Apparence & Style: Chaque personne à ces traits. C’est ce qui nous différencie le plus. Il y a des gens qui ont des cheveux frisés, des yeux bleus, une peau blanche etc., mais ce n’est pas l’apparence qui compte le plus, c’est la personnalité. Que la personne aille des lunettes, qu’elle soit petite ou même qu’elle aille les cheveux court, si elle est gentille, elle se fera aimé et elle aura des amies. Malgré que certaines personnes passent l’apparence avant le caractère, je trouve tout ça injuste. Han, désolé, je me suis laisser emporter…bon, revenons au sujet principal. Mon physique…

Je pense selon moi que les gens remarquent en premier ma peau basanée qui ne passe pas inaperçu, tous les Namibiens de mon pays sont comme ça et parfois j’ai peur que ma peau donne des soupçons aux habitants de New-York. Certes, j’aurais mieux aimé avoir une peau blanche comme tout le monde, mais ma peau basanée fait que je suis moi. Sinon, j’ai une chevelure foncée dans les tons de brun chocolat. Elle boucle naturellement jusqu’au milieu de mon dos et me donne des airs d’Indienne ou même d’Haïtienne. J’ai de beaux grands yeux bruns noisettes qui trahissent mes émotions quand j’essaie des dissimuler. Je me considère comme une jeune femme grande, surtout quand ma nationalité est Namibie. Je mesure 1, 60 grâce à « mes jambes interminables » comme m’a mère les appelaient. Je me considère comme une fille très mince, bien que je ne sois pas anorexique ces jours si, mais dans mon enfance, je l’étais sans le vouloir. Je pèse 50 kg et pourtant je mange à ma faim, je commence à reprendre de mes formes après toutes ces années de famine. Sinon, quoi dire d’autre de mon physique, j’ai une peau douce ? Hahaha ! C’est la vérité, mais bon, ce n’est pas très intéressant. En fait, je pense que j’ai fini de me décrire, alors à toi de décider si je suis belle ou pas.



Caractère: Toutes personnes à des qualités et des défauts, c’est ce qui fait que nous sommes nous. Dans mon cas, j’ai plus de mauvaises choses qui me définit que de bonne, est-ce normal ? Je me qualifie comme une fille qui est toujours mesquine avec tout le monde. Tu veux être mon amie, alors il faut que tu me connaissances avant.

Têtue : Haha, je suis une fille extrêmement têtue qui ne lâchera jamais ces arguments pour un autre, jusqu’à ce que je gagne. Je m’entête sur tous et c’est surement ce qui tannent le plus les gens parce que en étant têtue, je n’écoute pas ce que vous voulez dire pour me faire changer d’avis.
Possessives : Moi, possessive ? Vous ne vous trompez pas. Tous ce qui est à moi sont à moi que ce soit une personne ou autre chose, je le garde auprès de moi et je ne veux que personne s’en approche.
Menteuse : Mon plus grand défaut. Je suis une fille qui ment super bien et qui se sert de ce défaut pour se sortir du pétrin. Je suis très convainquant quand il le faut, alors méfiez-vous.
Rancunière : Si tu me fais un coup bas, je t’en ferais un tu peux en être sûr alors méfies-toi de moi si tu as le culot de me faire un sale coup.
Provoquante : Haha, je suis très provoquante quand je le veux. Je sais comment te tomber sur les nerfs et ça, juste en disant des choses. J’ai compris rapidement comment provoqué les gens et disons que j’en provoque beaucoup. Quoi, je trouve sa drôle !
Grande Gueule : Tu te souviens, je t’ai dit que j’étais une grande menteuse, et bien si tu me dis un secret, c’est sûr que je vais te répondre « je te promets que je ne dirais rien » mais le problème c’est que je ne peux pas m’empêcher de dire ce que tu m’as dit aux autres, alors, tu es sur que tu veux te confier à moi ?
Superficielle : Moi superficielle ? Mais pas du tout ! Ok, peut-être un peu, mais pas tous le temps…><
Directe : Moi je suis très directe avec les gens, je n’aime pas ton T-Shirt, je vais te le dire ! Je n’aime pas ta coupe de cheveux, t’inquiète pas je vais t’en tenir informé.
Vexante : En étant une fille directe et provoquante, je vexe souvent des personnes par mes paroles. Désolé si je vous déçoie.

Alors, tu veux toujours être mon ami ? Maintenant, passons par les qualités !

Séduisante : Je suis une fille qui séduit plusieurs garçons, juste par mes gestes. Quoi ?! Je suis une fille plutôt jolie d’après les garçons alors c’est normal que je suis séduisante.
Drôle : Il faut que je vous fasse rire, une conversation sans rire n’est pas une conversation selon-moi. J’adore rire et j’aime voir mes amis rirent.
Profite de la vie : Je ne sais pas comment appelé ça, mais je suis une fille qui fait tous, tous, tous ! Je profite de la vie tous le temps en me lançant dans des activités super, mais parfois dangereuses.
Énergique : J’ai de l’énergie à n’en revendre. Il faut que je bouge, sinon je ne tiendrais pas en place.
Attachante : Dès que tu me connais, tu t’attaches tous de suite à moi, malgré mes gros défauts, je peux être une fille très gentille.
Extravertie : Je n’ai rien à dire la dessus, je suis extravertie c’est tout. Je me tourne vers les autres et je dis mes sentiments ou ce qui me passe par la tête.
Fêtarde : J’adore les party, j’aime danser et faire la fête. Que ça soit n’importe où, je veux toujours aller au prochain party qui se prépare.

Alors, si tu veux toujours me connaître, si mon fort caractère ne te gêne pas, c’est que nous sommes fait pour être amis, mais si tu n’aimes pas ma personnalités, vas- t’en ou reste pour être mon ennemis. Parce que je ne changerais pas pour te faire plaisir.

Tu veux que je te raconte ma vie ? Pour qui tu te prends ? Haha, et si je ne voulais pas te raconter ma vie ?! C’est privé tu sais ? Bah ouais, c’est ça…vas donc embêter quelqu’un d’autre et fiche moi la paix tu veux ?! Sérieux, je n’ai rien à te dire sur mon enfance alors…BYE ! Pourquoi tu ne pars pas ? Quoi ? Tu ne partiras pas temps que je n’aurais pas parlé…Ha mais tu me niaises ou quoi !? Bon, bon, bon…si monsieur veut temps savoir ma vie, alors assoies toi bien et écoute moi parce que je ne te la raconterais pas deux fois, c’est clair !? Et tu es mieux de ne pas me couper la parole toi !


Alors commençons par le moins dur, je m’appelle Awa Asalyne Samouna. En fait, ce nom était celui-ci de mon enfance jusqu’à New-York. Aujourd’hui, tout le monde parlent de moi en m’appelant Madison Calypso Bennett qui est ma fausse identité. Vous vous demandez surement pourquoi j’ai changé de nom ? Je vais commencer du début et vous comprendrez.


Je suis née à Namibie, une petite ville en Afrique centrale. Malheureusement, ma famille qui m’était destinée fût une famille qui comptait déjà 11 enfants et deux parents qui avaient de la misèrent à subvenir aux besoins de mes frères et sœurs. La famille Samouna était déjà pauvre avant que j’arrive dans leur vie et je vis le jour, aggravant encore plus leur situation selon moi. Naître dans une telle famille, je le souhaite à personne. Notre maison, nous pouvions la comparé à une boîte à conserve, quatre chambres, une cuisine et une salle de bain. Nous ne mangions jamais à notre faim, mes frères et sœurs en poussé de croissance n’avaient presque rien à se mettre sous la dent et mes parents ne mangeaient presque jamais, voulant plutôt nous donner le peu de nourriture que nous avions. Nous n’allions jamais à l’école, toujours en raison du manque d’argent de notre famille. Donc, avant l’âge de onze ans, je ne savais ni écrire, ni lire et encore moins additionné et soustraire des chiffre ou même les multiplier. C’était une enfance très difficile pour moi. Dès l’âge où je pus marcher, j’aidai mes parents à rapporter le soir de l’argent, mais ce n’était jamais assez. C’était des temps très durs pour notre famille, mais je me disais qu’il a avait toujours de l’espoir.

Le jour de mes neuf ans, mon père décéda pour une raison inexpliqué. Tu parles d’un cadeau d’anniversaire ! C’était lui qui nous ramenaient le plus d’argent et il nous a laissé seul avec nos besoins. Après cette tragédie, nous manquâmes encore plus d’argent et nous n’avions rien a mangé, la faim nous rongeait les pensée, c’était atroce. Quand j’étais petite, je croyais en Dieu, et je me disais qu’il nous avait abandonné, il était partie ailleurs… jusqu’au jour de mes dix ans. Sans vraiment le savoir, je me suis retrouvé dans un système de parrainage. Je ne savais pas ce que c’était et j’acceptai, du coup, l’ONG nous ramena un peu plus d’argent. Nous avions de quoi mangé cette fois ci. Tout ce que j’avais à faire, c’était décrire une lettre à une famille anglaise qui ne ressemblait à rien à notre famille et qui n’avait pas les mêmes problèmes que nous. Nous étions tous satisfait de recevoir de l’argent, c’était une année de bonheur, mais le jour où cette famille anglaise m’envoya une lettre m’invitant à leur rendre visite, m’invitant à vivre chez eux pendant deux mois, mes frères et sœurs me tournèrent le dos, ils commencèrent à m’ignorer et une ambiance de jalousie s’installa chez nous. Malgré les regards réprobateurs de mes frères et sœurs, je partis tout de même en Angleterre, découvrant un nouveau monde où ni maladie et pauvreté n’existait. Où les familles vivaient dans la richesse et où la nourriture était presque gratuite pour eux.

Quand je fus arrivé en Angleterre, une famille très élégante et très riche au premier coup d’œil m’accueilli à bras ouvert. Un homme moustachu prit ma main et la serra vigoureusement en la levant de haut en bas en me disant d’une voix rauque « Enfin, voilà la petite Awa ! Je suis ravi de te rencontrer. Je suis Mr. Steveens » Ensuite une femme s’était approchée de moi pour me faire une bise sur chaque joue. Elle me dit ensuite « Bonjour Awa, bienvenue en Angleterre. Moi je suis Mme Steveens » Ils avaient l’air de gens extrêmement gentils. Pendant que je leur faisais un sourire, un petit garçon s’immisça entre les deux adultes pour s’avancé à son tour vers moi. Il me fît un sourire et ensuite, il me fît un câlin. Il me dit ensuite « Je suis tellement contente de te voir enfin Awa ! Moi c’est Jeff, celui qui t’écrivait. J’espère que tu te plairas ici » Je lui fîs une autre sourire. Je ne pouvais pas dire grand-chose, je ne savais pas parler l’anglais. Et nous partîmes de l’aéroport pour se rendre vers mon nouveau chez moi. Ça sautait aux yeux qu’ils n’avaient aucun problème, que les problème concernant la maladie ou la famine n'existaient pas ici. Cette famille vivait dans le parfait bonheur, le contraire de ma famille.

Les jours passaient et je savais parler couramment anglais. Je mettais fait des amis, mais Jeff restait quand même mon meilleur ami. J’avais appris à lire et à écrire. Tous ce que je ne pensais jamais ne faire à Namibie, je l’avais fait en Angleterre. Ma famille me manquait certes, mais la famille Steveens était ma deuxième famille. La famille que j’aurais aimé avoir. En Angleterre, je mangeais à ma faim, il faut dire que j’étais plutôt gourmande surtout après tant d’année de famine. C’était comme un rêve pour moi, un rêve qui c’était réaliser et j’étais heureuse. Mon premier baiser se passa dans cette ville, avec Jeff bien sûr. Mon premier amour même. Mais toute chose à une fin et malheureusement, ce voyage extraordinaire de deux mois avait également une fin à mon plus grand désarroi. Je quittai donc la vie que j’aurais aimé avoir toute mon enfance, je quittai Jeff que j’aimais énormément pour retourner en Namibie où la famine et la maladie allait surement me rattraper. Quand j’arrivai chez moi, la satisfaction de ce voyage et l’épanouissement obligea ma mère à arrêter d’écrire à la famille Steveens. Je n’ai jamais compris pourquoi elle m’avait fait ça. Peut-être qu’elle était jalouse que j’aille vécu cette expérience inoubliable à mes yeux. Mais une chose était sur, c’est que je lui en voulais beaucoup de m’avoir fait ça. La petite fille sage comme une image qui obéit à tous ce qu’on lui demande laissa place à une fille arrogante, menteuse et têtue. Et tout ça, parce que ma mère m’avait privé d’envoyé des lettres à Jeff. Et nous nous sommes perdus de vue à la longue.

J’avais maintenant 16 ans et j’étais en âge de me marier. Le meilleur ami de mon frère me demanda ma main et j’étais obligé de lui répondre oui. Toute ma famille attendait à ce que je dise oui et c’est ce que je fis. Je ne l’aimais pas, en ami certes, mais pas en mari. Malgré ça, nous nous mariâmes et il m’apporta de l’amour. Il me rappelait Jeff. Il m’apportait assez d’argent pour que nous puissions manger, mais quelques années passèrent et il décéda dans le désert de Namibie. C’était une fin tragique pour lui, et malgré qu’il soit mon époux, je ne versai aucune larme parce que je ne l’avais jamais aimé réellement. J’étais maintenant une jeune veuve bonne-à-rien et je ne savais pas quoi faire de ma vie. J'avais quitté ma famille et j'avais perdu mon mari. Je voulais juste partir d'ici, c’était trop dur pour moi de vivre dans cette misère et cette pauvreté. Je n’arrêtais pas de penser à mon ancien ami Jeff. J’avais envie de le voir, mais je n’avais aucun moyen de me payer une place à bord d’un bateau. Je n’avais qu’une solution, embarqué clandestinement. Et c’est ce que je fis. De plus, aller à New-York me permettrait de faire de nouvel connaissance et de me faire une nouvelle vie. Je pourrais aller à l’Université comme tous les gens de mon âge le souhaitent. J’aurais une vie. Je me trouverais un petit métier qui paierait mon Université et tout, je reverrais Jeff après ces longues années. J’aurais de quoi me nourrir convenablement. C’était la meilleure chose à faire selon moi.

Quand j’arrivai à New-York, je changeai de nom. Une clandestine ne devait pas se faire choper par les policiers, ils me renverraient dans mon pays natal. Donc, je changeai de nom pour Madison Calypso Bennett. Je m’inscris à une Université comme je le souhaitais. Sans m’en rendre compte, je devins l’une des filles les plus populaires de New-York, à savoir pourquoi ! Les étudiants de mon Université ne savaient pas mon histoire et ils se devaient d’en rester ainsi. Pour une fois qu’il m’arrivait quelque chose de bien dans la vie, je ne voulais pas que mon histoire gâche tous. J’avais enfin une vie. Je mentais peut être aux étudiants sur ma vrai identité, mais ça ne me dérangeait pas. Peut-être que je vivais dans un simple appartement, mais ça ne voulait rien dire. Je me fais passer aux yeux de tout le monde pour une gosse de riche quand je n’en suis pas une, mais ce gros mensonge à l'air de plutôt bien marché. Cette vie de princesse que j’ai à New-York me plaît tellement que j’en ai complètement oublié la vrai raison qui m’a poussé à venir vivre ici. Jeff…