« Maël n’est pas un méchant garçon, au contraire. Mais c’est vrai qu’on aurait du mal à se fier à lui juste sur sa dégaine. Je lui ai toujours dit que les tatouages ça faisait voyou, il ne m’a jamais écoutée. Et son père, olala quel exemple ! Même pas capable de s’occuper de son gamin. Pas étonnant que plus jeune Maël passe ses journées à vagabonder dehors, se faisant une réputation de débaucher. Mais au fond c’est un gentil garçon, il est juste un peu distant et n’a pas eu beaucoup de chance. Quand il était petit il venait parfois m’aidé un peu pour éviter de s’ennuyer pendant que son père cuvait. C’était une compagnie agréable, il était content d’un rien, serviable et, je ne sais pas comment il faisait dans une telle condition, cultivé. Depuis qu’il a déménagé je dois supporter un jeune couple un peu bruyant, c’est tout de suite moins agréable. J’espère qu’il repassera par chez moi avant que je finisse dans la tombe, voir ce qu’il est devenu. »
Madame Sullivan, la vieille voisine de l’étage d’en dessous.

« C’est quelqu’un de naturellement méfiant, distant. C’est un solitaire. C’est pas facile d’en parler parce que plus on le fait plus on a l’impression d’être à coté de la plaque. »
Ethan, un type un peu collant que j’ai rencontré au détour d’un verre

« Ce n’est pas quelqu’un de facile à vivre au quotidien. Il est très apprécié de ses amis parce que c’est vrai qu’une fois à l’aise avec son entourage il s’avère être un garçon agréable mais vivre avec lui, réellement, demande une patiente infinie. Déjà parce que même dans l’intimité c’est quelqu’un de distant qui ne dit jamais rien sur ce qu’il ressent ou ce qu’il vit. Vous le voyez volontiers péter un câble mais pour peu qu’il y ait une vraie raison, pour avoir une explication c’est peine perdue. C’est aussi quelqu’un d’impulsif, il part vite en vrille si on le cherche et il n’a pas peur de se montrer violent, autant verbalement que physiquement. Il n’a pas l’air très imposant comme ça mais une fois énervé il fait du dégât ! Il a souvent l’air un peu dur, un peu grognon mais sous ses faux air de petite racaille, je ne viendrais pas vous dire que c’est quelqu’un de sensible mais il sait se montrer tendre et attentionné. C’est assez dur de faire partie de son cercle d’ami justement parce que c’est quelqu’un de méfiant, avoir sa confiance c’est une véritable épreuve mais une fois qu’on fait partie de ses proches on se rend compte combien il peut être attentionné, c’est le genre d’ami qu’on peut appeler à 3h du matin en pleur et qui rappliquera sur le champs. Il met un point d’honneur au bien être de son entourage, c’est un altruiste. »
Aizel un ex girlfriend avec qui j’ai vécu près d’un an.

« C’est quelqu’un de très professionnel, perfectionniste. Il se fait une idée d’un projet et si ça ne se présente pas exactement comme il l’imaginait ça lui « casse les couilles » comme il dit. Ca renforce un peu son coté solitaire parce qu’il part du principe que rien n’est jamais mieux fait que par soi même. Il a donc dut mal à s’intégrer correctement dans un groupe ou alors c’est lui le leader. Surtout que ce n’est pas quelqu’un qui mâche ces mots, si ça ne lui plait pas il le dira. Les gens ont donc vite l’impression de s’en prendre plein la gueule mais ce n’est que parce qu’ils ne savent pas recevoir la critique. Maël lui est quelqu’un de très réceptif à la critique justement, tant qu’elle reste constructive et méritée bien entendu. Même s’il ne partage pas le point de vue il prend toujours en considération l’avis d’autrui et s’en sert toujours à bonne escient. Peut être pas pour faire des compromis, ça c’est franchement pas son truc, mais pour progresser dans ce qu’il fait. C’est aussi quelqu’un de vraiment bosseur, ce qu’il a il le mérite plus que personne. Contrairement à pas mal de ses amis ce n’est absolument pas quelqu’un d’hautain, imbu de sa personne, égoïste et arrogant. Quoi qu’il n’ait franchement pas sa langue dans sa poche. Au contraire, il est très humble et ne sait jamais quoi faire d’un compliment ci ce n’est rougir violemment. »
Sarah, une vieille amie.

« Maël est un garçon vraiment charmant une fois qu’on arrive à faire avec la distance qu’il prend soin de laissé entre lui et les autres. Il a beaucoup d’humour, et pas de l’humour à la british, il peut s’avérer vraiment drôle et je crois pouvoir dire qu’il adore s’amuser. Avec les models de notre agence il forme un sorte de petit groupes de potes et lorsqu’il y en a un qui part dans son délire vous pouvez être sur que Maël sera le premier à le suivre. Par contre il n’est pas du genre taquin. Il y a toujours un qui se fait un peu ennuyer par les autres, c’est drôle mais Maël ne se joint jamais aux autres quand il s’agit de charrier les gens. C’est justement celui sur le coté qui va dire « Vas-y fout lui la paix tu nous saoule là ». S’il vous emmerde c’est vraiment dans le but de vous faire chier pas pour faire de l’humour.»
Lola, agent et amie.

« Une fois qui s’agit de coup bas c’est pas un tendre. Plus rancunier que lui vous ne trouverez pas. Il n’est pas du genre à punir vite, ce n’est pas dans ce sens là. C’est plutôt qu’il n’oublie rien et le jour où c’est nécessaire il vous rappelle très sèchement que vous avez merder et que donc vous pouvez vous tenir à carreaux. Déjà qu’en temps normal il peut parler de façon vulgaire et crue mais alors quand il a quelque chose à vous reprocher en plus ça en devient limite censurable au moins de 20 ans. Par contre une fois que vous avez vraiment, mais alors là vraiment, merdé il ne vous fera plus aucun cadeau. Regagner sa confiance est impossible et généralement il est plutôt fort pour les vengeances perfides. Il n’en donne pas l’air comme ça mais s’il le veut vraiment il peut vous pourrir la vie mais vous n’avez même pas idée. C’est dans ce genre de moment qu’on se rend vraiment compte qu’il peut être très très méchant ! »
David, un ancien ami qui parle en connaissance de cause.

Chapitre 1 : Ma vie est comme une pièce de théâtre, chaque acte a ses personnages.

Angélique Letanneur, c’était ma mère. Elle est morte, d’où le « c’était »… Pas besoin de me faire des yeux de biche pour autant, je ne l’ai pas connue. Le jour où elle m’a abandonné dans un couffin sur le pas de porte de l’appartement de mon père à Londres, elle s’est faite plantée par une bande de ptits cons en manque pour quelques livres sterling. Même pas le temps de regretter de me foutre entre les pattes du type le plus raté au monde. J’aurais pu être plein au as, grandir dans le coté bourge de la capitale française avec un père jamais là et une mère tout ce qu’il y a de plus naïve. Le pied. Mais bon je faisais même pas 30 centimètres et le seul truc dont j’étais capable c’est pleurer alors aller dire à ma mère que j’aurais préféré me faire passer pour le fils d’un inconnu plutôt que de subir mon propre père vous vous doutez bien…

Corentin Declair , le type qui a épousé ma mère 5 mois avant ma naissance et qui n’a absolument pas remarqué que cette dernière était enceinte, d’ailleurs. Gosse de riche, prétentieux, ambitieux, égocentrique, arrogant, vicieux, tout le portrait du père idéal. Un futur requin des affaires sans foi ni loi, le type qu’on verrait bien finir grisonnant à la tête de la mafia. L’accent en moins. Le choix entre un rockeur paumé et quasiment à la rue et un Apollon à la tête d’une fortune colossale, ma mère à pas dut potasser des masses pour faire son choix. Parait qu’il s’est effondré en apprenant la mort de sa femme, moi j’y crois moyen. Limite une petit larme pour donner bien sur la première page du journal mais "s’effondrer" faut peut être pas ambitionner sur le pain béni…

Douglas Chesschire, le paternel biologique de bibi. A ce moment de l’histoire il est juste un rockeur raté, dans la dèch, avec qui ma mère a couché lors de son voyage en Angleterre 3 mois avant son mariage et 2 mois après avoir accepter ce dit mariage. La garce. A l’instant donc, c’est juste un type un peu paumé sur le pas de sa porte avec une lettre entre les mains. Enfin, lettre… 10 mots sur un bout de papier. « Il s’appelle Maël, c’est ton fils. Amour, Angélique. ». C’est ce qui s’appelle être expéditif. Si elle avait su peut être aurait-elle au moins eu la gentillesse d’ajouter « Prend soin de lui » ça aurait donné un début de mode d’emploi au gus. Je saurais pas vous dire qu’il ne l’a pas fait, j’ai pas vraiment de souvenir de ma période pleurnichard.

Chapitre 2 : Dans toutes tragédies il est un élément grotesque. (Oscar Wilde)

Douglas Chesschire, il ne s’est absolument pas arrangé. Le seul truc dont je me souviens de lui à cette époque c’est qu’il adorait me frapper dessus en revenant d’une sale journée. Et bon, ayant arrêté l’école à 16 ans, ne sachant que faire de la musique et boire on ne peut pas dire que les bonnes journées lui arrivaient souvent. Tout au plus un étourdit lui donnait quelques pièce pour qu’il se taise. Sinon dans ses moments de lucidité il m’apprenait la guitare. Enfin bon, une fois que je progressais plus assez vite à son goût je m’en prenais quand même de nouveau dans la gueule. Mais je dois avouer adorer jouer de la guitare, ça me motivait pour apprendre vite et bien. Jusqu’à mes 6 ans mon quotidien c’était me lever, l’aider à vomir un coup, le trainer dans son pieu, attendre avec crainte qu’il se réveille, me prendre des coups et me réfugier dans ma « chambre » pour avoir un peu la paix.

Camilla Hanford-Chesschire, elle je ne risque pas de l’oublier non plus. C’est mamy. Son fils, ce n’est que lorsqu’il eut 36 balais qu’elle décida de s’en occuper. Aussi responsable que ma propre mère. Enfin soit, c’est quand même grâce à elle que j’ai commencé à aller à l’école, que j’ai prit des cours de piano et que j’évitais le tiers des coups que je recevais d’habitude. Elle était sympa avec moi mais elle avait plus toute sa tête. Elle m’appelait Henry, le nom de son mari. D’après mon père, avec qui j’avais parfois un peu de discussion depuis qu’il avait pour chaperon sa môman et qu'il buvait donc moins, je ressemblais beaucoup à mon grand-père. L’école je n’aimais pas trop ça, j’étais plus un autodidacte qu’un bon élève mais ça me permettait au moins d’être loin de chez moi plus de 7heures par jour.

Maribelle Despran-Letanneur, ça c’est l’autre mamy. Je n’ai aucune idée de comment elle m’a trouvé mais je l’ai vu une fois à la sortie de l’école. Un tour à l’hôpital pour avoir la certitude que je suis son petit fils, une enveloppe à planquer avec quelques 2600 livres soit 3000 euros ou encore 4000 dollars américains, un bisou sur la joue et elle était repartie. Je ne l’ai plus jamais vue et je ne compte pas m’en plaindre. Grâce à elle je me suis acheter une guitare d’occasion, deux trois cahiers vierges, un ou deux cd et un ptit chien. C’est assez con je vous l’accorde. Surtout que le chien en question à fait criser ma grand-mère.

Jefferson ou Jeffry pour les intimes, c’était le chien en question. Un peu mon seul copain. Il m’a couté 200 dollars et un mois et demi de baffes dans la tronche mais c’était un peu le seul qui semblait me donner un peu d'importance alors bon, je me disais que ça en valait le coup. Lorsque j’ai eu 10 ans on s’est barrés tout les deux. Je me suis retrouvé à l’hôpital… Non je ne me suis pas fait choper par une voiture, mon père m’a retrouvé. Je me suis prit une telle branlée que je ne m’en souviens même plus. Tout ce dont je me souviens c’est des pleurs de mon chien lorsque le sac dans lequel mon père l’avait enfermé s’est retrouvé dans la Tamise. RIP Jeffry.

Chapitre 3 : L’adolescence ne laisse un bon souvenir qu’aux adultes ayant mauvaise mémoire. (François Truffaut)

Camilla Hanford-Chesschire, elle est décédée l’année de mes 11 ans, tout ce qu’elle possédait donc revenait à mon très cher père. Personnellement j’ai du mal à croire que c’était vraiment un accident. J'ai dit deux trois mots à l'enterrement et j'ai pleuré tout ce que je pouvais au fond de mon lit pendant plusieurs jours. L'enfer venait de me retomber dessus.

Douglas Chesshire, du haut de ses 40 piges n’avait encore rien fait de bon de sa vie et ça n’allait pas changer. Il avait trouvé un moyen de pointer au chômage, son seul revenu vu qu’il ne travaillait pas plus qu’il ne faisait quoi que se soit d’autre que de zoner sur le canapé à moitié défoncé (lui hein pas le canapé, quoi que). J’allais toujours à l’école et même si je n’aimais pas ça j’avais du mal à en revenir. Si c’était pour m’occuper d’un type complètement bourré… Douze ans, c’est l’âge que j’avais quand la violence de mon père franchit une nouvelle limite. Peu soigné, bedonnant à cause de l’alcool, vous vous doutez que le charme qui avait envoûté ma très chère mère n’opérait plus. En moins de 6 coups de ceinture j’étais devenu sa pute. C’était ça où les gnons à mort, il en était capable pas besoin de douter là dessus. Alors j’ai supporté comme je pouvais, la musique était mon défouloir... Si c'est pas humiliant. La même passion nous animait tous les deux et je rêvait, comme lui plus jeune, de fouler les planches d'une scène. Si ça n’a pas un petit quelque chose d’ironique je ne comprends plus rien à la vie… Il est décédé 3 ans plus tard j’étais tellement défoncé le jour où je l’ai retrouvé mort sur le plancher poisseux du salon que je suis passé à coté en trainant des pieds et je suis allé me coucher. Pour le ptit Maël c'était désormais les services sociaux. Pas de chance du haut de mes quinze ans, j'étais déjà tatoué, percé, avec une allure de mauvaise herbe. Les familles d'accueil ne se pressaient pas à mes pieds. C'était pas plus mal je me voyais mal passer de ma vie plus qu'indépendante et démoralisante à un petit foyer tous conforts avec deux emmerdeurs sur le dos et certainement des frères et sœurs avec qui il faudrait faire semblant de s'entendre. Une vraie famille quoi.

Chapitre 4: En tant que seul acteur de ma vie... ou presque.

Maël Jake Chesshire, je me suis retrouvé en orphelinat, c'était chiant mais toujours mieux que la maison qui sent le vieux de ma grand-mère. La maison a été mise en vente et le fric que j'en ai tiré à servit, à moitié, à terminer de payer l'appartement de mon père. Je me retrouvais donc avec un appart dans la poche et j'allais pas cracher dessus parce qu'il n'était pas question que je m'enracine à l'orphelinat. A 16 ans tout juste frapper, je me suis fait émanciper et j'ai choppé un ptit boulot dans une boutique de disque qui me servait pour continuer mes études et payer une partie de mes factures. Pour le reste c'était un peu la dèche alors j'évitais tous ce qui était inutile comme les 3 repas par jour, le matin et le soir ça me suffisait. Les transports en commun fort couteux, volé un scooter est bien plus facile que ça n'y parait. La télé, l'ordinateur et tout le tralala qui vous bouffe l'électricité et vous oblige à payer des abonnements monstrueux. Je m'en sortais plutôt bien pour un ptit con de 16 piges. Mais j'avoue que le petit coup de pouce du destin qui est arrivé 5 mois après avoir commencer ma vie d'émancipé était le bienvenu.

Lola Handford, à une lettre près elle à le même nom que mamy si c'est pas un clin d'œil du destin... De nos jours on ne cherche plus le parfait minet, aux yeux clairs et aux cheveux blond platine. Aux dents parfaitement blanches et alignées, à l'allure boys band pour faire de la pub. Pour poser pour Levis, Burberry ou pour défiler pour les Givenchy et autres Kenzo ou Westwood et apparaître en première page du Vogue Homme International plus t'as un look non conventionnel plus t'as tes chances. Du moins c'est ce que cette jolie minette de 26 ans m'a fait comprendre. Son boulot ? Agent. Non je vous rassure j'avais absolument pas les moyens de me payer ses services, elle me les à offert avec un beau grand sourire en plus.


C'était la fin de la dèch pour mon joli minois. Je trainais désormais mon mètre, presque 90, entre le catwalk, les studios photo et les concerts qu'on arrivait à programmer avec mon groupe de musique. Pour un gamin de merde qui poursuivait plus ou moins le même rêve que son enfoiré de paternel j'avais un avantage. J'avais réussi. Mais rien n'est à jamais acquis. Vendre son corps, je sais faire, ça va bien jusqu'à 30 ans grande limite après faut encore vivre mais de quoi... J'ai pas l'illusion de devenir une nouvelle étoile du rock. Je suis pas aussi con que mon vieux, la musique je la joue parce que ça me plait je ne pense même pas en faire mon métier alors à coté de ça j'ai prit mes affaires, je loue mon appart à Londres à un ptit couple de londonien bien sympa, j'ai fait un énorme bisou à Lola et je suis venu m'installer à New-York. Contre toutes attentes pour trouver des études qui me plaisaient vraiment il a fallut que je m'éloigne un peu de toutes les choses que je côtoyais depuis des années. Pas d'étude en musique parce que le concept même d'apprendre à des gens ce qu'est la musique est un non sens. Tu l'apprends pas la musique, tu la vit. Tu l'as ou tu l'as pas. Le mannequinat, inutile j'ai suffisamment de références pour faire le mannequin sans en avoir le diplôme. Stylisme, pas pour moi je préfère m'habiller qu'habiller les gens.
Je suis des cours en paramédical en vue de devenir pédopsychiatre. (psychiatre pour les enfants si vous préférez). J'aime bien les mômes, ils ont la chance d'être, pour la plupart, naïfs et innocents. Quoi que par les temps qui courent, ça devient de plus en plus dur à trouver. J'entends pas être un élève modèle et assidu et on à tendance à me dire que je suis bien trop instable pour y arriver mais qui ne tente rien n'a rien. Sur ce je vous laisse.

Re-bienvenuuue parmi nou & bonne continuation pour ta fiche
Je valide ton code du règlement qui est le bon et sinon; Maël j'adore ce prénom

Mercii
Ah oui ? Dans ce cas sache que tu as très bon goût

Bienvenue Maël bonne continuation pour ta fiche.
J'adore ton avatar

Merci

MERCIIII

Mercii
Dans ce cas on est deux

JOOOOSSSSSSSSHHHHHH

Bienvenue

Merciiii

Tu m'épouses ?

William B. McArthur a écrit:

Tu m'épouses ?




Avec Plaisir

Et mercii a toi Enzo

William B. McArthur a écrit:

Tu m'épouses ?

OUAIIIIIIIIIS

Et fais pas attention à Enzo, l est juste jaloux

EDIT : Et Adrien aussi, apparemment

Moi je suis pas difficile on peut faire un mariage polygame si ça vous tente
Mercii Adrien

Je crois avoir finit ma présentation

Bienvenue

Validé
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