Âge : 18 ans. Date & Lieu de naissance : 22 Juin 1991 ; New York Groupe : Rebels. UFR : UFR 10. Étude : Informatique Prédéfini ou Inventé : PV d'un membre.
Sweet about me :
« MORE ABOUT MY PERFECTION »
Physique & Style :
veuillez écrire à la place de ce texte 8 lignes à propos du physique et du style de votre personnage.
Caractère :
veuillez écrire à la place de ce texte 10 lignes à propos du caractère de votre personnage, parlez également de ses défauts et de ses qualités.
Histoire :
veuillez écrire à la place de ce texte 15 lignes à propos de l'histoire de votre personnage.
Signe(s) particulier(s) :
veuillez écrire à la place de ce texte si votre personnage à des piercings, tatouages ou autre.
Orientation Sexuelle :
Esthell est indéniablement hétérosexuelle. Même si parfois, le comportement des hommes l'insupporte et la dégoute, elle ne peut s'empêcher de les aimer et de les désirer.
Citation favorite :
« L'habitude du désespoir est pire que le désespoir lui-même. » Albert Camus
« BEHIND THE COMPUTER »
Prénom : Alix. Âge : 15 ans. Comment as-tu connu ce forum ? : PRD. Ton avis (design, contexte, ...) : Il est très bien structuré, complet, et par dessus tout, magnifique en tout point, j'adore ♥ Présence sur le forum : 5/7 Autre(s) compte(s) : & Non. Exemple de RP :
Spoiler:
Je marchais au rythme des notes de piano imaginaires. La beauté de cette musique résonnait au fond de moi. La musique de mon enfance. Je revoyais ses doigts, se baladant avec une telle élégance sur les touches blanches. La mélodie m’enivrait et je me replongeais dans ce qui avait été mon enfance. Elle avait un si beau sourire lorsqu’elle jouait. Je la revoyais encore me dire qu’elle m’aimait. Elle l’aimait lui aussi. Mon père. Il me manquait, souvent. La seule chose que je regrettais était de ne pas avoir pu lui dire que je l’aimais. Comment avais-je pu être aussi innocente, pour prendre son dernier sourire comme un simple au revoir ? En réalité, c’était un adieu. J’avais 12 ans, et ma vie s’était écroulée. Les deux hommes de ma vie m’avaient quitté. Ewan, après m’avoir rejeté, après m’avoir fait souffrir, était partit lui aussi. Et cette blessure qui me guette à chaque pensée pour lui, me fait revenir à la réalité. Il faut que je l’oublie à tout jamais. Je l’aimais, ô que je l’aimais. L’amour est traître. Il n’est pas assuré qu’il soit dans les deux sens. Il me méprise, je l’admire. Les liens du sang ne sont rien comparés à l’amour. Alors pourquoi en tenir compte ? Pourquoi en a-t-il tenu compte lui ? Alors pour arrêter de souffrir, vint un moment on doit faire un choix. Il faut faire le bon. J’ai pris l’a décision de ne plus jamais le voir, de ne plus jamais lui parler, de ne plus jamais le toucher. Qu’est ce qui fait le plus mal ? Les nouvelles blessures ou celles qui n’ont jamais été guérîtes ? Mon cœur était écorché, mes blessures portaient son nom.
Je secouais la tête, m’interdisant formellement de repenser à lui. Je me concentrais sur la rue. Quelques personnes marchaient les cheveux dans le vent. Une belle image pourtant vraie. J’observais les gens qui m’entouraient. C’était une belle journée en définitive. Les enfants étaient sortis pour jouer sous le soleil, les couples se baladaient main dans la main. Malgré mon humeur plus que nostalgique, je me convins d’apprécier cette belle après midi. Je remontais la bretelle de mon sac à main sur mon épaule, et accélérais le pas tout en souriant. Peut être était-ce une intuition de sorcière, j’avais une sorte de pressentiment. Je m’arrêtais subitement. Le bruit de mon sac qui venait de tomber sous le choc me laissa indifférente. Je venais de recevoir une décharge en plein cœur. Il était là, à l’autre bout de la rue. Appuyé contre un mur, il regardait l’horizon. La blessure que je m’étais efforcée de refermer durant toutes ces années venait de se ré-ouvrir. Je fus prise soudainement de convulsions. Les coups résonnaient intérieurement. Le temps sembla s’arrêter. Les larmes me montèrent aux yeux, et ma vision se brouilla. Je dus tendre ma main contre le mur pour me retenir de tomber. Cela ne pouvait être lui. Je ne l’avais pas revu depuis des années. Des années que je me privais de le revoir, de penser à lui. Il m’avait trop fait souffrir pour que je lui pardonne. Les larmes que j’avais tant retenues coulèrent. Je me libérais de tout ce poids qui m’avait pesé depuis tant de temps. Je retrouvai la vue et enlevai la main du mur. Je me repris, laissant la colère me submerger. Il était à quelques mètres seulement. En deux enjambées, j’étais à lui.
Je m’étais fait à l’idée de ne plus jamais avoir de frère. Le destin s’était encore une fois opposé à moi. Que fallait-il que je fasse ? Je ne me voyais pas aller lui parler. Il ne le méritait pas. Et fuir ne faisait même pas partit des options. Je l’aurais regretté… Comme pour la seule fois de ma vie, Dieu ne me fit pas choisir. Ewan tourna la tête et croisa mon regard. Je sentis sa frayeur et sa surprise, mais il continua à soutenir le regard. J’étais comme envoûtée, plongée dans ses yeux, j’arrêtai de lui en vouloir. Etrangement. Une confrontation silencieuse. Je repensais aux moments passés ensemble, à une enfance heureuse, jusqu’à la mort de notre père. Je repensais ensuite à la colère qui l’avait submergé lorsqu’il avait su… Je repensais à tout le mal qu’il m’avait fait, toutes ces choses que je me persuadais qu’il n’avait pas pensé en s’adressant à moi. Je repensais à cette certitude que j’avais acquise de ne plus jamais le revoir. Tout s’écroulait, à nouveau. Mes yeux se remplirent de larmes, encore une fois. C’était des larmes de souvenir, des larmes de passé, des larmes qui lui était adressées. Je secouais la tête en guise de négation non-voulue. Je sentis la douleur dans ses yeux malgré la distance. Nous étions face à face, séparés par une demi-dizaine de mètres.
Le temps sembla s’assombrir, et je détournais le regard pour les poser sur le ciel. Les quelques gouttes qui avaient commencé à tomber se transformèrent bien vite en une pluie massive. Le climat avait changé en si peu de temps, ou bien, était-ce moi qui avais perdu toute notion du temps. Je sortis de ma pseudo-transe, et me penchai pour ramasser mon sac. Je me décidai enfin à avancer. Après tout, pourquoi tout remettre en question pour simple excuse, une simple rencontre ? C’est étonnant la coïncidence. Il fait irruption dans ma vie à chaque période où je commence à retrouver un havre de paix. Il ne me gâcherait pas mon bonheur. Pas cette fois-ci. Je m’y refusais. Je n’étais plus qu’à un mètre de lui. Je sentais son regard posé sur moi, et m’efforçais de regarder droit devant. Il ne m'atteindrait pas, j’étais immunisais. C’était mon frère. C’était, seulement. Je passais devant lui, et ne lui jetais aucun regard. Soudain, je sentis mon bras s’accrocher. Je lançais un regard furtif et m’aperçut qu’il me tenait fermement le poignet. Un sentiment étrange m’envahit. Un mélange de colère et de sagesse. Je lui lançais un regard noir, très détaché.
« N’essaie pas de te forcer. C’est trop tard. Et au cas où ce simple geste ne serait en rien un signe de pardon, d’excuse ou d’ordre affectif…
Elle enfonça son regard dans le sien, intensément.
…Tu ne me fais pas peur. »
Malgré tous mes efforts pour avoir un air détaché, je ne pus m’empêcher de poser ma main sur la sienne, pour la lui enlever. Il ne manifesta aucuns signes de résistance, et ne dis mots. La seconde que ma main avait passé à toucher la sienne m’avait parut une éternité. Une éternité que j’aurais aimé prolonger si j’avais écouté mon cœur. Je disparut de son champ de vision, en tourna dans la rue perpendiculaire. J’avais beau me convaincre, me persuader autant que je voulais, il y avait une chose qui avait été remise en question durant ce laps de temps. Je l’aimais. Et malgré tout ce que j’avais pu penser, c’était la réalité. Lorsque notre regard s’était croisé, lorsque sa main avait touché la mienne, lorsque je lui avais dis un tissu de mensonges, je l’aimais. J’en étais sûre, maintenant. Mais lorsqu’un être que vous aimais vous méprise, que faut-il faire ? S’accrocher ou lâcher prise ?
Code du règlement :
Spoiler:
OK by Toffee.
« I'M SO BEAUTIFUL »
Dernière édition par Esthell T. Elwood le Mar 16 Fév - 15:43, édité 7 fois
Bienvenue à toi & bonne continuation pour ta fiche ! Je valide le code du règlement qui est correct, et j'vais en profiter pour arranger la fiche qui bug en même temps. (:
Dernière édition par Christofer J. Green le Mar 16 Fév - 15:03, édité 1 fois
En fait, je voyais le code qui était de 1 cm en largeur et qui descendait sur toute une bonne page. Tout était en longueur. Je crois que je m'exprime mal :S