Âge : 21 ans. Date & Lieu de naissance : 26.09, Garland - Texas. Groupe : Rebels UFR : 5. Étude : Psychologie. Prédéfini ou Inventé : Inventé.
Sweet about me :
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Physique & Style :
Je pense que le mieux pour décrire Aaron, est de vous dire avant toute chose qu'il ne faut pas, ô grand jamais, lui parler de se couper les cheveux, de coiffeur et autres termes dans ce genre... Ce qui est passablement risible lorsqu'on sait, qu'il ne prête aucune attention particulière à sa coupe, il apprécie juste cette longueur, puis ça lui permet de cacher sa cicatrice qui lui barre le côté droit du crâne. Non pas qu'il en soit honteux, mais il n'aime pas parlé de son passé. Enfin, ceci est une autre histoire. Pour en revenir à nos moutons, Brooks a donc adopté un style bien à lui que l'on peut intituler le "coiffé-décoiffé". Prenez deux mains, une noisette de gel et le tour est joué ! Outre sa tête, monsieur est quelqu'un de décontracté, ses tenus vestimentaires reflètent donc cet état d'esprit. T-shirts, chemises, super positions, jeans, converses ou tongs... Le principal est d'être à l'aise dans ce que l'on porte, non ? Il porte aussi des bracelets qui n'ont aucune valeur si ce n'est sentimental, aux poignets, et quelques bagues pour le genre "rockeur". Bien qu'il n'en soit pas vraiment un, mais passons. Vous l'aurez compris, notre Aaron Brooks ne prête pas grande attention à lui, et c'est peut-être ce qui le rend si charismatique : il ne se complique pas la vie.
Caractère :
Aah, le caractère, c'est ce que notre cher ami étudie -plus ou moins - et c'est ce qui peut donc peut-être expliquer, que personne ne peut réellement le décrire. Il joue avec les états émotionnels, ne montrant que rarement ce qu'il est, ce qu'il ressent. Néanmoins, ne croyez pas pour autant qu'il manipule les gens, bien au contraire. Il essaie juste de ne jamais entrer dans le vif du sujet lorsqu'il s'agit de lui par pure protection. Par contre lorsqu'il s'agit des autres, Aaron se dévoue entièrement, à l'écoute de tout le monde, même du pire des individus. Il ne se l'explique pas vraiment d'ailleurs, ce n'est pas de la curiosité, c'est quelque chose de plus naturel, comme boire ou manger, lui, il écoute les autres quand on lui parle. Il enregistre, ne dit pas grand chose, mais n'oublie pas. Le jeune homme observe également beaucoup ce qui l'entoure, pour essayer de comprendre et d'anticiper certaines réactions (ce qui lui a, entre nous, sauvé plusieurs fois la mise.). Le problème dans tout ceci, c'est qu'il aime faire la fête, rencontrer des gens, boire.. Jusque là, rien de grave me direz-vous mais quand il boit, il se met souvent dans des situations délicates. Vous savez, lorsque l'on ne maîtrise plus ce que l'on dit, et que donc un simple "traumatisme d'enfance" dit en toute simplicité et sans méchanceté à un type un peu trop bourru et saoul pour expliquer ceci ou cela, ça peut faire mal. Avec seulement deux verres de trop il peut commencer à psychanaliser les gens à tord, et à vexer... Il n'est donc pas rare de le voir avec un oeil au beurre noir, ou une lèvre éclaté. Pauvre chou. Outre ceci, Brooks ne sait pas comment fonctionne les longues relations, pas qu'il ne veuille pas s'investir avec quelqu'un dans quelque chose de profond, mais il fait souvent des gaffes et finit par tout gâcher en très peu de temps. Il ne se complique pas la vie, vraiment pas, ça peut irriter apparemment. Le désordre le caractérise également, sa chambre de la cité U ne ressemble pas vraiment à une chambre. Peu importe, il n'y passe pas beaucoup de temps de toute manière. Certains disent que la chambre de quelqu'un peut aussi réfléter son esprit. Bien, vous voilà prévenu. Pour résumer Aaron est à l'écoute des autres très observateur mais discret, relax, incapable de gérer ses relations amoureuses et enfin.. Bordélique, que ce soit extérieurement, ou intérieurement.
Histoire :
Les gens ont pas mal de préjugé sur le Texas... Surtout quand il s'agit des conservateurs, des républicains et de la politique de Bush. Préjugés qui s'avèrent être pour la plus part assez proche de la réalité, surtout quand on habite dans une petite ville de l'Etat comme Garland. Avec ses 215 000 habitant, pour la plus part des fermiers cow boys ne vivant que pour l'éternelle samedi soir, le culte du football US. Notre histoire commence donc ici, dans l'une de ces fermes de cet état tantôt aride, tantôt pluvieux. Samuel H. Brooks, père de famille marié depuis ses 16 ans à Lizebeth Clarks de son nom de jeune fille, est l'une des grosses têtes de la ville. Vous savez, élevage de bovins et cowboy dans l'âme, c'est là une véritable petite entreprise qu'il mène. D'ailleurs, notre cher papa fait partie de la communauté la plus importante de la ville puisque chaque décision prise est soumis aux votes de ces hommes. C'est donc en toute logique que celui-ci ait tracé la vie de ses deux jeunes garçons, Aaron et Timothy.
L'histoire pouvait donc être banale, sauf qu'elle ne l'était pas. Quelques mois après sa naissance, la mère du jeune garçon parti après une terrible dispute avec son mari, où elle laissa son fils ainé trop attaché àttaché à son père. Pendant plusieurs années ils vécurent à New York après avoir retouvé une vieille connaissance. Ensemble ils eurent une fille, alors qu'elle était toujours mariée à Samuel, sans qu'elle ne lui dise bien sur... Aaron et Loan étaient très proche, en plus d'être frère et soeur, ils étaient de véritables amis... C'est donc avec beaucoup de chagrin qu'ils firent séparer peu après le dixième anniversaire de la fillette. Son père ayant tout découvert du passé de Lizebeth, refusait de lui parler, de la voir... Après avoir habiter dans un hôtel pendant quelques semaines, la mère se résigna, elle quitta sa fille pour retourner au Texas où Samuel, donnant trop d'importance aux cancans, fit comme si elle n'était pas partie. Ce fut une période alors très difficile pour Aaron qui devait cohabiter avec un père et un frère qu'il n'avait vu que très peu de fois durant les vacances d'été. Il devait aussi supporter le vide, l'absence de sa soeur.
Il avait du apprendre à ne plus avoir peur des chevaux, ce qui n'est franchement pas évident lorsqu'on a 14 ans, que l'on a vécu la majorité de sa vie dans une grande ville et que cet animal vous semble être un géant baveux à grandes dents. Néanmoins il avait quand même réussi à les tolérer, ce qui pour lui était déjà un pas énorme, mais pas suffisant pour papa Brooks. N'est-il pas honteux de ne pas aimer cet animal puissant ?! Tim le prenait souvent en dérision ce qui poussait Aaron à les détester encore plus... Outre ceci, le deuxième garçon de la famille n'était pas franchement branché sport. Ce n'est pas qu'il n'aimait pas ça, c'est juste qu'il n'était pas vraiment bon pour ça... Il préférait concrètement, s'assoir dans les gradins et regarder l'entrainement de cheerleaders. Chacun son truc, non ? Les deux frangins étaient opposés dans tout, Aaron était plutôt bon élève, suffisamment pour espérer un jour aller à l'université, il serait le premier dans la famille à y aller. Il désirait plus que tout quitter cet état, non pas qu'il n'aimait pas ses habitants mais... Ca ne lui correspondait pas, il avait d'autres envies. C'est donc d'abord avec beaucoup de mépris que papa Brooks jugea la décision de son plus jeune fils. Comment pouvait-il songer à quitter les siens alors que les universités d'Austin et de Huston étaient suffisante pour lui... Aaron était bon oui, mais pas une tête non plus. Vous l'aurez compris, le jeune homme n'entrait pas dans les critères de ces clichés texans. Il n'était pas un cowboy, il n'était pas quaterback, il se fichait pas mal de la politique et de qui voulait avoir le poste de "maitre du monde" (ou des USA), il ne rêvait pas d'avoir sa propre ferme et son propre bétail, il rêvait d'évasion et de grandes villes ou il pourrait se fondre dans la masse sans que l'on ne l'accoste à chaque coin de rue pour lui demander "Alors ton père, toujours la forme ?". Austin et Huston n'était pas assez éloignés de Garland pour lui, il visait autre chose. Il avait donc envoyé plusieurs dossiers d'inscription à L.A, Boston, N.Y, Seattle, et même à Montréal mais lorsqu'il reçut une réponse positive de l'université de N.Y, il ne chercha pas plus loin. Il allait retrouver sa soeur. En plus quoi de mieux que la ville qui ne dort jamais pour passer inaperçu. Son père eu du mal a accepté cette décision, mais comment pouvait-il s'interposer ? Son fils avait prit une voie différente certes, mais c'était une voie respectable. Pas comme celle de sa mère, lui au moins, partait pour une noble raison. Il espérait juste qu'il ne s'attirerait pas d'avantage d'ennuis qu'il s'en était déjà attiré dans la petite ville. Samuel connaissait son fils, il savait qu'il était dissipé... Plusieurs fois il du aller le récupérer aux urgences après des fêtes de lycéens - nez cassé, douze points de suture sur le crane après être passé par une vitre, le poignet gauche cassé après avoir tenté de sauter du deuxième étage du couloir est du lycée.. - Le jeune homme fut d'ailleurs suspendu plusieurs fois à cause d'une certaine rivalité à propos d'une certaine fille... Puis il y avait ces soirées alcoolisés avec ses copains de ce groupe de rock. Aaron chantait et jouait de la guitare à ses heures perdues. Une perte de temps pour papa Brooks, mais il s'était fait une raison : Aaron ne serait jamais comme Tim. D'une certaine manière il était déçu, mais il était surtout au fond très inquiet. Aaron lui voyait les choses différemment, et se prenait pour le vilain canard de la famille, le mec un peu tordu qui n'arrive pas à la cheville du grand frère si populaire. Il n'était pas jaloux, il se sentait juste naze. Il avait longtemps abandonné l'idée qu'un jour, il puisse rendre papa Brooks fière... Mais après tout, ce n'était pas grave, Tim était là pour ça. Aaron suivait sa propre voie en suivant un peu au feeling. D'ailleurs, il ne s'était jamais intéressé à la psychologie avant de ne choisir cette spécialité. Il verrait sur place... Du moment qu'il avait sa guitare, le reste lui importait peu.
Signe(s) particulier(s) :
Plusieurs cicatrices (au crâne, au poignet...), un piercing à l'oreille gauche.
Orientation Sexuelle :
Hétérosexuel, il ne s'est jamais posé la question. Sa première fois fut avec Suzanne Richards en seconde année de lycée. Il était fou amoureux, mais revint vite à la réalité lorsqu'elle le trompa avec le fullback de l'équipe de foot. Il avait 16 ans. Peut-être se remettra t-il en question. La vie est faite de surprise, non ?
Citation favorite :
« Live how you think, not by what you've been told. »
« BEHIND THE COMPUTER »
Prénom : Yoone Âge : 21 ans Comment as-tu connu ce forum ? : Google Ton avis (design, contexte, ...) : Je me suis déjà inscrite, j'étais Edward Mahon l'été dernier. Là j'avais envie d'un inventé... J'aime l'idée que le design change tous les mois, l'actuelle est sympa même si je sature de la saint Valentin là. Le contexte me plait sinon je serai pas revenue xD Présence sur le forum : Tous les jours ou presque Autre(s) compte(s) : Aucun Exemple de RP :
Spoiler:
En partant, nous étions tous nerveux. Qu’allait-il se passer chez les Cullen ? Le fait d’avoir Leah sur le dos n’arrangeait rien à ma frustration. Sam et les autres étaient restés longtemps là-bas, et nous n’avions aucun moyen de les contacter, de les joindre. Sam nous avait donné un ordre.
Leah pendant tout ce temps ne m’a pas lâché d’une semelle. Etouffante. Avait-elle peur que je prenne la fuite encore une fois ? Cependant, elle ne me demanda rien et ne cherchait pas à discuter. J’étais assez étonnée de son silence mais j’en étais soulagé.
Ce ne fut qu’au retour de Sam, Paul et Jared que nous avons su ce qu’il s’était passé. Leur discussion était interminable. Celui qui s’appelait Aro n’avait de cesse de poser des questions, voulant connaître tout de nous. Tout. Ainsi il avait découvert le traité, le pacte… « Mais qu’est ce qu’ils veulent au juste ? » demanda Embry excédé lors d’une réunion sur la plage. - « J’en sais rien… Mais je n’ai absolument pas confiance. Ils veulent nous revoir au même endroit quand Edward et Bella seront de retour... » répondit Sam, amère. Nous avions eu les détails de leur rencontre quand nous nous sommes transformés. Les deux étaient indéchiffrables et le docteur lui paraissait insatisfait. Quelque chose nous échappait à tous et nous étions incapables de mettre le doigt dessus.
Les jours passèrent à une lenteur extrême sans que rien ne se produise. Ma présence chez mon père était étrange mais rassurante. Chez lui, rien n’avait changé c’était le bon côté. Il me comprenait. Pas comme Charlie qui n’avait de cesse de vouloir me parler, demandant à Billy plusieurs fois par jour si j’étais là. Je ne pouvais pas lui en vouloir, c’était son travail mais je n’étais pas près à l’affronter ni même à lui parler. Billy prétextait toujours des sortis avec Quil et Embry, ce que d’ailleurs, Charlie ne cautionnait pas du tout. Pour lui je devrais être privé de sortie pour mes excès. En y pensant, c’est étrange qu’il ne lui ait pas conseillé de m’envoyer voir un psy.
Billy ne lui mentait pas vraiment puisque je passais la plus part du temps avec Embry et Quil à vérifier les alentours. J’étais heureux d’être avec eux, ce n’était pas leur genre de vouloir à tout prix mes états d’âmes. Ils étaient mes amis depuis toujours, mes frères.
Ce n’est qu’au bout d’une longue semaine que nous avons eu un appel des Cullen nous avertissant de la future rencontre, ne pouvant nous en dire davantage par peur d’être écouté.
Ainsi, le soir venu nous étions tous de retour sur le terrain de base-ball. Nous étions les premiers, nous étions anxieux, nous étions sur nos gardes, nous étions avertis. Quelque temps après nous vîmes arriver le docteur au coté du sang froid de l’autre jour. Derrière suivaient les autres Cullen ainsi que Bella. Ma Bella n’était plus elle. Elle avait l’air craintive, frêle comme avant mais ce n’était plus elle. Instinctivement mes mâchoires se crispèrent et mes muscles se tendirent. Je serrais les poings et m’obligeais à respirer calmement.
Mais le plus effrayant restait à venir. Ce n’est qu’après qu’ils apparurent. Habillés comme les deux autres buveurs de sang, imposants, gracieux. Si je n’étais pas là à les voir, je n’aurais jamais cru celui qui m’aurait décrit la scène. Ils étaient nombreux. Plus nombreux que les Cullen. Leur démarche fantomatique avait quelque chose d’effrayant dans la nuit.
Comme l’autre jour, le demi-cercle se forma instinctivement mais cette fois ci, en face de nous les autres nous encadraient. Alors c’était ça, la guerre ?
Le dénommé Aro avança d’un pas et nous salua. Il présenta deux de ses buveurs de sang, Démétri et Alec. Encore des noms stupides. « Une seconde rencontre était je le pense, inévitable. Certaines choses ont changé... », il se tourna vers Bella et Edward, « votre pacte est donc rompu. » Bella avait l’air pétrifié, elle était accrochée au bras de Cullen. Je m’efforçais à rester calme, m’obligeant à réguler ma respiration. « La guerre entre loup-garou et vampire est déclarée. Ce qui, je l’admets ne nous déplaît pas. » Alors que Aro continuait de parler, une lueur s’alluma dans les yeux de l’autre, Jane. « Mais comme je le disais, certains changements m’ont poussé à vous proposer un nouveau traité. » Il s’arrêta un instant, pesant ses mots en regardant à tour de rôle Sam et le docteur. « Votre existence est toute fois intéressante pour préserver notre secret lorsqu’il y a certains abus. » Encore une fois il s’arrêta pour nous regarder, tous. Le silence faisait rage, seul le vent hurlait. L’atmosphère était lourde bien qu’il ne fasse pas chaud. Nous pouvions tous sentir la tension de notre groupe. Le buveur de sang arrêta son regard sur Bella et Edward. « Nous souhaitons recréer le traité, en incluant les mêmes règles que le précédent, ce qui nous faciliterait à tous, les choses. Oui, nous remettons le traité à jour, si et seulement si, Edward et Bella rejoignent notre clan. » - « Non » répondit celui-ci automatiquement. - « Je m’y attendais mais c’est regrettable, très regrettable. » reprit Aro, déçu comme ci on lui refusait un nouveau jouet. Il se retourna vers Carlisle et Sam « Notre condition n’étant pas acceptée, la guerre entre vos deux clans est ouverte. Notre but étant de protéger notre secret et de nous protéger, nous nous allierons à eux. » - « Je pense que nous pouvons nous débrouiller seuls. » coupa le docteur. - « Et bien, non, je ne pense pas, non. » Nous commencions à nous agiter, nous étions tous nerveux. Mon regard se posa instinctivement sur Bella terrifiée, mais la posture d’Edward m’interpella. Il fixait Alice qui elle-même me fixait, encore. Ses traits étaient tordus. Que voyait-elle au juste ?
Le silence était complet et chacun attendait, attendait que quelqu’un parle réagisse. « Cela ne regarde que les Cullen et nous. » lança Sam, incertain. Aro se contenta de le regarder amusé avant de se tourner vers Edward. « Il est hors de question que nous nous battions contre nos amis. » rétorqua sèchement Carlisle. Aro plissait les yeux, toujours fixés sur Edward. « Vos amis ? Intéressant… Je crois que nous n’avons pas d’autre choix. Jane. » Tout se passa alors très vite, en quelques secondes, la buveuse de sang fixa Edward, ce dernier se retrouva au sol, plié en deux de douleur. Le plus grand des Cullen fonça alors sur elle mais fut contré par un Volturi. La blonde se jeta à son secours. Bella, elle fonça sur Jane qui en fit de même. Sans réfléchir je me transformais et me jeta sur la buveuse de sang qui tomba à terre avant de ne me voir. Leah transformée, l’attrapa alors par le cou.
En quelques secondes, le terrain de base-ball se transforma en chaos. Nous nous étions tous transformés. Nous luttions pour notre survie. Face à moi, Bella me fixait. « Désolée Jake, c’est de ma faute » me lança t-elle. Leah se mit alors à hurler. Je me retournais et vis la buveuse de sang entrain de la fixer. Je me jetais sur elle. Leah cessa tout de suite d’hurler et se jeta sur elle pour m’aider. Un poids me fit rouler sur le côté, je compris qu’un des leurs s’était jeté sur moi. Il me tenait au sol et m’infligeait plusieurs coups sur le flan. J’étais incapable de me relever, j’étais coincé et je le savais. Je cherchais alors Bella du regard. Elle-même était entrain de se défendre d’un autre vampire. J’entendis plusieurs craquements avant que ne ma respiration ne soit bloquée. La douleur n’était plus présente. Je me débattais en vain, mon bourreau riait.
Ma tête se mit à tourner, je savais que c’était le manque d’oxygène. Je ne pouvais pas crier, je ne pouvais pas. J’entendis Sam me dire de tenir qu’il arrivait. C’est là que mon bourreau fut projeté à plusieurs mètres. Il s’était jeté dessus.
Me forçant à respirer, une nouvelle douleur me transperça les côtes. Celui que l’autre avait présenté comme Aro se jeta sur moi et m’infligea plusieurs coups, judicieusement bien placé. Je sombrais, je le savais. J’essayais de garder les yeux ouverts. Je regardais autour de moi et ne vis que désolation. Seth était en position de défense pour protéger Bella d’un buveur de sang. « Fais attention à elle » lui dis-je faiblement. Il ne se retourna pas, je savais qu’il m’écouterait. Je luttais de toutes mes forces, mais celles ci étaient presque épuisées. Je posais ma tête et la tournais. Je vis alors un Cullen en très mauvaise posture face à Jane. Ma vue alors se troubla avant que je ne puisse en voir davantage. Le noir complet immergea dans ma tête. Alors c’était ça ? Ni flash-back ni d’images en noirs et blancs ? J’entendis au loin quelqu’un hurler. C’était Bella, et elle hurlait mon nom.
Bella...
Code du règlement :
Spoiler:
fordham rocks
« I'M SO BEAUTIFUL »
Dernière édition par Aaron Brooks le Mer 24 Mar - 23:23, édité 15 fois
Bin en fait, j'avais l'ancien Edward Mahon en perso (ça date de cet été).. Puis je me suis lassée du personnage pré-définis et donc me re-voilà avec du tout neuf !
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