Côté physique Wyatt n'est peut être pas spécialement « beau » aux yeux de tous, mais il est loin d'être laid. On pourrait le qualifié de grand brun à gueule d'ange, mais d'une manière globale le physique de ce jeune homme est assez banal et courant dans notre monde de mortel. En effet, du haut de son mètre 78, il n'aborde pas une musculature de cultiste, tout en n'étant pas sur la peau des os, on note juste un attrait de sportif qu'il a façonné lors de ses entrainements de basket, qui est très visible au niveau des mollets. Bref, un visage fin avec des traits ferme témoignant une maturité d'esprit, la figure de Gaspard s'accommodant parfaitement avec sa taille et son poids semble être constamment calme tel la roche sur la cascade.

Abordant des yeux d'un bleu électrique, il a une chevelure qui frise le mi-long et brune, légèrement sombre qui sont constamment coiffé vers le bas comme s'ils étaient écrasé par les cieux, et contre ça il ne peut rien y faire, ces cheveux revenant toujours à la position "standard". Les plus perspicaces distingueront un certain indice sur le tempérament & le style de Wyatt en prenant en compte l'absence de "RDA", Réels Défauts Apparents, d'après une propreté impeccable et un sens du style poussé.

Il est à noté qu'à part une montre, il se délecte complétement de quelconques accessoires ne jugeant que dans la nécessité de pouvoir conservé le pouvoir de connaître l'heure à tout autres moments de la journée, ainsi poussant son côtes classique à son paroxysme en rejetant les fantaisies.

Côté vestimentaire, Wyatt fait à la fois dans la tradition tout en y ajoutant une touche de modernité. Prônant comme couleurs principales de ces vêtements du Noir & Blanc, tout en agrémentant quelques fois par des tons sobres qu'il affectionne tel que le taupe ou le vermeil. Ne sortant jamais sans son marcel par dessus lequel on retrouve une chemise ainsi qu'un pantalon de costume & une paire de Melinni, voici l'habit standard et principal. Après ceci, c'est en fonction des jours qu'on retrouve d'éventuels ajouts, tel que qu'une veste de costume ou un gilet de soie comme il en a plusieurs de différents motifs qui suivent toujours la même règle qui exclu les couleurs flashy. Ajoutez à cela, un éventails de montre, une floppé de quelques jeans, ainsi qu'un ensemble de jogging et vous n'aurez pas de surprise quand vous aurez fait le tour de son armoire. Il associe à cette tenue une dégaine de mannequin (en références à ces études) et vous voilà en face de Wyatt Britannia.

Fiez vous à son signe astrologique, et vous connaîtrez toute la personnalité d'Ulliel. Porteur d'une double personnalité, il n'assume pas forcement cette dualité. Aspirant à la joie de vivre, il ne demande qu'à la faire partager aux autres mais trouve que cette tâche n'est pas facile si bien qu'à d'autres moments il se trouve déçu, broyant du noir et même incapable de plaisanter. C'est alors le signe d'une dépression plus ou moins profonde. La vérité, c'est qu'il déteste l'ennui : dès que quelque chose l'ennuie, il essaye de l'éluder.

La curiosité est la qualité qui semble la plus précieuse à ces yeux et il l'a cultive avec assiduité. C'est elle qui lui permet d'avoir l'esprit toujours en éveil, de se sentir à l'aise dans tous les milieux et de s'adapter à n'importe quel environnement.

Il aime à vivre dans l'instant. Il n'a pas de passé, et refuse de se projeter dans l'avenir, sauf que ceci est vraiment nécessaire. Le fait de ne penser qu'à vivre la minute présente, lui épargne bien des angoisse plus ou moins existentielles. Dû à sa curiosité, il a le contact facile, ayant le don de la complicité et de la communication, comprenant tout très vite. Mais par dessus celà on pourrait lui reprocher en général sa tendance à aller trop vite, à être trop pressé, à vouloir faire trop de chose. Mais la recherche continuelle de l'agitation n'est pas ce qui l'aidera à préserver son équilibre physique et mental. Cultivant comme Hobby le Basket, ou il conserve un niveau assez moyen qui lui permet de satisfaire la partie de lui-même que l'activité professionel n'a pas comblé, les satisfactions qu'il en tire l'aide à lutter contre ces tendances à la dépression qui pourraient faire jour.

En général, vous avez tendance à aller trop vite, à vouloir faire trop de choses. Mais la recherche continuelle de l'agitation n'est pas ce qui vous aidera à préserver votre équilibre physique et mental. Il n'est pas mauvais que vous cultiviez un hobby, qui vous permettent de satisfaire la partie de vous-même que les activités professionnelles n'ont pas comblée. Les satisfactions que vous en tirerez vous aideront à lutter contre les tendances à la dépression qui pourraient se faire jour. D'autre part, en cherchant à préserver un esprit toujours jeune et alerte, toujours fasciné par la nouveauté, il reste l'éternel adolescent qu'au fond il souhaitait être.

Le côté le plus surprenant de son caractère est peut-être sa grande sentimentalité. Malgré ses apparences de conquérant, il sent toujours, au plus profond de vous-même, un besoin impérieux d'affection et d'amitié. Mais il se heurte souvent à une barrière solide, et ses incessants efforts pour gagner l'intimité des autres portent rarement les fruits escomptés. En d'autres termes, sa personnalité est engageante, mais peu attachante. Même s'il a beau avoir la facilité de faire de bonnes connaissances, il éprouve en revanche la plus grande difficulté à se faire de véritable amis. En venant à New York, il espère que cet attrait de lui même tend à disparaître

On a beau être dans une école privé à plusieurs milliers de dollars l'année, nous ne sommes pas tous des personnes importantes aux yeux des hautes sphères de la société. Pour cause, nos parents ne sont pas détenteurs d'une mine de pétrole, n'ont pas réussi dans la bourse ou le stylisme, et ne descendent pas d'une célèbre lignée de riche. Qui nous sommes ? Et bien, on nous appelle couramment "les oubliés". Nous sommes des orphelins recueillis par l'école, des laissés pour compte. Le plus souvent enfants de parents de classe moyenne, qui ont eu la chance d'acquérir une bourse... ou une quelconque opportunités; On essaye de s'intégré à cette nouvelle société, et pourtant on le remarque assez bien, entre nous et eux, il y a un monde qui nous sépare. Bref, qui se soucierais de nous ?

Nous voila plongé 17 ans avant notre ère actuel. Il y avait durant la soirée de ce jour-ci une pleine lune impressionnante teinté d'un insolite rouge. Braquant la ville de Burlington de façon menaçante. L'aspect de la lune était donc très insolite et peu commune. En réalité cela s'explique par un phénomène astronomique. Puisqu'en effet, ceci ce produit uniquement lorsque la Lune est pleine, et quand le Soleil, la Terre et la Lune sont parfaitement alignés ou proches de l’être... En outre une éclipse lunaire. Seulement, ce n'est pas le seul "événement" qu'il y eut cette nuit là. Effectivement, à l'hôpital civil de Burlington c'est aussi l'arrivée dans le commun des mortels d'un dénommé Wyatt, le "le fils des Britannia". Le nouveau né est en bonne santé. Il est issu de l'union entre John Britannia et Carrie Hawkins. John le père est un professeur en sciences désirant se faire un nom dans le métier. Carrie la mère, possesive dans l'âme est une femme qui a rendu l'âme à la naissance de son fils. Après l'accouchement, un calme bruyant s'était installé dans la maison du paternel qui avait délecté sa femme au prix d'un fils qu'il n'avait même pas voulus. Mais quand bien même dans la déception, Wyatt fut "élevé" par son père et reçu tout ce don un nouveau née eu besoin. Il fut principalement institué par sa marraine et après que celle-ci eu le droit à une retraite bien mérité, le jour des 7 ans de Wyatt; celui-ci fut repris par son père à plein temps. N'ayant pas eu la vie qu'il désiré, n'ayant qu'une prostitué dans son lit au lieu de la femme qu'il désiré, et un bâtard au lieu de sa Porshe, il décida dans sa rédemption de faire de ce bâtard sa priorité, quand bien même assez égoïste, John avait le cœur bon.

Trois années s'écoulèrent, j'avais 10 ans. Depuis sa reflexion à faire de moi son nouvel hobbie, père faisait tout ce qu'il pouvait pour que je puisse intégré à la hauteur de mes capacités -qui selon d'un de ses amis psychologues étaient au dessus de la moyenne. A en voir maintenant le résultat, je me demande si cet ami après avoir dis ces mots n'avait pas eu un soupçon de faux-cul. C'est donc après avoir eu l'obtention d'une bourse ainsi que d'avoir poussé ces relations jusqu'à l'école ou il travaillais que je fus intégré au collège Wallace. Le meilleur si on pourrait dire ça, de l'État du Vermont. Le meilleur dans un sens de résultat, mais dans un sens de méthode et de vie à l'intérieur de l'enceinte, c'était bien autre chose; Portant sur moi ces espoirs, il y ajouta une oppression constante quand à l'envie de "résultats" son obsession, l'envie de pouvoir se dire que son fils aura une vie rempli principalement sur ces études, intègre une excellente université et devienne le futur maître du monde, pour se dire "Lui c'est mon fils". Et c'est en cette 3ème année d'étude que le topo fut rendu, viré j'ai été, déçu il fut : Mes résultats n'étaient pas aussi "bon" que son ami l'avait suggéré, en gros j'avais un mental normal, comme tout autre et au vu que son porte-monnaie n'était pas aussi rempli que celui de mes compagnons de classe, mes résultats "normaux" ne correspondaient bizarrement pas à cet établissement. Ce fut alors le désastre dans le domaine familial, mais avec son attitude qui n'avait pas changé, Père avait mis un ans avant de me faire comprendre que j'étais l'élément qui avais brisé sa vie en deux. Que j'étais le bon à rien qui lui porté une vraie angoisse, que j'étais l'élément perturbateur de son histoire, que j'étais à présent pour lui un inconnu. Trouvant refuge... dans un refuge.. Il fallut attendre mes 17 ans pour que je prenne mon indépendance, l'on me balança vers la ville dont j'avais tant rêvé : New York City. A l'école de l'UFR ou j'irais poursuivre des études en mannequinat. La mode, un des seuls domaine ou je m'ouvrais vraiment allais en présent accueillir en son sein le martyr.