Sujet: Aut Cæsar, aut nihil | finish | Mer 21 Avr - 23:15
« Shakespeare William Da Silveira » Feat.luke grimes
Âge : 20 ans. Date & Lieu de naissance : viana do castelo (Portugal) & 21 mars 1990. Groupe : les sportifs ou rebelles UFR : UFR 1 Étude : journalisme Prédéfini ou Inventé : inventé
Sweet about me :
« MORE ABOUT MY PERFECTION »
Physique & Style : Seul le plaisir physique contente l'âme pleinement.
A première vu Shakespeare peut apparaître assez maigre, voir même frêle mais avec lui il ne faut absolument pas s’arrêter à la première impression. Cachant bien son jeu il a une certaine musculature qu’il développe constamment grâce au football américain qu’il pratique régulièrement ou bien aux heures de footing qu’il coure dans la semaine, qu’on se le dise, William n’a une silhouette si svelte en ne mangeant que McDo et autres fast food, vous dire le contraire serait mentir et il déteste les mensonges. Physiquement il n’est pas très grand, il fait tout juste ses 1m78 et bien que d’autres personnes rêveraient d’être plus grand lui il se contente de sa taille qui lui convient parfaitement. Les cheveux châtain et les yeux verre il cache sous cette masse de cheveux un visage aux traits assez fin lui donnant un côté plus raffiné. Il a le teint légèrement mate, normalement me direz vous étant donné sa terre natal. Côté vestimentaire le jeune reste très simple, un look des plus banales qui lui va pourtant à ravir, de plus il a été renié par sa famille il ne peut donc plus se permettre certaine folie comme autrefois.
Caractère : La personnalité est la garde-robe du moi.
Selon beaucoup de personne Shakespeare a tous les défauts du monde - ce qui d’un certains côté n’est pas totalement faux - certes il a énormément de défaut, il n’est pas de bonne compagnie, il ne représenta pas l’ami ou le petit ami idéal, il a de nombreux ennemis et encore bien d’autres défauts, il faut croire que ce jeune homme fait partit des personnes que l’ont qualifies de peu fréquentable. William est considéré comme quelqu’un d’assez solitaire, il aime la solitude et on le voit très souvent seul, pour lui la plupart des personnes ne serait que de mauvaise compagnie et n’aurait rien d’intéressant à lui apporter et pour lui être avec quelqu’un sans vouloir obtenir quelque chose est totalement inutile. On comprend donc très vite qu’il a en lui ce côté pragmatique qui fait qu’avoir un contact humain banal lui est difficile, il a la fâcheuse manie de voir de l’utilité dans n’importe quoi, cela pourrait être une qualité mais chez lui ça tourne vers le défaut, il pervertit cette qualité en une très mauvaise manie. En effet chez n’importe qui il repère d’abord à quoi elle pourrait bien lui servir avant de l’aborder, une caractéristique qui fait ressortir son côté manipulateur, de nature il aime déjà joué et dans chaque jeu c’est lui qui dirige, il est un peu le maître du jeu, la vie est un perpétuel jeu dont lui seul fixe les règles, ses règles dans son monde, lorsque l’on une tel étroitesse d’esprit il n’est pas étonnant de constater qu’il considère chaque personne qu’il rencontre comme une pièce sur son échiquier géant. Shake est donc un jouer et un très grand bluffeur qui ne perd que très rarement, cependant il lui arrive de temps en temps de perdre et lorsque c’est le cas il ne vaut mieux pas se trouver à ses côtés, très mauvais perdant il n’hésitera pas à user de toutes sortes de coup bas pour anéantir son adversaire, qui plus est Shakespeare est très rancunier ce qui fait qu’il n’oublie jamais et garde en lui une profonde haine, comme on dit la vengeance est un plat qui se mange froid. William s’avère également être quelqu’un d’extrêmement intelligent, pour sur il a sauté une classe et ne fait pas vraiment d’effort à l’école et pourtant il se maintient encore au dessus des autres, cependant comme beaucoup de personne doté d’un fort tien intellectuel le jeune homme a également développer un fort égo, constamment sur de lui il ne croit pas en l’erreur ce qui fait de lui une personne très têtu, sans cesse il tiendra tête et il sera rare de le voir admettre ses erreurs même si il sait qu’il est en tort, encore une chose qui le rend un peu plus irritable. Aussi notre jeune Portugais est ataraxique, ce qui veut dire qu’il ne peut ressentir les sentiments comme la peur, le stresse, l’angoisse ou bien tout autre état d’esprit qui habituellement conduit les autres à faire des choses stupides, Shake est tout simplement serein. N’allez pas croire que William n’a que des défauts, parmi tout cela se cache quelques petites facettes qui pourraient se révéler agréable à découvrir, des faces cachés du jeune homme que l’on a rarement l’occasion de voir. Sa franchise est souvent perçu comme un défaut mais si il y a bien une chose que l’on ne peut pas lui reprocher c’est de ne pas avoir sa langue dans sa poche, en effet des qu’il a quelque chose à dire il le dit ne se préoccupant pas le moins du monde si la vérité peut blesse ou non, il déteste les mensonges. Bien qu’il ne le montre pas Shakespeare est un passionné de littérature, de lecture et d’écriture, c’est pourquoi il a choisi la voie du journalisme, lui permettant en plus de dévoiler la vérité il a en quelque sorte choisit la facilité, concernant indirectement l’écriture il se plonge dans les études de journalisme car tout ceci est facile pour lui, un minimum d’effort pour un maximum de résultat.
Qu’on se le dise, finalement Shakespeare n’est pas vraiment quelqu’un de très fréquentable, indigne de confiance il peut trahir facilement, pouvant vous entraîner dans les pires moments de votre vie il n’a pas beaucoup à offrir si ce n’est de l’amusement.
Histoire :
La vie n'a pas de sens, seule chaque vie individuelle a un sens, donné par celui qui vit cette vie. L'individu trace son trait et disparaît.
Nous étions vendredi soir et il n’y avait pas un chat dans les alentours de l‘université, pourtant cette soirée marquait le début du week end et donc cela signifiait fête à gogo. Bien que le vendredi soit connu pour ces fêtes excessives il y avait autre chose qui marquait régulièrement les vendredis, le football américain. En effet malgré le calme apparent l’université elle était en pleine ébullition, tandis que le match était à son apogée et ne tardait pas à prendre fin. Des lumières, une foule déchaîné, de la musique, des cheerleaders et des cris, pas de doute le match était en plein apogée, et ma place dans tout ça ? Sur le terrain bien évidemment, comme toujours je suis sur le devant de la scène à faire le spectacle et à donner aux gens ce qu’ils sont venu voir, la victoire…Mon nom est Shakespeare Da Silveira et sur le terrain on me reconnaît grâce au numéro que je porte qui est le n°11, ma position, running back et en cet instant précis tous les espoirs d’une université reposait sur moi autant que la pression y était, une chance que depuis le temps je me sois habitué à cette pression qui pour à mes yeux se transforme en véritable poussé d’adrénaline, plus il y a d’espoir sur moi mieux je me démène, plus je mets la barre haute mieux je réussis, j’ai toujours été ainsi, un véritable compétiteur et lorsque j’ai décidé de gagné rien ne peut m’écarter de mon chemin, la défaite n’est pas envisageable et si pour gagner il faut user de coup bas, et bien je le ferais sans scrupule, la victoire avant tout. L’arbitre donne un dernier coup de sifflet signifiant l’ultime action de ce match, le Quaterback prononce le nom de la formation, tout en assimilant ses paroles je m’approche de lui par derrière, me saisis du ballon et me rus à l’assaut, un dernier assaut qui se conclura par la victoire, aucune autre fin n’était possible, je n’envisageais rien d’autre que la victoire, porté par les cris des supporteurs, les danses des cheeleaders et du soutien de mes camarades me protégeant je me jetais à corps perdu dans la bataille…
21 mars 1990;
Après neuf mois de souffrance et un ultime cri d’agonie un nouvel enfant vit le jour sur terre, posant son premier regards sur le monde il vit une silhouette se former au dessus de sa tête au fur et à mesure que ses petits yeux s’ouvraient avec difficulté. Alors que la mère cessait enfin d’hurler c’était au tour de l’enfant de prendre le relais, ouvrant pour la première fois sa bouche ce sont des sons aigus et agaçant qui en sortit, alors que lui pleurait le père caméra à la main ne pouvait retenir quelques petites larmes de bonheur coulant sur son visage tandis que la mère avait la bouche tellement ouverte qu’on pouvait voir le fond de sa culotte. Alors que l’enfant était transporté dans la maternité les deux parents restait dans la chambre à débattre du nom qu’ils allaient donner au nouveau né, durant une bonne heure chacun d’eux proposaient des noms bien différent et ils ne tombaient d’accord sur aucun d’eux. Mais lorsque l’infirmière faisait son retour dans la chambre avec le bébé dans les bras Mme Da Silveira eut comme une illumination, les yeux rivés sur son enfant et la bouche entrouverte on put voir un rictus ressemblant à un sourire se former sur le visage de cette dernière, « Shakespeare William Da Silveira. » Elle dit ces prénoms sur un ton très faible, comparable à un chuchotement, néanmoins son mari entendit les paroles de la jeune femme et acquiesça d’un faible sourire avant de prendre son bébé pour la toute première fois dans ses bras pour le poser sur le lit, sur les jambes de sa femme. Les deux adultes étaient aux anges et aucun d’entre eux ne pouvaient décoller ce sourire niait qui s’était collé sur leurs visages respectif, les yeux rivé sur leur nouvel enfant ils promettaient de l’aimer et de le chérir à jamais, peu importe les obstacles qui s’imposeraient à eux. Il semblerait que je sois bien tombé, une famille aimante qui semblait promettre la lune à leur progéniture, Le résultat de 5 ans de bonheur était sous leurs yeux et enfin Mr Da Silveira allait avoir un héritier pour lui succéder et plus tard reprendre en main l’empire qu’il s’était construit, car en effet il semblerait que la chance du jeune enfant qui venait à peine d’éclore n’était pas terminé. Mon père était à la tête d’une des agences immobilières les plus importantes de tout le pays tandis que ma mère elle, travaillait dans la publicité et était reconnu pour ses idées brillantes ainsi qu’originales, en espérant que j’ai hérité de l’esprit de ma mère et du sens des affaires de mon père. Vous l’aurez compris, je suis donc né à Viana Do Castelo au Portugal et qui plus est dans une famille plus qu’aisé, un beau jeune homme distingué en perspective.
10 octobre 1996;
Un peu plus d’un mois s’était écoulé depuis la rentrée scolaire, cette année j’entrais en dernière année de maternelle et une fois de plus je me retrouvais dans une nouvelle école, avec de nouveaux visages et la principale crainte de mes parents était que leur fils ne s’ intègre pas. En effet Mr et Mme Da Silveira avaient décidé de me mettre dans le privé pour sa dernière année, pourquoi ce changement ? Hey bien il semblerait que déjà dés mon plus jeune âge je démontrais quelques problèmes d’adaptation provoquant ainsi de nombreuses bagarres, certaines plaintes on été adressé à la famille et en plaçant l’élément perturbateur - c’est-à-dire moi - dans une école privée ils espéraient que tout s’arrange, que le règlement strict couperait court aux petites passades de rébellion don j‘étais victime. Cependant tout semblait bien se passer, aucun coup de fil depuis le début de l’année et aucune plainte - qui sait, peut être qu‘ils avaient finalement trouvé la solution miracle - , malheureusement tout était bien trop beau, le 10 octobre signait un chamboulement majeur dans ma vie et de la famille Da Silveira… 13h46; en classe tout le monde s’activait, chaque enfants étaient plongé dans son travail, certains dans le découpage, d’autre dans le collage et certains s’aventuraient même dans des eaux plus profonde en essayant d’apprendre à lire. Seul un élève se démarquait des autres de part son manque d’attention au cours, deviné qui, moi !!! Les bras croisés et la tête dedans j’étais inerte, comme si le marchand de sable avait eut raison de moi et que j’avais finalement rejoins les bras de morphé, seul quelques mouvements de tête venaient nous tromper quant à mon état actuel. La femme que chacun des élèves présents dans cette salle appelaient maîtresse s’approchait de moi à pas de loup tandis que je persistais à rester inerte sur la table. Me tapotant légèrement le bras elle essayait de me provoquer une quelconque réaction de la manière la plus douce possible. Cependant je ne semblais pas très enclin à vouloir suivre les directives de mon institutrice et j’émergeais donc à mon rythme, c’est-à-dire tout doucement…Petit à petit je relevais la tête et ouvrais mes yeux pour au final voir apparaître le visage de ma maîtresse qui semblait à mi chemin entre la confusion et l’énervement, se demandant pourquoi je me montrais aussi négligeant vis-à-vis du reste de la classe elle prit la parole « Shakespeare tu as terminé ton travail ? », alors que les autres élèves étaient à peine au commencement de leurs travaux pratique il était peu probable que la réponse soit positive. Je posa alors mon regard sur l’ensemble de la classe en regardant tout autour de moi, balayant la salle de classe dans son intégralité je reportais de enfin mon attention sur la femme pour ensuite lui avouer d’un léger sourire arrogant; « je crois bien que oui. », un sourire que la jeune femme ne semblait pas apprécier. D’une voie légèrement plus sèche elle m’ordonna de me rendre au bureau du directeur, bien qu’elle essayait de le cacher elle ne pouvait dissimuler le mépris qu’elle ressentait au fond d’elle envers moi - mais c‘était bon, déjà petit je me savais différent des autres, spécial -, et c’est avec une facilité déconcertante que je discernais ce sentiment de frustration qu’elle gardait enfoui en elle,, dans le plus profond de son être. S’exécutant je me levais pour sortir de la classe sans même jeter un seul regard aux autres élèves qui eux semblait peiner à résoudre leurs petits problèmes de collage et découpage. Marchant dans les couloirs en direction du bureau du proviseur je me demandais la raison de sa convocation, était ce à cause de mon insolence , insolence que l’on m’a à de nombreuses reprises reproché, car oui ce n’était pas la première fois que je prenais le chemin du directeur - je pourrais même dire que tout cela devenait pratiquement routinier - et contrairement à ce que pensaient mes parents tout ne se passait pas aussi bien que l’école ne le laissait paraître. A de nombreuses reprises je fus convoqué par le proviseur à cause de bagarre ou bien de remarque déplacé vis-à-vis de mes professeurs - pas de ma faute si ils sont susceptible ou bien qu‘ils ont du mal à affronter la vérité -, mais bien évidemment j’ignorais encore pourquoi mes parents n’avaient été mis au courant de rien et ça n’allait certainement pas être moi qui allais les mettre au parfum, moi qui en avait assez d’être réprimandé pour mon comportement, après tout ce n’était pas ma faute, il m’était impossible d’aller contre ma nature. En arrivant au bureau j’étais assez surpris de constater qu’il n’y avait pas que le proviseur qui semblait attendre ma venue avec impatiente. En effet un deuxième homme était présent, aux airs constipé il semblait encore plus barbant que le directeur - jamais je n’aurais cru ça possible - il ferma alors la porte à la demande de l’homme…Au même moment la sonnerie du téléphone retentissait dans l’enceinte de la demeure familial des Da Silveira, ce fut bien évidemment la femme qui répondit à l’appel étant donné que son mari était au travail. Quand elle répondit elle reconnu la secrétaire de l’établissement scolaire dans lequel son fils était scolarisé, immédiatement elle s’imaginait plusieurs scénarios l’amenant tous à la même conclusion, Shakespeare avait sûrement des problèmes. « Mme Da Silveira ? Ici Jane McAdams la secrétaire de l’école de votre fils, je vous appelle pour vous avertir qu’en ce moment même ou nous vous parlons votre fils est entrain de suivre un test de QI par un professionnel, nous avons remarqué un certains potentiel chez votre fils, de plus on nous a dit qu’il avait tendance à s’ennuyer en classe étant donné qu’il termine avant tout le monde et qu’il à souvent juste. Nous avons aussi remarqué qu’il savait déjà lire et écrire ce que nous trouvons remarquable, voila pourquoi il effectue en ce moment même ce test et nous aimerions vous voir dans l’après midi pour vous dire notre décision vis-à-vis de votre fils. ».
Ce jour la, ma mère apprit que son fils avait tout d’un génie et que son QI était bien au-delà de la moyenne, j’évitais alors la classe de CP en la saut pour passer directement au CE1 alors , une fois de plus je me retrouvais dans une nouvelle école, avec de nouveau visage et cette fois ci tous me semblait inférieur.
26 Juillet 2008;
« S’en est assez !!! Encore un pas de travers et tu prends la porte », voila encore une énième crise de colère de la part de mon géniteur, depuis quelques années cela devenait régulier, ces conflits entre parents et fils, une ambiance de perpétuel conflit c’étai installé entre eux et moi, comme si un immense mur me séparait d’eux - ce qui n’est pas une mauvaise chose -, dans tout ce que je fais ils voient le mal et moi je ne peux tout simplement plus les supporter, leur infériorité me répugne et le fait qu’ils ne me comprennent pas prouve bien que je n’ai plus ma place parmi eux. Dans ce cas pourquoi rester ? Tout simplement car j’étais nourris et logis, ce sont les seuls raisons qui me rattachaient à cet endroit, aucun lien affectif ne me liait à ce lieu, aucuns bons souvenirs ne me donnaient envie de rester ici. Une fois que mon très chère père eut finit de piquer sa petite crise je ne prononçais aucun mot et j’eu pour seul réponse que de sortir une cigarette de ma poche pour la porter jusqu’à mes lèvres et ensuite l’allumer, tirant une longue latte je recrachais le tout en direction de mon géniteur, ce dernier avait en horreur la nicotine et détestait avoir des gens en face de lui qui fument - à croire que le pousser jusqu’à ses derniers retranchements m’amuse -. Je pris ensuite la direction de la porte, attrapant au passage des clés de voitures posé sur la le meuble à l’entrée j’ouvrais d’un geste vif la porte d’entrée tout en ajoutant avant de partir, « ne me défiez pas père. ». Les temps avaient bien changé, l’époque ou je dépendais encore de mes parents et à qui j’éprouvais un profond respect était révolu, désormais j’avais grandi et c’est deux la semblaient ne pas vouloir l’accepter, j’allais donc devoir le leur faire comprendre de manière brutale.
Cette journée avait été des plus banales, après que mr Da Silveira se soit bien défouler tout seul je m’étais rendu chez un ami avec qui j’avais passé la moitié de la journée à fumer quelques joints et délirer pour ensuite finir la soirée dans une boîte accompagné de quelques filles et bouteilles de champagne, la routine quoi. Pour moi c’était à ça que se résumait la plupart de mes journées, les études ? Inutile de me casser la tête pour ça, je suis doué alors je n’avais besoin de fournir qu’un minimum d’effort pour me hausser au niveau des autres, rien de bien compliqué. Néanmoins ce jour n’allait pas être aussi routinier que je ne le pensais, à mon retour je portais sur mon visage des blessures et des marques, conséquence d’une bagarre qui se voulu assez violente, bien évidemment tout ceci n’échappa pas au regard affûté de mon géniteur qui quand il découvrit mon visage s’empressa de me mettre à la porte. Dans un excès de colère je porta mon poing au visage de mon père avant de prendre définitivement la porte.
aujourd'hui, terrain de football;
Le numéro onze est en possession de la balle, il fonce à toute vitesse vers le camp adverse escorté par deux de ses coéquipiers, ces derniers bloques deux joueurs ennemis qui tentent de tacler le porteur du ballon et à présent un boulevard s'offre au jeune Shakespeare Da Silveira, la victoire est à porté de bras. Ho mais à la dernière minute il évite un joueur de l'autre équipe qui arrivait à tout vitesse par le côté et c'est un touchdooooooown !!! La victoire et rien d'autre...
Signe(s) particulier(s) :
Shakespeare a en horreur les piercing, jamais il ne s'encombrera d'une telle chose, la seule chose qui le démarque physiquement est son tatouage sur son avant bras droit, un tribal. Il se l'ai fait faire à Mexico lors d'une soirée ou il n'était pas vraiment dans son état normal..
Orientation Sexuelle :
hétérosexuelle (ca fait des heureuses et des malheureux ).
Citation favorite :
« Que les apparences soient belles car on ne juge que par elles. »
« BEHIND THE COMPUTER »
Prénom : jesse. Âge : 17 ans. Comment as-tu connu ce forum ? : je sais plus trop ça fait longtemps que je le connais xD. Ton avis (design, contexte, ...) : très beau. Présence sur le forum : 5/7 Autre(s) compte(s) : nop. Exemple de RP :
Spoiler:
L’heure tournait, tous les élèves présent dans la salle de classe avaient le regard fixé sur l’horloge depuis le début de l’heure comme ci cette dernière les avait tous envouté, à chaque tic tac l’excitation montait un peu plus dans chacun des élèves, chaque tic tac les rapprochait les rapprochait du moment fatidique, du moment qui semblait être tant attendu. Seul un élève avait le regard dans une direction tout autre que celle de l’heure, edward hildebrand, lui avait le nez dans sa copie à prendre des notes concernant le cours auquel il assistait, d’ailleurs il semblait bien être le seul à vraiment montrer un réel intérêt pour ce qui se passait devant lui et non au dessus. Depuis le début de la journée tout le campus semblait être prit dans une sorte d’euphorie incontrôlable, les élèves étaient surexcité et ne faisait plus que parler d’une chose, une soirée et bien que l’évidence même de l’excitation qui s’était emparé de berkeley était évidente les professeurs, administration et autres adultes de l’université semblait être pris au dépourvu face à cette situation , aucune personne ayant plus de 24 ans semblait être informé de ce qui allait avoir lieux dans maintenant quelques heures. Même les epsilons qui étaient d’un naturel discret et mystérieux ne pouvaient s’empêcher de démontrer une certaine impatiente et pour les plus faibles d’entre eux de l’hystérie. La salle de classe était à présent plongé dans un profond silence, les élèves avaient toujours les yeux rivés sur l’horloge tandis que le professeur lui semblait avoir abandonné l’idée d’enseigner aujourd’hui et s’était contenté de simplement prendre place sur une chaise derrière son bureau en se plongeant dans son livre. Seule la sonnerie du téléphone d’edward vint rompre le silence ambiant de la pièce, jetant un regard légèrement paniqué dût à la surprise que lui avait faite son iphone en sonnant il s’empara de ce dernier d’un geste vif et maladroit. L’éteignant le plus rapidement possible il ne prit même pas la peine de regarder de qui venait message et d’encore moins le lire, se contentant de simplement le reposer sur sa table il retourna à ses occupations qui étaient de peaufiner ses notes. Jetant quelques regards tout autour de lui il s’aperçut que finalement cette petite interruption n’avait pas vraiment fait réagir son entourage alors pourquoi pas se permettre de lire le sms qu’il avait reçu, ce cours était déjà bien assez étrange comme cela, le professeur semblait être mentalement absent et ne faisait qu’acte de présence. Par curiosité il reprit en sa possession son téléphone et regardant le destinataire du message, inconnu, voila une information qui titillait d’avantage sa curiosité et lui faisait en vouloir un peu plus sur le contenu du message, ce dernier ne contenait qu’une adresse et un léger message d’introduction. Celui laisser envisager qu’une fête historique était entrain de s’organiser et que ce soir serait l’aboutissement de toutes ces préparations, finalement c’était au tour d’edward de rentrer de le moule, il comprit très vite qui était le destinataire de ce message, aby e. lovett, le jeune hildebrand c’était déjà rendu à quelques une de ses fêtes et il était bien obligé d’avouer que pour la plupart elles étaient réussi, il c’était fait un nom à travers le monde de la nuit et finalement c’est sans grande surprise qu’ed découvrit l’invitation. A la lecture de ce message il ne put s’empêcher de laisser apparaître sur son visage un petit sourire en coin de satisfaction, remarquant sa voisine loucher sur son téléphone il le reposa rapidement sur sa table et reprit cours à ses activités. Il n’avait nullement l’intention de se rendre à cette fête car contrairement à tous les autres cela ne l’emballait pas vraiment, il avait mieux à faire que de se rendre à une rave party aussi prometteuse soit elle. La fin de l’heure sonnait enfin, les élèves sortirent de la classe à une vitesse folle, telle qu’à peine la sonnerie avait elle prit fin la classe était déserte. Edward quant à lui se dirigeait calmement et lentement vers son bolide ignorant l’agitation de ses camarades et il se mit en route vers son hôtel.
En chemin edward avait envoyé un sms à sa sœur heavynne qu’il n’avait pas revu depuis un certains moment, ayant prit ses distance en changement d’habitation par rapport à ce qu’il avait découvert il attendait néanmoins des explications, et ces dernières il les réclamait au plus vite, il les voulait aujourd’hui, il les voulait plus que tout. Une fois dans sa chambre d’hôtel il mit la musique assez forte de façon à ce que le bruit puisse englober toute la chambre et s’enferma pour prendre une douche. A sa sortie son téléphone sonnait, bien que le bruit de sa sonnerie était inaudible dût à la musique qui par à rapport à l’objet était bien trop forte il l’aperçut vibrer sur son lit, en voyant le nom de sa sœur s’afficher sur l’écran il eut un léger sourire de satisfaction se disant qu’aujourd’hui il allait enfin avoir ses explications. En décrochant et au fil de la conversation il perdit au fur et à mesure son rire pour laisser place au visage froid et sérieux que l’on avait l’habitude de voir, à la fin de la conversation il se contenta de serrer le poing en jetant son téléphone sur le lit, une fois encore elle avait trouvé une excuse pour éviter la confrontation remettant les explications à plus tard. Il en avait vraiment marre de cette situation qui ne faisait que se réitérer lorsque le jeune homme parlait de ce sujet plus que tabou pour la grande sœur. Buvant le verre de scotch qu’il avait commandé au service d’étage au préalable il relut une nouvelle fois le sms d’invitation pour la grande soirée, finalement il serait peut être préférable de s’y rendre, c’était le bon moment pour se changer les idées et avec cet évènement avait prit une grande ampleur il allait pour une fois pouvoir laisser tombé le masque pour que tout le monde puisse entrevoir la personnalité du vrai edward hildebrand, au-delà de l’homme parfait une grande partie de ses défauts seront surement dévoilé lors de cette soirée. Buvant un nouveau verre de scotch il se prépara rapidement, laissant ses cheveux en bataille il enfilant un jean noir ainsi qu’un tee-shirt légèrement serré blanc et par-dessus une veste en cuir noir. Il envoya rapidement quelques sms à des amis leurs signalant qu’il passait les prendre pour une grande soirée et voila le tour était joué, les plans de la soirée et des prochains jours étaient à présent défini. Une quarantaine de minute plus tard edward arriva sur le parking à bord de sa voiture et de trois autres amis, la musique à fond il se stoppa sur le parking sans pour autant descendre du véhicule, il pouvait sentir le sol trembler légèrement et plusieurs personnes rentraient à la chaîne dans une bouche d’égouts, parmi eux se trouvait nelligan qu’il peut apercevoir rapidement, tout comme ses mais, d’ailleurs l’un deux ajouta « si un alpha coincé comme ce mec se rend à cette fête c’est qu’elle ne doit pas valoir le coup », edward quant à lui répliqua immédiatement d’un ton ferme ; « fermez la ». Il était déjà assez énervé aujourd’hui alors pas besoin d’en rajouter plus d’autant plus que ce que disait ses amis était faux, si un mec comme lui était ici c’est que la fête devait en valoir le coup, il n’est pas facile de l’attirer dans une party. Le jeune hildebrand redémarra et sortit du parking à la recherche d’une autre entrée, si ca se passait sous les égouts il devait bien y avoir d’autres entrée. Très vite il remarqua un homme, avec le même tee-shirt que le videur de tout à l’heure, à un endroit un peu plus isolé et calme. Se garant la bas il montrant son sms à l’homme et pénétra comme tous les autres dans les égouts. Plus il descendait et plus la musique se faisait présente, il pouvait sentir toutes les vibrations de la sono dans son corps, une fois en bas la bande d’amis se séparèrent et ed traversait la foule en direction du bar ou il commanda une vodka. Alors que le barman lui servait un verre edward l’arrêta tout de suite et prit la parole « j’ai pas dis un verre, donnez moi la bouteille ». Se saisissant lui-même de la bouteille il but une longe gorgée avant de pénétrer de nouveau dans la foule, dedans il aperçut l’organisateur de la soirée, celui que tout le monde voulait voir, buvant une autre gorgée de sa bouteille il se dirigea vers lui et passa entre deux jeunes femmes avant de donner à un coup d’épaule à deux gros hommes lui demandant de ne pas bousculer aby, lui adressant un « désolé » des plus hypocrite il jeta un coup d’œil aux jeunes femmes qui l’accompagnaient, l’une d’elle ne luit était pas inconnu, en effet c’était naomi mais il se contenta simplement de lui jeter un regard des plus froid, identique à celui qu’il avait jeté à l’organisateur de la soirée. Buvant une nouvelle gorgée de sa bouteille de vodka il continuait son ascension vers la scène en bousculant de nombreuse personne qui ne faisait pas du tout attention à ce qui les entourait. Ce soir plus que n’importe quel autre moment edward avait besoin de se lâcher et il avait décidé que coute que coute il s’approprierait la soirée.
Code du règlement :
Spoiler:
OK BY TOFFEE.
« I'M SO BEAUTIFUL »
Dernière édition par Shakespeare Da Silveira le Jeu 22 Avr - 11:37, édité 41 fois
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Sujet: Re: Aut Cæsar, aut nihil | finish | Mer 21 Avr - 23:15
+1, au cas ou
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Sujet: Re: Aut Cæsar, aut nihil | finish | Mer 21 Avr - 23:16
Bienvenue ici ^^
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Sujet: Re: Aut Cæsar, aut nihil | finish | Mer 21 Avr - 23:17
Ouelcome!
Justin
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Sujet: Re: Aut Cæsar, aut nihil | finish | Mer 21 Avr - 23:18
waouh v'la l'accueil rapide . merci les filles ^^.
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Sujet: Re: Aut Cæsar, aut nihil | finish | Mer 21 Avr - 23:19
Bienvenue !! Bon courage !!
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Sujet: Re: Aut Cæsar, aut nihil | finish | Mer 21 Avr - 23:21
han MEW , merci ^^
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Sujet: Re: Aut Cæsar, aut nihil | finish | Mer 21 Avr - 23:24
Welcome on New York City Life ! ^^
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Sujet: Re: Aut Cæsar, aut nihil | finish | Mer 21 Avr - 23:38
Bienvenue parmi nous !
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Sujet: Re: Aut Cæsar, aut nihil | finish | Jeu 22 Avr - 0:09
Shaakee, Shaakee Bienvenue & bonne chance pour la suite de ta présa
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Sujet: Re: Aut Cæsar, aut nihil | finish | Jeu 22 Avr - 0:13
haha merci à vous. si j'arrive à conserver luke je dédicacerais ma victoire à william .
Invité
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Sujet: Re: Aut Cæsar, aut nihil | finish | Jeu 22 Avr - 0:14
BIENVENU
Invité
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Sujet: Re: Aut Cæsar, aut nihil | finish | Jeu 22 Avr - 0:17
Bienvenue !!! J A D O R E ton vava
Bon courage pour ta fiche (Je viens de terminer la mienne :yeah: )
Invité
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Sujet: Re: Aut Cæsar, aut nihil | finish | Jeu 22 Avr - 0:19
merci beaucoup chelsey. merci; ravi qu'il te plaise et félicitation chloë.
pour info j'attaquerais ma présentation dans la nuit certainement .
Invité
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Sujet: Re: Aut Cæsar, aut nihil | finish | Jeu 22 Avr - 0:37
Welcomeee!
Oh un autre Lukeee Et beau en plus *bave*
Petit emportement (a)
Invité
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Sujet: Re: Aut Cæsar, aut nihil | finish | Jeu 22 Avr - 1:51
Bienvenue & Bonne continuation ! =)
Invité
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Invité
Sujet: Re: Aut Cæsar, aut nihil | finish | Jeu 22 Avr - 4:42
Bienvenue à toi & bonne continuation pour ta fiche ! Je valide le code du règlement qui est bon. (:
Il faudra vérifier, on dirait qu'une balise list est mal fermée, ou quelque chose dans le même genre. Je préfère ne pas aller jouer dans tes codes. x)
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Sujet: Re: Aut Cæsar, aut nihil | finish | Jeu 22 Avr - 4:47
merci à vous deux.
oui c'est ce que j'ai pu constater mais je vous pas laquelle mdr. edit: problème résolu.
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Sujet: Re: Aut Cæsar, aut nihil | finish | Jeu 22 Avr - 8:10
Bienvenue Anyway GRIMES EST UN excellent choix ; je suis superficielle comme Serena j'assume ! T'as déjà eu un compte ici non ?
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Sujet: Re: Aut Cæsar, aut nihil | finish | Jeu 22 Avr - 8:16
merci . pas grave d'être superficielle, qui de nos jours ne l'est pas ? moi ouais j'en ai déjà eu un mais c'est y a pas mal de temps xD.
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Sujet: Re: Aut Cæsar, aut nihil | finish | Jeu 22 Avr - 8:23
Genre Alors rebienvenue plutôt Je suis gentille hein
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Sujet: Re: Aut Cæsar, aut nihil | finish | Jeu 22 Avr - 8:30
ba ouais j'suis genre pour ainsi dire parfait . merci :colleserre: ranafout que tu sois avec mr elkins j'te fais quand même un gros câlin en même temps y a intérêt que tu sois gentille .
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Sujet: Re: Aut Cæsar, aut nihil | finish | Jeu 22 Avr - 8:31
June D. Hathaway-Elkins a écrit:
Je suis gentille hein
Bienvenue parmi nous, excellent choix d'avatar ! Pour le caractère, une simple énumération d'adjectifs ne suffira pas, il faudra que tu y ajoutes le minimum de 10 lignes de texte demandées.
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Sujet: Re: Aut Cæsar, aut nihil | finish | Jeu 22 Avr - 8:34
merci gabrielle. nah mais pour le caractère je sais c'est juste que quand je fais une présentation c'est le bordel total, je commence une partie après je vais sur une autre pour ensuite revenir sur la même. t'inquiète mdr mais merci d'avoir prévenu, normalement ma présentation je la finis ce matin si personne (june) me fait flooder .
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Sujet: Re: Aut Cæsar, aut nihil | finish | Jeu 22 Avr - 8:45
Shakespeare Da Silveira a écrit:
ba ouais j'suis genre pour ainsi dire parfait . merci :colleserre: ranafout que tu sois avec mr elkins j'te fais quand même un gros câlin en même temps y a intérêt que tu sois gentille .
Et voilà un de plus qui se dira proche de la perfection je suis une mariée qui fait des bêtises toussa (a)
Shakespeare Da Silveira a écrit:
normalement ma présentation je la finis ce matin si personne (june) me fait flooder .
Naaaaaaan parce que ça sera de ma faute maintenant ? tsss uu" Sur la cb t'as pas dis que tu la feras cette nuit btw ?