Sujet: c’est dans le mensonge que la vérité commence. Dim 23 Fév - 1:55
FEAT. PAUL WESLEY
Daemon Randall-Luka Peralta
26 ans → Né(e) à Londres le 30/09/1988 → Avocat fiancé → hétérosexuel → membre des ordinaries.
And who am i ?
★Quelles sont tes caractéristiques? ▬ Grand et baraqué. Brun aux yeux bruns. Des cheveux courts mais pas trop non plus. J'ai un physique qui plait et qui me plait. Je n'aime pas suivre les modes et porte ce qui me plait. Un jean, un t-shirt, des ray ban et une paire de doc martens me suffisent amplement. ▬ J'ai deux tatouages; le premier que j'ai fais et bien .. Je ne m'en souviens plus. C'est l'histoire typique du type qui a trop bu et qui se réveille avec un tatouage. Il se trouve dans le bas du ventre et c'est un tatouage psychédélique parce qu'encore aujourd'hui, je ne comprends pas sa signification. Le deuxième se trouve sur mon avant bras gauche et c'est une date chère à mon coeur écrite en latin. ▬ Quand je déprime et que j'ai pas envie de sortir, je passe la nuit devant les jeux vidéos. ▬ Pour la St Valentin, quand je n'ai personne, je me regarde un bon film mielleux à la TV avec quelques paquets de chips et une bonne bouteille d'alcool. Rituel que j'ai depuis toujours et que, même si je le trouve un peu puéril à 26 ans, je ne peux pas m'empêcher de le garder. ▬ Je suis atteint de TOC, troubles obsessionnels compulsifs. Ce n'est qu'un petit TOC qui ne m'empêche pas de vivre normalement. Je toque ou sonne trois fois à une porte avant d'entrer. Des fois, j'aime dire que c'est simplement un moyen de dire que je suis là. ▬ Je suis du genre à crier haut et fort que fumer tue, à dire que me souffler dans les yeux est désagréable ou que c'est mal, je ne refuse jamais une cigarette quand on m'en propose une. ▬ Je ne peux pas manger ce qui est surgelé. C'est plus fort que moi, je ne peux pas. Rien ne vaut un bon plat bien préparé. Pour ce qui est des fast foods, c'est vraiment quand il y a rien d'autre à manger. ▬ J'adore faire du sport et toucher à tout. La natation reste quand même mon préféré. ▬ J'adore le fait d'être un avocat mais ce n'est pas la voie que j'ai choisi alors .. Ce n'est pas la même chose. J'aurais aimé être sportif professionnel ou encore écrivain. On a pas toujours ce qu'on veut dans la vie mais le plus dur, c'est de s'y habituer.
★Quel est le caractère de ton personnage? → Se décrire ou décrire son caractère est la chose la plus difficile qu'on peut faire car après tout, les choses qu'on retient sur nous même sont presque toujours négatives. Bien qu'en fait, ce ne soit pas spécialement mon cas. ▬ dragueur et sûr de moi sont les premiers traits qui me viennent à l'esprit. C'est un côté que j'assume totalement. J'aime les filles et les filles me le rendent assez bien. J'en fais fuir aussi mais celles là, c'est parce qu'elles ne sont simplement pas à ma hauteur. C'est grâce à cette confiance en moi et à mon charme que j'attire des clients à mon cabinet. Comme quoi ça peut être considéré comme une qualité mais aussi un défaut. ▬ porté sur la famille est un autre trait qui me vient à l'esprit. Je sais qu'on ne le dirait pas quand on le voit. La relation avec mon père est complexe et pour moi, il reste juste le type avec qui je partage un lien de sang même si je garde un grand respect pour lui. Par contre, maman et tib reste les personnes les plus importantes au monde. Ne plus les voir est quelque chose d'inimaginable et je tiens à garder avec eux certaines traditions telles que le dîner du dimanche soir. ▬ l'ambition est une chose importante quand on veut devenir avocat et même si je n'ai pas eu besoin du métier pour être ambitieux, ça a énormément développé ce trait. J'assume tout à fait le fait de pouvoir marcher, même sur mes proches, pour arriver à mes fins. ▬ grand orateur bourré d'énergie. Qualité que j'ai par contre développé en apprenant le métier. Car je dois avouer qu'au début de ma scolarité, je n'aimais pas parler devant une classe. Par contre, si on me mettait près d'une fille d'un coup, ma langue me revenait. Je n'hésite pas à utiliser ce trait à des fins personnelles. ▬ j'ai un coeur. Contrairement à ce qu'on peut penser. Des fois, il est trop grand. Mais ça, c'est mon petit secret. ▬ extraverti et amicale. Avec moi, on ne s'ennuie jamais. Je me fais vite des amis. Autant que des ennemis. impulsif / un peu hypocrite / sportif / souriant / rusé / idéaliste / râleur / courageux / créatif.
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → Charlotte mais je préfère Cha & 19 ans. ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → top obsession. ★Ce personnage est-il un double compte ? → nope. ★Présence sur le forum → six jours sur sept. ★Personnage inventé ou scénario ? → le plus beau scénario du monde ★Crédit images → livejournal.
Mon exemple de RolePlay:
→ VIEIL RP .. DESOLE.
« Monsieur Noah Carter. Si mon cours vous embête, pourquoi y restez-vous ? » La voix de mon cher professeur de gestion se rapprochait de plus en plus de ma place dans cet immense amphithéâtre. Je ne me souvenais pas de ce qui venait de se passer. J'écoutais quand je me suis assoupi sur mes feuilles. J'avoue que je n'avais rien vu venir, à ce moment là. « Svp monsieur, ne m'appelez pas Noah mais Ludwik. Je ne me sens pas très bien, je vais à l'infirmerie voir si tout va bien. » Et sans qu'il ne puisse dire un mot, j'avais rapidement rassemblé mes affaires et avait pris la porte. Bien sûr, l'intention de passer à l'infirmerie était inexistante; je voulais juste m'en aller. Et puis, il n'existe pas d'infirmerie à l'université ou en tous cas, pas tout à fait. Mais je ne peux pas le savoir, je n'y suis jamais allé. On va dire qu'à ce moment là, j'étais fautif; je n'aurais jamais dû sortir la veille alors que j'avais cours à 8h. Mais avouons que son cours de gestion est à dormir debout, ennuyeux et tout autre adjectif dans le genre. Si ce n'était pas un cours obligatoire, je pense que je l'aurais éviter depuis longtemps.
J'avais besoin d'autre chose, de me changer les idées. Lorsque je suis arrivé à la maison, j'ai téléphoné au bar, affirmant que je ne me sentais pas bien du tout et que j'étais dans l'incapacité de travailler. Mentir n'était pas ce que je préférais mais quand il le fallait, il le fallait. Je me suis couché dans mon lit et ait dormi toute l'après midi, ce qui est communément appelé une sieste. J'en avais besoin, je bougeais trop. Je me sentais mal un peu près tout le temps et fatigué tous les jours. Peut-être que les temps des résolutions était arrivé plus tôt dans l'année. Oui, c'est ça! Je vais changer et devenir meilleur. Il faut dire que mon avenir est en jeu. N'est-ce pas ?
Salut beau gosse. Je voulais pas te faire la surprise au cas où ce n'est pas le moment, mais je voulais passer te voir au boulot. J'ai besoin de me changer les idées et oublier et rien ne vaut ma choucroute pour m'amuser toute une soirée. Je serais là dans 20 minutes! Bye. Noah
Mes résolutions étaient parties avec mon envie de rester à la maison. Je me suis demandé, pendant une seconde, pourquoi un jeune de mon âge passerait son temps à réfléchir à son avenir alors qu'il faut juste profiter de la vie. Réfléchir, ça m'énerve et je le fais trop depuis des mois. Aujourd'hui, je serais cool, détendu et à l'aise. Tout ça en compagnie de mon meilleur ami. C'est d'ailleurs le seul, excepté ma sœur, que j'autorise encore à m'appeler Noah. Après tout, il m'a connu sous ce nom et je peux comprendre que des fois, c'est dur de changer. En tous cas, c'est le meilleur des amis que je puisse avoir. Malheureusement, je sens qu'il m'évite pour l'instant et ça, ça ne me paît pas. C'est d'ailleurs pour ça que ce soir, je ne lui laisse pas le choix. On sera ensemble, jusqu'au bout de la nuit, qu'il le veuille ou non. J'ai enfilé des vêtements, pris les clés de la voiture de maman et suis parti vers le cinéma. J'étais tellement déterminé qu'il ne fallait même pas essayer de me contredire sur quoi que ce soit.
« Niko ? NIIIIKOOO! » J'avais commencé par parler normalement et puis me suis dit que si je criais, il apparaîtrait plus vite. Je ne venais pas souvent à ce cinéma sauf pour venir le chercher ou pour un rencard avec une fille; ce qui n'est plus arrivé depuis un moment maintenant. Ce qui fait qu'entré dans le hall, impossible de m'y retrouver. C'est trop grand. En tous cas pour moi. Je regardais dans chaque coin, chaque pièce, tant qu'elle restait près de la salle principale. Au final, j'entendis des pas que je connaissais s'approcher pas loin derrière moi. « Te voilà! » dis-je en affichant un grand sourire. « Comment ça va? »
Dernière édition par Daemon R-L. Peralta le Lun 3 Mar - 23:55, édité 9 fois
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: c’est dans le mensonge que la vérité commence. Dim 23 Fév - 1:56
Well... It's my story...
Londres, 1988. Je naissais un 30 septembre dans la matinée sous le nom de Daemon Randall-Luka Davis. La partie où je change mon nom sera pour plus tard. D'après ce que maman m'a raconté, mon frère est le premier à m'avoir pris dans ces bras. A nous regarder, on savait apparemment que plus tard, nous nous entendrions à merveille. Je naissais dans une des familles les plus aimantes et riches de la capitale anglaise. Je vais épargner tous les détails de la vie normale que j'ai eu quand j'étais gosse, je n'ai pas envie de m'endormir avant la fin de l'histoire. c'est long et ennuyeux. De plus, ma vie a réellement commencée en rentrant à l'université. Mais ça, c'est pour plus tard aussi. J'étais un enfant normal qui est passé par toutes les petites évolutions telles que répondre à ses parents, leur mentir, de pas être bon à l'école mais ma seule différence, et elle a commencé plus tôt que je ne le pensais, c'est cette capacité a toujours être entourée de filles. C'est au collège que j'en ai compris la réelle signification et que j'ai commencé à user de mes charmes. J'avais beaucoup de petite copine. Limite, je claquais des doigt et je pouvais me considérer comme en couple. Le seul problème, les garder. Une fille, ça demande trop de soins et d'attention. C'est pas mon truc. Je vais vite voir ailleurs. Une année, j'ai fait une liste. J'ai limite honte de dire à combien de copines je suis arrivé; le pire dans tout ça, c'est que j'ai commencé à réfléchir et qu'en fin de compte, ça n'a servi à rien.
Londres, 2003. Cher journal. Papa et maman m'ont emmené voir un psy persuadés que j'ai des troubles de la personnalité ou un truc dans le genre. Débilité profonde. Ne connaissent-ils pas la crise d'adolescence ? Bref, voilà que ce psy m'oblige à écrire ce que je ressens dans un journal. Autre débilité profonde. Que faut-il que j'écrive ? Que j'ai parfois envie me tirer une balle dans la tête ? Ou alors que je ne sais absolument pas pourquoi je me sens malheureux. Ou plutot seul. Incapable de rester avec une fille ou d'avoir une conversation normale avec ma famille. Je ne m'y retrouve même plus à tel point que quand je me relis deux phrases avant, je ne comprends pas ce que je veux dire. J'en ai marre de m'apitoyer sur mon sort et ce journal me donne encore plus l'occasion de le faire. Je ne le garderais pas longtemps, juste assez pour satisfaire le psy. J'admets par contre que ça peut être réconfortant d'écrire ces pensées profondes sur un papier qu'on est presque sur un jour de brûler. Je vais peut-être en profiter .. New York est un rêve pour n'importe qui. Pourtant, même si je meurs d'envie de m'y rendre, j'ai pas spécialement envie de quitter Londres. J'ai l'impression de quitter une partie de moi même en m'en allant. Mais je vais le faire. Un parce que je pars avec maman et Zack et deux parce que je m'éloigne de mon très cher père et respirer un peu devrait me faire du bien. Merci, en fait, merci. Je me suis rendu compte qu'en fait, ça allait. Tout se passerait bien. Tout se passe toujours bien.
New York, 2006. L'adaptation s'est mieux déroulée que ce que je pensais. New York est une ville de rêve et même si Londres me manque, je suis content d'avoir fais ce voyage. J'avais peur de perdre maman en revenant ici car après tout, Katherine Peralta a commencé sa carrière à New York! Je me disais qu'elle renouerait avec ses connaissances et que mon frère passerait son temps avec les membres de son équipe pendant que moi, je serais seul, en train d'apprendre à vivre ma nouvelle vie. Que de contraire! Fini les on se voit jamais la journée, fini les repas où on se battait tous les 4 pour savoir qui devait se sentir le plus fier et surtout, fini d'avoir papa sur le dos 24h/24. J'ai déjà décidé de lui faire plaisir en m'inscrivant en droit à l'université et comme d'habitude, il lui en faut plus. Mais il patientera. Papa et maman n'ont pas divorcé. Enfin, je crois. Il fallait juste qu'il reste proche de ses affaires. Ca ne m'étonnerait pas qu'il aime plus le travail que ses propres enfants. Mais là n'est pas la question. La fin du lycée est une période fantastique. Les filles sont canons, les gars cool et les cours .. Ben c'est les cours. J'ai réussi à être diplomé sans redoubler ce qui a franchement réussi à m'étonner moi même. J'étudie pas, je fais du chahut et je parle tout le temps. Parler c'est d'après les profs. Je pense que si ils ont le droit de parler, j'ai autant le droit qu'eux de le faire. Je suis bien sûr le seul à le penser. Demandez a maman ce qu'elle en pense ..
Oui, j'ai un problème avec l'autorité. Et alors ?
New York, 2007. Cher journal. J'avais oublié que je t'avais laissé au fond d'un tirroir. J'étais persuadé t'avoir brûler. Mais en fin de compte, tu tombe bien. Je me rend bien compte de ton utilité aujourd'hui même si je trouve l'idée toujours aussi stupide. Mon premier jour à l'université arrive enfin. C'est signe de tellement de changement .. Ca veut dire que je suis grand, pour de vrai maintenant. Ahah. J'y rentre en droit, comme papa l'a voulu et pour la première fois, je l'ai vu sourire et être fier de moi. Merde, ça fait drôlement du bien. Je ne connais personne, que j'apprécie réellement, qui y va. Je me suis inscrit dans l'équipe de natation et me rend à la fête de rentré ce soir. Si j'arrive pas à m'intégrer après ça, je laisse tomber l'unif de Fordham. Fin, juste les gens. Je vais essayé d'y aller, de décoler de mon lit et d'affronter ce qui m'attend aujourd'hui. Avec joie, bien sûr.
New York, 2008. Serena Douglas. Je ne peux m'empêcher de rester des heures à réfléchir et à me demander comment une fille m'a fait et me fait cet effet là. Au début, j'ai commencé à jouer comme à chaque fois. Elle me trouvait lourd, bête et méchant et ça me faisait rire. J'ai continué, elle a riposté. Mes yeux, intérieurement, s'agrandissaient comme dans un film, où les acteurs surjouent, quand le héros apprend une folle nouvelle. J'aurais pu cracher tout ce que j'avais dans ma bouche aussi mais dans ma tête, la première proposition était plus propre. Ce n'était jamais arrivé, je n'étais jamais tombé sur une fille avec autant de caractère. Un jour, j'ai profité d'un truc qu'elle dut me rendre et j'ai enfin pu passer un moment avec elle. Je ne me souviens plus de ce que j'ai fais mais au moins, on enterrait une hache de guerre et surtout, j'apprendrais à mieux la connaitre. Elle eut droit aux clés de ma voiture et j'eus droit à un très très long trajet et un arrêt dans un motel un peu bizarre. Le fait qu'une fille soit en couple ne m'a jamais dérangé mais là .. Je faisais peut être du mal à Casey, mon nouveau meilleur ami. Fin, tant pis. J'y pensais jusqu'à ce qu'elle m'avoue s'être bien amusée, avoir passé du bon temps. Je la voulais, plus que tout. Je décide alors de la déposer chez elle. Serena tenta de me faire comprendre qu'elle aimait Casey. Elle ne le trompera pas. Pourtant je ne perdais pas espoir et fini par me lacher; tu sais, je sais que je ne suis qu'un connard quand ça touche aux filles ... Je n'ai jamais essayé de me changer. Pourtant, tu me donne envie de le faire depuis notre rencontre et ça me perturbe. C'est pour ça qu'avec toi je suis encore pire. Je me dis que j'arriverais peut-être à faire partir ce sentiment et surtout, que ça me ferait arrêter de faire l'andouille et d'essayer de me démarquer des autres. Pour toi. La suite, je la garde pour moi. Je croyais qu'on commençait quelque chose mais je me suis trompé. Largement trompé. D'abord, j'ai été blessé par le fait qu'elle se rejette dans les bras de Casey très rapidement après ce qui s'est passé. Et comme un con j'ai continué à essayer de l'impressionner et d'essayer de lui prouver que je la veux et que pour le première fois, je serais sérieux. Puis vient quelques trous noirs, des choses dont t'a pas envie de te rappeler alors t'a appuyé sur effacer dans ton cerveau. J'ai reçu une bonne gauche et n'ait plus de meilleur ami. Une humiliation ? Je n'irais pas jusque là. Mais je me sentais pas très bien. Et pourtant, j'ai continué à la chercher en espérant qu'on soit réellement ensemble un jour. J'ai fais des choses tellement folles pour elle .. Je n'en reviens pas du peu de considération. Mais je me disais que c'était mieux que rien. La vrai humiliation arrive maintenant. Une demande en mariage qu'on refuse peut être considérée comme telle. Encore une fois, je ne sais pas ce qui m'a pris. L'amour te fait faire des bêtises, des pures conneries et celle là était surement la pire.
Londres, 2011. Cher journal. Je savais que tu me servirais encore. J'ai fais l'andouille, le vrai. Je me suis ridiculisé pour une fille. En tous cas, c'est ce que papa m'a fait comprendre. Après ma demande en mariage foireuse, j'ai peté les plombs. J'avais envie d'être seul et de réfléchir même si la plupart du temps, j'essayais de me concentrer sur autre chose que ma misérable vie. Sex, drugs and rock'n roll dominait ma vie. Le problème c'est que le fils du " plus grand avocat de Londres " ne pouvait se permettre de nuire à la réputation du nom Davis. Et un jour, j'ai reçu un appel de papa. Fin, je l'ai enfin pris au téléphone. Je crois que je ne l'ai jamais vu aussi énervé de toute sa vie. Il ne voulait pas entendre mes raisons et s'appuyait juste sur les faits. Je fus ramener à Londres dans les jours qui suivirent pour terminer mes études là, sous le bon oeil de mon père qui d'un coup semblait moins occupé par ses riches clients et un peu plus par moi. Comme quoi tout malheur a ses avantages. Encore deux ans d'études. Je suis retournée à New York une fois. J'avais reçu l'autorisation de voir maman et j'en ai un peu profité .. Je n'avais le droit de voir personne là mais je me suis glissé hors de la maison pour aller à l'enterrement du meilleur ami de Serena. C'était comme si j'étais là pour elle sans réellement l'être. Je l'ai vu sans Casey ce jour là et même si ça semble méchant, je ne pu m'empêcher de sourire face à ça. Puis je suis rentré à Londres, simplement. La grosse pomme me manquait beaucoup. C'était dur de repartir. Et c'est ce jour là que j'ai promis qu'un jour, je reviendrais pour de bon.
New York, 2014. Ou de nos jours. J'ai toujours respecté mes promesses, même celle que je me fais à moi même alors je suis de retour dans la grosse pomme et ce, depuis un moment déjà. Je n'aurais jamais du la quitter, elle m'a tellement manquée! J'ai été enfin diplômé et lâcher de l'emprise totale de mon père; je veux percer, être doué pour le métier mais pas en portant le nom de Davis. J'ai pas envie d'être comparé. En revanche, en portant le nom de Peralta, j'ai moins de chance d'être pris pour enfant d'avocat. Et puis, ce changement de nom aurait du se faire il y a longtemps déjà. Je n'en avais juste pas la force. J'ai contacté des bons copains de Fordham et ait trouvé un associé pour enfin exercé! C'est vachement mieux que ce que je pensais. On est pas encore reconnu mais on se débrouille assez bien pour l'instant. Je n'ai pas encore vraiment revu Serena. Il y a peu, j'ai reçu une lettre de Casey. Au début, je ne voulais pas l'ouvrir; je pensais à une lettre d'insulte ou qui dit que j'ai gâcher sa vie. Un peu parano sur les bords. Puis je me suis pris de curiosité et ne pu m'empêcher de la lire. « Blablabla, situation difficile. Blablabla, attaché à elle. Blablabla, grande carrière. Blablabla, je m'en vais. Blablabla, prends soin d'elle, tu es le seul à le pouvoir. » Je l'ai relu plusieurs fois pour être sûr mais pour aussi bien en comprendre le contenu. Puis mon coeur, mon cerveau et mes lèvres sourirent en même temps. Le sens caché de ces mots avaient fini par être compris. Mon pouls augmenta très vite et je ne pu sortir la jolie brune de ma tête sur le moment. C'était le signe qu'enfin nous pouvions être ensemble.
Sauf qu'il y a un petit soucis qui m'a suivi à New York; ma fiancée. Papa me l'a présenté quand j'étais à Londres et m'a fait comprendre que je le veuille ou non, mon destin et le sien sont dès à présent lié. Je n'arrive pas à l'aimer comme j'aime Serena mais je ne veux lui faire aucun. Ouais, je suis vraiment dans la merde.
Dernière édition par Daemon R-L. Peralta le Lun 3 Mar - 23:51, édité 17 fois
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Sujet: Re: c’est dans le mensonge que la vérité commence. Dim 23 Fév - 1:58
Bienvenue
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Sujet: Re: c’est dans le mensonge que la vérité commence. Dim 23 Fév - 2:04
PAUL. ce mec est un dieu. et ce scénario, me gusta. j'ai hésité longtemps à le jouer mais K. m'aurait tué.
Excellent choix, tu es génial. Bienvenue sur le forum et bonne chance pour ta fiche.
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: c’est dans le mensonge que la vérité commence. Dim 23 Fév - 2:07
Tyler J'aime qu'on me dise que je suis génial alors que je viens seulement d'arriver :3 Heureusement car maintenant, il est à moi Merci pour l'acceuil.
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Sujet: Re: c’est dans le mensonge que la vérité commence. Dim 23 Fév - 2:12
Ce scénario; et l'avatar,
Bref, bienvenue parmi nous
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: c’est dans le mensonge que la vérité commence. Dim 23 Fév - 2:14
bienvenue parmi nous bon courage pour ta fiche
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: c’est dans le mensonge que la vérité commence. Dim 23 Fév - 3:13
On va pas s'aimer beaucoup je crois Mais Paul Bienvenue parmi nous & bonne chance pour ta fiche
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: c’est dans le mensonge que la vérité commence. Dim 23 Fév - 7:34
le luka bienvenue ici plus officiellement si tu as des questions n'hésite surtout pas
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Sujet: Re: c’est dans le mensonge que la vérité commence. Dim 23 Fév - 8:26
paul bienvenue parmi nous
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: c’est dans le mensonge que la vérité commence. Dim 23 Fév - 11:33
Bienvenue bonne continuation pour ta fiche
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: c’est dans le mensonge que la vérité commence. Dim 23 Fév - 12:27
Olalala Merci pour cet acceuil tout le monde
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Sujet: Re: c’est dans le mensonge que la vérité commence. Dim 23 Fév - 12:46
Bienvenue parmi nous & bon courage pour ta fiche
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Sujet: Re: c’est dans le mensonge que la vérité commence. Dim 23 Fév - 12:53
Bienvenue parmi nous! ♥
Mackenzie J. Howard
Empire State of Mind
i love the ring of your name you're the yin to my yang
▌INSCRIT LE : 01/07/2010
▌MESSAGES : 20301
▌AGE DU PERSO : 23
▌ADRESSE : 6812 Beverley Road #104, Brooklyn. avec l'amour de sa vie.