"The show must go on." de Freddie Mercury (elle est fan)
Signe(s) Particulier(s)
Un petit chat noir tatoué entre les omoplates.
Orientation Sexuelle
Hétérosexuelle même si elle craint les hommes depuis quelques temps.
Lisbeth Mariann Whitley
Physique & Caractère
Apparence & Style: « Est-ce vraiment moi, ce reflet ? Je me cherche, je passe ma main sur mon visage, tandis que mes yeux fixent cette fille, exécutant les mêmes gestes que moi. Les traits fins de mon visage, ma peau pâle où ressortent ces deux yeux clairs. Je suis étonnée, ils sont vifs. Mes cheveux sont bruns et brillants, j'essaye d'en prendre soin, ils commence à devenir long. Rien n'est exagéré, je cherche la bosse sur mon nez, une mâchoire trop avancée, des lèvres bien charnues. Mais non. Je me vois comme une chose banale. Est-ce que je suis belle ? Je ne sais pas. La drogue n'a pas eu le temps de faire des ravages, c'est déjà ça. Dans ce fichu bar, j'aimerai l'être. Pour cesser d'avoir ces regards libidineux sur moi, ces grognements, ces mains qui me touchent. Je voudrai être grosse, avoir un strabisme, un nez aquilin. Mais comment s'aimer quand ce sont des vieux cons qui vous trouvent belle ? Je me sens sale. Je me trouve terne, banale. J'ai l'air un peu enfantin, on a souvent du mal à croire que je suis majeur avec ces tâches de rousseur. Alors je me maquille, je me coiffe, je tente de bien m'habiller. Pas trop au travail pour éviter les regards mais assez pour qu'on me garde. J'ai quoi mis à pars un visage bien proportionné et un corps fin ? Pour l'instant ça me fait vivre. Mais être belle, ça ne garantie pas tout. Je fus la mignonne poupée, que l'ont prend chez soi, on s'amuse avec mais elle finit par perdre son intérêt alors on la passe au prochain. J'enlève mes talons rouges, je ne suis pas très grande. Si j'avais de l'argent, je pourrais me payer ces vêtements dans les vitrines, pas celles du Bronx mais celles où s'arrête devant. Parce qu'au fond, j'aimerais me convaincre que je suis belle, que j'ai quelque chose de spécial, autre que cet air perdu, qu'un jour quelqu'un soit époustouflé par moi et qu'il me sorte de ce trou. »
Caractère: « Je suis hors de ce monde. Plongée dans un océan glacial, je lutte pour maintenir ma tête hors de l'eau. J'aime me dire que je suis une battante, avec un courage à tout épreuve. Qu'on jour je me sortirais de tout ce bordel. Mais je crois que je suis plutôt que j'encaisse. Alors j'ai peur. Peur qu'un jour j'explose, que tout s'arrête. Que mon petit cœur soit saturé. Est-ce que je suis ambitieuse ? Je dirais non, j'aspire juste à offrir à mon frère et aussi à moi-même un truc qui faut mieux qu'un piège à rat dans le Bronx. Alors pour l'instant je me contente d'apporter à ces gros dégueulasses leur bière. J'aime rêver. Je pense que c'était pour ça que j'aimais tant vivre à Las Vegas, c'était démesuré. Tout me semblait possible là-bas, sous l'emprise de la drogue. Mais il me suffit de repenser à ce matin glauque pour revenir sur terre. Je suis en manque, c'est incroyablement dur d'arrêter. De voir combien ma vie craint, mon appartement miteux, ce bar sinistre et ma gueule. Alors je me contente de fumer clope sur clope pour me calmer. Si je fais ça, c'est pour mon frère. C'est mon unique raison de rester ici, dans ce putain de monde. Lui écrire m'avait permis de tenir et vivre avec lui, je l'espère, me rend meilleure. Je ne peux plus me voir comme le centre du monde, je ne suis plus seule. Donc je tente de paraître responsable. J'ai pas d'amis. Ma vie se résume à bosser, voir mon frère, fumer, flâner et rêver. Le pied total. J'ai sûrement l'air mystérieuse, avec mes grands yeux céruléen et mon teint pâle. Je me demande comment les gens me voit. Comme une fille paumée sûrement. Parce que c'est ce que je suis non ? Lors de mes voyages à travers le pays, je me souviens de ces longs voyages en stop, sans un mots. Mais une fois la nuit tombée, je devenais quelqu'un d'autre. Je courrais, riais, hallucinais. Maintenant j'ai même plus la drogue pour me faire paraître drôle. Je pense être quand même une fille pleine d'humour et d'esprit, bien que critique. Avec de l'amour à donner. C'est juste que je suis seule et j'attends la personne qui me sortira de ces eaux.».
L'histoire
Si vous lui demandiez de parler de son histoire, son passé, Lisbeth hausserait ses épaules et vous dirait avec une moue qu'il n'y a rien d'intéressant à dire, qu'elle se contente d'être là sans ponts pour la rattacher au reste du monde. Pourtant elle en a connu des choses. Née sous le soleil de Phœnix, le 15 novembre 1989, elle a grandit dans le plus grand bonheur. Sa venue au monde était comme un cadeau, un cadeau empoisonné précise-t-elle. Premier enfant d'une couple heureux et qui s'aimait, elle fut choyée. Une grande maison, un chien, un petit frère, des amies : la belle vie. Sauf qu'un jour tout s'envole. Elle s'en souvient encore, il lui suffit de fermer ses yeux pour ressentir toute cette douleur. Elle était en classe, elle pensait rentrer chez elle et boire avec son frère l'un de ces merveilleux chocolats chauds maisons. Non. La directrice lui demande de venir dans son bureau. Elle avait un peu peur, pourtant elle n'avait rien fait. Ce fut bien pire. Ces parents étaient morts quelques heures plus tôt dans un accident de voiture. Elle pleurait tellement, s'était cachée sous son lit pour ne pas avoir à partir, lorsqu'elle dû aller chercher ses affaires. Placée dans un orphelinat, on lui trouva rapidement une « gentille famille qui va bien s'occuper de toi et t'aimer ». Elles les a vu défiler ces familles. On la coiffait, l'habillait, une vraie poupée. Lisbeth ne savait pas quoi faire, ça n'était pas réel. Mais plus elle grandissait, plus elle perdait de la valeur. A 13 elle avait reçu son premier coup. Puis un suivant, et encore un. Il n'y en a avait jamais assez. Elle avait perdu tout contact avec le monde extérieur, son seul moyen de maintenir sa tête hors de l'eau était de lui écrire. Elle avait remué terre et ciel pour savoir où son frère était. Parce que de son enfance il ne restait pas que quelques photos écornées et un chat en peluche. Il y avait bien quelqu'un avec le même sang qu'elle. Elle lui envoyait des lettres le plus souvent possible. A seize ans, elle pu enfin s'émanciper. Ceux qui pense qu'une claque « ça vous forge le caractère et ça vous fait grandir » ont tort, ça vous rabaisse juste. Vous fait sentir comme un moins que rien. Lisbeth avait l'espoir d'être mieux que ça. Sa dernière « famille » la brimait. Or ça n'était pas une mauvaise fille, juste quelqu'un qui avait besoin d'amour, de reconnaissance. Les cours, elle avait décroché, impossible à suivre tout en étant ballotée à droite à gauche. Grâce à l'aide d'une assistante sociale, elle pu partir. C'était comme respirer après une longue apnée. Vital mais à la fois violent. Elle avait un peu d'argent, héritage de ses parents. Elle voyagea en train un peu partout. Le soleil de Phœnix l'avait trop brulée. Elle ne se sentait pas de ce monde, partout où elle allait. Dallas, Las Vegas, Sacramento, Chicago. Elle rencontra pas mal de gens, des hommes profitant de sa jeunesse, de sa perdition. Elle était désillusionnée. La drogue lui donnait l'impression d'être incroyablement vivante, de faire ce qu'elle voulait...jusqu'à la chute du lendemain. Alors elle en prenait toujours plus, dilapidant son argent. Elle se souvient encore de son année à Las Vegas au milieu de toutes ces jeux, lumières encore plus hallucinantes sous l'emprise de la drogue. Elle pensait avoir trouvé le paradis mais se réveiller un matin dans un motel glauque avec des écorchures sur le visage, auprès d'un sombre inconnu. Elle a pris une sacrée claque. Elle avait 20 ans, ses anniversaires ne signifiaient plus rien depuis longtemps. Mais là, elle su qu'il fallait faire quelque chose. A New York depuis quelques mois, elle pris un appartement avec l'argent qu'il lui restait. Dans le Bronx, miteux, peut-être, mais elle l'arrangea plutôt bien. Elle se souvint de ce matin glacial de janvier. Elle avait mis du temps à se préparer, avait bien coiffé ses cheveux, mis sa plus belle robe. Lorsqu'elle vit son frère sortir et arriver devant elle, elle pleura. Il avait tant grandit. Elle ne savait pas quoi lui dire. Mais elle allait s'occuper de lui. L'aimer. Grâce à sa présence auprès d'elle, Lisbeth arrêta la drogue tant bien que mal. C'était comme une nouvelle bouffée d'air, plus apaisante que la première. Elle va se battre.
Behind the computer
Prénom: Manon Âge : 18 ans. Avatar choisi : Kaya Scodelario. Comment as-tu connu ce forum ? : Par hasard, sur google. Ton avis (design, contexte, ...) : J'adore, ça m'a vraiment donné envie de recommencer le RP ! Présence sur le forum : régulière Autre(s) compte(s) : / Exemple de RP :
Spoiler:
Alors ça date d'il y a environ un an et demi, je faisais encore du RPG basé sur Harry Potter ! « On va en potion, à toute à l’heure. » Boston regarda ses amies partir, un sourire en coin. Elle avait eu un D en potion à ses Buses, elle était donc recalée. Le calvaire était fini pour elle, plus d’explosions, d’odeurs louches et de chaudrons bousillés. « Tu pourrais donc en profiter pour travailler. » Mais certainement. Elle monta dans son dortoir et alla chercher ses devoirs de métamorphose. Ce que c’était lourd ce bordel ! Après avoir gribouillé une dizaine de lignes, elle se mit à observer les autres qui riaient ou travaillaient dans la salle commune. Comme toujours, elle décrochait au bout de même pas quinze minutes. Sa plume lui chatouillant le menton, elle remarqua le ciel bleu clair. Le soleil brillait, malgré le froid. Elle se leva, laissant des affaires éparpillées sur la table et attrapa son manteau. Elle pourra toujours supplier Rose ou Heaven, pour l’ « aider » à faire son devoir. Comme toujours. Elle, elle avait soif d’aventure. Elle courra vers le portrait de la Grosse Dame et ne répondit pas aux autres qui se demandaient où elle pouvait bien aller. Se dégourdir les jambes ne pouvait pas la tuer. Sauf qu’il n’y avait pas un chat dans ces couloirs froids. Elle dénoua un peu sa cravate. La rouge&or trouvait toujours un moyen de s’amuser. Toujours. Elle parcoura donc le château en diagonal à la recherche d’une quelconque distraction. Dans les cachots, elle entendit le professeur de potion donner les instructions. Au moins ses amies avaient quelque chose à faire. Elle désirait voir Kévin. Pour lui parler, tout simplement. Il devait être lui aussi en cours. Boston soupira. Dehors l’air froid lui agressa le visage. Elle n’avait pas mit d’écharpe, ni de gants. Elle rougissait à vue d’œil. Des gamins jouaient dans la neige. Elle était envieuse en les voyant. Elle secoua sa tête brune. Et donna des coups de pieds là où la neige était encore vierge. La neige, elle n’aimait pas ça. Mon dieu, ce que le temps pouvait être long ! D’humeur râleuse, elle se traîna jusqu’au terrain de Quidditch. Vivement qu’elle puisse envoyer des cognards à tout bout de champ. Au moins, elle était douée pour ça. Au travers des vitres, elle vit qu’il y avait de nouveau du mouvement dans le château. Elle courra aussi vite, qui lui permettaient ses jambes glacées. Elle avait encore une heure de libre et ses amies aussi. Elle pourrait enfin s’occuper sainement. A moins que Rose, Heaven ou Tallula soient prise d’une folle envie de travailler. Grimace. Elle courrait comme une furie. Envoyait balader tout le monde. Elle fonça dans un tas de 1ère année. Envoyait des sourires ou des regards haineux à diverses personnes. Putain ! Elles étaient déjà sorties de potions. « Ouais, désolée pas le temps de parler. Dégage. » Elle ne savait même plus où elle était. La rouge&or se perdait tout le temps. Elle décida de ralentir. Un couloir vide. Où ? A quelle étage ? « PUTAIN ! » Elle jura haut et fort. Elle commençait à s’énerver. Au bout de dix minutes, elle en eu marre. Elle se posa à terre, tout simplement. Elle avait envie d’écouter de la musique. Elle ferma les yeux et fourra son visage rond dans ses mains glacées. Son année commençait mal, elle s’ennuyait et ne suivait pas toujours bien les cours. Elle rêvait un peu trop. Son cœur lui paraissait aussi gros que sa tête. Voir plus. Son cœur n’était jamais trahit par son sourire flamboyant et ses poings rageux. Boston. Cette fille là, c’est la vie. Ses pieds battaient la mesure d’une quelconque musique. Elle avait froid. Ses fesses commençaient à geler contre le sol dur. Elle ne bougea pas. Endurer, c’est sa spécialité. Aimer comme elle aime devrait être interdit. C’est clair, comment à son âge peut-on aimer quelqu’un aussi fort ? Elle aime d’une façon totalement platonique mais incroyablement passionnelle. Aimer comme elle aime, c’est incroyable. Elle n’est pas jalouse, combien de filles pleurent en voyant le tant aimé en embrasser une autre ? Boston, à la longue, ça ne lui fait rien. La jeune femme aurait voulu avoir des nouvelles de son père ? Elle releva la tête. Arrêta de penser à tout ça. Elle souria. Et recommença à s’énerver. Elle voulait voir ses amies. Elle marchait vite. C’est une boule de nerfs. Le pire dans tout ça, c’est qu’elle n’avait toujours pas trouvé de distraction. N’importe quoi lui plairait. Elle repensa aux galets de Brighton. « Putain ! Tu ne peux pas faire attention ?! » Elle grommela. La rouge&or venait d’heurter quelqu’un, qu’elle n’avait pas capté, perdue dans sa rêverie. Dans le couloir sombre elle ne distingua pas la personne. Jusqu’elle était au sol. Par terre ! Quelle force Boston ! Elle s’affola légèrement. « Oh mon Dieu ! Pardon ! Ca va ? » Elle était accroupie. Ca remuait. La chose était vivante ! Alléluia !
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ok by Alexis
Dernière édition par Lisbeth M. Whitley le Mar 11 Jan - 3:25, édité 11 fois
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Sujet: Re: Lisbeth M. Whitley - Save me, save me, save me, I can't face this life alone. Dim 2 Jan - 20:41
Bienvenue parmi nous && Bonne continuation
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Sujet: Re: Lisbeth M. Whitley - Save me, save me, save me, I can't face this life alone. Dim 2 Jan - 20:47
bienvenue sur nycl
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Sujet: Re: Lisbeth M. Whitley - Save me, save me, save me, I can't face this life alone. Dim 2 Jan - 20:49
Bienvenue et amuses-toi bien
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Sujet: Re: Lisbeth M. Whitley - Save me, save me, save me, I can't face this life alone. Dim 2 Jan - 20:50
Bienvenue
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Sujet: Re: Lisbeth M. Whitley - Save me, save me, save me, I can't face this life alone. Dim 2 Jan - 20:52
Bienvenue ici !
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Lisbeth M. Whitley - Save me, save me, save me, I can't face this life alone. Dim 2 Jan - 21:37
Bienvenue ici bonne année
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Sujet: Re: Lisbeth M. Whitley - Save me, save me, save me, I can't face this life alone. Dim 2 Jan - 21:38
haaaaan Kaya
Bienvenue !
Mackenzie J. Howard
Empire State of Mind
i love the ring of your name you're the yin to my yang
▌INSCRIT LE : 01/07/2010
▌MESSAGES : 20301
▌AGE DU PERSO : 23
▌ADRESSE : 6812 Beverley Road #104, Brooklyn. avec l'amour de sa vie.