Sujet: « keep calm and rock on ; mel. terminé Lun 7 Juin - 11:29
« Mélanie Anderson » Feat. Megan Fox
Âge : 19ans Date & Lieu de naissance : le 14 mars, Bellevue Hôpital à New York, USA. Groupe : pom-pom girls UFR : UFR 5 Étude : sciences de l’information et de la communication Prédéfini ou Inventé : prédéfini
Sweet about me :
« MORE ABOUT MY PERFECTION »
Physique & Style :
« Plutôt canon ♥ », c’est en principe ce que Mélanie provoque chez la gente masculine lorsque leur regard rencontre sa silhouette athlétique. D’un point de vue cliché, la cheerleader répond plutôt bien aux critères du canon américain et même mondial. Elancée sans être un géant, une chute de rein parfaite, le déhanché sexy naturel, la démarche féline et déterminée et la peau tantôt d’une belle blancheur digne des stars hollywoodiennes du temps de Marilyn Monroe ou alors bronzé après une brève exposition au soleil, Mélanie n’a pas à se plaindre lorsqu’elle se regarde dans le miroir et peut même avoir une séance quotidienne narcissique, chose qui lui arrive puisque ce corps, elle l’a voulu et est le fruit de sport et d’une alimentation saine. En bref, le mcdo est proscrit chez elle et elle écoute avec intérêt les conseils diététiques de sa sœur qui étudie cette discipline. Le corps de l’Anderson est l’illustration de son principe de vie, empruntée à Barack Obama : « yes we can ! » et c’est pour cela qu’elle peut attiser les jalousies et faire ressurgir des complexes auprès de la gente féminine. Ou provoquer simplement la remarque « on dirait une star du porno ». En effet, Mélanie a des attributs qui peuvent porter à confusion et cela lui arrive d’avoir l’air plus vulgaire que sexy quand elle ne gère pas ses expressions. Dans ces cas-là, malheureusement pour elle, son nom lui porte préjudice. Anderson, pour Pamela Anderson. Les mêmes lèvres trop botoxée pour être sexy, lui donnant un air de morue, le teint halé à s’être endormi sous les rayons UV et un corps à figurer dans les pages du Playboy et surtout, une vulgarité qui semble peinte sur le visage. Et Mélanie se compare à la playmate d’alerte à malibu quand elle ne sent pas le cœur d’affronter son reflet dans le miroir et a plus tendance à se sentir comme un déchet humain plutôt qu’en cheerleader sexy. Mais les bonnes langues et les bons jours diront qu’elle ressemble fortement à Angelina Jolie en plus jeune. Mélanie possède aussi un visage aux traits sûrs, bien dessiné malgré une mâchoire semblant forte, mais mettant en valeur ses lèvres pulpeuses digne d’une pin up des années 80. Ses yeux donnent envie de recycler la phrase « t’as d’beaux tu sais ? ». Oui, elle le sait et c’est même la partie qu’elle préfère en elle. Elle aime ce beau bleu qui peut s’éclaircir selon la luminosité et qui ressortent parfaitement avec ses longs cheveux chocolat qui selon comme elle les coiffe, lui font plus ou moins ressembler à l’actrice Jolie. Similarité qui ne gêne nullement la demoiselle qui aime même cultiver la ressemblance. Ce n’est pas donné à tout le monde de ressembler à Angela Jolie (a). Après, certains diront que le physique de l’Anderson n’est pas uniquement le fruit du bon mélange de gênes et de sa détermination à maintenir une taille fine avec des formes parfaites, mais le résultat d’un joli coup de scalpel. Rumeur ou pas, Mélanie est la seule à détenir la réponse. Mais entre nous, son père ne l’aurait pas toléré. Elle est de ceux qui passent de l’horrible petit canard au cygne canon.
L’entretien de son physique s’associe évidement avec le soin de l’apparence. Les trucs des filles, Mélanie ne fait pas du tout l’impasse dessus, loin de là. Du fond de teint à la touche de gloss sur le rouge à lèvres en passant évidement par le mascara, l’Anderson possède une belle trousse à maquillage qui plairait à toute fille féminine ou qui est prête à relooker n’importe qui. Autant dire qu’elle prend soin de son petit minois et que c’est une certaine preuve de confiance que de se montrer le visage vierge de tout produit. Mais évidement, elle a ses journées training sans maquillage, destinées à quand elle limite son monde à sa maison. Mélanie est une personne qui suit la mode, mais qui reste fidèle aux classiques comme le trench pour les temps de pluie, la petite robe noire pour certaines sorties, etc. On pourrait penser qu’elle n’a pas une mode très élaborée, ne semblant jamais chercher loin ses idées, mais en réalité, comme beaucoup de filles, ça lui arrive de passer un bon moment devant son miroir pour voir ce qui la met le plus en valeur. Elle finit en principe toujours par des tenues « simples », soit jean, t-shirt et pourtant, sur elle, cette tenue semble parfaite et la met spécialement en valeur. Elle est de celle dont l'attitude transparaît aisément et qui n'a pas besoin de vêtements spéciaux pour s'affirmer.
Caractère :
Il arrive que des personnes se prêtent au jeu de définir le comportement d’un inconnu passant sous leurs yeux, pourquoi pas d’une joggeuse au corps de naïade. Mélanie fait partie de ces personnes attirant le regard et dont par ses gestes attisent les conversations. La foulée grande, la posture droite et le regard fixe, les commérages se font dans un premier temps plutôt admirateur. Mélanie donne l’image d’une fille qui sait exactement ce qu’elle veut et qui ne s’arrête pas sur le chemin pour réfléchir ou hésiter entre se lancer ou pas. Son pas ne le permet pas ou l’arrêt serait loupé. Mélanie sait parfaitement où elle est et où elle se dirige. Sa phrase d’ordre est « yes we can » depuis que Barack Obama a fait campagne présidentielle. Mélanie part du principe que tout est possible, qu’elle peut réaliser ses objectifs, atteindre ses buts. Dès lors, elle s’en donne les moyens, qu’importe qu’ils soient bons ou pas. Elle est habitée par une vraie détermination à toutes épreuves et aucun échec ne l’a entaché pour le moment. Néanmoins, dans sa course forte et droite, personne ne peut se douter que Mélanie est un paradoxe : elle peut autant être déterminée que paresseuse. Du moment que la tâche ne l’intéresse pas, Mélanie n’arrive tout bonnement pas à le faire. C’est plus fort qu’elle, la flemmardise s’abat sur elle et à ce moment-là, elle ne fait rien quitte à s’attirer les foudres des personnes. Mais ça, cela ne la touche pas. Son égocentrisme ressort particulièrement dans ces situations-là où elle seule compte et les autres, peu. Naturellement, cela ne se voit pas tant que son monde va, Mélanie ne se soucie de rien et est peu touchée par le malheur des autres. Elle ne s’y intéresse que lorsque c’est un ami qui dans un coup de blues, lui transmet ce dernier. Du moment que ça finit par la toucher, elle s’en préoccupe.
Mélanie est vue différemment selon les personnes. Dans sa course, il n’est pas rare d’entendre sur son chemin des sifflements ou remarques de la gente masculine et elle aborde dans ces moments le sourire ravageur, l’œil aguicheur et n’hésite pas à marquer un petit temps d’arrêt pour trouver l’auteur du compliment. Certains voient ainsi le côté social de Mélanie, celui qui montre qu’elle est facilement abordable, toujours prête à faire des connaissances avec le sourire et apprécie d’être flattée surtout. D’autres – plutôt féminines – la verraient en temps qu’allumeuse. Séductrice, corrigerait Mélanie. La démarche toujours féline, les vêtements pour la mettre en valeur, le sourire aux lèvres et l’œil vif, Mélanie aime séduire, plaire. Elle a toujours des remarques ambigües pour s’adresser à autrui, fille ou garçon. Cela l’amuse ce jeu de la séduction même si elle n’est pas toujours intéressée. C’est juste sa manière d’être et elle prend plus cela à la rigolade qu’autre chose. Mélanie a un sens de l’humour à toute épreuve et on peut compter sur elle pour trouver à chacune des blagues un charme ou un moyen de rire – tant qu’elle les comprend. Elle trouve même drôle les blagues d’astrophysiciens s’ils prennent le temps de lui expliquer en quoi c’est drôle. Alors évidement, les blagues nulles font son bonheur comme celles tirées de l’humour noir ou même vulgaire. Néanmoins, il ne faut pas abuser de certains genres non plus.
Une dernière chose qu’inspire Mélanie pendant son jogging est aussi l’admiration porté à ceux capables de courir avec de belles foulées sans avoir un souffle digne d’un morse et ne semblant pas tourner de l’œil. Elle montre qu’elle est énergique et prend soin de son apparence. En effet, Mélanie porte beaucoup d’importance à son physique, à prendre soin, exigence imposée seulement à elle-même. Les autres, elle les accepte facilement comme ils sont, mais cela ne l’a jamais empêché de répondre à un des clichés sur les cheerleaders : celui des langues de vipère. Mélanie saura trouver sa place dans la série de gossip girl tellement qu’elle aime gossiper et surtout, les « gossipages ». Même si elle ne connaît ni d’Eve ni d’Adam les protagonistes. Cela peut paraître bizarres, mais elle adore savoir toutes les histoires qu’elle trouve croustillantes et puis bon, elle assume ce côté. Sur ce point-là, elle peut aussi être un paradoxe. Elle sait garder les secrets dès lors qu’on lui demande. Elle respecte les secrets d’autrui et aussi, elle garde une certaine réputation. Elle n’a pas envie d’être vue comme celle à qui on ne peut rien confier. Histoire :
Les cheveux parfaitement tirés en une belle queue de cheval révélant son visage aspirant différentes émotions selon qui la regardaient - envie, jalousie, comparaisons avec deux célébrités opposées – le corps parfaitement mis en valeur dans l’uniforme de cheerleader, un déhanché sexy comme il faut, Mélanie faisait preuve de ses talents de pompom-girl face à une foule venue soutenir l’équipe de l’université. Elle était bien loin de l’époque où elle courrait, se tapissait dans l’herbe, rampait, se cachait en tant que guerrière de la tribu d’Apache qui devait faire face aux méchants cowboys venus les coloniser. Le cadre de cette guerre se passant entre des enfants de 6ans, Central Park. 6ans qu’elle était sur cette terre, 6ans depuis que sa mère s’était jurée que cette fois-ci, ce serait bel et bien la dernière fois qu’elle mettrait quelqu’un au monde, surtout après une césarienne car mademoiselle le bébé était trop paresseuse pour souhaiter sortir. Oui, Mélanie avait été pleines de surprises et ce depuis sa naissance. S'annonçant porteur d’un pêché de la paresse, elle le confirma en apprenant tardivement à marcher sur ses deux pieds, trouvant qu’elle se débrouillait parfaitement à quatre pattes. Mais s’opposant à cette étiquette qu’on lui avait collé, elle montra une certaine facilité pour apprendre à parler, probablement frustrée de ne pas être comprise à travers ses « gna ! » et autre mot provenant de son langage de bébé. Par ailleurs, elle montre que « paresse » ne s’associait pas forcément à un manque d’énergie vu celle qu’elle déploya à s’époumoner la nuit pour alerter qu’elle était réveillée et qu’elle s’ennuyait toute seule dans sa chambre. Peut-être une première disposition à sa future carrière de cheerleader ou de guerrière Apache vu l’aplomb qu’elle mettait à faire le cri de guerre ou les pleurs pour faire intervenir les mères et donner l’avantage aux indiens ainsi. Tout était bon pour gagner et changer le cours de l’histoire qu’elle ignorait, elle qui ne connaissait que Pocanhantas comme référence d’indienne à cette époque ou les quelques rares histoires que son père lui racontait à elle et à son grand frère le soir avant de s’endormir. C’était l’époque où elle avait décidé que plus tard, elle serait la première cheffe de la tribu indienne formée d’inconnus comme les enfants qu’elle ne connaissait que de vue et qui se joignaient au jeu traditionnel cowboy/indiens, mais suite à un rite de passage pour devenir grande guerrière loupée – elle devait partir faire ses preuves dans la forêt, soit s’enfoncer seule dans Central Park selon le vent, ce qui lui avait valu de se perdre et de se prendre une sacrée fessée de la part de sa mère – Mélanie songea déjà à se réorienter. Le fait de se perdre lui avait ôté toute envie de passer sa vie à courir dans la forêt surtout si c’était pour prendre le risque de ne plus jamais revoir sa maman et son papa, et son grand frère aussi. Mais seulement accessoirement. Alors qu’elle avait décidé de viser un rang plus bas que grande guerrière, les années défilèrent, élargissant sa vision de petite fille à New-York en son entier, lui montrant l’atrocité qu’était une araignée – soit quelque chose de bien moche et bien effrayant – et Mélanie commença sa transformation en future new-yorkaise fière de déambuler dans la rue, des Jimmy Choo aux pieds (les Louboutins étant seulement pour les grandes occasions). Elle abandonna les vêtements lui permettant une bonne agilité pour des la mettant en valeur et la faisant se sentir gentil et bien vite, elle préféra être une princesse qu’une indienne. Elle oublia le nom de ses stratégies pour vaincre l’ennemi au profit de nom de magazines, d’institut de beauté et se mit à se chicaner avec son frère pour la télécommande. Elle ne regardait dorénavant plus les mêmes séries que lui, préférant les plus « girly » qui insupportait son frère. Néanmoins, cela lui arriva souvent de regarder les mêmes séries que ce dernier, acceptant la régression finalement. Mais hors de question de louper un épisode de Dawnson. Ainsi la petite Apache devint adepte de Carrie Bradshaw. Et à l’âge de 13ans, elle commença une sorte de culte pour Kate Moss, comprenant qu’il valait mieux aborder un ventre plat plutôt qu’un petit bidon et se décida à rejoindre son père dans son sport de la course. Autant dire que les premières fois, ce ne fut pas glorieux. Se donnant plutôt l’air d’un morse sur le point de s’asphyxier, elle avait l’impression d’être loin de la taille 36 qui lui serait si chère plus tard. Mais le temps aidant toujours, elle finit par devenir une sacrée joggeuse au regard charmeur et au sourire allumeur pour ceux qui souhaitaient attirer son attention. Difficile d’imaginer ses débuts dès lors. Avec des cours de gymnastique à côté et une alimentation saine grâce à la dernière lubie de sa mère pour la diététique, Mélanie obtient plutôt naturellement son corps qui ferait tant d’envieuses pendant les cours de natation ou de sport, ou au quotidien tout simplement. Il lui fut d’ailleurs d’une grande aide pour avoir une certaine confiance en soi, Mélanie voyant qu’elle avait un certain effet sur la gente masculine en prenant des années. D’ailleurs, elle fut la première fille de sa classe à avoir la poitrine et bien qu’elle ne l’avoue pas sauf pour rire, elle en fut très fière (a). Cela contribua probablement à la faire passer pour superficielle.
Etant passé d’une indienne plate à une sorte de naïade aux allures de playmates parfois, Mélanie entra au lycée, le sourire aux lèvres et pourtant, ce fut une période de grands conflits. Il y avait beaucoup plus de travails à fournir, de travails à deux ou plusieurs, d’exposés n’intéressant pas la jeune fille. Le paradoxe qu’elle était avec sa paresse et sa détermination lui joua plusieurs fois des tours et en moins de quelques mois, elle devint la fille avec qui il ne fallait pas faire équipe lors des travaux de sciences notamment. Mais elle se trouva une autre popularité en intégrant le groupe de gymnastes de l’école et participant à quelques compétitions où elle se plaça à chaque fois bien dans le classement. Quand Mélanie voulait quelque chose, elle se donnait les moyens pour. Quand elle ne voulait pas, elle loupait. Elle apprit à compenser ses mauvaises notes avec d’autres très bonnes et pour ce qui était des exposés, elle se trouva le partenaire idéal en le premier de la classe voulant tout contrôler. Elle était la potiche dont il avait besoin et lui, le rat de bibliothèque pouvant lui assurer une bonne note. Le contrat parfait. Egalement à cette période, elle en finit baver à des garçons qui lui firent oublier les belles amourettes du bac à sable. Celles où il lui suffisait de taper du pied pour faire peur à son amoureux et s’imposer. Au lycée, c’était différent. Cela donnait plutôt lieu à des ruptures, des disputes ou parfois même des tromperies, choses qu’elle rendait bien évidemment. Epoque où tout le monde crurent réellement qu’elle avait eu son premier baiser bien avant le lycée pour « rigoler, essayer pour voir » sur une plage espagnole avec un suédois de deux ans son aîné. Faux. Inventé de toutes pièces pour pouvoir blaguer sur le sujet, attirer l’attention et s’intégrer plus facilement, et surtout donner l’idée qu’elle n’était pas une looseuse. Son premier baiser se passa en fin de première année de lycée avec un garçon dénommé Andy, un pseudo-rebelle inspirant au rêve du rockeur. Ce ne fut pas glorieux. Elle reçut une remarque guère synonyme de compliment : «je ne sais pas si ça vient de moi ou toi, mais c’était vraiment moche. Je me suis dit que ça devait être ça d’embrasser une girafe ». Elle donna sa première gifle à cette même occasion et heureusement pour elle, le Andy redoubla et changea de lycée pour un privé. Dieu merci. Mais humiliée par ce baiser, Mélanie eut toqua aussitôt à la porte de son voisin qui craquait sur elle depuis l’époque des Apaches pour lui demandait si cela lui tentait de s’entraîner à s’embrasser et ainsi, en même temps qu’elle gagnait son premier petit ami, elle acquérait une expérience fondamentale (a). Mais la relation s’effrita lorsqu’une fois ayant atteint son but, elle ne s’investit plus vraiment dans la relation.
Finissant d’exécuter la chorégraphie, toujours un sourire plaqué sur le visage, Mélanie avait entamé une nouvelle grande période de sa vie : l’université. Il était temps de prendre des décisions en rapport avec son avenir, soit elle l’ufr correspondant aux sciences de l’information afin de s’orienter éventuellement dans le monde des médias. Bien qu’il soit peut-être l’heure de poser les bases pour une vie professionnelle, Mélanie ne sait pas ce qu’elle veut faire. Présentatrice télé peut-être ou alors organisatrice de gala ou travailler dans une agence de publicité. Elle a choisi le cours qui lui plaisait sans se soucier, son principal intérêt étant de s’amuser, de profiter de ces dernières années avant d’entrer réellement dans la société. Et son statut de cheerleader lui aidait plutôt bien sur cette quête avec son caractère plutôt sociale. Et ici, il n’y a pas ou peu de travail à faire en duo, donc personne à se mettre sur le dos de ce côté-là.
Signe(s) particulier(s) :
Petite touche qui peut la distinguer de quelques cheerleaders : les tatouages. A commencer par un son omoplate faisant redécouvrir une célèbre phrase de l’auteur anglais Shakespeare visible dans Roi Lear, we will all laugh at gilded butterflies suivi de plus bas d’un poème concernant l’amour. De l’autre côté du dos, c’est une phrase qu’elle a décidé de marquer sur sa peau, Those who danced were throught to be insane by those could not hear the music et pour finir, ce que les personnes loupent difficilement, le visage de Marilyn Monroe à l’intérieur d’un bras et un signe tribal sur son poignet. Choses qui prouvent que Mélanie a une certaine attirance pour le tatouage et pourtant, elle n’aborde pas le style qui va de paire avec cette passion. Autrement, comme la majorité féminine mondiale, elle a les oreilles percées.
Orientation Sexuelle :
Hétérosexuelle, c’est ainsi que se décrit Mélanie quand elle parle de son orientation. Les hommes ne l’ont pas encore lassée pour le moment.
Citation favorite :
« Je suis un produit de la « think pink generation », mon credo : « sois belle et consomme ».
« BEHIND THE COMPUTER »
Prénom : kloe Âge : 19ans Comment as-tu connu ce forum ? : je vais sortir la question clichée : qui ne connait pas n-y-c-l ? Ca fait deux ans que vous faites parti des rpg de références actif (: et j'étais inscrite dans un lointain passé. Ton avis (design, contexte, ...) : alors design, magnifique <3 il est travaillé sans trop être bourré, ce qui est ce que j'aime ^^ ensuite je trouve que niveau pv, il y a un bon choix avec une base de scénarios proposés et ensuite plein de scénarios faits par les membres, le contexte est devenu "habituel" mais est toujours parfait pour rp (a) et vous avez votre originalité avec la structure du forum, toutes les catégories proposées et le forum est très bien tenu par le staff, fait rare selon les endroits ^^ Présence sur le forum : 4-5/7 (ou 6/7 en vacances) Autre(s) compte(s) : non. Exemple de RP :
Spoiler:
Il avait toujours manqué de reflexes et cela s’était confirmé lors de son arrivée à San Francisco. S’il n’était pas resté bloqué, il aurait tourné les talons et aurait pris le premier avion pour Paris, appelant son père comme un enfant de 5 ans se faisant passer pour un adulte pour dire que non, Berkeley était une mauvaise idée. Il aurait fui et aujourd’hui serait à la Sorbonne toujours aussi plongé dans ses pensées, essoufflé sous sa culpabilité à craquer de temps à autre pour faire un peu la fête et alléger son esprit de quelques précieuses secondes. Mais non. Il avait juste eu le réflexe de planter Catahleen au milieu des rencontres Français-Américains pour rejoindre les toilettes, perdu, seul et dans un pays inconnu. Il ne l’avait pas cru d’abord. C’était impossible et c’était dit qu’il avait dû oublier qu’il avait pris un quelconque médicament. Peut-être que cette fille ressemblait juste à Johanna, un grossier air de famille, rien de plus. Il était alors ressorti, mais l’avait revu et était resté pendant deux-trois minutes lui paraissant interminable à la contempler et faire passer son « c’est pas vrai… » à un « c’est vrai, dude ». Oui, c’était la réalité. Evidement, Aymeric savait qu’il existait des doubles, des sosies. Mais il n’aurait jamais cru que Johanna en avait un. Elle était tellement unique, belle à en couper le souffle et voilà que sa beauté était doublée en version américaine. A parier, elles avaient même les mesures pareilles. Et Aymeric devrait passer son échange avec la demoiselle portant le visage de celle qu’il aimait tant et qu’il avait perdu à jamais. C’était une punition digne de l’enfer et d’une tragédie grecque. Il avait vu en cours que d’après une histoire, un homme avait été condamné à être assoiffé et affamé face à de l’eau et de la nourriture inatteignable. Aymeric se trouvait dans le même cas de posture. Il était en manque de Johanna, un manque sans nom, et forcé à contempler son visage sans pouvoir jamais l’atteindre au fond. Finalement, sa sentence était tombée et il était toujours trop lâche ou courageux pour ne pas en finir. En même temps, il se disait qu’il ne pouvait pas en finir en mémoire de Johanna. Elle avait toujours prôné le fait de continuer de vivre sans pour autant blâmer ceux qui décidaient de refermer le livre de la vie trop vite. Aymeric continuait donc son chemin de la vie sans avoir l’impression d’avancer réellement. Oui, sa douleur avait fini par s’atténuer un peu et peut-être que son deuil avait commencé à tracer son chemin, mais le visage de Catahleen, son corps si frêle, ses grands yeux bleus dévisageurs avaient tout rallumé, remis le feu à la poudre. Si tôt arrivé à la confrérie et si tôt ayant sa chambre désignée, Aymeric s’était couché laissant les autres croire que le décalage horaire se manifestait fort chez lui. Après, ils étaient de toute manière trop impatients de découvrir les joies de Berkeley avec leurs correspondants dévoués pour s’attarder sur un de leur camarade et c’était tant mieux.
Aymeric était un chieur sans nom. Ce n’était pas une nouveauté, même pas pour son père. Surtout pas pour ce dernier qui en avait vu des vertes et des pas mûres avec son fils et le plus souvent en vacances. Et c’était pire pendant qu’il sortait avec Johanna. Aussi étrange que cela puisse paraître pour un étudiant en droit international, Aymeric n’avait jamais vraiment aimé voyager quand il était petit. Et pourtant, son père s’obstinait et tandis qu’il voulait visiter le lieu, Aymeric aspirait plutôt à visiter sa chambre d’hôtel et dormir. Alors ça donnait toujours lieu à des chicanes et il finissait par traîner les pieds derrière son père, attirant les regards outrés des japonais. Avec ses amis aussi, il savait être un emmerdeur et c’était pire depuis le décès Johanna. Néanmoins, personne n’avait eu le même traitement que celui accordé à Catahleen. C’était une première. Elle incarnait tout ce qu’il désirait au fond, mais tout ce qui l’effrayait et le révulsait au fond. De ce fait, il ne pouvait qu’être désagréable et lui qui avait tant demandé une punition, rejetait cette dernière, essayait de la fuir sans fin. Mais visiblement Berkeley n’était pas assez grand pour qu’il puisse éviter la jeune femme, mais pour ceux connaissant Johanna, alors si. Aucun n’avait été fichu de tomber nez-à-nez avec Catahleen. A croire qu’une force s’acharnait contre Aymeric. Et dire qu’il avait apprécié l’Américaine lors de leur échange de mail … elle semblait différente, savait ce qu’elle disait. C’était des échanges formels, mais il s’était fait une bonne opinion d’elle et peut-être qu’il s’était même réjoui de la voir. Probablement que si elle n’avait pas été le double de Johanna, il aurait trouvé que c’était une « bombe » et mine de rien, aurait été plutôt content de l’avoir en correspondance car aux échos de Camille, elle était sympa en plus. Echos auquel Aymeric faisait genre de s’en fiche.
Elle était maintenant face à lui. Le professeur s’en était allé et les pairs commençaient à se disperser dans la bonne humeur, ce qui faisait qu’Aymeric détonait encore plus avec son visage fermé derrière ses rays-bans, essayant d’éviter que son regard ne se pose sur Catahleen. C’était trop difficile de voir Johanna alors que ce n’était pas elle et encore plus de voir son air adorable puis aussi fermé face à son attitude. Il avait toujours redouté cette expression chez Johanna et c’était celle qu’il cherchait chez Catahleen. Il se sentait complètement perdu et se fut fidèle à son nouveau caractère qu’il demanda à rentrer à la confrérie. Roi De Lavignères avait parlé et exigeait de servante Hammersmith de s’exécuter. Il détestait avoir l’impression d’avoir comme un enfant pourri gâté, mais il ne savait pas comment faire d’autre. Il était difficile de ne pas ennuyer quelqu’un en se montrant désagréable. Il avait même ignorer son « Tu vas bien ? ». Pas de formalité entre eux. Juste l’envie de raccourcir le temps à passer ensemble.
« Tu veux … Rentrer ? « C’est ça.
Mais une chose à laquelle il ne s’attendait pas arriva. Alors que Catahleen faisait des recherches dans son sac, elle s’arrêta net. Malgré le fait qu’il ne la regardait pas, il voyait en large ses gestes et s’était attendu à ce qu’ils repartent. Rien que de faire un trajet ensemble lui semblait bizarre. Il ne pouvait même pas dire impossible. Il ne savait pas à quoi s’attendre venant d’elle. Il savait seulement qu’il supportait mal de voir le visage de Johanna car au fond, c’était à ça que se résumait Catahleen, au sosie de Johanna. C’était le trait qu’il lui avait attribué, le caractère qu’il avait décidé de lui donner sans lui laisser l’occasion de lui montrer sa personnalité et s’imposer comme Catahleen Hammersmith. Mais visiblement, les choses allaient changer.
« L’université doit être par là, rentre bien. « Tu vas me laisser ?
Il avait laissé échapper cette crainte. Non, un simple geste dans une quelconque direction ne pouvait pas lui permettre de rentrer. C’était simplement lui montrer une direction à prendre pour se perdre au cas où il hésiterait pas où passer pour finir par se perdre quand même. Non, Aymeric ne voulait pas se perdre. Aussi stupide que cela paraissait, il avait presque peur de se perdre et de ne plus savoir comment rentrer ; crainte qui datait de son enfance. Il ne voulait pas avoir l’impression d’être seul au moment. Pitoyable peut-être, mais ce fut un bon moteur pour lui faire accepter une chose : passer son après-midi avec Catahleen. Se déplaçant pour finir à côté d’elle de telle sorte qu’il n’avait plus à la regarder de face et dégainant son paquet de cigarettes, il tenta de calculer la vision qu’il avait de Catahleen. Peut-être que la regarder du coin de l’œil le tromperait. Voir juste sa silhouette avec ses cheveux cours ne lui rappellerait pas Johanna. Peut-être.
« Bien … tu as envie de voir quelque chose en particulier ou montrer un monument dont en tant qu’issue de San Francisco, tu es très fière ? il ne savait même pas s’il était désagréable ou pas. Boudeur, certes, mais après il devait bien passer l’après-midi avec elle, Par contre, si on pouvait éviter les bars, ce serait bien, remarque en souvenir de la soirée où il l’avait retrouvée plus que pompette et décidée à prendre la voiture. Il lui avait ajouté dès lors l’adjectif « folle » aussi, néanmoins il ne pouvait pas se douter que ce n’était pas Catahleen Hammersmith qui était éméchée ce soir-là. »
Code du règlement :
Spoiler:
OK BY TOFFEE.
« I'M SO BEAUTIFUL »
banana hammock
Dernière édition par Mélanie Anderson le Lun 21 Juin - 1:45, édité 11 fois
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: « keep calm and rock on ; mel. terminé Lun 7 Juin - 11:30
+1
Dernière édition par Mélanie Anderson le Ven 11 Juin - 0:43, édité 2 fois
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: « keep calm and rock on ; mel. terminé Lun 7 Juin - 11:36
J'adore la description physique. Bienvenue et bon courage pour la fin de la fiche!
Sujet: Re: « keep calm and rock on ; mel. terminé Lun 7 Juin - 14:08
Bienvenue :-)
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: « keep calm and rock on ; mel. terminé Lun 7 Juin - 16:07
Bienvenue.
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: « keep calm and rock on ; mel. terminé Lun 7 Juin - 22:47
Bienvenue
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: « keep calm and rock on ; mel. terminé Mar 8 Juin - 1:40
Ouelcomeuuuh!!!
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: « keep calm and rock on ; mel. terminé Mar 8 Juin - 10:08
Bienvenue
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: « keep calm and rock on ; mel. terminé Mar 8 Juin - 11:58
Bienvenue ici!
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: « keep calm and rock on ; mel. terminé Mar 8 Juin - 14:02
Bienvenue
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: « keep calm and rock on ; mel. terminé Mar 8 Juin - 19:02
Welcome on New York City Life ! Megan
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: « keep calm and rock on ; mel. terminé Mar 8 Juin - 20:18
Megan
Welcome & bonne continuation pour ta fiche!
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: « keep calm and rock on ; mel. terminé Mar 8 Juin - 22:00
merci Paul et flattée que ma description physique t'ait plue
merci pour l'accueil
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: « keep calm and rock on ; mel. terminé Mar 8 Juin - 22:05
OMFG Megan
Bienvenue (aa)
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: « keep calm and rock on ; mel. terminé Mer 9 Juin - 6:08
Bienvenuuue
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: « keep calm and rock on ; mel. terminé Mer 9 Juin - 10:13
Conor; oh le chanteur de glee je pensais pas le voir sur un forum un jour - etmefairelesmileyquituetrio (aa) - merci
Merci Mathys
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: « keep calm and rock on ; mel. terminé Mer 9 Juin - 10:44
Pourrais-tu réduire la longueur de ton titre ? Parce qu'il élargit trop ta fiche
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: « keep calm and rock on ; mel. terminé Mer 9 Juin - 14:37
biiienvenue ^^
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: « keep calm and rock on ; mel. terminé Mer 9 Juin - 17:32
June D. Hathaway-Elkins a écrit:
Pourrais-tu réduire la longueur de ton titre ? Parce qu'il élargit trop ta fiche
Désolée, j'avais pas fait attention >< ou mon écran ne me montrait pas la différence, donc dans le doute, c'est bon ? ^^
Merci Crystal ♥
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: « keep calm and rock on ; mel. terminé Mer 9 Juin - 20:01
Bienvenue à toi
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: « keep calm and rock on ; mel. terminé Jeu 10 Juin - 12:00
Mélanie Anderson a écrit:
June D. Hathaway-Elkins a écrit:
Pourrais-tu réduire la longueur de ton titre ? Parce qu'il élargit trop ta fiche
Désolée, j'avais pas fait attention >< ou mon écran ne me montrait pas la différence, donc dans le doute, c'est bon ? ^^
Merci Crystal ♥
Voilà là c'est bon
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: « keep calm and rock on ; mel. terminé Ven 11 Juin - 18:33
Aïe Aïe Aïe Megan Fox Bienvenue tout de même :bave:
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: « keep calm and rock on ; mel. terminé Ven 11 Juin - 18:35
Bienvenue !
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: « keep calm and rock on ; mel. terminé Lun 21 Juin - 1:44
merci ed (aaa)
Sinon pour ma présentation, j'essaie de la finir demain, autrement ce sera ce week-end car mercredi-jeudi-vendredi, je suis en examens ^^ désolée du temps pris /:
Edit : fiche terminée. S'il y a des modifications à faire, je le ferai dans la semaine
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: « keep calm and rock on ; mel. terminé Lun 21 Juin - 2:21