Sujet: Jimmy - Was it real ? {U.c} Dim 14 Fév - 1:16
« Jimmy Samuel Stanson » Feat. Thomas Dekker
Âge : 20 ans Date & Lieu de naissance : Arizona, 13 mai 1989. Groupe : Rebels. UFR : - UFR 1 - Lettres, arts, philosophie, journalisme Étude : Arts Plastiques Prédéfini ou Inventé : Inventé.
Sweet about me :
« MORE ABOUT MY PERFECTION »
Physique & Style :
Jimmy c'est un peu le type qui se fout complètement de son apparence. Pas qu'il prend pas soin de lui, ça serait mentir, mais disons qu'il ne porte aucune importance au style vestimentaire, à la coiffure ou même à la mode. Il a son propre style, même si il aime parfois se fondre dans la masse, il est du genre à vouloir être à part tout en voulant faire comme tout le monde. De part son physique, on le met directement dans la case du mec mal dans sa peau, qui fait rien pour s'arranger. Son éternel air je m'en foutiste plaqué sur le visage à tendance à repousser les tentatives sociables des autres. Pourtant, on dit qu'il faut pas se fier à l'apparence. Chez Jimmy, ça serait le contraire. On peut dire qu'il a vraiment la gueule du mec qui a souffert en silence toute sa vie et qui se retient encore de pas crier de rage. Sans mentir, il à l'apparence du mec posé qui se cantonne à sa routine sans chercher les embrouilles ailleurs. Faut dire qu'avec son regard assez fermé et son air à la caliméro on comprend vite que c'est pas vraiment un rigolo, sauf quand il sourit. C'est pas un musclé, d'ailleurs il a jamais voulu en être un, il trouve ça laid un mec qui abuse trop sur l'haltérophilie ou les produits dopant. Il est pas musclé, mais c'est pas pour ça qu'il sait pas se battre. Il a la peau plutôt pâle pour un type de l'Arizona, mais ça c'est en rapport avec son histoire. Le truc avec lui, c'est qu'il cache tellement bien ses émotions sous un air angélique qu'on lui donnerait le bon dieu sans confession. Ses yeux bleus ont tendance à attendrir les gens, et son air encore gamin, même si la dureté qui marque ses traits prouve le contraire. Il a les cheveux mi-longs, lisse dont il prend pas vraiment soin, à part le shampooing le soir. Il exècre le gel, ça pue et ça colle, et déteste perdre son temps à coiffer sa tignasse. De toute manière, ses cheveux sont tellement fins et lisse qu'il a pas besoin de glisser un peigne dedans. Il est grand, mais pas si grand, un bon mètre quatre-vingt mais il est pas très costaud. N'empêche qu'il faut pas se fier à son manque de muscle, il sait doser sa force. Il met toujours des pantalons style "j'ai chier dedans" mais des t-shirt assez serré, quoique pas au point d'étouffer hein. Il a toujours son blouson sacré sur les épaules, une sorte de vêtement fétiche dont il a du mal à se séparer. Autour de son pendent deux chaînes. L'une avec une croix, l'autre qui est un pendentif qui renferme une photo de sa soeur et sa mère. Ça c'est sacré, y toucher c'est blasphémer et s'attirer la foudre de Jimmy.
Caractère :
On peut pas dire que Jimmy soit vraiment du genre compliqué, ça serait même tout l'inverse. C'est juste le mec qui se fout un peu de tout mais qui reste disponible l'air de rien. C'est le genre capable de vous sauver la vie et de transformer ça en banalité affligeante, d'un haussement d'épaule. Pas moralisateur pour un sou, il considère que nos erreurs nous construisent, alors commet toutes les erreurs que tu veux, tant que t'en retiens les leçons. En revanche, si vous faites des erreurs, évitez de le mettre dedans, c'est pas qu'il aime pas avoir des ennuis, mais si il peut l'éviter, il dit pas non. C'est un peu un anarchiste en puissance, disons qu'il dirait pas non si on donnait le droit de vote à des pingouins. Bon, c'est exagéré, mais c'est pour donner une idée du bonhomme. C'est le genre qui ferait tout pour embêter le monde et les politiques, ou simplement le directeur de son nouvel établissement. L'air de rien, c'est un bad boy, mais l'air de rien hein. Juste qu'il se fume deux trois pétards en cachette pour se donner du courage, ou juste chercher dame Inspiration quand il doit pondre un dessin pour les cours. Néanmoins, il est assidu le bonhomme, il ne rate pas les cours, du moins pas ceux qui l'intéressent et il suit un minimum. Le truc, c'est qu'il a une mémoire visuel et auditive, du coup, il a tendance à reposer son assiduité là-dessus. Je dirais pas que c'est un génie, ça serait trop gros, et puis ça collerait pas avec Monsieur, mais il est pas bête, c'est juste qu'il s'en fout un peu. En revanche, il prend l'amitié très au sérieux, pour lui c'est un moyen de combattre la solitude et comme il aime pas tellement la solitude, il traîne avec des potes. Jimmy c'est pas le genre à laisser tomber quelqu'un, ami ou ennemi, si on a des problèmes il intervient qu'on veuille ou qu'on veuille pas. Il donne, d'ailleurs, plus d'importance à l'amitié qu'à l'amour qui est quelque chose de trop abstrait pour lui, de toute manière il préfère le dessin aux filles. Il est pas gay, c'est juste que parfois, les filles ça le gonfle. Il y comprend rien en plus, alors ça aide pas. Malgré tout ça, c'est un petit comique, très doué dans l'auto-dérision et qui aime bien se moquer des autres mais gentiment. Du style imiter quelqu'un en l'exagérant, rien de bien méchant. Il n'aime pas les blagues de mauvais goût puisqu'il à tendance à partir au quart de tour. Pour dire ce qu'il est, il a le sang chaud, voir même bouillant. Mais il se soigne, avec ses joints, ça détend. Par contre, ça reste le genre mal dans sa peau, qui a tendance à se taire, mais pour mieux écouter et observer les autres. Chercher les détails minime que les autres ne voient pas, ça c'est son truc à lui. Il est même plutôt doué dans l'observation et arrive à savoir quand quelqu'un ment, par rapport au regard, quelque chose dans la lueur du regard qui change quand une personne ment. C'est peut être pour ça qu'il est doué dans les portraits, parce qu'il arrive à capter l'essence des choses. C'est un sensible qui se cache sous ses airs de mec qui se fout de tout. C'est bien ça qu'il considère comme son plus gros défauts, son empathie le rend malade. Faut dire, que c'est agaçant à la longue d'être aussi sensible aux émotions des autres.
Signe(s) particulier(s) :
Quand il était petit, c'était un vrai casse-cou, ainsi, il a gardé quelques souvenirs de son enfance turbulente. Quelques petites cicatrices de-ci, de-là, rien qui attire réellement l'oeil tant c'est petit. A part peut être sa cicatrice au-dessus du sourcil, dernière marque du conflit avec son père. Et comme il aime bien faire chier son paternel - faut dire ce qu'il est - il s'est fait tatoué sur l'avant bras un symbole "peace & love" de sa période "sex & rock'n'roll". Il en possède un second sur l'omoplate qui représente un dragon, surtout pour couvrir des petites cicatrices vraiment pas belles et le petit dernier, un petit flacon entouré d'un serpent sur l'intérieur du poignet gauche, un truc pas très gros qui attire pas vraiment l'oeil.
Orientation Sexuelle :
Monsieur aime les filles, même si elles l'agacent un peu. Il a déjà embrassé un garçon, quand il avait seize ans, mais c'était juste pour voir ce que ça faisait. C'était quand il était dans sa période crise d'adolescence, qu'il savait pas trop à qui s'identifier ni qui il était. Ça lui a passé, maintenant c'est les filles, les femmes .. Même si en ce moment c'est plutôt le dessin.
Citation favorite :
« Ne fais pas à autrui ce que tu n'aimerais pas qu'on te fasse. »
« BEHIND THE COMPUTER »
Prénom : Pow Âge : 19 ans Comment as-tu connu ce forum ? : top-site Ton avis (design, contexte, ...) : J'aime bien, c'est agréable. Présence sur le forum : j'suis en vacance donc 7j/7. Autre(s) compte(s) : Nope. Exemple de RP :
Spoiler:
La vérité. De nos jours, c'était devenue une quête, un besoin irrépressible à laquelle l'humanité semblait attaché. D'où était venu ce besoin de toujours vouloir savoir, de toujours garder une poigne de fer sur les événements. Contrôler par le savoir, guidé par la vérité. Il semblait qu'il s'agissait là d'une maladie incurable dont souffrait l'humain, particulièrement celui de la nouvelle génération. Ne comprenaient ils pas que la connaissance était aussi blessante et dangereuse qu'une arme blanche. Saigné à blanc par la vérité, Caesar avait toujours préféré le mensonge au reste. De toute manière, à quoi aurait servi la vérité dans sa vie ? L'aurait elle rendu meilleur ? C'était utopiste que de croire ça, et idiot d'y penser. La vérité avait ce don de le blesser un peu plus, de le détruire. Il était une page blanche sur laquelle s'alignait des ratures, des ébauches de vérités réduites au silence par un trait gras en travers. Sa vie n'était plus régie que par le mensonge. Tout en lui n'était que mensonge. Son apparence parfaite n'était là que pour tromper l'oeil, son expression neutre habituelle n'était là que pour forcer les autres à baisser leur garde, pour mieux s'immiscer dans leur vie et se jouer d'eux. Et puis, il s'y était fait, il s'était habitué à se bercer d'illusion, à se noyer dans le mensonge qui servait de fondation à sa vie. Après tout, son histoire était basé sur les secrets, les mensonges, la douleur, la cruauté. Il n'avait fait que se nourrir des rancoeurs de son entourage pour se forger sa force de caractère. Il n'était plus que le résultat du brouillon de vie des autres. Et voilà qu'elle se glissait sur sa route, et l'empêchait de continuer son chemin comme il l'avait commencer. Il avait suffit que ses grands yeux bleus le fixe pour que le temps se fige, qu'il mette ses valeurs de côtés. Si il la détestait, c'était simplement parce qu'elle le forçait à admettre cette même vérité qu'il désirait ignorer. C'était inacceptable d'admettre qu'une simple effluve pouvait le renvoyer à de furtives visions d'elle. Comment avouer qu'un simple son arrivait automatiquement à le séduire, le poussant à chercher à reconnaître sa voix. Il fallait être fou pour s'avouer qu'elle était différente des autres, alors qu'elle était d'une banalité agaçante. Mais c'était peut être sa simplicité qui la rendait à part, qui faisait d'elle cette exception qui le rendait amer envers les autres. Mais le plus difficile, était sans doute d'avouer qu'il était aussi humain qu'un autre. Que ses sentiments continuaient de le contrôler avec cette même force. Quel étouffement que de devoir combattre ses envies, céder à ses désirs avec d'autres pour ne pas perdre ce qu'il possédait avec elle. Car oui, elle était unique. Unique en ce sens qu'il ne partageait rien avec elle et que pourtant, il lui semblait qu'elle possédait tout de lui. Unique dans le sens ou il ne serait plus permis de la toucher plus qu'il n'avait une la chance de le faire. Le simple fait d'avoir droit à un sourire le satisfaisait. Après tout, il devait être masochiste pour adorer le venin de sa passion, pour elle, qui coulait dans ses veines pour s'encrer dans son coeur, quitte à pomper toute sa vitalité, simplement pour laisser toute la place nécessaire à cette addiction, pour qu'elle puisse prendre plus d'ampleur à chaque regards qu'ils échangeaient. Et pourtant, elle représentait tout ce qu'il détestait. Ses cheveux blonds de poupées, son visage en porcelaine, cet air sensible qui défigurait ses traits en une expression de douceur infernale. Cette voix mélodieuse qui lui donnait la nausée autant qu'elle le charmait. Mais c'était bien ça le problème, elle l'attirait. Et même si cette sensation sucrée aux élans amer le séduisait, il la haïssait un peu plus pour tout ce qu'elle faisait naître en lui. Face à elle, Caesar regrettait d'être aussi passif, de se montrer aussi fermé de peur de faire face au peu de réceptivité dont K. faisait preuve face à lui. Et puis, il n'allait pas de rabaisser à lui faire part de ce qu'il pensait réellement d'elle, risquer de tout foutre en l'air. Risquer de détruire ce qu'ils avaient bâti, à mettre en marche sans pour autant se montrer proche l'un de l'autre. C'était irrémédiable, il la voulait elle, avec ses défauts de fabrication, ses qualités. Il ne voulait pas d'imitation, pas de pâle copie. Elle, juste elle. Sans doute aurait il été capable de se débarrasser de toutes les autres, simplement pour un instant avec elle. Entrer au couvent ? Pourquoi pas, si elle lui offrait un simple baiser en récompense. Et pourtant, il aurait adoré s'arracher le coeur, s'ôter ces sentiments, ces émotions qui le rendaient aussi malade. Devenir une coquille vide ne l'aurait en rien effrayé, au contraire, cela aurait eu un air de paradis où il aurait été libéré des chaînes qui l'emprisonnaient dans ce corps aux sentiments trop acides. L'amour rendait faible, l'obsession rendait fou, la passion détruisait. Voilà ce que lui avait souvent répété son grand-père quand il revenait, petit, le coeur brisait par son amoureuse de classe. Alors il avait obéit, il s'était fait à l'idée de ne plus rien ressentir, de devenir une coquille vide. Et voilà que Konstantine détruisait des années de dures labeurs avec ses grands yeux clairs et ses sourires fruités. Alors autant se mentir, autant continuer de croire qu'il la détestait, qu'elle n'était que l'ennemie dont il devait se détacher. Pourtant, chaque fois qu'il l'ignorait, il lui semblait qu'il lui manquait quelque chose. Ainsi, Caesar avait laissé les symptômes prendre de l'importance, de l'attirance il était passé à la passion. Car c'était bien ça le problème, elle le passionnait. C'était une des raisons pour lesquels il s'enfermait dans un roman ou se consigné dans une salle de musique, un piano sous les doigts. Quelle meilleure façon de s'exorciser qu'en jouant les sentiments qu'on s'interdisait de ressentir. Les notes de musique ne faisaient rien d'autre qu'exprimer le fond de sa pensée, elles ne répondaient pas à ses déclarations, elles se contentaient de leur donner une forme. Si il y avait une façon de savoir si il possédait une âme, c'était de l'écouter jouer. Dans ces moments, il semblait si humain, si sensible que cela pouvait perturber le plus fort mentalement. En revanche, il méprisait la magie autant qu'il appréciait l'utiliser. D'une part parce qu'elle lui permettait parfois de cacher certaines choses, d'autre part parce qu'il y avait certaine façon d'utiliser la magie qui effrayait Caesar. Imaginait si une idiote s'amusait à lui faire boire une potion d'amour à son insu. Il aurait été beau le Fitzgerald à s'enticher d'une idiote sans qualités pour elle. Cette idée saugrenue lui arracha un frisson qu'il réussit à dissimuler, sans difficultés. Son regard passa de la branche au visage de la Sadikov et il se permit, l'espace de quelques minutes, de la dévisager, sans sourire. Baissant légèrement le menton, il fixa la jeune fille et l'image floue d'un baiser lui parvint, comme un souvenir qui tenterait de s'échapper sans succès. La sensation de ses lèvres douces contre les siennes restèrent marqué en lui, tout comme la sensation de son corps plaqué contre le sien. Une chose surprenante lui revint alors, il s'était montré plus doux qu'à l'accoutumé, s'était fait plus tendre qu'à son habitude. Ainsi, il l'avait déjà dans la peau avant même de la toucher. Par Merlin, quelle était donc cette déficience mentale et sentimentale dont il souffrait. Caesar K. Fitzgerald, touché sentimentalement - pour ne pas dire amoureux, par crainte de ne subir le courroux de l'héritier - par Konstantine ?! Manipuler les mots avec autant de douceur ne la rendait que plus séduisante, que plus à part. Cela ne la rendait que plus dangereuse pour sa santé mentale, pour sa sauvegarde. Il avait tellement de temps avant de s'amouracher de quelqu'un, tellement le temps de s'amuser avant d'apprendre à devenir sérieux. Pourtant, il n'aurait pas refuser que Konstantine lui apprenne la fidélité et la faculté de penser en "nous" et non en "je" en permanence. Quelle sensation était-ce de prendre soin de l'autre ? Quelle sensation était-ce que de se sentir aimé et important pour quelqu'un ? C'était idiot de ne pas savoir répondre à ça, quand la plupart des gens de son âges avaient déjà coûté à cet alcool. Il voulait ses mots, il voulait sa peau.
« Pour apprécier les bons moments, il faut en passer des mauvais. Pour apprécier ses amis, il faut fréquenter ses ennemis. Lorsque l’on est au paradis, l’enfer est toujours plus près que l’on pense. Et pour accéder au plaisir, souffrir est parfois indispensable … »
Son regard corbeau se posa sur elle, laissant doucement les mots couler dans ses veines. Lui, aurait simplement résumé que pour guérir, il avait besoin d'être blessé. Elle était ce poison dont il avait besoin, pour aller chercher le remède dans ses bras. Par Merlin, il en aurait vomi ces idioties à l'eau de rose sur ses souliers. Étonnamment, Caesar ne répondit rien à cette réflexion, se contenta de resserrer sa main sur son livre, l'autre posait sur une branche, toujours appuyé contre l'arbre. Il s'humecta les lèvres, gardant le silence, serrant les dents tandis qu'elle se permettait enfin une question somme toute banale, qui pourtant donnait une tournure différente à leur conversation aux accents de combats culturels. Levant le bras, il tourna l'ouvrage de façon à observer la couverture verte, façon de reconnaître aisément l'édition anglaise. Le regard toujours posé sur les lettres qui s'aligner en un titre, il lâcha finalement, comme si on l'y avait forcé.
« Le Portrait de Dorian Gray, d'Oscar Wilde. Alors penses tu que tu viens de me sauver de l'ennui, ou de m'empêcher de savourer l'oeuvre d'une vie. » S'amusa t il à répéter d'un ton toujours aussi doux. « Un auteur qui prouve que bien qu'il soit moldu, il sait se montrer à part par son talent d'écrivain. » La rancoeur de Caesar pour les moldus n'étaient pas un secret mais sa passion pour la littérature lui permettait souvent d'ouvrir les yeux et de mettre ses préjugés de côté. Après tout, seuls les idiots ne changeaient pas d'avis.
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Dernière édition par Jimmy S. Stanson le Dim 14 Fév - 16:59, édité 8 fois
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Sujet: Re: Jimmy - Was it real ? {U.c} Dim 14 Fév - 1:16
Histoire :
veuillez écrire à la place de ce texte 15 lignes à propos de l'histoire de votre personnage.
Dernière édition par Jimmy S. Stanson le Dim 14 Fév - 17:00, édité 1 fois
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Sujet: Re: Jimmy - Was it real ? {U.c} Dim 14 Fév - 1:16
+2
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Sujet: Re: Jimmy - Was it real ? {U.c} Dim 14 Fév - 1:21
Bienvenue parmi nous ! Bon courage pour ta fiche !
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Sujet: Re: Jimmy - Was it real ? {U.c} Dim 14 Fév - 2:22
Bienvenue sur le forum !!!
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Sujet: Re: Jimmy - Was it real ? {U.c} Dim 14 Fév - 2:36
Bienvenue !
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Sujet: Re: Jimmy - Was it real ? {U.c} Dim 14 Fév - 5:53
Bienvenue =)
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Sujet: Re: Jimmy - Was it real ? {U.c} Dim 14 Fév - 14:10
Bienvenue à toi!!
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Sujet: Re: Jimmy - Was it real ? {U.c} Dim 14 Fév - 17:49
Merci à tous *-* Quel accueil chaleureux !! Je pense finir ma fiche cet après-midi ( il est actuellement 11h47 chez moi ) ou demain dans la matinée, selon si mes parents me forcent à sortir avec eux pour la st valentin ou non ¬¬ Je m'appelle pas valentin m'enfin bref u.u Si y a déjà des trucs qui vous chiffonnent dans ce que j'ai posté n'hésitez pas à faire des remarques, je rectifierais !!
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Sujet: Re: Jimmy - Was it real ? {U.c}
Jimmy - Was it real ? {U.c}
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