Âge : 23 ans
Date & Lieu de naissance : 17 Janvier 1987 dans le Michigan
Groupe : Rebel
UFR : UFR 1
Étude : Musique
Prédéfini ou Inventé : Inventé

Physique & Style :

Eliza Mcgowan – ex petite amie.

« Un « je t’aime » aurait été plus convaincant Rain »

« Ne me demandais pas la première chose qui m’a séduite chez lui. Je ne le sais même pas moi-même. Rain est une personne insaisissable, c’est au moment où on croit le connaître qu’on se rencontre que tous cela n’étaient qu’un écran de fumé. Il n’est pas comme ces garçons en quête d’un nouveau trophée à leur tableau de chasse. C’est ce que je crois. Il a se côté « mauvais garçon » que les filles adorent en général. Il a toujours était dans son monde et n’a jamais prêté attention à ce que les autres disaient de lui. Je l’ai vraiment aimé, peut être pas assez pour qu’il reste à mes côtés. Je ne connais pas trop bien sa famille, je l’ai entendu parler deux ou trois fois de sa mère mais cela s’arrêtait là. Malgré tout, Rain a choisi de mettre un terme à notre relation, il c’est contenté de me dire un « c’est finit » et puis il est partit sans me donner plus d’explication. C’est à ce moment que j’ai compris qu’il n’était pas comme je l’idéalisais. »

Benjamin Ashmore – ami.

« Tu sais que tu es un abrutis ? »
« C’est pour ça qu’on est ami Ben, non ? »

« Rain, un ami comme on en croise pas tout les jours. Bon, il avait le goût du risque, il aimait se mettre dans des situations impossibles mais il avait un bon fond. C’est avec lui que j’ai fais mes plus belles conneries, c’est lui aussi qui était là, quand le passé me rattrapé et que ma vie perdais son sens. Rain un mec qui est l’écoute des autres, qui arrive à vous résonner en cas de crise. Une personne sur qui on peut compter. J’ai mis un certain temps à m’habituer à ces sautes d’humeur. Un jour tout sourire, l’autre il ne parlait à personne et vice versa. Ca vie amoureuse ? Il était discret dessus, mais monsieur avait quand même un sacré succès avec la gente féminine. Le côté beau brun ténébreux doit y être pour beaucoup. Rain n’aime pas parler de lui, d’ailleurs je ne sais pas grand-chose sur sa vie. D’un naturel silencieux, il préfère agir plutôt que de parler. »

Steven N. Stay – Professeur principal.

« Il faut travailler pour réussir ! »
« On ne doit pas avoir la même définition alors. »

« Rain W. Leeroy un élève appart pour ne pas employer le terme bizarre. Il a toujours occupé la place au fond de la classe à côté de la fenêtre et il passait des heures à observer dehors. Par contre, il se battait beaucoup et n’acceptait pas l’autorité. Et pourtant, j’ai essayé de lui parler, je l’ai même avertis que si son comportement perdurait, il risquait le renvoie mais il n’a rien prit en compte et continuait ces agissements. La rumeur de la salle des professeurs dit qu’il a perdu sa mère assez tôt et depuis son père passe sa vie au bureau. Mais après tout, ce ne sont que des rumeurs. »

Arthur Junior Wood – ennemi de toujours.

« Viens te battre si tes un homme ! »
« Parce que toi, tu en es un Junior ? »

« Ce type dès le départ je l’ai pas aimé. Ce n’est qu’un frimeur qui aime sortir des grandes phrases mais au final il vaut rien. Je l’ai toujours trouvé arrogant et trop sur de lui. C’est pour ça que je voulais me battre avec lui. Je voulais lui foutre la raclée de sa vie pour que Rain se ramasse de son pied d’estale. Bon okay, il m’a bien amoché mais je ne compte pas en rester là ! Sous prétexte que sa mère soit morte, il doit avoir un traitement de faveur ?! Sa marche pas avec moi ! Et le pire, c’est qu’il m’a piqué ma petite amie, Eliza et puis il l’a jeté. Une fois qu’il m’avait atteint, il n’avait plus besoin d’elle. Je suis malade rien cas entendre son prénom. Il fait croire à tout le monde que c’est quelqu’un de bien, on dirait que je suis le seul à le voir tel qu’il est, une pourriture. »

La vie est une vaste comédie. Dès ma naissance mes parents on simulé la joie, alors que j’ai appris dès que je fus un âge de comprendre, que j’étais une de ces erreurs de parcours. Savoir qu’au final personne n’a vraiment désiré ma venu à toujours influencé mon mode de pensé. Si personne ne veux de moi, ou est ma place ? C’est cette question qui guide mon existence. Depuis je cherche ma place dans ce théâtre ou seul les meilleurs acteurs survient. A mon tour, je suis entré dans la danse et j’ai fais comme eux.
Mon enfance fut bercée par l’illusion d’un amour familiale, ils se sont amusés à me faire croire que j’étais leur source de joie alors que je les entendais quand j’étais petit, se disputer à mon sujet. J’ai grandis entre le Japon et l’Amérique. Une mère japonaise et un père américain. Curieux mélange quand on sait que ces nations se faisait la guerre il n’y a pas si longtemps. Rain est le prénom que mes parents on choisi, Watanuki le nom de ma mère et Leeroy celui de mon père.

« Est-ce que tu m’aimes maman ? Pourquoi ne me l’as-tu jamais dit ? »

Je n’ai jamais été un élève brillant, les professeurs se plaignaient souvent de mon comportement un peu trop rêveur et de l’hypocrisie de mes sourires quand je me faisais réprimandé. J’ai toujours considéré l’école comme un centre d’enfermement. Je trouvais inutile d’apprendre des choses que nous oublions tous à un moment, ce que je voulais ? Apprendre des choses utiles, la musique par exemple, les choses qui nous resterons après nos études. J’ai toujours mit un point d’honneur à être dans la moyenne, juste assez pour faire enrager mes enseignants. La seule personne en qui j’ai confiance est Benjamin, un garçon que j’ai rencontré quand j’étais en primaire. Le seul qui était sincère avec moi, certain le traitait « d’imbécile heureux » mais c’est son côté naïve qui m’a plus, le dernier à apprendre que le père noël n’était qu’une invention ou que l’argent venait de sa mère mais pas de la petite souris. J’ai grandis avec lui et pour rien au monde je voudrais effacer les moments que j’ai eus en sa compagnie.

« C’est quoi cet endroit Rain ?»
« Je voterais pour l’antichambre de l’enfer. »

Le lycée ou comment entrer dans un nouveau monde. Finit l’innocence des premiers jours, place à la vie, la vraie. C’est le jour de ma rentrée que ma mère a quitté ce monde. Un suicide. Mon père, à moitié mort de chagrin me lança que c’était moi le déclencheur, que depuis le début je leur cause que des problèmes et que c’est moi qui l’est poussé à commettre se geste. Bizarrement, je n’ai pas pleuré, j’ai continué à vivre comme si de rien était et pour me consoler je me suis dis que son absence était dû à long voyage d’affaire. Depuis cette tragédie, je ne parle plus d’elle, je ne mentionne plus son prénom, je vis comme si elle n’avait jamais existé. Je redoute le jour où la peine me submergera et que je réaliserais que tout cela n’est que la réalité, non un mauvais rêve. Je me suis renfermé un peu plus sur moi-même, et oublié la vie qui avait au tour de moi. J’ai multiplié les bêtises en tout genre, et je me suis battue au point de ne plus sentir mes phalanges. Un moyen d’extériorisé ma douleur. J’eus le droit de m’attirer les foudres du fils à papa, Arthur Junior Wood. Il a voulu faire de ma vie un enfer… Ce n’est qu’un petit joueur dans la cours des grands. En guise d’avertissement, je lui fit comprendre le fond de ma pensée, aussi douleur soit-il. Mais il continua alors, je décida de taper plus fort, là ou ça fait vraiment mal. Le cœur. Je lui piqua sa copine mais au final ce plan qui semblait si parfait se retourna contre moi. Je plaqua Eliza au bout de deux mois de relation compliqué et inutile. Les études lycéenne terminé, je décida de quitter le Michigan pour New York City. Cette ville démesurée qui change de visage la nuit tombée. J’intégra une des écoles de la ville pour terminer mes études dans quelques choses qui me plaisait pour enfin donner un sens à cet vie.

Prénom : Lou - Malou - Hayame
Âge : 16 ans & 6 mois
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