Adriel Bailey - " being bad feels pretty good, huh? "
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Sujet: Adriel Bailey - " being bad feels pretty good, huh? " Lun 11 Oct - 22:19
« Adriel Bailey » Feat. William Eustace
Âge : 21 ans Date & Lieu de naissance : 16 aout, Londres, UK. Groupe : Rebels UFR : UFR 1 Étude : Arts plastiques. Le dessin depuis toujours et puis aussi, il s'est mit à la photographie depuis peu. Prédéfini ou Inventé : Inventé
Sweet about me :
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Physique & Style :
Physiquement? On peut dire qu'Adriel possède ce genre de physique qui vous fait vous retourner deux fois dans la rue, non pas parce qu'il est un dieu Cela va sans dire mais surtout parce qu'autour de lui semble planer une aura d'innocence qu'on a toujours du mal à capter chez certains (sans vouloir citer personne bien entendu muahahaha) enfin bref, vous l'aurez comprit, cet air ahuri lui sied à merveille.. Et à vrai dire, ce n'est pas pour ça qu'Adriel est réellement à l'ouest (enfin du moins il essaie de ne pas l'être hein on lui en veut pas parfois >>)... Ce sont seulement ses yeux bleus un peu trop clairs et ce regard triste qu'il trimballe qui ne vous donne qu'une envie : celle de le serrer dans vos bras jusqu'à l'étouffer mais bon, peut-être qu'alors son visage se fendra d'un sourire au lieu de vous fixer d'un air indéchiffrable en mode transpercage d'esprit un peu trop flippant pour être honnête ! Que dire d'autre? A part un charisme indéniable dont il ne se rend pas réellement compte, Adriel a des cheveux châtains clairs qui virent à des mèches blondes quand le soleil apparaît, souvent coiffés en bataille. Grand, mince, des côtes saillantes, un visage de gosse, bref, le physique anglais par excellence right? Niveau style, on ne peut pas dire qu'il se donne vraiment la peine de chercher plus loin que sa paire de Dr Martens noire un peu trop usées, des jeans usés et des t-shirts aussi différents les uns que les autres. Enfin bref, pas besoin de se compliquer la vie, right? .
Caractère :
Le truc est qu'il n'existe pas de mots pour pouvoir décrire l'énergumène ici présent ... Non mais sérieusement, si vous voulez enfermer quelqu'un dans un asile, allez-y et embarquez Adriel, pas de problème de ce côté-là... Bizarre, étrange, oui c'est ce qu'on dit du jeune homme. Pas bizarre dans le sens il tape des mains ou il se met à crier dans la rue comme un dingue, non juste étrange dans le sens où on a toujours l'impression qu'il habite sur une autre planète,qu'il vient d'un autre continent et qu'il vient de débarquer la veille. C'est sans doute la raison pour laquelle il a très peu d'amis, bon okay, d'accord, il n'en veut pas et selon lui, il n'en a pas besoin mais quand même... Après tout, il pourrait être sociable, non? Non, apparemment c'est pas son passe-temps favori !Adriel a toujours été un peu calculateur, du moins avant... Le truc est qu'il a changé. En bien ou en mal? Allez savoir personne ne l'a jamais vraiment connu auparavant puisque c'était la même chose. Il vivait, sans se soucier du monde autour, sortait n'importe où pour faire n'importe quoi et personne, encore une fois, ne se préoccupait de qui il était. Lui-même ne le sait peut-être pas, enfin on va pas s'embarquer dans des questions mystiques de base et rester soft. Ce qui est sûr c'est qu'Adriel n'est pas quelqu'un de fiable, de doux, de tranquille...More of a drama queen, that's for sure. Vous voyez Sept à la maison? Tout le monde est beau, gentil, etc... Un rien vient perturber la vie tranquille des habitants tel que Simon faisant un doigt d'honneur enfin vous voyez le topo. Eh bien laissez-moi vous dire qu'Adriel est l'exact opposé de ce genre de personnes... Non pas qu'il les méprise (quoique...). Seulement, lui, n'est pas comme ça. Il n'est ni gentil, ni compréhensif, ni rien de tout cela. Non pas qu'il ne souhaite pas l'être... Non, bien sur que non. Seulement, il n'y parvient pas. Pas de sa faute après tout si la tâche est un peu ardue... Ah ce cher Adriel, qui peut l'apprécier à sa juste valeur? Peu de monde c'est certain... Il se contente de peu de mots envers les gens de son espèce, parle du tac au tac, à tord et à travers, dans son monde sans se rendre compte qu'il blesse quelqu'un et sans prendre la peine de s'excuser puisqu'au final, il ne sait même pas qu'il est vexant. Ouais, il a beaucoup de mal à être sur la même longueur d'onde que le commun des mortels il faut le dire. Il aimerait avoir cette facilité, seulement c'est pas le cas alors mieux vaut ne insister. Il est comme il est après tout, right? Mais pourquoi les gens ne l'apprécient pas? Oh c'est une toute autre histoire... Car l'asociabilité d'Adriel ne réside pas que dans le manque de paroles. Non, certainement pas... Il lui arrive trop souvent d'être désagréable. Sorte de carapace blindée qui l'empêche de s'attacher aux gens ou quoique ce soit d'autre. Lui, bizarre? Mais non pas du tout vous vous trompez sûrement de personne. Il est tout ce qu'il y a de plus normal... Enfin selon ses critères bien sur. La plupart des gens qui le côtoient (bon okay ils sont peu nombreux à être suicidaires mais quand même... ) le trouvent étrange. Bah, il l'est... Pas de sa faute après tout... Les relations ne sont pas sa tasse de thé, loin de là (à croire qu'il n'a jamais tapé l'ami avec quelqu'un c'est frustrant je vous jure ) enfin bref vous l'aurez comprit, il est tout sauf fréquentable. Cependant, il n'est pas comme on le dépeint souvent. Si vous grattez bien derrière le tout il y a là quelqu'un de sensible, drôle, parfois même attachant. Bien sur, c'est très rare mais bon, en creusant un peu au fond des choses on finit toujours par avoir des résultats, non? Alors ouais, on lui pardonnera sans hésiter son côté tête en l'air et vexant parce qu'il vaut le coup. Parfois.
Histoire :
Londres, août 1989 Les miracles et les tragédies de la vie. C'était pas comme si elle avait décidé d'écrire un livre ou quoique ce soit mais en tout cas, c'était arrivé. En plein dans le mile, comme si elle avait visé juste. Karen soupira et ferma les yeux un instant. Est-ce que c'était ce qu'elle avait vraiment voulu? Non, au fond, non. Du moins, pas qu'elle sache. Elle avait pu le souhaiter aussi fort que possible, ce n'était pas elle, elle n'avait pas à se sentir coupable à cause d'une engueulade à la con qu'elle avait la veille de son départ... A propos du gosse, de leur mariage, d'un divorce possible, tout et n'importe quoi... Mais bon, fallait pas se voiler la face, tout le monde savait qu'ils n'avaient jamais rien eu du couple parfait et heureux. Ils n'étaient pas amoureux to begin with alors bon, qu'est-ce que vous vouliez construire à partir d'un mariage ou personne n'avait rien en commun. Une boîte vide posée au dessus d'une cheminée et qu'on attend de remplir de choses futiles mais qui au final reste là, comme une décoration de plus. On finit par jeter ou vendre en se rendant compte que ça n'avait pas tant d'importance que ça de construire quelque chose de solide. Mais il fallait pas faire dans le drame. Quoique ça avait quelque chose de tragique pour le coup... Quelques jours plus tôt elle apprenait la mort de Christian, quelques heures plus tard le bébé venait au monde et maintenant... Maintenant elle enfilait un tailleur noir de circonstance, des lunettes noires, un foulard noir. Veuve épleurée qui s'apprête à entrer dans l'arène. Oui, c'était un peu ça l'image et même le problème. Quelle conne, oui, quelle conne. Karen s'observa dans le miroir, une moue boudeuse plaquée sur le visage. Elle était loin d'avoir l'air triste. Son retour de Bora Bora il y a de cela quelques semaines avait laissé des traces de bronzage, un teint parfait, lisse, heureux presque, comme si on s'attendait à voir un sourire surgir brusquement sur ses lèvres et pas ce genre de sourire faiblard, presque forcé d'enterrement... Non, plutôt un soleil étincelant illuminant la pièce. Mais bon, il fallait jouer encore une fois. Elle ne se réjouissait pas, non... Elle éprouvait presque un soulagement, comme un poids d'enlever. C'était bizarre tout ça et elle n'aurait pas su l'expliquer. Un mix de toutes émotions possibles mais pas de peine, pas trop en tout cas, pas de tristesse ou d'effondrement et puis, elle avait toujours été forte, quoiqu'elle n'en avait pas besoin right now. Christian était mort. Deal with it. Elle se retrouvait seule à élever un gosse et à diriger un empire financier. Beaucoup l'envierait, elle en était sûre, beaucoup essaierait de la faire tomber alors il fallait garder la tête sur les épaules, regarder droit devant soi et ne pas lâcher le morceau... Histoire d'assurer l'avenir d'Adriel qui avait à peine quelques jours et qu'elle abandonnerait à la charge de nourrices histoire de s'occuper de son nouveau travail... C'était ça, qui lui fendait vraiment le coeur. Savoir que son fils la détesterait jusqu'à la fin de ses jours parce qu'elle l'avait abandonnée mais bon, il lui fallait bien une vie à lui aussi. Il s'appelait pas Bailey pour rien. Un train de vie, une réputation, un avenir. C'était ça dont il avait besoin et pas d'une mère qui serait sûrement merdique de toute façon. Alors, haut les coeurs, right? Karen finit de nouer son foulard autour du cou, attrapa une cigarette, la porte à sa bouche avant de l'allumer et franchit finalement la porte de sa chambre sans en regard en arrière. Oh please, don't drop me home Because it's not my home, it's their home And I'm welcome no more
Il parait que le bonheur famillial ne se trouve pas dans une pochette surprise? Well, c'est ce qu'on a fait comprendre à Adriel dés le départ. Un père mort peu de temps avant sa naissance d'un triste coup du sort, une mère absorbée par son boulot, autrement dit l'immense entreprise laissée par son père... Et lui au milieu de tout ça. Sans frère et soeur et sans autre famille que lui-même. Enfin bon, il a bien fallu se dépétrer au final et puis, il l'a fait avec succés ou du moins il a essayé. Entre sa mère qui voulait qu'il fasse mille et une activités, histoire d'en faire un homme, capable de reprendre le flambeau si elle venait un jour elle aussi à passer l'arme à gauche. C'est con, non? Comment vos parents peuvent vous voir tels que vous n'êtes pas. Que ce soit gosse ou ado ou adulte. Comme si on leur donnait des oeillères, histoire qu'ils ignorent le fait que leurs enfants ne leur ressemblent pas... Ou du moins qu'ils représentent ce qu'ils avaient toujours rêvé d'être. Ouais... Adriel trouvait ça bizarre. Et pourtant il obtempérait... Jouait du piano, faisait du dessin, prenait des cours d'équitation. Bref, un parfait petit scout hein? Et puis la vie continuait. Il se retrouvait de plus en plus seul, arrêtait de plus en plus de choses, de moins en moins de gens venaient dans le grand manoir anglais qu'ils habitaient. Et puis, au final, plus personne n'est venu... Même sa mère ne faisait que quelques passages par semaine alors il fallait bien trouver quoi de s'occuper. Et ouais, le dessin c'était pas mal pour commencer. Griffoner des tonnes et des tonnes de papier, de formes, d'informes, de personnes, d'inconnus. Se balader dans Londres histoire de s'asseoir sur un banc pour contempler les gens, bloc de papier à la main, crayon à la bouche. Parfaite petite image d'un bonheur qui ne pouvait pas durer. Car on sait que les beaux temps ne durent jamais, right? C'est le principe même du bonheur à ce qu'il apparaît. Ephemere et insaisissable... Un truc dans le genre du moins. Et au lieu de se languir aux temps qui ne furent jamais les siens, Adriel décida d'aller de l'avant. Du moins, c'est ce qu'il voulait faire. Pas quitter Londres. Non, jamais. Pas vraiment son truc de se barrer de Londres. Mais trouver quelque chose de mieux, en quelque sorte. Adolescence quand tu nous tiens. C'est quand il a eu quinze ans que les choses ont commencé à se gâter. L'âge rebelle, le parfum des jeunes filles en fleur et bla bla bla... Enfin presque. Pour sa part, c'était pas vraiment un décoletté ou une jupe qui lui faisait perdre la tête. Et un baiser échangé avec un vacancier italien de passage lui a vite fait comprendre que non, il n'était pas hétéro, loin de là. Enfin bref, comme Adriel avait toujours eu envie de partir à l'aventure c'est ce qu'il fit. Abandonnant pour un temps son carnet de dessin sans pour autant le perdre de vue et partir à la conquête des boîtes gays et des mecs. Une première fois plutôt catastrophique avec le voisin dans sa propre chambre. D'autres fois, plus ou moins bonnes. Et puis un jour, un soir où il rentre et que sa mère découvre le tout. Et n'importe quel parent sensé ne dirait rien... Juste un petit sermon histoire de pas faire n'importe quoi mais rien de grave. Filles, mecs, whatever. C'est du pareil au même à ce qu'il paraît. Mais bizarrement, l'impact ne fut pas le même sur Karen et tout ce qu'elle trouva? Partir de Londres. Quitter l'Angleterre natale et si chère à son fils pour lui faire découvrir New York, le faire guérir à l'aide de quelques américaines. Whatever. Et le larguer en pleine ville pour retourner à son tour à Londres. What a shitty mother. Mais Adriel en était arrivé au point où il n'en avait plus grand chose à foutre... Dix-sept ans, une ville pour lui tout seul, un appart beaucoup trop grand pour ne pas y organiser des soirées en plein Upper East Side... What else? Pas grand chose en effet. Alors à part le lycée, auquel il ne se rendait presque plus malgré ses notes qui continuaient à augmenter et les soirées, sa vie a un peu suivi le même cours pendant un certain bout de temps. Dix-huit ans qui arrivent. Toujours du fric, de l'alcool... L'université aussi, ah ouais, fallait pas l'oublier ça. Les arts plastiques, des dessins, toujours le diplome en poche de justesse ou presque. Bref, le rêve éveillé, le rêve américain, appelez ça comme vous voudrez. C'était pas son cas. Et revenir en Angleterre était hors de question. Au moins là à New York, il pouvait baiser qui il voulait. Sa mère ne savait rien et Adriel se doutait très bien qu'elle l'avait envoyé ici juste histoire qu'il ne crée pas de scandales dans son parfait petit monde... Hard to accept the fact that your son sucks cocks, right ?C'était ça le problème. Et puis dix-neuf ans. Et Liam. Après maintes et maintes soirées alcoolisées, des mecs à n'en plus finir, des soirées passées à griffoner des pages entières sans que l'inspiration n'arrive... Liam. Liam c'est un peu l'incarnation, l'archétype du mec pas vraiment fait pour Adriel. Pas du tout même au final. Publicitaire, la trentaine, fringué en Armani de la tête aux pieds. Trop parfait pour être honnête. Pété de fric. Completely gorgeous, arrogant, sûr de lui... Bref, quand Adriel aurait du date le parfait petit étudiant en art dans sa lignée (sauf qu'il était loin de la perfection lui-même), son choix va sur Liam. Et c'est là que les ennuis commencent. Du grand bordel, du grand n'importe quoi. Du je t'aime moi non plus sans JAMAIS SE LE DIRE. Ah ouais, pas mal hein? Deux handicapés sentimentaux qui couchent ensemble, se font des coups dans le dos, se détestent, tombent dans les bras l'un de l'autre, bref un peu trop chaotique pour que les choses durent et pourtant... Les choses durent. Un peu trop même. Les bras de Liam autour de lui le soir, les habitudes, tout ça quoi. La peur qui commence à monter et puis, un certain événement. Paf, comme quoi on s'y attend pas hein? Whatever. 28 novembre 2009, NYC
Un appartement vide, il paraît que ça fait toujours bizarre. Comme si on avait balancé des souvenirs au hasard, tout en travers de la pièce, des photos invisibles accrochées un peu partout. Etallées. Arrachées. Déchirées. Emmenées. Alors c'était ça une rupture? Merde, si il avait su il aurait pas signé le contrat de non relation to begin with. C'était pas censé lui donner un creu au ventre et la tête qui tourne. Et pourtant, c'était ça... Qu'est-ce qu'il était censé faire right now? Pleurer toutes les larmes de son corps, s'enfuir très loin, rester là, casser quelques trucs juste histoire d'exprimer sa propre connerie. C'était trop tard pour ça, c'était avant qu'il fallait réagir. Avant. Il avait vraiment merdé cette fois. En beauté. Une fois de trop, une fois de plus. Quelle foutue importance? Il avait juste envie que les choses se cassent... Se brisent. Pour pas recommencer, pour éviter que tout se complique et que ça fasse encore plus mal au bout du compte mais il n'était plus tout à fait sûr de ce qui faisait mal ou non. Ca passait au travers comme dans un match de ping pong où il n'était qu'un triste spectateur. Il était juste venu déposer les clés pour que l'agent immobilier donne le double aux nouveaux arrivants. Ce foutu loft allait être occupé par qui hein? Un second Liam Crowley? Right, comme si c'était possible ça. Il aurait pu l'acheter, lui. Haha. Right, comme si c'était possible. Comme si ça n'allait pas rendre les choses encore pire... Mais vraiment, fallait arrêter le sadomasochisme, Adri' hein. C'était plus tendance. Il ferma les yeux quelques instants et se passa une main devant les yeux. Liam n'avait pas prit la peine de lui dire que c'était bien San Fransisco. After all, ok, ils avaient décidé de pas rester en contact mais un texto juste histoire de savoir qu'il était en vie et que l'avion s'était pas écrasé lui aurait fait du bien. Ou du mal. Allez savoir... Il imaginait facilement que Liam devait déjà avoir oublié le fait qu'il l'avait laissé ça, que San Fransisco, ville d'Harvey, allait être magique comme elle l'était dans les souvenirs d'Adri' lorsqu'ils avaient été la visiter. C'était si loin que ça? Non pas tellement. Il hésita à regarder autour de lui. Tous les baisers, les nuits passées ici, les rires, les dvd de James Dean tandis que leurs corps mêlés se reposaient sur le divan, les disputes, les cris, les mots qu'on lâche à tord et à travers. Les faux semblants. La douleur. Les souvenirs. Merde, ça faisait mal, oui. Il pouvait le dire maintenant. Lâchant un soupir, Adriel se contenta de déposer les clés et tourna les talons. Il aurait pu rester là à se lamenter sur son sort mais demain était un autre jour, en tout cas il l'espérait. Liam ne reviendrait pas, alors autant faire avec dés maintenant, right?
Signe(s) particulier(s) :
Deux grains de beauté entre sa bouche et sa joue droite, des yeux bleus perçants.
Orientation Sexuelle :
Euh on a pas déjà rendu ça assez clair? Haha Enfin bref... Sexuellement parlant, Adriel est gay cela va sans dire...
Citation favorite :
« All religion, my friend, is simply evolved out of fraud, fear, greed, imagination, and poetry. »
« BEHIND THE COMPUTER »
Prénom : Angèle, Iz, bref vous connaissez la chanson. Âge : 18 ans Comment as-tu connu ce forum ? : Bouahaha. Parce que j'y étais avant et que voilà quoi, Adriel le grand retour même si c'est avec une autre tronche tout aussi charmante . Willou powa quoi. Ton avis (design, contexte, ...) : Toujours aussi beau Présence sur le forum : Environ tous les jours Autre(s) compte(s) : Nej Exemple de RP :
Spoiler:
Pourquoi avait-il répondu à ce coup de téléphone déjà? Bordel, il n'arrivait pas à remettre le tout en ordre mais l'erreur pointait le bout de son nez, il en était sûr. Il avait l'impression de se réveiller d'un rêve à la con, de ce qu'on fait et dont on n'est pas sûr de la provenance... Mais il n'avait pas eu l'occasion de se réveiller pour vérifier, pour savoir... Shit... What does that fucking mean?
"Hum salut, c'est Ruby... On peut se voir? "
Ca faisait combien de temps déjà? Beaucoup trop pour qu'il prenne la peine de sortir sa calculatrice. Bon okay, un an. Un an sans la voir c'était déjà beaucoup étant donné qu'il avait passé une bonne partie de sa vie en sa compagnie... Mais pas besoin de le savoir, c'était trop douloureux d'y repenser maintenant. Tout ce qu'il savait c'est qu'elle avait décidé de l'appeler parce qu'elle était de passage dans le coin... De passage? Ca voulait dire quoi ça? Il savait très bien qu'elle parcourait le monde à la recherche des nouvelles tendances, de la mode whatever mais bon, il s'en foutait pas mal de ses raisons... Tout ce qu'il voulait c'était la voir. Il aurait pu le nier autant qu'il le souhaitait c'était la vérité, non? Loin des yeux, loin du coeur, c'était qui déjà qui avait été raconté ce genre de conneries? Parce que franchement, il y avait cru pendant un certain temps, il avait essayé de sortir avec quelques filles... Et puis ça n'avait pas marché. A chaque fois qu'il voyait une blonde un peu trop petite, c'était la même rengaine. Un flot de souvenirs lui explosait à la tête et il perdait ses moyens et laissait la dite jeune femme en plan... Pas glorieux, hein? Ouais vraiment pas alors il avait apprit à ne faire que des coups d'un soir... Pas d'engagement, pas de rencontre à la con et tout allait pour le mieux dans le meilleur des mondes? Du moins c'est ce qu'il essayait de faire croire à tout le monde et puis, merde, il avait craqué, il avait dit oui... Peut-être que quand elle débarquerait là, en terrain neutre, dans un parc à la con dans lequel il ne mettait jamais les pieds, peut-être que les choses auraient changé, qu'il n'aurait pas de crampe à l'estomac et autres symptômes désignant son amour inconditionnel. Geez... Il détestait tout ça. Il avait envie de se casser ,de ne pas l'affronter mais autant aller jusqu'àu bout et au moins il serait fixé... Et puis, elle repartirait. Elle le quitterait à nouveau parce que de son côté, ça devait être fini, elle avait dû se fiancer à un français un peu trop cultivé et bohème et oublier jusqu'à leur relation... Bon okay, il exagéreait sans doute mais c'était Ruby, non? Elle avait été assez conne pour lui passer un coup de téléphone comme deux bons vieux copains qui se retrouvent mais c'était pas ça la réalité, c'était juste des apparences et des paroles tues. Elle l'avait quitté, elle. Lui, il avait juste eu envie de construire un truc... Enfin, non parce que ça c'était pas son fort à Murray mais il avait juste eu envie d'être avec elle. Voilà à quoi ça l'avait mené... Poor guy.
Enfin il avait amené son chien, Cliff.
Okay, pas comme si le chien allait sauter à la gorge de Ruby mais bon... Au moins il avait une excuse pour se promener dans un parc et ne pas avoir l'air d'un total jerk. Du moins, il essayait. Se tenir droit, d'un air nonchalant, allumer une cigarette et attendre qu'elle se pointe, l'air hésitant, leurs cheveux blonds presque semblables sous le soleil de Sidney. It was such a bad idea...
Personne ne lui aurait conseillé de faire ça mais bon, Murray ne demandait jamais son avis à qui que ce soit, il décidait tout seul et si on avait quelque chose à redire par la suite, il vous laissait parler en essayant de ne pas vous interrompre mais bon, donner raison aux autres c'était pas vraiment son genre hein? Il tira d'un air anxieux sur sa cigarette et se mordit les lèvres. Le peu de gens qui se promenait ne lui accordait pas un regard et ça lui allait bien comme ça... De toute façon, Murray ne venait jamais ici. Pour promener Cliff,c'était pas son endroit fétiche et puis il avait bien fallu qu'il trouve quelque part où aucun souvenir avec elle n'était venu polluer l'atmosphère... Pathétique hein? C'est ce qu'il pensait en se regardant dans le miroir jour après jour, en se disant qu'il fallait qu'il arrête de penser à elle, qu'il arrête de croire qu'elle allait revenir, qu'il arrête d'espérer... Mais elle allait bien voir qu'il n'était pas vraiment over it même après cette foutue lettre qu'il lui avait envoyé... Et tout ça c'était sa faute à elle. Il aurait voulu se marier avec n'importe qui, une fille de passage, la voisine de palier, juste histoire de lui prouver que non, non, il n'avait pas pensé à elle. Pas un seul instant depuis qu'il était parti... Il s'assit contre un banc, le regard perdu dans le vague, caressant son chien du bout des doigts, entendit des pas derrière lui et Cliff tirer sur sa laisse. Dommage... Elle était venue au final.
Code du règlement :
Spoiler:
ok by Loan
« I'M SO BEAUTIFUL »
Dernière édition par Adriel Bailey le Mar 12 Oct - 19:43, édité 5 fois
Mackenzie J. Howard
Empire State of Mind
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Sujet: Re: Adriel Bailey - " being bad feels pretty good, huh? " Lun 11 Oct - 22:25
Bienvenue
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Sujet: Re: Adriel Bailey - " being bad feels pretty good, huh? " Lun 11 Oct - 22:27
Re-Bienvenue alors
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Sujet: Re: Adriel Bailey - " being bad feels pretty good, huh? " Lun 11 Oct - 22:37
Genre tu m'as rien dit... Mauvaise fille. Très mauvaise. Je vais te châtier. Tss.
Pas de bienvenue, parce que je suis sadique, ne l'oublions pas. (je suis même pas sûre que c'est toi, alors bon, si je me tape l'affiche, ne pas prendre en compte SVP merci ! )
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Sujet: Re: Adriel Bailey - " being bad feels pretty good, huh? " Lun 11 Oct - 22:43
Bienvenue && bon courage pour ta fiche (:
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Sujet: Re: Adriel Bailey - " being bad feels pretty good, huh? " Lun 11 Oct - 22:53
iiih ²
Rebienvenue aussi *o*
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Sujet: Re: Adriel Bailey - " being bad feels pretty good, huh? " Lun 11 Oct - 23:44
ADRIIIIIII. Ton avatar était tellement mieux avant xD Re-bienvenue && Bonne continuation.
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Sujet: Re: Adriel Bailey - " being bad feels pretty good, huh? " Lun 11 Oct - 23:55
Bienvenue
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Sujet: Re: Adriel Bailey - " being bad feels pretty good, huh? " Lun 11 Oct - 23:55
(mais c'est quoi cette tête >_< )
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Sujet: Re: Adriel Bailey - " being bad feels pretty good, huh? " Lun 11 Oct - 23:58
Bienvenue
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Sujet: Re: Adriel Bailey - " being bad feels pretty good, huh? " Mar 12 Oct - 0:15
Merci touuuuuuuuuut le monde ♥
Et Cillou rohhhhh
Nan moi j'aime bien Willou, Loanouuunette *-* mais merciiiiiiiiiiii <3
Missed you too, Noah
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Adriel Bailey - " being bad feels pretty good, huh? " Mar 12 Oct - 2:21
Moi j'aime bien ta nouvelle tête. *-* Rebienvenuuue.
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Sujet: Re: Adriel Bailey - " being bad feels pretty good, huh? " Mar 12 Oct - 13:58
Welcome on New York City Life Passe de bon moment parmi nous & amuse toi bien
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Sujet: Re: Adriel Bailey - " being bad feels pretty good, huh? " Mar 12 Oct - 14:14
Bienvenue
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Sujet: Re: Adriel Bailey - " being bad feels pretty good, huh? " Mar 12 Oct - 18:31
Merciiiiiiii Toffee
et merciii vous deux
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Sujet: Re: Adriel Bailey - " being bad feels pretty good, huh? " Mar 12 Oct - 19:00
Bienvenue à toi !
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Sujet: Re: Adriel Bailey - " being bad feels pretty good, huh? " Mar 12 Oct - 19:02
Haaan t'as l'ancienne tête que j'avais ça fait bizarre xD Anyway ;D merciii ♥
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Sujet: Re: Adriel Bailey - " being bad feels pretty good, huh? " Mar 12 Oct - 19:38
Haaan oui t'aimes bien Willou hein *o* Tout le monde m'aime de toute façon
Bienvenue, sinon
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Sujet: Re: Adriel Bailey - " being bad feels pretty good, huh? " Mar 12 Oct - 19:41
Han j'adore ton prénom Bienvenue et amuses toi bien parmi nous
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Sujet: Re: Adriel Bailey - " being bad feels pretty good, huh? " Mar 12 Oct - 19:43
Muahahaha merci vous deux ! Bon je crois avoir fini ma fiche si j'ai rien oubliiiiiiiiiiiiiiiié ! Si j'ai fais des fautes dans l'histoire je les corrigerai plus tard, là je vais au ciné, pas le temps de me relire !
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Sujet: Re: Adriel Bailey - " being bad feels pretty good, huh? " Mer 13 Oct - 11:38
Welcome to NYCL
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Sujet: Re: Adriel Bailey - " being bad feels pretty good, huh? " Mer 13 Oct - 14:15
Validé Si tu as du mal à t'intégrer dans un premier temps, un système de parrainage a été mis en place sur le forum ici. Nos parrains seront heureux de répondre à tes questions & Puis pense à voter pour nous sur les topsites le plus souvent possible (a) en particulier sur celui ci ;
& surtout : HAVE FUN
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Sujet: Re: Adriel Bailey - " being bad feels pretty good, huh? " Mer 13 Oct - 20:27
Merciiiiiiiiiiiiiiiiiii
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Sujet: Re: Adriel Bailey - " being bad feels pretty good, huh? "
Adriel Bailey - " being bad feels pretty good, huh? "
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