi que je suis quelqu'un de très dynamique.Je n'en fais qu'à ma tête, je fais ce qui me plait, quand j'en ai envie, où j'en ai envie... Rien ne m'arrête. Il était rare de me trouver chez moi avec ma mère non, j'alignais les différentes activités sportives, culturelles, ce qui pourtant ne me rendait pas spécialement bon pour autant. Juste dans un seul domaine ou j'excellais, l'informatique dans lequel d'ailleurs je souhaite poursuivre mes études. Et en parallèle à toutes ces activités, je trouvais encore du temps à consacrer à mes potes... J'aimais sortir, me divertir et en général ma présence était toujours très bien accueillit. Vif et sympa, on dit aussi, malgré qu'on remarque tout de même la distance que j'avais avec les gens un peu, en particulier les filles (assez ambiguë finalement, proche physiquement, mais le mental ne suivait pas). Je ne cherche rien de concret, j'ai seulement peur de souffrir de nouveau quoi. Cela ne m'empêche pas de vivre, tant que je parvenais à m'amuser tant que je le voulais. Et lorsqu'on venait à m'emmerder sur un quelconque sujet, tout bêtement je refoulais mon énervement, ma colère en fuyant le sujet... Ce que je souhaitais toujours, c'est qu'on m'apprécie pour ce que j'étais, en oubliant le détail que j'aimais avoir un tas de fille dans mon lit ce qui naturellement n'était pas très bien vu aux yeux des autres, je restais un gars sympa, agréable et simple à vivre, bien que distant, mais pas spécialement prise de tête car je fuyais le conflit sans arrêt, de peur de voir ma réaction, que je craignais, sans doute violente. À moins qu'on vienne vraiment me marché sur mes plates bandes, là il serait difficile de fuir, donc je fuyais seulement si j'en avais la possibilité... Mais mon caractère m'empêcher cependant de refuser le « duel », dans le cas ou l'on me cherchait, j'étais du genre à foncer tête baisser, préférant les mots aux poings (bien que je ne déglutirais pas s'il fallait en venir aux poings!), je serais près à achever mon adversaire... ou éventuels concurrent qui oserait me défier.

Histoire :
    Je m'appelle Thomas Kerner, mais appelé moi Tom. Riche petit garçon pourri gâté, fils de parents de la noblesse Française. Je vis dans le 1er arrondissement de Paris, dans un immense appartement. Vous me croyez? Vous devriez... Ma vie n'est malheureusement pas donné à tous, disons que j'ai eu la chance de naitre fils unique dans une famille pété de fric. La vie m'a véritablement souris lorsque je suis né, au yeux de mes parents j'étais le fils idéal, j'avais tout pour moi, la beauté de mes deux parents. Ils m'avaient aussi inculqué leurs valeurs, qu'ils avaient su d'ailleurs m'enseigner avec tant de douceur. La loyauté envers mes amis, mes proches et surtout la famille, ainsi que la fidélité. Deux mots d'or que je n'oublias jamais, et j'avais toujours su les appliqués avec beaucoup de rigueur. Aucune raisons de me plaindre on dira, j'étais né dans un foyer remplis d'amour et de tendresse, on ne pouvait que m'envier, j'en étais parfaitement conscient soyez en sûr... Jamais ils n'avaient voulu m'interdire quoique ce soit, « Non! », je ne connaissais pas ce mot. Cependant, je savais être reconnaissant de tout cela, ce m'étais du certes un peu, mais j'étais reconnaissant, n'étant pas du genre à m'opposer à eux. A la maison il y avait toujours eu une très bonne ambiance, une entende parfaite. Harmonie et sérénité.

    ***

    « -Tu sais très bien que ça ne pouvait pas coller entre nous... J'ai passer de bons moments avec toi vraiment, mais de toute façon cela était voué à l'échec, tu le savais. Alors lâche moi la grappe maintenant, retourne jouer dans ton bac à sable, Flora. », observant quelques minutes encore la brunette qui se tenait face à moi, qui pleurait toutes les larmes et même plus encore, je lui lançais un dernier regard pleins dégouts, un sourire moqueur et malsain sur les lèvres, pour enfin tourner les talons et m'éloigner... J'avais finis de jouer avec, je l'a jetais maintenant, comme une vulgaire chaussette, sans importance maintenant, c'était aussi simple que ça. Mon jouet. Toujours l'air digne, et très fier dans le moindre de mes gestes. Ce qui venait de se passer je venais déjà de l'oublier, un sourire satisfait sur les lèvres, près dors et déjà à repérer ma nouvelle proie... Euh pardon, disons conquête, c'était peut-être un peu plus à leur avantage? On ne pouvait pas non plus dire que j'étais un « mangeur de femme », mais c'était tout comme. Les jeunes femmes, je les collectionnais: Sophie, Marguerite, Clara, Mélina, Sandra, Sarah, Marie, Lucie, Blandine, Noémie, Manon, Juliette, Aurore, Océane, Flora... Et tant d'autre encore que pour certaine j'en avais déjà oublié le prénom. Ces filles, pour moi n'avaient aucune importance, elles existaient juste pour mon petit plaisir personnel, pour me faire plaisir, ce qu'elles étaient Elle, ne m'intéressais pas. On me dirait sal*p? C'est ce que j'étais au fond et je le vivais parfaitement bien, qui irait dire le contraire? Ce que j'avais compris avec le temps, c'était qu'il ne fallait jamais vivre au dépend des autres car on était forcément déçue un jour, compter sur les autres étaient donc inutiles, car il y aurait forcément l'un de deux qui se servirait de l'autre. En l'occurrence, j'étais celui qui se servait des autres. S'il m'étais arrivé d'éprouver de la culpabilité pour ce que je faisais? Peut-être un peu, plus pour la réputation que je rejetais en conséquence de mes actes en vérité, mais pour ces filles... Elles savaient sur quel chemin elles s'étaient avancées, elles n'étaient pas sans ignoré de la fin de cette idylle qu'il y aurait entre nous: brutal, dur et sans pitié.

    J'avais été si déçu dans mon enfance, lorsque mon père avait quitté la maison. Moi qui avais toujours compter sur lui, je pensais dur comme fer qu'il aurait toujours été là pour moi et maman. Et bien non, lorsque j'avais six ans, un beau jour pendant que nous dînions, il avait expliqué ça cash, qu'il s'en allait, qu'il quittait la maison le soir même, ayant déjà préparer sa valise qui était dans l'entrée. Pourquoi était-il partit? Il avait sans doute trouver l'homme de ménage plus intéressant que nous, oui. Suite à ça, je me suis rendu compte à quel point il était difficile de faire confiance à quelqu'un, d'ailleurs je n'accorda plus jamais ma confiance à quiconque, hormis ma mère qui elle avait toujours, vraiment toujours été pour moi, et ma meilleure amie Margot, une petite brunette au caractère de chien que j'aimais beaucoup, vraiment. Elle était comme ma petite sœur pour moi, nous nous connaissons depuis tant d'année maintenant, je me demande même si je ne l'ai pas toujours connu, en fait. Dans une vie antérieure? Qui sait... Je ne suis pas très superstitieux, mais je suis plutôt influençable lorsque les arguments tiennent la route, or là, Margot avait su me sortir une théorie sur le sujet qui tenait parfaitement bien la route. Je m'étais laisser séduire par ses histoires farfelues.

    Vagabondant des les petites ruelles de Paris, j'étais fatigué et surtout las de cette monotonie qui s'installait dans ma vie. Besoin de changement, sans doute.. Pourtant j'ignorais comment apporter un peu de piment à ma vie... De débauche déjà remplis d'expérience inédits et incroyable pour un garçon de mon âge. J'ai tout vu, tout goûté, tout touché... La vie n'avait plus de secret pour moi à Paris, c'est du moins ce que j'osais penser... J'avais seulement oublier une chose, de murir? En effet, je venais tout juste de quitter Flora, sur cette terrasse de café parisien, comme je l'avais fais pour les quinze dernières filles, de façon totalement ridicule, sans réel argument qui en valent le coup, sans raison particulière... Je refusais de grandir, de m'engager dans quelque chose de sérieux, c'était bien ça le problème. Vivre au dépend de ma mère était tellement plus simple, faire le gamin était encore plus simple! D'ailleurs, ce mot « grandir », je l'avais exclu de mon vocabulaire, comme tout les mots que je n'aimais pas entendre dans la bouche de mes proches. Déambulant dans les rues, silencieux... Je m'éprenais à me laisser à mes rêveries... Mon rêve Américain.


    ***

    L'obscurité dans la pièce était complète, de toute évidence, la nuit était tombée depuis longtemps, aucune lumière ne parvenait jusqu'à la fenêtre de ma chambre. Demain serait pour moi un grand jour certes. Allongé sur mon lit, les yeux mi-clos j'étais pensif, plonger dans mes pensées. Demain lorsque je quitterais l'appartement du pleins Paris, ce serait pour la dernière fois avant... Avant bien longtemps. Cette nuit là en effet, était la dernière que je passerais, car demain je partirais. Go les States, le rêve de ma vie, j'avais toujours désirer étudier là bas... En quelques sorte cela était un prétexte pour que ma mère accepte de me laisser partir dans une ville telle que New York. Elle savait que ce jour viendra, l'ayant jusque là toujours su le repousser en acceptant de me laisser sortir quand bon me semblait, elle avait même appris à accepter le fait que je ramène chaque soir une nouvelle fille dans mon lit... Elle avait su faire preuve d'une telle patience, et de beaucoup de tolérance pour me garder toujours auprès d'elle... Seulement il était arrivé le temps de voler enfin de mes propres ailes. J'étais apte à prendre mon envol depuis plusieurs années déjà, mais le cocon familial était plutôt pas mal, la vie était tranquille. New York, c'était mon rêve de toujours, et je me voyais vraiment mal emmener avec moi ma mère hein. J'aurais ma petite vie là bas, tranquille, à l'abri de toute danger, de manque par le soutien financier de ma mère, et cela me changerait de ma capitale Française adorée. New York, mon rêve Américain.

    Le silence était le plus total, en même temps j'ignorais l'heure qu'il était, mais il me semblait que l'heure du repas remontait à.. des siècles. Ouvrant les yeux plus grand, je tentais de lire l'heure sur le réveil posé sur ma table de chevet. Quatre heure et demi du matin, pas étonnant que tout soit si silencieux. Il ne restait plus que quelques heures maintenant avant de plier définitivement bagage et quitter l'appartement. J'avais la boule au ventre, l'appréhension mêlé à l'excitation. N'étant pourtant pas du genre très nostalgique, ça me faisait de la peine d'imaginer devoir quitter cette appartement où j'avais toujours vécu... Tant d'histoire, de petites anecdote à laisser derrière soit, dur. Mais il le fallait bien, et très vite cette peine s'envolerait pour faire place au bonheur complet. Fixant silencieux le plafond, en me remémorant tout ces bons moments que j'avais passer ici à Paris avec mes potes, c'était l'heure de faire de bilan. Ce que toutes ces années m'avait apporté.... Euhm.... de l'expérience? Dans le domaine du sexe, j'étais une vrai bête. Niveau maturité? Margot était bien là pour remettre les pendules à l'heure, le sexe n'était pas une preuve de maturité, et d'après elle j'étais encore loin du compte. Ce que j'avais appris alors durant toute ses années, auprès de mes potes? L'amitié, je vivais une seule et grande, même indestructible amitié, c'était avec Margot. C'était la seule fille à qui j'osais tout confier, tout raconter, mes angoisses, mes craintes vis à vis de l'avenir, mes grands moments de bonheur c'était avec elle que je les partageais toujours. Je partageais vraiment tout avec elle. En fait, elle avait été ma confidente depuis toujours, comme je l'avais été pour elle, son confident. L'amour? C'est quoi ça... Je connais pas. Tabou. La seule chose donc que je regretterais en quittant Paris donc... Margot. Ça se résumait réellement qu'en un seul mot, un seul prénom: Margot. Je n'étais pas non plus très sensible, mais c'était difficile d'ignorer la tristesse qui m'envahissait. L'a laisser derrière moi.. C'était dur et sans elle, je me sentirais tout simplement perdu. C'était comme m'envoyer dans le vide sans... Sans corde de soutien. Un plongeon dans le vide sans mon soutien, ma Margot. Un plongeon vers l'inconnu, exactement... Étrangement, moi qui aimait découvrir de nouvelle chose, je n'étais plus vraiment curieux de voir comment serait ce « plongeon »... J'avais peur maintenant, peur de regretter un peu de m'envoler loin d'ici. Une larme coula sur ma joue alors... Moi qui était si sûr d'ordinaire, je voyais ma confiance en moi me laisser totalement tomber à ce moment là.. La honte total. J'étais fatigué de me prendre tant la tête... C'était pour cela, j'étais juste.... Fatigué...

    ***

    « -Tom..? Réveil toi mon petit Thomas chéri », un baiser malicieux posé sur le coin de mes lèvres et je m'éveiller aussitôt, je m'étais de suite redresser, assis maintenant sur mon lit... Les yeux par contre encore fermés. Je l'entendis rire, de son beau rire agréable à l'oreille. Je souris alors à mon tour, en ouvrant lentement les yeux, la lumière du jour agressait mes pauvres petits yeux à peine réveillés. « -Je pense qu'il va falloir que tu te presse un peu, l'avion ne t'attendra pas, file donc à la douche! Aller! ». Sans dire un mot, tout sourire je m'exécutais. C'était elle me qui faisait me rendre compte ce que c'était que l'amitié, une fille qui s'était forcé à se lever tôt pour dire un dernier au revoir.. Ma douche fut la plus rapide que j'eus pris depuis toujours! L'heure approchait certes, mais maintenant que Margot était là pour me rassurer et me convaincre que tout irait bien là bas à New York.

    Cinq minutes tout juste après, je revenais dans ma chambre où je vis Margot assise sur mon lit un petit paquet entre ses mains. Son visage avait perdu de sa superbe et son regard ne pétillaient plus autant, le temps de reposer mes derniers vêtements dans ma valise, elle me tendit le paquet. Je m'approchais d'elle, saisit le cadeau et le déballait: « -Ce n'est pas grand chose, c'est fait de mes petites mains. Je voulais être sûre que tu ne m'oublierais pas quand tu seras là bas avec tes Amerloque! Une photo de nous deux, pour que jamais tu n'oublies que nous sommes les meilleurs amis du monde hein.. », au fur et à mesure de ses paroles, je vis quelques larmes qui perlèrent son visage... Elle pleurait, tandis que moi j'observais la photo d'elle et moi, dans les bras l'un de l'autre. La photo elle l'avait prise elle même à bout de bras, elle n'était pas si vieille et franchement très réussis et belle. Jamais je ne l'oublierais Margot, jamais. « -Tu sais, tu auras toujours ta place dans mon cœur Tom, tu vas... tellement me manquer. Je t'aime trop sale gosse... Je veux pas que tu partes. », elle me sauta alors au cou, en reniflant. Je l'a serrais contre moi... Bordel, dur d'être fort et de ne pas faire la madeleine. Mais pour elle, j'étais fort, il ne fallait pas craquer, cela la rendrait encore plus triste surement: « -Margote, je ne t'oublierais pas... Tu m'as fais trop souffrir pour que je t'oublie si vite, méchante... Je t'aime, et ne t'inquiète pas pour ça, tu auras toujours ta place dans mon cœur à moi. D'ailleurs... », relâchant son étreinte, je détachais ma gourmette en argent que je portais au poignet sur laquelle était écrit mon prénom: Alexandre, pour la tendre à mon amie: « -Puisque je compte bien revenir te pourrir la vie ici, je veux que tu l'as garde, pour que jamais tu m'oublies, d'accord? », le visage de Margot alors s'illumina malgré les larmes qui coulaient encore.. étrange d'ailleurs, je l'a vis alors détacher sa petite chaine en or qu'elle portait au cou avec la lettre M comme pendentif et ensuite me l'a passer au cou: « -On fait un troc dans ce cas, ne l'abime pas hein... Je préfère l'a savoir avec toi, pour que tu ne m'oublies encore moins! Je t'aime Thomas.. », elle passait ses bras autour de moi, posant sa tête contre mon torse, moi la serrant contre moi dans mes bras, je lui chuchotais alors une chose que je ne réservais à personne d'autre qu'aux deux femmes de ma vie, deux mots très fort qui voulait dire beaucoup pour moi: « -Je t'aime aussi Margot.. ».

    ***

    Un nouveau monde, une nouvelle vie... Tout recommençait, je repartais de zéro. De nouveaux lieux, de nouvelles personnes... Il fallait tout refaire... Et surtout savoir se reconstruire. Assis dans mon fauteuil, l'avion était blindé, prêt à décoller... D'ailleurs je le sentais s'avancer sur la piste de décollage. Toutes mes appréhensions s'étaient envolés depuis que j'avais revu Margot ce matin. J'étais prêt. NY, me voilà... Souriant, l'air très serein et sûr de moi, confiant, je posais ma tête dans le fauteuil... Tant que Margot était avec moi par son bijou qu'elle m'avait donné, tout irait très, très bien.

    Je m'appelle Thomas Kerner, je suis fils unique héritier d'une grande famille de noble, petit garçon pourri gâté par ma mère. Je vis en pleins cœur de Manhattan. Vous me croyez? Vous devriez...


Signe(s) particulier(s) :
    Un tatouage très discret qu'on ne remarque quasiment jamais, un M et un T entrelacé gravé sur mon omoplate droit, signe de mon amitié éternel avec Margot. Il date seulement de quelques jours d'ailleurs, un de nos délires de jeunes décadents, atteint profondément par l'alcool durant une de nos journées, nous eurent l'idée de nous prouver notre amitié. Elle porte le même tatouage, gravé par contre dans le bas de son dos.

Orientation Sexuelle :
    Hétérosexuel, je n'ai jamais aimer autre "chose" que les filles. J'aime les femmes, les femmes et encore les femmes. Pour leur beauté... Et la douceur de leurs lèvres... Et.. Bref. Je n'ai cependant aucun préjugé, il m'est bien arrivé d'embrasser durant une soirée, pour le délire, un homme, mais sans éprouvé de plaisir. J'ai des amis homosexuel et je les apprécie beaucoup. A bas les préjugés!

Citation favorite :
    « On a Qu'une Seule Vie ... Profitons - En ! »

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Prénom : Louis
Âge : 17 ans =)
Comment as-tu connu ce forum ? : Par les top sites
Ton avis (design, contexte, ...) : l'idée de pouvoir réaliser tout les rêves de nos perso' est amusante, et puis le design rien à redire, il pète! Un grand bravo.
Présence sur le forum : régulière
Autre(s) compte(s) : aucun, c'est mon premier
Exemple de RP :
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Code du règlement :
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[ Thomas Kerner, the French ! ]  [MODO] Drew6xt3



Dernière édition par Thomas Kerner le Sam 6 Fév - 21:09, édité 5 fois
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MessageSujet: Re: [ Thomas Kerner, the French ! ] [MODO] [ Thomas Kerner, the French ! ]  [MODO] EmptySam 6 Fév - 18:43

Bienvenue ici ^^
J'édite ton code ; bonne continuation Wink
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MessageSujet: Re: [ Thomas Kerner, the French ! ] [MODO] [ Thomas Kerner, the French ! ]  [MODO] EmptySam 6 Fév - 19:22

    Bienvenue ! Very Happy
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MessageSujet: Re: [ Thomas Kerner, the French ! ] [MODO] [ Thomas Kerner, the French ! ]  [MODO] EmptySam 6 Fév - 19:41

Bienvenue !
Bon courage pour ta fiche Very Happy
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MessageSujet: Re: [ Thomas Kerner, the French ! ] [MODO] [ Thomas Kerner, the French ! ]  [MODO] EmptySam 6 Fév - 20:45

Bienvenue! Smile
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MessageSujet: Re: [ Thomas Kerner, the French ! ] [MODO] [ Thomas Kerner, the French ! ]  [MODO] EmptySam 6 Fév - 21:03

    Merci à Tous
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MessageSujet: Re: [ Thomas Kerner, the French ! ] [MODO] [ Thomas Kerner, the French ! ]  [MODO] EmptySam 6 Fév - 22:26

Binvenue ! Smile
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MessageSujet: Re: [ Thomas Kerner, the French ! ] [MODO] [ Thomas Kerner, the French ! ]  [MODO] EmptySam 6 Fév - 22:47

Validé (:
N'oublie pas de voter pour NYCL sur les top sites & un système de parrainage a été mit en place pour faciliter l'intégration pour plus d'infos' n'hésite pas à me Mpotter Wink
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