Sujet: BUCKLEY - Do you want a lollipop ? (done) Dim 25 Juil - 8:22
« Charlotte "Charlie" Bryce Buckley » Feat. Shay Mitchell
Âge : 20 ans. Date & Lieu de naissance : Née le 24 Décembre 1989, à Cork (Irlande). Groupe : Rebels. UFR : UFR 2. Étude : Musique. Prédéfini ou Inventé : Inventé.
Sweet about me :
« MORE ABOUT MY PERFECTION »
Physique & Style :
Le moins qu'on puisse dire, c'est que Charlie est belle. Mais le terme le plus approprié serait "sublime". En effet, vous pouvez la haïr autant que vous le voulez, vous serez toujours en admiration devant sa perfection physique. Certains, dégoûtés par son caractère, peuvent essayer de dire du mal de son apparence, mais une lueur d'émerveillement est toujours au fond de leurs regards lorsqu'ils parlent de Charlotte Buckley. Elle arbore une longue chevelure lisse d'un noir d'ébène, qui, étonnement, ne contient pas une seule goutte de l'un de ces produits qui "améliore" les cheveux. Je dis "étonnement" car lorsqu'on jette un seul coup d'œil aux poils qui lui sortent du crâne, on vient à se demander comment une telle magnificence capillaire peut exister. Je sais, je sais "poils qui lui sortent du crâne" n'est pas une expression très méliorative, mais de un, je ne voulais pas me répéter, et de deux, le fait qu'elle soit l'une des plus séduisantes que j'ai eu l'occasion d'apercevoir dans mon existence ne peut tout de même pas me faire aimer cette folle. Shall we continue ? Bien. Lorsque quelqu'un pose pour la première fois ses yeux sur le visage de Charlie, vous pouvez observez une légère bavure au coin de ses lèvres. Ce phénomène se reproduira cinq ou six fois si cette personne vient à revoir la jeune femme, avant de laisser place à un sourire charmeur, ou timide, c'est selon le caractère. En effet, que vous soyez une fille ou un garçon, il est scientifiquement impossible de ne pas être attiré par les traits si bien dessinés du visage de la progéniture des Buckley. Sa structure osseuse est tellement parfaite qu'on croirait observer un androïde. Je n'arrive pas à croire que je n'ai toujours pas mentionné ses yeux. Elle dispose d'un regard si innocent mais pourtant tellement autoritaire. Leur teinte, d'un marron chocolat, paraît aussi adorable que sadique. Dessinés en amande, ils sont de loin les yeux les plus expressif que j'ai eu l'occasion de voir. Cependant, lorsqu'on scrute attentivement, on peut observer une légère pointe de folie dans son regard. Née d'une mère partiellement philippine, elle a évidemment hérité de cet air asiatique si répandu de nos jours. Bien que, comme on dit, "tous les chinois se ressemblent", Charlie est une véritable exception à la règle. Elle est unique en son genre, et tout le monde le sait. Aussi insupportable qu'elle soit, cela n'influe certainement pas sur son physique de rêve. Elle est svelte, grande et fine, mais loin d'être anorexique. On la décrirait presque de parfaite. Je dis presque, car si on regarde attentivement, on peut apercevoir un léger défauts au niveau de ses pieds. L'un d'eux est plus grand de quelques millimètres par rapport à l'autre, ce qui ne l'empêche absolument pas de marcher correctement, elle ne boîte pas du tout. Le seul problème que cette anomalie engendre, c'est dans l'achat de ses chaussures, où elle doit souvent prendre une paire de pointure 37 et une autre de 38. Charlie n'est pas quelqu'un qui se soucie beaucoup du style vestimentaire qu'elle arbore. D'ailleurs, elle aime beaucoup se balader nue, elle ne s'en prive pas si l'envie lui en prend. Elle a cependant une garde robe bien fournie de vêtements en tous genre, de gothique (qu'elle avait porté à un Halloween) à tailleur en passant par robe de soirée et costume de prostituée. La plupart du temps, elle ne fait qu'attraper un haut et un bas, sans même y réfléchir. C'est pour cela que ses vêtements se retrouvent souvent dépareillés. Les gens pensent que c'est une manière à elle de son montrer marginale et différente, que c'est son style. Mais la vérité, c'est qu'elle n'a aucun style.
Caractère :
Charlotte Bryce Buckley est un vrai cirque ambulant. Pourtant, son visage d'ange ne laisse rien paraître de cette extravagance très poussée. Beaucoup de gens la qualifient de "poupée de porcelaine", et il faut l'avouer, elle a vraiment la tête à se faire appeler ainsi. De longs cheveux d'un noir charbon, des yeux d'un marron chocolat. Elle pourrait même devenir l'effigie de plusieurs grandes marques, avec son petit minois. Seulement, la poupée fragile et innocente n'est pas du tout ce qu'on pourrait penser, elle en est même loin. Une petite minute avec elle, et "Bye bye Barbie, Bonjour Chucky". Quelle coïncidence amusante lorsqu'on pense qu'elle se faisait appeler Chuck autrefois. Comme on dit souvent, les apparences sont trompeuses, peut-être même un peu trop. D'ailleurs, personne ne se douterait de sa folie si elle ne prenait pas un malin plaisir à aller se balader nue dans les rues de New York lorsque l'envie lui en prend. Ce ne sont pas les hommes qui vont s'en plaindre, beaucoup essayent même de la ramener dans leur lit. Dommage messieurs, Charlie n'est pas attirée par les hommes, pas le moins du monde, et elle l'a bien fait comprendre à toute la ville, il y a quelques années de cela. Mais bon, je vous raconterai ça plus tard. La jeune fille a une qualité dont peu de gens se doutent : l'intelligence. Vous l'aurez compris, la spontanéité de C. la fait souvent passer pour une psychopathe sans cervelle, mais elle est jeune et belle, on ne peut que lui pardonner. Après avoir passé une nuit de folie avec la brune (je parle de fête, party, pas de sexe ; jeez, quels pervers), on ne peut plus questionner son courage. Car oui, la petite Buckley a des c*uilles, qui l'aurait cru ? Certains appelleraient plutôt cela de l'audace, du culot, mais on s'en fout : Pour oser aller faire un lap dance au Maire de la ville, sans avoir bu une seule goutte d'alcool, il faut sérieusement en avoir dans le pantalon (autre alternative : avoir le cerveau de la taille d'un pois chiche, mais ce n'est pas le cas de Charlie, croyez-moi).
S'il y a bien une partie d'elle qu'elle ne cache pas (si on met de côté le nudisme occasionnel), c'est sa perversion. Il suffit d'un petit coup d'œil dans sa chambre pour repérer au moins une dizaine de DVD pornos éparpillés. Un regard un peu plus attentif en compterait exactement 54. Un regard encore plus attentif (ou pervers, c'est selon) se rendrait compte que la plus grande partie de ces films traitent de relations... comment dire ? Sado-maso. Quelle mot impoli me direz-vous. Eh bien, désolé, c'est le seul qui qualifie aussi bien ce... truc ? Oh et puis laissez-moi tranquille, j'ai la flemme de chercher plus compliqué. Reprenons. Donc oui, sado-maso, parce qu'en plus d'adorer regarder les gens souffrir, Charlie est elle même très attirée par la douleur. Souffrir, quel plaisir. En plus ça rime, si ça, c'est pas la classe. Vous pourriez espérer qu'elle vous prête l'un de ses films érotiques dont elle semble faire la collection, mais c'est sans compter l'égoïsme (et l'égocentrisme, c'est pas la même chose, malgré ce qu'on peut penser) profond de la jeune fille. D'ailleurs, si vous insistez, elle risque de péter un câble, car en plus d'être impatiente, elle a l'un des tempéraments les plus colériques que j'ai jamais vus. En plus de tout cela, elle sort des sarcasmes toutes les deux minutes, ce qui n'aide sûrement pas à faire oublier son caractère cynique que tout le monde connaît si bien. Vous voulez que je vous dise la vérité ? Charlotte Buckley est certainement la personne la plus espiègle et insupportable que j'ai rencontrée tout au long de ma vie. Constamment indécise, jamais contente, imparfaite mais exigeante, aussi excentrique qu'imprévisible, c'est une vraie chieuse. D'ailleurs, je compte appeler l'éditeur du Larousse pour lui demander d'écrire son nom dans la définition de ce mot. Enfin, encore faut-il que ce connard d'éditeur commence à donner des définitions aussi intéressantes dans son dictionnaire de merde. Bon, je m'emporte. Un conseil, si vous rencontrez cette folle dans la rue un jour, fuyez, ou bien cachez-vous. Mais si on vous propose d'écouter ne serait-ce qu'une seconde la voix la jeune femme, guitare à la main et tout le tralala, ne bougez surtout pas, car cette fille est peut-être complètement cinglée, mais sa voix pourrait vous faire oublier vos soucis les plus inoubliables. À bon entendeur...
Histoire :
La reproduction, c'est très surfait. Tout le monde imagine un beau couple de jeunes mariés, bien ancrés dans leur petit nid d'amour, qui cherchent à rendre leur bonheur encore plus vaste. Alors, Papa met une graine dans le ventre de Maman, et neuf mois plus tard, un beau petit garnement vient au monde. On a aussi l'histoire des parents qui ont passé commande à Madame la Cigogne, et qui reçoivent le bébé sur leur palier peu après, bien enroulé de couvertures dans son minuscule panier tout mignon. Tout ça, c'est des conneries. Vous voulez savoir pourquoi tous les enfants jouent au Papa et à la Maman ? Pourquoi les poupées sont aussi populaires dans le monde des petites filles de cinq ans ? Eh bien c'est simple, c'est parce que nous vivons dans un monde de menteurs. N'importe quel enfant qui demanderait à ses parents comment il est venu au monde se verrait raconter un énorme paquet de salades, plein de fleurs, cœurs et bonne humeur. Celui qui demande à ses géniteurs comment ils se sont rencontrés se coltinerait encore plus de conneries.
Imaginez une petite fille âgée de trois petites années, de longs cheveux noirs, des yeux d'un marron tellement chocolaté qu'on s'imaginerait les croquer, devant un couple de vieux schnocks hippies. D'accord, c'est peut-être un peu exagéré de dire qu'ils étaient vieux. Je dirai, 35 ans chacun, grand maximum. Une grande femme, svelte, cheveux coiffé en afro, un air philippin sur le visage, un bandeau au-dessus du front, sans oublier les vêtements roses bonbon. Et un homme, coiffé à la Elvis Presley, les lunettes en prime, un collier Hawaïen autour du cou, et pétard accroché aux lèvres. De vrais blasés de la vie, je vous dis. Cette petite fille avait la tête d'un ange, littéralement. Son nom, c'était Charlotte, mais attention, si vous l'appeliez comme ça, elle mordait. Son vrai nom, son vrai de vrai, celui dont elle était fière, celui dont elle avait un collier au cou à l'effigie, c'était Chuck. She's the girl named Chuck. À la crèche, personne ne pouvait se vanter d'avoir un prénom aussi cool. Ce jour-là, devant ses idiots de géniteurs, la belle enfant unique des Buckley leur posa la question à laquelle tous les parents sont confrontés un jour, celle dont ils ne pourraient pas s'échapper, celle à laquelle ils devraient répondre... en mentant ! Alors, étendus sur leur vieux canapé tout délabré, le couple regardait de leurs yeux pleins de remords leur petite fille, assise les jambes croisées sur le sol. Lorsque la bouche de l'enfant s'ouvrit, ils s'attendaient au pire.
« Serena, Benjamin, ce que je vais vous demander, c'est très sérieux. Vous risquez beaucoup si vous me mentez. Qui a mangé tout le chocolat aux noisettes !? »
Ben observait sa fille d'un air coupable, les yeux fuyants, les mains légèrement tremblantes. La petite brune avait déjà deviné que son père n'était pas innocent dans tout cela, bien avant que sa bouche ne s'ouvre pour l'interroger, mais le torturer mentalement était une vraie partie de plaisir. Elle attrapa ses menottes en plastique, les enroula autour des poignets de son paternel et lui expliqua clairement qu'il ne serait libéré que lorsqu'il irait lui acheter un nouveau paquet d'Éléphants fourrés au chocolat, sans oublier la tablette de Lindt aux noix de pécan. Elle se leva, l'air menaçant, et se retourna, prête à aller jouer avec le xylophone qu'elle avait obtenu la veille. Dans un dernier espoir de ne pas se faire massacrer les oreilles par l'instrument le plus insupportable du monde, Serena Buckley éleva sa voix, et rappela son enfant.
« CHUCKY ! Et... et si on te racontait comment tu es venue au monde. Tu sais, notre rencontre, ta naissance... »
La petite fille ne prit pas la peine de répondre à sa mère, ni même de jeter un petit coup d'œil à ses géniteurs. Elle reprit son chemin, alors que ses parents se remirent à la recherche des bouches-oreilles qu'ils avaient retiré lorsque Chuck était venue leur adresser la parole. Leur surprise fut à son comble lorsqu'ils remarquèrent que leur enfant était revenue auprès d'eux... un xylophone dans les bras. Elle s'assit confortablement sur le sol, se craqua le cou et parla d'une voix forte et autoritaire.
« Racontez-moi tout ça pendant que je fais de l'art ! Il faut que je m'entraîne pour devenir musicienne professionnelle ! »
Ses paroles ressemblaient plus à un ordre qu'à une requête, et c'est ainsi que le couple de vieux schnocks commença à raconter leur récit, d'un air complètement désespéré. Vous vous rappelez de l'histoire des parents menteurs qui racontaient des bobards à leurs enfants pour les préserver de la vérité ? Eh bien quand on sait ce que les Buckley ont raconté à leur petite fille de trois ans, on préfère encore la version salades, croyez-moi. Je vous aurais peut-être rapporté leurs paroles, si je n'étais pas sûre certaine qu'il y ai des gens ici bien trop jeunes pour cela !
Passons. Charlotte a bien grandit depuis... ou pas. À peine deux petites années plus tard, alors qu'elle était âgée de cinq ans, une vraie catastrophe se produit pour la famille Buckley. La jeune fille était installée confortablement sur son grand pouf vert, celui qu'on lui avait offert pour son quatrième anniversaire. Elle se leva, un regard espiègle sur le visage et une bouteille de mousse à raser dans les mains. Elle commença à en étaler sur le sol, les murs, les meubles. Oui, la petite Chuck n'avait pas du tout changé, toujours aussi insupportable envers ses parents. Sauf qu'à ce moment-là, ce n'étaient pas ses parents qui la gardaient, mais sa babysitteur. Elle s'appelait Ursula. C'était une femme très moche d'une cinquantaine d'années, les cheveux d'un blond délavé, des verrues pleins le visage. Elle était partie aux toilettes et elle avait demandé à la petite de se tenir calme, promesse que C. n'aurait jamais réussi gardé. De retour vers le salon, elle glissa dans la mousse et se cassa la gueule. Une dent en moins, Ursula était devenue encore plus affreuse. Elle attrapa ses affaires, engueula la petite Chuck, et démissionna. La petite était seule, dans cette grande maison remplie de choses à détruire. Elle sortit dans le jardin, à la recherche d'un tuyau arroseur quand une voiture noire passa devant la demeure des Buckey. Un homme sorti du véhicule, et se dirigea vers la petite. Il lui tendit un bonbon, un sourire chaleureux scotché au visage. Elle l'attrapa et l'avala en moins de deux secondes, sans même un "merci". Pensant avoir blessé l'égo de l'homme devant elle, la fillette arborait un air satisfait. Ce qu'elle n'avait pas prévu, c'est que la friandise soit en fait un somnifère, qui l'emporta dans les bras de Morphée en moins d'une minute. L'homme porta la jeune fille jusqu'à sa voiture, la déposa dans le coffre, s'installa dans le siège du passager, et demanda à la femme au volant d'avancer.
"Une vraie tragédie", dit-on. "La pauvre petite fille, adorable, toujours le sourire aux lèvres." Mon cul, ouais. Aucun adulte habitant au quartier de Sherwood, à Cork, ne pouvait supporter Chuck. Mais évidemment, dès qu'une caméra pointe le bout de son nez, il faut absolument passer devant. C'est ainsi que des dizaines de témoignages aussi faux les uns que les autres affluèrent sur internet et dans les journaux télévisés. Charlotte Bryce Buckley était une enfant de cinq ans, heureuse de vivre. Elle aimait jouer avec les Barbies (elle les décapitait, oui), son jeu préféré, c'était organiser des dînettes avec ses amis... Une voisine avait même prétendu que son fils, du même âge, était son "petit-ami". Benjamin et Serena étaient tous les deux outrés de tous les mensonges qui affluaient sur leur petite fille, mais ils étaient bien trop dévastés pour protester. Chuck avait beau être autoritaire et sadique envers eux, elle restait le fruit de leurs entrailles, et une vie sans elle semblait absolument impossible. Ils suivirent donc les conseils qu'on leur offrit : ils passèrent à la télé tous les jours, pour supplier ses agresseurs de faire preuve de pitié, ils firent placarder des affiches de leur fille partout, on retrouvait la tête de l'enfant dans tous les coins de rues, dans pratiquement chaque pays qui recouvrait ce monde, des centaines de reportages furent réalisés, tous les journaux, magazines en parlaient. Même quelques célébrités et politiciens très fortunés offrirent de l'argent aux Buckley, officiellement pour les aider à trouver Chuck, officieusement, pour se faire encore plus aimer du public.
Charlotte Buckley était devenue un phénomène international. On en entendait parler au Japon, en France, en Indonésie, au Maroc, en Afrique du Sud... Tous et toutes se demandaient comment quelqu'un dans ce monde pouvait se montrer aussi peu compatissant pour kidnapper une enfant aussi "adorable". Pendant ce temps, Chuck ne vivait certainement pas les meilleurs moments de sa vie. D'abord emmenée par un couple de malfrats qui avaient pour but d'extorquer de l'argent à la famille, la situation devint encore plus critique lorsque Oli Juergens, l'homme qui l'avait emmenée, tomba follement amoureux d'elle. Il aimait son caractère bien trempé, son manque de peur, les nombreux bleus et morsures qu'elle lui avait laissés sur le corps montraient bien qu'elle n'avait pas l'intention de se laisser faire, et en dix-neuf années de kidnapping d'enfants, il n'avait jamais rencontré de petite fille aussi jolie. Il laissa donc tomber son plan principal, qui était de remplir son porte-monnaie avec l'argent des Buckley, et décida de garder la petite Chuck avec lui. Son épouse, Tallulah, était évidemment contre cette idée. Résultat des courses : son corps inerte fut retrouvé dans une poubelle quelques jours plus tard. Oli déguerpit alors de l'Éire, dans sa voiture grise toute moisie, l'enfant dans le coffre, et conduit jusqu'en Irlande du Nord. On dit qu'il prit alors un bateau jusqu'en Angleterre, pour finir à Londres après de nombreuses heures de routes dans une camionnette volée. Vous voyez ces nombreuses séries et films qui se passent à Londres ? Cette ville magnifique, pleine de cupcakes et de riches anglais très beaux ? Eh bien c'est loin de cette vie que la petite Charlotte se trouvait. Séquestrée dans un petit appartement du quartier de Belligham, elle vivait les pires moments de son existence. À chaque fois que son agresseur sortait, il l'immobilisait sur une chaise, en l'enroulant avec une corde qui attachait ses bras et ses pieds et plaçait un scotch très épais sur la bouche de la petite fille. Croyez-le ou non, c'était pendant ces moments qu'elle était enfin soulagée. Parce que quand Oli revenait, il ne s'amusait pas à jouer au Scrabble ou à regarder la télé, il la violait.
Cette horreur dura deux longues années. Deux ans pendant lesquels Chuck se faisait battre, en plus d'être abusée sexuellement. L'enfer se termina un jour de mai. La petite fille avait convaincu Oli de l'emmener au MacDonald's au coin de la rue pour son anniversaire, qui se confondait étrangement avec le jour de noël. Alors qu'ils faisaient la queue pour un double cheeseburger et un menu enfant avec un jouet garçon, un petit bonhomme la reconnu. Elle était, certes, un peu plus âgée que dans les photos, elle paraissait beaucoup moins forte aussi, plus fragile, fatiguée, et mal habillée, mais c'était bien elle, le phénomène international. Il se mit alors à crier, il engueulait l'agresseur de la petite fille qui n'avait qu'un an de moins que lui. Il le traita de "vilain voleur", lui donna des coups de pieds, le mordit, puis attrapa la main de Chuck, et s'enfuit en courant. Pendant plusieurs années, ce garçon fut appelé un Héros. D'ailleurs, je suis sûre que c'est toujours le cas. Toute la scène avait été filmée : le jour où Charlotte Buckley avait enfin été sauvée. On diffusa la vidéo partout dans le monde. La pauvre enfant pouvait enfin rentrer chez elle. Et Oli, qu'est-ce qu'il est devenu à votre avis ? Eh bien c'est simple, après avoir remarqué que sa vie était fichue, il attrapa un revolver et s'explosa la cervelle dans les toilettes d'un café pourri. Beaucoup de policiers ont râlé quand ils l'ont appris, ils auraient voulu le tuer de leurs propres mains. Mais l'important, c'était qu'à ce moment, Chuck était saine et sauve. Enfin, pas exactement. Elle avait perdu sa virginité, avait attrapé une MST alors qu'elle était seulement âgée de sept ans... Pas si saine que ça la petite.
Le soir même de la scène au McDo, l'héritière des Buckley était très traumatisée. Elle ne parlait à personne, ne voulait pas regarder qui que ce soit dans les yeux. Après une longue nuit de sommeil, elle se réveilla, un sourire sadique sur les lèvres. Elle alla voir ses parents qui étaient en train de déguster leur petit déjeuner, ils arboraient un air soulagé, heureux. Elle sauta sur les genoux de sa mère, avala la tartine à la confiture qui était posée sur la table, et commença à parler, la bouche absolument pleine.
« Maman, Ursula m'a laissée toute seule hier, et elle a démissionné sans vous attendre, vous devez la poursuivre en justice. »
Et voilà, deux longues années, complètement envolées de la mémoire de la petite fille. Évidemment, on lui raconta tout. Elle avait du mal à y croire, mais en regardant tous les reportages à la télévision, elle finit par s'y résigner : elle avait été kidnappée, et ne s'en souvenait pas du tout. Alors que tout le voisinage se montrait compatissant, en apportant des gâteaux et autres confiseries, elle, ayant une sainte horreur de la pitié, leur jetait leurs petits cadeaux dessus. Enfin, sauf la Game Boy que Mme Hobbart lui avait offert. La fillette voulait à tout prix montrer à tous et à toutes que sa séquestration ne l'avait pas rendue adorable, elle était toujours aussi insupportable. Mais quelques petits détails avaient changés... Plus personne n'avait le droit de l'appelait Chuck. À chaque fois qu'on la surnommait ainsi, elle piquait une crise de nerf. On se doutait que c'était en raison de l'horreur qu'elle avait vécue. Peut-être que Oli Juergens l'appelait Chuck souvent, alors qu'il abusait d'elle. Elle se trouva donc un nouveau surnom : Charlie. Parce que Charlotte, c'était vraiment trop moche. Clairement, son caractère de chien excentrique n'avait pas absolument pas été modifié, mais ce n'était plus Chuck Buckley, la petite voisine folle, c'était Charlie Buckley, la pauvre petite voisine folle.
Avec les années, les choses ne se sont pas arrangées. Certes, les émissions de télé sur sa petite personne avaient cessées, les journalistes ne venaient plus l'accabler de questions dont elle ne connaissait pas les réponses, mais les habitants de Sherwood ont continué à penser que le fait que Charlie soit Charlie était dû à sa séquestration. Elle avait beau provoquer les gens, leur crier dessus, les faire chier à un point pas croyable, personne n'osait se défendre. Si c'était sa supériorité qui forçait les gens à se taire, ça l'aurait sûrement satisfaite. Mais là, la seule raison à ce manque de réaction, c'était la pitié qu'elle inspirait à tous et à toutes. L'entièreté de son enfance a été incroyablement ennuyeuse. Elle n'avait plus besoin de faire de chantage à ses parents (qui, d'ailleurs, avaient arrêté la drogue et s'étaient mis à travailler comme des gens normaux) pour obtenir des jouets, elle n'avait plus à frapper ses petits voisins pour obtenir leurs services, la maison était toujours pleine de chocolat... Les Buckley se sentaient tellement coupables qu'ils n'essayaient même plus de protester contre leur fille. Elle était devenue la chose la plus importante à leurs yeux, et jamais plus ils ne pensèrent de leur fille qu'elle était cinglée. Cette situation énervait vraiment Charlie, qui ne se sentait absolument pas "traumatisée" par ce qui lui était arrivé, et pour cause, elle n'en avait aucun souvenir. Tout ce qu'elle savait, c'était ce que les gens lui avaient dit. Et pour être honnête, elle s'en foutait royalement.
Lorsqu'elle entra dans sa période d'adolescence, elle parvint, on ne sait comment, à faire en sorte que les gens la voient et la traitent comme elle était avant. Elle commença à se balader nue à Cork, à s'essayer à toutes sortes de drogues, acheter des films pornos. Les seuls à être toujours aussi gentils à son égard, c'étaient ses parents. Jamais ils ne pourraient se pardonner d'avoir laissé leur petite fille sous la responsabilité d'un nounou pour aller en boîte de nuit. La catastrophe leur avait foutu un énorme coup de pied dans les fesses, et ils avaient gagné énormément en maturité en seulement quelques semaines. Charlie, elle, commençait à agir comme toute adolescente "normale" : fumer, boire, faire la fête... Après quelques mauvaises expériences avec les hommes, elle se tourna vers le sexe féminin. Non, non, ce n'était pas parce que les hommes l'avaient dégoûtée, c'était plutôt parce que les seins des filles l'intéressaient beaucoup plus que le gros bâton qui sortait de l'entre-jambes de ces messieurs. Les gens pensèrent que ça n'était qu'une phase. Certains se dirent qu'elle était bisexuelle. Mais aucun des deux cas ne se révéla être vrai. Après avoir goûté aux femmes, jamais plus elle ne se tourna vers les hommes.
Vers l'âge de seize ans, elle tomba follement amoureuse de l'une de ses meilleures amies. Après presque un an de relation très très très ambigüe, l'autre finit par faire le premier pas. Elles vécurent deux mois de pure folie, entre bonheur, sexe, drogues... Afin de faire taire les rumeurs sur la bisexualité, la brune enregistra une vidéo de sexe entre elle et sa copine, et l'envoya à tout le voisinage, accompagnée un mot disant "I AM GAY". Dès lors, on commença à prendre son orientation sexuelle au sérieux. Certains racontèrent que sa séquestration l'avait rendue complètement immunisée aux hommes, d'autres dirent qu'elle avait été corrompue par le Diable. Les plus religieux d'entre eux allèrent proposer aux Buckley d'envoyer leur fille dans un "camp de remise sur le droit chemin". Évidemment, ils se firent engueuler par Ben et Serena, qui étaient très fiers de leur fille, et qui l'aimaient comme elle était. Oui, les choses avaient bien changé en quelques années. On découvrit son talent lorsqu'elle atteint ses dix-sept ans. Depuis plusieurs années déjà, elle jouait de la guitare, chantait, mais personne ne s'était jamais intéressé à cela, ils pensaient tous que c'était la même chose qu'avec son xylophone, en clair, une torture auditive.
Lorsqu'on l'acclama d'une standing ovation lors de sa première représentation, elle décida qu'elle devait faire quelque chose de son talent. On pourrait penser qu'en grandissant, elle n'y penserait plus, mais plus les années passaient, plus elle le voulait. À la surprise de tout de monde, la brune obtenu un score exemplaire à son examen de fin d'études, l'un des meilleurs de sa promotion. Ce qu'elle fit après ne surprit absolument personne : elle n'alla pas à l'université. Ayant décidé qu'elle avait assez de talent pour percer dans le monde du travail sans études, elle enchaîna audition sur audition, sans mentionner les concerts dans les bars miteux. Elle passa deux ans à vagabonder en Grande Bretagne, espérant se faire repérer par un quelconque agent, ce qui n'arriva malheureusement pas. De retour à Cork, elle discuta avec certaines personnes, des anciens professeurs, des amis à ses parents, et tous avaient eu le même conseil : Pour percer dans le monde de la musique, il faut qu'elle prenne des cours. Dès lors, bye bye la pauvre Charlie qui se baladait à la recherche d'un agent, elle décida que c'étaient les agents qui devaient venir à elle, et quel meilleur endroit qu'une université pour tout apprendre sur l'art de la musique et se faire repérer ?
Dans le but de se vanter, elle envoya son dossier aux plus grandes écoles américaines, le Royaume Uni était devenu bien trop démodé pour elle. Harvard, Stanford, Yale, Julliard, Berkeley, NYU, MIT, Princeton, Colombia... Chacune d'elle lui renvoya une réponse positive. Elle recevait ces lettres de félicitations les unes après les autres. Lorsqu'on la voyait brandir fièrement ses badges à l'effigie des meilleures universités du monde, on la félicitait. Seulement, les gens se montraient hypocrites. Tous et toutes pensaient que tout cela venait de la pitié des responsables des admissions envers la petite fille qui avait été kidnappée il y a plusieurs années. Quand Charlie l'apprit, elle téléphona à ceux qui l'avaient acceptée pour vérifier les rumeurs. Lorsque chacun d'eux approuva honteusement les dires de ses voisins, elle ne leur épargnait pas son lot d'insultes. Seule une seule université refusa d'avouer. Au début, elle pensait que c'était un moyen de couvrir leurs arrières, peut-être avaient-ils été prévenus par les autres. Mais elle découvrit rapidement que le responsable des admissions de Fordham n'avait en réalité jamais entendu parler de son kidnapping. Heureuse d'avoir été acceptée quelque part pour ses capacité, et non son passé, elle ne réfléchit pas à deux fois avant de faire ses valises. Voici comment la jeune Charlie Buckley, 20 ans, toutes ses dents, un tempérament unique, une folie incroyable et un accent irlandais incroyablement sexy débarqua dans la plus grande ville des États-Unis, le monde à ses pieds.
Signe(s) particulier(s) :
/
Orientation Sexuelle :
Homosexuelle.
Citation favorite :
« L'amour, c'est une grosse merde qui te reste coincé dans le cul toute ta putain de vie. »
« BEHIND THE COMPUTER »
Pseudo : BloodycooKie Âge : 16 ans. Comment as-tu connu ce forum ? : écrire ici. Ton avis (design, contexte, ...) : Magnifique design, des membres actifs, un forum bien construit en général. Présence sur le forum : 4/7 Autre(s) compte(s) : // Exemple de RP :
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Je ne suis pas réellement.... méchante. On va juste dire que j'aime bien m'amuser avec les sentiments des gens. À vrai dire, la seule raison pour laquelle j'agis de la manière dont je le fais, c'est pour rigoler. Une journée sans amusement est une mauvaise journée. J'ai besoin de rire, de me moquer. Jee l'avoue, je suis un peu beaucoup sadique. Certains qualifient cela comme un défaut, moi je pense que cela devrait être qualifié de goût, et non pas de caractère. Pensez-y une seconde. Certains aiment avoir mal, les sado-masos. D'autres s'amuse avec de la musique, des livres, la télévision, des amis. Personnellement, ma source de rigolade vient du malheur des gens, et cela ne devrait pas être pris d'une mauvaise manière. Personne ne se plaint lorsque vous dites aimer jouer du piano. Alors pourquoi, lorsque je mentionne mes tendances sadiques, me regarde-t-on d'un mauvais œil ? Anyway, c'est les êtres vivants, tous des connards. Ils jugent, mais au fond, il sont très hypocrites. Revenons sur mes moqueries. J'aime voir les autres tristes, malheureux, énervés. J'éclate de rire lorsque quelqu'un se blesse, je suis hilare lorsqu'un personnage meure à la télévision. Et, j'avoue que parfois, par ennuie, il m'arrive de causer le malheur des gens. Bon, peut-être un peu plus que "parfois", mais la vie à HoN est vraiment bo-ring. Je suis égoïste, je ne le cache pas. Je fait passer mon amusement avant le bonheur des autres. Je suis même prête à massacrer celui-ci pour rigoler un petit coup. Pourquoi je vous raconte tout ça ? Parce que, étonnamment, en ce moment exact, devant Jane McCane, je n'avais pas envie d'être méchante. Je dirai même qu'il me venait une envie étrange d'aller lui présenter mes condoléances. Mais, comme vous pouvez le deviner, je n'allais pas le faire. Imaginez un peu. Déjà, je ne sais vraiment pas comment faire la tête d'une gentille. Les seules mimiques que je connaisses, c'est celles que j'utilise quand je me moque, quand je suis énervée et quand j'ai une envie d'être sournoise et sadique. Les autres, les têtes compatissantes, il m'était impossible de les faire. Bon, il ne faut pas exagérer, je suis quand même plutôt forte en théâtre, mais lorsque je ne dois pas le faire pour des notes, mon visage ne connaît que ces têtes de méchantes. Si j'essayais de faire la gentille, elle n'y croirait pas, je ferai sûrement un grimace étrange. Alors à la place, je me suis contentée d'aspirer encore un petit peu de ma cigarette à la menthe. D'ailleurs, sans m'en rendre compte, j'avais pris un petit peu trop de taffs. Il ne me restait que très peu à fumer. Je n'aime pas le goût d'une cigarette vers sa fin. Je m'avança vers l'un des casier, je le tira, et écrasa ce qu'il restait de ma Marlboro Menthol sur le corps d'un de ces pauvres idiots qui avait rejeté la transformation.
« Tarzan et Jane, pas mal, tu en as d’autres ? »
Sans prendre la peine de refermer le réfrigérateur qui contenait le mort, je m'assis sur le sol, je sorti une nouvelle cigarette. Je ne pensa même pas une seule seconde à la réponse que je lui devais. D'ailleurs, pourquoi lui répondre ? J'aurai pu rester des heures en train de me demander ce que j'aurai pu lui dire pour que mes mots ne paraissent ni trop méchants, ni trop gentils. Mais vous me connaissez, je ne réfléchis jamais à ce que je dis. Je suis l'une de ces connes qui parle sans retourner sa langue dans sa bouche avant. Celle qui raconte souvent des secrets, sans le vouloir. Pourtant, je ne m'en veux jamais, parce que j'arrive toujours à tourner le problème à mon avantage. Alors à ce moment là, une cigarette dans ma main droite, et mon briquet en argent dans l'autre, la seule chose que me traversa l'esprit, c'est que cette odeur de menthe était décidément addictive. Comment s'arrêter une fois avoir commencé. Si vous voulez un conseil, ne fumez pas. Moi, cela me convient tout à fait, je suis faite pour fumer, alors que les autres, non. Vous êtes vous déjà demandé comment la cigarette a été créée ? Dans certaines pubs anti-tabagisme, on raconte que certaines personnes haut placées dans le gouvernement avaient décidé de nous faire avaler les déchets de la Terre, pour la purifier. C'est peut-être vrai. Personnellement, je crois que c'est l'œuvre d'un bâtard de fermier sadique. Il a découvert que dans son champ, de la nicotine poussait, donc il a décidé d'en faire quelque chose qui lui apporterait de l'argent. Les gens fumaient bien des pipes, alors pourquoi pas des cigarettes ? Je crois que si j'avais été une fermière il y a quelques décennies, j'aurai pu inventer la cigarette. Remember, je suis sadique. Je sais, j'ai l'air contradictoire, je dis que j'aime la cigarette, puis une seconde plus tard, je parle du fait qu'elle puisse facilement nuire aux gens. Bon, peut-être que je suis masochiste finalement. Il y a une citation que j'ai toujours aimée "You all smoke to enjoy it, I smoke to die". Pour ceux qui ne comprennent pas l'anglais, ça signifie "Vous fumez tous parce que vous aimez ça, moi je fume pour mourir". Elle s'applique probablement à moi, ou en tout cas, les gens qui me haïssent aimeraient bien que ça soit le cas. Dommage pour eux, le corps des vampires est très résistant, et il se régénère à une vitesse incroyable, alors je ne peux pas mourir d'un cancer. J'ai appris cela en Biologie Vampirique. Qui aurait cru qu'un cours me passionnerait autant, surtout avec un prof aussi cinglé... Vous voyez, mon cerveau marche vraiment d'une façon étrange. Je pense à beaucoup de choses inutile, et ce, en seulement quelques secondes. Vous voulez en avoir la preuve ? Seulement quelques secondes après la remarque de Jane McCane, ma réponse fusa, sans que je ne m'en rende compte.
« Plein d'autres, mais tu ne les aimerais pas. »
Lorsque je me suis rendue compte de la gentillesse de ma phrase, mon cerveau commença à envoyer des signaux à ma bouche, pour lui ordonner d'être méchante, pour lui faire dire des choses cruelles et insensées, comme celles que je dis très souvent. Je n'essaye pas de me justifier par la folie, je suis insupportable, je suis méchante. Je plaide coupable pour toutes les conneries et cruautés que j'ai pu dire dans ma vie, parce que j'en suis responsable, et rien ni personne d'autre ne pourra me faire dire le contraire. À l'époque où j'étais encore humaine, mes grands parents avaient été forcés de m'envoyer voir un psychologue, après le "suicide" de ma mère. Après plusieurs années et des centaines de séances, il a fini par dire qu'il m'avait cernée. Je ne me suis jamais comprise moi même, alors comment avait-il pu y parvenir ? Jamais je n'eus de réponse. Il avait dit ça à la fin de notre dernière séance. Il m'avait dit qu'il expliquerai tout la prochaine fois. Il n'y eu jamais de prochaine fois. Le lendemain, un bus lui rentra dedans, et il décéda sur le coup. Encore une fois, la malchance m'avait rattrapée. Décidément, la mort me suis comme une sale pute. Vous voyez ? Mes pensées ont divergé, pour la seconde fois de suite en même pas une minute. En attendant, ma bouche avait continué son putain de speech, tout en aspirant des taffs de ma Marlboro Menthol de temps en temps.
« Alors comme ça, un autre petit con est mort ? J'ai dû en entendre parler, mais qu'est-ce que je m'en fous, honnêtement ? Donc, qu'est-ce tu fous là, à part sucer le sang d'un mort ? »
Code du règlement :
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OK PAR TOFFEE.
« I'M SO BEAUTIFUL »
Dernière édition par Charlie B. Buckley le Lun 26 Juil - 10:44, édité 17 fois
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Sujet: Re: BUCKLEY - Do you want a lollipop ? (done) Dim 25 Juil - 8:27
Il a servi à rien ce second post finalement Comme on dit, mieux vaut prévenir que guérir (a) :red:
Dernière édition par Charlie B. Buckley le Lun 26 Juil - 10:50, édité 1 fois
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Sujet: Re: BUCKLEY - Do you want a lollipop ? (done) Dim 25 Juil - 9:51
Sujet: Re: BUCKLEY - Do you want a lollipop ? (done) Dim 25 Juil - 10:49
Bienvenue
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Sujet: Re: BUCKLEY - Do you want a lollipop ? (done) Dim 25 Juil - 12:01
Ouelcomeuuuuh!!! :gaby: Ton avatar est sublime
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Sujet: Re: BUCKLEY - Do you want a lollipop ? (done) Dim 25 Juil - 13:38
Bienvenue miss, bon courage pour ta fiche!
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Sujet: Re: BUCKLEY - Do you want a lollipop ? (done) Dim 25 Juil - 13:38
wééélcome
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Sujet: Re: BUCKLEY - Do you want a lollipop ? (done) Dim 25 Juil - 15:29
Bienvenue à toi & bonne continuation pour ta fiche. Je valide le code du règlement qui est bon. (:
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Sujet: Re: BUCKLEY - Do you want a lollipop ? (done) Dim 25 Juil - 15:33
Merci énormément à tous Oui, Shay est sublime (a) Merci beaucoup du compliment Lise Il est de moi et je ne fais pas de graphisme depuis longtemps, donc ça fait très très plaisir
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Sujet: Re: BUCKLEY - Do you want a lollipop ? (done) Dim 25 Juil - 15:38
Bienvenue sur le forum
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Sujet: Re: BUCKLEY - Do you want a lollipop ? (done) Dim 25 Juil - 18:06
Shay la plus belle de PLL Bienvenue parmi nous && Bonne continuation.
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Sujet: Re: BUCKLEY - Do you want a lollipop ? (done) Dim 25 Juil - 20:33
J'adore le prénom que tu as choisie Bienvenue parmi nous.
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Sujet: Re: BUCKLEY - Do you want a lollipop ? (done) Dim 25 Juil - 20:35
Emily ! Bienvenue parmi nous ! Il faudra voir pour ton avatar, l'hébergeur a pas apprécié le hotlink apparemment...
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Sujet: Re: BUCKLEY - Do you want a lollipop ? (done) Dim 25 Juil - 23:14
Merci tout le monde Ce n'était pas vraiment le hotlink Gabrielle, j'ai juste uploadé trop d'images, ce qui a causé à mes 1800 avatars postés sur Bazzart à être remplacés par cette image T_T J'ai réglé le problème pour quelques unes, comme pour mon avatar ici, mais tous le reste restera bloqué jusqu'en août. Enfin bref, j'arrête de raconter ma vie, et je me mets à ma fiche XD.
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Sujet: Re: BUCKLEY - Do you want a lollipop ? (done) Lun 26 Juil - 14:13
Aoutch, ça fait bien chier pour ça, je compatis. Bon, à part quelques passages frôlant vraiment l'irréalisme dans ton histoire, cela me semble bon.
Validée N'oublie pas de voter pour NYCL sur les top sites & un système de parrainage a été mit en place pour faciliter l'intégration pour plus d'infos' n'hésite pas à me Mpotter ou à consulter ici partie parrainage Pour ce qui est des TOP SITES voter sur celui-ci est vachement conseillé (a)
HAVE FUN
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Sujet: Re: BUCKLEY - Do you want a lollipop ? (done) Lun 26 Juil - 17:43
Bienvenue ! Un petit lien entre irlandaise ?
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Sujet: Re: BUCKLEY - Do you want a lollipop ? (done) Lun 26 Juil - 19:26
Merci beaucoup pour la validation Gabrielle (a) Pour l'irréalisme, tu parles du kidnapping ? De l'amnésie ? Ou de quelque chose d'autre ? Parce que j'ai fais quelques recherches, et apparemment, le premier engendre souvent le second. Enfin, je peux aussi me gourer, avec internet, on peut jamais être sûr XD
Merci Rosheen, et pour le lien, ce sera avec plaisir (a)
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Sujet: Re: BUCKLEY - Do you want a lollipop ? (done)
BUCKLEY - Do you want a lollipop ? (done)
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