J'ai le visage mince, et sur mes bras, des cicatrices laissées par la rue, mon ignorance, défaillance sociale.
Orientation Sexuelle
Hétérosexuelle. Les filles me plaisent. Je ne sais pas pourquoi, ni comment.
Wilhelm K. ANDERSEN
Physique & Caractère
Apparence & Style: Je me promène. Je marche. Mes pantalons sont un peu courts. Mon chandail, trop large. Mes souliers sont troués. J’ai un crayon, dans mes cheveux. Un crayon de mine, court, planté dans ma tête, terreuse, cheveux bruns reflétant la ville, sale, misérable, plein de ses reflets idéalistes, macabres dans leurs ombres. Ma peau est souvent blanche, mais à force de traîner dehors, dans les parcs, ma peau est devenue tachée, un peu basanée. Je n’ai pas mangé depuis longtemps : je suis des os, derrière des tissus trop minces, trop désuets. Mon corps se découpe comme un canif, chétif, dangereuse et seule attraction. Mes yeux bleus observent, nerveux, au cœur d’une figure d’enfant, de garçon. Je suis pudique. Je porte toujours quelque chose. J’ai toujours ce vieux jeans sale. J’ai toujours ce t-shirt, ma veste, ou sinon, mon unique blouson, quand je sors à l’extérieur. Je suis grand, mais mes épaules sont voûtées. Je suis frêle, fragile, plus que je n’aimerais paraître. Dans la rue, mes pas traînants, mais discrets, résonnent : je suis un fantôme qui passe, qui s’en va, qui regarde derrière lui, nerveux.
Caractère: Mes yeux cherchent. Deux océans, circulaires, emplis de sombre, cherchent. Je cherche toujours. Je cherche quelqu’un. Je le guette. Je ne suis sûr de rien, pas même de moi, ni des autres.
J’ai les mains froides, qui cherchent toujours quelque chose, qui guette quelque chose, l’Inconnu. Mes doigts se déforment, se crispent sur le crayon rigide, mon dessin s’oppose à la réalité, la tord doucement, dans un doux paradoxe.
Je ne sais pas vraiment qui je suis : je suis un douce rébellion à moi-même, je crains de m’engager, sans avoir ce goût pour la luxure prononcé. Les autres m’intimident souvent. Ils me fascinent, avec leurs manières, leurs airs. Moi, bêtement, je tente de capturer ce qu’ils sont, pour une fraction de temps, dans l’éternité. J’essaie de traduire leur personne sur un papier trop mince, avec ma main tremblante, incertaine, mes yeux qui dévient des leurs.
Vagabond, je suis perdu au fond d’une ville, au fond d’un rêve, ayant perdu un peu de mon innocence, sans avoir perdu ma candeur : je continue de voler dans quelques petites boutiques encore, je continue de ne pas vraiment être responsable.
Derrière mon rire, je me cache toujours mieux. Mes yeux s’illuminent rarement vraiment, incompréhension régnant le plus souvent en moi. Je suis une douce folie et maladie à moi-même : je n’ai pas de but, sauf d’essayer de plaire aux autres, d’essayer de réussir une vie -la mienne- pour pouvoir retourner en Norvège, avoir accompli un rêve. Pourtant, m’enterrer dans un doux cauchemar me charme insensiblement, inconsciemment. Je suis un garçon qui ne connait ses pulsions, ses envies. Je vis dans ma tête, sans moi, presque tout le temps.
Tenter d’immortaliser les autres, c’est mon regard, qui observe, toujours un peu trop, c’est mon coeur qui bat, et c’est mes doigts qui s’emportent. Je vie, souvent par brefs moments, et c’est mon coeur qui s’emballe, sans mot, sans parole. C’est mon souffle, nerveux, qui fend l’air. Ce sont mes lèvres, tremblantes, qui hésitent vers l’autre. C’est mon corps, incertain, qui se brusque contre l’autre et ses courbes. C’est moi, qui s’heurte aux autres plus souvent. Moi, un entente, moi, un enfant qui ne veut que du bien, qui finit par vouloir plus que pouvoir.
C’est moi, en apparence trop simple, c’est moi, toujours un peu trop complexe. Mes lèvres s’ouvrent : ma voix, tremblante, j’avoue, regardant les dessins d’elle :
« One only had to look at her to realize the world was crumbling around her. »
L'histoire
Je me souviens du froid. De la neige. Du blanc, qui m’aveugle. Je me souviens mal de l’automne, de ma naissance. Mais je me souviens de la persistance, du froid de l’orange, vif, et des arbres qui perdent leurs feuilles, doucement. Je me souviens, de moi, qui me bat un peu plus, un peu plus longtemps. Ma famille, celle des Andersen, est un peu plus pauvre que la moyenne. Je dessine, tout le temps. Je tente d’immortaliser la joie éphémère, qui caractérise la tristesse de mon environnement malgré tout douillet, accueillant. À l’école, je ne suis doué que pour gribouiller. Asthmatique, je manque de souffle, illogique, je manque de tête, incapable de me prononcer, je reste silencieux : je ne suis pas grand chose, sinon ses coups de crayons, délicats, mais confus, amas noir de discrétion recluse mais de voyeurisme étudié, d’observation minutieuse. Je n’excelle pas à l’école.
Maman tombe enceinte. Je termine l’école abruptement. Je bâcle mes années d’études, je m’en vais. Je veux aider, le plus simplement du monde, le plus stupidement de moi-même. Je n’ai rien sauf cette observation, cette fragilité. Je m’en vais, mains vides de mes crayons, de mes feuilles disparates. Je prend un avion, sans retour. J’habite n’importe où, je vis avec moi-même, ma silhouette fragile, mon âme sans maison, sans fond.
Je voulais vivre un rêve, à New York.
J’ai fini par vivre un cauchemar. Je finis par devoir m'enchaîner aux autres, à vouloir leur vendre mes pastiches d’eux pour pouvoir me payer quelque chose, me permettre de survivre. J’étais triste, entre ses soirées à un peu trop boire, à rire un peu trop, à la regarder sourire, elle.
J’ai fini par me faire une amie. Elle a été enceinte. Je n'ai pas pu m’en aller. J’étais déjà pauvre : je ne voulais pas retourner chez moi, les bras vides, le teint livide, le sourire brisé.
Je voulais être meilleur, comme j’avais toujours espéré. Peut-être que j’étais seulement un garçon encore perdu, qui ignorait encore un peu tout. Pourtant, moi, j’avais cru que je l’avais trouvé belle, un soir. Je l’avais trouvé belle, dans le parc.
Behind the computer
Prénom: Émilie Âge : 18 Avatar choisi : Robbie Wadge Comment as-tu connu ce forum ? : Par un top. Ton avis (design, contexte, ...) : Très bien et surtout, très actif. Présence sur le forum : 3/7 Autre(s) compte(s) : - Exemple de RP :
Spoiler:
C’est ce qu’elle me dit, un peu précipitamment, me retenant de ses doigts. Presque dos à elle, m’étant retourné, machinalement, doigts sur ma guitare, abandonnés, je caressais cet instrument, bouche entrouverte, fumée voilant mon regard, curieux, troublé.
Je n’avais jamais entendu ce timbre de voix. Je n’avais jamais entendu ce timbre, qui vibrait encore, que je sentais encore.
Les doigts d’Harry était sur mon épaule.
Je me retournai, mes sourcils se fronçant d’une enfantine incompréhension. Son sourire me rassurait. Serrant les lèvres, mon corps se dandina jusqu’à l’entrée, où je posai la clé dans la serrure, que je tournais le carton « OPEN/CLOSE ». Me retournant, j’attrapai d’une main les quelques verres qui traînaient, manière négligente, mais délicate, silencieuse.
Je me souvins de ce que j’avais vu ici, la première fois. C’était le sourire de Debbie. C’était ses lèvres colorés, sa bouche gaie, entouré de son visage maigre, de ses cheveux brûlés par le soleil. C’était, je le compris plus tard, un signe de conciliation. C’était cette invitation. J’acceptai, deux semaines plus tard, après avoir échoué à trouver un travail, jouer dans une salle de spectacle.
C’était où je vivais, maintenant. C’était un bar comme les autres, aux quelques lumières manquantes. C’est l’endroit où elle me donna des bières, il y 2 mois, tellement de bières, que je riais, sans cesse. C’est l’endroit qui devint un terrain d'expérimentation des plus invitants, sachant que je pouvais compter sur elle.
C’est l’endroit où je me couchais, épuisé de ses doigts qui passait éternellement sur ma guitare, toute la journée, moi qui me levait tôt, qui m’endormais tard. Je l’avais vu, dès les premières nuits : au début, j’avais écouté, seulement un rideau séparant nos espaces, nos rêves, son matelas, le divan où je m’étais installé.
Je l’avais entendu, elle, sans réelle gêne, alors qu’elle ne se cachait pas vraiment mais qu’elle ne dévoilait rien, qu’elle me savait étendu, la tête tournée vers la fenêtre. J’avais entendu ses doux cris, le crissement des peaux contre les draps.
Je l’avais vu, avec ses t-shirts aux slogans ironiques, aux effigies de groupes rock, elle, étendue sur le dos, le souffle coupée. Je l’avais vu, nue.
Le matin, j’allais lui préparer un café, en bas. Je prenais son briquet, j’essayais de maîtriser la flamme. Je lisais souvent. À côté, je gardais un bloc-note et un magnétophone. Je prenais des bouts de phrase, j’écrivais des accords, imaginaires. Je vivais dans un monde que je ne connaissais pas, que je connaissais mal et que Debbie me laissait vivre.
Sans m’être habitué à sa présence, je m’accordai à elle, si accommodante, elle, dont je connaissais que les conversations de fins de soirées, la plupart du temps : ses mots un peu désordonnés, charmants, alors que moi, je lui montrais ce que j’avais composé pendant la journée.
Après, je la laissais seule, finissant par connaître ses envies qui étaient pour moi inconnues, lointaines. Alors que je n’arrivais pas à dormir, un soir, je regardai à travers le tissu transparent. Je la vis elle aussi incapable de dormir, fumant. Elle me sourit. J’essayai de faire comme elle, puis j'enfouis ma tête dans l’oreiller, mes mains s'agrippant aux couvertures.
[...]
Je ne savais pas. Je ne savais pas comment fumer, ni comment réagir. J’acquiesçais doucement, la tête penchée, baissée. Je n’étais pas soumis : je ne savais ce que je faisais, la fumée de la cigarette m’empêchant de la voir, la clope me laissant un goût âcre dans la gorge.
La regardant, l’observant, elle, ses gestes qu’elle faisait si naturellement, elle, dans son univers, elle avec ses yeux, sa bouche, sa respiration qui agitait ses tissus amples qui revendiquaient toujours quelque chose, je l’attendis, tête posée contre le mur, mains jointes derrière ma tête. Je me disais qu’elle voulait entendre ce que j’avais composé.
Le désir, pour moi, n’existait que pour les autres. Je n’avais donc vécu que dans cette espérance de paix, d’entente. Je n’attendais rien : j’avais déjà tout.
Je la voyais, différente, ce soir. Il est vrai que je me retirais habituellement avant, lui laissant le temps d’être, de faire ce qu’elle voulait. D’entraîner un gars danser, alors qu’elle mettait le volume trop fort, en bas, que j’entendais sa voix unique, alors qu’elle chantait le refrain, que j’entendais, que je savais que l’autre posait ses lèvres contre les siennes, qu’il arrêtait la mélodie qu’elle faisait. La mélodie qu’elle rajoutait.
Les lumières éteintes, la pièce noire, j’attendais de la suivre, j’attendais de me faire entraîner par elle. Pleine de ses surprises, pleine de ses surprises dont je me sentais souvent trop las, trop stupide, moi, j’acceptais n’importe quoi de sa part : je savais qu’elle était tout, qu’elle était bien.
Je la suivis, silencieux, copie d’elle à ce moment. Elle m'empruntait mes hauts, je portais un de ses chandails : elle avait ses cheveux courts, maquillage dans sa figure, moi, j’avais les cheveux jusqu’à la nuque, des cernes masquant mes yeux, leurs expressions, et maintenant, leur pétillement.
Je m’étendis, plus par habitude que d’autre chose, sur mon canapé. La toile de tissu transparent retirée, je voyais son lit, défait, ses couvertures tirées. Je sentais son parfum plus que le mien. Son odeur c’était la cigarette, son rouge à lèvre, c’était ses cheveux, c’était ses yeux, rieurs. C’était ses citations qu’elle prenait plaisir à me dire. C’était ses jeux, c’était sa voix, qui chantait.
Mon odeur, moi, elle s’entendait, s’observait peu. Mon odeur, elle se lisait, dans mes textes. Cigarette dans ma bouche, j’avais posé ma guitare bon marché le long de mon corps filiforme. Regard contre le plafond, j’entamai :
‘‘This is probably the last thing people see, before death.’’
Je la regardai, qui s’approchait. Je lui souris. Je ne savais si elle appréciait ce commentaire, totalement désuet, sûrement cynique mais si vrai, débordant de ma poésie quelque peu débridée.
Mes yeux, plein de vert, plein de ses prairies, plein de ses émeraudes jamais vus, jamais touchés, jamais espérés, empli de la ville, grise, de ses verres infinis, d’elle, irremplaçable.
J’attendais je ne sais quoi. La vie passait, et Deborah était là, fidèle, moi aussi : nous étions indestructibles, sûrement, malgré mes faiblesses, malgré ses vices.
Elle représentait cette liberté que je n’avais jamais goûté, dans laquelle j’aimais m’emprisonner, le jour, en la regardant, en restant là, immobile, mais vaguant à mes pensées.
Mes doigts glissèrent vers ma guitare, sur moi, alors que des notes disparates mais s'unissant étrangement formaient une musique, un air inconnu, calme.
Fermant les yeux, alors que je sentais la propriétaire qui me jaugeait, gentiment, je continuai, aveugle, ma mélodie, sans explication, sans réel but. Mais dans le noir de mon regard, maintenant fermé, ce que je voyais, ce qui était resté imprimé, c’était le regard de mon amie. C’était ce regard, qu’elle avait eu, en me faisant cette suggestion, « de venir avec elle. »
Je l’entendais fumer, sa bouche aspirer la fumée. Je l’entendais, elle, je pouvais l’entendre, sur le mur opposé à moi, pour une fois seule, jamais vulnérable, toujours complice. Je l’entendais vivre, à quelques pas de moi, l’esprit toujours vif, cette mer d’idées, d’actions, moi, naufragé perdu, moi, ne sachant nager, secouru par cette bouée qu’elle me tendait toujours, elle, aux milles reflets, elle, mer de sentiments, elle, attirant tant de bateaux différents, elle à la fois au drapeau blanc, elle a la fois pirate, navigateur, exploratrice.
Code du règlement :
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ok by Dylan
Dernière édition par Wilhelm K. Andersen le Ven 28 Jan - 7:07, édité 6 fois
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Sujet: Re: « Love is temporary insanity » — Wilhelm K. Anderson Lun 24 Jan - 19:10
Bienvenue "rival" Bonne chance pour ta fiche en tout cas, en espérant que tu te plaises ici (:
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Sujet: Re: « Love is temporary insanity » — Wilhelm K. Anderson Lun 24 Jan - 20:02
Bienvenue tu va faire une heureuse J'edit ton code qui est bon (:
Par contre je te demanderai de mettre ton pseudo sous la forme Wilhelm K. Andersen s'il te plaît.
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Sujet: Re: « Love is temporary insanity » — Wilhelm K. Anderson Lun 24 Jan - 20:06
Encore une fois, merci d'avoir pris Wilhelm. je suis heureuse que le scéna t'ai plu. *-* & si jamais t'as la moindre question, je suis à ta disposition. Bienvenue by the way.
Mackenzie J. Howard
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i love the ring of your name you're the yin to my yang
▌INSCRIT LE : 01/07/2010
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▌ADRESSE : 6812 Beverley Road #104, Brooklyn. avec l'amour de sa vie.
Sujet: Re: « Love is temporary insanity » — Wilhelm K. Anderson Lun 24 Jan - 20:11
Bienvenue
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Sujet: Re: « Love is temporary insanity » — Wilhelm K. Anderson Lun 24 Jan - 20:24
Bienvenue et amuses-toi bien !
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Sujet: Re: « Love is temporary insanity » — Wilhelm K. Anderson Lun 24 Jan - 20:37
Bienvenue & Bonne chance pour ta fiche
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Sujet: Re: « Love is temporary insanity » — Wilhelm K. Anderson Lun 24 Jan - 20:38
Bienvenue
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Sujet: Re: « Love is temporary insanity » — Wilhelm K. Anderson Lun 24 Jan - 21:08
Han le scéna' d'Heavy SUper bon choix !
Bienvenue !
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Sujet: Re: « Love is temporary insanity » — Wilhelm K. Anderson Lun 24 Jan - 21:09
Zaara — Oui, ouiiiii, une rivale (L)
Dylan — Corrigé pour mon prénom, merci : )
Heaven — OUIIJET'AIMEMOIAUSSI
Merci du bel accueil
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Sujet: Re: « Love is temporary insanity » — Wilhelm K. Anderson Lun 24 Jan - 21:14
Bienvenue parmi nous !
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Sujet: Re: « Love is temporary insanity » — Wilhelm K. Anderson Lun 24 Jan - 21:24
Bienvenue cher PV super important pour la clic à Heavy
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Sujet: Re: « Love is temporary insanity » — Wilhelm K. Anderson Lun 24 Jan - 22:12
Bienvenue
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Sujet: Re: « Love is temporary insanity » — Wilhelm K. Anderson Mar 25 Jan - 13:09
Bienvenue
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Sujet: Re: « Love is temporary insanity » — Wilhelm K. Anderson Mar 25 Jan - 14:04
Bienvenue parmi nous && Bonne continuation
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Sujet: Re: « Love is temporary insanity » — Wilhelm K. Anderson Mar 25 Jan - 14:41
Welllllcommmmeeeuhhhhh
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Sujet: Re: « Love is temporary insanity » — Wilhelm K. Anderson Mar 25 Jan - 19:18
bienvenue à ny
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Sujet: Re: « Love is temporary insanity » — Wilhelm K. Anderson Mer 26 Jan - 19:38
Bienvenuue ♥
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Sujet: Re: « Love is temporary insanity » — Wilhelm K. Anderson Mer 26 Jan - 20:52
Bienvenue !
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Sujet: Re: « Love is temporary insanity » — Wilhelm K. Anderson Jeu 27 Jan - 0:20
Welcommmeuh ! :moumou:
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Sujet: Re: « Love is temporary insanity » — Wilhelm K. Anderson Ven 28 Jan - 6:52
Merci encore, les gentils gens, pour le bel accueil :colleserre:
Tout devrait être dans l'ordre.
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Sujet: Re: « Love is temporary insanity » — Wilhelm K. Anderson Ven 28 Jan - 13:30
Tout m'a l'air bon (et j'adore vraiment ton style d'écriture) mais je laisse Heaven lire et donner le feu vert pour la validation vu qu'il s'agit de son scénario.
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Sujet: Re: « Love is temporary insanity » — Wilhelm K. Anderson Ven 28 Jan - 14:39
Je suis d'accord avec gaby, j'adore ton style. très belle fiche, t'as bien cerné le personnage je donne mon feu vert
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Sujet: Re: « Love is temporary insanity » — Wilhelm K. Anderson Ven 28 Jan - 15:53
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Sujet: Re: « Love is temporary insanity » — Wilhelm K. Anderson Ven 28 Jan - 15:58
Validé. Si tu sens que tu auras besoin d'aide pour t'intégrer et/ou mieux comprendre le forum, un tout nouveau sujet de parrainage a été créé ici. Surtout n'hésite pas à envoyer un mp à un membre du staff si jamais tu as des questions ! Je te conseille également de faire un petit tour sur la chatbox ou dans la partie flood du forum pour te familiariser avec les membres. Bon jeu !
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Sujet: Re: « Love is temporary insanity » — Wilhelm K. Anderson
« Love is temporary insanity » — Wilhelm K. Anderson
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