Samuel Austen Ward - Ecrivain Flingué, Junkie littéraire
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Empire State of Mind
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Sujet: Samuel Austen Ward - Ecrivain Flingué, Junkie littéraire Mer 28 Juil - 0:01
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« Samuel Austen Ward » Feat. Gabriel Seibel
Âge : 20 ans Date & Lieu de naissance : 20 mai à New York City Groupe : Studieux UFR : 1 Étude : Lettres classiques Prédéfini ou Inventé : inventé.
Sweet about me :
« MORE ABOUT MY PERFECTION »
Physique & Style :
Si on demandait l‘avis de ce garçon aux grands yeux bruns, il vous répondrait, en repoussant une mèche de ces cheveux qui lui tombent sur les yeux : « tout ça est surfait » . C‘est l‘avis d‘un être au visage féminin, dont le grain de beauté à la Marylin Monroe (d‘autres vous diront Cindy Crawford), l‘a complexé si longtemps qu‘il n‘en sortait plus de chez lui. Un garçon au teint de pêche et aux lèvres appétissantes qui tente de se cacher derrière bonnets, casquettes, foulards et écharpes dès que le temps s‘y prête. Un dandy des temps modernes, pourrait-on l‘appeler si l‘audace s‘y prêtait et si, surtout, il avait eu le porte monnaie adéquat. Ça n‘est pas le cas et ses vêtements ne témoignent pas d‘un style particulier. Ils ont pourtant l‘air de toujours lui aller, rehaussant encore ce coté féminin dont il voudrait se débarrasser. Sa voix, pourtant, étonne souvent. Grave et fluide, il n‘a pas besoin de hausser la voix pour se faire entendre, de part l‘articulation parfaite qui le caractérise depuis l‘enfance et quand à sa taille et bien il n‘est ni plus ni moins que dans la moyenne, avec son mètre quatre-vingt quatre pour une taille plutôt fine, si vous voulez son avis..
Caractère :
Paradoxal, le caractère. Un mélange violent de passion et de flegme. Passion, pour tout ce qui caractérise la littérature, son sujet favori. Ovide, Virgile, il les connaît par cœur et ne s‘intéresse qu‘à peu d‘autres choses. Si il peut se payer ses études dans la célèbre Fordham, c‘est parce qu‘il a obtenu une bourse, étant arrivé meilleur élève de sa promotion avec les félicitations du jury. Il est donc bon élève, étudiant comme il respire et lisant la plupart du temps. Si il paraît la plupart du temps inaccessible la plupart du temps, il peut lui arriver de sortir la tête de ses livres, dans le cadre d‘exposés scolaires, par exemple. Ayant sombré dans la nicotine depuis l‘adolescence, il n‘est pas rare de le voir avec une cigarette au coin des lèvres
Histoire :
Issu d‘un père anglais, majordome dans un hôtel situé sur la cinquième avenue et d‘une mère chauffeur de taxi, Samuel est le fils cadet d‘une famille de trois enfants. L‘aînée, une blondinette nommée Chloé, a toujours considéré son frère comme sa poupée. Le second, appelé Benjamin (et étant, justement, le benjamin de la famille), est une petite brute analphabète fanatique de sports de combats et de filles à forte poitrine. Dernier né de cet embrouillamini illogique qu’est sa famille, notre jeune homme a passé son enfance à essayer de fuir le maquillage de sa sœur et les cours de boxe de son frère. Une vie de famille plutôt banale en somme, brillant par l’absence non voulue des parents, victimes de leurs horaires compliquées et de leurs salaires indécents. Peu étonnant que notre personnage ait développé un goût presque névrotique pour la littérature, lieu de refuge aussi confortable qu’un lit King Size. A six ans, Samuel composait déjà des poèmes inspiré de ses auteurs favoris, qui n’étaient alors que de vulgaires auteurs de contes pour enfants. Ses origines anglaises l’ont longtemps fait espérer être issu de Shakespeare ou de Lord Byron, mais à l’adolescence, il s’est rapidement fait ramener à la réalité lorsqu’un rustre du nom de Harold Snedermann s’est permit de balancer son essai littéraire demandé par miss Roitfeld dans la flaque sale qui jonchait le muret de la court de récré. Arrivé en secondaire, notre petit jeune homme s’est mis à attirer les regards féminins, mais dans le regard de ces filles, il ne voyait que le reflet des peignes terrifiants de sa sœur, laquelle est d’ailleurs devenue esthéticienne. Pourtant, deux ou trois parmi elles ont retenues son attention. Une lueur dans les yeux, une couleur de verni à ongles et déjà notre Samuel était amoureux, écrivait des poèmes en vers et en prose et songeait que l’existence n’avait plus de sens sans le regard de celle pour laquelle battait son cœur… Qui souvent, deux ou trois semaines plus tard, retombait dans l’habituel flegme qui le caractérisait. Au niveau des garçons et bien, il est parfaitement à l’aise au milieu d’eux. Certes moins musclé et moins sportif que la plupart des camarades avec lesquels il a évolué, il aime ses amis pour leur sens de l’humour particulier ou la façon qu’ils ont de le défendre contre un devoir rendu. Un échange de bons procédés, en somme.
Signe(s) particulier(s) :
Un grain de beauté au dessus de la lèvre, à droite.
Orientation Sexuelle :
veuillez décrire brièvement à la place de ce texte l'orientation sexuelle de votre personnage.
Citation favorite :
« Quand le grand méchant loup vous attends dans les bois, faut rester loin des bois »
« BEHIND THE COMPUTER »
Prénom : Raph Âge : 19 Comment as-tu connu ce forum ? : Partenariat Ton avis (design, contexte, ...) : Design sympa, très girly Présence sur le forum : Autant que possible Autre(s) compte(s) : Nope Exemple de RP :
Spoiler:
« Home Sweet Home ». Celui qui avait écrit ça était vraiment un crétin. Un con. Un abruti. Un putain d’utopiste de merd… Enfin bref. Cette phrase n’était faite que pour décorer les paillassons. Sinon, il ne sera pas dehors. Non mais, regardez un peu comme il était fringué. Même au Centre, il n’avait pas été aussi négligé. Même dans ses pires moments. Non, là, c’était comme si il était arrivé à leur niveau, à tous. Comme si sa perfection naturelle (sans modestie aucune, il fallait reconnaître les faits), avait été engloutie par la saleté de cette ville. Ses cheveux auraient besoin d’une bonne coupe et son corps, de vêtements convenables. Il fallait qu’il fasse quelque chose. Finir tel le pouilleux n’était pas une fin envisageable. Il venait de passer une heure sur les marches d’une vieille maison, avant d’admettre qu’on lui avait planté un lapin. Pas de coup juteux pour le petit Steinbeck. Rien qu’un sale et froid trottoir, à croire qu’il n’était même plus assez bon pour revendre quoi que ce soit aux gosses de riches. C’était vraiment dégueulasse. D’une main nerveuse, il repoussa les cheveux qui lui tombaient sur le visage, avant de sortir un paquet de cigarettes de sa poche. Un des plaisirs qu’il s’était offert avec l’argent de l’état. C’était con de tout gaspiller en consommables, mais franchement, il en avait besoin.
Son visage d’ange paraissait pour le moins torturé. Un poète maudit, c’est-ce qu’aurait cru toute personne un tantinet cultivée qui serait passée dans les parages. Un pauvre garçon d’une incroyable beauté, égaré dans ces quartiers malfamés et qu’il fallait sortir de là. Tiens, c’était une bonne idée, ça : il était temps de retourner au royaume des sangs bleus histoire de redémarrer en beauté. Il se leva et entreprit de marcher en direction de la baraque de son père. Il allait se changer, se coiffer, s’habiller plus correctement. Il allait passer l’après midi à séduire et la soirée dans de beaux draps. Tel était le plan. Retroussant ses manches dans la perspective d’une meilleure apparence, il entreprit d’arpenter les rues obscures du quartier qu’il connaissait comme sa poche, lorsqu’on l’interpella :
« Regardez-moi ça. Je pensais que tu avais disparu de cette planète Steinbeck ! »
Une voix féminine qui lui fit lever la tête. Plus de morigénations intérieures, le jeune homme dirigea son regard vers celle qui l’interpella. Avouons le franchement, il lui fallu quelques secondes pour reconnaître Olympia. Mais en dépit des cheveux plus longs et des vêtements autrement plus féminins qu’autrefois, celle avec laquelle il avait passé les plus longues heures de sa « jeunesse » était bien là. Prenant soin de dissimuler l’intérêt qu’elle lui inspirait, il la regarda d’un air admiratif alors qu’elle se dirigeait vers lui… Pour le dépasser.
Amusant.
« Pas un p’tit baiser pour fêter nos retrouvailles, Ollie? » cria-t-il sans se retourner, alors qu’il entendait les pas s’éloigner. Mais elle ne s’arrêtait pas et ne se retournait pas. Avouons le, Steinbeck eut un instant la crainte que son pouvoir de séduction ait décrut durant ses années d’enfermement… Imaginez plutôt l’horreur : tout ce temps passé enfermé avec d’autres mecs. Il n’avait pas vraiment eu le temps de cultiver son potentiel… Que faire. Continuer sa route en direction de son objectif de l’après midi, où, au contraire, suivre la jeune femme qu’il n’avait pas vue depuis si longtemps? Le choix fut vite fait. D’un pas rapide, il la rattrapa facilement. L’air contrit, il abandonna sa cigarette sur le trottoir et glissa les mains dans les poches. Tout en se plaçant à coté d’elle, comme si ils étaient deux vieux amis quittés la veille.
Ce qu’il lui voulait? Il n’en avait, pour le moment, aucune idée. Il fallait déjà qu’il sache ce qu’il pouvait avoir.
« Non, tu ne t’arrêtes vraiment pas? T’as un train à prendre ou un truc du genre? Tu t’arrêtais toujours, avant… Mais, bon. J’imagine que les gens changent ».
Elle continuait à marcher, en plein dénit de sa personne, visiblement. Qu’est-ce qu’il lui avait fait, déjà? Enfin, sérieusement, quoi que ça ait pu être, elle n’était sûrement pas sa pire victime. Quand bien même, sans doute fallait-il qu’il garde pour lui cette réflexion.
« Allez, Olympia… Où plutôt, devrais-je dire, princesse Ollie? Tu t’imagines vraiment que je vais lâcher l’affaire comme ça? »
Il finit par lui attraper le poignet, la forçant ainsi à s’arrêter, pour venir se placer en face d’elle.
« Sérieusement, tu ne peux pas toujours m’en vouloir après tout ce temps, hein? Tu n’es pas contente de revoir ton vieil ami Paul? »
Ce dernier point n’était pas correct : des deux, elle était la plus agée. Mais passons. Paul attendit sa réponse. Assez distant pour ne pas la brusquer, sa main ne lâchait pourtant pas celle de la jeune femme, comme si il s'agissait d'une ancre qui lui était indispensable.
« Est-ce que ça irait mieux si je te disais que tu m'as manqué? »
Code du règlement :
Spoiler:
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« I'M SO BEAUTIFUL »
Dernière édition par Samuel Ward le Mer 28 Juil - 3:01, édité 5 fois
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Samuel Austen Ward - Ecrivain Flingué, Junkie littéraire Mer 28 Juil - 0:02
Quelqu'un pourrait m'expliquer comment je fais pour retrouver une mise en page convenable? Parce que je suis un looser en mise en page, moi =/
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Samuel Austen Ward - Ecrivain Flingué, Junkie littéraire Mer 28 Juil - 0:21
Bienvenue sur le forum!
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Samuel Austen Ward - Ecrivain Flingué, Junkie littéraire Mer 28 Juil - 0:22
J'aime le titre, c'est classe Bienvenue parmi nous
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Samuel Austen Ward - Ecrivain Flingué, Junkie littéraire Mer 28 Juil - 0:33
Bienvenue. Il faut vérifier que le HTML est bien activé, que ce soit dans ton profil, dans la catégorie préférences, que dans le message en lui-même, tout en bas. Je vais te demander de changer de prénom pour ton personnage car, comme noté dans le règlement, nous n'acceptons pas de doublons de prénoms avec les membres du staff et Thomas est l'un de nos modérateurs.
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Samuel Austen Ward - Ecrivain Flingué, Junkie littéraire Mer 28 Juil - 0:59
Bienvenue =)
Mackenzie J. Howard
Empire State of Mind
i love the ring of your name you're the yin to my yang
▌INSCRIT LE : 01/07/2010
▌MESSAGES : 20301
▌AGE DU PERSO : 23
▌ADRESSE : 6812 Beverley Road #104, Brooklyn. avec l'amour de sa vie.
Sujet: Re: Samuel Austen Ward - Ecrivain Flingué, Junkie littéraire Mer 28 Juil - 1:07
Un Littéraire Bienvenue !
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Samuel Austen Ward - Ecrivain Flingué, Junkie littéraire Mer 28 Juil - 1:14
Merci à tous! Ah oui, effectivement avec le HTML activé ma vie est beaucoup plus claire ! J'me demandais ce que vous vouliez dire par "doublons", jsuis pas très vif mais je change sur le champs. Par Samuel. J'espère qu'il y a pas d'autres Samuel, j'ai tchéqué mais on sait jamais.
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Samuel Austen Ward - Ecrivain Flingué, Junkie littéraire Mer 28 Juil - 2:48
Bienvenue sur le forum et bon courage pour ta fiche!
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Samuel Austen Ward - Ecrivain Flingué, Junkie littéraire Mer 28 Juil - 7:51
Bienvenue parmi nous C'est bon y a pas d'autre Samuel Et bonne continuation pour ta fiche
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Samuel Austen Ward - Ecrivain Flingué, Junkie littéraire Mer 28 Juil - 11:38
wééélcome
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Sujet: Re: Samuel Austen Ward - Ecrivain Flingué, Junkie littéraire
Samuel Austen Ward - Ecrivain Flingué, Junkie littéraire
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