Sujet: CHUCK ; viens petite fille dans mon comic strip. Mar 5 Oct - 22:19
« Charlotte " Chuck " Hunter Wickman » Feat. Taylor Warren ♥
Âge : Vingts ans Date & Lieu de naissance : Née à Paris le 14 Novembre 1990 Groupe : Rebels. UFR : UFR 1 Étude : Arts du Spectacle - Cinéma et Théâtre Prédéfini ou Inventé : Inventé
Sweet about me :
« MORE ABOUT MY PERFECTION »
Physique & Style :
Être ou ne pas être La première impression est toujours la plus importante et ceux malgré ce que l'on en pense, car la vérité est là et Chuck l'a bien compris dès la seconde où elle a mis les pieds à New York. Il est du genre à observer portant des vêtements loin d'être de grandes marques de designers inimaginable mais, son style la différencie bien des autres, un style bien à elle, qui lui va si bien lui donnant se charme que d'autre non pas. En aucun cas elle ne vous montra si elle a peur gardant qu'importe la situation cette confiance en ellei et son sang froid on serait loin d'imaginer que son assurance pourrait lui jouer des tours trouvant toujours solution à tout ce qui l'entoure. Chuck à un culot sans borne que les gens en restent impressionné se demandant comment elle peut ne jamais faire de faux pas. Qu'on la voit ou non on se rappellera toujours de son passage tel un ouragan arrivant sur le passage de chaque personne laissant une preuve de son existence qu'il est impossible à ne pas remarquer.
Fascination est ce que je suis Un regard troublant tel un feu s'abattant férocement qui se lit dans ses yeux, une détermination sans aucune limite. Beaucoup ne peuvent arriver à cerner qu'elle est. Voilà ce qui fascine les gens chez elle. Cette aisance qui se lit dans les yeux bleu de la jeune femme qui ne connait aucune limite, lui donnant cette chose si singulier que personne ne peut prétendre. Drogué, alcoolique ou simplement accentué sur le désir de l'amour ou du sexe la jeune femme en tourmente plus d'un . Fascinée les jeunes homme ne peuvent résister au plaisir charnel qu'elle peut procurer se demandant même si elle est réellement humaine tellement elle ne laisse rien transparaître.
Diaboliquement vôtre je me présente L'humain est une science au quelle on ne peut avoir la certitude de connaître dans les moindre détail et sûrement cela décrirait bien l'aspect et le reflet de Chuck qui reste cette personne si diabolique qu'on n'en serait qu'en extase face au personnage qu'elle est. Déchu ou diable incarné, elle se fiche du regard des autres et de ce qu'on peut penser d'elle loin d'avoir la carrure d'une mannequin elle ressemble à celle qu'on présenterait tel une belle-fille idéal si on ne voyait que l'aspect physique de la jeune femme qui est loin d'aller avec ça réel personnalité. Elle est tout sauf ce qu'on appelait l'idéal féminin mais pourtant elle en intimide bien plus qu'on ne le pense. Elle dégage une aura, on la remarque, on l'entend, on l'écoute restant captiver tel une véritable star à-elle toute seule doté d'un pouvoir suprême la rendant si intéressante et surprenante on ne peut qu'être attacher à-elle de la bonne ou mauvaise manière. Une fois qu'on la voit on ne peut l'oublier.
Caractère :
Chuck est une jeune femme très mystérieuse et impossible à cerner la laissant insaisissable se demandant qui se cache bien derrière ce regard à vous faire frémir. On ne peut jamais réellement savoir qui se cache derrière ses yeux bleus, il est très rare de savoir ce qu'elle pense et où est la vérité dans ses propos et n'étant pas la meilleure pour le réconfort laissant planer chez les gens ce qu'elle est et sa nature profonde. Certains la voient comme un dangereux individu, d'autre comme une prédatrice. Une chose est sur cette belle brune ; elle sème le trouble dans bien les esprits des gens qui n'arrivent jamais à connaître ses réelles intentions et ne laisse personne indifférent. Peu loquace, c'est souvent son regard qui parle pour elle. Elle à cette manie de fixer les gens qui se trouvent autour d’elle avec ce regard malicieux que seul elle connait comme si elle préparait quelque chose ce qui est en partie vraie sans qu'on sache de quoi il peut s'agir et dont elle est la seule à en détient le mode d'emploi. Manipulatrice, elle reste très observatrice et en fait une arme des plus redoutables qui le rend ainsi machiavélique et dangereuse. Certes elle est solitaire et renfermée sur elle mais, elle n'en reste pas quelqu'un d'intelligent arrivant à se sortir de n'importe quelle situation possible. Son côté mystérieux elle en prend bien soin aimant rendre fou les gens leur laissant avoir leur propre opinion sur elle, elle n'est pas du genre à s'entourer d'idiots et sait toujours à qui il a affaire. Bourré de charme elle est un séductrice née mais ne s’en rend pas vraiment compte. Elle sait exactement ce qu'il veut et n'hésite pas utiliser tous les moyens pour parvenir à ses fins, un jeu dangereux qu'elle aime et n'est pas prêt de s'enlacer.
Fascinante tel est l'adjectif qui résumerait en un mot ce que représente et reflète Chuck ne laissant rien au hasard et n'hésite pas sur les coups bas pour obtenir ce qu'elle veut. Charismatique, impulsive, séductrice, insouciante et parfois arrogante ellr en reste pas moins quelqu'un qui peut aussi se montrer loyal quand il le faut et également quelqu'un sur qui on peut compter ainsi il peut agacer une personne très vite tout en arrivant à se faire aimer de celle-ci sans que cette personne ne puisse comprendre elle-même ce qu'ils ressent envers son égard. D'autre part, Chuck peut se montrer très et n'hésitera pas à vous le faire payer ne connaissant pas le pardon à moins que vous comptiez réellement pour lui ce qui reste rarissime. Quand à l'amour ? Chuck s'est attaché à une personne et cela n'est pas prêt d'arriver une seconde fois. Elle veut être maître de sa propre destinée et ne conçoit pas qu'une personne puisse se mettre au travers d’elle ou s'accrocher à ce qu'elle est, elle sait qu'il ne veut pas dépendre de quelqu'un . Cette détermination résulte surtout d'une peur qu'elle ne peut pas exprimer. Jamais et impossible sont les mots qui définiraient bien les sentiments face à cette chose qui lui est totalement inconnue et qu'il demande un jour votre aide pour cela, une chose inimaginable surtout lorsqu'il s'agit d‘elle. Pourtant elle sait qu’il y a une personne qui pourrait la faire changer d’avis si elle accepter de lui faire confiance a nouveaux.
Signe(s) particulier(s) :
Chuck ne possède pas vraiment quelque chose de spécial tel un tatouage qui signifie ses premiers frasques ou sa première blessure, ni une chose qui marque sa rébellions. Cependant, elle ne quitte pas sa gourmette que lui à gravé sa grand-mère un bijoux qui a une valeur inestimable à ses yeux. Il y'a aussi son accent français qui la démarque des autres et lui rajoute en plus un certain charme
Orientation Sexuelle :
Chuck n’a rien contre les homosexuelle ou les bisexuelle pour elle peut importe le sexe de la personne tant qu’il y a de l’amour derrière. Oui ce qui compte le plus pour elle c’est l’amour et jusque la elle ne l’a trouver que chez les garçons, on peu donc en déduire qu’elle est hétéro.
Citation favorite :
« Je ne pense comme personne, je ne sens comme personne, je ne raisonne comme personne. » Maupassant.
« BEHIND THE COMPUTER »
Prénom : Sketchi / Cyrielle Âge : 16 ans. Comment as-tu connu ce forum ? : Grâce à Beth & Damon ♥ Ton avis (design, contexte, ...) : Design magnifique & Forum qui m'a l'air bien sympathique ♥ Présence sur le forum : 5/7 Autre(s) compte(s) : Nope Exemple de RP :
Spoiler:
« Montrez moi un héros, et je vous écrirais une tragédie. »
Francis Scott Fitzgerald.
Je ne me souviens plus où j'ai entendu cette phrase la première fois, je me souviens juste de l'avoir tout de suite compris sans vraiment savoir pourquoi. Dans tous les livres, dans tous les contes, on nous met en scène un héros. Un homme qui sait braver tous les interdits pour sauver la belle demoiselle en détresse et qui décroche tous les honneurs qu'il n'a jamais pu avoir auparavant. Je dis qu'il faudrait revoir ces histoires. Dans la vraie vie, les filles en détresse sont seules et doivent apprendre à s'en sortir sans l'aide du héros. Parce que si on attend désespérément la venue d'un être qui serait capable de nous aider, de nous sauver de la vie elle même, on finit par mourir en l'attendant. Quand j'étais petite, j'avais peur du noir. À un tel point que je me levais de mon lit et que je me hâtais de toquer à la porte d'Aleksandr. Ce qui avait le don de l'énerver au plus haut point d'ailleurs. C'est fou comme la présence d'un être aimé peut être apaisante pour affronter une peur. Avec le temps, ma peur de l'obscurité disparût, pour laisser la place à une autre : La peur d'être seule. Encore. La peur de perdre mon âme et la seule chose qui me raccrochait à la vie. Encore. Et la plus importante de toute, la peur de mourir seule sans être pleurée. Qui serait là quand mon nom, ma date de naissance et de mort seront si simplement écrit sur une pierre tombale, accompagné d'une phrase en ma mémoire ? Qui sera là pour reconnaître mon corps à la morgue ? Là, tout de suite, j'arrivais à me poser cette question. La vie est bien trop courte et bien trop compliquée. Nous sommes coincés dans notre enveloppe charnelle jusqu'à ce que la mort nous emporte, et il n'y a rien que l'on puisse faire contre ça. Justice divine me direz-vous, on vit et après on meurt, à nous de nous assurez que notre vie ressemble le plus possible à celle dont on à rêvé. Ramassis de conneries vous répondrais-je. Rien n'est prévisible. Avais-je prévu de tomber dans les drogues dur ? Certainement pas, pas plus que je n'avais prévu de partir et tous laisser derrière moi. Personne ne peut le prévenir, personne ne peut jamais prévenir ce genre de choses. Les méandres de la vie sont imprévisible et ils nous surprennent à chaque fois de plus en plus. Mon frère, Alek, en était un bon exemple. Lui, si attentionné et pleins de ville, qui aurait pu imaginer qu'un jour, il deviendrait cette personne qui n'arrive pas à croire au bonheur. Vous voyez ? La vie peut être pleine de surprises, à c'est à nous de les gérer comme il le faut si on veut que notre vie ressemble un tant soit peu à ce que chaque enfant rêve, un conte de fée. Sans plus attendre, j'enregistrai rapidement mon texte et je refermai nonchalamment l'écran de mon ordinateur portable. Comment est-ce que je pouvais encore tenir à un tel point à l'écriture ? Seul moyen qui parvenait encore à me vider totalement et même lorsque j'étais sous l'emprise d'un quelconque produit, j'arrivais à me demander si j'étais réellement aussi bien que je l'étais en ce moment. Enfin je n'étais et n'avais jamais été complètement bien. Je n'étais jamais aussi heureuse que je ne l'avais été un an auparavant. Je n'avais pas une vie rêvé mais, des personne que j'aimais et qui m'aimait ça aurait dû suffire à me donner envie d'avancer avec eux et pourtant j'ai tous quittée... Décidée à mettre un petit peu d'ordre mon appart, je levai mon fessier de mon canapé, pour ramasser le maximum de mes affaires qui se trouvaient à même le sol. Je les déposais sur canapé, puis, une fois ma tâche finie, j'emmenai toutes les fringues au bout du petit couloir, dans ce qui était censé me servir de chambre. Cette dernière était la deuxième pièce la plus grande de mon minuscule appartement. Un lit deux places se trouvait au milieu, et une commode était en face de ce dernier. Je posais mes habits sur le lit, puis je commençai à les ranger dans ma commode. De retour dans mon salon, je fis le ménage complet, vaisselle, ramassage des vieilles bouteilles et tout ce qui traînait. Quand j'eus fini, mon appartement était plus propre qu'il ne l'avait jamais été. Au milieu des affaires qui étaient par terre, j'avais retrouvé mon cahier, celui dans lequel j'écrivais, avant, lorsque je n'avais pas mon ordinateur à ma portée. Il était usé, et vieux, mais il était hors de question que de le jeter. Je le pris entre mes mains et feuilleta rapidement les quelques pages remplies. Rien qu'en voyant ce cahier, je ne pensai qu'à une personne : Alek. Mon frère que je n'avais pas vu depuis plus d'un an. Je m'étais souvent demandée a quoi pouvait bien ressembler sa vie aujourd'hui, j'espérais qu'il s'était stabiliser et qu'enfin il avait décidé qu'il avait lui aussi droit au bonheur. J'avais souvent imaginé nos retrouvailles, souvent pensé a sa réaction quand ses yeux rencontreraient les miens. Une Phrase retint mon attention : " Personne ne peut comprendre, c'est plus fort que tous , c'est unique. Tant que nous sommes ensembles rien ne peut nous arriver " Soudain ce fut comme une évidence , il était temps que j'aille sonner a sa porte, il était temps que je m'excuse pour le mal que je lui ai fait , il était temps que je retrouve mon double. En passant devant le miroir, je décidai d'aller me changer, puis de mettre a excusions mon idée. En sortant de la salle de bain, j'étais complètement métamorphosée. Je portais une tunique longue à bretelles larges, qui m'arrivait juste auEn passant devant le miroir, je décidai d'aller me changer, puis de mettre a excusions mon idée. En sortant de la salle de bain, j'étais complètement métamorphosée. Je portais une tunique longue à bretelles larges, qui m'arrivait juste au-dessus des genoux, bleue nuit. Mes cheveux étaient simplement coiffés, restant tout de même un peu ébouriffé, comme j'aimais. A mes pieds on trouvait ma paire de converse que ne quitter jamais. Autrement dit, une tenue du soir. J'enfilais une petite veste en cuir, sans la fermer et sortait enfin de l'appartement.Le trajet jusqu'a l'appartement d'Alek était si court que je décidai d'y aller à pieds -enfin, dans la situation, en converse- je pris le vieil ascenseur et je fus rapidement devant la porte de mon jumeau. Je toquai avant d'entrer dans le studio qui n'était pas verrouillé à double tour apparemment. Je posai mes clés sur le petit meuble à côté de l'entrée, comme si j'étais ici chez moi, et que venir ici était juste si habituel. Un coup d'oeil autour de moi, rien n'avait changer depuis la dernière fois, j'avançais tranquillement dans l'appartement quand mon pied rencontra un objet sans le vouloir un " merde " m'échappa et c'est alors qu'il apparu là juste devant mes yeux. Il n'avait pas l'air d'avoir beaucoup changer et pourtant je remarquais tout de suite que quelque chose n'était plus pareil chez lui. Je ne pue m'empêcher de sourire ne sachant quoi dire.
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« I'M SO BEAUTIFUL »
Dernière édition par Chuck H. Wickham le Lun 11 Oct - 23:06, édité 22 fois
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: CHUCK ; viens petite fille dans mon comic strip. Mar 5 Oct - 22:20
LA VIE VOYEZ-VOUS, ÇA N'EST JAMAIS SI BON NI SI MAUVAIS QU'ON CROIT
PARADOXE, illuminée ou calme, déprimée ou joyeuse, fleuretant avec le danger ou bien d'une discipline à faire peur, polit comme insolante. Petite fille légèrement naïve à la première année, devenue d'une tristesse incompréhensible. Assise dans le grenier pendant des heures à lire ou bien à attendre que le temps passe. Loufoque et timbrée par moment. Sage et disciplinée d'autres fois. Perdue entre le déni du passé et le mal de penser au futur. Cette peur pourtant le désir de passer à autre chose est bien présent. Peur des autres et de ce qu'ils pourraient faire. Il faut croire que la solitude n'est que ce qui peut la protéger. Une solitude qui l'entraine parfois aux pires actes mais surtout au pires pensés. Dès lors l'envie d'être entourée pourtant la peur est toujours là. Personne vers qui ont ne vient pas forcément, c'est une fille intelligente, mais surtout très cultivée, protectrice et pourtant manipulatrice. Préférant mentir que de dire la vérité. Un mensonge de plus ou de moins ne ferait pas de différence dans ce monde de poussière qu'elle s'est crée.
Paris ; le 15 Avril 1998
Postée devant la télévision, le nez en l’air c’est avec malice que cette petite fille dégustait les dessins-animées. Ce jour-là il s’agissait des cartoons, pur produit américain qui avec les années commençaient peu à peu à disparaître. Encore une fois Vil le coyote cherchait désespérément à attraper BipBip l’autruche bleue. Régulièrement, un sourire venait illuminer le visage de Charlotte Cela faisait déjà une bonne heure qu’elle était restée sagement sur le canapé. La faim se faisait de plus en plus ardente et il vint un moment où elle ne put se retenir d’attendre. Alors elle quitta le canapé sur lequel elle avait élu demeure. A quelques pas de là se trouvait un imposant fauteuil sur lequel était installée sa mère. La femme âgée d’une trentaine d’années semblait dormir. La jeune Wickham, tout en s’approchant d’elle, l’appelait. D’une voix calme et posée elle l’appela une dizaine de fois pourtant aucunes réactions. Alors, une fois à sa hauteur elle posa sa main sur l’épaule de sa mère et commença à la secouer doucement. Toujours rien, alors elle y alla un peu plus fort. Malheureusement aucune réaction n’eut lieu. Commença alors à naître en cette petite fille de la peur. Comment cela pouvait être possible ? sa mère ne se réveillait pas. Elle y alla encore plus fort allant jusqu’à lui donner des petits coups, mais toujours rien. C’est alors qu’elle se dirigeait vers la cuisine pour prendre le téléphone qu’elle remarqua une petite boite près du fauteuil. Une petite boîte en plastique d’une couleur jaunâtre, orangâtre. Une petite boîte que Chuck connaissait bien malgré son jeune âge. Alors, sur son visage de petite fille vint rouler de petites goutes salées. Des goutes qu’elle ne tenta pas d’effacer, les laissant couler, tombant alors dans son coup. Restant quelques minutes près de sa mère elle finit par rejoindre la cuisine et brandit le téléphone. Tapant simplement trois numéros c’est d’une voix tremblante qu’elle déclara à un inconnu. « elle ne se réveille plus. elle a trop pris de médicament … » On lui demanda de se calmer et c’est ce qu’elle fit. Allant se poster devant la porte elle ouvrit au signe le plus faible de présence. C’est ainsi qu’elle ouvrit deux fois la porte pour rien. Il parait que la troisième c’est la bonne et cette fois-ci ce fut le cas. Débarqua quelques inconnus en blanc. Les grands yeux ouverts en voyant que c’était ce petit bout de fille qui les avait appelé et qui dans les secondes qui suivirent les emmenèrent trouver la malade. Sur les quatre qui étaient venus, trois s'occupèrent de la femme pendant que le quatrième s'approcha de la petite fille. Joanie était restée en retrait, contre l'embrasure de l'entrée du salon. Regardant la scène avec un certain calme. Ce n'était pas la première fois. Celui qui vint la voir devait avoir une quarantaine d'années. Il la regarda avec un petit sourire qui se voulait rassurant. La jeune enfant n'en prit pas compte et continua de regarder les soins qui étaient prodigués à sa mère. Puis elle dut dévier son regard pour le poser sur l'urgentiste qui lui demanda s'il y avait quelqu'un qui pouvait s'occuper d'elle. « il n'y a personne d'autre dans la maison. mais ne vous inquiétez pas, je vais appeler ma grand-mère. » Cette fois-ci, c'est elle qui dessina sur son visage un sourire rassurant. Ne voulant pas entrer dans une conversation elle se dirigea vers le téléphone coupant ainsi toute communication avec l'urgentiste. Le numéro qu'elle fit, elle le connaissait sur le bout des doigts et n'attendit pas longtemps pour avoir sa grand-mère. « bonjour, désolé de te déranger. mais elle a recommencé, j'ai dû appeler les urgences et je me retrouve seule. est-ce que tu pourrais venir ? » La réponse fut positive, de toute façon elle l'était toujours. Sa grand-mère était devenue, en quelque sorte, sa seconde mère quand cette dernière perdait tout sens de la réalité comme ce fut le cas ce jour-là.
Depuis cette soirée du 15 Avril 1998 ; toute la vie de Charlotte fut bouleverser. Sa mère fut d’abord placer dans une clinique ; elle partit alors vivre chez sa grand-mère ou elle à passé certain des meilleurs moment de sa vie. Mais elle le savait très bien, cette situation ne serait que provisoire bientôt elle aller devoir quitter Paris pour rejoindre son père et sa nouvelle femme à Londres.
Londres ; 2003
Laissant tomber son stylo sur le cahier elle brandit le téléphone qui se trouvait juste à côté d'elle. Inutile de chercher le numéro elle le connaissait par cœur. Elle eut à attendre quelques secondes avant d'avoir un interlocuteur qui s'avéra être une interlocutrice lui demandant ce qu'elle voulait. « bonjour. serait-il possible d'avoir la chambre douze s'il-vous-plais. je suis sa fille. » Elle roula les yeux, cela l'énervait toujours qu'on lui demande qui elle était, ce n'était pas la première fois dans sa vie. Parfois, elle avait l'impression de ne pas exister, d'être là sans que les autres la voit. C'est ainsi que même en passant du temps entourée de personne elle se sentait seule, même discuter avec eux ne l'a soulagé pas. Alors, à chaque fois qu'on lui demandait qui elle était, sa gorge se serrait et son corps lui semblait être une épave. Pour attendre, elle eut le droit à une musique stupide, cela la faisait toujours sourire d'entendre ces petits airs légers et cela lui permit de ne plus trop penser. Sa mère répondit vite. Mais la conversation fut courte et à sens unique. « bonjour maman ! tu vas bien ? » « qui êtes vous ? » Chuck passa la main dans ses cheveux et déglutit bruyamment preuve d'une gêne qui s'installait. Sa gorge commença à se nouer et sa voix commit deux ratés. « Charlotte ; ta fille ! » « je n'ai pas de fille. » Sa tête se baissa et elle y passa sa main libre. Ses yeux commencèrent à briller car il s'était formé ce liquide connu qui forme les larmes. Sa voix se fit plus faible car enrouée. « si, regardes près de ton lit la photo, c'est moi maman. » « mais je n'ai pas de fille. » Cette fois-ci les larmes furent trop dure à retenir. Car malgré le fait qu'il n'y avait personne dans la pièce, Chuck se força à contenir ses larmes mais c'était devenu trop dure. Alors, des goutes salées vinrent rouler sur ses joues tels des cailloux. A l'aide de sa main libre elle en enleva quelques unes de ses joues mais elle s'arrêta pour parler. Sa voix ne fut qu'un souffle léger. « au revoir. » Elle reposa le téléphone et alors posa ses mains sur son visage. Menant ses genoux à sa poitrine elle enfonça sa tête dans le creux de ses genoux et pleura quelques minutes. Sa respiration se fit de plus en plus forte et irrégulière. Quelques minutes plus tard, elle leva la tête et essuya son visage qui devint rouge. Hoquetant et reniflant elle parvint à se calmer. Raclant sa gorge elle entendit son père l'appeler du premier étage lui demandant si elle allait bien. Chuck lui cria que oui et dans sa voix aucune trace de tristesse. Une fois de plus elle avait remis son masque et repartait jouer dans le théâtre de la vie. Quittant sa chambre pour rejoindre sa belle-mère & son père qui était en trin de préparer le repas comme le ferait une mère attentive et attentionnée...
Aéroport de Londres ; 2008
" Vol 215, en partance pour New York, États Unis. Embarquement immédiat " Chuck se leva à l'annonce de son vol, le visage encore remplit des nombreuses larmes qu'elle n'arrêtait pas de verser, elle n'avait que 18 ans, et elle partait pour l'autre bout du monde, laissant sa vie, son cœur derrière elle. Tout se passait si bien, quelques jours auparavant, mais maintenant, elle devait à tout prit fuir. Elle cacha son visage derrière ses longues mèches brunes tandis qu'elle se dirigeait d'un pas morne vers la zone d'embarquement. Quand elle avait postulé à l'université de New York cela n'avait été qu'un défi stupide à elle même, pour se prouver qu'elle en était capable, et elle n'avait eu aucune intention d'y aller. Pourquoi aurait elle voulu y aller alors qu'elle avait tout ce que la vie pouvait lui offrir, ici ? Son cœur se serra alors que sa main attrapa son collier, un cadeau de Damon, pour son anniversaire au début du mois. Damon qu'elle connaissait depuis son dix-septième printemps, en effet, cette année la celle qui était maintenant définitivement baptisée Chuck fit la rencontre de Junie qui n'était autre que la petite amie de celui-ci. Junie , ou la fille qui fascinait à l'aide d'un simple regard d'une simple parole et qui pourtant était tout à fais détestable et Chuck en a fait les frais. D'abord, très amies , les deux jeunes fille étaient inséparables puis Damon est arrivé et les choses se sont alors compliquées. Je vous vois tout de suite arriver ; encore deux amies qui se déchirent pour un garçon je vous arrête tout de suite, dans le cas de Chuck ; Junie & Damon l'histoire et bien plus complexe. A l'origine Damon n'était pas du tout intéresser par Chuck et se sentiments étaient réciproque, il n'avait d'yeux que pour Junie comme la plupart des garçons peuplant l'Angleterre. . Mais vite il eut droit aux crises de jalousie en tout genre et à l'éternelle insatisfaction de cette dernière. Il trouva alors en Chuck une oreille attentive ; une sorte de confidente. Elle finit même par lui parler de sa mère, il était devenu son meilleur ami quelqu'un à qui elle pouvait tout dire sans avoir la moindre crainte. Plus le temps passait plus leurs complicités sauter aux yeux et plus la jalousie habiter Junie. Elle devenait alors insupportable et ce qui devait arriver fini par se produire ; Chuck fini par lui tourner le dos et Damon ne cessait de blâmer Junie. Les dix-huit ans de Chuck approchait alors à grand pas si elle avait su tout ce qui allait alors se passer elle n'y aurait sans aucun doute pas cru. Junie et Damon étaient alors en constante dispute, c'était le soir du 14 novembre le père de Chuck avait réuni tous les amis de sa fille dans un café sans en parler à sa progéniture. Quel surprise quand la lumière s'alluma pour illuminer toutes les têtes présentes pour cette soirée pas comme les autres. Toutes les têtes présentes... pas vraiment. La seul qu'elle aurait vraiment voulue voir était aux abonné absent. Enfin jusqu'à ce que le gâteau arrive , puisque comme sortit de nulle part il s'approcha de notre Chuck national lui souffla un joyeux anniversaire tout en lui demandant s'il était possible qu'ils se retrouvent plus tard pour discuter. 2h00 du matin , Chuck sort pour fumer sa première clope de la journée sur le trottoir d'en face : Damon. Elle traversa rapidement la rue, ils échangèrent un sourire. Il lui attrapa alors la main et ils avancèrent vers un petit parc , un endroit calme. Là-bas il lui offrit son cadeau, un collier qui aujourd'hui encore et soigneusement ranger dans une boîte. Il ne lui offrit pas seulement un collier, non il lui offrit bien plus. Ce soir-là Chuck compris que depuis le début elle ressentait bien plus que de l'amitié pour Damon et que ce sentiment semblé réciproque. Ce soir-là ils échangèrent leurs premiers baisers , ce soir-là et pour la première fois de sa vie quelqu'un lui dit « je t'aime » ce soir-là elle s'offrit à lui pensant qu'ils allaient vivre quelque chose de beaux. Qu'elle surprise quand elle apprit le lendemain matin que Junie & Damon avaient finalement trouvés une solution à leurs problèmes, un trou au coeur elle se sentit plus bête que jamais et même les excuse , les explications de Damon n'y changeait rien. Elle avait envie de creuser un trou et de rentrer dedans pour ne plus avoir à supporter leurs amours en plein visage. Puis il eu cette lettre de l'université; cette lettre qui lui offrait un nouveau départ loin de tout ça. " Vol 215, en partance pour New York, États Unis. Embarquement immédiat "
Dernière édition par Chuck H. Wickham le Lun 11 Oct - 23:06, édité 16 fois
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: CHUCK ; viens petite fille dans mon comic strip. Mar 5 Oct - 22:20
Bienvenuuuue.
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: CHUCK ; viens petite fille dans mon comic strip. Mar 5 Oct - 22:23
wééélcome
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: CHUCK ; viens petite fille dans mon comic strip. Mar 5 Oct - 22:24
Bienvenue
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Sujet: Re: CHUCK ; viens petite fille dans mon comic strip. Mar 5 Oct - 22:26
Merci
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: CHUCK ; viens petite fille dans mon comic strip. Mar 5 Oct - 22:32
Bienvenue J'aime beaucoup ton avatar
Mackenzie J. Howard
Empire State of Mind
i love the ring of your name you're the yin to my yang
▌INSCRIT LE : 01/07/2010
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Sujet: Re: CHUCK ; viens petite fille dans mon comic strip. Mar 5 Oct - 22:50
Welcome
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: CHUCK ; viens petite fille dans mon comic strip. Mar 5 Oct - 22:55
Courage, tu peux la faire ta fiche ♥
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: CHUCK ; viens petite fille dans mon comic strip. Mer 6 Oct - 0:32
Bienvenue parmi nous && Bonne continuation
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: CHUCK ; viens petite fille dans mon comic strip. Mer 6 Oct - 15:07
Bienvenue
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: CHUCK ; viens petite fille dans mon comic strip. Mer 6 Oct - 15:57
Bienvenue sur le forum =)
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: CHUCK ; viens petite fille dans mon comic strip. Mer 6 Oct - 16:34
Merci tout le monde ♥
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: CHUCK ; viens petite fille dans mon comic strip. Mer 6 Oct - 17:57
Taaaaylor *o* (elle m'a toujours fait flipper mais y'a des photo d'elle juste ♥)
Bienvenue & bonne chance pour la suite de ta présa
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: CHUCK ; viens petite fille dans mon comic strip. Mer 6 Oct - 18:50
Bienvenue
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: CHUCK ; viens petite fille dans mon comic strip. Mer 6 Oct - 22:03
Bienvenue parmi nous
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: CHUCK ; viens petite fille dans mon comic strip. Lun 11 Oct - 23:05
Merci
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: CHUCK ; viens petite fille dans mon comic strip. Lun 11 Oct - 23:58
Bienvenue :10:
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Sujet: Re: CHUCK ; viens petite fille dans mon comic strip. Lun 11 Oct - 23:59
Bienvenue
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: CHUCK ; viens petite fille dans mon comic strip. Mar 12 Oct - 12:54
Bienvenue! très bon choix de vava!
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: CHUCK ; viens petite fille dans mon comic strip. Mar 12 Oct - 13:56
Welcome on New York City Life Passe de bon moment parmi nous & amuse toi bien
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Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: CHUCK ; viens petite fille dans mon comic strip. Mer 13 Oct - 14:39
Validée Si tu as du mal à t'intégrer dans un premier temps, un système de parrainage a été mis en place sur le forum ici. Nos parrains seront heureux de répondre à tes questions & Puis pense à voter pour nous sur les topsites le plus souvent possible (a) en particulier sur celui ci ;
& surtout : HAVE FUN
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Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: CHUCK ; viens petite fille dans mon comic strip. Mer 13 Oct - 14:51
Merci ♥ Je vais voter ;D
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Sujet: Re: CHUCK ; viens petite fille dans mon comic strip.
CHUCK ; viens petite fille dans mon comic strip.
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