"Un peu de chagrin montre beaucoup d'amour, mais trop de chagrin montre trop d'esprit." de William Shakespeare
Signe(s) Particulier(s)
Pas de percings pour Maisy, mais juste deux trous aux oreilles, en sachant qu'elle ne raffole pas des boucles d'oreille. Question tatouages, c'est différent. Non, pas de là à dire qu'on ne voit plus la couleur de sa peau ; elle en a juste deux. Mais ces deux là ont une signification bien particulière. Le premier, dans son poignet gauche, qu'elle a fait lors de son arrivée, qui représente un bref "V". Elle l'a choisit avec quelques notions de français, pour elle, c'est le "v" de "vie". Le second, dans sa nuque, représente un coeur. Elle l'a fait lorsqu'elle a prit son "indépendance", loin de sa mère.
Orientation Sexuelle
Maisy est vraiment hétérosexuelle. Elle aime les hommes, tout le monde le sait. Certes, elle a déjà eut des expériences avec des femmes, mais c'était des accidents ! En même temps, ça ne fait que renforcer ses convictions, les hommes, oui que les hommes.
Maisy Cara Williams
Behind the computer
Prénom: Morgane Âge : Pas majeur, mais vaccinée Avatar choisi : Jessica L. Stroup Comment as-tu connu ce forum ? : Ca remonte à loin, mais c'était de forum en forum Ton avis (design, contexte, ...) : Totalement nul quoi Présence sur le forum : 7/7j 25/24h Autre(s) compte(s) : Roxanne E. Douglas La blonde Exemple de RP :
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Et puis mon coeur se mit à battre plus qu'il ne devait. C'était peut être le stress de devoir donner une réponse, ou autre chose. Les sentiments ? Non, je m'interdisais d'éprouver quelque chose pour Johnathan à cet instant précis. Parce que j'étais sensé aimer Mathys. Parce que j'étais sensé être amoureuse de Mathys. Parce que j'étais juste sensé être boulversé par cette histoire avec Brianna, et retomber dans les bras de Mathys; vivre heureuse. J'étais sensé ne pas avoir le coeur qui battait comme jamais. J'étais sensé ne pas avoir peur de croiser le regard de John. J'étais sensé. C'était juste en voyant ses yeux que je me disais que ça n'aurait pas du se passer comme ça il y a de cela deux ans. Parce que je remarquais qu'il ne regardait que moi à cet instant précis. Ce qui se passait là maintenant, ça aurait du se passer avant Mathys, là, je n'aurais pas eu besoin de choisir entre les deux. Si il y avait deux ans, j'étais moins conne, plus romantique, je serais tombé amoureuse de Johnathan rapidement. J'aurais succomber à son charme, à son rire. Je serais peut être déjà dans ses bras. Au fond des yeux de Johnathan, je voyais de l'amour. Pour moi, il fallait croire. Quand je voyais ça, je me disais que Mathys m'empêchait de sauter dans les bras de John, de l'embrasser à pleine bouche, de lui dire que je l'aimais. Rectification : je ne l'aimais pas, mon coeur ne savait plus vers où se tourner. Quand il se tourna vers moi, et qu'il me redit encore une fois qu'il m'aimait, j'ai crus que j'allais craquer. Tout expulser, la joie, la colère. Rien qu'il me dise qu'il m'aimait plus que n'importe qui, et qui le faisait comme personne ne le fairait jamais, même pas Mathys, j'avais envie de sauter dans ses bras, de lui demander de m'emmener loin, de lui demander de tout me faire oublier. Mais non, je ne craquerais pas, tant que je ne saurais pas si j'aimais encore Mathys Hudson. Avec cette histoire de tromperie, je ne savais plus où me mettre. S'il m'avait trompé, c'était qu'il ne m'aimait plus tant que ça ? Donc je pouvais tourner la page. Ou pas. Puisque que je l'aimais encore. Johnathan m'aimait, et puis je ne savais plus ce que j'éprouvais pour lui maintenant. De l'amitié ? De l'amour ? Le cadre qui s'offrait à nous était tellement romantique. D'une seconde à l'autre, je passais de la fille sûre d'elle et de ses sentiments, de ses convictions, à une pommée qui n'était pas capable de choisir. John s'approcha de moi lentement, je me laissais faire, même si je savais bien ce qu'il voulait. Délicatement, il posa sa main sur ma joue. Doucement, il penchait la tête. On se serrait crut dans une série pour ado. Il continuait de me regarder, je le sentais. Ce n'était pas un mauvais sentiment, puisque c'était un regard protecteur, un regard amoureux, doux. Je n'avais pas besoin de plus pour comprendre qu'il m'aimait, et pas qu'un peu. Il me serra fort dans ses bras ; je n'avais pas compris si c'était pour que je sente ses tablettes de chocolat et que je craque pour lui ou bien si c'était pour me réchauffer. La neige qui commençait tout doucemet à nous recouvrir nous faisais nous rapprocher encore et encore. Mes yeux se noyaient dans les siens, mon nez touchait le sien, je sentais son souffle. Il n'eut besoin que d'un murmure pour me dire sur un ton plus que romanesque « Laisse-moi une chance Maisy. » La phrase là suffit à me faire pleurer. Certes, juste une larme, qui glissait le long de la joue, mais je pleurais. De joie ? De peur ? Je ne savais pas. Mes lèvres étaient si proches des siennes. Mais il voulait quoi en me demandant juste une chance ? Que je quitte tout pour lui ? A cet instant là, j'aurais pu le faire, s'il m'avait juste embrassés, sans attendre mon "accord". La chance, je pouvais largement là lui accorder. Largement, parce qu'au fond, je savais bien qu'avec lui ça serait différent. Personne n'était pareil en même temps. « John... » soufflais-je d'une petite voix. Les larmes ruisselaient le long de mon visage. Je le regardais à nouveau dans les yeux. Je croyais bien que mon maquillage coulait, ça donnait un côté dramatique à la scène. Doucement, je continuais de souffler son prénom, de pleurer. Doucement, je continuais de m'approcher de ses lèvres. Je crois que cet "accord" il l'avait. Mon coeur et ma tête s'étaient mis d'accord ; ils lui laissaient une chance. Les sentiments ? Je n'en savais rien. Mathys ? Qu'il aille au diable un moment... Délicatement, je posais mes lèvres sur les siennes, juste pour lui faire comprendre qu'il l'avait cette chance.
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ok by Dylan
Dernière édition par Maisy C. Williams le Jeu 30 Déc - 20:09, édité 4 fois
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: MAISY ★ La vie est une grande patinoire où je me casse la gueule. Jeu 30 Déc - 13:52
Physique & Caractère
Apparence & Style: Maisy est Belle. Ce n'est pas une blonde écervelée qui s'est fait refaire la poitrine jusqu'à ne plus voir ses pieds, ni une mannequin qui ne reste debout que lorsqu'il n'y a pas de vent. Maisy n'est ni grosse, ni maigre. Elle a des formes, mais juste assez pour faire baver les hommes. N'importe qui peut la trouver grande, du haut de son mètre soixante quatorze auquel elle rajoute le plus souvent des talons. Maisy a de fines et longues jambes que n'importe quelle femme pourrait envier. Elle a beau manger n'importe quelles cochoneries, elle ne prendra pas un gramme. C'est une beauté naturelle. Maisy a de magnifiques yeux bleu qui ont parfois des reflets verts. Elle n'a même pas besoin de se mettre du mascara afin qu'on voit encore plus ses sublimes cils ; elle a des yeux de biche. Maisy n'a pas un gros nez, qui pourrait faire tache sur son beau visage, ni un nez de "cochon", mais un beau nez fin. Ses lèvres naturellement rosées n'ont pas besoin de rouge à lèvres ou de gloss pour qu'on se rende compte qu'elle a des lèvres pulpeuses, mais pas trop : des lèvres que n'importe quel homme rêverait d'embrasser. Les Cheveux de Maisy ont mainte et mainte fois changés. Petite, elle était brune, avec des semblants de boucles et une longueur un peu plus bas que les épaules. Adolescente, elle préférait les lisser, et pour casser un peu la ressemblance avec sa mère, elle s'est teint les cheveux en blonds/châtains clairs et n'a pas arrêté de se les lisser. Evidemment, tous ces amis proches l'ont quelque peu critiqué, elle avait de magnifiques cheveux et en faisait n'importe quoi. Après sa cure, ses cheveux étaient longs, et elle était à nouveau brune. La Plupart du temps, elle coiffait ses cheveux de rubans, ou de bandeaux. Puis, après le divorce de ses parents, elle a commencé à écouter un peu plus les conseils de son coiffeur/visagiste, qui lui disait de garder ses cheveux bruns et de les raccourcir un peu. Elle passa donc au carré plongeant, qui lui va à ravir et qui fait -d'après elle- ressortir ses beaux yeux. Certes, Maisy Coupe de plus en plus ses cheveux, mais elle se trouve plus mature et plus belle avec les cheveux courts. Le Style vestimentaire de Maisy varie selon la mode. Elle a abandonné les bandeaux dans le cheveux pour des ray-bans aviators, et wayferer. Elle aime les talons Louboutins, et ses sacs préférées sont surement ceux de Longchamp. Elle apprécie aussi Chanel, comme n'importe quelle jeune femme, ainsi que les marque qui font des couleurs douces. Ses jeans et ses jupes cigarettes envahissent son placard. Pour suivre la mode, Maisy n'a qu'une solution, être abonnée à tous les magazines de mode et de se rendre à tous les défilés de la Fashion Week.
Caractère: Maisy est un peu la fille qu'on aime, et qu'on déteste. On l'aime parce qu'elle est la plupart du temps naturelle, elle ne se met pas un masque, pour cacher son vrai elle, elle rigole quand elle trouve que c'est marrant, elle n'a aucune retenue et dis ce qu'elle pense. Elle deteste à avoir à changer pour quelqu'un, elle est elle même, et il faut la prendre comme elle est. Bon, certes, elle est narcissique, toujours à vouloir soigner son apparence ; parfois même à se complimenter, à se trouver belle. Maisy aime séduire, et elle trouve que son physique qu'elle trouve avantageux est parfait pour ça. Maisy ment souvent, c'est son plus gros défaut. Certes elle montre sa vraie personnalité, mais lorsqu'elle a quelque chose de fort à cacher, elle n'hésitera pas à mentir pour se protéger. Maisy est aussi manipulatrice, elle aime savoir qu'elle a tout son contrôle. Elle est assez possessive tout de même, elle n'aime pas partager ce qui -d'après elle- lui appartient. Son homme est son homme ; sa meilleure amie est sa meilleure amie, et pas celle de quelqu'un d'autre. Mais après tout, Maisy est attachante. On aime rigoler avec elle, passer du temps en sa compagnie. Elle parle tout le temps, et elle essaie le plus souvent de meubler le vide, ou bien de redonner le sourire à ceux qui l'ont perdus. Puisque effectivement, elle sourit tout le temps, c'est lorsqu'elle ne sourit pas que l'on sait que ça ne va pas. C'est lorsque qu'elle ne parle pas qu'on sait qu'elle n'est pas dans son assiette. Mais c'est très rare, puisque en dépis de sa "vie" quelque peu difficile, elle parait toujours heureuse. Malgré tout, elle reste très fragilisée par son enfance, sa cure, et tout ce qu'il y a eu de mal dans sa vie. Elle a toujours besoin de points de repères, qui sont ses proches.
Dernière édition par Maisy C. Williams le Jeu 30 Déc - 17:58, édité 2 fois
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: MAISY ★ La vie est une grande patinoire où je me casse la gueule. Jeu 30 Déc - 13:53
L'histoire
Chapter♦One
Cara Livington & James Williams se connaissaient déjà depuis un bout de temps lorsque Cara, belle brune n'ayant que de cesse de faire les magasins et d'embêter de le monde, annonça à son "petit-ami", James, riche et jeune PDG d'une entreprise, qu'elle était enceinte. Le Mariage entre ces deux là ne se fit pas attendre ; organisé avec la classe des Livington et l'argent de Williams. Sur les photos de mariages, vous pouvez déjà apercevoir le petit ventre rond de Cara Livington, enfin, Williams désormais. Le 14 aout 1990, James Williams, tout fier, distribuait lui-même les faires parts de naissance. « Maisy Cara Williams est née le 13 aout 1990 à 8h49 pour le plus grand bonheur de ses parents, Cara & James Williams. Elle pèse 3 kg et mesure 50cm ». Sa petite Maisy, c'était dès lors sa fierté, ce qu'il aurait de plus cher au monde avec sa femme Cara. Cara, elle, n'affichait pas la même tête, mais pas du tout ; elle était dégoutée, presque à regretter que son médecin ne lui ai pas annoncer qu'elle avait fait une fausse couche. On va dire que vu comme elle avait souffert... Pendant tout l'accouchement, Cara avait supplié qu'on la tue, et qu'on tue l'abominable bébé qui dans tous les cas allait la tuer. Son bébé, sa fille. Elle n'avait même pas voulu choisir le prénom ; c'était James qui avait chercher quelque chose d'original et pas courant. Maisy, en réfléchissant, ça ne plaisait pas tant que ça à Cara. Tant pis, elle avait au moins le prénom de sa mère, en quelque sortes. Mais en tout cas, la semaine qu'avait passé Maisy dans une maternité privé de Londres, elle était soit dans son berceau, soit dans les bras de son père ; jamais Cara Williams n'aurait pris dans ses bras sa descendance.
Chapter♦Two
Si on avait déposé sur un compte en banque 1$ à chaque caprice de Mademoiselle Maisy dès l'âge de ses 2 ans, elle n'aurait même plus besoin de l'argent de son père pour vivre, ni même de faire des études et de trouver un travail. La demoiselle ayant des parents bourgeois, il lui suffisait de pleurer afin d'obtenir tout ce qu'elle désirait. Cara était toujours aussi distante avec sa fille, mais arrivait des fois à lui dire quoi faire, son verre de scotch en main. James n'était pratiquement jamais là, travail et différence avec sa femme obligent. Malgré ça, il arrivait à gâter sa petite brune et à la consoler à chaque caprice. Et quand je dis chaque caprice, c'est tout les Caprices imaginables et possibles. Au fil des années, tout le monde comparait déjà Maisy à sa mère ; c'était le même caractère, le caractère de cochon : manipulatrice, joueuse, jalouse et fêtarde. Du moins, c'était les remarques des Williams, qui n'avaient jamais aimé, qui n'aimaient pas, et qui n'aimerait jamais Cara, femme qui semblait plus se soucier de la décoration de ses appartements chics à Londres et à Paris ainsi qu'à son style vestimentaire qu'à sa propre fille. Maisy, pourtant fragile du fond de son âme, croyait encore -durant son enfance naïve- que sa mère s'occuperait d'elle correctement un jour. Mais bon, ça n'arriverait pas, puisque Cara avait toujours son verre de scotch à la main, et envoyait toujours Maisy voir ailleurs.
Chapter♦Three
A force, Maisy comprit que sa mère laisserait tout passer, et que son père ne pourrait rien dire, puisqu'il était toujours ailleurs ; une double vie peut-être, ou une aventure ? Donc à ses 13 ans, pour que Maisy lui fiche la paix, Cara lui enseigna le pire des concepts concernant l'éducation des enfants. "Plus les enfants avaient accès à l'alcool, moins ils risquaient d'en abuser." Donc, chez Maisy, boire de l'alcool était aussi ordinaire que de se moucher. Evidemment, puisque personne ne prêtait attention à Elle, la belle Londonienne en profitait, pardon, en ABUSAIT. Sans aucune limite, elle buvait, scotch, whisky, bière, martini, des cocktails préparés par ses dignes domestiques. Tous les soirs, Maisy sortait, allait voir les garçons sans aucune gêne. Evidemment, Maisy inculquait ce superbe concept à toutes ses amies ; faisant que les simples fêtes d'anniversaires ressemblait plutôt à des fêtes d'étudiants. L'Alcool, elle aimait ça Maisy, tellement que sa première cuite de chez cuite, elle l'a eut à 13ans. L'année de ses 13 ans, Maisy partit à Hawaï, en vacances, c'était magnifique, et c'était à partir de ce moment que James Williams commençait à s'engueuler fortement avec sa femme. C'est aussi à ce moment que Maisy fuma sa première cigarette, et qui risquait moins d'être sa dernière. Ses parents qui se disputaient de plus en plus, elle s'en contrefichait : elle avait un bouteille de vodka et de whisky, et elle appréciait beaucoup ses nouvelles amies les cigarettes. A 15 ans, personne n'aurait prévu que Maisy Williams fume à chacune de ses pauses, boive de la vodka à peine rentrée et ne soit déjà plus vierge. Elle avait un copain qui l'entrainait dans tout et n'importe quoi. Maisy eut aussi quelque problème de poids, elle ne passait pas loin de l'anorexie. Evidemment, quand elle s'en rendit compte, elle commença à oublier les régimes et à ne manger que des cochoneries anglaises bien grasses. Elle trainait dans les fêtes où se trouvaient de la drogue, et n'en refusait pas vraiment. Maisy avait sa réputation de fille bourrée à toutes les fêtes à tenir. Si Maisy Williams n'était pas pété comme un trou à une fête, ce n'en était pas une. Cara, ne remarquait pas que sa "fille" rentrait tard, complètement défoncée et prête à sauter du Big Ben si on lui avait demandé tellement elle était droguée. Personne ne remarquait qu'elle paraissait plus heureuse qu'avant, qu'elle avait toujours un sourire aux lèvres, même si c'était tragique. Evidemment, à force d'abuser de toutes les drogues possibles et de changer de petit copain comme elle changeait de vêtements, Maisy tomba enceinte ; à ses 15 ans. Evidemment, elle n'allait pas en informer sa mère. Puisqu'elle n'en aurait rien à faire et lui lancerait à la figure un "bien fait". Le sourire de Maisy n'était plus qu'une façade, elle ne pouvait en aucun cas avoir un enfant à son âge. Elle était déjà mal vue de ses grands-parents, puisque eux, ils avaient remarqué que Maisy n'était pas tout à fait Clean. Elle dut faire des magouilles afin d'avorter. Pour ne pas avoir cet enfant, dont elle ne voulait en aucun cas. Elle était jeune, avait des problèmes, et sa mère ne faisait rien.
Chapter♦Four
A 16 ans, comme personne, même pas sa famille, ne tentait rien pour la sortir de cet enfer, elle trouva une solution. Tout le monde avait compris que Maisy se droguait, qu'elle n'était pas heureuse, pourtant, ils ne faisaient rien. La seule solution pour elle, puisqu'elle était au plus bas et ne comprenait même plus à quoi se résumait sa vie, et quel était son rôle, ce fut de tenter de mettre fin à ses jours. Son père la retrouva inerte dans sa chambre, et la fit envoyé directement dans un centre hospitalier. Tous les tests possibles, se résumaient à une choses, c'était une droguée qui avait voulu en terminer avec la vie. Cara, sous la pression de tous les Williams et de son mari -avec qui les relations étaient de plus en plus tendues-, dut admettre sa fille en cure de désintoxication. Maisy y resta pendant trois mois. A sa sortie de cure, sa vie était à peu près normale, du moins d'après elle. Elle ne buvait plus autant, se contentait d'un verre de temps en temps. Elle fumait des cigarettes quand l'envie lui prenait, elle avait des amis fréquentables. La belle brune évitait toute personne qui aurait pu la faire retomber dans cet enfer qu'était la drogue, elle ne voulait pas se refaire du mal, elle l'avait compris. Evidemment, ses parents continuaient de s'engueuler, mais ça se corsait. Ils parlaient de tromperie, de doubles vies, de trafic, et d'irresponsabilité. Et tout cela, ça a fini sur le bureau d'un avocat, James Williams et Cara Livington divorçaient. Maisy aurait bien choisi de rester en Angleterre, à Londres, mais c'était comme si sa mère l'avait mis de force dans ses bagages. Des bagages que Cara envoyait à NY, elle voulait oublier Londres et son ex mari. Maisy arriva à ses 17 ans à New-York. Elle termina le lycée en tant qu'élève modèle, et partit s'inscrire à Fordham, en stylisme. Maisy avait réussi à rester clean, jusqu'à ce que la folie New-Yorkaise s'empare d'elle. Elle n'allait qu'à un quart de ses cours, et s'amusait parfois à reprendre de la drogue. Lorsqu'elle rata sa première année, Maisy s'offrit -ou plutôt son père- un appartement, pour elle, sans sa sadique de mère. C'était l'occasion pour elle de recommencer tout, de vivre sa vie, comme elle l'entendait.
Chapter♦Five
Certes, lors de sa seconde première année, Maisy ne se privait de rien, encore. Une fête pratiquement tous les soirs, une cuite pratiquement deux fois par semaines, un paquet de cigarettes en deux jours, un peu de drogue de temps en temps... Non, franchement, elle ne pouvait pas continuer ainsi. Mais c'est grace au soutien particulier de son petit cercle d'amies proches, qu'elle a peu arrêter, peu à peu. Surtout grâce à Ashlynn, sans qui elle ne serait pas "sage" et prête à bosser à ce jour. C'est surtout pour cette belle relation que mademoiselle Williams et mademoiselle Wildworth vont emménagées ensembles. C'est surtout grâce à sa Flora Middlewest et ses bons conseils si Maisy n'a pas plus peur de tomber amoureuse. C'est grâce à elle, que Maisy a pu aimer Mathys Hudson, et peut être voir une relation naitre avec Johnathan Norton... C'est grâce à ce beau cercle d'amie, ces bonnes bases et ses bonnes résolutions, que Maisy peut enfin construire sa vie convenablement.
Dernière édition par Maisy C. Williams le Sam 1 Jan - 21:19, édité 10 fois
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: MAISY ★ La vie est une grande patinoire où je me casse la gueule. Jeu 30 Déc - 15:17
Niahahahahaaaa ! Ma chérie
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: MAISY ★ La vie est une grande patinoire où je me casse la gueule. Jeu 30 Déc - 17:48
reBienvenue Maisylarougemafemmequej'adore.
Spoiler:
bon courage pour ta fiche.
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: MAISY ★ La vie est une grande patinoire où je me casse la gueule. Jeu 30 Déc - 18:59
Merci mon chéri
Merci heavenlamauvemafemme
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: MAISY ★ La vie est une grande patinoire où je me casse la gueule. Jeu 30 Déc - 19:13
Courage pour ta fiche
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: MAISY ★ La vie est une grande patinoire où je me casse la gueule. Jeu 30 Déc - 21:44
Bon courage pour refaire ta fiche J'ai éditée ton code
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: MAISY ★ La vie est une grande patinoire où je me casse la gueule. Jeu 30 Déc - 22:03
Merci vous deux
Mackenzie J. Howard
Empire State of Mind
i love the ring of your name you're the yin to my yang
▌INSCRIT LE : 01/07/2010
▌MESSAGES : 20301
▌AGE DU PERSO : 23
▌ADRESSE : 6812 Beverley Road #104, Brooklyn. avec l'amour de sa vie.