Âge : Vingt-deux ans.
Date & Lieu de naissance : Seattle. Vingt-huit Mars 1988.
Groupe : Adulte.
UFR : //
Étude : //
Prédéfini ou Inventé : Inventé.

Physique & Style :

J'ai le physique de ma mère. Normal d'un côté, vu que j'aurais tout de même un peu de mal à trouver une quelconque ressemblance entre moi et mon père. Sauf les yeux, je dois les tenir de lui ... j'en sais rien, mais le fait est, que mes yeux ne ressemblent absolument pas à ceux de ma mère. Ils sont bleus. Mais vraiment bleus. Je les adores, tout le monde les adores d'ailleurs, je ne compte même plus le nombre de fois où l'on me les a complimentés. Leur forme, leur couleur, tout y passe. Mais après tout, je ne vais pas m'en plaindre. Il parait que j'ai les traits plutôt fins, du moins c'est ce que ma mère m'a toujours répété .Ce n'est pas de famille apparemment, mais une fois de plus je ne vais pas m'en plaindre. C'est vrai ça colle parfaitement bien avec ma silhouette. Je suis grande. Trop grande selon moi. un mètre soixante-quinze. C'est grand avouez! Certes être petite, tout le monde déteste ça, mais imaginez faire cette taille! Pas de talons. L'horreur. Les chaussures à talon j'adore ça. De plus il parait que ça rend plus mince. Bon là non plus je n'ai pas trop à me plaindre non plus. Cinquante-neuf, c'est raisonnable pour ma taille. Sauf que je les hais ces Cinquante-neuf kilos. C'est trop, beaucoup trop. De toute façon je vais tout faire pour les perdre, je ne serais pas satisfaite avant avoir atteins les cinquante-cinq minimum. Ce n'est pas raisonnable je sais. Mais je ne vais pas m'éterniser sur le sujet. Aucune femme n'est en accord avec son poids de toute façon, éternelles insatisfaites.
Du haut de mon mètre soixante-quinze, j'ai une jolie petite touffe brune. Incoiffable, incontrôlable. Mais je l'aime. Sérieusement, mes cheveux sont loin d'être moches hein. Juste que j'adore les coiffer n'importe comment, et au final ça donne pas grand chose. Quoique parfois si. Mais j'ai horreur d'avoir plusieurs jours de suites la même coiffure. Non je dois en changer c'est plus fort que moi. De toute façon je change en fonction de mes vêtements. Ça aussi, c'est pareil, j'en change tout le temps. Et pourtant je n'ai pas forcement les moyens.Je ne porte jamais de marques, j'achète tout à prix très bas, je fouine, je fouine pour trouver le moins cher possible. Les marques ça ne sert pas à grand chose de toute façon. Je n'ai pas de style particulier, je met ce que j'aime et ce qui me va bien, point. Même si j'essaye, de me donner une toute autre apparence que celle que je suis intérieurement,. Je crois. Je parait beaucoup plus sûre de moi, et ça fait toute la différence.

Caractère :

Caractère changeant. De ce côté je suis ingérable. Je change tout le temps, jamais satisfaite, je peux être adorable, vraiment, puis deux jours plus tard tout faire pour vous détruire. Ouais, c'est plus fort que moi. J'ai été cette fille trop naïve, trop heureuse, qui vois le bien en chacun, mais j'ai changé, évolué.J'étais tellement inintéressante, c'en est triste, vraiment. Puis j'ai changé, grâce à Chanelle. Je suis devenue une garce. Bon certes pas une de ces garces qu'on prend plus pour des pouffiasses qu'autre chose, non, j'étais du genre a adorer jouer des apparences, quelques peu hypocrite et manipulatrice sur les bords. Mais une fois de plus j'ai changé. Parce que dans le fond je reste toujours aussi naïve et manipulable. Trop idéaliste, trop conne. J'en ai conscience, c'est ça le pire, mais c'est plus fort que moi. Je fais confiance à tout le monde, on me manipule comme un jouet. Je le sais, j'y peux rien, c'est frustrant, vraiment. Mais le pire c'est que je fais confiance aux gens, alors que je les détestes. Je hais tout le monde.Quelque peu misanthrope sur les bords peut-être, mais une fois de plus je ne peux pas le contrôler, à force d'aimer tout le monde, j'ai fini par tous les détester. Parce qu'ils savent si bien m'atteindre, et plus on est proche de certaines personnes, plus il leur est facile de nous blesser. Et ça je m'y refuse. C'est pour ,disons, ma survie que je fais ça sans doute. Je suis trop fragile, trop sensible aussi. Je déteste ce côté de moi, trop faible. J'aimerais être forte. J'aimerais être au dessus de tout et de tout le monde, ne pas à avoir a ressentir de quelconque sentiments.
La question a se poser c'est ai-je des qualités? J'en ai strictement aucune idée. Je hais de tout de moi. Certains pense qu'être sensible, avoir un caractère doux, sont des qualités relativement agréables, mais ce n'est pas ce que je cherche. J'ai de la volonté, certes, beaucoup trop. Mais ça en m'avance pas à grand chose Parce que vouloir ce n'est pas pouvoir. Je ne me donne pas les moyens de réussir, je ne compte pas briller en société. Je ne suis même pas sociable, pourquoi devrais-je m'intéresser aux autres? Enfin je pense ça, mais je ne suis pas forcement plus intéressante qu'eux. Mais j'ai mon orgueil pour ça. Un joli petit orgueil qui me comble et me suffi. Je me suffi à moi-même, exactement.

Histoire :

La vie est une chienne, le saviez vous? J'aurais pu tout avoir. Ouais sauf que voilà, j'ai été trop naïve, trop conne. Je suis née dans cette jolie ville qu'est Seattle, sérieusement j'étais heureuse. Douze jolies petites années de ma vie. Je n'ai pas de frères, ni de sœurs. Je n'ai pas même de père à vrai dire. Et pourtant j'étais bien heureuse. Pas besoin d'avoir une grande famille. Je suis née de l'union d'une femme triste et froide et d'un joli petit pot. Le don de sperme, ça fait des merveille. En l'occurrence moi. Mais ça ne m'a jamais gênée. Au contraire, j'étais la petite fille, toujours heureuse et souriante. Celle qui fait une tonne de bêtises, mais si adorable qu'on oubli le tout très vite. Du haut de mes trois pommes je mettais tout le monde dans ma poche, mais a vrai dire je m'en foutais à l'époque. Enfance bien naïve. l'adolescence aussi d'ailleurs. Disons que jusqu'à mes douze ans, je suis resté vivre à Seattle. Puis ma mère a bien fini par en avoir marre. Sérieusement. Son job lui proposa de muter, elle accepta bien vite. Tant mieux.

Mon enfance est tout sauf intéressante. Qui s'intéresse à l'enfance d'une petite fille naïve? Ça tourne en rond, toujours la même chose. Le monde est beau, le monde est joli, point. Je vous épargne des lignes qui ne servirons à pas grand chose, ci ce n'est me discréditer. Il n'empêche que je voyais le beau, le bien, en tout et tout le monde. J'aimais tout, et j'étais loin d'être une enfant capricieuse, qui fout son bordel, et qui n'aime rien juste parce qu'elle l'a décidé. Ouais, mais j'ai déménagé. Los Angeles. Oui, je fréquente les grandes villes, et j'adore ça. Los Angeles, je connais comme ma poche, le pied, vraiment. J'y ai grandis aussi naïve et heureuse. Je ne sais vraiment pas comment je faisais à l'époque. J'étais invisible, mais pourtant aimée de tous. Sans histoires. Je n'ai relativement pas fais de crise adolescence. Ou tardivement alors. Encore une fois j'étais inintéressante. J'aimais la vie, j'étais heureuse. Toujours heureuse, trop heureuse. C'est niais je vous l'accorde. Et puis ma cousine est arrivée. Ah Chanelle. Sans elle je ne serais pas là aujourd'hui, je vous l'assure. Ou sinon je serais resté la même conne que j'étais à l'époque. Je ne lui en veux pas, je ne lui en voudrais jamais. Parce que c'est ma cousine, ma Chanelle, mon tout, mon double. On a vite été heureuses à deux, aussi improbable que cela puisse paraitre. Elle, c'était tout mon contraire. En apparence la fille parfaite, adorable heureuse. Moi. Et a l'intérieur? Un démon. Vraiment, le diable en personne. La pire garce au monde, si manipulatrice, et hypocrite. Et moi si manipulable et naïve. Vous voyez le truc? Et bien vous avez tord. Ce qui aurait sans doute dû se produire ne s'est pas produit. Non, elle n'a pas abusé de mon ignorance. Parce que dans le fond on se complétait. La pauvre. Elle venait tout droit de Phoenix. Sa ville, son monde. Elle avait toujours grandit sous le feu des projecteurs, les apparences trompant. Et puis sa mère a tout découvert. Sa mère? Une horreur. Elle a envoyée au loin sa fille, histoire qu'elle subisse mon influence de jeune fille modèle. Avant même de me connaitre elle me détestait. Mais je ne la remerciais jamais assez, sa mère je veux dire. Parce que Chanelle, je ne la connaissais pas avant. Et on est bien vite devenues inséparables. Je lui apportais de ma "sagesse", elle m'apportait de sa connerie. J'ai grandis, je suis devenue femme. Du moins je le croyais, après tout j'avais seize ans. À nous deux, on est devenu... Invincibles? Jouant des apparences, s'apprenant l'une à l'autre, on était plus proches que jamais. Cette fille je l'admirerais toujours. C'est vite devenu "ingérable" pour ma mère. Pauvre femme célibataire. Et hop, du haut de nos seize ans on a été envoyées en pensionnat à New York. Une connerie, une fois de plus.

Quelle idée! Sérieusement quelle idée de nous envoyer là bas? Certes ma mère- ma très chère mère- serait bien à l'abri des problèmes. Chane et moi étions ses problèmes, et une fois à New York, ça ne la concernait plus. Mais plus con comme idée, tu meurs. Quelle mère, pour empêcher sa fille de faire des conneries l’enverraient à New York, je vous jure! Et pourtant tout ce passa bien au début. Pas de "grosses" conneries. Non on était plutôt sages, on allait à des fêtes, certes. Et on y allait en cachette, mais ce n’est pas grave. C'est rien, juste deux ados. Pas de drogues, de l'alcool raisonnablement, et étrangement mis à part chauffer quelques mecs pour s'amuser, on n’était pas vraiment du genre a coucher avec. Bref, une vie plutôt agréable. Que de bons souvenirs. Et puis il est arrivé. Il fallait s'y attendre, rien ne reste jamais trop parfait, trop longtemps. Lui? Jeremiah Stewart. Ou mon démon à l'état pur. Ce mec, c'était tout. Mon enfer personnel. Et comme une conne je suis tombée folle amoureuse de lui. C'était un mec bien, vraiment. Il avait des problèmes avec sa famille, et moi ça me rendais triste pour lui. Il avait dix-sept ans. Qu'est-ce qu'on est con quand on a dix-sept ans. Il avait un petit frère, et une petite sœur. Je ne les avait jamais vus, mais je savais qu’ils étaient tout pour Jeremiah. Il en parlait, ça m'en donnais les larmes aux yeux, bordel, il était trop adorable. Leur père les battait, et J. était là pour eux, c'était lui qui les protégeait. Son frère, Owen, avait treize ans à l'époque et sa sœur dix, je crois. Je me souvenais de moi a cette âge là, et je me souviens bien avoir pensé que j'aurais aimé avoir un frère comme J. Faisant passer leur bonheur avant le sien. Même si moi je n’avais pas autant de problèmes qu'eux. Mais je suis devenue égoïste. Je voulais mon propre bonheur avant le leurs. Je voulais Jeremiah. Mon Jeremiah, celui qui me faisait rire, et sourire, celui pour lequel je pouvais tout faire. Adieu Chanelle, adieu frère et sœur de Jeremiah, bonjour notre couple. On était invincibles. On était cons. Mais qu'est ce qu'on s'aimait.

Chaque jour était plus beau que le précédent. On avait notre monde à deux. Non, enfaite c'était, lui, moi, et la drogue. C'était con a vrai dire. La drogue j'en avait rien a foutre. Ouais sauf que lui était malheureux et en avait besoin. Il l'avait toujours été, et abandonner sa "famille" n'avait pas été facile. Évidement. Mais j'étais là pour lui non? Quelle égoïste, j'ai été. Mais l'amour rend con, si con. Et la drogue, encore plus. J'étais abrutie d'amour, et de drogue. On vivait à deux, point. Les autres? On s'en fout. Et puis un jour tout à basculé. Ouais, il faut bien s'y attendre. Enceinte. À seize ans?! Merci maman de m'avoir emmené à New York, maintenant je fais partie de ses jeunes filles, qui font monter chaque année le taux de connes qui se retrouvent enceinte à même pas seize ans. Merci, vraiment. Au pire, ce n’était pas trop grave. Parce que dans le fond j'avais Jeremiah. Et qu'il m’avait promis que peu importe il me lâcherait pas. Jamais. Ouais, comme il l'avait promis à son frère et sa sœur. Mais sur le coup je n’aurais jamais imaginé qu'il me fasse ça. J'ai passée neuf mois dans ses bras. Puis six autres à le voir porter mon enfant. Notre enfant. Et puis un jour il est partit. Ce connard. Il est partit pour ne plus jamais me revenir. Ma fille? Je ne veux juste plus jamais en entendre parler. Le premier qui m'en parle je le bute, sérieux. Son prénom? Je l'ai oublié. Je veux plus m'en souvenir. Et je me drogue bien assez pour ça. Mais je l'ai gardée avec moi. J'étais seule, seule avec cette fille. Fille que je hais, vraiment. Et je l'ai supportée cinq années de sa vie. Un enfer. Cette période, je veux l'oublier. Non enfaite, je veux oublier toute ma vie. Revenir cette fille, naïve et trop heureuse que je fusse gamine. Ma fille a été placée. Chez le frère de Jeremiah. Après tout je m'en fous. J'ai joué un rôle dans l'histoire, normalement elle aurait dû être placée chez ses grands-parents. J'ai beau détester tout de cet enfant, la placer là-bas était juste impossible. On m'a prévenu que le frère de Jeremiah se proposait pour la garde, j'ai accepté. Ma mère ne pouvait pas la garder, et refusait d'ailleurs. Apparemment elle est très bien dans sa nouvelle vie. Tant mieux pour elle. Merci, au revoir.

Ma vie est un désastre. J'ai tout raté, c'est simple. Maintenant je suis dans la merde. J'ai pas de job fixe. Je prendrais n'importe quoi comme emploi, vraiment, mais j'ai besoin de thunes. J'ai perdue ma fille ( tant mieux), j'ai perdu "l'amour de ma vie". Ma famille. Enfaite, c'est simple je n'ai plus rien. Même pas pour payer ma drogue. L'horreur.

Signe(s) particulier(s) :

Ne mange presque rien, et affirme qu'elle n'a pas faim. Enfaite c'est juste qu'elle n'aime pas ça, et n'a pas assez d'argent pour le dépenser en nourriture. • Joue très bien du piano, mais n'aime pas que les autres l'écoutent jouer, ça la met hors d'elle très rapidement. • Toujours souriante, même quand elle pense les pires horreurs sur vous (a) • N'a pas d'ennemis proprement dit. • Accroc à la drogue • A une fille de six ans qu'elle a placée chez un membre de la famille du père. • Pense que tout le monde est con, y comprit elle • Trop sensible, trop douce, rêve du bonheur • souffre hydrophobie. Vous ne la verrez jamais s'approcher de l'eau et même a la plage, elle reste a une distance conséquente de l'eau. • Ne possède aucuns tatouage bien qu'elle ai songé à un moment s'en faire un. Et puis enfaite non.

Orientation Sexuelle :

Hétérosexuelle.

Citation favorite :

« Vint le moment où la souffrance des autres ne leur suffit plus. Il leur en fallut le spectacle. »

Prénom : LN
Âge : Dix-Sept ans :red:
Comment as-tu connu ce forum ? : Comment ne pas le connaitre?
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Du vieux, très vieux (x

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