♪ Divine, candide libertine. Ce soir je viens m’inviter dans ton lit.Laissons dormir les maris, allons nous aimer au nez des braves gens. ♪ You're it, You're the ultimate, It's automatic,I'm sure of it. No lie, so don't even try to tell me that you're not the guy because I've been waiting all my life for someone just like you

Il était d'une impatience déconcertante, elle l'avait toujours su. On ne peut pas dire qu'elle lui facilitait vraiment la tâche parce qu'elle adorait se moquer de lui et de son impatience folle, presque aurait il frappé du pied par terre et fait la boude pendant un moment pour qu'elle crache le morceau qu'elle n'aurais pas été surprise d'un poil. Elle donnait un ton mystérieux à ses paroles, employait des mots et une gestuelle telle qu'il puisse se retourner l'esprit complètement afin de trouver ce qu'elle mijote. Dans tous les cas elle avait toujours cet air malicieux, qui signifiait qu'elle préparait quelque chose, et que sa n'était pas toujours bon ou mauvais, tel était la surprise au final. Mais il se jouait d'elle autant qu'elle se jouait de lui, ils se connaissaient tellement bien que chacun exploitait la faiblesse de l'autre, seulement il semblait plus fort qu'elle à ce jeux là, qu'est ce que titiller sa curiosité tandis que lui savait désormais que le seul point faible de la jeune demoiselle, c'était son charme à lui. Il en usait, s'amusait à lui toucher les cuisses, lui dire des mots doux. Elle en aurait presque lâcher son petit secret dans sa totalité sur le coup tellement elle était sous son charme, mais on ne berne pas la Greene de la sorte, ou peut être que si finalement mais bon … pas cette fois ah. ! Il aurais dut le savoir, même si elle devait avouer qu'au jeu du plus fort et du plus résistant, il se débrouillait pas mal.

S'attendait-il toujours à recevoir quelque chose de négatif de sa part ou devenait elle simplement tellement mystérieuse que son attitude reflétait un aspect peu rassurant, qui sait. Mais elle l'aimait tellement que la simple idée qu'elle pouvait le faire souffrir la rendait triste, elle n'aimait pas être ce genre de personne, la fille qu'on devait atteindre si jamais on voulait l'atteindre lui. La simple idée qu'on puisse lui faire du mal, pire qu'elle puisse elle même lui faire du mal sans le vouloir provoquait un goût amer dans sa bouche. De même qu'il était le seul dans l'univers à pouvoir un jour la heurter, la fière Ashley Greene, celle qui personne jusqu'à aujourd'hui n'as jamais réussi à blesser, niveau amour bien entendu, pouvait tomber d'amour pour lui. Déjà qu'elle tombe amoureuse fut un exploit indescriptible, Chace était le seul à pouvoir s'en vanter jusqu'à ce jour, elle plus que les autres en était surprise, mais agréablement surprise. J’en sais rien, mais on ne sait jamais. Vaut mieux prévenir que guérir, non ?! Même si au fond de moi, j’espère que ce n’est pas le cas. Tu sais, il y peut être aucune raison que je connaisse mais peut être qu’il en a une qui m'est inconnue. Puis je ne doute pas de toi, ma chérie. Je me méfie. Est un crime ?. Elle porta sur lui un regard décontenancé, bien que compréhensif, après tout n'avait il pas raison ? Il valait mieux prévenir que guérir comme il le disait, seulement la fin de sa phrase ne plut guère à la Greene qui fronça les sourcils, en fut presque estomaqué sur le coup tellement il sortait ça de nul part, comme si de rien n'était, s'en était limite vexant pour elle. Oui on ne sait jamais... Je ... Quoi ? qu'est-ce que tu racontes ? T'es en train de me dire que je te cache des choses et que tu te méfie de moi. oui c'est un crime, t'es nul. Moi j'te cache rien. Elle se tourna et préféra lui faire la gueule cinq minute, de toute façon tout le monde les regardaient déjà mais elle s'en ficha, elle l'ignora l'espace d'un instant histoire qu'il réalise ces paroles au combien déplacé, ou pas, faut l'avouer elle jouait un peu la chieuse pour le coup, mais dans l'art d'emmerder son prochain elle excellait. Elle fit mine de ne pas lui accorder son attention l'espace de cinq minute, comme si elle boudait carrément, mimant qu'elle lisait une affiche placarder sur un mur, qui était sans importance à ses yeux d'ailleurs. Les bras croisés, elle lui avait même repris sa main la vilaine.

Le choix crucial vint s'imposer à leurs gouts. Soit ils profitaient encore un peu de la soirée organisé pour the stepfather, ou alors ils profitaient l'un de l'autre dans la plus pur des intimités. En même temps elle ne l'avais pas eu pour elle seule depuis des lustres, mais elle lui laissait tous de même le choix de rester avec leurs amis pour un petit moment encore. Dans son esprit, elle voulait rentrer, même si rentrer consister à se poser, du moment qu'ils n'étaient que juste tout les deux sa lui allait. Elle regardait autour d'elle en attendant qu'il se décide, ce qu'il fit à l'instant même ou elle eut finit de formuler sa question. Sa te dis, un bon bain chez moi. On pourrait se détendre tout en profitant l’un de l’autre ? L'idée était alléchante, prendre un bain en compagnie du plus beau était une excellente, elle n'aurais pas pu rivaliser, mieux encore ne pouvais pas refuser. Elle lui adressait un sourire à la fois adorable, à la fois mystérieux, à la fois coquin. Pourquoi pas... si tu arrives jusqu'à la baignoire. Elle lui fit un clin d'oeil, pui lâcha un rire amusée. Finalement ils rentraient et elle ne pouvait qu'être contente, loin de là que la compagnie de leurs amis ne lui plaisaient pas loin de là, mais elle passait tellement peu de temps en sa compagnie qu'à force elle ne désirait plus que de l'avoir pour elle seule lorsqu'elle en avait l'occasion, les autres ils les verraient plus tard. Elle se contenta de lui emboiter le pas pour sortir de hors, mains dans la mains et pris d'assaut par une vingtaine de photographes qui, elle en était sûr, se léchait déjà les babines de pouvoir vendre tels clichés à la presse pour qu'ils soient publiés le lendemain. La vie était faite ainsi pour eux, lorsqu'ils se décidaient à fausser compagnie à leurs amis en plein cocktails, ils se retrouvaient pris d'assaut par le côté un peu mauvais de la célébrité, les papparazzis. Elle se retrouva presque compresser, tellement qu'elle en eu peur de se retrouver écraser par la masse tellement les flash l'aveuglait et qu'elle ne voyait à peine que l'ombre de son amoureux marchant devant elle. Elle se cantonna à lui plus encore, offrant encore de beaux clichés à publiés et se fit de petit pas vers une voiture plus chauffeur qui les attendaient deux mètres plus loin. Puis finalement elle monta dans la voiture, s'assit à côté de Chace et n'eut pas le temps de fermer la portière que la voiture était déjà parti. Elle souffla, presque les pap's auraient il put l'écraser et l'étouffer vivante à en mourir qu'il n'y aurait eu grande différence. Tous des sauvages je te jure... Presque aurait ils réussit à ébranler la coiffure parfaite de la miss greene. Mais enfin elle reprit ses esprit, laissant ses yeux bleu gris se remettre de l'effet flash constant. Je ne sais pas lequel est le pire niveau photographes, toi et moi mains dans la mains ou bien Robert mal coiffé sortant d'un bar. Elle eut un petit rire, sans conteste c'était Robert. A lui seul le pauvre demeurait un vrai phénomène de foire ambulant, le pauvre n'en pouvait plus de sortir et de se retrouver totalement envahis de part en part. Les joies de la célébrités encore. Mais enfin là ne résidais pas l'important, elle était avec son amoureux, il était assis à l'autre bout de la banquette. Elle lui adressa un sourire et alla se blottir contre lui, en fourrant son nez dans son cou pour respirer son parfum, au moins là elle était en sécurité. La voiture roulait, lentement mais roulait pourtant ce qui agissait presque sur elle comme une sorte de berceuse, elle aurait pu s'endormir là, le visage nichée dans l'épaule de son petit ami, et son corps blottit dans son étreinte, elle adorait. Tu sens tellement bon.. Ils étaient bientôt arrivé, elle le sentait et puis cela faisait déjà quelques minutes qu'ils se trouvaient dans la voiture, et il ne fallait pas longtemps de là où ils se trouvaient à la maison meester-crawford. Pour être franche, elle n'aimais pas le nom de cette maison haha, sans déconner, mais n'avais rien a dire au vue de la villa lutz-greene. Le chauffeur arrêta la voiture devant l'accès à la porter, personne à l'horizon.

OKAY BY JUNE