Alice C. Hannigan ▪ [Finished]

Empire State of MindInvité

« Alice Cadie Hannigan » Feat. Jessica Stam Âge : 19 ans Date & Lieu de naissance : Le 14 octobre 1990 à Seattle Groupe : Populaires UFR : UFR 3 Étude : Histoire de l'art Prédéfini ou Inventé : Inventé.	Sweet about me :
« MORE ABOUT MY PERFECTION » Physique & Style : Soyons honnête, Alice est loin de passer inaperçue lorsqu'elle traverse les rues de New-York. Ses jambes interminables, sa chevelure blonde, son corps mince, ses mimiques angéliques, tout en elle n'est pas sans rappeler les mannequins les plus célèbres. Mais avant d'être un visage, la jeune fille est avant tout un style pour lequel beaucoup d'adolescente pré-pubères seraient prêtes à tuer. Au premier regard on pourrait croire qu'elle choisit ses vêtements aussi rapidement que ses conquêtes, c'est la que vous avez tout faux. Tout en elle est étudié, calculé, analysé pour attirer l'œil des gens qu'elle croise. Ne vous étonnez pas de la voir dans des tenues parfois audacieuses, si son collant est filé c'est pour une bonne raison, probablement pour que l'on puisse admirer ses jambes, ou tout simplement parce qu'elle voulait une touche de grunge dans sa tenue, qu'en sais-je?! Hannigan passe souvent du coq à l'âne niveau vestimentaire, un jour jeune fille sage, le lendemain femme fatale, elle est ce que l'on pourrait appeler un caméléon. Elle s'adapte à l'environnement dans lequel elle est et aux gens qu'elle côtoie. Fort heureusement pour elle, son physique lui permet de manier les matières et les tissus à volontiers. Son corps mince et élancé aurait put être le fruit de plusieurs années de régimes, de sport intensif et autres pratiques toutes plus restrictives les unes que les autres. Mais non, elle doit sa silhouette de rêve à une loterie génétique gagnante et par conséquent, elle peut manger de tout dans des quantités astronomiques sans prendre un gramme. Chanceuse?! Oui, elle l'aurait été si seulement ses atouts s'étaient arrêtés à là. Que nenni, son visage est ,lui aussi, digne d'un Rafael ou d'un David. Ses traits sont lisses et fins et ses yeux bleus azurs surprennent souvent les gens à qui elle parle par leur intensité. Son teint diaphane et ses airs fragiles font qu'elle ressemble à une poupée de porcelaine dont on pourrait coiffer la longue chevelure blonde et soyeuse pendant des heures. Cependant Alice possède un certain charme, qui fait d'elle une femme, une jolie femme. Caractère : Alice n'a pas toujours été la femme qu'elle est aujourd'hui. Son comportement résulte très probablement de son passé, des épreuves auxquelles elle a dû faire face plus tôt dans sa vie. Autrefois épanouie, souriante et amusante, elle est devenue renfermée sur elle même, secrète et terriblement fragile. Un sacré changement en somme. La jeune femme ne parle plus beaucoup, elle se contente d'observer. Son hobby est de regarder les gens faire, agir selon leurs propres règles. Cette habitude lui a permit de réaliser à quel point certaines personnes ne valaient pas l'attention qu'on leur accordait. Ce n'est pas pour autant qu'elle se manifesterait pour dénoncer ces injustices, non, elle n'est qu'une observatrice, rien d'autre. Elle se plait à penser qu'elle regarde sa vie derrière une vitre, qu'elle n'appartient pas au monde qui l'entoure, elle est trop différente. Les seuls moment ou la jeune fille se montre telle qu'elle était avant, c'est lorsqu'elle est en présence de ses amis les plus proches, les seuls qui la connaisse suffisamment pour savoir qu'il ne faut pas la brusquer. Oui, on pourrait penser qu'elle est capricieuse et que son manque de conversation n'est qu'une petite fantaisie de sa part, mais encore une fois ça serait se tromper. Son manteau de couturier et ses escarpins griffés lui donnent un air hautain auquel il ne faut pas se fier, ces broutilles sont un masque derrière lequel elle se cache, elles sont savamment préparées pour créer cette illusion d'une femme sûre d'elle et beaucoup trop bien pour vous. En réalité Alice est tout le contraire, elle se considère comme une personne tout a fait quelconque, trop timide pour oser aborder les gens qui l'intéressent vraiment. On lui dit souvent qu'elle est un personnage a elle seule, d'autant plus lorsqu'elle assiste à des fêtes ou autres réjouissances de ce genre. En effet, Hannigan fait parti du monde de la nuit, elle ne passe pas deux jours sans se rendre à une soirée d'étudiants, c'est son dada à elle, sa manière de s'amuser et de décompresser. Il n'est pas rare qu'elle termine ses soirées avec des hommes, jamais les même. Une tombeuse?! Non, pas vraiment, juste une femme en manque d'affection qui cherche du réconfort le temps d'une nuit dans les bras d'un homme, qui, à son réveil sera partit, car c'est la seule règle qu'elle impose. Elle ne cherche pas l'amour, mais ce n'est pas pour autant qu'elle le rejette, loin de là. Elle pense simplement que si elle doit, un jour, tomber amoureuse, cela viendra naturellement, sans qu'elle aie a faire d'efforts pour ça. Elle ne le dit jamais, mais elle a peur, du futur, de ce qu'elle deviendra, de ce qu'il adviendra de ses amis, de toutes les perspectives auxquelles est confrontée une jeune femme dont l'avenir n'est pas encore certain. Histoire : FLASH BACK Le 18 aout 2007. Une naissance. Pas la mienne, non, celle de ma fille. J'ai 16 ans et je suis probablement la personne la plus heureuse du monde, car je vais enfin voir le joli visage de la petite fleur qui attend depuis neuf mois dans mon ventre. Je n'ai pas peur malgré tout ce que l'on m'a dit. On m'a prévenu, il y a bien longtemps déjà, que quand le jour sera venu je regretterais mon choix, que j'aurais mal à en crever et que je souhaiterais finir cela au plus vite. Oui, d'accord, c'est vrai, les contractions ne sont pas ce qu'il y a de plus agréable au monde et je me serais bien passé de l'énorme aiguille qui va bientôt s'enfoncer dans mon dos si seulement je n'avais pas eu mal. J'ai conscience que ma vie ne sera plus jamais la même, je ne pourrais plus faire un pas sans penser à ma fille et à son bonheur. En réalité ça fait déjà sept mois et demi que je ne pense plus qu'à elle, à nous et à ce qu'il nous attend. Je sais que tout se passera bien, le sourire sur le visage du garçon qui me tient la main me le prouve. Il est resté. Après tout ce que nous avons vécu ensemble, les bons moments comme les mauvais, j'aurais pensé que Liam serait parti. Il n'a jamais été très courageux et son égoïsme prépondérant me prouve qu'il n'est pas prêt à devenir père. Mais il va essayer, il me l'a promis, à moi, à notre fille, à mes parents et à tous nos amis. Nous allons former une famille et nous serons heureux parce qu'il ne peut en être autrement. Je sais bien que mon avenir est compromis par cette arrivée, son arrivée; mes parents me l'ont suffisamment rappelé pour que je prenne en compte ce facteur lors de mon choix. Cependant, je ne peux plus reculer, en réalité je ne le désire même pas. Même si je suis bien trop jeune pour devenir mère, je sais que c'est la seule chance qui s'offre à moi, je dois la saisir et en profiter un maximum. Je n'imagine plus ma vie sans elle, je l'aime déjà comme si je pouvais la tenir dans mes bras. A la maison tout est prêt, sa chambre l'attend déjà. Nous avons passé des heures avec son père à feuilleter les magasines de décoration à la recherche de la teinte parfaite pour les murs, du doudou qui la suivra partout et des meubles qui seront les susceptibles de ne pas la blesser. Je me souviens encore de la main de Liam posée sur mon ventre lors de ces moments, il aime sa fille, j'en suis certaine. Les seules personnes qui se sont montrées réticentes à ce petit bout de chou sont en fait mes parents. Ils ont accepté mon choix, ils me soutiennent et nous aide le plus possible, financièrement parlant, à préparer la venue au monde de leur petite fille. Mais ils ne lui ont jamais parlé à travers mon ventre, ils n'ont pas participé à la recherche du prénom, ils se sont montrés tout à fait désintéressés. Qu'importe, ils rattraperont le temps perdu lorsqu'ils verront le magnifique bébé que je viens de prendre dans mes bras. Elle est la plus belle chose que je n'ai jamais vue et de loin. Je sens déjà un flot d'amour me submerger, je n'imagine plus ma vie sans elle, ce petit être est désormais le centre de mon existence. C'est comme ci toute l'affection qui était en moi jusqu'alors se manifestait à l'égard d'une seule personne, elle. Je peine à tourner mon visage baigné de larmes vers Liam. Je lui souris, il essuie les larmes qui coulent le long de mes joues à l'aide de son pouce. Il a l'air heureux, autant que moi, j'ai eu tord de douter de lui. Son émotion est telle qu'il ne peut se retenir de pleurer, lui aussi. Il balbutie un bref "désolé" avant de me prendre ma fille. Je le regarde faire, je ne comprends pas. Peut être souhaite-t-il simplement la prendre dans ses bras, mais pourquoi s'éloigne-t-il avec elle dans ce cas ? Je comprends soudain, mais je ne peux l'accepter. La raison pour laquelle mes parents ne se sont pas attachés au bébé me paraît évidente, il était clair pour eux que je ne pouvais le garder. Je sens mon coeur se briser dans ma poitrine. Je sens encore la chaleur du corps de ma fille dans mes bras, mais elle n'y est plus. Je regarde désemparée autour de moi, les infirmières me regardent toutes d'un air navré. Tout le monde savait, ils étaient au courant qu'on me prendrait mon bébé, qu'on ne me laisserait pas vivre avec elle. Personne ne m'a rien dit. Le poids de la trahison n'est rien comparé au manque que je ressens, j'ai l'impression que l'on a arraché une part de moi lorsque l'on m'a retiré mon enfant. Des larmes coulent le long de mes joues, ce ne sont plus des larmes de joie. Mes cris transpercent la tranquillité de la maternité, on m'a enlevé ma fille. AUJOURD'HUI J'ai probablement dû m'endormir sur ce canapé miteux pour revoir cette scène. Je m'étais pourtant promis d'oublier ce qu'il s'était passé trois ans auparavant. Cela ne semble pas aussi simple que prévu. Je me relève maladroitement et regarde autour de moi. Je suis toujours au même endroit, chez ce gars qui organise la fête, dans son salon pour être plus précise. Les gens continuent de danser, il doit bien être deux heures du matin, quelque chose comme ça. J'ignore complètement si les personnes avec lesquelles je suis venue sont encore là. Elles ont probablement dû partir, je vais devoir me débrouiller pour rentrer, comme d'habitude. J'habite New-York depuis deux ans et il ne m'est jamais arrivé de repartir d'une soirée avec mes amies, je m'endors trop souvent sur les canapés. C'est une chance pour moi que mes parents soient restés à Seattle, a vrai dire si j'ai déménagé ici, ce n'est pas pour Fordham comme je leur ai dit, c'est simplement pour ne plus avoir à supporter le visage de ces monstres qui m'ont arraché ma fille. Après l'épisode de l'hôpital j'ai mis plusieurs mois à me remettre à vivre, Liam était partie avec notre enfant d'après les ordres de mes chers géniteurs. Ils avaient dû le payer grassement, il n'aurait jamais fait ça de son propre chef. Mes parents avaient ensuite cédé à mes moindres désirs, probablement pour se faire pardonner. Je ne pourrais jamais le faire, ils n'ont pas l'air d'avoir saisi cela. La seule chose qui me relie à eux désormais est mon compte en banque alimenté tous les mois pour que je puisse vivre ma vie comme je l'entends. Cet argent me permet de financé mes études d'histoire de l'art. Pas que je me passionne pour tout ce qui est tableau ou autre, je trouve tout simplement que la manière qu'on les artistes d'extérioriser leur sentiments dans leurs œuvres est fascinante. Je me lève rapidement et traverse le salon bondé. Je croise un bon nombre de personnes ivres, je n'ai, pour ma part, jamais apprécié les méfaits de l'alcool sur ma personne, j'ai tendance à raconter tout ce qu'il me passe par la tête dans ces moments là et c'est une chose que je veux à tout prix éviter. Je descends les marches et m'arrête lorsque je vois un taxi. Il est plein, c'est bien ma veine. Je soupire et sens alors une pression exercée sur mon omoplate. Je sais pertinemment ce que la personne indique, un tatouage. Un souvenir que je tente en vain d'effacer mais qui fait parti de moi. Je ne fais pas attention à ce que l'on me dit et hèle un taxi, de quel droit un idiot à peine majeur qui a un taux d'alcoolémie dans le sang plus haut que l'Empire State Building se permet-il de souiller son prénom, inscrit dans mon dos?! Je suis désolée Lilly. Signe(s) particulier(s) : Un tatouage sur l'omoplate droite vieux d'à peine deux ans. Pourquoi à cet endroit?! Parce que c'est suffisamment visible pour que je puisse me souvenir, mais pas assez pour que je sois confronté à la dure réalité. C'est un élément de mon passé, un prénom, celui de ma fille: "Lilly". Orientation Sexuelle : Je dirais que je suis 100% hétéro. Je n'ai jamais tenté de faire "la chose" avec une femme, tout simplement parce que les hommes me conviennent parfaitement. Je n'ai aucun problème avec les homosexuels, loin de là, ils sont même, en général, plus ouverts d'esprits. Citation favorite : «Nous cherchons plus à durer que nous essayons de vivre.» Andy Warhol
« BEHIND THE COMPUTER » Prénom : Man'. Âge : 16 ans Comment as-tu connu ce forum ? : Dans un bar, un samedi soir, on a tout de suite bien accroché x) Ton avis (design, contexte, ...) : J'aime :1: Présence sur le forum : 6 ou7/7 Autre(s) compte(s) : Nop. Exemple de RP : Spoiler: Code du règlement : Spoiler:	« I'M SO BEAUTIFUL »