"Le sexe est une drogue. J'ai mes périodes de shoot et d'abstinen" de denis robert
Signe(s) Particulier(s)
Ce que l’on remarque à première vue chez moi, je dirais que c’est le piercing que les gens qualifient « d’anneau à vache » à mon nez. On appelle ça le septum. Sinon ? Je ne pense pas avoir de signe particulier… Ah si, j’ai deux tatouages sur le poignet gauche représentant le signe peace, le deuxième lui, c’est une lettre M derrière l’oreille droite, allez savoir pourquoi.
Orientation Sexuelle
Ma sexualité ? C’est un putain d’interrogatoire en fait. Alors, je suis bisexuel. Et oui, il faut de tout pour faire un monde. Je suis bi depuis que mon père m’a fait savoir ses envies de meurtres face aux pédés. Donc oui, je suis bisexuel non pas pour énerver encore plus mon fucking père, juste parce que j’aime toucher à tout. On a qu’une vie, pourquoi se retenir de gouter à toutes les folies que le sexe peut offrir ?
Maëlys A. SPENCER.
Physique & Caractère
Apparence & Style: Mon physique n’est pas si avantageux. Bon d’accord, je suis la perfection incarnée, mais que voulez-vous, si je le disais dès le début je pense que vous auriez été refroidis. Mon visage est celui d’un dieu Grecque. J’ai une belle bouche, un nez petit et retroussé. Je suis percé au septum, ce que je trouve vraiment beau. Ensuite, je dois dire que j’ai un corps asses svelte, voir fin mais musclé. Je n’ai pas un seul poil de graisse en fait, tout est en muscle, discret mais en muscle quand même. Mon style vestimentaire est assez simple. Je m’habille souvent en vêtement sombres, noirs, je trouve le noir classe, effrayant et chic à la fois. C’est la couleur la plus complète à mon gout. Elle peut aussi bien se prêter à un costume acheté pour un mariage, qu’à un costume acheté pour un enterrement ou encore à un jogging pour faire trois tours de terrains à l’entrainement de foot. Bref. Mon septum est la chose que l’on remarque le plus rapidement chez l’autre, l’autre chose est mon chapelet, qui traine tout le temps autour de mon coup. Ma coiffure est aussi spéciale et originale à mon goût. Je me mets les cheveux en l’air, et les fixe avec de la laque, seulement pour qu’ils y restent, et c’est fait. Mon apparence compte pour moi, dans le monde du mannequinat, c’est un peu le but… Sinon, je mets des fringues de créateurs, dans mes études ça m’aide, j’ai souvent le privilège de déjà connaître les créateurs chez qui je m’habille.
Caractère: Je n’ai pas le caractère le plus idéaliste qu’il soit, je sais me montrer courtois… non, c’est faux, je ne sais pas être poli du moins pas très longtemps, je reprends trop vite mes bonnes vieilles habitudes et mon langage quelque peu irrité et vulgaire. Baiseur, bagarreur, prêt à faire n’importe quoi pour un grain de coke, je ne sais pas quels sont mes limites… je pense d’ailleurs que je n’en ai aucune. Je n’ai pas de limite, je suis simple d’esprit, je n’aime pas le luxe. J’aime bien avoir des difficultés pour pouvoir les surmonter, les dépasser, me surpasser moi-même. L’argent, ça aide beaucoup, certes, j’ai les moyens, mon père à une chaine d’Hôtel internationale. Soit. Cependant, l’amour d’un père est plus fort que l’argent. Avoir grandit sans un père, sans mère, car étant morte, elle ne pouvait pas m’aimer comme le prétendait les gens qui voulait me rassurer. Toutes les conséquences que cela ont porté sur mon caractère, c’est juste que je suis exécrable, je suis imbuvable, je me drogue pour oublier, je fume, je bois tous les samedis, je passe des soirées dans les pubs. Arrogant, manipulateur je n’aime pas me laisser marcher sur les pieds, cependant, j’ai quelques qualités aussi, oui, je suis intelligent car oui, la manipulation ne va pas sans l’intelligence. Je suis populaire, et riche, je suis toujours propre sur moi, et bien habillé, je suis assez bien foutu, je dois l’avouer. Oh, tout ce que je dis là, m’amène vers un nouveau de mes défauts. Je suis extrêmement prétentieux, j’aime bien me montrer, montrer ma richesse. Limousine, chauffeur, je joue dans la cour des grands, je ne joue pas aux petites proies. Quand j’arrive, on me respecte, j’aime diriger, j’aime draguer. Je ne respecte guère les femmes, je suis égoïste. Pourquoi est-ce que je suis comme ça ? Si j’ai un fond gentil ? Et bien, à vous de me le dire. J’étais tout ce qu’il y a de bon avant. Je dis bien avant, mais pour m’arracher des confessions, on va devoir être sacrément proches
L'histoire
Il était une fois...
Conçut dans une voiture, à l’arrière précisément, j’ai passé une enfance assez heureuse. Père très souvent absent, mère qui passait son temps à faire les magasins plutôt que de s’occuper de moi. Je considère plutôt ma nourrice comme ma mère. Initié très vite au sortie en public, à voyagé à travers le monde. Une maison à peu près partout dans le monde, j’ai toujours été ou je le voulais, il me suffisait juste de demander à ma mère, et bien évidemment, ma nourrice chérie m’emmenait. Mon père n’était jamais à la maison, il me manquait horriblement, mais j’ai toujours apprit à vivre sans lui, à grandir sans l’amour de ce père dont je n’avais même pas conscience qu’il était le mien. Richissime, j’ai toujours eu ce que je voulais, depuis tout petit. J’ai toujours été très mal à l’aise quand j’allais à l’école, car j’y étais constamment conduit en limousine. Mon père à toujours déployé les grands moyens, il a toujours donné le maximum d’argent à mon sujet, en croyant que les plus grandes écoles, les plus beaux jouets, les plus belles fringues pourraient remplacer l’amour que je désirais de sa part. Il n’a jamais comprit et ne comprendra plus jamais. Un jour, alors que j’étais en plein contrôle de mathématiques, j’étais alors en classe de troisième dans un collège qui en l’occurrence était parisien et se trouvait près de mon lieu de résidence, pour ne pas que je me perde – je changeais de collège tous les trimestres, et si vraiment j’avais le mal du pays, mes parents voulaient bien que nous prenions le billet retour pour New-York – on vient alors me chercher en pleine interrogation écrite. Deux hommes habillés de noirs, me prirent un bras chacun et l’un des leurs, qui se trouvaient avec eux, parlait avec ma prof de maths qui semblaient choquée par ce que l’homme lui disait. Vous n’avez pas encore deviné ? Ok, je lâche le morceau. Ma mère était morte. Tout cela, n’avait pas eu de graves séquelles, mise à part ma tristesse, certes, et celle de mon père car bien sur, nous l’aimions tous les deux, malgré ses absences. Apprendre à vivre sans elle, ça allait être tout nouveau.
Apprendre à vivre sans elle, c’était une putain d’épreuve. Je ne savais pas comment j’allais faire, bien qu’elle ne fût que très rarement là, avec moi à la maison, elle me manquait. La, j’apprenais à grandir, à me développer sans l’amour maternelle, sans la confiance d’une mère, sans la fierté d’une maman qui vous regarde partir à l’école, le cartable sur le dos. Grandissant seul, avec un père toujours absent, je ne savais pas comment faire, comment gérer ce manque d’amour parental qui m’envahissait. Comment réagir face à la détresse qui se manifestait ? Je n’en avais aucune idée. Après l’accident de ma mère, je n’avais pas voulu voir de quelle façon elle avait fini, je ne voulais pas voir dans l’état qu’elle était, malgré l’effort que mon père me demandait de faire. Le chantage affectif, il n’y a qu’à ça qu’il marchait ce connard. Après l’accident de ma mère, j’ai commencé à dealer, à acheter de la beuh pour ma consommation personnelle, puis ensuite, j’ai commencé à la fumer avec des potes, pour enfin finir par leur vendre ce qu’ils voulaient. Je me faisais de plus en plus d’argent et eux devenaient de plus en plus accrocs à ce que je leur vendais. Cette drogue qu’ils achetaient, c’était de la vraie merde, moi je ne la fumais même pas, je n’avais jamais osé, cependant eux, ils y allaient tête baissée pour noyer leurs soucis qui devenaient sois disant mirages, grâce à cette belle merde. Depuis sa mort, je faisais n’importe quoi, je devenais une vraie loque, un dealer, j’ai violé une fille alors que je n’étais pas encore majeur, elle non plus, par bonheur, du moins, non pas par bonheur, mais si j’avais été majeur, j’aurais été passible d’être emprisonné. Ce viol m’a couté ma conscience et mon amour propre, que je fais mine d’entretenir, bien qu’il soit déjà mort depuis. J’ai commis un vol à main armé qui a été un véritable échec. Je suis arrivé dans le bureau de mon père armé et masqué, le fait est que j’avais oublié d’enlever mes chaussures, cousues à ma demande, j’étais donc le seul à les avoir, et ayant assuré la promotion quelque peu mondiale de cette paire de chaussures unique, mon père les avaient vues, et donc m’avait reconnu et avait rit de moi. Je me rendais souvent chez un psychologue, bien sur financé par mon très cher père. Les séances se ressemblaient toutes. Toujours la même chose, les mêmes questions, les mêmes larmes qui bordaient mes yeux, et les mêmes silences qui empêchaient ma voix de sortir. J’étais si fatigué, si désemparé. Démarche assurée et rebelle, dans la rue, quelques mois c’était passé après le décès de ma mère. Les obsèques avaient été grandioses, bien qu’étant tristes, beaucoup de monde était venu pour rendre un dernier hommage à ma maman. Je me rendais une fois par semaine au cimetière. J’étais pour ainsi dire, très lié à ma mère, nous nous aimions énormément. Qui a dit qu’on pouvait aimer une fille plus qu’on aime sa mère ? J’aimerais bien connaitre cette personne, car moi, je n’ai jamais aimé autant que j’ai aimé ma mère, et ce dans tous les cas d’amour que j’ai connu. Je n’en connaitrais d’ailleurs plus jamais, je l’espère. L’amour ne se contrôle pas, il ne se cherche pas, il vous tombe dessus, et il ne vous quitte plus. Dans la rue, à l’âge de mes seize voir dix-sept ans, je commençais à prendre de l’assurance, à changer de style, du petit garçon très chic, j’étais passé au jeune rebelle, la clope au bec, la veste en cuir et les ray-ban sur les yeux, les journalistes de presse pour jeunes s’arrachaient mes apparitions qui finissaient pour la plupart du temps en scandale. Sortie de première partie, arrivée en boite, sortie de boite complètement défoncé et bourré, les journalistes de presse adoraient ça, et moi, j’adorais l’idée que mon père tombait sur ses magasines et j’aimais aussi le fait que son image à lui en prenait un coup. J’étais milliardaire, je n’avais plus besoin de travailler, pourquoi je devrais encore aller à l’école ? Un nouveau conflit avec papa, j’adore, c’est vraiment un de mes passe temps favoris.
Les conflits avec mon père alimentaient ma vie, ils alimentaient tout ce qui servait à mon orgueil, à mon amour propre, à la confiance que je me porte. Ça parait assez loufoque ce que je dis, certes, mais, c’est bel et bien la vérité. Soit. Tout cela n’a pas duré longtemps, dès que j’eus mes dix-huit ans, je suis partit pour faire un tour dans le monde entier, pendant tout un été, puis, jusqu’à l’hiver. En revenant à New-York, je revis bien évidemment mes amis, mes meilleurs amis, ceux que je n’avais pas perdu de contact. J’aurais aimé que certains d’entre eux puissent me suivre, venir avec moi faire ce tour du monde, et non le vivre en solitaire. Tout ceci m’a bien sur permit de me retrouver avec moi-même, de faire le point sur qui j’étais et de pouvoir faire un break avec toute ma vie new-yorkaise. Mon père me versait de l’argent tous les mois, il faisait beaucoup de choses pour moi, pour que j’arrête bien sur mes scandales, et que j’arrête d’être disponible pour la presse, que j’arrête d’être une proie facile pour les photographes de presse. Moi, j’aimais bien. Mon style vestimentaire avait beaucoup changé aussi, et mon père n’approuvait pas du tout ce que je devenais. Moi vingt-deux ans, lui bientôt cinquante, il était toujours resté dans son époque costard cravate et rien d’autre. J’aurais aimé partager des choses avec lui, sincèrement, mais il ne me tendait jamais une perche, il ne faisait rien pour que l’on puisse apprendre à se connaître, apprendre à s’aimer. Souvent, je traîne le soir dans les bars, je me laisse allez, je bois, je fume, je me prends des cuites complètement horribles, à ne plus pouvoir bouger, à vomir partout. J’ai connu quelques histoires de flirt, de cœurs, cependant, j’ai connu une histoire d’amour, celle qui me fera détester les femmes plus que tout, celle qui me rendra le plus égoïste des hommes, celle qui fera de moi peut-être un enculé de première, mais ma foi, j’assume. En bref, je suis sorti avec une fille au lycée, elle était d’une beauté rare, une gentillesse extrême, et j’en ai d’ailleurs encore l’eau à la bouche en y pensant. Le sexe était présent dans notre relation, qui fut de courte durée, un mois tout au plus. Pourtant, j’appris, ce qui fut la cause de notre rupture, que tout n’était qu’un pari pour elle, puis elle disparu. Depuis, je ris des femmes, je m’amuse d’elles, mais y’en a-t-il seulement une qui pourrait me redonner confiance en elles, humains du sexe opposé ?
Behind the computer
Prénom : lady gagod. Âge : 15 ans Avatar choisi : sylvester ulv Comment as-tu connu ce forum ? : je l'avais dans mes favoris depuis un petit moment, j'attends le bon moment et le bon avatar. Ton avis (design, contexte, ...) : la perfection, vous savez c'que c'est vous. Présence sur le forum : 7j/7 Autre(s) compte(s) : négatif chef! Exemple de RP :
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Le retour à la réalité était toujours la pire chose qu’il puisse exister. Chaque fois que je plongeais mon âme dans le monde des rêves, dans la monde de la nuit, confortablement installé dans mon lit, je me rendais compte que seuls les rêves étaient beaux, mais malheureusement fictifs… malheureusement. Je me résonnai souvent en me disant qu’il fallait se contenter de ce que nous avions et de ce que nous pouvions faire de notre vie. Pourquoi toujours chercher l’impossible ? Je ne sais pas… Sûrement parce que l’inaccessible et l’interdit sont les choses les plus enrichissantes et les plus attirantes pour les gens d’un âge peu mur. Bien évidemment, moi aussi j’avais – et je suis encore – attiré par ces choses qui sont normalement interdites, mais que voulez-vous, on ne se fait pas une raison sur un coup de tête, tant que l’on n’apprend pas d’une punition, on recommencera cette erreur qui peut nous être fatale, un jour ou l’autre. La clope était un de ces exemples que je gardais en tête chaque jour, à chaque fois à laquelle je pensais à toutes ces choses que ma mère m’avait interdites et que je fais maintenant. La drogue, la clope, l’alcool, maintenant, j’suis un junkie, ou presque, je bois un verre tous les jours et je fume un paquet par jour, si ce n’est pas con ça. Elle doit surement s’en mordre les doigts d’où elle me regarde, mais on ne choisit pas ce qu’on deviendra dans la vie, et on se choisit encore moins se qu’on décidera de faire, malheureusement… autrement, je serai dans né dans une famille aux revenus moyens, qui n’habitent pas Manhattan et qui est une famille soudée et aimante. J’aurais largement préféré le soutien et l’amour à la richesse, les chauffeurs et le room-service, mais ma foi, on ne peut pas tout avoir… Ma mère m’aimait, et je l’aimais, mon père n’était qu’un exemple de lâcheté et d’égoïsme. Je le déteste putain, je le déteste. Bref. L’entrée dans le Center Park, le plus beau parc du monde, en plein milieu de la pomme n’avait pas été remarquée, du moins pas que je sache. La nuit commençait à tomber et c’était un des meilleurs moments de la journée pour dealer, le meilleur moment je dirais, ouais putain, le meilleur. Les flics feraient pas chier à cette heure, les autorités ne suivraient pas un milliardaire dans Central Park à cette heure-là, si ?
New-York… S’il y avait bien un truc qu’on ne pouvait pas à New-York, c’était bien sur le fait de s’ennuyer. Il n’y a aucun moment de la journée ou l’on s’ennui à New-York, aucun moment de la journée. Souvent, il y avait des soirées un peu partout dans les avenues le vendredi soir… Les soirées qui étaient ouvertes à un peu tout le monde malheureusement. Souvent, le samedi soir, les gens sortaient manger un truc en amoureux, en famille, partaient au restaurant, allaient à des cérémonies de mariage de leur proche ou bien prenaient tout simplement un week-end en amoureux, en famille un peu loin de la pomme qui s’avère parfois être un tantinet barbant… Et oui, tout n’est pas rose dans l’Upper East Side. Bien sur que non, tout n’est pas rose, ça ne serait pas si amusant que cela sinon, si ? Les gens sortiraient, s’amuseraient, tomberaient amoureux, se marieraient, auraient des enfants et mouraient heureux ? Qui est assez naïf pour croire que la vie se déroule ainsi ? Tout comme moi, dans le monde entier, il y a des gens qui sont orphelins, dans mon cas ce n’est qu’une question de temps, je finirai par tuer mon père, un jour ou l’autre, je le sais. Le bonnet d’âne m’était toujours revenu dans la vie. J’étais la risée de mon école quand j’étais jadis en maternelle, c’est dommage, mais maintenant je peux dire que tout comme mon père, les gens qui faisaient de moi leur esclave, sont aussi responsables que mon père, du comportement que j’adopte aujourd’hui, depuis que j’ai conscience de ce qu’on appelle un foutage de gueule, une moquerie ou un coup de pute. Je n’avais pas peur des pressions morales, ou écrites, mais vraiment pas. La FBI n’était qu’un détail pour moi, je restais persuadé de pouvoir les corrompre avec mon argent et que peu importe la situation dans laquelle je serai, je restais persuadé de pouvoir faire d’eux des ripoux, mais si c’est simplement une illusion, bien qu’il est possible de tomber sur un ripou, qui en voudrait encore plus. Après tout, quand on est riche pourquoi ne pas profiter de cet argent, surtout s’il peut vous laisser libre à vie. Bref, tout ça pour dire que l’argent c’est votre vie, votre gilet pare-balles à New-York, et tant qu’on a de l’argent, on a la vie, mais gare à vous si vous vous retrouvez liquidés, partez loin, très loin dans un bungalow au fin-fond de l’Amazonie, et surtout jetez votre téléphone portable dans la mer baltique, ou la mer rouge, au choix histoire qu’on ne puisse pas vous retrouvez, et dépensez vos derniers revenus dans une nouvelle identité auprès des autorités qui pourraient être susceptibles de ne pas rechercher pourquoi changer de nom et prénoms, et vous laisser changer d’état. Honnêtement, je préfèrerais me retrouver face à mes soucis, quitte à mourir pour avoir commis des erreurs, cependant, changer d’identité, changer de prénom ce dont je suis le plus fier, tellement son originalité en est monstre, de nom de famille, de relations, jamais de la vie. Je préférerais encore me faire tuer, honnêtement, sans peur. Pourquoi avoir peur de la mort après tout, pourquoi ? Ça sert à quoi ? Quel genre de personne peut croire qu’en ayant peur de la mort, elle sera plus belle pour cette personne-ci et sera moins douloureuse des autres morts ? Si toutefois vous deviez mourir d’une balle dans le genou qui se transforme en hémorragie interne, ou encore d’un couteau planté dans la gorge, vous mourrez de cette morte, tout simplement parce qu’elle sera marquée dans votre destin, comme toute votre vie d’ailleurs. Et oui, c’est ça la vie.
« Tu vois la voiture derrière moi là ? C’est des flics, alors on va avancer doucement et courir quand on sera entré dans la 13ème qu’est juste derrière toi, ok ? » Je n’avais même pas salué le jeune homme, pourtant j’avais hésité à l’embrasser comme technique d’échappatoire, si je puis dire, aux flics. Ils auraient crus à une relation gay secrète et seraient partis, cherchant d’autres dealers de la nuit, dans une autre avenue. « J'ai pas vraiment le choix, j'crois... » Il avait prononcé la parole la plus intelligente de la soirée, que je n’avais entendue. En effet, il n’y avait pas grand-chose à faire à part courir, maintenant que ma première idée était fuckée. Je regardais le jeune homme, et il était vrai qu’il était charmant. J’avais déjà parlé de lui à une amie qui m’avait déconseillé de traîner avec lui, mais pourquoi au juste ? Ouais, cette amie là n’appréciait pas énormément le côté gay de mes attirances sexuelles, autrement dit, elle m’aurait préféré hétéro, mais fuck, je fais ce que je veux de ma queue non ? J’la trempe ou je veux, et dans le trou dans lequel j’aurais envie, d’accord ? Ras le cul des jugements des gens à la fin… Bref, je m’égare. « Va falloir trouver une solution, on va pouvoir courir éternellement.. » En effet, ça allait faire un petit moment que nous courrions et je dois dire que mes plusieurs années de tabac commençaient à me traîner vers le bas, et mon attention se dirigea vers une vieille usine désaffectée entre deux murs de ruelles. « Mais ravi de te revoir sinon. » J’étais ravi aussi, mais j’étais très concentré sur la course-poursuite qui était entamée. Je saisis sa main et l’entrainai dans cette usine désaffectée ou nous étions partis pour passez quelque temps ensemble, et j’en étais fort aise. Je courrai, mais ne sachant pas où j’allais, nous finîmes dans une cabine téléphonique, un peu à l’étroit dans un grenier, dont je ne connaissais pas l’existence, ni le chemin pour en descendre. « Je pense qu’ici on sera à l’abri des flics » Je n’avais jamais remarqué qu’il était si beau, et je ne l’avais jamais vu d’aussi prêt. La touche finale à sa beauté était son piercing au septum, que j’aurai qualifié de parfait… d’autres l’auraient qualifié de vache, chacun son truc.
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Dernière édition par Maëlys A. Spencer le Ven 25 Fév - 3:58, édité 16 fois
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Sujet: Re: maëlys sacha howard... a problem ? Mer 23 Fév - 20:09
Bienvenue à toi & bonne chance pour ta fiche
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Sujet: Re: maëlys sacha howard... a problem ? Mer 23 Fév - 20:11
omgg miley *-* Merci beaucoup
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Sujet: Re: maëlys sacha howard... a problem ? Mer 23 Fév - 20:14
bienvenue
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Sujet: Re: maëlys sacha howard... a problem ? Mer 23 Fév - 20:20
merciiii beaucoup. *ashton <3*
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Sujet: Re: maëlys sacha howard... a problem ? Mer 23 Fév - 20:24
Bienvenue
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Sujet: Re: maëlys sacha howard... a problem ? Mer 23 Fév - 20:27
Ohhh Trachtenberg *-*
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Sujet: Re: maëlys sacha howard... a problem ? Mer 23 Fév - 20:41
Bienvenue & bonne chance pour ta fiche
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Sujet: Re: maëlys sacha howard... a problem ? Mer 23 Fév - 20:41
Bienvenue
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Sujet: Re: maëlys sacha howard... a problem ? Mer 23 Fév - 20:43
merci les filles
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Sujet: Re: maëlys sacha howard... a problem ? Mer 23 Fév - 21:08
Bienvenuuuuuu
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Sujet: Re: maëlys sacha howard... a problem ? Mer 23 Fév - 21:10
merciiiiiiiiiiiiiiiiii ! brothers and sisters <333(...)333
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Sujet: Re: maëlys sacha howard... a problem ? Mer 23 Fév - 21:12
Je pensais tellement que ça serait une fille, au prénom... Epic fail xD
Bienvenue parmi nous, charmant jeune homme
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Sujet: Re: maëlys sacha howard... a problem ? Mer 23 Fév - 21:17
oh hayley. ohmygod que de beau monde sur ce forum putain. Merci beaucoup. ( le gif de ta signature *-* elle était magique sur le tapis rouge des grammy's )
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Sujet: Re: maëlys sacha howard... a problem ? Mer 23 Fév - 21:41
Toi..
Bienvenue ici
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Sujet: Re: maëlys sacha howard... a problem ? Mer 23 Fév - 21:43
Merci Mich... Sully <3.
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Sujet: Re: maëlys sacha howard... a problem ? Mer 23 Fév - 21:49
Bienvenue mec
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Sujet: Re: maëlys sacha howard... a problem ? Mer 23 Fév - 21:52
Oh merci beau marlon :bave:
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Sujet: Re: maëlys sacha howard... a problem ? Mer 23 Fév - 21:56
Bienvenu, et présentation originale et bien amusante Reste encore "apparence et style" que je ne manquerai pas.
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Sujet: Re: maëlys sacha howard... a problem ? Mer 23 Fév - 21:58
Originale et amusante ? Pourquoi cela ? haha Sinon, question apparence je m'y mets dès maintenant ! Et merci encore.
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Sujet: Re: maëlys sacha howard... a problem ? Mer 23 Fév - 22:01
On sent véritablement l'âme du personnage, et avec ces "fuck", cela donne à l'histoire une couleur supplémentaire. Ur welcome.
Mackenzie J. Howard
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i love the ring of your name you're the yin to my yang
▌INSCRIT LE : 01/07/2010
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▌ADRESSE : 6812 Beverley Road #104, Brooklyn. avec l'amour de sa vie.
Sujet: Re: maëlys sacha howard... a problem ? Mer 23 Fév - 23:27
Si tu es un vrai Howard oui, sinon non ! :couteau:
Par contre je te demanderai juste d'ajouter une majuscule à ton nom & prénom dans ton pseudo
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Sujet: Re: maëlys sacha howard... a problem ? Mer 23 Fév - 23:32
J'en suis un vrai haha. Maintenant, est-ce que je suis parfait ? Mis à part l'oubli volontaire de la description physique je suis en train de rédiger ? (a)