C'était un beau jour d'autumne, les feuilles s'amassaient sur le parterre de devant le Bellevue Hosptal Center, un célébre hopital situé sur la Première Avenue à Manhattan au niveau de la 28e rue. Toute la célébre famille Ilwena s'affairaient dans les couloirs menant à la salle d'accouchement ou la jeune Leïla, future mère de vingt cinq ans était sur le point d'accoucher de sa première petite fille. C'est dans des cris insupportable à l'oreille, mellant douleur et impatience, que la jeune femme mettait au monde son bout de choux qui jusque là était rester neuf mois dans son ventre bien au chaud. Protégée et nourrit, visiblement la jeune enfant ne voulait pas sortir de là où elle était. Mais dans un dernier souffle et dans un dernier effort, Leïla ejecta délicatement sa fille de son ventre. Après un long effort, elle posa sa tête sur l'appui tête, et souffla, reprenant un minimum d'effort, elle la releva quand elle entendit les cris de sa petite fille. Son premier cris, sa première respiration, c'est alors que le medecin tendit la petite fille dans les bras de sa mère, en larmes, un sourire ébahit sur les lèvres. C'est alors, que la jeune enfant ouvrit pour la première fois ces petits yeux marrons.

- Houna Tallulah Alvyrah Ilwena. Bienvenue dans notre monde ma douce enfant.

Le mari de Leïla entra alors dans la chambre, filmant la scène. Comme pour la marquer à jamais. Seulement la cassette fut perdue dans l'accident qui pris la jeune femme et son mari. Houna n'avait que quelque semaine et était rester à l'hopital pour quelques examens supplementaire. Elle ne connaîtra jamais ses vrais parents. Pour seul cadeau fut le médaillon en or, avec un pendentif en or en forme de rose surmonter d'un coeur que sa mère lui donna juste avant de partir à tout jamais. Alors la jeune enfant vécut dans plusieurs familles d'acceuil, qui n'étaient pas franchement acceuillant avec elle. La réduisant à une sorte d'esclavage qui dura longtemps. Se faisant traiter de bonnes à rien, la demoiselle laissa passait beaucoup de chose, se disant que c'était probablement vrai et peut être pour son bien aussi. Mais à l'école, c'était autre chose, c'était peut être la plus petite de sa classe, mais aussi la meilleure, une surdouée en quelque sortes, mais elle le cacha aux autres, ne voulant pas non plus se faire traiter d'intello et tous le bazzart. Elle resta longtemps dans cette situation, se demandant pourquoi c'était une incomprise. Elle connut l'amour quand elle n'avait que seize ans, elle l'aimait profondement et elle croyait que lui aussi, mais jusqu'a qu'elle apprenne qu'il la trompait avec sa meilleure amie. Là, elle romput, et d'une envie soudaine alla se faire tatouer sur l'omoplate gauche * never say never *. Alors elle essaya de ne plus trop penser aux garçons, se disant qu'en faite le grand amour n'existe pas vraiment. Ambitieuse et avide d'aventure, elle envoya une demande à la New-York University, où elle fut accepter graçe à ses exellents résultats et à son bon comportement, là elle peut faire ce qu'elle a toujours aimer faire, être journalisme. Un peu pour savoir comment ces parents sont réellement morts.