Sujet: Valentino Sebastian Sandrelli Mar 2 Mar - 19:25
« Valentino S. Sandrelli » Feat. Gaspard Ulliel
Âge : 24 ans Date & Lieu de naissance : 12 Août 1984 Groupe : Rebels UFR : UFR 9 Étude : Management services sportifs et loisirs Prédéfini ou Inventé : Prédéfinis
Sweet about me :
« MORE ABOUT MY PERFECTION »
Physique & Style :
Valentino est beau garçon, beaucoup de gens le reconnaissent. Il a des cheveux bruns dont les mèches rebelles s’amusent à barrer ses grands yeux bleus et brillants, surmontant des lèvres gourmandes. La peau légèrement hâlée, il profitait également de son corps mince et musclé pour réussir toutes les épreuves sportives qu'il entreprenait et bien entendu, attirer un peu l'attention. De grande taille mais le sourire difficile, Valentino aime bien prendre soin de son apparence, chose capitale lorsqu’on est réduit à rien du tout. Pour ce qui est de ses vêtements, le jeune homme ne se complique guère la tâche ! Il faut quand même avouer qu'il les porte bien : une chemise, un jean, et le voilà habillé ! Quoi de plus simple après tout ?! C'est un beau jeune homme certes, malheureusement une chose cloche dans son apparence : sa chaise roulante... qui attire bien des regards critiques.
Caractère :
Valentino n'est pas bien facile à vivre, il faut le reconnaitre. Il n'en a pas toujours été ainsi. Il y a peu de temps, le jeune homme était de nature enjoué, croquant la vie à pleine dent et ne vivant que pour le sport. Il était souriant, fêtard, intelligent et bourré de qualité. Son accident lui a gâché la vie et changer tout à fait sa façon de voir les choses et avec elle son caractère. Aujourd'hui, c'est un garçon très sérieux que ne laisse rien passer, qui déteste qu'on lui manque de respect et qui ne sourit pas. Il est fermé, pas très sociable et surtout susceptible et impulsif. Difficile de lui faire entendre raison quand il a une idée derrière la tête, c'est un véritable tête de mule. Cependant il reste juste et respectueux envers ceux qui en font de même. Il n'aime pas l'autorité mais sait contrôler ses humeurs... du moins il essaye. Avec ses rares amis, il se montre discret et ne parle pas beaucoup. Mais il a une nature douce au fond de lui malgré ses grands défauts, une partie du sportif d'autrefois reste au fond de son cœur et lorsqu'il repense au passé, il se sent bien. Il aime regarder les matchs et étudier le sport et son fonctionnement, même s'il ne peut plus se servir de ses jambes.
Histoire :
Valentino est né exactement le Jeudi 12 Août 1984 à Rome, un jour où le soleil brûlait et donnait à l'atmosphère une sensation étouffante et pesante. Tout le monde restait dans l'ombre fraiche des maison ou près des cours d'eau pour se rafraichir, et dans les hôpitaux, des ventilateurs avaient été installés dans toute les chambres et les infirmières couraient en tout sens, des serviettes fraîches à la main. Dans une chambre, au fond d'un couloir clair, une jeune femme venait de donner la vie avec toutes les peines du monde. L'homme qui venait d'extirper l'enfant du cocon familial brandit le bébé braillard devant son père, pâle comme un cachet d'aspirine. C'était un miracle si il avait pu assister à cela par ailleurs. Son statut d'homme d'affaire l'envoyait dans les quatre coins du monde parfois. Il se nommait Antonio Sandrelli, un pur Italien de sang et sa femme Carmen Sandrelli, italienne également. Ils s'étaient installés ici pour l'amour de cette ville historique après leur mariage voilà près de 2 ans. La naissance de leur fils unique était un cadeau du ciel pour ce couple.
Quand l'enfant eu 8 ans, Carmen décida de quitter la ville idyllique de Rome pour déménager aux États-Unis, plus précisément à New York ou se situait le siège de l'entreprise de son mari, histoire que le père du petit Valentino soit d'avantage présent. Celui-ci eu une bonne éducation, prenant soin de sa mère souvent trop seule et travaillant en tant que bon élève. Mais les études l'ennuyaient un peu. Ce qui le passionnait depuis tout gamin c'était le sport, et il était vraiment doué un peu partout. Il avait tout essayé : le basket, le football, le volley-ball, la baseball, le tennis, le handball, le golf avec son père, l'escalade, la parapente, la course, l'équitation, la boxe, le karaté... bref il ne s'arrêtait jamais. Un véritable hyperactif bourré de talent et promit à une belle carrière sportive. Sa mère était fière de lui et l'encourageait. Elle n'était pas du genre de mère à souhaiter envoyer sa fils dans des études de Droit, de Médecine ou autres chose du genre. Si son fils était heureux sur cette voie, elle l'y encourageait. Son père en revanche était plutôt réfractaire à ce choix. Il aurait préféré que son fils suive sa voix et travaille dans son entreprise. Mais Valentino détestait l'univers de la bureaucratique et du business. Il était bien mieux sur un terrain, bourré d'adrénaline et couvert de sueur pour se surpasser toujours plus. Là était son but.
A l'âge de 16 ans environ, son père lui proposa de s'installer en Angleterre avec où il devait travailler pendant quelques années, en l'envoyant chez sa mère tous les week-end. Valentino refusa catégoriquement, prétextant qu'il ne pouvait pas lâcher son équipe et son lycée. Manque de pot, son père avait "tout arrangé" et avait annulé ceci auprès de son entraineur et du Directeur de l'établissement. Le jeune garçon n'eut pas vraiment d'autres choix que de suivre son père sans trop rechigner. Il prépara donc ses affaires, embrassa sa mère et ils s'y rendirent, le jeune homme sans grande motivation. Mais il avait tort... Là-bas, à une partie de golf organisée avec son des amis d'Antonio, il rencontra Morgana Rose, la fille d'un collègue de son père. Ils parlèrent beaucoup autour d'un verre, et Valentino trouvait cette fille passionnante. Elle avait une passion pour la musique et le violon en particulier, et même si le jeune homme n'y connaissait rien, il était curieux de beaucoup de choses et rien ne lui plaisait plus que de partager ses connaissances et ses passions avec elle. Ils devinrent vite de très bon amis et échangèrent leur coordonnées pour ne pas se perdre de vue. Il lui envoyait très souvent des e-mails et lui passait des coups de fils réguliers. Ils se retrouvèrent avec grand bonheur au même Lycée pendant deux ans, ne se quittant pas d'une semelle, leur relation toujours grandissante. Il adorait cette fille et, avouons-le, il en était même amoureux. Elle assistait à tous ses matchs et de son coté, Valentino ne ratait aucune de ses représentations, lui répétant sans cesse qu'elle était la plus grande virtuose et violoniste de tout les temps. Petit à petit, leur amitié se transforma en amour et en romance. Le jeune homme ne pouvait plus se passer d'elle et ils passèrent un nuit royale gravé à tout jamais dans ses souvenirs et dans son cœur. Mais l'absence de sa mère et le désir brûlant de retourner faire une université de sport aux Etats-Unis était trop forte. Son père le négligeait un peu ces temps-ci et il voulait partir. A contre cœur, il du se séparer de sa tendre Morgana qui ne pouvait le suivre. Alors il disparut de sa vie et s'en alla vivre de nouveau à New York avec sa mère, ravie de le revoir encore grandit.
Comme prévu, il entra dans l'université sportive de New York ou il battait tous les records ! Son don était une bénédiction, il s'était spécialisé dans le Volley-Ball et était vite devenu chef d'Équipe. On lui proposa même d'intégrer une véritable équipe et il accepta. Il joua plusieurs matchs nationaux, puis internationaux en tant que chef d'équipe également. Un vrai bonheur, son rêve se réalisait enfin ! Malheureusement... ce rêve se transforma subitement en cauchemar. Un soir, alors qu'il venait de gagner un match magnifique contre les Irlandais, il quitta son équipe, ayant un peu bu. N'ayant pas de voiture, il prit sa moto, une magnifique Yamaha R1 noire et blanche qui faisait toute sa fierté et roula à grande allure jusque chez lui. Il aurait du réfléchir, être raisonnable et prendre un taxi. Mais il ne l'avait pas fait, et cela lui couta ses jambes, sa carrière, et sa vie... Il vit bien trop tard le bus qui venait de griller le stop à sa droite et le percuta de plein fouet. il ne se souvenait de rien... juste d'avoir percuter violemment le bus, puis le noir complet. Quand il reprit ses esprits à l'hôpital, sa mère était à ses cotés, tenant sa main fermement dans la sienne, le visage trempé de larmes. Il ne comprit pas immédiatement ce qui se passait, il était vivant, tout devrait s'arranger. C'est alors qu'il prit conscience que ses jambes ne répondaient plus, mais alors plus du tout. Et sa mère n'eut pas à prononcer un seul mot pour qu'il comprenne ce dont il était victime. Il hurla de rage et de désespoir, l'infirmière et sa mère essayaient en vain de le calmer. Il ne pourrait plus jamais jouer un match, plus jamais courir ni marcher... et on doutait fortement qu'il puisse retrouver l'usage de ses jambes.
Il resta deux semaines à l'hôpital, en quasi dépression. Puis, lorsqu'il alla mieux, il rentra chez lui. Sa mère du acheter une autre maison plus adaptée et sans étages pour permettre à son fils de vivre sans contrainte dans ce fauteuil roulant. Pour ses 23 ans, son père qui venait bizarrement de plus en plus souvent à la maison, lui acheta un fauteuil roulant superbe, électrique, et tout équipé. Et Valentino ne voulu jamais l'utilisé. Il était déjà dégoûté de ne plus pouvoir utilisé ses jambes, il ne voulait pas de ses machins, il était pas encore fini bon Dieu ! Il se débrouillait très bien avec son bon vieux fauteuil, poussant les roues avec ses bras comme tout le monde. Pas besoin de ces robots. Cela affligea profondément son père, mais il accepta la volonté de son fils et revendit le fauteuil, préférant alors offrir à Valentino des billets pour les jeux Olympiques prochains. Bien mieux, le jeune homme en fut ravi. Il du modifier ses études à l'école New Yorkaise bien entendu, mais tout en restant dans l'esprit du sport qu'il aimait tant. Et il ne se doutait pas que la jeune et belle Morgana l'y avait rejointe...
Signe(s) particulier(s) :
Valentino ne porte rien de très particulier si ce n'est un tatouage sur son omoplate gauche représentant le logo des jeux olympiques.
Orientation Sexuelle :
Hétérosexuel
Citation favorite :
« Donner, recevoir, partager : ces vertues fondamentales du sportif sont de toutes les modes, de toutes les époques. Elles sont le sport. »
« BEHIND THE COMPUTER »
Prénom : Aurélien Âge : 18 ans Comment as-tu connu ce forum ? : Par une amie ^^ Ton avis (design, contexte, ...) : Magnifique ! Tout simplement superbe ! *_* Présence sur le forum : 4/7 j. Autre(s) compte(s) : Aucun Exemple de RP :
Spoiler:
Je me levais de bon matin en sursaut après un étonnant cauchemar, comme à mon habitude. En sueur, le souffle saccadé, je réalisais petit à petit que rien n’avait été réel. Passant une main sur mon visage brûlant je grimaçais en fermant les yeux, me maudissant d’être aussi stupide. Faire des cauchemars c’était pour les gosses… et pourtant toutes les nuits pratiquement c’était la même chose. Une ombre entrait chez moi et massacrait un par un les membres de ma famille. Sauf que cette ombre c’était moi… j’étais dans la peau de cet assassin et mordait, déchiquetait avec acharnement la gorge de ma mère, de mon père, de ma petite sœur, de mon frère et de sa fiancé. Un par un, avec une faim grandissante, une envie de sang toujours plus vive. La fin était terrible, je terminais par mon grand frère, le surprenant dans la salle de bain alors qu’il s’apprêtait à en sortir… je me jetais sur lui et le tuais avec tant de violence que le sang giclait sur tous les murs et sur le miroir. Ce miroir dans lequel, lorsque je levais les yeux, je reconnaissais mon visage blanc, la mâchoire dégoulinante d’un sang qui n’était pas le mien, et deux canines impressionnantes. Moi un vampire ? Jamais. Et l’assassin de ma propre famille encore moins. Je connaissais le vrai coupable et même si mon désir de vengeance était débordante et puissante, je savais que je ne pourrais rien contre ce vampire. Je n’étais qu’un humain. Et d’un certain point de vue, Dieu merci d’ailleurs.
Encore tout chamboulé, je me levais maladroitement de mon lit et me dirigeais vers la salle de bain. Liam dormait depuis un moment sans doute, je ne dérangerais donc personne. Je pris mon temps puisque rien ne m’attendait pour l’instant. Peut-être irais-je faire un tour dans les cuisines histoire de reprendre quelques habitudes et d’aider les cuisiniers. En sortant de la salle de bain, serviette autour de la taille, je tournais les yeux vers la fenêtre pour me rendre compte qu’il faisait un temps de chien, gri s et pluvieux. Soupirant, je regagnais ma chambre pour m’habiller d’un tee-shirt noir, d’un jean et d’une paire de basket blanche pour enfin sortir de l’appartement de mon maître. Au moins j’étais sûr de ne pas croiser de vampire… du moins je l’espérais. Je me rendais au cuisine et, après avoir salué tout le monde, j’enfilais un tablier d’un blanc immaculé et commençait à travailler. J’avais commencé à apprécier la pâtisserie très tôt, grâce à ma mère qui nous préparait toujours de délicieux gâteaux ou de succulentes viennoiseries. Pour aujourd’hui, je préparais des choux à la crème, des éclairs au chocolat et au café, et enfin, des beignets aux pommes, histoire de varier et de satisfaire le plus de gens possible. Après tout, ces pauvres humains comme moi avaient bien besoin d’un bon repas. Cela me prit beaucoup de temps, jusque dans l’après-midi en fin de compte. Entre temps j’avais avalé une assiette de saucisse/purée en vitesse pour le déjeuner, puis avait reprit mon travaille.
Mon boulot terminé, je rangeais mon tablier, saluait de nouveau l’ensemble de la brigade, et rentrait à l’appartement de Liam. Je me débarbouillais un peu, puis décidais d’aller faire un tour sur l’ordinateur dernier cri que mon Maître vampire possédait mais dont il ne se servait jamais. En quelques cliques, je rentrais sur ma messagerie. Avec une moue, j’y vis des tas d’e-mails de mes amis qui se demandait ou j’étais, m’envoyait des cours, ou m’annonçait que les flics me cherchaient. Ça je le savais déjà… ils pensaient même que, étant donné ma disparition étrange, j’étais le meurtrier. Pff… bande d’abrutis ! Les flics aussi m’avaient envoyés deux e-mails. Le premier me posait des questions, désirait savoir où j’étais et ce que je faisais et me priait de me rendre à la gendarmerie. Je supprimais tout cela. Répondre à mes amis ne me serait d’aucune utilité. Autant qu’ils continuent à croire à ma disparition. J’ouvrais alors le deuxième e-mail provenant de la gendarmerie. Bondissant de ma chaise, les yeux grands ouverts de surprise, je relis une deuxième fois les mots inscrits.
Mme Mary Stewart, Le Docteur Briand, l’Inspecteur Franz et son équipe : ont la douleur de vous faire part du décès de : Mme Mary-Jane STEWART (48 ans), Mr Clark STEWART (49 ans), Mr Grégory STEWART (26 ans) et sa fiancée Mlle Adeline Gibbs (24 ans), et Mlle Tiffany STEWART (20 ans) survenu le 10 Mars 2010, à Shadow’s Hill. Leurs obsèques seront célébrées dans le cimetière de Shadow’s Hill le 29 Mars 2010.
Je n’arrivais pas à y croire. Comptant rapidement dans ma tête, je réalisais que cette date était celle d’aujourd’hui. On enterrait ma famille aujourd’hui même et moi j’étais coincé dans ce château avec l’interdiction de sortir à l’extérieur !! Bons sang ! Cette idée faisait battre mon cœur à toute allure. Je n’avais pas le choix. Au diable si les dévots me ramenaient une fois de plus au château en mille morceaux, ça m’était complètement égale. Je ne pouvais pas rater ce moment ! Je quittais l’écran et fonçait dans ma chambre pour me changer. Chaussure, jean et chemise noire ainsi qu’un imperméable à capuche noir également, non seulement pour être discret mais aussi pour ce maudit temps. Le tout sur le dos, je quittais le château au pas de course. Dans un peu plus d’une heure déjà, il ferait pratiquement nuit. Je devais me dépêcher.
Arrivé dehors, je courais comme une flèche à travers le bois, trébuchant quelque fois, pour arriver plus tard, enfin, au cimetière, essoufflé. En bordure, il y avait plusieurs arbres ou je restais à l’abri des regards. Ce fut une bonne idée, car à peine 100 mètres plus loin, devant moi, les dernières personnes quittaient à l’instant le cimetière. En dernier, titubant et supporté par un homme inconnu, je reconnue Mary Stewart, ma grand-mère âgée de 80 ans environ, l’air effondrée. Sa fille, son mari et ses petits enfants étaient décédés avant elle… une tragédie. Je fis deux pas précipités, dans le but de vouloir rejoindre ma grand-mère, la tenir dans mes bras, pleurer avec elle et la rassurer… mais je m’immobilisais soudain et reculais de nouveau à l’ombre d’un arbre, les larmes aux yeux. Je ne devais pas me montrer… les flics me verraient et j’aurais de sacrés ennuis. Alors j’attendis presque vingt minutes que le silence tombe et je m’avançais, seul, vers les deux tombes fraichement installées. Une pour ma famille, l’autre pour Adeline, orpheline depuis l’enfance et sans famille. La capuche masquant mon visage et la pluie continuant de tomber, je restais droit debout devant la tombe de ma famille. Il n’y avait même pas encore les blocs de marbre. Juste un grand rectangle de terre et en attendant, une simple plaque posée dessus avec inscrit le nom de tous ceux qui reposaient en dessous. Cette image fit couler les premières larmes et soudain, me laissant tomber à genoux, j’éclatais en sanglot, le visage entre mes deux mains tremblantes.
La pluie tombait de plus en plus, et le soleil venait de disparaitre derrière l’horizon, me plongeant dans l’obscurité. J’étais seul, effondré au milieu du cimetière face à la tombe de mes parents, de mon frère et de ma sœur, et je ne pensais plus aux vampires et à cette règle qui était censé m’interdire de me trouver ici. Mais rien n’y personne n’aurait pu m’empêcher de pleurer et de me recueillir devant la tombe de ma famille. Rien. Seul la lune et une ou deux étoiles étaient témoins de cette scène. Quoique…
Code du règlement :
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OK by Toffee.
« I'M SO BEAUTIFUL »
Dernière édition par Valentino S. Sandrelli le Mer 3 Mar - 23:43, édité 3 fois
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Sujet: Re: Valentino Sebastian Sandrelli Mar 2 Mar - 19:34
Bienvenue ici ^^ J'édite ton code ; bonne continuation (:
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Sujet: Re: Valentino Sebastian Sandrelli Mar 2 Mar - 20:00
Gaspard Ulliel .. o_o ... *instant de gros doute* ... ça veut dire que j'ai encore perdu un colloc ç_ç *maudit*
Bienvenue en tout cas et bon futur rp !
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Sujet: Re: Valentino Sebastian Sandrelli Mar 2 Mar - 20:01
Valentinooooooooooooooooooo *_*
Bienviendue ici!!! & bon courage pour ta fichouille
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Sujet: Re: Valentino Sebastian Sandrelli Mar 2 Mar - 20:06
Hum... Miam ?
Bienvenue ! ^^ Bonne continuation pour ta fiche.
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Sujet: Re: Valentino Sebastian Sandrelli Mar 2 Mar - 20:22
Merci à tout le monde ^^ Je pense avoir terminé !
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Sujet: Re: Valentino Sebastian Sandrelli Mar 2 Mar - 20:26
Oulah, 19 ans et né en 84 ? XD
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Sujet: Re: Valentino Sebastian Sandrelli Mar 2 Mar - 20:26
1984 = 19 ans Je lui mettrais déjà la majorité américaine sûre (21ans)
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Sujet: Re: Valentino Sebastian Sandrelli Mar 2 Mar - 20:29
J'ai modifié avec 24 ans ^^ petite étourderie lol
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Sujet: Re: Valentino Sebastian Sandrelli Mar 2 Mar - 20:59
Gaspard bienvenue
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Sujet: Re: Valentino Sebastian Sandrelli Mar 2 Mar - 21:03
Merciiiiiiiiiiii ^^
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Sujet: Re: Valentino Sebastian Sandrelli Mer 3 Mar - 8:30
June D. Hathaway-Elkins a écrit:
J'édite ton code ; bonne continuation (:
Nan, c'est moi !
Bref, bienvenue à toi. Tout me semble en ordre, une admin pourra donc passer te valider.
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Sujet: Re: Valentino Sebastian Sandrelli Mer 3 Mar - 11:40
Bienvenue Valentino (:
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Sujet: Re: Valentino Sebastian Sandrelli Mer 3 Mar - 11:57
Bienvenue à toi =)
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Sujet: Re: Valentino Sebastian Sandrelli Mer 3 Mar - 13:32
Merci tout le monde ! ^^
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Sujet: Re: Valentino Sebastian Sandrelli Mer 3 Mar - 14:20
Bienvenue parmi nous ! Validé; bon jeu sur le forum Si tu as du mal à t'intégrer, un système de parrainage est mis en place sur le forum. N'hésite pas à envoyer un MP si tu as une question. Pense à voter pour NYCL sur les topsites (aa)
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Sujet: Re: Valentino Sebastian Sandrelli Mer 3 Mar - 14:51
Super ! Merci beaucoup !!
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Sujet: Re: Valentino Sebastian Sandrelli
Valentino Sebastian Sandrelli
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