"« Le plus bel amour est le plus difficile. »" de je ne sais pas.
Signe(s) Particulier(s)
pas de signes particuliers.
Orientation Sexuelle
Hétéro.
Taylor William Thompson
Physique & Caractère
Apparence & Style: Très beau jeune homme, simple. Son physique est digne d’un canon. Châtains, aux yeux bleus, il en fait craquer plus d’une. Il a en plus, un corps musclé, sculpté comme celui d’un sportif, et pourtant le sport il n’en fait plus depuis l’époque du lycée. Un sourire ravageur, un regard mystérieux, des yeux où l’on se perd. C’est tout à fait Taylor. Il n’en joue point du tout. Il sait ce qu’on pense de lui, mais n’en pense pas moins. Il pourrait profiter de cette beauté, mais non. Il reste le jeune homme qu’il a toujours été. Quant à son style, toujours dans la simplicité et la normalité. La mode, il aime bien, mais n’a pas forcément les moyens pour s’acheter les tout nouveaux vêtements de telle marque qui vient tout juste de sortir. Très souvent habillé avec un jean et une chemise, plus une veste. Tout simplement.
Caractère: Timide. Ambitieux. Il s’est toujours battu pour faire ce qu’il voulait plus tard, pour obtenir son rêve. Simplement, tout s’écroula en un jour. Il a donc été fort, même si au plus profond de lui, il ne l’est pas. Faible, il l’est, mais sa vraie personnalité se cache derrière un autre Taylor. Personne ne le connait réellement. Le mystère, c’est la seule chose qu’il lui reste maintenant. Il n’y a que sur ça qu’il peut se reposer. Il ne parle jamais de lui, de sa famille. Il ne parle pas tout simplement. La solitude c’est ce qu’il aime de plus, réfléchir, méditer, rêvasser. La compagnie, il n’aime pas ça, seule celle de sa sœur lui convient. Il est dans sa bulle, et compte bien y rester. Une partie de lui est morte lors de ce jour où il a apprit la mauvaise nouvelle. Il est mort tout en étant vivant. Même si on pense le connaitre, on n’y connait rien à ce spécimen. La seule personne capable de le connaitre par cœur, il s’agirait fortement de sa sœur. Il est un peu insociable, non ouvert aux autres. Mais cette vie lui convient parfaitement.
L'histoire
On pense avoir une vie de rêve, on y croit, on s’y accroche. C’est dans ces moments là qu’un rien du tout peut tout effacer, et vous prendre la vie. Ceci-ci pour notre jeune homme, il ne s’agissait pas d’un « rien du tout ». Il s’agissait de sa petite sœur, sa petite sœur qu’il a chérit, aimé, adoré durant toute son enfance à lui, tout comme à elle. Dans sa vie, il a réellement deux femmes, sa mère, mais surtout sa sœur. Fille qui est toute sa vie, son inspiration, sa motivation pour vivre, son essentiel. On pourrait alors presque penser qu’on parle de son âme sœur, mais non, il s’agit bien de sa frangine. D’ailleurs, si elle n’aurait pas été de sa famille, il en serait tombé fou amoureux. Il lui voue un culte. Il la trouve extraordinaire. Lorsqu’il a donc apprit sa maladie, il s’était effondré, tout en ne le montrant à personne. La vie de sa sœur était maintenant gâchée. Depuis ce jour, elle passe ses journées à l’hôpital. Quant à lui, ses journées se résumèrent à des allers-retours « maison-hôpital ». C’était sa première année à l’université. Très bon élève, tous ses profs étaient fières de lui, ils ne faisaient que de répéter tous qu’il avait un avenir prometteur. Sa première année, mais aussi la dernière et la seule de sa vie. Il n’avait pas le temps pour des études, la seule chose qu’il pouvait se permettre c’était de se trouver des petits jobs par-ci par-là, pour avoir un peu d’argents, et payer ce qu’il devait. Il n’a alors que 20 ans, et sa vie est celle de … tout sauf un jeune de son âge. Il lui arrive alors même de jouer dans la rue pour encaisser quelques pièces (voire billets), en quelque sorte pour arrondir ses fins de mois. Il s’accroche au mystère qui l’entoure, mais aussi à la musique. La seule chose qu’il n’a pas laissé tomber, à la demande de sa petite chérie. A vingt ans, un homme comme lui, ça a aurait du connaitre des filles, de coups d’un soir, des amours, mais pas en ce qui le concerne. Il n’a jamais fait attention à aucunes filles. L’amour, il n’a jamais connu ça, à part l’amour familial. Il est donc, comme on pourrait le dire, puceau. Sa famille, ses seuls vrais amis, pensent alors même à penser qu’il est homo sans vouloir le dire. On pense tellement de choses à son sujet, il ne répond rien à tout ce qu’on peut lui dire. Il reste muet. Et les peu de fois où il sourit, il faudrait en prendre une photo pour souvenirs. Tout ce qu’il pense, il l’écrit dans ses compositions, seulement personne n’est au courant de ça.
Behind the computer
Prénom: Alo Âge : 15 ans Avatar choisi : Zac Efron ♥ Comment as-tu connu ce forum ? : je le connaissais déjà ! Ton avis (design, contexte, ...) : j'aime ! Présence sur le forum : tous les jours, enfin j'essayerai Autre(s) compte(s) : nop' Exemple de RP :
Spoiler:
Le sexe sans amour ça peut exister, mais l’amour sans sexe ? Ils s’étaient enfin avoué leurs sentiments, ça passait donc du gros romantisme, à l’amour au lit, donc au sexe, à faire l’amour. Il y a tellement de façons différentes à montrer son amour à l’autre, le romantisme, mais aussi la perversité. On se donne complètement à l’autre, on lui donne tellement son amour qu’on se met à nu devant l’autre. Il se mettait réellement à nu devant son amoureuse, devant Hilarie. Elle lui avait retiré tous ses vêtements, et son caleçon il le lui avait donné un peu plus tôt dans la soirée. Il se trouvait donc dans la tenue d’Adam. Ainsi, il la faisait languir, il avait envie de profiter d’elle, de jouer. Qui dit coquin, dis profiteur. Il lui avait donc à son tour retirer son bas, gardant tout de même sa robe sur elle, ne voulant pas tout avoir d’un seul coup. La seule façon d’être complètement satisfait, c’est de goûter à la chose, doucement, petit à petit, avec délice. Ni trop rapidement, ni trop lentement non plus. Il avait l’impression de manger un gâteau au chocolat, son péché mignon. Seulement, maintenant, elle était devenue son péché mignon. Il aurait beau la dévorer, il en restera toujours un bon et gros morceau d’Hilarie, c’est qu’il était gâté le Josh. Ce n’était pas son anniversaire, ni Noël, mais c’était leur jour à eux deux. En quelque sorte, ils fêtaient tout de même un anniversaire, le leur. Il aimait la toucher, sentir sa peau. Il appréciait le fait de lui créer autant de plaisir en elle. Il aimait qu’elle soit en quelque sorte comme un jouet, une poupée à laquelle il tenait énormément, et à laquelle il y faisait très attention. Une petite poupée en porcelaine qu’il pouvait briser en quelques instants. Ses gestes étaient timides, il tremblait légèrement. Mais sa voix restait tout à fait normal, et il put lui dire un petit quelque chose, sensuellement, sexuellement surtout. Et sa réponse lui plut énormément, et oui elle avait raison, il allait continuer, ou enfin il en avait bien envie. « Je t'aime et ça ne change absolument pas ce que je ressens, bien au contraire. Si je te dis que je te veux tout de suite, tu risques de prendre ton temps. Je t'aime mon soldat. » Avec son esprit très tordu, lorsqu’il entendit le mot soldat, pleins de métaphores de soldats et de son engin lui vinrent à l’esprit. Il allait lui faire partager cette idée, ça la ferait surement rire, car pour lui, ça le faisait rire, vraiment. Un soldat avec ses armes, avec son arme à lui, une arme qui n’est propre qu’à lui et à son boulot, la guerre qu’il mène. Qu’est ce que ferait un soldat sans arme ? Il l’embrassa, lui mordillant la lèvre inférieure, pour ensuite amener sa bouche vers l’oreille de celle-ci, et lui susurrer d’une voix plus que pervers cette fois-ci. « Tu veux voir l’arme de ce soldat ? Ton soldat en a une très grosse, qui n’attend que d’être utilisé par les propres mains d’une femme. » Il la connaissait, et savait qu’elle comprendrait tout de suite ses insinuations. Il lui avait fait plaisir, c’était au tour de la femme. Il voulait qu’elle s’occupe de lui, comme s’il était rentré après plusieurs mois sur le champ de batailles. Elle devait jouer à la femme qui retrouvait son homme, et pourquoi ne jouerait-il pas au soldat blessé, elle pourrait ainsi le soigner. Bonne idée. Rien que d’y penser, il en eut envie. Ses jambes qui entourèrent son bassin. Il s’approcha d’elle. L’arme du beau Josh s’approchait de plus en plus dangereusement de la cible féminine. « Je t'en supplie. » Il lui avait fait vivre un vrai supplice, et il aimait la tournure que ça prenait. Un peu sado-maso sur les bords. Elle souffrait, trop de plaisirs en elle, et lui qui ne faisait rien, continuant même. Il la faisait encore plus souffrir. Mais la voir le supplier ainsi, ne lui faisait pas pitié non, mais plutôt ça lui donnait vraiment envie de lui faire plaisir. Mais, il a le droit tout autant qu’elle d’avoir un petit cadeau de son compagne, non ? Il lui répondit. « Mon arme est un peu… comment dire, en rouille. Elle a besoin d’un petit coup de renouveau, tu ne veux pas aider ? Tu ne seras pas déçue par la suite, promis. » Ce mot, soldat, inspirait énormément notre jeune homme complètement fou de sa belle. Il n’en finissait pas de lui faire des sous entendus à propos de cette « arme ». Il avait envie d’une gâterie plus clairement, simplement, il avait envie de rester dans le « romantisme », sinon il le lui aurait dit clairement, mais non, il restait dans les sous entendus, et les expressions. Cela faisait plus joli à entendre quand même. Il avait envie tout autant qu’elle que l’arme retrouve enfin la cible féminine et entre en contact avec, mais voulait attendre encore un peu avant. Il la regarda, amoureusement. L’envie était là, il aurait pu déjà la sauter comme on le dit si souvent, mais l’amour le faisait réagir autrement. Il prenait son temps, même si c’était difficile. Pour elle, pour son amour, il était capable de supporter aussi cette souffrance. Les deux souffraient de cette attente qui devenait insupportable. Mais le plaisir sera encore plus fort par la suite, il y en avait pas de doute. Il ne doutait pas d’elle non plus.
Code du règlement :
Spoiler:
OK by Macky
Dernière édition par Taylor W. Thompson le Dim 2 Jan - 21:57, édité 3 fois