"Ignorant d'où je viens, incertain où je vais." de Alphonse de Lamartine.
Signe(s) Particulier(s)
Rien à déclarer pour le moment.
Orientation Sexuelle
Une fille, c'est comme une fleur. Fragile, douce, parfumée. J'ai toujours aimé les filles, et rien que les filles. Mais bien sûr, je n'ai rien contre l'homosexualité pour autant.
Nolan M. WARREN
Physique & Caractère
Apparence & Style: Je ne sais pas si je ressemble à mon père où à ma mère. Je ne sais pas de qui je tiens mes yeux ou mon nez. Car j'ai été adopté. Mais s'il y a bien une chose pour laquelle je puisse remercier mes parents biologiques, c'est bien pour mon physique. Car sans vouloir paraître prétentieux, il me semble que je ne suis pas moche du tout. Mon atout ? Mes yeux bleus, encore plus bleus que l'océan. En plus d'êtres magnifiques, ils ont la capacité de faire comprendre aux autres ce que je ressens. Aussi, j'ai l'incroyable pouvoir de faire mes yeux suppliants auxquels personne ne résiste, ou encore de faire mon regard charmeur qui fait de nombreux ravages. Mes cheveux châtains sont en contraste avec mes yeux. Ceux-ci sont légèrement longs, et presque jamais coiffés. En fait, c'est ça qui fait leur charme je crois. Quant à mon visage en général, on m'a souvent dit que je ressemblais à un ange. Mon sourire est sincère, et mes mimiques sont craquantes. Plus généralement, je suis assez grand. Adorant le sport, il faut bien dire que je prends soin de mon corps, et que je suis plutôt musclé. Mais pas trop non plus, juste comme il faut. En ce qui concerne mon style vestimentaire, il est plutôt simple. Disons que j'aime plaire, et que donc je fais attention à ce que je porte, sans pour autant m'afficher grâce à mes vêtements. Je porte des choses simples, qui ont tout de même une sacré classe.
Caractère: Je pense qu'il existe deux Nolan, bien que l'un d'eux soit enfouit loin au fond de moi. Commençant par le premier, par le bon en quelques sortes. Celui qui est le père d'un enfant, et qui par conséquent fera tout pour le rendre fier de lui. Celui-là est gentil, et sincère. Il est sérieux, se concentrant avant tout sur son travail et sur le bonheur de son petit ange. Il est un ami fidèle, et digne de confiance. Sain de corps et d'esprit, il est plutôt simple au final, bien qu'il n'est pas que des qualités. En effet, il est rancunier. Aussi, faites attention à ce que vous lui faites, car il pourrait vous le faire payer. Sa jalousie peut parfois lui faire perdre le contrôle, et personne ne sait vraiment ce qu'il est capable de faire si on le provoque. Il n'est pas violent, mais plutôt calme, toutefois son côté sur-protecteur peut le pousser à se battre, et à tout casser sur son passage si cela à nécessaire. Parlons maintenant du second Nolan, celui qui n'existe plus mais qui menace de revenir. Celui dont le coeur est brisé. Celui-là est un dragueur sans égal. Coureurs de jupons, il abuse de son charme pour obtenir tout ce qu'il veut. Il sait qu'il a des atouts, et il les utilise. Aussi, il est très prétentieux, et sûr de lui. Sa fierté a une place importante dans son caractère, puisqu'elle peut le rendre méchant et sans pitié. Cependant, ce Nolan là n'oubliera pas qu'il a un fils, et quand il sera en compagnie de celui-ci, il se conduira de manière exemplaire. Voilà en quelques sortes mes deux facettes. Pour l'instant la première a le dessus, mais sait-on jamais, la mauvaise partie de moi pourrait refaire face plus vite que vous ne le pensez.
L'histoire
L'inconnu, c'est notre départ à tous. Quand on nait, que nous ne sommes que des bébés gazouillants, que nos yeux sont grand ouverts, nous ne connaissons rien à la vie. Nous entrons dans un monde inconnu, un monde sans pitié, et dans lequel il n'existe aucun happy end. C'est pour ça que l'enfance, c'est merveilleux. Car nous sommes innocents, et ignorants. Nous vivons dans un monde en plastique, un monde de jouets où rien n'est impossible, où tout le monde est bon et gentil. La vie m'a été donnée le second jour du mois de juillet, de l'année 1988, à San Antonio au Texas. Mais ma naissance n'a pas été comme les autres, puisque l'on m'a donné à une femme qui n'avait pas souffert le martyr pour me mettre au monde. Elle n'était pas épuisée, ni même dégoulinante de sueur. Mais elle était heureuse. J'étais son soleil, et elle était désormais le mien. J'ai beau avoir grandi avec des parents qui n'étaient pas biologiquement les miens, j'ai eu une enfance heureuse. Je n'ai jamais manqué de rien. Ma mère étant avocate, et mon père médecin. Mais l'argent ne fait pas le bonheur, c'est bien connu. Ce qui a fait notre bonheur à nous, c'est les bons moments que nous avons partagé. Les journées de cache cache dans la forêt, les crêpes party finissant toutes en bataille générale de nourriture. Généralement, on voit les gens riches comme des personnes superficielles, intéressées seulement par le côté matériel des choses. Mais mes parents étaient pas comme ça, loin de là même. À l'école, je me battais pour être dans les meilleurs. Parce que les rendre fiers était mon but. Ils me rendaient heureux grâce aux sorties que nous faisions chaque semaine, et aux cadeaux qu'ils m'offraient, et je leur rendais la pareille en ramenant des bons points de l'école. Quand j'eu cinq ans, nous avons quitté le Texas pour nous installer à New York. Bien que j'appréhendais d'être mal reçu et d'avoir du mal à m'intégrer, tout se passa à merveille. À mes six ans, mon père m'a plongé dans le sport. Celui que je préférais était le basket ball, mais je jouais tout aussi bien du football américain ou du tennis. Il m'a expliqué à quel point le sport était important pour l'Homme. Il disait que c'était notre manière d'être en paix avec nous même, de donner à notre corps ce qui était de mieux pour lui. J'avais toujours admiré sa façon de parler. Chaque enfant voit en son père un super-héros, et j'étais persuadé que si un jour le monde courrait à se perte, il serait celui qui nous sauverait tous. Ma mère, quant à elle, je l'aimais plus que tout au monde. Elle était ma raison, ma conscience, mon trésor. Elle m'aimait oui, mais pouvait être très sévère quand il le fallait. Au fond de moi, je savais que tout ce qu'elle faisait c'était pour mon bien.
Avoir une famille, c'est pour chaque enfant quelque chose de vital. Et j'ai toujours su que la famille que j'avais était la meilleure que je pouvais avoir. Mes parents étaient parfaits, et je les aimais plus que tout. Rien ne pouvait changer ça, rien du tout. Même le fait d'apprendre que j'avais été adopté. J'avais douze ans ce jour-là, le jour où ils me l'ont dit. Mais ça n'a rien changé pour moi. Donner la vie est nettement moins important que donner l'amour. C'était ma façon de penser, et c'est ce que je leur ai dit. J'ignorais peut-être d'où je venais vraiment, mais je savais qui j'étais aujourd'hui, et qui était ma vraie famille. Je pense même que tout ceci nous a rapproché. On s'est tous les trois rendus compte que rien ne pourrait nous séparer. Rien, aucune guerre, aucun mur, rien.
Être parfait relève de l'impossible. Durant mon enfance, j'étais à deux doigts d'atteindre la perfection aux yeux de mes parents, certainement grâce au fait qu'ils m'avaient élevé d'une manière exemplaire. Cependant, l'adolescence est une période de crise pour chacun d'entre nous, il faut bien l'avouer. Et le petit ange que j'étais, ne se transforma pas en diablotin, mais changea complètement. Avant mes quatorze ans, j'étais amoureux et en couple avec une fille depuis la primaire. On était le petit couple de notre groupe de copains. Mais j'ai alors mis fin à notre relation. L'entrée au lycée était pour bientôt, et je savais que les filles que je rencontrerai là-bas seraient bien plus matures et sexys que celles que je connaissais déjà. Du moins, c'est ce qu'on m'avait dit. Alors moi, et mes hormones en plein éveil, je m'étais fait un tas de film. Je faisais du sport beaucoup plus fréquemment pour être au top physiquement, je ne m'habillais que de manière "virile" comme je disais, et j'avais acquis une maturité sans égal pour un enfant de mon âge, dans le but de plaire au maximum. J'étais prêt à être un playboy, un vrai de vrai. Au final, la fin de l'année arriva plus vite que prévu. J'avais alors profité de l'été pour avoir un teint joliment bronzé. Et oui, à croire que j'étais devenu un petit mec superficiel. Puis, suite à la rentrée tant attendue, au lieu de faire du charme aux filles de première année, je m'étais directement attaqué à celles qui étaient plus vieilles que moi. Bien entendu, je n'utilisais pas de vieilles méthodes ringardes. Non, je me contentais seulement de jeter des regards charmeurs par si par là, puis je laissais mijoter, me laissant désirer, avant d'aller vers la fille en question et de l'aborder l'air de rien, sans qu'elle ne s'y attende. En un an, cinq filles avaient succombé. Toutes les cinq en dernière année de lycée. Le parfait petit garçon que j'avais été s'avérait à l'époque du lycée être un dragueur, assez prétentieux et sûr de lui, mais il avait toujours respecté les filles malgré tout. Mine de rien, le lycée, ça passe vite. En fait, tout passe vite, la vie entière passe vite. J'ai eu mon diplôme de fin de lycée, et je me rappelle de ce jour comme si c'était hier. J'étais un coureur de jupons, j'étais jeune, et j'avais l'impression d'être invincible. C'est ça la jeunesse, que voulez-vous… Après le lycée, l'université de Fordham. J'avais trouvé depuis plusieurs mois ma vocation : le journalisme. Mais je voulais être journaliste sportif, étant un passionné de l'effort physique. Aussi, mes parents m'avaient offert un appartement de grand standing, ainsi qu'une très belle voiture pour me féliciter de ma réussite dans les études. Cependant, toujours autant attaché à eux, je leur rendais visite fréquemment. À Fordham comme au lycée, j'avais toujours la même réputation, celle d'un vrai playboy. Allez savoir pourquoi, cela attirait les filles. J'enchainais donc toujours autant les relations, sans compter évidemment les histoires d'un soir. Mais trois ans, ça passe vite, surtout quand on est loin de s'ennuyer. Et j'obtins alors mon diplôme, sans avoir eu le temps de profiter de l'université comme je l'aurais voulu.
L'amour change un homme. Elle change sa vie, et sa vision du monde. Elle le rend plus vulnérable, et plus fragile. C'est ce que l'amour m'avait fait. C'est ce qu'Aloysia m'avait fait. J'avais trouvé du boulot en tant que journaliste sportif pour un journal new-yorkais. D'ailleurs, mon employeur était mon oncle. Mon second père d'une certaine manière. Il était celui à qui je parlais de tout. J'avais confiance en lui, et il était une personne très importante pour moi. Je tiens cependant à préciser qu'il ne m'avait pas pistonné pour autant, et que je méritais mon poste. Bref, j'avais un bon petit job qui me permettait de gagner ma vie et d'être indépendant. À la base, j'étais toujours un playboy, mais c'est alors qu'elle a débarqué dans ma vie sans m'en demander l'autorisation. Elle avait tout chamboulé. La magnifique Aloysia. En un seul regard, j'avais compris qu'elle n'était pas comme les autres. Tout simplement car elle me faisait un effet qu'aucune autre fille ne m'avait fait auparavant. Et très vite les sentiments suivirent. Je suis alors allé vers elle, et ce fut officiel, j'étais amoureux. Amoureux de ce petit bout de femme, de son sourire resplendissant, de son rire chamboulant, de ses yeux pétillants. Elle était douce, adorable, et gentille. Et pour la première fois de ma vie, je m'étais surpris à vouloir vivre quelque chose de sincère et de sérieux avec une fille. Mon oncle Tyler fut celui à qui en premier je me suis confié. Alors il m'a conseillé, il m'a épaulé. C'est sûrement grâce à lui qui j'ai réussi à devenir meilleur pour Aloysia, à la mériter. Notre histoire est allée très vite, tout simplement car elle était magnifique et que nous étions tous les deux fous amoureux l'un de l'autre. Et très vite, nous avions eu l'envie de la renforcer. Alors nous nous sommes fiancés, étant prêts à nous unir pour toujours.
L'amour nous enlève notre raison, et nous fait redevenir de grands enfants. On en oublierait presque tous les risques que nous encourrons. Aussi, la fatalité nous rattrapa, Loysia et moi. J'ai rencontré Bliss il y a quelques temps, alors que j'avais pris des vacances aux Bahamas avec des amis. La demoiselle travaillait dans l'hôtel où nous logions, et tout naturellement, sans que je ne sache comment l'expliquer, elle et moi étions devenus amis. Seulement, toutes les vacances ont une fin, et même si nous avions échangé nos numéros, j'étais persuadé que notre amitié s'était terminé au moment où j'avais repris l'avion, très loin d'imaginer que Bliss puisse venir s'installer à New York. Car oui, c'est ce qu'il se passa. Toutefois, au début, suite aux visites guidées que j'avais faite à la demoiselle pour qu'elle se familiarise à sa nouvelle ville, nous étions devenus meilleurs amis. Très proches et très complices. Un peu trop complices peut-être, car il me semble qu'Aloysia se méfiait un peu. Enfin bref, tout dérapa au moment où j'ai annoncé à ma meilleure amie que j'allais me marier. Alors, je ne sais pas ce qui lui a prit, mais elle a avoué être amoureuse de moi. Elle avait joué le rôle de la fatalité. Elle avait en quelques sortes ruiné mon bonheur. De plus, elle m'envoyait des messages sensés expliquer ce qu'elle ressentait pour moi… Et quelques jours plus tard, tout ce dont j'avais rêvé tomba en ruines. Mon monde s'effondra, et mon coeur s'émietta, bien qu'il ne fallait pas que je le montre, ayant horreur de me sentir pitoyable. Aloysia a rompu avec moi, tout en m'annonçant m'avoir trompé. Je lui avais donné mon coeur, et elle l'avait détruit. Jamais je ne m'étais senti aussi mal. Alors, après avoir prévenu mon oncle et mes parents, j'avais quitté New York, pour retrouver le Texas de mon enfance.
En y retournant, j'avais retrouvé le Nolan que j'étais avant, celui qui courrait les filles. Car c'était la seule façon d'essayer d'oublier celle qui avait semblé être la femme de ma vie. Toutefois, malgré de nombreux flirts, je n'avais jamais réussi à aller plus loin, et à finir au lit avec une fille. Non, je n'y étais même pas arrivé. C'était sûr, Loysia m'avait changé, mais j'aimais pas du tout ça. À San Antonio, je m'étais inscrit dans une équipe de basket ball d'amateurs, de manière à me concentrer essentiellement sur le sport, et à reprendre goût à la vie d'une certaine manière. Je vivais chez ma grand-mère adoptive, qui avait vraiment été adorable avec moi. De mon côté, j'en avais profité pour l'aider au maximum, lui faire ses courses, repeindre et rénover sa cuisine et sa chambre, tel un petit-fils modèle. Aussi, pendant longtemps j'ai hésité à rechercher mes parents biologiques. Mais finalement, j'ai renoncé. Cela n'avait aucune réelle importance à mes yeux. Après dix mois d'exil, j'étais rentré à New York. Car malgré tout, cette grande ville m'avait manqué. J'avais retrouvé mon chez moi, mes parents, mon oncle, et mon boulot. Sauf que j'étais loin de me douter que j'avais un fils. Aloysia me l'avait caché, et je lui en voulais pour ça. Mon fils s'appelait Noah. J'étais père… Encore quelque chose qui allait changer ma vie. Je voulais tellement que cet enfant ait une vie solide, et des parents qui l'aiment. Même si j'éprouvais une rancoeur sans nom envers celle qui avait brisé mon coeur, je lui avais proposé qu'on reprenne notre histoire, afin qu'ensemble nous construisions un nid solide pour notre fils, et que nous l'élevions de manière exemplaire. Si elle refusait, je ne savais pas ce que je ferais… Redevenir le playboy qui ne s'était pas totalement éteint et qui était là au fond de moi ? Ou bien trouver une belle-mère à la hauteur de mon fils ? Sinon me battre pour récupérer Aloysia. Quant à Bliss, je ne l'avais pas revu, et franchement, c'était mieux comme ça.
Behind the computer
Prénom: Suspense Âge : Suspense bis Avatar choisi : Chace Crawford Comment as-tu connu ce forum ? : Grâce à sa superbe réputation Ton avis (design, contexte, ...) :Il est parfait ce forum, tout comme ses membres Présence sur le forum : Tous les jours Autre(s) compte(s) : Aucun Exemple de RP :
Spoiler:
Les acteurs que vous avez l'occasion de voir à la télévision ou même dans les plus grands films de cinéma sont doués, n'est-ce pas ? Ils jouent leur rôle à la perfection, si bien qu'au final les gens les confondent à leur personnage. Ils apprennent un texte par coeur, le mettent en scène. Mais s'ils se loupent ils ont l'occasion de recommencer indéfiniment. Au final, être acteur se résume à entrer dans la peau de n'importe quel personnage, et d'anticiper ses réactions dans n'importe quelle situation. Forcément, vous avez un certain temps de réflexion. Par contre, Bidule et Truc étaient bien plus doués. Il ne suffisait que d'un simple texto pour qu'ils entrent en scène. Pas de précision quant à la scène jouée et au personnage désiré, la seule solution étant donc l'improvisation. Aucune erreur possible, pas de possibilités de recommencer. Pire encore, il n'y avait pas de paroles apprises par coeur, et donc tout devait paraître fluide et naturel. Sans quoi tout tomberait évidemment à l'eau. Jusqu'à présent, chacune de leur mission avait été une pure réussite. C'est sans aucun doute que je peux affirmer que n'importe quel grand scénariste rêverait de travailler avec eux. C'est d'ailleurs ce que Truc' aimait penser après chaque mission terminée et réussie, car oui, réussies elles l'étaient toutes. A chaque fois qu'un message "emergency" était envoyé, la soirée se suivait de larmes, de rires, de coups de gueules, de bagarres quelques fois, de baisers aussi. Celle-là commençait bien pour l'instant. Une petite bagarre provoquée par Truc, et un bon coup de gueule à la Bidule. Evidemment, il y avait des spectateurs, et ceux-ci ne pouvaient pas être déçus du spectacle, au contraire. Tout le monde sait que ce genre de scène attire du monde.
La plus belle carte que Chose ait joué pour le moment était celle du mariage. C'était tellement hilarant, et ça ne faisait que de pimenter la scène. Il savait que Bidule serait à la hauteur de ce scénario, et que donc la scène risquait d'aller très très loin. Ils en étaient qu'au début, pourtant ils s'amusaient déjà comme des fous. Ca passe vite la vie, non ? Au moins eux ils ont trouvé le moyen de rester des gamins : se donner en spectacle sans avoir peur des regards, sans avoir peur des blessures, sans avoir peur de la honte (bien qu'ils n'avaient honte de rien), sans avoir peur d'aucune conséquence en réalité. Avec le couple Bitruc, l'adrénaline est au rendez-vous, croyez-moi ! A chaque geste, à chaque parole prononcée, Truc avait l'impression de sauter dans le vide, ou même de rouler à fond au volant d'une super voiture de sport. Ce qu'il ressentait avait le gout du risque, mélangé à l'excitation, au bonheur, et à l'impatience. Regard posé sur sa soit disant fiancée, le jeune homme avait envie d'exploser de rire, mais évidemment il ne le pouvait pas, et sur son visage, impossible de deviner qu'il jouait la comédie et que rien n'était sérieux. Car il faut l'avouer, Truc' savait jouer mieux que personne. Il affichait un air énervé et perplexe à la fois. Et à chaque fois qu'il regardait la bande du faux-roux, il les fusillait tous du regard, ainsi que le moindre gars qui regardait la demoiselle Chouette d'ailleurs, n'oublions pas qu'il devait joué son fiancé. Bref, ce fut au tour d'Chose de prendre la parole. Ni une ni deux, il répliqua.
"Que j'arrête avec mes conneries ? Et en plus tu me traites de tyran ? Il laissa échapper un rire qui se voulait nerveux. Alors là tu te moques vraiment de moi, il faudrait que tu m'expliques pourquoi tu as accepté ma demande dans ce cas…" Il lui lança un regard interrogateur avant de hocher la tête négativement d'incompréhension. Oh oui, il était parfait dans ce rôle, ne trouvez-vous pas ? Il était magnifiquement vêtu et avait la grande classe, et il se tenait également de manière à avoir l'allure d'un mec qui ne recule devant rien et qui ne laisse certainement pas sa fiancée se faire draguer par n'importe qui, ou plutôt par n'importe quoi (cf le faux roux). Truc est doué pour laisser percevoir des choses de ce genre rien qu'à travers sa posture hein ?
Quand la demoiselle tenta de s'échapper, ou plutôt quand Bidule fit genre de vouloir partir, Chose se plaça devant elle, l'empêchant de fuir. Le jeune homme s'éclatait vraiment et prenait son rôle très à coeur. Alors quand elle lui demanda de la laisser passer, celui-ci lui lança un sourire qui signifiait "tu rêves chérie", puis il reprit un air en colère. "Te laisser partir ? N'y compte pas Bidule… Si tu crois que je vais te laisser filer comme ça…" Jouer le mec qui ne lâche pas l'affaire c'était vraiment excellent. Et si l'on faisait un sondage, il est certain que 95% des gars se trouvant ici voulaient coller leur poing dans la gueule d'ange de Truc. Bref, revenons-en à la scène, ne loupons surtout pas le moment le plus intéressant, ou l'un des plus intéressant de la soirée.
J'ai dit plus haut que les soirées de ce genre comportaient souvent des baisers, n'est-ce pas ? Et bien ce soir cela allait être le cas. Et c'est Bidule qui se lança. Par mécontentement lorsque son "fiancé" ne la laissa pas passer, elle se retourna pour embrasser un garçon, qu'elle avait soigneusement choisi si on en juge par le temps qu'elle avait mis à se jeter sur lui. Alors ça, c'était du Chouette tout craché. Truc' mourrait de rire intérieurement. Il devait réagir de manière à être à la hauteur de ce qu'elle venait de faire. Plusieurs choix se confrontaient dans sa tête. Premièrement, il pouvait draguer une fille, et l'embrasser comme Bidule l'avait fait avec ce gars. Mais cela aurait été du copier-coller. Il aurait pu aller foutre un poing à cet inconnu, mais beaucoup se seraient retournés contre lui, et le Delta n'était pas du genre violent. Il pensait également à se mettre torse nu et à aller danser sur le bar comme le faisaient tous ces nazes un peu trop musclés qui se la pétaient. Cela aurait pu être très amusant d'ailleurs, mais peut-être pas assez constructif. Bien entendu, cette réflexion se fit en un millième de seconde, et donc sans même que personne ne s'en aperçoive. Au final, il opta pour une tout autre solution.
Truc s'approcha de Bidule, la détacha de l'abruti qu'elle embrassait, et l'embrassa à son tour. Il enroula ses bras autour d'elle, de manière à ce qu'elle ne s'échappe pas et à ce que tous ces mecs comprennent qu'elle était à lui. Cela était plutôt une bonne réaction face à cette situation, non ? Pour ne pas faire les choses à moitié, le jeune homme glissa sa langue entre les lèvres de sa co-équipière de jeu, évidemment sans lui laisser le choix, car n'oublions pas que le personnage que jouait Chouette aurait certainement été contre ce baiser. Puis, il glissa quelques mots à l'oreille de la demoiselle, quelques mots que personne d'autre qu'elle n'avait pu entendre : "Avoue, on s'amuse bien hein ?"
Code du règlement :
Spoiler:
Ok par Aloysia Fabregas-Warren
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: nolan michael warren • fiche terminée Ven 18 Mar - 0:45
Han le magnifique Chace Crawford Bienvenue (aa)
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: nolan michael warren • fiche terminée Ven 18 Mar - 0:46
Bienvenue officiellement & vu que j'ai déjà lu ta fiche cette après midi ;
Validé. Si tu sens que tu auras besoin d'aide pour t'intégrer et/ou mieux comprendre le forum, un tout nouveau sujet de parrainage a été créé ici. Surtout n'hésite pas à envoyer un mp à un membre du staff si jamais tu as des questions ! Je te conseille également de faire un petit tour sur la chatbox ou dans la partie flood du forum pour te familiariser avec les membres. Bon jeu !
& Pense à voter de temps en temps sur les top sites, principalement celui d'Obsession, merci.
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: nolan michael warren • fiche terminée Ven 18 Mar - 0:54
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Sujet: Re: nolan michael warren • fiche terminée
nolan michael warren • fiche terminée
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