ALEX ♣ Don't wanna be an American idiot || FICHE TERMINEE.
Auteur
Message
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: ALEX ♣ Don't wanna be an American idiot || FICHE TERMINEE. Dim 24 Avr - 17:36
(c)Fanpop
Age: Date de naissance: Lieu de naissance: Métier/Etude:
J'appartiens au groupe des Populars
Personnage:Poste VacantScénarioInventé
"On a frôlé la vie !" de Fight Club, Tyler.
Signe(s) Particulier(s)
Alexandre est l'exemple même du petit garçon propre sur lui. Pas un tatouage, ni même un piercing, ça n'est pas qu'il ne trouve pas ce genre de chose à son gout, c'est juste qu'il n'y a jamais véritablement pensé. Disons qu'il n'est pas des plus vaillants et bien qu'il ne l'admettra jamais, les aiguilles ne sont pas vraiment ce qu'il aime le plus au monde. Du coup, il évite d'y penser et ne trouve pas vraiment utile le fait de se faire tatouer ou même percer.
Orientation Sexuelle
Notre jeune homme est incontestablement hétérosexuel. Pas une seule fois en vingt-et-un ans d'existence il n'eut ressenti une quelconque attirance pour un homme. Les femmes sont ce qu'il y a de plus beau au monde d'après lui et il ne se voit vraiment pas s'établir dans une relation intime avec un homme. Il n'a rien contre, c'est juste que ça n'est pas son délire.
Alexandre James Dumoulin
Behind the computer
Prénom:Lisa. Âge : Dix-huit ans. Avatar choisi : Logan Lerman. Comment as-tu connu ce forum ? : Ma sœur y était inscrite. Ton avis (design, contexte, ...) : *.* Présence sur le forum : tous les jours. Autre(s) compte(s) : nop. Exemple de RP :
Spoiler:
Réveil en sursaut, mal de crâne, à dire vrai, ce réveil n’était pas si différent de ceux dont je bénéficiais chaque matin. L’alcool, la drogue, tout cela était si courant au sein de l’appartement 30B, qu’à vrai dire, il était plus rare de nous voir sobre plutôt qu’imbibés d’alcool. Je sais ce que vous vous dîtes : Ah cette jeunesse ! Et vous avez raison. Bien sûr on prend des risques, bien sûr que tout cela n’a pas vraiment de sens. Et pourtant, ça en a un pour nous. On s’amuse, on profite. Disons que la jeunesse est éphémère et que si on ne profite pas de cette dernière maintenant, après, il sera trop tard. Je ne veux pas me réveiller un matin avec des regrets. C’est un peu notre tradition avec mes deux meilleurs amis, Siméon et Bhowy. Disons qu’on vit notre vie à fond, on l’a toujours fait et je pense qu’on le fera toujours. En témoigne notre petite soirée entre BG Calbut hier soir, au sein de notre mythique appartement 30B. Bien sûr, les réveils ne sont jamais des plus glorieux, mais on s’en fiche, on a l’habitude. Premier réflex : prendre une aspirine et boire un bon verre d’eau - chose rare -, tout de suite, ça va un peu mieux. Le salon est désert. Bhowy doit être dans sa chambre, tout comme Siméon. Ces deux là je vous jure ! Pendant très longtemps, je n’ai pas pu les supporter et pourtant, ils sont rapidement devenus mes meilleurs potes. Les meilleurs des meilleurs. Ma vie sans eux, n’aurait… aucun sens à dire vrai. Bon je m’emballe là, faut que j’y remédie. Feuille ? Okay. Tabac ? Okay. Barre de shit ? Okay. Tout est bon. Rapidement, je fais ma petite affaire, professionnel en roulage de joint oblige. Des années et des années d’expérience font de moi un maitre en cette matière. Siméon et Bhowy pourront vous le dire ! Je dépose le tube dans ma bouche mais… il manque quelque chose de primordial : un briquet. Je fouille un peu partout et disons que ça n’est pas une mince affaire puisque chez les BG Calbut, c’est le bordel. Bien sûr, parfois, il nous arrive de ranger, mais disons que c’est pour de grandes occasions. Pack de pizza, canettes vides de bière, vêtements divers et variés… Je ne trouve pas mon feux au milieu de ce bordel. Seule solution ? Aller embêter les deux larves qui me servent de potes. En temps normal, je suis toujours le dernier levé et pourtant, les portes respectivement fermées de leurs chambres m’indiquent qu’ils dorment encore. Je me pointe tout d’abord dans la chambre de Bhowy. Pas la peine de frapper, j’ouvre la porte même brusquement ce qui me vaut un grognement de la part de ce dernier. Je m’approche doucement, mon joint dans ma main. M’accroupie près de la tignasse endormi de mon ami. Je pose ma main sur son épaule et le secoue doucement. « - Bho… Bho ? ». Il garde les yeux fermés, grognant une seconde fois. « - Wiwy, t’aurais pas un briquet, s’il te plaît ? ». Bhowy fronce les sourcils et ouvre brusquement les yeux. « - PUTAIN MAIS LAISSES-MOI DORMIR !!! ». J’ouvre de grands yeux, étonné, et me lève brusquement. « - OKAY C’EST BON !!! Rendors-toi et rêves pas trop de tes potes Potiron et compagnie, ces gros nazes ! ». Vexé, mais pas trop, je sors de sa piaule, toujours sans feux… Reste une seule et unique solution : Siméon. Cette fois, j’ouvre très doucement la porte et à mon grand étonnement, la pièce n’est pas plongée dans le noir et Simé n’est pas endormi mais… en train de… de… de… TRAVAILLER !!!! Bizarre. Bon, bien sûr, de la part de Bhowy, ça ne m’aurait pas étonné, mais Siméon, mon Simé à moi qui travaille, c’est vraiment louche ! J’entre alors dans la pièce et brusquement, rapidement, évidemment, je me mets à rire. Un rire qui vient du fond des tripes. Un rire incontrôlable qui vous coupe la respiration et vous donne les larmes aux yeux. Je ris tellement que je n’arrive même pas à m’exprimer et à réitérer ma demande de briquet auprès de mon ami. Ce dernier grogne, m’ordonnant de me la fermer, mais c’est plus fort que moi. Mon rire résonne dans tout l’appartement et peut-être même dans le couloir de l’immeuble. A dire vrai, je m’en fiche bien, les voisins ont désormais l’habitude de nos divers bruits. Entre les fêtes, les rots, les rires, etc, je dois bien avouer qu’on est loin d’être silencieux. Je m’en fiche bien, qu’ils aillent se faire voir. Du moins… tous sauf une personne. Notre sexy voisine. Une mère de famille incroyablement magnifique… et que je courtise depuis quelques temps déjà. Bref, je finis par me calmer, peu à peu et m’affale sur le lit où mon ami est installé. « - Bon gars, rien ne va plus là ! »… J’ai du mal à parler, mon fou rire prenant peu à peu fin. Il sait pourtant très bien de quoi je parle. Lui, seul dans sa chambre, réveillé, en train… d’étudier. Non, ça ne va pas du tout. Pour une fois qu’on est tous les trois à l’appartement, faut qu’on fasse quelque chose. D’ailleurs, en parlant de ça, Bhowy arrive rapidement, la mine endormi ce qui a le don de me faire rire une seconde fois. J’y peut rien si sa tête de nigaud endormi me fait rire ! Il me balance alors un briquet au visage, ce qui a le don de me faire un peu cesser de rire. Je le remercie par un regard et porte le joint à mes lèvres, allumant ce dernier à l’aide du briquet que vient de me donner Bhowy. J’inspire une bonne gorgée et me redresse un peu, histoire d’être mi assis, mi allongé sur le lit de mon pote. « - Bon les gars, on fait quoi aujourd’hui ? Et toi, me dis pas que tu dois réviser ! » dis-je en regardant Siméon.
Code du règlement :
Spoiler:
Statue of Liberty
Dernière édition par Alexandre J. Dumoulin le Dim 24 Avr - 20:08, édité 8 fois
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: ALEX ♣ Don't wanna be an American idiot || FICHE TERMINEE. Dim 24 Avr - 17:36
Physique & Caractère
Apparence & Style: Alexandre est le jeune homme simple par excellence. Il n’a pas vraiment de style préétablie, il s’habille en fonction de son humeur et étant plutôt un beau jeune homme, il n’a pas vraiment de mal à trouver de quoi s’habiller correctement. Mince, pas franchement petit et ni très musclé, Alexandre a plus un corps de grand adolescent que d’adulte. D’ailleurs son visage enfantin lui donne un air naïf auquel il ne peut vraiment contredire. La douceur dans ses traits témoignent relativement bien de la douceur de son être bien qu’il demeure un garçon bien dans sa peau. Ses cheveux bruns pas très longs sont lisses. A vrai dire, il ne prend pas vraiment soin de ses cheveux ou même de son corps. Il se contente de se laver, ce qui est déjà bien et par de grandes occasions, mettre de l’ordre dans ses cheveux, rien de plus. Son teint pâle lui vaut les jours ensoleillés des coups de soleil grandioses et fait également ressortir le bleu de ses yeux. Quelques petites taches de rousseur, un petit nez retroussé, un sourire impeccable et voila comment Alexandre fait craquer les filles. Un tout petit peu frimeur, il s’assume complètement et ne fait pas vraiment de fixation sur son physique ou autre.
Caractère: D’apparence calme et respectueux, Alexandre peut se montrer dévergondé et hyperactif. Disons qu’il sait se tenir et change de comportement selon la situation dans laquelle il se trouve. Il parle peu de ses sentiments et à tendance à plus écouter que se confier car le jeune homme aspire rapidement la confiance d’autrui et se montre également très loyal et fidèle. C’est un jeune homme attachant qui ne trahirait les personnes chères à son cœur pour rien au monde. Il vit au jour le jour tout en se méfiant des revers de la médaille, du coup, il a parfois tendance à prendre ses précautions. C’est un gamin brillant et intelligent très déterminé et qui a tendance à s’investir corps et âme dans ce qu’il entreprend. Très gentil il a tendance à être un peu naïf sur les bords bien que son intelligence l’empêche de se laisser embobiner par n’importe qui bien qu’il demeure un personnage légèrement manipulable. Pas franchement rancunier, il peut tout de même rapidement se vexer, mais il n’est pas difficile de lui faire lâcher sa rancune et mettre de côté sa fierté. Il n’aime pas trop être le centre d’attention et à tendance à se fondre dans la masse, rester un garçon à qui on ne prête que peu d’attention. Mais rassurez-vous, il est parfaitement heureux et bien dans sa peau, cela ne fait aucun doute. Également très attacher aux valeurs essentielles de la vie, il peut parfois se montrer bagarreur et impulsif lors d’une injustice ou de quelque chose de choquant pour lui. Il n’aime pas avoir tord et passe parfois pour le parfait monsieur je-sais-tout. Également plutôt drôle, il reste cependant un garçon maladroit et qui ne se prend pas pour le moins du monde au sérieux.
Dernière édition par Alexandre J. Dumoulin le Dim 24 Avr - 20:05, édité 4 fois
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: ALEX ♣ Don't wanna be an American idiot || FICHE TERMINEE. Dim 24 Avr - 17:36
L'histoire
« - Bah ma puce, que se passe-t-il ? ». La petite blonde sécha rapidement ses larmes à l’aide de ses mains d’enfant, relevant la tête pour poser son regard clair sur la jeune femme à ses côtés. Recroquevillée sous le bureau de bois établi dans un coin de sa luxueuse chambre de princesse, elle faisait vraiment peine à voir. Elle hoqueta une fois, deux fois, trois fois et se décida à parler : « - C’est… Gaby et Alex… ». Elle avait du mal à s’exprimer, les pleurs reprenant le dessus. Elle était encore jeune pour savoir complètement se contrôler et c’est après une délicate caresse sur sa joue, que l’adulte présente dans la pièce l’incita à prendre la parole une seconde fois. « - Ils… Il… veulent pas jouer avec moiiiiii ». Et la voila repartie dans son chagrin à fendre n’importe quel cœur, même le plus dur. La jeune femme alors présente se releva légèrement, incitant la gamine à en faire de même. Ses traits se durcirent et la question qu’elle se posa à cet instant précis ne fut pas bien originale : Mais où sont-ils ces deux là ? « - WAZAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA !!!!! » *BAM*. Silence. Le petit garçon se stoppa net. Plus un bruit. Inquiétant. Une, deux, trois secondes avant qu’il ne reprenne ses esprits et se précipite dans la pièce jointe à celle où il se trouvait depuis quelques secondes. C’était toujours la même histoire ! Il fut pris de panique en ne trouvant aucunes traces de sa sœur aînée et ce sentiment de panique s’accentua lorsqu’il aperçut la table complètement retournée à même le sol en marbre, sa sœur allongée sur ce même sol, non loin. Elle avait gardé ses yeux grands ouverts et mima la morte. Elle ne mot pourtant que quelques secondes avant de poser son regard sur son frère et se mettre à rire comme une baleine. Gabrielle et Alexandre Dumoulin. Deux énergumènes rares, ces deux là ! Ils avaient beau être encore bien jeunes et innocents, leurs bêtises incessantes n’en étaient pas pour le moins originales. Cette fois-ci, ils s’étaient amusés à faire du skateboard dans leur grand appartement qui n’en finissait plus. Si leurs parents - surtout leur mère - s’évertuaient à garder un domicile impeccable, les gamins n’en avaient rien à faire et trouvaient en ce lieu un terrain de jeu des plus grandioses. Bien sûr, comme à chaque fois, l’un des deux s’étaient fait mal et cette fois, ce fut la petite Gabrielle, étalée sur le sol dur et froid. La panique avait un court instant pris possession de son petit frère, mais il lui suffit d’entendre les rires incessants de sa sœur pour comprendre la supercherie. Il soupira alors et avec cet air qu’il savait irrésistible, il fit sa petite bouille innocente et sembla un instant boudeur : « - C’est pas drôle Gabouche, j’ai eu peur moi !!!! ». Les rires accentués de sa sœur ne firent que renforcer son état de vexation ultime avant qu’un sourire ne se dessine sur ses traits enfantins et qu’il ne saute littéralement sur son aînée, l’embêtant du mieux qu’il le pouvait en la chatouillant aux points les plus stratégiques. « - Vous deux, DEBOUT ! ». Les deux gamins se stoppèrent et net et d’un mouvement commun, se relevèrent en une fraction de seconde. Natasha avait beau être jeune, belle et douce, elle n’en demeurait pas moins le seul symbole d’une quelconque autorité maternelle, dans ses bons comme ses mauvais côtés. Cette fois, à leur plus grand malheur, Natasha se montrait autoritaire et plutôt dure. Si la plupart du temps les trois gamins Dumoulin l’adoraient, affectionnant avec une certaine candeur son accent roumain, à cet instant précis, Alexandre était beaucoup trop effrayé pour prendre cela en compte. Alors, apparu derrière la jeune femme la petite silhouette qu’il connaissait si bien, celle de sa petite sœur, Samantha. Il avait beau avoir autant d’écart avec Gabrielle qu’avec Sam, cela ne changeait rien. Il n’avait jamais été très proche de Samantha. Il n’aurait su l’expliquer. C’était un fait, sa petite sœur n’était pas un élément essentiel dans sa vie. Certes, il ne la détestait pas, il éprouvait même une certaine sympathie pour elle, mais elle ne rivalisait en rien avec sa sœur aînée. « - Je peux savoir pourquoi vous ne désirez pas jouer avec Samantha ? ». Toujours cette même question à laquelle les deux gamins ne savaient trop quoi répondre. Deux mouvements d’épaules simultanés qu’il leur valut un soupire de la part de leur nourrice. C’était juste que quand une idée pas franchement très lumineuse traversait leurs esprits, ils n’avaient qu’un seul et unique réflexe, trouver l’autre et lui en faire part. Samantha n’était pas dans le même état d’esprit. Elle était plus comme… leur mère. Cette femme qui semblait presque être une inconnue pour ces trois gamins. Certes, les Dumoulin avaient tout pour être heureux, l’argent, le luxe, la sécurité et une certaine forme d’amour, mais les rejetons n’avaient pas vraiment de mère bien que Natasha était la personne qui se rapprochait le plus de ce rôle.
« - ET JE T’INTERDIS DE *BAM* claquer la porte… ». Une scène bien normale et loin d’être originale, au sein du luxueux foyer des Dumoulin. Avachi sur le grand canapé de cuir, dans l’une des énormes pièces qui constituaient l’appartement parisien de cette famille, Alexandre Dumoulin semblait regarder la télévision. Du moins, c’est-ce que l’on pouvait croire au premier coup d’œil. En effet, le jeune homme était semi-allongé, son menton venant rencontrer son torse de pré adolescent, ses jambes affalées sur la table basse en bois de chaine venue d‘on-ne-sait-où. La télécommande dans sa main droite, ses yeux étaient fixés sur l’énorme écran plat tandis que sa main ne cessait de s’activer, changeant les chaines aussi vite qu’il lui était possible de le faire. En temps normal, sa mère l’aurait réprimandé pour ce manque certain de tenue, mais disons que depuis quelques temps déjà, la femme était beaucoup trop préoccupée par la rébellion certaine de sa fille aînée, pour porter un quelconque intérêt à son fils. Certes, cela ne dérangeait pas Alexandre tant que cela. Disons que le fait d’être un peu détaché du peu d’emprise de sa génitrice sur sa personne lui faisait du bien. Même si madame Dumoulin n’était franchement pas présente pour ses enfants, elle s’évertuait à exercer sur eux une pression dont ils ne pouvaient vraiment se détacher. Elle avait des projets. Très précis, pour chacun d'entre eux. Le problème était que Gabrielle entrant dans l’âge de l’adolescence, elle n’acceptait guère cette prise de position de sa mère. Du coup, les disputes n’étaient pas rares et si Alexandre était ravis du manque d’attention de sa mère pour sa propre personne, il n’aimait pas subir ces scènes jours après jours. Il n’aimait pas voir Gabrielle s’éloigner, parce que c’était bien ce qui était en train d’arriver. La plupart du temps, les disputes se terminaient par le même refrain : des insultes et un claquage de porte. Gabrielle allait rejoindre ses amis au détriment de son frère cadet qui ne semblait plus avoir ce rôle privilégié dans son existence. Alexandre comprenait sans vraiment comprendre. Sa mère était vraiment dure avec la rouquine, mais d’un côté, il souffrait terriblement de ce manque de cette sœur qui n’était pourtant pas encore partie du foyer. Il se sentait seul, lui qui ne l’avait alors jamais été. Il subissait jours après jours, sans rien dire, se morfondant dans ce mutisme auquel personne ne semblait porter attention. Ses amis s’en fichaient bien et puis Alexandre n’était pas du genre à exposer les querelles familiales à ses amis, c’était une chose que sa mère lui avait apprise : Ne pas se confier à n’importe qui, puisque se confier signifie accorder sa confiance à autrui. Alexandre avait beau être plutôt naïf, il avait été élevé en quelque sorte avec cette phrase ancrée dans son esprit et était conditionné à cela. Son père s’éloignait également. Si monsieur Dumoulin n’était pas non plus très présent dans la vie de ses enfants, il était déjà plus proche d’eux que pouvait l’être leur mère. Du moins, il prenait le temps de s’intéresser à eux et aimait véritablement ses enfants. S’il n’était pas présent, c’était plus pour son travail que par envie, chose qui le différenciait énormément de sa femme. D’ailleurs, si Alexandre et Samantha semblaient obéir à leur génitrice, cette dernière n’avait pas le privilège qu’avait son époux d’avoir depuis de longues années le respect de ses enfants. Enfin, cette théorie était plus vraie pour Alexandre que pour Samantha. Disons que le foyer Dumoulin était séparé en deux camps, comme sur un champs de bataille. D’un côté, il y avait son père et sa sœur aînée, Gabrielle. Ces deux là étant considérablement complices et plutôt proches. D’un autre côté, il y avait sa mère ainsi que sa sœur cadette Samantha, faisant du shopping le plus de fois possible. Et puis, il y avait Alexandre. L’enfant du milieu. Pas affirmé, mais pas timide non plus. Plutôt effacé au sein de ce foyer composé de si grosses têtes d’affiche. Alexandre était la ligne de paix, le médiateur en quelque sorte. Il n’était pas neutre, mais refusait à choisir un parti. Il voulait une famille unie et liée, chose qui semblait se détériorer jours après jours. Si chaque camp voulait prouver à l’autre sa supériorité, Alexandre lui, ne savait quoi dire, quoi faire, du coup, il restait passif et venait à en devenir complètement transparent. Il n’était ni aimé, ni détesté, il faisait ce que l’on demandait de lui et ne cherchait pas les ennuis. De plus, étant un gamin plutôt intelligent, il avait tendance à passer des journées entières à réviser pour oublier cette famille si divisée qui le détruisait un peu plus à chaque minute. Il sortait aussi quelques fois, rejoignant ses copains de classe pour faire du skateboard ou trainer devant la télévision. Il était jeune et pourtant il ressentait perpétuel vide en lui, comme si quelque chose allait se passer et il ne pouvait rien faire pour l’empêcher d’arriver.
PSYCHOLOGUE ♣ Et qu’avez-vous ressenti lorsqu’il est parti ? ALEXANDRE ♣ Je ne vois pas pourquoi on parle de ça ! D’ailleurs, je ne sais même pas pourquoi je suis ici ! PSYCHOLOGUE ♣ Il faut que vous compreniez, Alexandre, que je suis votre ami, je suis de votre côté, il faut cesser d’être sur la défensive ! ALEXANDRE ♣ Vous n’êtes PAS mon ami, vous ne l’avez jamais été et vous ne le serez jamais ! PSYCHOLOGUE ♣ A quoi bon continuer à lutter Alexandre, voila six mois que vous venez dans cabinet chaque semaine sans vous ouvrir à moi, parlez peut vous faire un bien fou ! ALEXANDRE ♣ Écoutez, si je suis ici, c’est parce que ma mère le désire et que je n’ai pas le choix ! Que je parle ou non, vous êtes payé exactement pareil, si vous voulez, je peux même dire à ma mère que vous êtes essentiel à mon bien être, comme ça elle vous payera un peu plus, mais ne me soulez pas avec vos « je suis votre ami » et autres conneries ! *silence* PSYCHOLOGUE ♣ Il vous manque n’est-ce pas ? *silence* PSYCHOLOGUE ♣ Mais je dirais que… ça n’est pas simplement le fait de ne pas voir votre paternel qui vous affecte, c’est plus… le fait qu’elle soit partie… *silence* PSYCHOLOGUE ♣ Je touche le point sensible n’est-ce pas ? *silence* PSYCHOLOGUE ♣ Votre père est parti avec votre sœur aînée… Ça fait combien de temps Alexandre, sept, huit mois ? ALEXANDRE ♣ Un an… PSYCHOLOGUE ♣ Vous étiez proche de quelle manière de votre sœur Gabrielle ? *silence, soupire* ALEXANDRE ♣ Gabrielle était… la grande sœur idéale… Bien sûr, il nous arrivait de nous disputer, mais on se rabibochait toujours et ces moments là étaient les meilleurs. Parfois on faisait même exprès de nous disputer pour mieux nous retrouver. Lorsqu’elle était avec moi, j’avais l’impression de vivre vraiment, de ne pas passer à côté de la moindre seconde, j’avais cette impression constante d’être en sécurité, que j’avais quelqu’un, jusqu’au jour où… PSYCHOLOGUE ♣ Sa relation avec votre mère s’est dégradée … ALEXANDRE ♣ A partir de ce moment là, elle a commencé à péter les plombs et sortir le plus possible. C’était ma mère contre ma sœur, en permanence et je semblais être le seul à ne pas prendre parti… PSYCHOLOGUE ♣ Et ensuite, votre père est parti avec votre sœur… ALEXANDRE ♣ Oui… *court silence* PSYCHOLOGUE ♣ Donc, si j’ai bien compris, ce jour là, vous avez perdu un père et une sœur ? ALEXANDRE ♣ En quelque sorte… PSYCHOLOGUE ♣ Communiquez-vous avec votre père ou Gabrielle ? ALEXANDRE ♣ Non… PSYCHOLOGUE ♣ Pourquoi cela, Alexandre ? ALEXANDRE ♣ Parce que… à partir du moment où ils sont partis, main dans la main, sans une once de regret, j’ai compris qu’ils vivaient quelque chose dont j’étais étranger. Je ne fais plus parti de leur vie, c’est comme ça et je ne pense pas qu’envoyer une lettre y change quelque chose… PSYCHOLOGUE ♣ Comment vous sentez-vous dorénavant vis-à-vis de votre sœur cadette et de votre mère ? ALEXANDRE ♣ J’ai… je… je ne sais pas… PSYCHOLOGUE ♣ Vous avez beaucoup plus de responsabilités, n’est-ce pas ? Le seul homme de la famille, le grand garçon qui reprendra l’entreprise familiale… ne vous sentez-vous pas prisonnier de ce futur déjà tout tracé ? ALEXANDRE ♣ Non… *silence* ALEXANDRE ♣ Et puis même si je l’étais, qu’est-ce que ça change ? Je n’ai pas vraiment le choix, si ? Si j’avais décidé de me rebeller, de vivre ma vie, j’aurais fait comme ma sœur, mais je ne suis pas Gabrielle, je ne suis pas comme elle et je n’ai pas son courage ! Ce que je vis, je le mérite ! PSYCHOLOGUE ♣ Alexandre… vous devez savoir que le destin n’est jamais tracé à l’avance, vous avez toujours le choix mon garçon…
Dernière édition par Alexandre J. Dumoulin le Dim 24 Avr - 18:46, édité 7 fois
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: ALEX ♣ Don't wanna be an American idiot || FICHE TERMINEE. Dim 24 Avr - 17:37
L'histoire
« - Nooon Alexandre, tu dois mettre un s à la deuxième personne… l’espagnol est pourtant exactement pareil que le français sur ce point, il faut que tu te mettes ça dans l’esprit ! Tiens, tu viendras me voir à la fin du cours ! »
Alexandre acquiesça, tout content. Pourquoi était-il tout content que sa professeur le convoque dans son bureau après les cours ? Tout simplement parce que c’était voulu. En effet, il savait parfaitement qu’il fallait un « s » à la deuxième personne du singulier en espagnol, mais il avait fait exprès pour qu’elle le convoque. Pourquoi ? Parce que sa professeure était tout simplement… une bombe sexuelle. Il avait seize ans, c’était un garçon à qui l’expérience avec les filles s’arrêtait au baiser et au tripotage de sein et rester plus de cinq minutes seul à seule avec sa professeure plus que sexy d’espagnol le rendait tout niais. Et puis, il avait bien remarqué les petits sourires qu’elle lui faisait et le fait qu’elle prenait toujours sa défense. Alors, il attendit patiemment que la cloche signalant la fin des cours sonne et se leva rangeant ses affaires dans son sac tandis que l’un de ses amis lui adressa une tape dans le dos pour lui souhaiter bon courage. A dire vrai, sa situation avait bien changé depuis l’école primaire. En effet, dorénavant, il était un adolescent des plus populaires, une forte tête si je puis dire. D’excellentes notes, élève d’une des meilleures écoles privées de la ville, Alexandre avait toutes les cartes en main pour s’assurer un avenir des plus glorieux. Il trainait avec les gens cools, les skateurs, il faisait parti de l’équipe de natation de son école et avait même monté un groupe de rock dans lequel il était guitariste. Sa vie était des plus belle en apparence, il ne manquait de rien et étrangement, son père était de retours à la maison depuis quelques mois. Pourtant, sous ses airs de garçon heureux, Alexandre cachait un réel mal être. Si son père était de retours, ça n’était pas le cas de sa grande sœur. Voila deux ans qu’il n’avait pas de nouvelles d’elle et elle lui manquait terriblement, bien plus qu’il ne l’admettait. Pas une seule journée se passait sans qu’il ne pense à elle, ce qu’elle pouvait bien faire, avec qui et où… De plus, son père était revenu pour mettre fin à son mariage avec son épouse et cela affectait considérablement le garçon qui pourtant se rendait bien compte de la mésentente entre ses parents. Bref, il n’adressa pas un regard à sa professeure avant que la salle ne soit complètement vide. Cette dernière ferma la porte et se retourna vers le jeune homme qui s’approcha son sac sur le dos, timidement.
« - Alexandre… si je t’ai demandé de rester après les cours c’est pour qu’on prenne le temps de parler tous les deux ! »
Si ça ne tenait qu’à lui, ils ne feraient pas que parler. Il sentait des goutes de transpiration parcourir son corps, tandis qu’elle dégageait ses longs cheveux blonds de ses épaules dans un mouvement plus que sensuelle. Tout chez elle l’attirait, tellement qu’en cours, il ne parvenait à se concentrer et à réussir convenablement ses tests. Pourtant, à l’origine, il n’était pas mauvais en espagnol mais là, pas moyen de se concentrer. Il se stoppa alors devant le bureau de sa prof, qui était elle, assise dessus, ses longues jambes croisées posées juste devant lui. Elle était parfaite et cette jupe qu’elle portait faisait perdre toute notion de la réalité au jeune homme.
« - Tu es doué en espagnol et je trouve vraiment dommage que tu sois autant dans la lune durant mes cours… Il y a un problème avec ma méthode, tu n’aimes pas ma façon d’enseigner ? »
Alexandre secoua légèrement la tête décollant son regard des immenses jambes de sa professeure. Il remit son sac en place sur son épaule et toussota ne sachant pas trop quoi dire. Il répartissait tours à tours son poids sur sa jambe droite, puis sur la gauche. Son rythme cardiaque était rapide, beaucoup trop rapide, il ne savait pas où se mettre.
« - Je ne te plais pas, c’est ça ? »
Son regard s’agrandit brusquement tandis qu’il plongeait son regard clair dans celui de braise de sa professeure. Comment pouvait-elle ne pas plaire à quelqu’un ? Tous les élèves garçons de l’école étaient à ses pieds, toutes les filles en étaient jalouses, elle était d’une telle perfection qu’il ignorait comment deux être avaient pu en être les parents.
« - Nan, nan… vous… vous êtes parfaite…. Vous… je dois dire que… j’ai rarement vu une prof aussi cool que vous ! Non mais sérieusement… regardez-vous ! Vous êtes genre… parfaite quoi ! »
La jeune femme sembla tout d’abord surprise et un peu gênée tandis que le garçon ne savait pourquoi il avait dit ça, enfin… pourquoi il le savait, parce qu’il le pensait vraiment, mais ça n’était pas le genre de chose que l’on disait à sa prof d’espagnol ! Alors, elle sembla réfléchir, tandis que le jeune l’observait la peur au ventre. Elle regarda à droite, à gauche et alors, au plus grand étonnement du jeune homme, elle se jeta littéralement sur lui, capturant sa bouche sous un baiser puissant. Tellement puissant que le jeune homme perdit l’équilibre et se retrouva au sol. Ce jour là, il passa le quart d’heure le plus fou de toute sa vie. Oui, il coucha avec elle et oui, c’était sa première fois. Ce fut assez étrange et ils remirent ça plusieurs fois jusqu’au jour où la demoiselle demanda sa mutation dans un autre lycée pour raison personnelle.
« - NON, NON, NON ET NON !! ». Les cris de sa mère lui faisaient étrangement peurs. Alexandre avait beau avoir dix-huit ans, être adulte et plutôt indépendant, sa mère ne cessait de lui faire peur depuis de longues minutes. Son père était mort. L’enterrement avait eu lieu il y avait de cela quelques jours et Alexandre s’était décidé à appeler sa grande sœur. Un drame ne se vit pas seul et il savait à quel point sa sœur avait pu être proche de son paternel, bien plus que lui ne l’avait été et pourtant le vide qu’il ressentait au plus profond de son cœur n’en était pas pour le moins agréable. Son père lui manquait affreusement. Rien n’avait prédestiné cet homme à mourir de façon aussi brutale. Eric Dumoulin était un homme grand, fort, robuste très peu malade. Crise cardiaque et le voila dans la tombe. Alexandre n’arrivait pas vraiment à se faire à l’idée que son père était mort. Il avait mis du temps à se décider à contacter sa grande sœur avec qui il avait eu très peu, pour ne pas dire aucun, contact depuis son départ. Pourtant, il fallait qu’il le fasse, que quelqu’un prenne le temps de la réintégrer dans la famille, du moins, ce qu’il en restait. Il avait alors fait ses recherches et téléphoné à sa sœur. Un étrange appel qui avait mêlé la joie de lui parler à la tristesse de lui annoncer la mort de leur géniteur. Gabrielle avait alors rappliqué le plus vite possible et l’entente s’était tout de suite faite entre les deux frères et sœurs. Disons que le contexte était mal trouvé, mais l’attention y était bien. Alexandre retrouvait enfin sa sœur, la personne auprès de qui il se sentait véritablement lui-même et vivant. Si pendant longtemps il avait joué au petit héritier brillant et parfait, propre sur lui, aux côtés de Gabrielle, il était lui, tout simplement. Alexandre un gamin simple et joyeux qui ne demandait rien à personne. L’enterrement s’était considérablement bien passé, disons que malgré la mésentente entre Gabrielle, Samantha et leur mère, le lieu n’était pas approprié pour un crêpage de chignon et chacune était restée à sa place. Disons que si Samantha pleurait toutes les larmes de son corps, quitte à en faire même un peu trop, Alexandre lui, restait un peu en retrait, se contentant de tenir fortement la main de celle qu’il considérait un peu comme son modèle. Gabrielle était sa grande sœur, mais tout le long de ces retrouvailles, il ne cessa de la taquiner sur le fait qu’il avait un droit d’autorité sur sa personne puisqu’il était plus grand en taille. Alexandre retrouvait enfin sa grande sœur et dans un contexte aussi glauque que celui-ci, ça lui faisait le plus grand bien. Pourtant, durant la lecture du testament, sa mère gâcha ce moment de paix et d’amour. En effet, la grosse surprise fut de constater que leur père léguait l’ensemble de l’entreprise et la plus grosse partie de son argent à sa fille aînée. Si Alexandre semblait heureux pour sa sœur, ça n’était pas le cas de Samantha et encore moins de sa mère. Tout d’abord, Samantha était visiblement dégoutée de ne toucher qu’une partie minime - mais tout de même conséquente - de l’héritage de son riche de père. Ensuite, sa mère n’avait cessé de rabâcher à Alexandre que plus tard, il reprendrait les rennes de l’entreprise, qu’il deviendrait le grand patron, en quelque sorte, elle espérait elle aussi en faire partie par l’intermédiaire de son fils. Mais là, elle se retrouvait éjectée du projet, seule avec ses économies. Alexandre lui, se sentait étrangement libéré d’un poids qui avait plané sur ses frêles épaules tout au long de sa vie. Il n’avait pas besoin de beaucoup d’argent, ni même d’un futur emploi déjà donné, il voulait simplement vivre et c’était l’’occasion idéale de le faire, d’établir de nouveau projet. Alors, lorsque sa sœur repartait à New-York, ils se promirent de se revoir le plus vite possible et c’est deux ans plus tard qu’elle débarqua avec un étrange personnage. Christopher. Ce fut également durant ce séjour que Gabrielle lui annonça être enceinte. Si Alexandre s‘entendait relativement bien avec le petit ami de sa sœur et était plutôt ravi d‘être tonton, une réalité apparut alors à son regard. Si Gabrielle était restée en quelque sorte la même, il avait tout de même l‘impression d‘avoir à faire à une étrangère. Il aimait sa sœur, il l‘adorait même et avait du mal à se dire qu‘il ne la connaissait pas si bien que cela. Alors, c’est quelques mois plus tard qu’il décida de faire ses valises, d’appeler son université afin de transférer les études qu’il faisait depuis quelques années déjà en économie dans une autre université. Brillant comme il était, Alexandre réussit à intégrer la Columbia University, et s’il affirmait ne rester que quelques temps afin de peaufiner son anglais, l’idée de rester à New-York commença à faire son petit chemin dans son esprit.
« - OOOH C’EST LA PETITE CHERIE A QUI ISABELLE ? C’EST LA PETITE CHERIE A QUI ? A TONTON ALEEEEEEX !!! ». « - Arrêtes gars, tu vas la rendre folle ! ». Alexandre jeta alors un regard mauvais à celui qui demeurait depuis quelques temps déjà son colocataire et meilleur ami. Etabli dans un petit appartement plutôt luxueux en plein centre de New-York, Alexandre profitait de cette nouvelle vie de liberté qui s’offrait à lui. Une vie nouvelle et bien plus belle que ce à quoi il avait pu aspirer à Paris. Sa mère ne lui manquait pas vraiment et si on lui avait proposé de quitter New-York pour retourner à son ancienne vie, il aurait refusé. Alexandre se plaisait, pour la première fois de sa vie il se sentait à sa place. Il voyait très souvent sa sœur Gabrielle en plus d’étudier à la Columbia University et de profiter de la vie d’étudiant en compagnie de son meilleur ami Danny. Cette fois, il était installé sur le canapé dans son salon, sa petite nièce adorée sur les genoux. La petite avait beau être un tout petit bébé, elle semblait être le public le plus fantastique du monde pour le jeune homme qui ne cessait de lui faire des grimaces qui faisaient rire l’enfant. S’il semblait septique face au petit ami et père de l’enfant de sa sœur, il adorait sa nièce. Et puis malgré son apparence quelque peu étrange, Christopher était un bon gars. Mais Alexandre ne cessait de rester sur ses gardes, ne voulant pas voir sa sœur souffrir. Elle avait beau être sa grande sœur en âge, il demeurait son grand frère en taille !
Dernière édition par Alexandre J. Dumoulin le Dim 24 Avr - 19:51, édité 3 fois
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: ALEX ♣ Don't wanna be an American idiot || FICHE TERMINEE. Dim 24 Avr - 17:43
Bébé Dumoulin Bienvenue
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: ALEX ♣ Don't wanna be an American idiot || FICHE TERMINEE. Dim 24 Avr - 17:47
Gaby, t'es entourée d'Alex n'empêche. *-* Bienvenue beau-frère. \o/ (J'sais plus si le beau-frère est supposer m'aimer ou pas )
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: ALEX ♣ Don't wanna be an American idiot || FICHE TERMINEE. Dim 24 Avr - 17:59
Oohhh, Dumoulin². Bienvenue.
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: ALEX ♣ Don't wanna be an American idiot || FICHE TERMINEE. Dim 24 Avr - 19:26
Bienvenue
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: ALEX ♣ Don't wanna be an American idiot || FICHE TERMINEE. Dim 24 Avr - 19:52
MAMA DUMOULIN ET SON BRAVE CHEVALIER
HANNAH ET SARAH merci beaucoup tout le mooooooonde
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: ALEX ♣ Don't wanna be an American idiot || FICHE TERMINEE. Dim 24 Avr - 20:14
Bienvenue ici
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: ALEX ♣ Don't wanna be an American idiot || FICHE TERMINEE. Dim 24 Avr - 20:17
Bienvenue parmi nous.
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: ALEX ♣ Don't wanna be an American idiot || FICHE TERMINEE. Dim 24 Avr - 20:24
Validé !
Si tu sens que tu auras besoin d'aide pour trouver ta place sur le forum, le système d'intégration pourra t'y aider. N'hésite bien entendu pas à créer tes fiches de liens et de sujets ainsi qu'à faire toutes les demandes relatives à ton personnage. Si tu as la moindre question, tu peux t'adresser par message privé à l'un des membres du staff. N'hésite pas à venir faire un tour dans le flood, dans les jeux ou sur la chatbox pour te familiariser avec les autres membres. Et, finalement, n'oublie pas de voter de temps en temps sur le topsite d'Obsession, en commençant par cliquer sur Pikachu !
Bon jeu parmi nous !
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: ALEX ♣ Don't wanna be an American idiot || FICHE TERMINEE. Dim 24 Avr - 20:31
MERCIIIII
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: ALEX ♣ Don't wanna be an American idiot || FICHE TERMINEE. Jeu 28 Avr - 22:32
Mini Dumoulin Bienvenue
Contenu sponsorisé
Empire State of Mind
Sujet: Re: ALEX ♣ Don't wanna be an American idiot || FICHE TERMINEE.
ALEX ♣ Don't wanna be an American idiot || FICHE TERMINEE.
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum