Âge : 22 ans Date & Lieu de naissance : 28 Septembre à Paris. Groupe : Populaires ? UFR : UFR 7 Étude : Economie. Prédéfini ou Inventé : Prédéfini
Sweet about me :
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Physique & Style :
Parler de mon physique n’a jamais été une chose facile, à chaque fois, j’ai peur de dépasser les limites, ‘en faire trop, ou alors de montrer une trop grande réserve. Le juste milieu n’est pas facile, mais essayons tout de même. Je suis grand, certains diraient très grand tant j’approche du mètre quatre vingt dix. C’est fini, je grandirai plus, et heureusement, je le suis déjà assez comme cela. Sur mon passeport est marqué caucasien, normal après tout, je suis de type européen, peau blanche, grande taille, silhouette élancée, je n’ai pas de kilos en trop, et juste ce qu’il faut de muscle. J’avoue que je n’ai jamais vraiment aimé faire du sport, quoi que le tennis me détend encore assez bien. Mon visage est assez fin, mes pommettes saillantes font ressortir traits parfaitement marqués et correspondants aux standards de beauté actuels. Mes yeux marrons ne sont pas spécialement grand, mais ils ont tout de moins le mérite d’être particulièrement expressifs, trahissant sûrement parfois ce que je voudrais maladroitement cacher. Néanmoins, pour palier à cela, je les cacher des que je peux derrière des wayfarers depuis l’age de quinze ans sans jamais avoir dérogé à cette tradition rock n roll. Je n’aime pas mes lèvres, trop rouge mais aussi trop fine à mon goût. Mon caractère trop esthète me perdra sûrement un jour, je n’en doute pas. Finissons par mes cheveux, incontrôlables, toujours trop long, mais je ne me résout pas à devoir les couper si bien que je ne suis jamais véritablement coiffé de la même manière. De toute manière, ils ne reste jamais en place. Ils sont nettement plus long qu’avant, depuis que je suis arrivé à New York. Le regard des autres est différent, moins sévère que celui des français ce qui fait que j’ai tendance à ne plus vraiment suivre ce que peuvent dire les autres, mais plutôt mon manque de temps pour moi même ainsi que mon coté fainéant quant au sort de mes cheveux noirs de jais.
Caractère :
Attention, lire ceci risque de ne pas être une partie de plaisir car soi je vais me montrer outrageusement égocentrique, soit je vais vraiment me retenir et ce sera catastrophique. A vos risques et périls très chers. Tout d’abord, disons que je suis bien élevé, j’ai ce qu’on appelle des bonnes manières, en général, sauf quand j’ai vraiment trop bu, reliquat d’une éducation dans les très chics quartiers parisiens. Cela se sent à ma manière de me comporter que je ne suis pas américain, pourtant je fais des efforts, je fais vraiment tout pour m’adapter mais il faut du temps. J’ai une faculté d’adaptation pourtant génial, pouvant passer d’une discussion avec un avocat à une caissière en un rien de temps, sans même que cela ne me pose de problème. Cela est sûrement attaché au fait que oui, je suis hypocrite, dans le bon et le mauvais sens. Je n’aime pas faire souffrir les gens, alors je me tais devant eux, mais j’aime bien raconter des ragots derrière leur dos. Je ne joue pas franc jeu avec grand monde, préférant de loin garder toute la réserve qu’on m’a appris à avoir. Comme vous l’aurez compris, je suis relativement réservé depuis que j’ai finit mon adolescence, je n’expose pas ma vie privé au premier inconnu, alors je change de version, je raconte ce qui me passe par la tête lorsque je discute avec cette fille qui finira dans mon lit cette nuit mais que je ne reverrai plus des le lendemain. A quoi bon prendre tout au sérieux ? J’ai besoin d’être quelqu’un de déluré de temps à autres pour pouvoir calmer mes nerfs de grands stressé depuis quelques temps. Le genre de vie que je mène ne me donne pas beaucoup de distraction alors quand j’en trouve, je n’hésite pas à m’amuser. Les gens qui e me connaissent pas vraiment me trouve au premier abord assez sympathique, charismatique mais aussi mystérieux. Je peux, quand je le veux, être drôle, néanmoins l’humour noir est mon favori et est loin d’être apprécié par tout le monde. Il en va de même pour mon cynisme récurrent, autre trace de ma vie dans les beaux quartiers. Je peux aussi me montrer totalement détestable à cause d’une trop grande jalousie vis a vis des personnes que j’aime et d’une rancune à la fois tenace et terrible qui m’habite. Me faire un coup dans le dos comme on dit, c’est s’exposer à une vengeance, longue, lente, et pénible. J’ai tendance à ne jamais lâcher prise, je suis vraiment quelqu’un de déterminé qui ira u bout de ses idées pour concrétiser ses propres buts. Peut être parfois je peux me montrer légérement snob, mais ce n’est que quand je suis profondément excédé car j’ai en général l’esprit tres ouvert. Pour finir, dernier détail caractériel relativement important, je suis relativement infidel. Je ne suis véritablement tombé amoureux qu’une seule et unique fois, et cette blessure n’étant pas encore guérie, je ne préfére pas redoubler l’expérience de suite. J’aime ma liberté, et celle qui me rendra véritablement fidéle sera celle qui aura véritablement réussi à conquérir mon cœur. ( croqueuses de diamants s’abstenir, je vous sent à une dizaine de kilométres à la ronde.)[/ .
Histoire :
Once upon a time, in a sweet little town called Paris… Pardon, je reprend. Il était une fois, dans un charmant petit village dénommé Paris, naquit un jeune et beau prince du nom d’Adrien. Le problème dans ce début est qu’il ne s’agit même pas d’un conte de fée mais bel et bien de la vie du jeune homme. Au cœur des beaux quartiers, le bébé qui venait de naître avait hérité du nom du patriarche de la famille, et du prénom du père de sa génitrice. Cela était parfaitement courrant dans les grandes familles fortunées françaises, et la famille de Montrain n’avait pas voulu couper court à une tradition. Et ce jeune enfant entouré déjà de précieux tissus doux et d’or fin, et bien c’était moi. Heureusement, je n’ai aucun souvenir de cette époque qui a du être la plus heureuse de ma vie, et grand bien m’en fasse après tout. Mes plus vieux souvenirs remontent à mon sixième anniversaire. Je connaissais déjà le protocole et l’étiquette sur le bout des doigts, plus rien ne m’était pas familier. Il y avait toute la famille réunie dans notre grande maison située à deux pas de Paris dans le quartier le plus cher de France. Je savais me tenir, je ne faisait pas de bruit et je remerciait poliment chaque invité pour le cadeau qu’il m’offrait avec une bise et un compliment. Tout le monde s’étonnait de ma si bonne éducation, du fait que je suis a ce point un petit angelot brun bien sous tout rapport. En effet, j’étais un enfant presque parfait. A cet age la, il n’y a aucun risque de déraper, et je me rappelle même d’avoir pleurer pour n’avoir rapporter qu’un seize en mathématique de l’école primaire huppée que je fréquentais. J’étais vraiment triste, croyant que j’avais déçu tous les espoirs qui avaient été placés en moi par ma famille, pensant qu’un seize était une piètre note qui ne révélait pas ma valeur. Alors pour me remonter le moral, je travaillai. A cette époque, j’avais vraiment le goût de l’école, je voulais véritablement être parfait. C’est apres que l’on dérape, à cet age la, on ne comprend que ce que nous disent nos parents, et la vie est alors belle et facile.Je faisait véritablement leur fierté et j’aimais cela. Pire, j’aimais mon milieu à tel point que j’en incarnait parfaitement le comportement lorsque j’accompagnais mes parents en voyage, ou plus simplement pour faire des courses dans Paris.
Je grandis, et j’intégrai à onze ans un collège privé, une fois encore, l’un des plus huppés. Si vos parents ne payaient pas l’impôt sur la fortune, alors pas question d’y être accepté. Ou comment apprendre à des pré adolescents la forme ultime de snobisme en ne les mélangeant surtout pas à la vox populi, au bas peuple. Depuis, je me suis assez bien rattrapé et je ne juge plus les gens sur leur compte en banque, bien que certaines fois je le suis moi même, mais ceci est une toute autre histoire que mon entrée au collège où je retrouvais la majorité de mes camarades d’école primaire, et où je découvrais de nouvelles personnes, ma foi fort sympathique comme dirait mon père. Très vite, je fut populaire, je ne me retrouvais jamais seul, tout le temps entouré de personnes qui buvaient presque mes paroles, et cela en devint vite grisant, puis lassant. Passionné par la musique, base classique au piano et à la guitare je rejoignit le club musical de mon collège, et y rencontrait Gabrielle. Ha Gabrielle, je pourrais vous en parler toute la nuit à telle point que vous vous en lasseriez bien avant moi. Revenons en à la musique. Je n’étais pas un prodige, loin de là, mais je travaillais dur pour atteindre un niveau conséquent qui me permettait de jouer des classiques de nirvana sans problèmes. C’était aussi une sorte de défouloir pour moi qui ne trouait la paix que dans l’alcôve confortable qu’était ma chambre avec ma guitare ou dans mon salon sur le piano lorsque mes parents étaient en voyage. Et puis on forma, avec Gabrielle et deux autres amis perdus de vue depuis, un petit groupe de rock à notre sauce, c’est à dire quelque chose qui faisait du bruit et qui cassait un peu notre monotonie de jeunes parisiens branchés et blasés. Nous étions vraiment jeunes, douze treize ans grand maximum, mais nous étions heureux d’être ensemble, si bien que s’en devient ite étrange. Le rock est pas essence mêlé à la drogue et à l’alcool, et ce fut pendant cette période si belle et prospère pour nous que nous fûmes nos premières expériences interdites. Nous goûtions avec ivresse à ce qui était normalement réservé aux plus vieux, mais nous avions l’argent et donc le pouvoir de faire ce que nous voulions. La cocaïne vint vers nos quatorze ou quinze ans. Attiré par tout le bruit qu’on faisait sur cette tueuse de méninges, nous ne pûmes résister à la tentation exquise d’y goûter. Et quel voyage. Je montais plus haut que je n’étais jamais allé, je me retrouvais totalement perché, si bien que la première descente fut plus que brutale. Mais c’était tellement bon que vite j’eus envie d’y rajouter, encore et encore. Néanmoins, je me mettais des freins, je me stoppais pour ne pas devenir dépendant. Et cela fonctionnait.
Et pendant cette période, rejoignant directement le credo du rock, il y avait le sexe. Mon premier baisé fut échangé avec Gabrielle, et il en alla de même pour ma première fois. Un moment de volupté presque parfaite dans la mesure où j’étais amoureux d’elle. Disons que je n’aurais pas pu rêver mieux, et depuis, je peine à retrouver ce degré de frisson avec une autre. Si avant j’imaginais encore être avec elle lorsque j’étais dans les draps d’une autre, cette habitude m’est passée aujourd’hui. Elle me manquait tellement, il faut bien que je l’avoue même si ce n’est qu’aujourd’hui. A la rentrée au lycée, elle n’était plus là, elle avait quitté Paris, plus ou moins de force, pour aller s'installer seule dans l’une des plus grandes villes au monde, New York. Elle me manquait pourtant, inconsciemment, je l'évitai, et demandais à passer mes vacances loin de New York, à Los Angeles. Quand elle revint quelques années plus tard à Paris, je m’y prit trop tard et elle était déjà repartie. Encore aujourd’hui je revois son visage, jeune, de nous adolescent, et je me dis que ce n’était que nos hormones, que tout cela n’était qu’une amourette adolescente. Pourtant j’ai l’impression de me mentir à moi même, encore . Peut être faudrait il que je la revoit pour tirer un trait sur elle dans ma mémoire ?
J’en vint vite à mes dix huit ans, je m’étais largement calmé, je ne touchais même plus ) un paquet de cigarette. Elle était partie, et j’avais continué d’être ce garçon populaire mais sûrement plus aussi rock n roll qu’avant. La célébration de ma majorité fut fêtée en grandes pompes par deux fêtes distinctes, une avec ma famille et la bourgeoisie parisienne, la seconde avec tous mes amis. Si la première s’est déroulée sans accroc, la seconde fut plus mouvementée par deux de mes amis voulant se battre a coup de bouteille de champagne brisées. Je pris un coup et fus le seul blessé : l’un des deux avait réussit a me faire une grande balafre dans le coup et qui saignait abondamment. Je me souviendrait toujours de cette soirée, et aujourd’hui, la cicatrice paraît à mes yeux être une blessure de guerre venue d’une autre époque. Comme je l’ai dit, je me suis bien calmé depuis mon adolescence : je suis devenu la copie conforme de mon père, un garçon bien élevé et brillant, qui ne fait plus trop de vague, qui est concentré pour réussir une carrière stable et faire fructifier la fortune familiale. Si bien que j’ai décidé d’aller faire ma dernière année d’étude d’économie à la faculté de New York, qui était de toute manière partenaire de ma propre grande école française. L’argent n’est pas un soucis, et mon niveau d’anglais est impeccable du fait de mes vacances chaque année en territoire américain. Quitter Paris, après tout, est loin de me faire du mal dans la mesure où, bien qu’arrivé depuis peu de temps, je me retrouve déjà au centre de l’attention commune. Une chance ? Peut etre. Ou pas.
Signe(s) particulier(s) :
Une cicatrice dans le coup à cause d’une bagarre stupide lors d’une beuverie à mes dix huit ans, un tatouage avec un huit horizontal,, symbole de l’infini au creux de mon poignet gauche.
Orientation Sexuelle :
Et bien je suis hétérosexuel. Je n'ai jamais embrassé ou couché avec un homme, ni jamais ressentit l'envie; par contre, il est vrai que j'ai tendance à être un playboy avec ces demoiselles mais je ne tiens pas de tableau de chasse. Je suis un grand infidel qui n'est pas encore prêt pour l'amour, a moins que celui ci se présente clairement devant moi ( * prend une chaise, et attend qu'il arrive *).
Citation favorite :
« Nothing's permanent; not even death »
« BEHIND THE COMPUTER »
Prénom : Marine-Mathilde, pitié, appelez moi par l’un ou par l’autre. Âge :18 Comment as-tu connu ce forum ? : par un partenariat sur un autre. Ton avis (design, contexte, ...) : Amazing doit être assez fort pour résumer l’ensemble, et je suis tres difficile. Présence sur le forum : 6/7, TL oblige. Autre(s) compte(s) : None. Exemple de RP :
Spoiler:
1er post, page 2. Il ne rentrait pas.
Code du règlement :
Spoiler:
Ok by Gabychou
« I'M SO BEAUTIFUL »
Précision : J'hésite entre le fait de faire d'Adrien un Adulte ou un étudiant... Des conseils?
Dernière édition par Adrien de Mortain le Sam 20 Fév - 3:30, édité 9 fois
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Give me your heart and your soul. || Adrien de Mortain OVER || Sam 20 Fév - 1:50
Raaaaaaaah ! Merci d'avoir pris le rôle !
Hum, et bienvenue ! ^^ Je vais simplement te demander de ne pas mettre le lecteur en lecture automatique, ce qui peut être légèrement dérangeant. Pour ce qui est de l'exemple de rp, il est obligatoire. Il te suffira de le réulisier comme premier sujet de rp (avec moi huhu XD) lorsque tu seras validé. Pour ce qui est du code, je te le valide.
Et pour ce qui est d'être adulte ou étudiant, je l'avais (je pense) préciser dans la fiche, c'est au choix. Même si, avec le recul, je pense que le faire encore étudiant pourrait être plus simple par rapport aux liens...
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Give me your heart and your soul. || Adrien de Mortain OVER || Sam 20 Fév - 1:56
Ha deezer le met directement en automatique maintenant, je ne fais plus vraiment gaffe toute mes plus grandes excuses et tout et tout...
Pour l'exemple, ca marche , Pour le code, Vielen Dank.
Je vais le faire étudiant je pense, je trouverai bien un moyen de le faire étudier à NY, il ne devrait pas y avoir de probleme dans l'histoire que je pensais.
pour finir, Je t'en pris, j'avais envie d'un gosse de riche depuis un bail donc bon
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Give me your heart and your soul. || Adrien de Mortain OVER || Sam 20 Fév - 1:58
Pour ce qui est d'être étudiant, le bon vieux truc d'ERASMUS marche toujours ! ^^ Et oui, tu pouvais pas tomber sur plus gosse de riche que lui... x)
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Give me your heart and your soul. || Adrien de Mortain OVER || Sam 20 Fév - 2:04
HAAAN NICOLAAAS
Bienvenue ♥
Tain je savais pas que Gaby t'avais fait un pv avec xD je me demande quel est le lien tiens O: Non j'y toucherais pas, t'inquiète *sbaf*
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Give me your heart and your soul. || Adrien de Mortain OVER || Sam 20 Fév - 2:16
Bon alors je l'ai bien fait étudiant, ce sera plus simple Oui j'avoue que plus gosse de riche, tu meurs, mais j'aime encore bien son caractére, ca va =)
Cillian, j'aime ton prénom, j'aime ton avatar, j'aime ton kit et j'aime tes compliments. Bref, Merci l'ami!
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Give me your heart and your soul. || Adrien de Mortain OVER || Sam 20 Fév - 2:24
Cill, Nicholas est mon petit chouchou chez les mannequins, je ne pouvais décemment pas faire un pv avec un bourgeois parisien sans le prendre ! XD
Adrien, j'adore la rédaction du caractère, c'est exactement comme cela que je l'imaginais ! ^^
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Sujet: Re: Give me your heart and your soul. || Adrien de Mortain OVER || Sam 20 Fév - 2:28
Bienvenuuuuue
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Sujet: Re: Give me your heart and your soul. || Adrien de Mortain OVER || Sam 20 Fév - 2:58
Gabrielle, ravie que cela te plaise, j'espére qu'il en sera de même pour l'histoire
Stella : Merci
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Give me your heart and your soul. || Adrien de Mortain OVER || Sam 20 Fév - 3:14
Toute mes excuses pour le double post, I think it's over =) ( enfin j'espére * croise les doigts pour pouvoir aller dormir en paix ^^ * )
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Sujet: Re: Give me your heart and your soul. || Adrien de Mortain OVER || Sam 20 Fév - 3:18
Niah, parfait ! Juste léger détail, seule Gabrielle a déménagé à New York. Ce fut plus un "on te dégage de là" du à son mauvais comportement qu'autre chose.
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Give me your heart and your soul. || Adrien de Mortain OVER || Sam 20 Fév - 3:20
Ha j'avais mal compris dans la fiche, je corrige de suite le et sa famille xD
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Give me your heart and your soul. || Adrien de Mortain OVER || Sam 20 Fév - 3:21
Et il te manque toujours l'exemple de rp. Oui, je vois jamais tout en même temps. XD Mais au pire, tu pourras t'en occuper demain.
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Sujet: Re: Give me your heart and your soul. || Adrien de Mortain OVER || Sam 20 Fév - 3:22
En fait je t'en desespérement d'en retrouver un qui doit être sur mon macbook, mais il va franchement dater... Souhaite moi bonne chance. ^^
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Give me your heart and your soul. || Adrien de Mortain OVER || Sam 20 Fév - 3:24
Bonne chance !
Bon, stop flood. Mauvaise admin avec mauvais exemple. Dès que tu auras mis l'exemple, tu seras bon pour la validation, en tous cas.
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Give me your heart and your soul. || Adrien de Mortain OVER || Sam 20 Fév - 3:27
Spoiler:
Exemple trop grand, tiré d'un forum sur les vampires que j'aimais particuliérement - malgré le fait que j'iame pas twilight, que ce point soit clair xD
La haine et l’amour étaient ils vraiment si différents ? Dans le fond, il ne s’agissait la que d’une exaspération, d’un excès des plus total des sentiments éprouvés envers quelqu’un. Et quels sentiments ! L’affection la plus totale ou alors la colère terrible, alors quand les deux se rencontraient cela faisait une explosion digne du big bang, ou presque. La haine n’était que la sœur de l’amour, et non pas son extrême opposé comme tant de gens semblaient le pensé. En effet, lorsqu’un couple divorcé, il passait par la haine, avant de finir à l’indifférence. Voilà le vrai contraire de ses sentiments si proches : l’indifférence complète envers une personne, une non prise en compte de son existence ou presque. A ce moment la, on pouvait dire que toute relation entre eux était morte, une flamme même noire complètement éteinte pour ne jamais être rallumé. C’était ce qu’il se passait dans la majorité des couples après quelques années de vie commune, quand la routine avait fait place à la haine, qui avait fait place ensuite au divorce et à l’indifférence ; des années probablement non rattrapables avaient été gâchées et tout cela pour que la situation finisse par devenir qu’un souvenir brumeux. Un simple souvenir qui s’évanouirait probablement quand on rencontrerai une nouvelle personne, celle ci apportant une touche de modernité dans la vie recréerait ensuite une nouvelle boucle amour haine indifférence. C’était comme le cercle de la vie, et c’était surtout de plus en plus vrai dans la mesure ou les couples duraient de moins en moins longtemps. La nouveauté était l’attraction préférée des humains, et cela, les publicitaires l’avaient compris depuis la naissance de la pub. Une loi de l’offre et de la demande se renouvelant sans cesse, une société de consommation : il y avait encore des humains qui n’étaient pas aussi naïfs que les autres humains, c’était plutôt bon à savoir pour cette race qui était bientôt amené à disparaître si rien n’évoluait.
Les vampire, eux, n’avaient pas besoin de changer de routine au bout d’un certain nombre d’années. Les humains en changeaient car ils avaient l’impression de gâcher le cours temps qu’il leur était imparti. Les vampires avaient un compte en banque temporel illimité, comme une carte de crédit avait aucun plafond. L’éternité. Oui c’était peut être long, mais c’était sur. Aucune mort à l’horizon, juste le plaisir de jouir d’une vie qui n’en finirait jamais, alors pourquoi penser que l’on perdait son temps. Un vampire n’avait, par définition, absolument pas la même réflexion qu’un humain. Alors deux êtres de ces deux races différentes pourraient il vraiment, à terme, devenir un couple ? Cette mixité aurait pu être rêvée, merveilleuse, mais restait, il fallait bien se l’avouer, utopique pour le moment. Trop de choses étaient encore en jeu à présent, comme tout simplement le fait de vivre. Qu’aurait fait un chef de résistants s’il avait appris qu’un(e) de ses employé(e)s couchait avec un(e) vampire sans que ce soit pour lui extirper la moindre information ? La situation entre les deux races étaient plus que critique, et par bien des cotés, elle rappelait la ségrégation des noirs aux usa dans les années 1950. Sauf que maintenant, il s’agissait bel et bien d’une lutte des races, d’un combat entre différentes espèces qui même si elles se ressemblaient sur le plan physique, n’avaient en tout et pour tout que cela en commun. Ou presque ?
Ils avaient aussi les sentiments. Oh que oui, et Adriel ainsi que Joey venaient parfaitement de le prouver. Etait ce vraiment de la haine que s’étaient voués ces deux la à ce moment crucial de leur dispute ? Peut être, ou alors était un mélange de tension et de passion extrême, en tout cas, rien qui n’ait a voir avec de l’indifférence. Adriel était bien connu pour n’avoir aucune forme de pitié, arborant toujours un je m’en foutisme certain vis a vis des êtres humains, une indifférence totale pour le sort qu’il leur faisait subir. Lui ? Se préoccuper de ce qu’ils pouvaient ressentir lorsqu’il commençait à leur fendre doucement la peau ? Jamais ! Pourtant, Joey était l’exception. Celle qui confirmait sûrement la règle sadique du vampire. Elle était la seule pour qui il renonçait à l’indifférence et pour qui toute la passion de cet être passionné se réveillait en une seule vision. Leur dispute avait été destructrice, pleine de haine, mais celle ci était elle directement née de l’amour ou y avait il une autre cause sous-jacente ? Même a tête plus reposée, le vampire n’aurait pas vraiment pu expliquer ce qui avait provoquer cette soudaine montée d’adrénaline. Comme une décharge électrique, le ton était monté, tout cela à cause de l’arrivée de Nathalie quelques heures avant. Ni l’un ni l’autre n’avait plus été tendre, ni dans ses gestes, ni dans ses mots. Le climat qui avait été plutôt bon depuis qu’elle était revenue était brusquement devenu aussi froid que la calotte polaire arctique. Belle comparaison n’est ce pas ? Et pas du tout paradoxal avec la ville de new York, soit. Ce que le vampire n’arrivait pas encore à s’avouer, c’était qu’elle l’avait blessé, que quelqu’un avait enfin réussi à percer sa carapace de cynisme pour enfin le mettre dans une colère telle qu’il avait pu prononcé des mots quelques peu … désobligeant. Oui désobligeant, le terme n’était pas mal choisi tant il convenait au deux être s’étant trouvés confrontés l’un à l’autre. Mais Joey était vraiment une excellente adversaire, elle ne s’était pas arrêté. Pour Adriel, recevoir ce genre de remarque n’était pas vraiment un motif d’énervement d’habitude tant quand quelqu’un se permettait de lui dire cela, la personne se retrouvait très vite six pieds sous terre et en plus, cela ne le touchait même pas. Alors que quand il avait entendu prononcé les syllabes méprisantes envers celui qui lui avait confié plus de choses à elle qu'’ son propre disciples en plus d'un siècle, il s'était sentit blessé, meurtri dans sa chaire, pour la première fois de sa vie de vampire. A nouvelle sensation, réaction peut être disproportionné ? Non, elle était juste conforme a ce qu’on attendait de lui après tout.
Joey était la nouveauté dont le vampire avait besoin pour ne pas rester le même boucher qu’avant. Bien qu’il ne se comporte différemment qu’avec elle, il sentait déjà qu’il ne pourrait sûrement pas mener sa mission à bien. S’il l’avait pu, il l’aurait déjà fait, et sous la colère, il aurait pu lui aussi enfoncé un couteau dans le corps frêle de la jeune femme, ou se retrouver presque trop rapidement près de la cambrure de son cou afin de collecter un mince filet de sang qu’il aurait appelé en plantant ses crocs en elle. Mais non. Impossible, même sous l’effet de la haine qui l’avait habiter pendant quelques instants. Ou alors, on pouvait douter que ce fut réellement de la haine mais plutôt une passion exacerbée sous les paroles de la jeune femme ? Qui savait ? Freud n’avait jamais été l’un des proches du vampire malheureusement, au contraire de quelques auteurs décadents qu’il avait connu lorsqu’il avait séjourné pendant quelques décennies en Europe afin de retourner dans sa patrie, l’Amérique, les tous jeunes Etats Unis d’Amérique. Décrire Adriel psychologiquement n’avait rien de très aisé, mais lui même aimait à se panser hédoniste. Ego de vampire surdimensionner ou vérité la plus transparente ? Peut importait finalement, car le vampire changeait presque de personnalité avec chaque nouvelle personne.
« Le vrai hédonisme, c’est l’ennui. Seul l’ennui permet de vivre le présent mais tout le monde vise le contraire : pour se désennuyer, les occidentaux fuient par l’intermédiaire de la télé, du cinéma, d’Internet, du téléphone, du jeu vidéo, ou d’un simple magazine. Ils ne sont jamais à ce qu’ils font, ils ne vivent plus que par procuration , comme s’il y avait un déshonneur à se contenter de respirer ici et maintenant. Quand on est devant sa TV, ou devant un site interactif ou en train de téléphoner sur son portable, ou en train de jouer sur sa playstation, on ne vit pas.
On est ailleurs qu’à l’endroit où l’on est. On n’est peut être pas mort, mais pas très vivant non plus. Il serait intéressant de mesurer combien d’heures par jour, nous passons ainsi ailleurs que dans l’instant. Ailleurs que là où nous sommes. Toutes ces machines vont nous inscrire aux abonnés absents, et il sera compliqué de s’en défaire.
Tous les gens qui critiquent la société du spectacle ont la télé chez eux. Tous les contempteurs de la Société de consommation ont une carte Visa. La situation est inextricable.
Rien n’a changé depuis Pascal : l’homme continue de fuir son angoisse dans le divertissement. Simplement le divertissement est devenu si présent qu’il a remplacé Dieu. Comment fuir le divertissement ? En affrontant l’angoisse.
Le monde est irréel sauf quand il est chiant. »
Presque du Adriel, mais non, du Beigbeder, l’un des seuls auteurs contemporains qu’il pouvait encore lire sans trouver que ses livres n’étaient fait que de mièvreries. Bref, les goûts du vampire n’étaient pas vraiment la préoccupation principale. Celle du moment était de voir la réaction qu’aurait le vampire face à cet événement étant venu stopper toute forme de répartie chez l’un comme chez l’autre. Adriel aurait été forcé d’admettre qu’il n’avait absolument pas penser qu’elle pouvait lui faire quelque chose de ce genre, dans la logique ou lui n’aurait pas pu la tuer. Alors l’aimait elle comme lui il l’aimait ? Le vampire avait eut un instinct, peut être court mais qui s’était imprégné comme à l’encre noire dans son cerveau. L’aimait elle ? C’était la le grand dilemme du vampire qui pour la première fois de sa nouvelle existence ressentait à nouveau ce qu’il n’avait connu que trop peu de temps pendant sa véritable existence. Il ne savait pas, il ne savait plus trop en fait, le choc avait peut être une grosse part à jouer dans ce doute, mais il devait bien se l’avouer, il était parfaitement légitime. Pourtant il fit un choix qui aurait étonné tous ceux qui le connaissait : il ne se vengea pas. Il aurait pu, il aurait même peut être du mais il ne put s’y résigner. La situation était tout a fait imaginable : le vampire, créature bien plus rapide qu’un humain, se serait relevé d’un coup et pour se guérir plus rapidement, aurait avaler les litres de sang que le corps de Joey contenait. Mais Adriel ne l’avait pas fait. Il n’avait même pas esquissé un geste, ni une parole !, de vengeance. Il voulait calmer le jeu, sachant bien qu’il était quelque peu fautif, mais pas entièrement.
Lorsqu’une dispute de ce genre éclatait, il n’y avait jamais qu’un seul fautif, c’était dans l’ordre des choses. Les mots blessants ne venaient pas que d’un seul protagoniste et ceci étant dit, on pouvait aisément comprendre que chacun avait son rôle a jouer dans les conséquences désastreuses qui en avaient découler. Découler, oui, tout comme le sang rouge très foncé qui s’était écoulé du ventre du vampire, suite au coup de couteau, ou alors à l’ambiance pesante qui se trouvait dans le cabinet secret du vampire. Alors que la jeune femme reprenait la parole, Adriel s’amusait avec cet écrin si précieux qu’il tenait dans sa main droite. Il se rendait compte qu’il ne pourrait peut être jamais l’offrir à Joey à moins d’avoir le désir de mettre leur deux vies en danger, était ce vraiment bien de sa part ? Oui il pensait bien au bien de la jeune femme, et au siens aussi évidemment, mais il tenait à elle plus qu’a n’importe qui d’autre, plus qu’a n’importe quoi d’autre, plus qu’a la vie ? La vie était paradoxale vu qu’il était mort mais il se savait déjà changé par l’essence même de la jeune femme, cette aura qu’elle avait su lui, cette manière de l’excéder, de le faire rire, de le provoquer, de le faire réagir, de le torturer délicieusement, de l’attendrir. De le rendre a nouveau presque humain. Pourtant, lorsqu’elle eut finit de faire ses reproches au vampire qui lui venait de s’excuser face à elle, il ne répondit que par une uniquement dit d’un ton bien trop las pour n’être qu’ironie.
- Probablement.
Le vampire ne savait pas quoi répondre à Joey. Comment pouvait elle oser lui demander de se calmer, de devenir un gentil petit mouton humain, de se sacrifier à elle sans qu’elle ne consente le moindre effort. Il ne chercha pas le regard pénétrant et profond de la résistante mais regarda l’écrin qu’il venait de reposer sur le bord du sofa. Qu’est ce qu’il aurait aimé glisser l’anneau brillant d’une lumière d’or au doigt de Joey mais c’était tout simplement impossible, cela aurait mené tout à l’échec. On disait souvent que la colère révélait nos véritables pensées, qu’on ne se mentait plus lorsqu’on disait les choses directement, ni a soi même, ni à son interlocuteur. Alors Joey pensait peut etre réellement que leur relation n’était que de la débauche, mais qu’elle tenait quand même a la conserver pour une raison x ou tout simplement par vanité. Adriel ne savait plus quoi penser, et cela l’énervait intérieurement passablement. Pourtant, à l’extérieur, il était aussi froid que le marbre. Et aussi royal, ou presque. Pourtant, il voulait voir Joey, elle était sa nouvelle drogue, une bien plus forte que toutes les addictions qu’il avait pu avoir au cours de sa vie humaine. Ne parlons pas de sa vie vampiriques car elle serait bien trop remplie, mais Joey réussissait la ou toutes les autres réunies avaient échouées en beauté. Il ne se l’expliquait pas, ne comprenait pas vraiment pourquoi mais peut être était ce cela qui rendait cette histoire totalement impossible plus belle qu’elle ne semblait l’être en apparence. Tout du moins pour le vampire. Il aurait pu le savoir en écoutant le rythme imparfait du cœur de la jeune femme, malheureusement , il n’entendait plus rien, ses pouvoirs, enfin ses fonctions vampiriques étant trop concentrées sur le fait de guérir sa blessure qui avait arrêté de saigner.
Adriel savait parfaitement que cette réponse ne conviendrait pas à Joey qui venait de lui donner un accord tacite pour qu’ils continuent à se voir aussi longtemps qu’ils le pourraient. Il lui avait pardonné, enfin presque entièrement. Il ne se vengerait pas, c’était sur, mais il ne lui dirait pas ce qu’il avait au fond de lui, ce qu’il ressentait comme il avait pu lui dire au début de la nuit lorsqu’il l’avait trouvé dans ce bois, visiblement amochée. Que de rebondissements en une seule et unique nuit d’ailleurs, mais c’était bien la une des caractéristiques de ce couple si atypique. Le vampire laissa son regard rencontrer celui de la jeune femme, sa main prendre la sienne et remonter doucement sur sa peau douce. Ce contact l’électrisa légèrement. Ces forces avaient peut être diminuées du fait qu’il était en train de s’autocicatriser. Il n’avait jamais eut, a soigner une blessure aussi grave, et pourtant, il en avait pardonné l’auteur. Il n’avait jamais été aussi humain depuis deux cent soixante dix années. Le problème venait il de la ? Adriel doutait de lui même, doutait d’elle, ne se reconnaissait plus. Il avait vraiment besoin de réfléchir, de se sentir vampire comme avant, et en présence de la jeune femme, c’était tout simplement impossible. Inconsciemment, il ne souhaitait pas qu’elle voit toute l’horreur de celui qu’elle avait appelé quelques minutes auparavant un monstre.
- Pour Stefan, tu en a parler tout à l’heure, en me comparant à lui, et avec cette remarquer ainsi que le rythme de ton cœur, j’en ai déduit qu’il y avait eut une histoire qui s’était mal finie…
Adriel avait répondu à l’une de ses questions, éludant la première presque volontairement afin de trouve rune formulation appropriée afin de ne pas remettre toute la faute sur la résistante qui au final, avait presque accomplie sa mission. Et puis, il venait de mentir effrontément à la jeune femme, il connaissait en gros l’histoire qu’elle avait traversé, on lui avait raconté quand on avait dit au vampire qu’il devrait la tuer. En général, moins il en savait, mieux il se portait, mais la, pour une fois, sa connaissance de sa victime, entre guillemets évidemment, avait pu servir. Pas à des fins très glorieuses, soit, mais avait de toute évidence été une remarque qui avait frappé très fort la ou elle avait déjà mal. Le vampire lui répondit ensuite sur sa cicatrisation :
- Disons que tu n’y es pas allée de main… heu disons que cela mettra quelques heures ou un peu plus car elle est assez profonde.
Il s’était repris assez vite, mais avait au départ remis bien clairement la faute sur l’humaine qu’il venait pourtant d’excusé publiquement. Cela commençait à le hanter doucement. Il commençait à croire qu’il n’aurait pas du accorder sa confiance et cela le tuait car il l’aimait, et cela le rongeait intérieurement. Lui qui était si cruel n’aurait jamais cru trouver en elle, en une humaine, en une résistante de surcroît. Cela ricochait dans ses idées, sans qu’il ne puisse arrêter d’y penser et cette pensée bloquait toute forme de jugement. Le pire était le fait qu’il était paradoxal dans son propre esprit, en train de penser à la fois qu’elle ne devait jouer qu’un role et ne pas avoir les mêmes sentiments que lui pour elle, puisqu’elle l’avait presque meurtri, mais de l’autre coté, il savait qu’elle était encore aupres de lui a ce moment la. Il se mordit la lévre inférieur, et posa son regard azur dans celui chocolat de Joey. Peut être pour la derniére fois car ce qu’il allait lui dire n’était pas d’une immense facilité à entendre.
- Joey, s’il te plait, je voudrais que tu m’explique quelque chose… Apres m’avoir… m’avoir poignardé, tu m’as dit que tu ne le voulais pas, mais tu l’as fait. Au fond, dans tes plus sombres pensées qui ont toutes une once de vérité, ou encore meme tres inconsciemment, tu voulais vraiment le faire n’est ce pas ?
Il mettait la jeune femme devant un acquis de conscience, mais n’était meme pas sur de vouloir entendre sa réponse.
Merci Steve Jobs d'avoir fait le macbook pro, la plus grande création pour l'homme, par l'homme. * taggle Marine *
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Sujet: Re: Give me your heart and your soul. || Adrien de Mortain OVER || Sam 20 Fév - 3:50
Très bon exemple de rpg ♥ j'aime beaucoup ton style bienvenue
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Sujet: Re: Give me your heart and your soul. || Adrien de Mortain OVER || Sam 20 Fév - 11:06
Validé !
Amuse toi bien parmi nous, n'hésite pas à voter pour nos top sites et un système de parrainage est en place si besoin est. Je te réserve directement un sujet, bien entendu. Bon jeu.
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Sujet: Re: Give me your heart and your soul. || Adrien de Mortain OVER || Sam 20 Fév - 14:00
Reagan : Merci <3 j'adorai ce perso et ca contribuait a la qualité des post, cela devrait être pareil avec Adrien ici
Gaby, Merci
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Sujet: Re: Give me your heart and your soul. || Adrien de Mortain OVER ||
Give me your heart and your soul. || Adrien de Mortain OVER ||
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