MAISY ϟ La vie est une grande patinoire où je me casse la gueule.
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Sujet: MAISY ϟ La vie est une grande patinoire où je me casse la gueule. Mar 1 Mai - 19:46
FEAT. JESSICA L. STROUP
Maisy Cara Lexie Williams
21 ans → Née à Londres le 13/08/1990 → Assistante, chez Elite Model Management fiancée → hétérosexuelle → membre des Populars.
And who am i ?
★Quels sont tes caractéristiques? → Pas de percings pour Maisy, mais juste deux trous aux oreilles, en sachant qu'elle ne raffole pas des boucles d'oreille. Question tatouages, c'est différent. Non, pas de là à dire qu'on ne voit plus la couleur de sa peau ; elle en a juste deux. Mais ces deux là ont une signification bien particulière. Le premier, dans son poignet gauche, qu'elle a fait lors de son arrivée, qui représente un bref "V". Elle l'a choisit avec quelques notions de français, pour elle, c'est le "v" de "vie". Le second, dans sa nuque, représente un coeur. Elle l'a fait lorsqu'elle a prit son "indépendance", loin de sa mère → Maisy est Belle. Ce n'est pas une blonde écervelée qui s'est fait refaire la poitrine jusqu'à ne plus voir ses pieds, ni une mannequin qui ne reste debout que lorsqu'il n'y a pas de vent. Maisy n'est ni grosse, ni maigre. Elle a des formes, mais juste assez pour faire baver les hommes. N'importe qui peut la trouver grande, du haut de son mètre soixante quatorze auquel elle rajoute le plus souvent des talons. Maisy a de fines et longues jambes que n'importe quelle femme pourrait envier. Elle a beau manger n'importe quelles cochoneries, elle ne prendra pas un gramme. C'est une beauté naturelle. Maisy a de magnifiques yeux bleu qui ont parfois des reflets verts. Elle n'a même pas besoin de se mettre du mascara afin qu'on voit encore plus ses sublimes cils ; elle a des yeux de biche. Maisy n'a pas un gros nez, qui pourrait faire tache sur son beau visage, ni un nez de "cochon", mais un beau nez fin. Ses lèvres naturellement rosées n'ont pas besoin de rouge à lèvres ou de gloss pour qu'on se rende compte qu'elle a des lèvres pulpeuses, mais pas trop : des lèvres que n'importe quel homme rêverait d'embrasser. Les Cheveux de Maisy ont mainte et mainte fois changés. Petite, elle était brune, avec des semblants de boucles et une longueur un peu plus bas que les épaules. Adolescente, elle préférait les lisser, et pour casser un peu la ressemblance avec sa mère, elle s'est teint les cheveux en blonds/châtains clairs et n'a pas arrêté de se les lisser. Evidemment, tous ces amis proches l'ont quelque peu critiqué, elle avait de magnifiques cheveux et en faisait n'importe quoi. Après sa cure, ses cheveux étaient longs, et elle était à nouveau brune. La Plupart du temps, elle coiffait ses cheveux de rubans, ou de bandeaux. Puis, après le divorce de ses parents, elle a commencé à écouter un peu plus les conseils de son coiffeur/visagiste, qui lui disait de garder ses cheveux bruns et de les raccourcir un peu. Elle passa donc au carré plongeant, qui lui va à ravir et qui fait -d'après elle- ressortir ses beaux yeux. Certes, Maisy Coupe de plus en plus ses cheveux, mais elle se trouve plus mature et plus belle avec les cheveux courts. Le Style vestimentaire de Maisy varie selon la mode. Elle a abandonné les bandeaux dans le cheveux pour des ray-bans aviators, et wayferer. Elle aime les talons Louboutins, et ses sacs préférées sont surement ceux de Longchamp. Elle apprécie aussi Chanel, comme n'importe quelle jeune femme, ainsi que les marque qui font des couleurs douces. Ses jeans et ses jupes cigarettes envahissent son placard. Pour suivre la mode, Maisy n'a qu'une solution, être abonnée à tous les magazines de mode et de se rendre à tous les défilés de la Fashion Week.
★Quel est le caractère de ton personnage? → Maisy est un peu la fille qu'on aime, et qu'on déteste. On l'aime parce qu'elle est la plupart du temps naturelle, elle ne se met pas un masque, pour cacher son vrai elle, elle rigole quand elle trouve que c'est marrant, elle n'a aucune retenue et dis ce qu'elle pense. Elle deteste à avoir à changer pour quelqu'un, elle est elle même, et il faut la prendre comme elle est. Bon, certes, elle est narcissique, toujours à vouloir soigner son apparence ; parfois même à se complimenter, à se trouver belle. Maisy aime séduire, et elle trouve que son physique qu'elle trouve avantageux est parfait pour ça. Maisy ment souvent, c'est son plus gros défaut. Certes elle montre sa vraie personnalité, mais lorsqu'elle a quelque chose de fort à cacher, elle n'hésitera pas à mentir pour se protéger. Maisy est aussi manipulatrice, elle aime savoir qu'elle a tout son contrôle. Elle est assez possessive tout de même, elle n'aime pas partager ce qui -d'après elle- lui appartient. Son homme est son homme ; sa meilleure amie est sa meilleure amie, et pas celle de quelqu'un d'autre. Mais après tout, Maisy est attachante. On aime rigoler avec elle, passer du temps en sa compagnie. Elle parle tout le temps, et elle essaie le plus souvent de meubler le vide, ou bien de redonner le sourire à ceux qui l'ont perdus. Puisque effectivement, elle sourit tout le temps, c'est lorsqu'elle ne sourit pas que l'on sait que ça ne va pas. C'est lorsque qu'elle ne parle pas qu'on sait qu'elle n'est pas dans son assiette. Mais c'est très rare, puisque en dépis de sa "vie" quelque peu difficile, elle parait toujours heureuse. Malgré tout, elle reste très fragilisée par son enfance, sa cure, et tout ce qu'il y a eu de mal dans sa vie. Elle a toujours besoin de points de repères, qui sont ses proches.
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → Courtesy., Morgane. Pas majeur mais vaccinée. ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → Une licorne magique m'a soufflé l'adresse ★Ce personnage est-il un double compte ? → No Sir ! ★Présence sur le forum → 7/7 ? ★Personnage inventé ou scénario ? → inventé de toute pièce sir !
Mon exemple de RolePlay:
→ « Ça suffit maintenant tu vas te calmer ok ! »
Ca sonnait plus comme une ferme-la. Les larmes coulèrent alors plus vite, et encore plus. J'écoutais ce qu'il me disait, je lui obéissais au doigt et à l'oeil. J'arrêtais le mode furie. Pouf, mode furie : off. Mode victime : on. Je prenais ma tête entre mes mains, puis m'asseyais. Je balançais d'avant en arrière, comme une rocking chair. C'était horrible. C'était affreux. Comment une soirée que je voulais parfaite pouvait-elle tourner au cauchemar. Par ma faute. Par notre faute à moi et Johnathan. Parce que je l'avais trompé et qu'il m'avait trompé. Et surement, parce que j'avais trop mal réagi à son annonce. Et que finalement, j'avais annoncé mon acte avec trop de légerté. John avait du comprendre que je le lui avais avoué uniquement car il l'avait fait. Et dans son esprit, c'était clair et net que je le lui aurais caché. Je n'aurais pas pu éternellement. Avoir ça sur la conscience ? Non, merci, ça faisait déjà cinq mois que j'avais ça sur le coeur, et je ne savais pas pourquoi je l'avais gardé pour moi. Pourquoi avais-je été tellement bête ? Pourquoi ne lui avais-je rien dis ? En même temps, rien n'était sûr concernant mon adultère. Nous supposions fortement, Dylan et moi, que nous avions couché ensembles. En même temps, se retrouver nu dans le même lit, en sachant qu'on avait passé la soirée ensemble et qu'on avait toutes les deux une gueule de bois... Il me semble qu'on a pas besoin de dessin dans cette situation.
« COMMENT MOI J'AI PU TE FAIRE CA ? Tu oses me demander comment j'ai pu te faire ça ?! Moi au moins j'ai les couilles de te l'avouer ! Et je ne fais pas la petite sainte en mentant et en disant que tout va bien et en utilisant mes bêtises pour t'en sortir ! Tu me dégoutes Maisy. » dit-il.
Je préférais le laisser terminer son monologue, sa petite tirade. Pas la peine d'aggraver la situation : j'étais en tord. J'étais terriblement en tord. Oui, lui il a eu le courage de me le dire. Lui, ça doit être récent. Alors que moi... Je préférais ne pas lui dire que c'était il y a tout de même cinq mois. J'étais en tord, oui. Parce que, de un, je le lui avais cacher et de deux, j'avais utilisé son adultère pour m'en sortir. J'étais la pire des copines, ou même la pire fille qu'on pouvait trouver. J'étais horrible, et je faisais des choses horribles, je faisais du mal. Les larmes ruisselaient le long de mon visage, comme jamais. Avais-je déjà autant pleurer au par avant ? Non, pas que je m'en souvienne en tous les cas. Pour John, j'étais capable de verser toutes les larmes de mon corps, en fait. Je le dégoutais. C'était la pire des remarques. C'était ce que l'on souhaitait ne jamais entendre. Et si on l'entendait, on espérait que ce ne soit pas la personne à laquelle on tient le plus qui nous le dise. Et là, c'était mon cas. La personne que j'aimais le plus au monde allait-elle du coup moins m'aimer ? Et moi, allais-je moins l'aimer, vu qu'elle m'avait elle aussi tromper avec je ne sais qui ? Je pouvais m'estimer heureuse qu'il me l'ai dit de lui même et que ça n'était pas quelqu'un qui était venue me l'annoncer. Si ça c'était passer ainsi, je me serais surement jeter du haut de l'Empire State Building. Est-ce qu'il allait m'aimer moins ? Ou allait-il tout simplement rompre ?
« John... Je... »
J'étais pitoyable. Je n'étais qu'une minable. C'était tout ce que je trouvais à dire. Le fait que je le dégoûte m'avait mise k.o. Comme si je ne pouvais rien dire pour me défendre. Parce qu'il avait tout simplement raison. J'étais nulle. J'étais pire que nulle. Pourquoi je lui avais caché ? J'avais surement trop peur de sa réaction. Mais au final ça aurait été moins pire que là. Parce qu'en fait, on avait deux fois plus de problèmes à régler. Et la façon la plus radicale était de rompre. Mais je ne pourrais jamais le faire. Je l'avais trompé, accidentellement. Mais il m'engueulait pour bien plus que ça : parce que j'étais une menteuse, une hypocrite. Le moi d'avant, le moi que je voulais pourtant enterrer. Je voulais être une nouvelle Maisy. Et Johnathan m'avait aidé dans cette démarche. Et finalement, par peur de sa réaction, je lui avais menti, et je nous apportais encore plus de problèmes. Et si notre couple n'était pas capable de passer par dessus de tels problèmes, une tel engueulade ? Nous n'avions jamais eu de disputes de cette envergure. Nous ne pouvions peut-être pas passer par dessus ça. Nous n'étions finalement peut-être pas assez fort pour endurer ça. Ca créerait une fissure dans notre couple. Ou alors, dès ce soir nous serions, lui comme moi, à nouveau célibataire. A peine l'idée fut évoquée dans mon esprit que je me mis à pleurer de plus belle. Johnathan me tourna le dos, comme pour réfléchir. A ce moment précis, j'aurais aimé être dans sa tête, savoir ce qu'il pensait. J'aurais aimé savoir s'il avait une solution à tout ça. S'il était capable d'en trouver une. S'il pouvait me pardonner, s'il pourrait me pardonner.
« C'était un mec. Voilà toi tu m'as trompé avec une nana et moi je t'ai trompé avec un mec. Et figure-toi que pour moi aussi c'était une grosse erreur. J'étais complètement bourré. Et je ne me souviens même plus de la nuit. »
Je levais la tête. Il se tourna vers moi. Mon maquillage devait être ruiné, vraiment. Je devais avoir les yeux rouges, les joues quelque peu noircies par le maquillage qui avait coulé. Je le regardais de haut en bas. Il m'avait trompé. Mais ce n'était pas ce que je pensais, loin de là. Il m'avait trompé avec un homme. Ce n'était pas comme s'il avait fait ça avec une fille -à savoir que je l'aurais retrouvé et que je l'aurais surement défiguré- et qu'il était conscient qu'il le faisait. Non, pourquoi avais-je pensé à ça. John était bien trop loyal pour ça. Il était trop... Parfait pour faire ça. J'étais presque calme. Les larmes avaient arrêtés de couler. Au final, je lui aurais pardonner directement, et on aurait pu contourner cette horrible engueulade -qui n'avait pas durer longtemps au final, vu que j'étais calme- si je ne l'avais pas interrompu. J'aurais du lui dire de suite, lui envoyer un texto en sortant du Carlyle, ou bien aller directement à Staten Island pour lui dire et le supplier qu'il me pardonne. J'aurais du être sincère. C'était moi la pire des fautives. Au final, le fait qu'il m'avait trompé et que je l'avais trompé comptait peu dans cette histoire. C'était, pour l'un comme pour l'autre, accidentel. C'était du à l'alcool. C'était loin d'être intentionnel. Au final, on s'engueulait parce que je lui avais menti.
« On fait la paire hein... »
Je me levais, remettais mes cheveux en place et d'un revers de pouce, tentais d'effacer les ravages qu'avaient mes larmes sur mon visage. John devait se demander pourquoi j'étais si calme. Au final, ça avait peu d'importance qu'il m'ai trompé, avec un mec -si ça avait été avec une fille ma réaction aurait été totalement différente. Je le savais totalement hétéro -tout comme moi. Je me rapprochais de lui, tout doucement, passais mes mains dans son dos et me collais à lui.
« Je suis désolée John, je m'en veux. Je m'en veux de t'avoir menti. Je m'en veux de t'avoir trompé aussi. Mais... Je te pardonne. C'était un accident tu l'as dis. »
Je me collais encore un peu plus contre lui. Il ne me touchait pas. Comme s'il ne comprenait rien. Il avait eu sous ses yeux Maisy la furie, Maisy la victime et là... J'étais totalement incompréhensible. Il ne me touchait pas, certes, mais j'étais tellement bien contre lui, tellement plus calme.
« J'ai l'impression d'être la pire des copines, j'aurais jamais du te mentir. Jamais ô grand jamais j'aurais du faire ça. » Je soupirais; « Je te crois. Je te crois quand tu me dis que c'était accidentel. Je croirais à tout ce que tu me dis. Johnathan, je t'aime, je me sens bien avec toi. Je serais capable de tout et de n'importe quoi pour toi. Et je te fais du mal, je t'ai menti. Et je me déteste d'avoir fais ça. Je me déteste, franchement. » Les larmes coulaient à nouveau « Pardonne moi, s'il te plait... » .
Le code règlement:
→ bon, par moi
Dernière édition par Maisy C. Williams le Mar 1 Mai - 19:47, édité 1 fois
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: MAISY ϟ La vie est une grande patinoire où je me casse la gueule. Mar 1 Mai - 19:46
Well... It's my story...
maisy cara lexie williams
❝ parfois on a besoin de faire une grosse bêtise pour se rendre compte qu’on était sur le mauvais chemin. ❞
❝ chapitre un ❞ ϟ Cara Livington & James Williams se connaissaient déjà depuis un bout de temps lorsque Cara, belle brune n'ayant que de cesse de faire les magasins et d'embêter de le monde, annonça à son "petit-ami", James, riche et jeune PDG d'une entreprise, qu'elle était enceinte. Le mariage entre ces deux là ne se fit pas attendre ; organisé avec la classe des Livington et l'argent de Williams. Sur les photos de mariages, vous pouvez déjà apercevoir le petit ventre rond de Cara Livington, enfin, Williams désormais. Le 14 août 1990, James Williams, tout fier, distribuait lui-même les faires parts de naissance. « Maisy Cara Lexie Williams est née le 13 aout 1990 à 8h49 pour le plus grand bonheur de ses parents, Cara & James Williams. Elle pèse 3 kg et mesure 50cm ». Sa petite Maisy, c'était dès lors sa fierté, ce qu'il aurait de plus cher au monde avec sa femme Cara. Cara, elle, n'affichait pas la même tête, mais pas du tout ; elle était dégoutée, presque à regretter que son médecin ne lui ai pas annoncer qu'elle avait fait une fausse couche. On va dire que vu comme elle avait souffert... Pendant tout l'accouchement, Cara avait supplié qu'on la tue, et qu'on tue l'abominable bébé qui dans tous les cas allait la tuer. Son bébé, sa fille. Elle n'avait même pas voulu choisir le prénom ; c'était James qui avait chercher quelque chose d'original et pas courant. Maisy, en réfléchissant, ça ne plaisait pas tant que ça à Cara. Tant pis, elle avait au moins le prénom de sa mère, en quelque sortes. Mais en tout cas, la semaine qu'avait passé Maisy dans une maternité privé de Londres, elle était soit dans son berceau, soit dans les bras de son père ; jamais Cara Williams n'aurait pris dans ses bras sa descendance. Elle n'y attachait pas assez d'importance, et voyait sa jeunesse et sa liberté fichues à cause de cette gosse.
❝ chapitre deux ❞ ϟ Si on avait déposé sur un compte en banque 1$ à chaque caprice de Mademoiselle Maisy dès l'âge de ses 2 ans, elle n'aurait même plus besoin de l'argent de son père pour vivre, ni même de faire des études et de trouver un travail. La demoiselle ayant des parents bourgeois, il lui suffisait de pleurer afin d'obtenir tout ce qu'elle désirait. Cara était toujours aussi distante avec sa fille, mais arrivait des fois à lui dire quoi faire, son verre de scotch en main. James n'était pratiquement jamais là, travail et différence avec sa femme obligent. Malgré ça, il arrivait à gâter sa petite brune et à la consoler à chaque caprice. Et quand je dis chaque caprice, c'est tout les Caprices imaginables et possibles. Au fil des années, tout le monde comparait déjà Maisy à sa mère ; c'était le même caractère, le caractère de cochon : manipulatrice, joueuse, jalouse et fêtarde. Du moins, c'était les remarques des Williams, qui n'avaient jamais aimé, qui n'aimaient pas, et qui n'aimerait jamais Cara, femme qui semblait plus se soucier de la décoration de ses appartements chics à Londres et à Paris ainsi qu'à son style vestimentaire qu'à sa propre fille. Maisy, pourtant fragile du fond de son âme, croyait encore -durant son enfance naïve- que sa mère s'occuperait d'elle correctement un jour. Mais bon, ça n'arriverait pas, puisque Cara avait toujours son verre de scotch à la main, et envoyait toujours Maisy voir ailleurs.
❝ chapitre trois ❞ ϟ A force, Maisy comprit que sa mère laisserait tout passer, et que son père ne pourrait rien dire, puisqu'il était toujours ailleurs ; une double vie peut-être, ou une aventure ? Donc à ses treize ans, pour que Maisy lui fiche la paix, Cara lui enseigna le pire des concepts concernant l'éducation des enfants. "Plus les enfants avaient accès à l'alcool, moins ils risquaient d'en abuser." La jeune fille n'avait pourtant que treize ans : précoce pour se mettre à boire. Donc, chez Maisy, boire de l'alcool était aussi ordinaire que de se moucher, Cara n'y voyait pas d'inconvénients. Evidemment, puisque personne ne prêtait attention à Elle, la belle Londonienne en profitait, pardon, en ABUSAIT. Sans aucune limite, elle buvait, scotch, whisky, bière, martini, des cocktails préparés par ses dignes domestiques. Tous les soirs, Maisy sortait, allait voir les garçons sans aucune gêne. Evidemment, Maisy inculquait ce superbe concept à toutes ses amies ; faisant que les simples fêtes d'anniversaires ressemblait plutôt à des fêtes d'étudiants. Sa mère, considérait sa fille comme une adulte, capable de se débrouiller seule et de faire ce que bon lui semblait. L'année de ses 13 ans, Maisy partit à Hawaï, en vacances, c'était magnifique, et c'était à partir de ce moment que James Williams commençait à se disputer fortement avec sa femme. C'est aussi à ce moment que Maisy fuma sa première cigarette, et qui risquait moins d'être sa dernière. Ses parents qui se disputaient de plus en plus, elle s'en contrefichait : elle avait un bouteille de vodka et de whisky, et elle appréciait beaucoup ses nouvelles amies les cigarettes. A quinze ans, personne n'aurait prévu que Maisy Williams fume comme un pompier, boive de la vodka à peine rentrée et ne soit déjà plus vierge. Elle avait un copain qui l'entrainait dans tout et n'importe quoi. Maisy eut aussi quelque problème de poids, elle ne passait pas loin de l'anorexie. Evidemment, quand elle s'en rendit compte, elle commença à oublier les régimes et à ne manger que des cochoneries anglaises bien grasses. Elle trainait dans les fêtes où se trouvaient de la drogue, et n'en refusait pas vraiment. Vous connaissez Skins ? Maisy aurait pu être un des personnages de cette série. Maisy avait sa réputation de fille bourrée à toutes les fêtes à tenir. Si Maisy Williams n'était pas pété comme un trou à une fête, ce n'en était pas une. Cara, ne remarquait pas que sa "fille" rentrait tard, complètement défoncée et prête à sauter du Big Ben si on lui avait demandé tellement elle était défoncée. Personne ne remarquait qu'elle paraissait plus heureuse qu'avant, qu'elle avait toujours un sourire aux lèvres, même si c'était tragique. Le sourire de la jeune fille n'était plus qu'une façade, ses bêtises et ses "balades" nocturnes n'étaient que des moyens d'attirer l'attention de sa mère : ce qui était bien loin de fonctionner.
❝ chapitre quatre ❞ ϟ A seize ans, comme personne, ni même sa mère, ni même son père, ne tentait rien pour la sortir de cet enfer, elle trouva une solution. Tout le monde avait compris que Maisy se droguait, buvait, qu'elle n'était pas heureuse, pourtant, ils ne faisaient rien. La seule solution pour elle, qu'elle trouva après de mûres réflexions et questions sur elle-même, la vie, le sens de la vie et toutes ces questions quelque peu philosophiques, ce fut le suicide. Un mauvais mélange d'alcool et de médicament fut la solution qu'elle trouva. Un sorte d'appel au secours. C'est son père, qui l'a retrouva inerte dans sa chambre. Il aurait suffit qu'il passe quelques minutes plus tard pour qu'elle y passe. C'est à ce moment que James Williams comprit que Maisy manquait d'attention, et plus particulièrement celle de sa propre mère. Il envoya sa fille faire de nombreuses séances chez un psy, tenta de l'éloigner de tout ce qui pouvait être nocif pour elle, de son ancien environnement. Il lui porta plus d'attention en six mois que Cara ne l'avait fait en seize années. James prit un congé exceptionnel pour s'occuper de Maisy. James lui donna tout ce dont elle avait besoin pour qu'elle se sente bien, pour qu'elle se rende compte que son appel au secours avait été entendu. Lorsqu'elle eut finit ses séances , sa vie était à peu près normale, du moins d'après elle. Elle ne buvait presque plus, se contentait d'un verre de temps en temps. Elle fumait des cigarettes quand l'envie lui prenait, elle avait des amis fréquentables. La belle brune évitait toute personne qui aurait pu la faire retomber dans cet enfer qu'était la drogue, elle ne voulait pas se refaire du mal, elle l'avait compris. Elle était devenue responsable et savait désormais se gérer -elle savait au moins ce qui était bon pour elle et ce qui ne l'était pas. Evidemment, ses parents continuaient de s'engueuler, cela devenait de plus en plus fréquent. Ils parlaient d'adultère, de doubles vies, de trafic, et d'irresponsabilité. Et tout cela, fini sur le bureau d'un avocat, James Williams et Cara Livington divorçaient. Maisy aurait bien choisi de rester en Angleterre, à Londres, mais c'était comme si sa mère l'avait mis de force dans ses bagages. Des bagages que Cara envoyait à NY, elle voulait oublier Londres et son ex mari. Maisy arriva à ses 17 ans à New-York. Elle termina le lycée en tant qu'élève modèle, et partit s'inscrire à Fordham, en stylisme.
❝ chapitre cinq ❞ ϟ Fordham, le stylisme : elle s'y était plus forcé qu'autre chose. Elle avait juste choisi tout cela pour occuper ses journées. C'était sans importance pour elle. Si bien qu'elle rata sa première année. Plutôt décidée à faire carrière dans la mode -c'était bien la seule chose qui lui plaisait- elle recommença sa première année. C'est là qu'elle revu Micah Wildworth, une ancienne correspondante, qui devint sa meilleure amie et sa correspondante. C'est aussi à Fordham qu'elle rencontra Luka Davis : jeune homme idéal et charmant. Qui fut loin d'être idéal en tant que petit-ami. Maisy était plus cocu que jamais. Mais elle n'oublierait jamais l'histoire qu'il avait eut avec une de ses amies, Serena Douglas. Qui, à ce jour, n'est plus réellement une amie, ni une ennemie. Maisy était loin d'être du genre à rester avec un garçon pendant une longue période, pendant sa période lycée, la jeune femme était plus du genre à changer de boyfriend comme de jean. Luka fut la première exception. Mathys Hudson fut la seconde. Ce fut le garçon qui lui fit tourner la tête, au point que, pour la première fois, elle avait pensé s'engager avec lui. Désillusion ; ils se séparèrent environ six mois après leur rencontre. Et puis ce fut le tour de Johnathan Stefan Norton. Son meilleur ami, à la base. La personne qui était là pour elle depuis qu'elle était à Fordham. Celui qui l'avait ramassé à la petite cuillère après toutes ses ruptures, c'était son tour. La plus belle des histoires d'amour de Maisy, la seule qu'elle retiendrait si il ne fallait en retenir qu'une. La plus longue surement : ils se sont séparés un petit moment, après une histoire d'adultère et surtout à cause du fait que Maisy ne souhaitait pas réellement s'engager. Mais ceux qui sont fait pour être ensemble se retrouvent toujours, non ? Micah quitta le pays pour son pays natal, l'Argentine, laissant Maisy seule dans un grand appartement. C'est à ce moment précis qu'elle réalisa qu'il était tant pour elle de retrouver son Johnathan, et de lui prouver qu'elle était prête à s'engager. Alors ne soyez pas étonnés si vous la croisez avec une bague à l'annulaire gauche !
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Sujet: Re: MAISY ϟ La vie est une grande patinoire où je me casse la gueule. Mar 1 Mai - 20:31
Re-bienvenue parmi nous Et bon courage pour ta fiche
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Sujet: Re: MAISY ϟ La vie est une grande patinoire où je me casse la gueule. Mar 1 Mai - 20:33
MAISYYYYYYYY ! Ma p'tite Mogow
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Sujet: Re: MAISY ϟ La vie est une grande patinoire où je me casse la gueule. Mar 1 Mai - 20:40
Zechariah S.D. Venturi a écrit:
Re-bienvenue parmi nous Et bon courage pour ta fiche
Merci Elle est finie
Johnathan S. Norton a écrit:
MAISYYYYYYYY ! Ma p'tite Mogow
JOOOOOOOOOOOOOOOOOHN ma agatichou kouik:
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Sujet: Re: MAISY ϟ La vie est une grande patinoire où je me casse la gueule. Mar 1 Mai - 20:54
Welcome back!
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Sujet: Re: MAISY ϟ La vie est une grande patinoire où je me casse la gueule. Mar 1 Mai - 20:54
tu nous a manqué
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Sujet: Re: MAISY ϟ La vie est une grande patinoire où je me casse la gueule. Mar 1 Mai - 21:04
Belle :brigitte:
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Sujet: Re: MAISY ϟ La vie est une grande patinoire où je me casse la gueule. Mar 1 Mai - 21:08
bonne fiche
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Sujet: Re: MAISY ϟ La vie est une grande patinoire où je me casse la gueule. Mar 1 Mai - 22:34
Welcome, Stroup Et bon choix pour le groupe
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Sujet: Re: MAISY ϟ La vie est une grande patinoire où je me casse la gueule. Mer 2 Mai - 18:02
Bon courage pour ta fiche
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Sujet: Re: MAISY ϟ La vie est une grande patinoire où je me casse la gueule. Mer 2 Mai - 19:46
JESSICAAAAAAAAAAAAAAA Réserve-moi un lien x) Bienvenuuuuuuue x)
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Sujet: Re: MAISY ϟ La vie est une grande patinoire où je me casse la gueule. Mer 2 Mai - 19:49
Conor O'Dwyer a écrit:
Welcome back!
Merci
Gabin A. Deroué-Bourgeois a écrit:
tu nous a manqué
vous m'aviez manqué aussi
Daniel Levinson a écrit:
Belle :brigitte:
merci ahah
Dylan L. Cooper a écrit:
bonne fiche
tout est dit Merci !
Rubby C. Torres a écrit:
Welcome, Stroup Et bon choix pour le groupe
Merci
Lorenzo C. Loris a écrit:
Bon courage pour ta fiche
Merci Lorenzo
Ivy A. Joplin a écrit:
JESSICAAAAAAAAAAAAAAA Réserve-moi un lien x) Bienvenuuuuuuue x)
AAAAAAMBEEEEEE[...]EEER je vénère cette femme Pas de soucis pour le lien, tu peux déjà passer sur ma fiche si tu veux :brigitte:
Katerina M. Lehtonen
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Sujet: Re: MAISY ϟ La vie est une grande patinoire où je me casse la gueule. Ven 4 Mai - 12:45
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Sujet: Re: MAISY ϟ La vie est une grande patinoire où je me casse la gueule. Ven 4 Mai - 23:47
J'adore le pseudo & l'avatar, vraiment très bon choix Re-bienvenue dans ce cas & j'espère qu'on pourra avoir un lien
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Sujet: Re: MAISY ϟ La vie est une grande patinoire où je me casse la gueule. Dim 6 Mai - 11:34
maisylarougemafemme love yaaaa.
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Sujet: Re: MAISY ϟ La vie est une grande patinoire où je me casse la gueule. Lun 7 Mai - 17:14
Bienvenue.
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Sujet: Re: MAISY ϟ La vie est une grande patinoire où je me casse la gueule. Lun 7 Mai - 20:37
Bienvenue Faudra essayer de se trouver un petit lien.
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Sujet: Re: MAISY ϟ La vie est une grande patinoire où je me casse la gueule. Jeu 10 Mai - 11:24
Welcoume x)
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Sujet: Re: MAISY ϟ La vie est une grande patinoire où je me casse la gueule. Lun 28 Mai - 13:16
Validée !
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Sujet: Re: MAISY ϟ La vie est une grande patinoire où je me casse la gueule.
MAISY ϟ La vie est une grande patinoire où je me casse la gueule.
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