Sujet: Narcisse H. Clarks [100 %] (a) Dim 9 Mai - 1:32
« Narcisse Hope Clarks » Feat. Olivia Wilde
Âge : 24 ans. Date & Lieu de naissance : 21 Décembre, un soir de neige à New York. Groupe : Les Rebels UFR : UFR 5. Étude : Psychologie. Prédéfini ou Inventé : Inventé.
Sweet about me :
« MORE ABOUT MY PERFECTION »
Signe(s) particulier(s) :
Narcisse n’a pas de signes particulier qui est visible mis à part ses oreilles percées. Mais la jeune femme cache bien ses petits trésors. En effet Narcisse est tatouée à deux endroits différents. Tout d’abord à la cheville gauche. Une phrase latine qui résume un peu toute sa vie : Donec eris felix, multos numerabis amicos. Ce qui signifie « tant que tu seras heureux, tu compteras beaucoup d'amis. » Pour le voir, il suffit qu’elle retira sa converse… mais le deuxième est bien mieux caché que ça. Effectivement, ce dernier se loge pile en bas de son ventre du côté droit enfin… le début en tout cas. Narcisse possède la tête d’un phœnix en bas de son ventre côté droit mais ce n’est pas tout, le reste de ce dernier se poursuit dans son dos où les ailes de ce dernier se déploient et enfin, la queue de phœnix se retrouve donc, en bas de son ventre côté gauche. Et celui là pour le voir en entier, il faut avoir la possibilité de retirer le haut de la demoiselle ET son jean. Attention homme ayant vu ce tatouage, vous êtes des privilégiés…
Orientation Sexuelle :
Narcisse est une jeune femme qui apprécie les courbes fines et gracieuses. C’est pourquoi oui, elle aime bien regarder les filles mais non, ce n’est pas pour autant qu’elle est homosexuelle. Bon, oui, comme tout le monde faut un commencement à tout alors évidement quand elle était bien alcoolisée, elle a du embrasser deux ou trois de ses amies mais rien de plus… pas dans ses souvenirs en tout cas. Donc vous aurez donc compris qu’elle n’est pas bisexuelle non plus. Elle a beau apprécier les courbes féminines, ça ne s’arrête qu’en matière d’art. Elle préfère de près comme de loin, être entourée par un masse musculaire plus importante qu’elle et puis un homme doux et attentionné, il n’y a que ça de vrai.
Citation favorite :
« Ton nom seul est mon ennemi. Tu es ce nom, tu es toi-même. Qu'est-ce qu'un nom ? Ce n'est ni une main, ni un pied, ni un bras, ni un visage, ni rien qui fasse partie d'un homme.. Oh ! sois quelque autre nom ! » « Qu'y a-t-il dans un nom ? Ce que nous appelons une rose embaumerait autant sous un autre nom. Ainsi, quand il ne s'appellerait plus lui, il conserverait encore les chères perfections qu'il possède … » « Renonce à ton nom ; et à la place de ce nom qui ne fait pas partie de toi, prends-moi tout entière… »
Roméo et Juliette, Shakespeare, Acte 2, scène 2.
« BEHIND THE COMPUTER »
Prénom : Appelez moi Luna, ça fera l'affaire. Âge : je vais sur mes 19 ans. Comment as-tu connu ce forum ? : Vous voyiez Stefan J. Clarks ? Bah c'est à lui qu'il faut vous en prendre pour m'avoir trainée ici xD Ton avis (design, contexte, ...) : Très jolie design, j'aime beaucoup, un peu trop vert a mon goût mais tout est en harmonie alors c'est bon. Présence sur le forum : très régulière. Autre(s) compte(s) : Pas pour l'instant mouhahaha xD. Exemple de RP :
Spoiler:
Son regard gris-vert balayait sa chambre au peigne fin. Mais où est-il passé ? Il ? Son carnet à dessin évidement, un carnet qui ne la quitte jamais, un carnet plus précieux encore que sa propre vie. C’est comme ça qu’elle le voyait, parce que ce carnet c’était son histoire, sa vie retracée de différentes façons, son vécu sous des traits humoristiques ou tragiques. Parfois des dessins qu’elle avait imprimés après les avoir dessiner sur sa plateforme tactile, parfois des dessins sur papier. Fusain, crayon, pastel, peinture, tout se mélange dans ce carnet « d’artiste ». C’est comme ça qu’on l’avait surnommée hier. « L’artiste » … Avait-elle réellement le talent pour être considérée comme une véritable artiste ? Aurait-elle assez de cran un jour pour exposer ses dessins ? Elle n’en savait rien et de toute manière pour ouvrir une galerie ou simplement exposer peu importe l’endroit, il voudrait déjà oser les sortir ses dessins. Ce n’est pas que sa vie est secrète, ce n’est pas que ses dessins même ceux qui n’ont rien à avoir avec sa vie sont immondes, loin de là même, c’est juste que la jeune femme a toujours vécue comme cela, dans l’ombre de ses talents alors pourquoi devrait-elle aujourd’hui se montrer à la lumière ? D’ailleurs en parlant de lumière, elle avait beau avoir ouvert ses stores électriques, allumée la lumière, elle ne le trouvait pas ce carnet. Sous le lit, sous la couette, dans les tiroirs et pourquoi dans la douche ? Elle avait chercher partout, mais vraiment partout et ce carnet se trouvait être … introuvable.
Tant pis, elle n’avait pas le temps de chercher son carnet, elle devait partir sinon elle allait être en retard et pour une fois qu’elle est à l’heure, mieux faut en profiter. Elle prit les clés de sa voiture et s’en alla vers le parking sous-terrain où se trouvait « sa merveille ». C’est comme ça qu’elle appelait sa voiture, et c’est avec « sa merveille » qu’elle s’envola au dessus de la ville pour se rendre à son rendez-vous, à la banque. Ouais, ouais, elle voulait les récupérer ses sous qu’on lui avait retirés sans raison. C’est d’ailleurs pour savoir la raison de ce retrait qu’elle y allait. Habillée de son jean gris, d’un haut blanc, d’une veste en cuir noire et des chaussures à talons noires, elle déambulait dans les rues de sa banque, les talons claquant sur le goudron, avant d’entrer dans le bâtiment et d’y rester pour un bon moment. Ce n’est qu’au bout de deux heures, le sourire aux lèvres et le ventre gargouillant qu’elle en sortit vainqueur de ce maudit bâtiment. Elle allait récupérer son argent bientôt qui fût apparemment égaré par mégarde, versé sur un autre compte. Non mais je vous jure, même avec la technologie de maintenant ils sont encore foutu de faire des erreurs. Enfin bon, en attendant elle avait faim. Hum, oui, on peut le dire, elle est presque réglée comme une horloge avec un ventre qui hurle famine à 12h30 pile.
Et non, contrairement à ce que l’on peut croire, elle n’est pas retournée chez elle, préférant une salade toute faite du supermarché au coin de la rue. Ce n’est plus dans les rues qu’elle déambulait à présent, mais bien dans la petite superette à la recherche de LA salade qu’elle allait manger ce midi. Elle avait une idée toute faite de ce qu’elle allait manger mais encore faut-il la trouver. Je vous jure, même de petite taille, la superette semblait immense. Autant dire que tout parait immense lorsqu’on s’y aventure pour la première fois que ce soit un endroit ou autre chose. Elle marchait dans les rayons, sans savoir réellement où elle allait, passant d’un rayon à un autre.
- Haha, les voilà les cachotières.
Oui, vous pouvez le dire : Shannen est dingue. Elle s’empara d’une des salades qu’elle avait soigneusement choisi comme à chaque fois qu’elle a un choix à faire d’ailleurs. Quand elle passa à la caisse, elle pût lire sur une pub holographique : visite préhistorique au musée cet après-midi à 13h30. Humm … pourquoi pas après tout. Elle remercia le caissier avant de s’en aller vers la sortie, toujours ses yeux rivés vers cette publicité défilant sur le mur de la superette. Elle regarda autour d’elle et vit non loin de là, un banc libre qu’une jeune femme et un jeune homme venait de quitter. Elle installa et se mit à manger sa salade grandement appréciée. C’est fou le monde qu’il y a dans cette ville toujours en reconstruction par ci par là pour faire de la place. Shannen avait entendu dire qu’il creusait pour faire de la place … hum bonne idée mais malheureusement limitée. Elle se demandait comment on allait bien pourvoir faire par la suite ? Elle y avait réfléchit, elle n’avait pas réellement trouvé de solution mais après tout, pour le moment ça marche alors pourquoi arrêter ? Peut-être que d’ici là un génie aura inventé des villes flottantes ou aériennes ? Après tout, c’est tout à fait faisable.
Les minutes passèrent, passèrent, passèrent. Sa salade diminuait, diminuait, dimi … était finie en fait. C’est fou ce que ça peut caler ce genre de chose. Elle s’était allongée sur ce banc, regardant les nuages holographiques du dôme. C’était chouette quand même toute cette technologie qui les protègent, les citoyens et elle, du monde extérieur. Quand elle pense à ce qu’elle a croisée en zone extérieure, ce n’est même pas étonnant que les gens n’ont pas voulu sortir de sous ce dôme pendant longtemps. Elle les comprends parfaitement, la Terre est devenue tellement … hostile et dangereuse. Assez dangereuse pour que les humains aient peur de leur propre planète, assez dangereuse pour que l’Homme ait décidé de faire un corps militaire pour combattre l’extérieur : les Black Warriors. Ils tuent ce qui s’avèrent être nocif, dangereux pour l’être humain comme les errants alliés à Campbell. Rah Campbell, qu’es-ce qu’elle l’aime pas celui-là. Et oui, la jeune femme aussi innocente qu’elle parait ne l’est pas réellement. Non pas que se soit un petit démon hein, loin de là, elle est sage voire trop d’après certaines personnes mais elle est et reste black warrior avant tout et ça, c’est quelque chose qui a fini par se encrer en elle. Les errants alliés à Campbell, elle les réduit le plus possible à néant de sang froid, sans aucun regret. Et pourtant, aujourd’hui, allongée sur ce banc, elle se dit qu’elle est salie, souillée de par le sang qu’elle a pût faire couler. C’est pour le bien de l’humanité, c’est pour le bien de notre espèce, pour nos générations futures. C’est ce qu’on avait cesse de lui dire, c’est pour ça que les black warriors sont si médiatisés, c’est pour ça qu’ils sont si connus, qu’ils sont assimilé à des héros.
Des héros pas si héros que ça en fait. Tuer, tuer, tuer, tuer, c’est tout ce qu’ils faisaient pour « protéger » les humains. Mais un héros, un vrai de vrai n’a pas besoin de tuer pour sauver ou protéger n’es-ce pas ? Oui, c’est vrai, ils sauvent, ils protègent mais ils tuent. Hum, l’image d’héros est-elle finalement bien choisie ? Shannen n’en savait rien enfin ce n’est pas qu’elle n’en savait rien, c’est surtout qu’elle ne voulait pas savoir. Oui, bien sûr qu’elle adore son métier, elle ne serait pas aussi forte aujourd’hui sans ça, mais parfois et quand on y pense vraiment, elle aurait pût faire autre chose, elle aurait pût ne pas tuer et ainsi ne pas se sentir salie. Elle regarda sa montre : 13h. Hum ouais, elle devait se changer les idées et arrêter de penser à son métier quand elle n’y est pas. Elle se leva du banc et se mit en route vers le musée. Une demie heure … elle allait sûrement arrivée en avance par rapport à la visite mais tant pis, elle pourras se repérer un peu dans le bâtiment avant de commencer pour éviter de se paumer comme elle avait fait dans la superette.
Elle observait les gens dans la rue alors qu’elle marchait tranquillement. C’est si … étonnant le nombre de personnes différentes qu’il peut exister à New York et rien qu’à New York. Grands, petits, gros, minces, bruns, blonds, femmes, hommes, enfants, noirs, blancs, pauvres, riches, d’origine américaine ou bien d’ailleurs. Un véritable mélange étonnant, un cocktail explosif, une véritable fourmilière. C’est comme ça que Shannen voyait New York. Une fourmilières où les fourmis ne sont pas constamment en train de travailler, où les fourmis ne se ressemble pas toute, où l’une n’est pas plus haute placée que l’autre (généralement). Depuis l’apparition du trou noir, c’est fou ce que les gens sont plus solidaire entre eux, sont moins en guerre voir plus du tout (puisque la seule guerre qui règne réellement sur Terre est celle entre les errants et les humains). Shannen traversa la route toujours en regardant autour d’elle. Elle ne faisait pas réellement attention où elle posait les pieds, traçant juste son chemin vers le musée de la ville. Néanmoins ses pieds ralentissaient, la stoppant sur place.
Les voitures volant à basse altitude l’empêchait de voir ce qu’il se passait réellement. Un groupe de gens avaient entouré un endroit précis … ou plutôt une personne précise. Shannen traversa la route et de sa petite taille, elle se faufila entre les gens. Une personne âgée venait de faire un malaise et personne ne semblait vouloir bouger. Tous semblait bloquer à la vue de ce vieillard sur le sol. Mort ? Non, enfin c’est ce que Shannen pensait. Comme tout Black Warrior qui se respecte, elle connait sur le bout des doigts les gestes de premiers secours. Elle entra dans le premier magasin venu, prit le défibrillateur et se faufila de nouveau entre les gens. Elle ne comprenait pas que les personnes présentes n’ont rien fait d’autre que d’appeler une ambulance. La jeune femme, d’un geste presque automatique, avait branchées les électrodes sur le torse du vieillard en demandant aux passants beaucoup trop curieux de se reculer. La machine se mit en route et les chocs cardiaques commencèrent. L’écran de l’appareil n’indiquait qu’un très simple pouls, chose très mauvaise pour quelconque personne âgée.
- Aller, revient.
Les quelques secondes qui séparaient deux chocs électriques ressemblaient à une éternité pour Shannen. Et si la machine tombait en panne ? Et si cet homme qu’elle avait plus ou moins pris sous sa responsabilité allait mourir ? Et si cette femme qui semblait être sa femme ne pourrait le pardonner à Shannen d’avoir échoué ? Le bip de la machine qui n’était autre que le bruit sonore du cœur du monsieur ne semblait pas vouloir être régulier. Les sirènes de l’ambulance se faisait entendre dans les airs, ils arrivaient mais semblait tellement encore lointain pour la jeune femme. Les cris, les offuscations, les pleurs n’arrangeait rien et pourtant Shannen restait calme. Elle avait été entraînée pour ce genre de situation et pour beaucoup d’autres également. Garder son sang froid. C’est ce qu’elle devait faire et c’est ce qu’elle avait fait pendant les quelques minutes qui séparait un choc électrique et l’arrivée des ambulanciers. Shannen avait dégagé un maximum de place pour que l’ambulance puisse se poser sans risques. Les ambulanciers prédirent les soins suivants ceux de Shannen. La jeune femme, comme tous les autres, fût éloignée à son tour par un médecin.
- Qui êtes vous ? - Instructeur Collins, Shannen Collins. C’est moi qui ait poser les électrodes et démarrée la machine.
Elle avait beau lui répondre, elle n’en avait que faire de ce qu’il disait, elle se fichait de savoir qu’il était là qu’en cas que pour épauler l’autre médecin en cas d’hémorragie interne, elle se fichait qu’il lui demande depuis combien de temps elle est instructeur, elle se fichait qu’il soit étonné de sa profession pour son jeune âge … tout ce qu’elle voulait savoir c’est si le vieillard allait s’en sortir, si sous le coup du stress aussi minime avait-il été elle avait fait correctement fait son boulot. Ce n’est qu’une quinzaine de minutes plus tard que le médecin sortit de l’ambulance, le sourire aux lèvres. La vieille femme se précipita dans les bras de Shannen pour la serrer contre elle, la remerciant plus d’une fois. Les gens autour se mirent à applaudirent quand le médecin désigna l’instructeur comme l’héroïne du jour. Oui, elle peut être fière d’être arrivée à temps, d’avoir sût réagir et non de rester bloquer, d’avoir sût sans se tromper où placer les électrodes, d’avoir sût éloigner les gens … d’être une Black Warrior … peut-être qu’en fait elle avait tort, les Black Warriors c’est de vraie héroïne, capable de maîtriser la situation, capable de rester calme en toutes circonstances.
Tout compte fait, elle allait sûrement être un chouya en retard avec tout ce remue ménage. Elle ne voulait pas qu’on l’a prenne pour un héros parce que ce qu’elle faisait c’était à la hauteur d’un citoyen tout à fait normal qui sait lire les instructions sur le boîtier d’un défibrillateur. Elle ne s’était pas attarder, de toute façon une fois l’ambulance partie, les gens s’étaient dissipés et Shannen avait continuer sa route, tout de même heureuse d’avoir sauvé quelqu’un, une personne de plus autre que dans le contexte de la zone extérieure. Le musée n’était plus très loin à présent. Elle hâta un peu son pas pour aller plus vite et éviter le retard. Néanmoins, avant d’entrer dans le musée, elle fît quelque pas en arrière, entrant dans un magasin où elle acheta un bloc note et des crayons à papier. Et oui, elle ne pouvait tout de même pas se rendre dans un musée sans avoir l’occasion de dessiner au moins une chose qui se trouve à l’intérieur.
Quand elle poussa la porte d’entrée du musée, bloc note et crayon à papier en main, elle leva instinctivement la tête vers le haut. Un diplodocus holographique animé l’entrée, balayant une partie de l’entrée avec sa queue qui bien sûr ne percutaient personne bien heureusement. La Shannen intellectuelle se réveilla, ça pouvait se lire dans les yeux de la demoiselle qui était ébahie par tant de technologie. Pourquoi n’était-elle pas venue ici avant ce jour ? Elle n’en avait aucune idée. Une jeune classe était là et leur institutrice les comptaient un par un alors qu’un jeune homme brun leur parlait de la visité préhistorique qu’il allait faire. C’est donc lui, qui allait les guider dans le musée et leur expliquer le maximum de chose pendant cette visite qui s’avérait déjà forte intéressante que se soit d’un point de vue artistique pour les dessins qui vont naître ou bien d’un point de vue information. Shannen a toujours adorer en apprendre encore plus, non pas pour étaler sa science à tout va, loin de là puisqu’elle est plutôt discrète mais plus pour son plaisir personnel. Savoir des choses, pouvoir les transmettre sans en faire de trop non plus. C’est bien pour ça que le métier d’instructeur chez les Black Warriors lui va si bien. La petite troupe de jeunes filles et de jeunes garçons se mirent en route pour la visite. Shannen avait décider de les suivre quitte à être prise pour une accompagnatrice ou une instit au près du jeune guide. Enfin d’un autre côté c’est ce qu’elle est un peu non ? Sauf qu’il s’agit de grands enfants à présent. Le premier tatouage qu'elle possède fût fait après la tentative de suicide de sa mère où elle a réellement vu qui étaient ses amis et qui ne l'était pas. Son deuxième signifie qu'elle renait de ces cendres. Il fût tatoué après sa rupture avec son ex fiancé qui l'avait trompé.
Code du règlement :
Spoiler:
OKAY BY JUNE
« I'M SO BEAUTIFUL »
Dernière édition par Narcisse H. Clarks le Jeu 20 Mai - 22:33, édité 32 fois
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Narcisse H. Clarks [100 %] (a) Dim 9 Mai - 1:33
Physique & Style :
En terme médical un simple : brune, yeux bleus-verts, 1m67, 57 kg. Mais vous savez tous - ou vous allez le savoir - je suis une narratrice chiante qui aime entrer dans le détail. Alors tout d’abord voyiez vous, les cheveux de Narcisse c’est bel et bien bruns mais contrairement à ce que les médecins semblent croire, ce n’est pas un brun naturelle. Non, non, non, à la base la jeune demoiselle est d’une blondeur éclatante. Bouclette ou blondinette étaient des surnoms qui revenaient souvent… Fort heureusement pour vous chers lecteurs vous n’oserez pas l’appeler ainsi n’est-ce pas ? Ça serait tellement dommage qu’elle vous colle dans ses ennemis juste pour ces surnoms qu’elle ne supporte plus. Néanmoins, une chose est parfaitement naturelle chez Narcisse et ses cheveux. Leur raideur… Effectivement mademoiselle à la chance de faire partit de ces filles qui n’ont pas besoin de lisseur. Vent, pluie, neige, soleil, la raideur persiste quoi qu’il arrive et croyez le ou non, mais quand elle voit les filles qui galèrent, elle se dit qu’elle a de la chance. A part la couleur, c’est bien évidement la longueur qui change. Non, n’allez surtout pas croire que la jeune femme est une poupée barbie sur laquelle on tire les cheveux pour que ça grandit. Elle a, comme tout le monde je le souhaite sinon vous êtes particulièrement étranges, des cheveux qui poussent. Incroyable hein ? Du coup oui, il lui arrive d’aller chez le coiffeur afin de raccourcir des cheveux trop longs qui l’a gêne. Elle a également la chance de pouvoir faire ce qu’elle souhaite avec ses cheveux bien que souvent, sa coiffure - quand elle ne laisse pas ses cheveux détachés - se réduit à une simple queue de cheval.
Quant à son visage, elle vous dira que c’est sa fierté de fille. Des yeux d’une profondeur tout aussi incroyable que celle de la mer. D’un bleu azur qui tire parfois vers le vert ou le gris clair, c’est sûrement le seul élément physique qu’elle possède en commun avec son frère - heureusement pour lui d’ailleurs -. Néanmoins, c’est assez perplexe car la demoiselle aime beaucoup la couleur de ses yeux que la plupart des gens trouvent magnifiques mais le problème selon elle, c’est que ses yeux sont la porte ouverte vers son intériorité, son intimité et ça, elle déteste plus que tout. C’est bien simple, ses yeux l’a trahissent à chacun des sentiments qu’elle ressent. C’est principalement pour cela qu’elle porte beaucoup des lunettes de soleil. Après tout pourquoi s’en passer alors qu’elle les porte bien et que cela évite de lire en elle comme dans un livre ouvert ? Bon, ne vous inquiétez pas non plus, elle n’en porte pas en hiver. Sous ses yeux soulignés de longs cils, on trouve *attention, magie* un nez ! Et oui je sais, je connais bien l’anatomie humaine *ahem* bref. Et ce nez, elle ne serait vous dire le pourquoi du comment mais elle le déteste. Elle le trouve trop imposant alors que très franchement, il n’a rien de spécial. Et sous ce nez qu’elle déteste, reposent *non pas en paix, elles ne sont pas décédés au contraire xD* des lèvres rosées bien souvent mise en valeur par un léger gloss transparent. Fines tout en restant visibles, elles aiment accueillir les baisers d’un homme. Vous aurez donc compris que dans sa globalité, mademoiselle aime son visage que beaucoup dit angélique. Malheureusement pour eux, son caractère ne suit pas l’impression angélique que son corps dégage.
Quant au reste de son corps, elle ne s’en plaint pas. Elle sait jouer des formes qu’elle possède pour séduire. Elle a beau avoir par moment l’apparence d’un garçon manqué, elle sait s’habiller féminin lorsque l’objectif en vaut la peine. Enfin attention quand même, elle sait jouer de son corps certes mais ce n’est pas une femme qui couche à droite et à gauche. Elle joue de ses formes avec les personnes qu’elle connait ou qu’elle fréquente souvent. Et mademoiselle a la nette impression que le peu de fois qu’elle met un short en jean, ses longues jambes fines font de l’effet à ses messieurs.
D’ailleurs en parlant de vêtement, autant décrire son « style » bien qu’en réalité ce n’est pas vraiment un style. Tout d’abord, puisque moi la narratrice, je ne suis conventionnel, on va commencer par le bas. Les chaussures donc. Les talons ? Parfois, pour des occasions spéciales et surtout privées, dans le cercle familial, et dieu sait que ce genre de soirée en petite communauté est très rare. C’est pourquoi, vous l’a verrez très souvent en converses tout simplement parce qu’elle aime se sentir à l’aise dans ses baskets - c’est le cas de le dire -. Elle en a une véritable collection : rouges, blanches, noirs, vertes, jaunes, violettes, marrons, roses… et même des imprimées. Elle en a de toute les sortes, de la plus simple à la plus farfelue. Quand à ces bas, elle porte souvent des jeans, toujours pour une question de confort. Principalement foncé il lui arrive tout de même de porter des jeans plus ou moins clairs selon son humeur et son envie surtout. Parfois, elle porte des shorts - toujours en jeans et parfois en toile - qui font retourner les garçons sur son passage - au plus grand malheur de son frère - mais jamais, Ô grand jamais vous ne la verrait en robe ou en jupe - au plus grand bonheur de son frère cette fois -. Si un jour c’est le cas, vous pouvez me croire que c’est un moment à immortalisé de toute les façons possible. Et enfin - oui je vais vous lâcher xD - ces hauts sont généralement assez courts pour laisser entrevoir son tatouage en bas de son ventre sur le côté droit. Ils sont principalement en accord avec ses converses - vous comprendrez donc qu’elle ne met pas souvent ses converses roses en public -. Souvent à manches courtes il lui arrive de mettre une veste à capuche qui elle, est toujours de couleur foncé, tournant entre le gris, le noir, le marron et le vert kaki.
Caractère :
J’ai presque envie de vous décrire Narcisse de la même façon que son caractère, c’est-à-dire lunatique, mais pour vous faciliter la lecture je vais simplement vous la décrire point par point, défauts par défauts, qualités par qualité - bien que ces dernières ne soient vraiment pas nombreuses -. Tout d’abord commençons par les défauts, histoire de garder le meilleur pour la fin et surtout ne pas vous faire trop peur… quoi que c’est peut-être déjà trop tard enfin bref. Comme vous le savez depuis quelques secondes, mademoiselle est lunatique comme pas d’autres. Comme dit l’expression, elle change de caractère comme de chemise - même si là, il vaut mieux viser les converses vu la collection qu’elle a enfin bref -. Elle est donc facilement irritable pour un rien et facilement heureuse aussi même si pour ce coup, c’est plus difficile de lui faire décocher un sourire. Cet aspect lunatique fait malheureusement d’elle quelqu’un de trop à cran, la rébellion est quelque chose qu’elle côtois souvent, trop selon son tendre - ou pas - frère. Par conséquent, elle est difficilement abordable car les personnes qui l’entoure ont tendance à ne pas supporter cette facette lunatique qui engendre, comme vous le voyiez, bien des défauts.
De plus, le peu de personnes qui osent enfin l’aborder, se prennent bien souvent des vents gros comme des tornades. La demoiselle n’a pas sa langue dans sa poche et les élèves comme les professeurs en font bien souvent les frais au grand malheur du directeur de l’université. Elle déteste les personnes qui jouent les focus et les hypocrites devant les gens et critiquent en crachant leur venin par derrière alors pourquoi le ferait-elle ? Ça n’a aucun sens… et contrairement à ce que beaucoup de gens peuvent croire, Narcisse a du sens. Du coup, elle ne se gêne pas pour vous dire vos quatre vérités, à quoi bon les cacher si elles sont si flagrantes. Comme toute personne sur cette Terre, Narcisse a des préjugés que ce soit au niveau des couples, des groupes ou tout simplement des gens de façon individuelle. Et pourtant, elle les évite au maximum, ce qui fait d’elle quelqu’un d’assez spécial. Elle déteste se baser sur l’option des gens même si inconsciemment elle le fait au début mais finalement, elle finit par connaitre la personne et à se faire sa propre opinion. C’est pourquoi, un autre de ses défauts fait surface. Oh bien sûr, si elle contentait d’être franche et de prendre des pincettes ça irait, mais non, elle n’est pas comme ça. Elle est ce que l’on appelle quelqu’un de franco - j’espère que vous l’aurez compris xD -
La superficialité… et non, contrairement à ce que vous croyiez en lisant cela, Narcisse n’est du tout superficielle. Au contraire, si je parle de cela c’est justement pour vous affirmer qu’elle déteste ça, plus que tout. Les garçons qui gonflent leurs muscles dans l’espoir de faire craquer la pompon girl la plus populaire, ça l’énerve. Quant aux filles dont la question qui les tracassent c’est Gucci ou Prada, ça à tendance à l’irriter fortement. Pourtant elle est persuadée que ces gens ont un cerveau - ou un semblant de cerveau en tout cas - ils pourraient impressionner par leur intelligence, et elles, elles pourraient briller par leur malice et leur sens de déduction. Vous comprendrez donc, que la beauté extérieure, elle s’en fiche complètement et lorsqu’elle croise une femme ou un homme superficiel, elle a tendance à se moquer de façon ouverte puisque comme vous le savez déjà, elle n’a pas sa langue dans sa poche.
Et le fait de ne pas avoir sa langue dans sa poche ou encore d’être trop cache, lui vaut la réputation d’une jeune femme jamais contente et refermée sur elle. Jamais contente, ce n’est pas exact mais il est vrai que la jeune femme est refermée, difficilement accessible. Surtout pour les hommes, ça peut paraitre complètement idiot, mais disons qu’elle s’est fait briser le cœur une fois de trop. Depuis elle a beaucoup de mal à accorder sa confiance à de nouvelles connaissances aussi bien masculines - surtout masculines - que féminines. Du coup, oui, on peut dire que l’étiquette d’associable lui colle à la peau alors que ce n’est pas réellement être associable enfin bon, elle a fini par s’y habituer. D’ailleurs, ça, c’est un autre de ses défauts - oui, hein, elle a beaucoup de défauts xD -. L’habitude. Comme chez tout le monde, il y a les bonnes et les mauvaises habitudes. Bien que régis comme de nombreuses personnes, par les mauvaises habitudes, Narcisse a un défaut qui concerne toutes les habitudes en général. La facilité. Elle s'habitue beaucoup trop vite au situation dans laquelle elle est. Et on fait qu’on est habitué, on a tendance à penser que c’est naturel, c’est pourquoi il est dur pour Narcisse de partir de chez ses parents, de sortir de son quartier pourri, de refaire confiance aux hommes, de penser à nouveau que l’amour est fait pour elle comme pour tout le monde… en bref, se débarrasser de tous ses défauts…
Mademoiselle n’apprécie pas la surprotection dont fait preuve son frère. Elle a tout simplement horreur de cela car ce dernier est toujours sur son dos, à lui faire la morale sans arrêt, ce qui lui tape très sincèrement sur le système. Elle a l’impression d’être une petite fille de 5 ans en permanence sous surveillance. Et c’est sûrement cela qui l’a gêne le plus. Elle a l’impression de manquer d’air et surtout de liberté. De plus, elle n’arrive pas particulièrement à cautionner les raisons que son frère lui donne quant à cette surprotection. Plus jeune… oui elle l’est. Sa petite sœur… aussi évidement mais au jour d’aujourd’hui, la petite sœur a bien grandie. Elle a tout de même 24 ans… c’est pourquoi elle n’arrive pas à le comprendre. Et c’est ainsi pour tout, pas seulement pour son frère. Une fois qu’elle a une conception des choses, une idée derrière la tête, on ne lui retire pas facilement. Elle fonce la tête baissée sans se soucier des moindres dangers ou des conséquences… tout compte fait, peut-être qu’elle comprend son frère… Ah oui, ça fait partit de ses défauts également : la demoiselle veut tout comprendre. Elle a l’impression que tout à un sens et elle doit absolument le savoir pour que son monde tourne rond. Et très franchement, il ne tourne pas rond du tout, tout simplement parce qu’elle n’a pas la science infuse, et certaines choses sont incompréhensibles telles que l’amour…
Maintenant que nous avons parler des défauts, il serait temps de parler des qualités non ? Bah oui, elle en a quand même un peu, c’est pas un monstre non plus. Au contraire même, si on doit l’assimiler à une image c’est bien le clown. Effectivement, malgré les malheurs qu’elle a pu traverser, malgré les mauvaises nouvelles qu’elle s’est prise en pleine figure pendant de nombreuses années, elle a toujours eu ce sourire si radieux - bien que parfois disparu mais revenant toujours -. Elle aurait tendance à vous dire qu’il fait toute sa force, que sa force se manifeste de cette façon, sous cette forme de bonne humeur perpétuelle. Toujours à faire rire les gens qui l’entourent au maximum et toujours en train de voir le bon côté des choses. Il semblerait que cette image est de l’optimisme. Combien de personne aurait pourtant déjà fléchi sous la pression qu’elle a reçue ? Combien de personne aurait abandonné ? La vie est un immense plateau de jeu d’échec et malgré le petit statut de Narcisse sur ce dernier, elle est bien décidée à renverser le roi. Parce que oui, combattante c’est ce qu’elle est. Coûte que coûte, elle ira au bout de ces idéaux même si pour ça elle doit sauter au dessus du plus grand des obstacle.
La justice est également une des nombreuses valeurs qu’elle prône plus que tout. Elle a connu la misère et la connait encore parfois aujourd’hui. Elle a eu des amis qui se faisaient battre par leur père ou même pire. Le malheur, elle le connait sur le bout des doigts, elle le fréquente comme elle fréquente chaque jour les ruelles de cette ville plus hideuses les unes que les autres. Elle aurait bien voulu devenir avocate pour aider toutes ses personnes mais non. Bien vite elle a compris que la justice, certes, punissait d’une certaine manière mais elle n’effaçait pas le mauvais qui est ancré dans le cœur même de ces gens si dévastateurs. C’est pourquoi elle s’est tournée vers la psychologie, c’est par là que tout commence, c’est par notre façon de voir et notre vécu que tout s’engendre. C’est la source même des malheurs. Alors oui, elle est pour la justice, pour qu’on punisse les gens qui font du mal et qui engendre d’autre problème bien souvent plus grave qu’un problème physique. Combien de fois la jeune femme s’est retrouvée indignée par la peine d’un accusé bien trop petite pour ce qu’il avait fait ? Des millions de fois, elle ne les compte même plus aujourd’hui.
Une autre de ses qualités qui est assez remarquable est sa logique. Le monde est codifié par des lois bien précises et bien qu’elle n’en ai pas la totale connaissance, elle en sait quelques unes. Il faut dire que son QI supérieur à la normale l’aide beaucoup à ce niveau là. Et pourtant, elle déteste étaler sa culture, comme on dit : la culture c’est comme la confiture, moins on en a plus on l’étale. Et dans un sens, elle n’aime pas ça tout simplement parce qu’elle se sent supérieure si jamais elle le fait. C’est pourquoi elle ne le fait pas parce que ça irait contraire à l’un de ces idéaux qui est autre que l’égalité. L’égalité des richesses, des sexes etc. Tout ça, bien qu’elle est parfaitement consciente que ce n’est pas faisable dans le monde dans lequel nous vivons, est une base dans sa vie. C’est sûrement pour cela qu’elle déteste que son frère la surprotège ainsi.
Artistique, elle se souvient de la nuit de noël où elle a eu sa première guitare classique. Ce fut l’un des plus beaux noëls de toute son existence. Depuis, elle ne cesse d’être ce que l’on appelle « une touche à tout ». Piano, guitare, batterie, violon, on ne la trouve jamais sans un instrument sur elle. Oh bien sûr, elle n’est pas assez riche pour se payer tout cela, c’est pourquoi la plupart du temps elle se contente de les louer. Ces endroits favoris sont les lieux musicales tels que les magasins de disques - voir de vinyles, elle adore les anciens groupes - ou encore les lieux où il est possible de jouer de la musique - notamment de la guitare - comme par exemple central park très tôt le matin. Ça c’est son dada.
Fidèle aussi bien en amour qu’en amitié, elle ne vous tournera jamais le dos - sauf si bien sûr elle estime que la faute que vous avez commise n’est pas pardonnable, sur le coup en tout cas -. Ses véritables amis, elle les comptent sur les doigts de la main et elle y tient plus qu’à sa propre vie. Pour eux, elle ferait tout et n’importe quoi - surtout n’importe quoi -. Téléphoner lui à tout heure du jour comme de la nuit, elle s’arrangera coûte que coûte pour venir quitte à faire des kilomètres en courant. Bonne poire ? Oui peut-être un peu finalement, mais ce qu’elle sait c’est qu’on a l’opportunité de choisir ses amis et elle sait, qu’elle a choisis les bons qui saurons lui rendre ce qu’elle leur donne. Bah oui, faut pas la prendre pour un monstre, elle sait se montrer généreuse et peut-être plus qu’il ne faut. Elle donne trop et parfois pas aux mêmes personnes. Souvent son frère lui reproche ça. « Ta générosité te perdra Narcisse » c’est bien souvent ses paroles. Mais elle s’en fiche, parce que sa vie est quasiment tournée vers ça, tournée vers l’aide qu’elle peut donné aux citoyens de cette planète… et à cette planète. Il n’est donc pas rare de la voir faire du bénévolat en plus de ces études et son boulot. Les déchets sur les plages, les repas pour sans abris, la relâche des animaux soignés après une catastrophe, tout y passe.
Comme quoi, même la fille qui parait être la plus associable du monde peut se montrer sous un autre jour lorsqu’elle est en confiance - et dieu sait qu’il est difficile de la mettre en confiance -.
Dernière édition par Narcisse H. Clarks le Lun 17 Mai - 1:00, édité 2 fois
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Narcisse H. Clarks [100 %] (a) Dim 9 Mai - 1:33
Histoire :
Témoignage de Stefan J. Clarks, Ainé de Narcisse H. Clarks ;
Maman me répétait sans cesse que bientôt je ne serais plus tout seul à la maison. Elle me disait tout le temps : « Tu vois mon ventre rond ? Bientôt il ne sera plus là. Bientôt tu aura une petite sœur dont il va falloir prendre le plus grand soin. » Hum… oui, peut-être. Je veux bien être d’accord mais déjà qu’ils ont du mal à prendre soin de moi, comment prendre soin d’une… d’une petite sœur. Je ne savais pas ce que je faisais là et papa ne cessait de me dire qu’il fallait que je me tienne tranquille. Tout ce que je voulais c’était voir maman et cette petite sœur qu’on m’avait promis pendant des mois. Alors en attendant, je caressais de ma petite main les murs blancs qui m’entouraient, je jouais avec des cubes dans un petit coin sur une petite table. Mais j’avouerais que cela ne m’intéresse pas. Alors quand le bonhomme avec la grande blouse blanche passa la porte battante et que papa se leva d’un coup, je filais très vite m’accrocher à lui pour qu’il me prenne dans ses bras, ce qu’il fit sans plus attendre.
« Votre femme va bien et le bébé aussi. L’accouchement s’est très bien passé, vous pouvez allez la voir. »
L’accou…quoi ? C’était quoi ce truc ? Je n’eu même pas le temps de réfléchir un temps soit peu à ce que cet homme venait de dire que très vite, ma vision changea. Nous passâmes des murs blancs presque effrayants, à une chambre colorée de jaune, d’orange et de rouge. Sur le lit, maman souriait, elle qui semblait pourtant épuisée. On pouvait voir dans son regard cette petite étincelle. Ça voulait dire tellement de choses quand cette étincelle dansait dans ses yeux. Et puis à côté, à quelques centimètres à peine, une sorte de petite boîte ouverte était là. Papa m’avait posé sur mes petites jambes, à terre. Et quand il s’approcha de la petite boîte ouverte, ce fût à son tour de sourire. Mais… Mais hey, moi aussi je veux sourire. Alors doucement, je m’étais approché, petit pas par petit pas. Je ne savais pas ce que contenait cette boîte mais j’avoue qu’elle m’intimidait un peu. Et voilà… j’y étais. Papa m’avait assis sur le lit, à côté de maman et doucement il sortit le petit être de la boîte en plastique sur roulette, toujours ouverte. Intrigué, je ne bougeais pas alors que papa déposait cette… chose dans les bras de maman.
« Stefan. Je te présente Narcisse, c’est ta petite sœur. »
Ah. C’était ça une petite sœur ? Papa m’avait pris la main pour que doucement et lentement, je puisse toucher cette petite sœur. Elle semblait si fragile, si petite. Je devais ressembler à un géant pour elle… moi qui est pourtant si petit par rapport à papa et maman. Et puis elle se mit à bouger, attrapant mon petit doigts dans son minuscule poing.
« Je crois qu’elle t’a déjà adopté mon ange. »
Et ce fût à mon tour de sourire. Elle n’était pas méchante, elle ne ressemblait pas non plus à ce que je croyais. Mais lorsque ses petits yeux bleu azur s’ouvrirent sur moi, me fixant des milles feux qu’ils contenaient, je compris enfin. Je compris ce que maman voulait dire par « prendre le plus grand soin », je compris ce que papa sous entendait par « protéger ». Oh oui, ses yeux là transpiraient la pureté et l’innocence, son petit corps respirait la fragilité alors oui, bien sûr que je la protégerait et ce, coûte que coûte, quoi qu‘il arrive, quoi qu‘il advienne et quoi qu‘elle fasse.
Témoignage de Melle Montgomery, Institutrice en école primaire ;
J’attendais ses parents - ou bien l’un d’eux - avec grande impatience. Je me souviens encore de cette journée si spéciale et pourtant si banale. Comme d’habitude c’était une rentrée des classes comme les autres. Les tout petits venaient avec leurs parents avant de se retrouver seuls avec moi. Ça m’a toujours émue de voir ses enfants et même ses parents pleurés au moment de se dire à ce soir. De toute manière, je ne pouvais que ressentir ce sentiment à travers eux étant dans l’incapacité de donner la vie. C’était peut-être pour cela que ma vie, je la dédiait aux enfants. Et puis finalement, elle est entrée. Dès le premier coup d’œil, elle me paraissait différente. D’habitude, les enfants en entrant entraînent leurs parents dans la zone de jeux soit à l’intérieur soit à l’extérieur. Mais elle, non. Dans sa petite robe blanche à bas prix ornée de dentelle et ses petites ballerines blanches surement récupérée d’une sœur ou d’une cousine, elle ne bougeait pas, restant sagement près ses parents alors que j’allais à leur rencontre. Observatrice, c’est ce qu’elle était.
« Tu peux aller jouer avec les autres tu sais. »
Elle avait regarder sa mère qui d’un hochement de tête gratifié d’un sourire lui confirma qu’elle pouvait y aller. Alors doucement, elle s’avança vers ceux qui jouaient à l’intérieur. Mais en cours de route, elle se stoppa, lentement. Et doucement, dans une délicatesse presque sans pareil, elle se tourna vers l’objet qui avait captée son attention. La bibliothèque des enfants. Des livres jonchaient ici et là. Certains déchirés tandis que d’autres avaient eu le malheur de passer sous les feutres des bambins. Elle en pris un en main, le plus difficile de tous à ma connaissance. Et elle l’ouvrit, posant ses fesses sur la première chaise venue tout en observant les pages. Au début, rien d’anormal mais alors que je discutais de cette enfant qui semblait si spéciale avec ses parents, je l’entendit. J’ouvris des yeux surpris, en me tournant vers elle et sans la quitter du regard, je demandais à sa mère :
« Quel âge a-t-elle ? » « Trois ans. »
Trois ans… elle n’avait que trois ans et elle lisait déjà. Je l’entendais de vive voix lire ce livre. Oh bien sûr ce n’était qu’un livre pour enfant mais c’était le plus difficile à comprendre et à lire de la bibliothèque. J’arrivais pas à y croire. Au fil de la conversation avec sa mère, j’appris bien vite que la petite Narcisse avait toujours été bercée dans les histoires allant de la plus loufoque à la plus réaliste. Et elle avait décidée, très jeune, que sa mère devait dormir elle aussi et que de ce fait, si elle voulait qu’on lui lise une histoire, elle devait se débrouiller et la lire elle-même. Et le plus ahurissant dans le discours de sa mère c’est que la petite semblait avoir une mémoire photographique et auditive grandiose. Elle avait appris à lire seule, à seulement trois ans. Sa mère lui avait seulement énoncé les différents sons qu’elle pouvait entendre ou lire dans un livre et le reste, elle l’avait fait elle-même. Associant les sons aux formes des lettres, elle lisait, se rectifiant parfois pour donner un sens correct à sa phrase.
Je ne pouvais pas la laisser ainsi, je devais faire quelque chose de ce talent incroyable. Alors deux à trois jours plus tard, après des heures et des heures de recherche, j’avais fini par trouver un test de QI fiable. Pour ne pas dépayser Narcisse, ce test elle le passerait à l’école bien que la présence d’un médecin pour vérifier mes dires était requise. Pendant toute une journée je l’avais observée, pendant toute une journée elle m’avait étonnée plus que jamais. En plus de lire, elle savait écrire. Certes des phrases simples pour tout le monde, mais bien trop complexes pour une enfant de son âge, c’était juste incroyable. Et sous le vif conseil des médecins qui étaient venue la voir les jours qui suivirent ce test, la petite de trois ans se retrouva bien vite dans la même classe que des enfants de trois ans ses aînés. Une jeune demoiselle de petite section projetée du jour au lendemain dans le monde des grands sous entendu la classe de CP. J’en étais certaine… cette petite allait faire de grandes choses…
Témoignage de John Clarks, père de Narcisse H. Clarks ;
C’était un après-midi, en plein milieu de l’automne. Les arbres avaient jaunis pour la plupart d’entre eux. Narcisse et moi, nous sommes allés voir les canards sur l’étang pour leur donner du pain - pain frais que l’on venait d’acheter mais chut, pas un mot à ma femme. Les temps étaient durs ces temps-ci. Les maigres salaires que nous percevions n’étaient guère suffisant pour toute la famille mais nous étions heureux, c’était le principal. Narcisse avait bien grandit et bien évoluée. Elle était toujours passionnée par la lecture et l’écriture mais elle ne parlait pas beaucoup et il faut dire que cela nous inquiétait ma femme et moi. Oh non, je ne pouvais pas dire que notre fille est anormale, disons juste qu’elle est plus réservée que les autres et si elle se sent bien ainsi, c’était le principal encore une fois. Nous avons toujours prôné le bien être de nos enfants mais comment être sûre qu’elle est heureuse si elle ne parle jamais ? Son frère, plus expressif qu’elle, passait beaucoup de temps avec sa sœur mais elle ne semblait pas lui parler plus qu’à nous.
Et puis ce jour là, j’ai su qu’elle était heureuse au moins pour une chose. Alors que les canards se régalaient d’un pain qui je voyais si précieux au jour d’aujourd’hui, l’attention de Narcisse fut captée par autre chose. Au lieu, de la musique se faisait entendre. Oh mon dieu, c’est fou ce qu’à 7 ans les enfants courent vite :
« Narcisse, revient, c’est dangereux ! » « Mais non papa, c’est de la musique. »
Mais moi je ne parlais pas de la musique, mais des voitures qui risquaient de la faucher à tout moment si elle osait traverser la route. Alors je la suivit, difficilement, la baguette à la main. Et nous sommes arrivés en quelques minutes à peine sur une grande place où des danseurs de rue faisaient leur show. J’avais perdu Narcisse dans la foule qui entourait la piste improvisée. Affolé, je ne faisait pas particulièrement attention à la musique ou même aux mouvements des danseurs. La nuit commençait déjà à tomber et il était temps que je la retrouve pour rentrer à la maison. Et c’est en écoutant plus activement les bruits qui provenait de la piste que j’entendis son éclat de rire si particulier. Elle ne riait pas souvent mais qu’est-ce ce rire valait de l’or à lui tout seul. Je la voyais heureux, dansant au milieu des breakers qui faisaient attention à ne pas lui donner un coup. Elle mémorisait les pas de ce dernier à une vitesse affolante et se mit à les reproduire aux millimètres près. Ce n’est que bien tard le soir que nous étions rentrés. Je ne voulais pas lui couper son plaisir. Et c’est quelques jours après, quand je vis que son intérêt pour les canards avait été troqué pour celui des breakers, je savais que ce sport l’avait fait jaillir hors d’elle, lui permettait de s’exprimer comme bon lui semble… une vraie petite danseuse des rues en herbe…
Témoignage de Laurent Richton, Ex - Camarade de Narcisse H. Clarks ;
Cette fille, elle était trop bizarre. Non mais je vous jure, elle devais avoir 10 ans et elle était déjà en classe de 5ème. Personnellement elle me faisait un peu peur. Elle parlait jamais et puis, elle était toute petite. Vous vous rendez compte, on avait trois ans de différence, ça craint quand même. Enfin soit, je savais pas trop ce qu’elle foutait là. Vous croyiez que c’était un test ? Pour nous peut-être… ou peut-être pour elle… Si c’est pour elle et si ce test consiste a savoir si elle est sociable c’était franchement foutu. Ah bon ? C’est pas ça ? En tout cas elle avait l’air d’être une bonne lectrice non ? Enfin moi en tout cas a chaque fois que je la voyais à l’époque dans la cours, c’était avec un livre entre les mains. Une fois j’ai voulu m’approcher. Je lui ai même parler mais vous pensez, elle était plus inspirée par son livre de psychologie que par mon match de foot. Han, je vous ai pas dit, ce jour où on a gagné 5 - 0 et j’ai marqué 3 buts, c’est trop bien hein ?
Ah oui pardon, je m’éloigne du sujet. Sujet qui est ?… comment elle s’appelle déjà ? Ah oui, Narcisse. Bah elle parlait pas beaucoup, elle lisait beaucoup et souvent beaucoup de personne autour se moquait d’elle parce qu’elle avait toujours le nez dans ses bouquins. Thomas dans notre classe, il l’avait même dessinée avec un livre à la place de la tête, on avait tous bien rigolés. Mais je crois qu’elle, elle a pas apprécié. Oui bon d’accord, moi non plus j’avais pas apprécier qu’on me dessine avec un ballon de foot dégonflé à la place de la tête mais c’est pas de ma faute si j’adore le foot et si j’en parle tout le temps. Je me souviens, la première fois que j’ai touché un ballon je devais avoir 5 ans. C’était trop bien, le même jour, j’ai marqué mon première but. Et quelques années après - mais je suis pas vieux hein, genre il y a un an tu vois - j’ai vu un joueur de foot français, ici, en Amérique. Il parait qu’il a mis un coup de boule à un type sur le terrain. Franchement, c’est moyen, la diplomatie sur le terrain - même si des fois c’est du chiqué qu’il font - et l’égalité, surtout pendant la coupe du monde, c’est précieux la coupe du monde.
Hein quoi ? Oh pardon … Tout ça pour dire qu’en fait Narcisse, je crois qu’elle s’intéresse beaucoup aux humains… et qui sait, peut-être qu’elle aussi elle veut savoir pourquoi il lui a mis un coup de tête…
Témoignage De Jake Connors, témoin ;
C’était en hiver, je m’en souviens comme si c’était hier, le plus incroyable des accidents auquel j’ai assisté. C’était vers l’heure du déjeuner, 12h30-12h40, un jour de neige. Les voitures roulaient lentement et on aurait pu parier que tout se passerait bien. Je connaissais bien la famille Clarks étant leur voisin et dieu sait qu’ils utilisaient très peu souvent leur voiture, très certainement pour économiser. Les pauvres, il n’avait jamais eu de chance. Le père, agent de police s’était retrouvé à faire la signalisation et la mère qui n’est autre qu’une mère au foyer ne percevait rien. Un maigre salaire pour 4. Stefan, enfant joyeux et Narcisse, petite fille renfermée. Une famille ordinaire dans les quartiers de Brooklyn.
Et pourtant ce jour là, ils sortirent leur voiture. Le père avait eu une promotion et allait être projeté au statut de commissaire. Alors pour fêter cela, ils devaient très certainement faire comme d’habitude, c’est-à-dire une grande balade en voyage. L’étang non loin de New York était magnifique ce jour là, moi-même j’avais décidé de m’y rendre. J’étais déjà là-bas lorsqu’ils arrivèrent. Narcisse s’était endormie dans la voiture, il semblait qu’elle avait lu toute la nuit selon les dires de son frère. Quant au reste de la famille, ils étaient descendu de la voiture et s’était installer à une table pour déjeuner. Un pique-nique près d’un étang gelé. La neige ne tombait plus mais elle recouvrait en intégralité les routes, les chemins et autres étendues diverses. Ils riaient de bon cœur, heureux du sort de leur père qui allait entraîner le leur de sort. Ils discutaient tous ensemble, jamais il n’avait atteint un bonheur pareil du moins, de ce que j’ai pu voir. Mais comme on dit, toute les bonnes choses ont une fin.
Et cette fin fut enclenchée par Narcisse, contre son gré. La petite fille dormait encore paisiblement dans la voiture quand celle-ci se mit à descendre d’elle-même. Au début, personne n’avait remarqué quoi que ce soit jusqu’à ce que le bruit de la neige qui craque sous les roues se fassent remarquer. Mais c’était trop tard, la neige bien trop glissante et les roues lisses de la voiture donnait à cette dernière une vitesse bien trop rapide pour qu’un humain quel qu’il soit la rattrape ou l’arrête. Les secousses réveillèrent la jeune demoiselle qui ne se rendit pas compte de ce qu’il se passait. Jusqu’à ce qu’elle remarque qu’elle était seule dans la voiture et que sa famille courait après celle-ci. Elle se mit à crier et tenta de se détacher mais c’était trop tard. La voiture percuta un arbre et la vitesse avec laquelle elle avait frappé ce chêne vieux qu’un centaine d’années, envoya l’automobile vers le lac glacé. Dans un premier temps, la voiture se contenta de faire des tonneaux sur ce dernier fragilisant la glace et assommant la petite fille au passage. Lorsque la voiture s’arrêta, personne n’eu le temps d’agir qu’elle traversa la glace.
Paniqué plus que jamais, le père de la famille Clarks, John, se mit en tête de secourir sa fille alors que sa femme pleurait au bord du lac. Sous l’effet de la fraicheur insoutenable de l’eau, John savait que sa fille n’en aurait pas pour longtemps s’il n’intervenait pas. Alors il se dirigea vers le trou immense que la voiture avait faite en traversant la glace et plongea après avoir ordonné à sa femme d‘appeler les secours. L’eau n’était pas encore très profonde, alors il pouvait apercevoir une voiture quasiment en miette. L’eau était tellement froide qu’il avait l’impression que des centaines de poignards le transperçaient en même temps et lentement. Sa dextérité et son courage eu vite fait de le motivé. Il détacha sa fille en coupant la ceinture à l’aide de son canif. De toute façon, vu l’état de la voiture, il pouvait bien encore la détériorer un peu que ça ne changerait rien. Il prit sa fille dans ses bras et remonta à la surface le plus vite possible. Sa femme et son fils étaient là, ainsi que d’autre personne, sur la glace pour attendre le verdict. L’instinct paternel de John fit qu’il n’attendit pas pour faire un massage cardiaque à sa fille de 13 ans. Il était tout simplement hors de question pour lui qu’elle meurt maintenant, elle n’avait rien vécu. Alors jusqu’à l’arrivé des secours, le massage cardiaque était de mise. Et finalement, la jeune demoiselle se réveilla après deux jours de coma entier à l’hôpital. Une scène que je n’oublierais jamais et très certainement une expérience traumatisante pour la jeune fille.
Témoignage de Matt Laurens, conseiller d’orientation ;
C’était un vendredi comme les autres. Malgré son âge, 15 ans, Narcisse avait atteint le niveau de terminale sans aucun problème. Enfin… si peut-être un peu. Elle en avait eu marre des moquerie diverses de ses camarades. Elle n’avait pas beaucoup d’amis, passant son temps dans les livres, elle était un peu la risée du lycée. Alors elle avait décidé de changer dès son année de première et c’est ainsi qu’elle changea presque du tout au tout. Bien sûr, elle était toujours passionnée par les livres et la psychologie humaine. Elle en savait un sacré rayon sur ce sujet d’ailleurs, c’était impressionnant. Mais elle ne lisait plus autant, réservant son temps libre à des amis qu’elle s’était fait mais surtout à des bêtises que ses dits « amis » lui faisait faire. Oui, bien sûr, elle savait qu’elle n’avait pas le droit de voler ses chaussures, elle savait qu’elle n’avait pas le droit frapper ce professeur - ce qui lui fallut l’exclusion d’ailleurs - mais que ne fait-on pas pour conserver le peu d’amis que l’on a ? On fait tout et surtout n’importe quoi. Alors toutes ses bêtises, elle les avaient faite et elle les assumait complètement.
Et malheureusement, le caractère de ses amis avait déteint sur elle, faisant de la petite fille modèle une véritable rebelle. Elle se plaisait sous cet aspect parce qu’elle plaisait aux autres ainsi. Alors enchaînait bêtises sur bêtises sans savoir les conséquences que cela pourrait engendrer. Et cette mission, celle de lui annoncer les conséquences de cette bêtise, c’était à moi de le faire. Je l’attendais maintenant depuis 15 minutes environs, en « rebelle » qui se respect, elle était toujours en retard. Et puis elle entra. Jean troué, débardeur noir, cheveux lâché et converses aux pieds, elle s’installa brutalement sur le siège qui me faisait face tout en sortant un horrible « Quoi ». Ce qui, vous l’aurez compris, voulait dire en langage correct « Que se passe-t-il » ou encore « que me voulez-vous ». Je déposa mes bras sur la bras tout en liant mes deux mains. Un air interrogateur pouvait se lire sur le visage de Narcisse.
« Nous sommes au troisième trimestre et même à la fin de ce dernier. Tu n’a rien fait de l’année, rendant des feuilles blanches à chaque devoir… enfin au peu de devoirs auquel tu as assisté en tout cas. Les cours c’est la même chose, tu assiste à un cour sur cinq. Les examens de fins d’année te sont accessible comme à tout le monde et comme tu le sais, la plupart des facs se basent sur ses résultats. Mais la plupart ne veut pas dire toute. La fac de psychologie que tu choisis pour l’an prochain se base également sur les appréciations des professeurs pour voir si tu es apte et motivée à suivre tous les cours. Aucune de tes appréciations ne sont bonnes Narcisse. »
« Vous sous entendez quoi là ? »
« Tu ne pourra pas y aller Narcisse. »
Je n’eu même pas le temps de répondre qu’elle claqua la porte de mon bureau en hurlant que l’examen elle l’aurait et qu’à cette fac de Fordham, elle irait, coûte que coûte. Et finalement l’examen, elle ne l’avait pas passé. Enfin si, mais pas en tant qu’élève -puisqu’elle s’était faite définitivement expulsée du lycée- c’est donc en tant que candidat libre qu’elle le passa. Et malgré la difficulté qu’il y régnait en tant que filière scientifique, elle le décrocha plus que haut la main ce diplôme. Et c’est fièrement qu’elle l’aborder. Des résultats impressionnant, les meilleurs de l’académie. Un véritable génie était né et grandissait au jour et à mesure des jours.
Témoignage de Marine Collins, Habitant de New York ;
Je me souviens, cela devait faire deux jours environs qu’elle cherchait en vain un coin d’ombre. Le soleil d’été tapait durement sur New York et il était dur de supporter la chaleur. J’ignorais ce qu’elle faisait là, j’ignorais en plus qui elle était. Jusqu’au jour où j’ai été la voir. J’avoue que l’accueil ne fut pas des plus joyeux préférant de loin errer dans cette ruelle plutôt que de parler avec des gens. C’est à un véritable mur de glace à laquelle j’avais fait face. Mais je ne me décourageais pas pour autant. Cette jeune fille, bien que d’une force de caractère qui obligerait certains à baisser les yeux et d’autres à passer leur chemin aussi vite que possible, me semblait plus fragile qu’elle ne semblait l’être.
Ce jour là il pleuvait comme nul autre. Elle était sous l’abribus, elle semblait avoir affreusement froid et pourtant elle ne disais rien, n’adressait pas la parole à ceux qui voulait l’aider et restait dans son coin. Elle avait l’air de ne pas avoir manger quelques jours déjà alors timidement j’étais sortit, avec un parapluie et une part de gâteau au chocolat. Au début, elle avait longuement hésité et puis finalement, j’avais posé la part à côté d’elle sur le banc. Ce fut une fois chez moi que je pu la voir de ma fenêtre en train de littéralement dévorer le gâteau. Et finalement le lendemain, je l’invitais chez moi, pour qu’elle puisse dormir correctement. Cela devait faire une bonne semaine qu’elle zonait dans la rue. Je savais qu’elle avait fuit mais j’ignorais quoi.
Et finalement, un après midi de beau temps - après le pluie, vient le beau temps comme on dit - un jeune homme un peu plus âgé qu’elle lui parlait. Et cet après midi là, elle est venue chez moi pour me remercier et me dire au revoir. C’était son frère qui l’avait cherchée pendant toute cette semaine là. Et je n’avais pas sût la raison exact de la fuite de Narcisse. Je savais juste que derrière cette intelligence flagrante que j’ai découvert à force de discussion, se cachait quelqu’un de fragile, peut-être trop d’ailleurs pour supporter une telle vie. Une vie visiblement précaire qu’elle avait tenter de fuir.
Témoignage d’un oiseau (dédicace à Thomas xD) ;
C’était enfin l’été et mes plumes d’ailes semblaient plus flamboyantes que d’habitude. D’un bleu particulièrement étincelant à l’œil humain, enfin je crois. Dans tous les cas j’observais les alentours et malgré le fait que nous soyons en soirée, il faisait encore lourd. Le soleil tapait encore sur le cœur de la grosse pomme. Je pouvais entendre au loin des conjoints chanter, des chiens aboyer, des chats miauler et surtout des enfants rires. Ça faisait tellement de bien de revenir dans le coin après un rude hiver - pour les humains en tout cas, moi j’étais bien au chaud dans un autre pays enfin bref -. Je m’étais posée exactement au même endroit que la dernière fois, c’est-à-dire dans l’arbre en face d’un immeuble où vit une famille du nom de Clarks d’après ce que j’ai compris. Je ne savais pas grand-chose sur eux si ce n’est une mère au foyer, un père commissaire, un fils rebelle et une demoiselle de 20 ans tout aussi rebelle malgré son âge. Les enfants n’avaient pas l’air très facile a gérer, il faut dire que les parents ne font plus attention à eux depuis un moment maintenant à cause de leur âge avancé, sûrement persuadés qu’ils peuvent se débrouiller seuls enfin bref.
Tout ce que je peux vous dire, c’est qu’en cette soirée chaude d’été, je pouvais observer beaucoup de chose concernant cette famille. La mère étendant son linge à la fenêtre, le père essayant en vain de réparer la voiture dans la cours de derrière - qu’il n’avait pas cet hiver -. C’est fou ce que cet arbre est grand, on peut y voir beaucoup de choses. Les enfants j’ignorais où ils se trouvaient, sauf une. Elle venait d’arriver… en voiture ? OO Mais dit donc, elle prends pas le bus elle d’habitude ? Alors intrigué, je les observait. Oui, les. Ils étaient deux, elle et lui. Elle, Narcisse Hope Clarks et lui… lui bah aucune idée de qui c’est. Mais dans tous les cas, tout deux ont l’air bien proches… Elle n’hésitant pas un seul instant a glisser sa main dans la sienne et lui, de lui déposer plusieurs baisers sur les lèvres. Ça me fait penser… elle est passée où ma femme à moi ?
Témoignage de Ayden O’Donnell, petit ami de Narcisse Hope Clarks ;
C ‘était le grand jour et très franchement, autant être clair, je chiais dans mes bottes. C’était pas possible d’être autant stressé. J’attendais devant la maison, les mains dans les poches faisant les 100 pas en trainant des pieds. Quand est-ce qu’elle allait arriver ? Quand est-ce qu’elle allait enfin se montrer ? Quand est-ce que le taxi allait arriver ? Parce que oui, bien sûr que lui j’avais ordonné à un taxi d’aller la chercher, je le paierais en arrivant. Elle n’était pas au courant de cette surprise, elle ne savait pas ce que je lui préparais. Oh, et elle se doutait encore moins que son frère était de mèche avec moi, ça c’est certain. Rohhh oui j’avais eu du mal, qu’est-ce que je dis, beaucoup de mal pour qu’il cède. Déjà, il y a quelques mois il avait hésité plus que tout a laisser partir sa tendre sœur pour venir vivre avec moi.
Et voilà quelques mois que je suis heureux à ses côtés, dans cette maison, mais cela ne me suffisait pas. Je voulais tout lui donner, lui donner le maximum que je pouvais et aujourd’hui, j’allais sauter un pas immense selon moi en tout cas et je l’espère pour elle aussi. Toute la journée, son frère l’avait éloignée de la maison, le plus loin possible pour que cette surprise soit la meilleure qui soit. J’aurais bien le temps après de lui demander ce qu’elle a fait pendant la journée. Et puis au loin, le taxi et j’attendais. En parfait gentleman, je lui avait ouvert la porte avant de payer le conducteur du taxi. Et puis finalement, je l’avais embrassée amoureusement tout en l’attrapant par la taille.
« Que me vaut cet honneur ? »
« Viens avec moi. »
J’avais glissé ma main dans la sienne, l’entraînant avec moi tout en lui ordonnant de fermer les yeux. Et ce qu’elle fit. Qu’est-ce qu’elle était belle, un véritable rayon de soleil dans une vie bien noire. Et surtout un véritable bouleversement dans ma vie. Elle avait tout changé. Ma façon de vivre, de passer mon temps et aussi de penser. J’avais ouvert la porte de la maison que nous partagions et mon cœur fit un bond de stress. Cette banderole d’accueil qui n’était autre qu’une demande de fiançailles me perturbait. Oh bien sûr, qui dit fiançailles ne dit pas forcément mariage dans un mois ou un an. Et si elle disait non ? Et si pour elle j’allais beaucoup trop vite ? Et si tout ça n’était qu’illusoire ? Parce qu’autant l’avouer, j’avais l’impression même de vivre un rêve éveillé et vous pouvez me croire, je n’avais aucune envie de me réveiller. Surtout depuis cet instant, l’instant même où je lui avait dit d’ouvrir les yeux, l’instant même où elle m’avait dit oui…
Témoignage de Narcisse H. Clarks ;
Cela faisait deux ans que je suis fiancée à Ayden et trois ans que nous sortons ensemble. Je vis un véritable bonheur. Cette relation m’a tellement changée. Je suis moins rebelle, plus posée et plus réfléchie. A un moment, j’avais même arrêté mes études et aujourd’hui je suis de nouveau à la fac, au niveau qui correspond à mon âge. Mais une ombre voilait ce tableau presque parfait qu’est ma vie. Maman avait dernièrement tenté de se suicider. Depuis que Stefan est en pison - un an - je suis la seule a aller prendre de ses nouvelles. Bientôt il allait sortir, bientôt il allait retrouver sa liberté et bientôt, je l’espère, il reparlera à papa et maman. Je me souviens du jour de sa tentative de suicide comme si c’était hier. Je rentrais avec Ayden et puisque nous passions devant l’appartement de mes parents, je lui ai demandé de s’arrêter pour leur rentre visite. Quand nous sommes montés, la porte d’entrée était entre ouverte, chose plutôt étrange. Nous entrâmes et un silence régnait dans la pièce. Alors instinctivement j’avais appelé ma mère, brisant ce silence de mort. J’ignorais où était mon père et c’est là, qu’Ayden et moi-même avons entendu un bruit de métal tomber. Alors on s’était précipiter vers la cuisine. Et là, ce fut la pire chose que je vis. Ma mère, en train d’essayer de se pendre en laissant un simple mot d’adieu. Non, non, non et non, je ne l’entendais pas de cette manière et Ayden non plus. Il prit la chaise, grimpa dessus et coupa la corde d’une manière nette et précise. Ce jour là, je m’en souviendrais toute ma vie… assez pour qu’aujourd’hui j’ai peur du suicide. Je suis atteinte de Autocheirothanatophobie, la phobie du suicide.
Mais aujourd’hui tout va mieux. Maman aussi va mieux. Elle avait tenté de se suicider à cause de sa vie. Elle avait l’impression de n’avoir rien fait, c’est peut-être ce que l’on ressent lorsque l’on est mère au foyer toute sa vie - ou presque. Mais ce n’était pas vrai, elle avait fait de grandes et lourdes choses dans sa vie. Rien qu’élever mon frère et moi était un énorme travail enfin bref. Dans tous les cas, elle va mieux, alors moi aussi. J’avais les études, mon fiancé et un patron génial. Patron qui me laissa ma fin de soirée de libre pour une fois puisque le bar ne comptait pas énormément de clients ce jour là. Alors c’est gaiement que je suis rentrée chez moi et c’est beaucoup moins gaiement que je vis un soutien gorge en plein milieu du salon. Encore ça serait le miens, je dis pas… mais ce n’était pas le mien. Alors la colère monta d’une façon aussi impressionnante que mes pas s’enchainèrent les uns après les autres. Et finalement, quand je le fit dans notre lit avec une autre femme, c’est la tristesse qui pris le dessus noyant mes yeux et mes joues de larmes. C’est a partir de là que tout à changé… Aujourd’hui, lui et moi c’est totalement fini. Je ne veux plus le voir, je ne veux plus lui parler et je suis retournée chez mes parents. Aujourd’hui, je compte bien jouer avec les hommes comme lui a jouer avec moi…
Témoignage du Docteur Donovan, Médecin traitant de Narcisse H. Clarks ;
J’avais convoquée Mademoiselle Clarks le plus vite possible. Une annonce des plus importantes devait lui être remise de ma propre personne. Je ne pouvais pas lui dire au téléphone, ce n’est pas une chose qui se fait. Alors j’attendais patiemment qu’elle arrive. Son heure de rendez-vous n’était pas encore passé alors je prenais des clients en urgence, le temps qu’elle arrive. Et puis finalement, comme tous les médecins débordés de cette ville, ce fut une demie heure après l’heure initiale que j’accueillis la jeune femme de 24 ans. Je l’invitais comme à chaque fois à s’asseoir face à moi, sur le siège inoccupé.
« Tout d’abord, je voudrais savoir si vous avez eu un accident important quelconque dans votre vie ? J’ai lu votre dossier mais tout me parait clean. Aucune maladie grave et rien de spécial. »
« Et bien en vérité, je fus une seule et unique hospitalisée. Mais il n’y a aucune trace de cela car mes parents ont préféré noyer le poisson. Quand j’avais treize ans, mes parents avaient une voiture non déclarée, et je dormais à l’intérieur. A cause de la neige, celle-ci a glissé en prenant de la vitesse. Elle a percutée un arbre avant de foncé droit sur le lac gelé qui a craqué sous le poids de la voiture. Aujourd’hui j’en garde une cicatrice au niveau du crâne. Mais pourquoi cette question ? »
« Et bien j’ai une mauvaise nouvelle à vous annoncer malheureusement. Suite à vos examens quotidiens de la dernière fois nous avons détecté une anomalie au niveau de votre cerveau. Il est difficile de détecter ces anomalies lorsqu’elle se trouve sous une cicatrice comme la vôtre. Elle est alors assez développée à l’heure actuelle. Cette anomalie est ce que l’on appelle une tumeur dans le jargon médical. »
« Et c’est soignable ? »
« C’est opérable oui. Mais cela coûte très cher… Si ce n’est pas soigné rapidement, vous risquez de … vous risquez de mourir Mademoiselle Clarks… »
Dernière édition par Narcisse H. Clarks le Jeu 20 Mai - 22:36, édité 10 fois
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Sujet: Re: Narcisse H. Clarks [100 %] (a) Dim 9 Mai - 1:48
bienvenue et bonne continuation pour ta fiche. olivia wilde
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Sujet: Re: Narcisse H. Clarks [100 %] (a) Dim 9 Mai - 1:53
Merci beaucoup *.*
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Sujet: Re: Narcisse H. Clarks [100 %] (a) Dim 9 Mai - 1:55
Olivia *-*
Bienvenue =D
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Sujet: Re: Narcisse H. Clarks [100 %] (a) Dim 9 Mai - 1:57
Je sais pas si j'ai le droit de poster comme j'ai pas finit ma prez mais....PAS TOUCHE A MA PTITE SOEUR NAMEOH!!! GRrrrr...
Bienvenue 'tite soeur ^^
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Sujet: Re: Narcisse H. Clarks [100 %] (a) Dim 9 Mai - 1:58
Ouelcome to youuu!
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Sujet: Re: Narcisse H. Clarks [100 %] (a) Dim 9 Mai - 1:59
Merci beaucoup Ally et Lise ^^
Thomas ¤ Commence pas à faire ton rabat joie, n'aime bien le bienvenutage des n'hommes xD *court avant d'être séquestrée dans sa chambre*
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Sujet: Re: Narcisse H. Clarks [100 %] (a) Dim 9 Mai - 2:58
Oh mais on fait rien de mal enfin pas encore :red: xD
Bienvenue et bonne continuation
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Sujet: Re: Narcisse H. Clarks [100 %] (a) Dim 9 Mai - 3:10
Thanks Guy
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Sujet: Re: Narcisse H. Clarks [100 %] (a) Dim 9 Mai - 4:19
Narcisse...*.* Très beau comme prénom Bienvenue!!
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Sujet: Re: Narcisse H. Clarks [100 %] (a) Dim 9 Mai - 4:21
Merci beaucoup
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Sujet: Re: Narcisse H. Clarks [100 %] (a) Dim 9 Mai - 10:17
Bienvenue et super choix d'avatar !
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Sujet: Re: Narcisse H. Clarks [100 %] (a) Dim 9 Mai - 10:33
Bienvenue ici ^^ Sachant qu'il y a une autre personne qui tente pour O.Wilde ; le choix se fera sur la meilleure fiche En attendant j'édite ton code.
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Sujet: Re: Narcisse H. Clarks [100 %] (a) Dim 9 Mai - 13:46
Bienvenue sur le forum et bon courage pour ta fiche!
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Sujet: Re: Narcisse H. Clarks [100 %] (a) Dim 9 Mai - 14:47
O. Wilde Je t'aime Déjà Bienvenue
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Sujet: Re: Narcisse H. Clarks [100 %] (a) Dim 9 Mai - 16:08
James C. Clayton a écrit:
Bienvenue et super choix d'avatar !
Merci beaucoup, le compliment est réciproque ^^ Hugh Dancy, j'aime
June D. Hathaway-Elkins a écrit:
Bienvenue ici ^^ Sachant qu'il y a une autre personne qui tente pour O.Wilde ; le choix se fera sur la meilleure fiche En attendant j'édite ton code.
Bien mademoiselle ^^ Je tenterais de faire au plus vite pour éviter de faire trop attendre la deuxième O. Wilde ^^
Paul Peyton a écrit:
Bienvenue sur le forum et bon courage pour ta fiche!
Merci, c'est gentil ^^
Maisy C. Williams a écrit:
O. Wilde Je t'aime Déjà Bienvenue
Jessica S. Moi aussi je t'aime déjà xD Merci ^^
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Sujet: Re: Narcisse H. Clarks [100 %] (a) Dim 9 Mai - 20:36
Welcome on New York City Life ! Olivia One lien oblige
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Sujet: Re: Narcisse H. Clarks [100 %] (a) Dim 9 Mai - 20:44
Bienvenue parmi nous
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Sujet: Re: Narcisse H. Clarks [100 %] (a) Dim 9 Mai - 21:02
Alex Stewart a écrit:
Welcome on New York City Life ! Olivia One lien oblige
Avec grand plaisir ^^
Absynthe S. Fierce a écrit:
Bienvenue parmi nous
Merciiiii ^^
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Sujet: Re: Narcisse H. Clarks [100 %] (a) Dim 9 Mai - 22:11
OMG Olivia Bienvenue!!
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Sujet: Re: Narcisse H. Clarks [100 %] (a) Dim 9 Mai - 22:16
Hannnn *.* Josh Duhamel J'exige un lien xD Merci
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Sujet: Re: Narcisse H. Clarks [100 %] (a) Lun 10 Mai - 1:03
Haaaaaaaaaaaannnnn coupiiiiiiiine, belle soeur d'antan! Bienvenue parmi nous! Un lien est imposé entre nous XD Bon courage pour le reste de ta fichette
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Sujet: Re: Narcisse H. Clarks [100 %] (a) Lun 10 Mai - 1:05
Niiiiah, c'est troooop bien que tu sois là *.* Duo de choc, on va le faire vaciller le frangin