Sujet: Calypso Hathaway (tadam !) Jeu 12 Aoû - 2:17
« Calypso Hathaway » Feat. Sadhana Som
Âge : 4 ans Date & Lieu de naissance : 3 juillet 2006 à Papeete (Tahiti) Groupe : Autres UFR : / Étude : / Prédéfini ou Inventé : Inventé
Sweet about me :
« MORE ABOUT MY PERFECTION »
Physique & Style :
Mon papa, il m'a toujours dit que le ressemblais à ma maman. Selon lui, j'avais hérité de ses yeux et de son sourire. Et à l'orphelinat où je suis restée un petit moment, beaucoup disais que je ressemblais à une petite indienne. Un peu comme Pocahontas, un dessin animé qu'ils m'avaient fait découvrir. Je suis une toute petite fille. J'ai la peau toujours bronzé, les cheveux châtains et longs, et les yeux marrons foncés. Tout le monde dit que je suis mignonne, je sais pas pourquoi ils disent ça tous. Ils me regardent parfois avec des yeux bizarres, comme s'ils allaient me manger toute crue. Des fois, ils me font presque peur. Je sais pas pourquoi, mais à chaque fois que je souris à quelqu'un, ce quelqu'un me sourit aussi. Mon sourire et ma joie de vivre doivent être contagieux. J'ai quelques petites tâches marrons, des grains de beauté ça s'appelle. June, elle m'habiller toujours très bien, avec pleins d'habits tous différents. De toutes façons, elle dit que tout me va bien. Ce que je préfère, c'est les robes, parce que quand je tourne sur moi-même, ça fait trop joli.
Caractère :
À voir la façon dont vous me regardez, j'ai le pressentiment que vous me prenez pour un bébé. J'ai 4 ans, je suis pas un bébé. Et puis je pense être très mature et intelligente pour mon âge. Ne pensez pas que je ne connais rien à la vie, je connais l'essentiel. Et quand on est petits, qu'on a pas de préjugés et qu'on est ouverts d'esprit, on comprend beaucoup plus de choses que les adultes. Je suis donc sûre et certaine de comprendre plus de choses que vous. Je ne suis pas timide du tout, et bien que j'ai vécu dans un monde plutôt sauvage et pratiquement qu'avec mon père, je suis très sociable, et je vais très facilement vers les autres. Je n'ai peur de rien. Ni des insectes, ni des animaux. Ni même des méchantes personnes sur lesquelles je pourrais tomber, il faudrait que June m'apprenne à me méfier des méchants bonhommes qui courent les rues. J'ai toujours le sourire pratiquement, j'ai une joie de vivre incroyable. J'aime beaucoup les câlins, et je suis très câline avec les autres. J'ai peur de devenir envahissante parfois, mais c'est pas grave.
Histoire :
Vous les adultes, vous croyez que les enfants ne comprennent rien. Et parce qu'ils parlent en zozotant, vous pensez qu'ils pensent en zozotant. C'est faux. Vous voyez moi, je pense très bien. C'est pas parce que j'ai seulement 4 ans que je suis une idiote, non mais oh. J'ai beau être petite, il y a un tas de choses que vous ignorez et que moi je sais. Vous savez, toutes ces choses les plus simples, que vous oubliez en grandissant. Comme par exemple que l'amour est ce que tout le monde devrait rechercher. L'amour d'une famille, d'un amoureux, d'un doudou. Mais vous les grandes personnes, vous êtes tellement stressés par votre travail, vos études, par l'argent, vous prenez tellement de plaisir à vous détruire les uns les autres, que vous passez à côté de la vie. Je pense bien hein vous avez vu ? Par contre j'ai encore du mal à m'exprimer correctement, alors toutes mes pensées restent à l'intérieur de moi. Vous avez de la chance, parce que sinon je passerais mes journées à vous faire la morale.
Je suis née où nombreux d'entre vous rêveraient de passer des vacances : Tahiti. Je ne me rappelle de rien. Ni de mon premier cri, ni des sages-femmes, ni même de ma mère. Mais mon père, Enzo, il m'a tout raconté. Ma mère est morte en me donnant la vie. Elle est partie au ciel. Mais mon papa me disait qu'elle nous regardait depuis là-haut, et qu'elle veillait sur nous. Tous les deux, on vivait sur un bateau, un voilier. On ne mettait le pied à terre qu'en cas de grande urgence, parce que mon papa il me disait que sur terre, il y avait des personnes qui lui voulait du mal. Mais vivre sur un voilier, c'était extraordinaire. Je me levai, et je prenais mon petit déjeuner en regardant les poisson nager à côté de nous. Je n'avais pas peur d'eux, j'essayais même de les toucher parfois, si bien que je suis tombée plusieurs fois à la mer. Je ne sais pas nager comme les grands, mais moi je nage comme les chiens. Et quand je tombais à l'eau, je réussissais à m'agripper à une bouée que mon père me jetais à chaque fois qu'il m'entendait tomber. La première fois que c'est arrivé, bien sûr il a plongé. Mais ça devenait tellement fréquent, qu'il m'a appris à me débrouiller, au cas où il ne pourrait pas venir me chercher dans l'eau. Il m'a appris à nager comme je le pouvais. Et je m'en suis plutôt bien sortie. Enfin disons que je tiens cinq minutes sans me noyer. Cinq minutes c'est long mine de rien, et ça me laisse toujours le temps de m'accrocher à ma bouée de secours. Quel âge j'avais à cette époque ? 3 ans. C'était il y a à peu près un an oui.
Quand vous avez vécu dans la vie sauvage dès votre naissance, vous n'avez plus peur de rien. Et même si cela vous parait incroyable que je puisse tomber à la mer et me débrouiller seule pour ne pas me noyer, c'est pourtant vrai. Je tuais même les araignées sauvages que nous rencontrions de temps en temps lorsque nous mettions le pied à terre. Et quand mon père pêchait des poissons, et qu'il les mettait dans un gros bac, je jouais avec eux alors qu'ils étaient toujours vivant. Mon père m'a apprit à parler une langue qui me servirait disait-il. Il m'a aussi appris à reconnaître tous les poissons, et tous les animaux que nous avions croisé. On a beaucoup voyagé, vraiment beaucoup. Je suis sûre d'avoir vu plus de paysage que la plupart d'entre vous. Des fois même, mon papa me laissait tenir la barre. Il restait à côté de moi évidemment, mais j'aimais beaucoup conduire le voilier. Lui d'ailleurs devait se baisser quand la voile tournait et lui passait au-dessus de la tête, alors que moi, ce n'était pas la peine. Quelque fois, je m'amusais à changer de bord sans le prévenir pour essayer de l'assommer avec la voile, on riait tellement tous les deux. Mon papa était un papa extraordinaire.
Puis un jour, il m'a emmené dans un endroit qu'il appelait la ville. C'était immense. Il y avait du gris de partout, des voitures aussi, plus que je n'en avais jamais vu. Et d'incroyables maisons, longues et grandes, qui touchait presque le ciel. Mon papa m'a dit qu'ici, ils appelaient ça des grattes ciel. La ville, je trouvais que ça ne sentait pas très bon, et que c'était bien moins beau que la vie sauvage dans laquelle j'avais toujours vécu. Mon papa est resté deux jours avec moi, ici à New York. Puis il m'a laissé à un endroit qu'il appelait l'orphelinat, où il y avait pleins d'enfants, en me disant qu'il viendrait me rechercher. Mais il n'est jamais revenu. Je ne lui en veux pas pour ça, il doit y avoir une bonne raison. Même si j'ai longtemps pleuré en espérant qu'il revienne. Alors le soir, je regardais le ciel, et je demandais à ma mère de prendre soin de lui. Une fois, alors que je jouais avec des choses que je ne connaissais pas avant ma venue ici, une poupée ils appelaient ça, c'était un bébé miniature en fait, une madame est venue vers moi. Elle m'a dit qu'elle me trouvait mignonne, et elle a commencé à jouer avec moi. Mais depuis le départ de mon père, je ne parlais plus. Je ne disais plus rien. Cependant, au bout d'un certain temps, cette madame m'a emmené chez elle. Elle s'appelait June. Elle était ma nouvelle famille, elle et Mike, son amoureux. Ils sont super, et je suis heureuse avec eux. Même si la vie sauvage me manque. Cela fait plusieurs mois maintenant que je suis avec eux. Mais je n'ai toujours pas retrouvé la parole.
Signe(s) particulier(s) :
Rien à signaler.
Orientation Sexuelle :
J'aime que les princes charmants.
Citation favorite :
« Plus belle qu'une Hathaway ? Tu rêves. »
« BEHIND THE COMPUTER »
Prénom : Tatatatala... Âge : ... Chihuahua ! Comment as-tu connu ce forum ? : Sur un top. Ton avis (design, contexte, ...) : love love love ♥ Présence sur le forum : 6j/7 Autre(s) compte(s) : Aucun Exemple de RP :
Spoiler:
On a de la chance, ou on en a pas. C'est comme ça. Mais rien n'est dû au hasard. Même quand vous jouez à la loterie. Quand des numéros sortent et que ce sont ceux que vous avez joué, certes, vous avez de la chance, mais ce n'est pas du hasard. Si le numéro sept est sorti, c'est que la petite boule portant ce numéro a été lancé de telle manière à ce qu'elle soit tirée au sort. Non pas que ce soit fait exprès, mais plutôt que ça s'explique. Bref, on est pas là pour parler de l'énergie cinétique des boules du loto, ou encore pour parler de la force d'attraction terrestre. Mais plutôt pour parler de ce petit groupe d'étudiants, coincées dans cette salle, en plus musée océanographique. Pas de chance, n'est ça pas? Mais ça s'explique. Ils sont rentrés dans une salle fermée à partir de dix-huit heure. Le problème, c'est que la pancarte qui devait être placée à l'entrée de cette fameuse salle n'a pas été placé comme elle aurait dû l'être. D'autant plus que cette salle était celle des requins, et qu'elle était assez grande. Du coup, quand la sécurité est arrivée pour la fermer définitivement, ils ne les ont pas vu. Et hop ! Voilà comment on se retrouve coincés dans un musée en pleine nuit !
Ils étaient plusieurs, parmi eux Lacey, Cléophée, Rebecca, et Joshua. Et Rebecca… Il était complètement amoureux d'elle, et ce dès son plus jeune âge. Peut-être même que ça explique la raison pour laquelle il est ici, plutôt que d'être sur les pistes de ski. Il éprouvait le besoin constant de la protéger, surtout depuis l'accident chez Jonathan, où la demoiselle avait failli se noyer, mais qu'il l'avait sauvé. Et puis aussi, il faut dire que de passer un soirée avec elle était on ne peut mieux rêvé pour lui. Qu'importe les conditions. Qu'importe le fait qu'ils étaient là, coincées, entourés de requins, et d'ossements, plongés dans le noir presque complet. Il leur avait fallu attendre que les lumières s'éteignent pour comprendre ce qui se passait. Ils avaient alors tous cessé de bouger quelques secondes, le temps que leur pupilles s'habituent à l'obscurité, puis Joshua marmonna :
"Oh… C'est pas bon signe ça…"
Surtout que bon, analysons la situation. Personne d'autre qu'eux n'étaient ici. Or, c'était tout à fait étrange étant donné que ce musée était le plus populaire du pays. Qui plus est, quand le jeune homme se retourna, il remarqua qu'aucune lumière ne provenait d'où ils étaient entrés, comme si les portes avaient été fermées. Et en l'occurrence, c'était tout à fait ça, les portes étaient désormais fermées. Mais ce qui est étrange, c'est que… Au moment où j'écris, une voix annonce à tous les visiteurs la fermeture du musée dans quelques minutes, les remerciant également de leur visite. il y avait donc un problème, c'était évident. Josh' posa son regard sur les requins, juste à côté d'eux, ceux-ci avaient d'ailleurs l'air de bien se moquer des jeunes voyageurs et de la situation dans laquelle ils se trouvaient. Spencer lâcha alors un soupir, puis il se retourna, et posa immédiatement son regard sur Rebecca. Il avait du mal à la voir à cause du peu de lumière qui les éclairait, mais il devinait son visage qu'il connaissait par coeur.
Le jeune homme s'approcha alors doucement d'elle. Il ne se sentait jamais vraiment en confiance avec elle, enfin disons qu'il n'avait jamais vraiment confiance en lui lorsqu'elle l'approchait, et puis il redevenait le Joshua timide en se présence, peut-être parce qu'il l'aimait depuis toujours, et qu'il avait peur de faire la moindre petite chose de travers… Il prit tout de même son courage à deux mains, et déposa justement sa main sur la bras de la demoiselle, histoire qu'elle sache que c'était à elle qu'il s'adressait, étant donné le manque de luminosité, elle aurait peut-être eu du mal à s'en rendre compte.
"Hum… Ca va ?" articula-t'il presque difficilement.
Code du règlement :
Spoiler:
OKAY BY JUNE
« I'M SO BEAUTIFUL »
Dernière édition par Calypso Hathaway le Jeu 12 Aoû - 15:32, édité 12 fois
Ouais et lui mettre des paillettes dans les cheveux aussi, il adorera. Mais pas dire que c'est Tata Gaby qui a donné l'idée, sinon j'vais devoir courir très vite très loin... XD
Tu peux même dessiner dessus avec des feutres si tu veux ! XDDDDDDDDD
Ouais, mais le problème c'est qu'après on verra pas les dessins. Enfin, tu pourras me dessiner dans le dos quand ce sera le moment de la sieste sur le sofa. *-* Et rien dans les précieux cheveux.
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