Sujet: ♥ tonight we gon'be it on the floor. Sam 26 Mar - 17:35
“ Azra-Inès Alessia De Cavalli „
Dernière édition par Azra-Inès A. De Cavalli le Mer 27 Avr - 12:56, édité 4 fois
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: ♥ tonight we gon'be it on the floor. Sam 26 Mar - 17:35
Princess.
Age: Date de naissance: Année d'étude: Métier/Etude:
J'appartiens au groupe des Rebels
Personnage:Poste VacantScénarioInventé
« Je ne veux pas être riche. Je veux être merveilleuse. » de Marilyn Monroe.
Signe(s) Particulier(s)
Un tatouage au bas du dos où est écrit Anarchy. Egalement un piercing au nombril.
Orientation Sexuelle
Hétérosexuelle.
Azra-Inès Alessia De Cavalli
Physique & Caractère
Apparence & Style: Malgré ce qu'on pourrait penser en l'apercevant la première fois, Alessia n'est pas le genre de filles à passer trois heures devant son miroir. Par exemple, le matin lorsqu'elle se réveille, elle prend simplement une douche et en guise de maquillage, s'applique de la crème anti-cernes, de l'eye-liner, du mascara et c'est tout. De toute façon, elle possède une beauté naturelle et n'a en aucun cas besoin d'artifices. D'ailleurs, Azra-Inès a parfaitement conscience de son pouvoir de séduction, étant donné qu'on le lui a beaucoup répété, et par rapport aux regards insistants des garçons qui se retournent sur son passage. Cependant, vous ne la verrez jamais jouer du fait qu'elle est jolie. Elle n'accorde qu'une attention secondaire au physique. Du haut de son mètre soixante, elle n'est pas bien grande la De Cavalli, chose qu'elle a toujours regretté, dans la mesure où elle n'aurait pas été contre quelques centimètres en plus, mais pour compenser cela, elle possède une taille de guêpe, une corpulence fine, un physique de rêve que beaucoup envie. Et elle ne se soucie absolument pas de sa ligne; bien que pourtant, elle n'hésite pas à s'empiffrer comme un porc, mais sans jamais prendre de kilos en trop. C'est un véritable avantage, étant la première à raffoler de chez Mcdo. Et ça ne s'arrête pas au corps, car Alessia possède un très joli visage parfaitement ciselé. De longs cheveux naturellement bruns, dont elle adore s'occuper, les laissant le plus souvent dans un mélange ondulés-bouclés, des yeux vairons, une particularité qu'elle a eu suite à une opération, qui consiste dans le fait qu'un œil est bleu et l'autre vert, un nez parce qu'il en faut un, mais bien adapté, et enfin des lèvres assez fines, par lesquels on peut apercevoir deux rangées de dents alignées et blanches. Une bombe, quoi.
" Vestimentairement " parlant, Azra-Inès, comme un tas de filles, est une passionnée de mode. C'est d'ailleurs pour cette raison qu'une fois acceptée à l'université, elle a décidé de suivre des cours de stylisme, dans le but d'en devenir une reconnue mondialement un jour et d'avoir une ligne à son nom. Le rêve. Elle accorde donc une place primordiale à son apparence. Pas question de sortir sans que sa tenue ne soit adaptée au lieu où elle va se rendre. Et elle aime s'habiller de manière différente, trouvant cela débile de se focaliser sur un style particulier alors qu'on peut en exploiter de nombreux autres. Ainsi, cela va de la robe fashion, très girly, au tailleur Chanel chic. Et surtout, elle aime mélanger, comme par exemple, accorder une mini-jupe avec un blazer. Les gens qui osent porter des trucs originaux, elle adore, elle adhère.
Caractère: Un bon conseil ; ne sois pas mon ennemi. La vérité est que lorsqu'on me rencontre pour la première fois, on a l'habitude de me prêter plus de défauts que de qualités. J'assume, des défauts c'est pas ce qui manque chez moi. Et alors ? J'ai des qualités aussi, heureusement, comme dans chaque être humain. Mes parents m'ont souvent répété à quel point ils avaient souffert à cause de mon caractère durant mon adolescence, qu'ils jugent difficile. Pourtant, ça n'aurait pas dû être ainsi. Lorsque je n'étais encore qu'une enfant, il parait que j'étais adorable : vous savez le genre de petites filles que l'on voit à la télévision dans les téléfilms chiants à mourir, qui écoutent à la lettre ce que ses parents lui disent, qui obéissent sans rechigner, qui font sagement leurs devoirs et tout. Et bien, j'étais exactement comme elles. Sauf qu'en grandissant, ça a changé. Radicalement. Le point de départ ? Le divorce de mes parents. Le départ de mon père avec une autre femme m'a complètement changé également et n'a en rien arrangé les choses. Et à partir de là, j'avoue avoir commencé à partir en vrille. De toute manière, je pars du principe que, de nos jours, les gentils se font écraser, alors il faut savoir se montrer dure, avec tous. Et oui. Commençons par les défauts alors, comme ça, ça sera fait. Et puis, tous ceux qui m'aiment pas : :guns:
SUPERFICIELLE ♣ ouais bof, c'est ce qu'ils disent, que je suis superficielle. Personnellement, je ne suis pas tout à fait d'accord. Bon, ok, ça m'arrive de regarder de haut lorsque quelqu'un est habillé bizarrement ou a un bouton sur le visage, mais comme tout le monde quoi. Je ne pense pas que je me la crois tout le temps non plus. C'est peut-être mon air naturel qui leur fait dire ça, parce que j'avoue que j'ai un air de garce hautaine. Même si c'est vrai que j'aime choisir les gens avec qui traîner. Ça ne fait pas de moi une fille superficielle, si ? Je veux dire, j'ai les pieds sur terre quand même, je ne me considère pas mieux que les autres. ARROGANTE ♣ qui a dit ça ? N'importe quoi, que des jaloux. En même temps, je les comprends, je suis bien trop parfaite pour ne pas être critiquée. Les meilleures célébrités même se font critiquer, alors ça ne m'étonne pas que j'y ai droit à ma part. Arrogante, c'est des conneries ça. Je m'aime, c'est tout, et j'ai le droit. En même temps, comment ne pas m'aimer ? Je suis une personne si formidable. Et partant de ça, c'est tout à fait normal que je ne veuille pas être amie avec tous. Attends, c'est quand même un privilège de m'avoir dans son répertoire de téléphone. Peut-être un tout petit peu arrogante, mais alors un tout petit peu. ÉGOÏSTE ♣ c'est vrai. Je le suis et j'admets totalement. Je pense d'abord à moi, ensuite aux autres, si j'en ai le temps bien sûr. Je n'aime pas prêter -encore moi donner- ce que j'ai et pourtant, je ne suis pas fille unique. J'ai une grande sœur mais on n'a jamais vraiment eu les mêmes centres d'intérêt donc je n'avais pas besoin de lui prêter mes jouets. De toute façon, je ne m'en plains pas, j'aime bien passer d'abord, c'est tout. Et puis, la dernière chose au monde que je prêterais, c'est bien une bouteille de manzana. ♥ CAPRICIEUSE ♣ comme beaucoup de filles, non ? J'aime bien avoir -et rapidement de préférence- la patience ne faisant pas partie de mes quelques qualités, les choses que je désire. Et si je ne l'ai pas alors là, c'est la troisième guerre mondiale. Bébé, j'en faisais presque tous les jours des caprices, pour tout et n'importe quoi, où je me mettais à pleurer et brailler de toutes mes forces. Rien n'a changé, j'en fais toujours autant, sans pleurer bien sûr. Il vaut mieux pour toi de me donner ce que je veux, vite. IMPULSIVE ♣ un de mes seuls défauts que je regrette : je suis trop impulsive. J'agis sur un coup de tête, sans réfléchir, et évidemment, les conséquences ne pas souvent que bonnes. Même en parlant, il m'arrive de dire des choses que je ne voulais pas forcément dire, mais ça sort tout seul et j'arrive pas à l'en empêcher. Lorsque j'étais encore dans le mannequinat, beaucoup de stylistes ont refusé de travailler avec moi, étant donné ma spontanéité lorsque je parlais, et pas vraiment de façon gentille. Mais ça se fait avant que je puisse me contrôler, c'est pas de ma faute, je suis juste imprévisible.
Récapitulons donc, je serais une garce superficiellement arrogante, égoïste et capricieuse, en plus d'être impulsive. Sans oublier que je suis également une manipulatrice de première catégorie : je sais comment orienter les gens vers des buts désirés et précis. Passons maintenant à mes qualités.
SOCIABLE ♥ oui oui. Très sociable même. Je n'ai aucune peur à aller aborder le parfait inconnu dans la rue pour lui demander son numéro de portable parce qu'il est canon. J'aime bien rencontrer de nouvelles personnes, créer des liens... et évidemment, me rendant à beaucoup de fêtes, les rencontres c'est pas ce qui manque. Mais attention, je ne traine pas avec tout le monde non plus, n'abusons pas. PERFECTIONNISTE ♥ en effet, j'aime bien que tout soit fait d'une certaine manière et pas d'une autre. Et de préférence, que toutes les choses soient bien faites. A un tel point que, durant mes années scolaires, ma trousse était posée d'une certaine façon, les stylos d'une autre. Et ça m'énerve d'ailleurs, mais je n'y peux rien. INDÉPENDANTE ♥ j'ai toujours mené ma vie comme je le souhaitais et ne prenais pas vraiment en compte l'avis de mes parents. Disons que je n'aime pas qu'on me donne des ordres et aime bien vivre comme une véritable indépendante. FRANCHE ♥ je ne sais pas vraiment si c'est une qualité, étant donné que ça m'a apporté pas mal d'ennuis, mais je déteste les hypocrites et donc, je suis très très franche. Je dis les choses comme je les pense et tant pis si ça ne plait pas. Je n'ai pas ma langue dans ma poche, et peut parfois paraitre un peu brute. Mais au moins, je dis la vérité. EXTRAVERTIE ♥ ça, c'est clair. Et je déteste les gens introvertis. Je profite à fond de chaque jour de la vie, et j'ai du passé plus de trois quart de mon existence à faire la fête. J'adore faire des choses folles, débiles, même scandaleuses. Me promener en sous-vêtements dans la rue, par exemple, ne me dérangerait en rien. Excentrique aussi, je te l'accorde. Mais j'aime me démarquer des autres, me fondre dans la masse, j'en ai horreur. Suivre les règles de la société, jamais. Une délurée de la vie. INTELLIGENTE ♥ ça t'étonne hein ? Et pourtant, ce n'est que la vérité. Très intelligente la De Cavalli, mes professeurs me l'ont souvent répété, sans me vanter. Et très curieuse et assoiffée d'apprendre de nouvelles choses, j'adore étudier, ce qui peut paraître surprenant, surtout pour une rebelle comme moi. Mais j'aime ça, et bosser pendant des heures, ne me dérange absolument pas, bien au contraire.
Behind the computer
Prénom: Aha. (a) Âge : Dix-neuf ans. Avatar choisi : Mila Kunis. ♥ Comment as-tu connu ce forum ? : Par pub rpg design. Ton avis : Magnifique design, forum très actif, contexte cool. Rien à redire. Présence sur le forum : Tous les jours, normalement sauf en cas d'examens. Autre(s) compte(s) : Non, aucun. Exemple de RP :
Spoiler:
Le shopping. Une passion sans égal chez Teresa, comme beaucoup de filles. Cette histoire d\'amour avait commencé lorsqu\'elle n\'était encore qu\'une gamine. Elle devait avoir trois ans environ, c\'était sa mère qui le lui avait raconté une fois, et cette dernière l\'avait donc emmené dans une boutique de vêtements pour enfants. D\'après ses dires, à peine les portes franchies, les yeux de Teresa étaient devenus tout brillants et sa bouche entrouverte. C\'était tout simplement magnifique. Des vêtements, partout, à perte de vue. Le paradis. La petite avait, malgré sa mini taille, débuté à farfouiller de fond en comble, dénichant les plus jolies robes qu\'elle trouvait en les montrant à sa maman, ce qui arrachait un sourire aux caissières. Si ça n\'en tenait qu\'à elle, elle aurait acheté la boutique entière, mais c\'était malheureusement impossible. En grandissant, adolescente, rien n\'avait changé. Elle vouait toujours un culte pour les magasins, et ne se privait de presque rien. Après le lycée et ses cours de théâtre, elle fonçait au Queen Victoria Bulding, le magasin le plus réputé d\'Australie, car elle habitait alors là-bas. Évidemment, les prix étant élevés et le salaire de sa mère pas forcément exorbitant, elle se contentait parfois de simplement regarder, bien qu\'un nœud se formait dans son estomac lorsqu\'elle en ressortait sans poche. Et encore aujourd\'hui, c\'était pareil. Elle faisait plus attention certes, mais craquait toujours pour quelque chose quand elle entrait quelque part. En ce mardi, Teresa s\'était réveillée assez tard, dans les alentours de onze heures, avait tranquillement bu un cappuccino, avant de prendre une douche bouillante et de s\'habiller. Une courte robe d\'un rouge clair aux fines bretelles, assez ample, Pucci, avec un joli nœud blanc sur le côté, acquise samedi dernier, à laquelle elle avait assorti un long collier blanc et des ballerines de la même couleur, parmi son impressionnante collection. Car oui, les vêtements, c\'était une passion, mais les chaussures, c\'était encore pire. Elle se sentait carrément obligée d\'en acheter une paire chaque fois qu\'elle en apercevait. Sa mère en avait été folle, de constater qu\'elle rentrait à la maison avec toujours une paire au moins, sous le bras, mais elle n\'avait encore trouvé aucun moyen pour l\'en dissuader. Posté devant son miroir de pied, l\'actrice décida de laisser ses cheveux blonds soyeux ondulés détachés, seulement retenu par un serre-tête blanc également pour concorder avec sa tenue, puis était passé à l\'étape maquillage : comme d\'habitude, une couche d\'eye-liner, de mascara noir et de gloss rose irisé. Elle n\'avait aucun besoin de se peinturlurer le visage de trois tonnes de maquillage, déjà parce qu\'elle en avait horreur, mais qu\'en plus, c\'était inutile, car elle était déjà plus que jolie au naturel. Saisissant un petit sac rouge, l\'australienne y fourra le strict nécessaire, qui se composait de son portefeuille, d\'un stylo, et de son blackberry, puis s\'extirpa hors de la maison. Après-midi shopping de prévu, et oui. D\'autant plus que le temps était resplendissant, le soleil brillait dans le ciel. Un temps assez habituel à Hollywood. Hélant un taxi qui s\'arrêta, Palmer grimpa vivement à l\'intérieur, et ordonna qu\'on la conduise à la boutique Victoria\'s Secret, sur West Hollywood. Shopping lingerie, plus précisement. Elle adorait ça, surtout ce que faisait Victoria\'s Secret justement et la circulation étant fluide, elle y fut en quelques minutes. Payant le chauffeur, blondie, comme on la surnommait couramment, descendit, claqua la portière d\'un mouvement brusque -en même temps, on la considère plutôt sauvage la Palmer- puis se dirigea vers l\'entrée de la boutique. Et c\'était parti pour deux heures de recherche, d\'essayages et d\'achats. Elle en ressortit vers quatorze heures et demi, quatre poches de sous-vêtements à la main, puis reprit un taxi, en direction du Mercury. Fabuleuse nouvelle collection de la marque, c\'était parfait. Une fois arrivée à destination, la blondinette repaya de nouveau, puis redescendit une nouvelle fois, pour cette fois, s\'avancer d\'un pas assuré vers le Mercury, qui était en quelque sorte une fnac, sur Horizon Avenue. Le calme qui y régnait lui fit du bien, et ses poches à la main siglé du nom de la marque, Teresa se mit à la recherche des deux albums qu\'elle souhaitait acquérir, à savoir celui de Bruno Mars et de Nicki Minaj, deux artistes qu\'elle appréciait grandement. Contournant les rayons, sans véritablement se soucier des gens qui la dévisageaient, blondie se focalisa sur les albums \" nouveautés \" et aperçut celui de Bruno Mars. Alors qu\'elle tendait une main pour l\'attraper, on la bouscula, de manière pas très délicate. Un fracas s\'ensuivit, et elle constata que des cds divers s\'éparpillaient sur le sol, tandis que sous l\'effet du choc, elle recula de deux pas, tenant cependant fermement ses poches. Alors qu\'elle s\'apprêtait, avec son caractère de cochon, lancer une remarque cinglante, Teresa constata que la personne qui l\'avait heurtée se penchait pour ramasser les dégâts à terre, et avant que les mots ne puissent se déverser de sa bouche, elle reconnut immédiatement la chevelure blonde, ce qui la fit légèrement sourire et la voix masculine familière, reconnaissable entre milles, qui lança un \" désolé \". C\'était Alex, un de ses partenaires dans le film \' I am number four \' avec qui elle avait démarré une tournée pour assurer la promotion du film. Quelle coïncidence de le retrouver ici, dans cette situation, mais c\'était plutôt amusant aussi, surtout lorsqu\'il la reconnut également, en prononçant son prénom comme si c\'était inimaginable qu'il puisse tomber sur elle. Il se releva ensuite, après avoir ramassé ce qu\'il avait fait tomber, puis ajouta : ▬ Bon je suis peut-être moins désolé alors...» Voilà, c\'était tout lui ça. Il lui ressemblait assez d\'ailleurs, même physiquement, lui aussi blond et doté d\'un physique de rêve, mais surtout de caractère : parfois immature pour rigoler, bon vivant, et elle l\'avait apprécié dès la première minute où elle l\'avait rencontré, sur les plateaux de tournage. Ce qui se prenait toujours la tête l\'agaçait, et il n\'était pas comme ça, du tout, heureusement. Pourtant, Teresa avait du mal à le cerner, bizarrement. Il n\'était pas hautain ni rien, pas superficiel non plus, mais il y avait autre chose. Comme s\'il était là, sans l\'être. Un truc qu\'elle n\'arrivait pas à expliquer. C\'était carrément étrange, elle ne comprenait pas, bien qu\'elle tentait de s\'y faire, tant bien que mal. Palmer roula de ses sublimes yeux bleus, et s\'écria, un sourire ironique se dessinant sur ses lèvres brillantes : ▬ Alexander Richard Pettyfer, je pourrai très bien aller demander les vidéos enregistrées par les caméras de surveillance, et trouver la tienne, puis la publier sur facebook, avec en gros titre : comment Alex Pettyfer s\'agenouille devant Teresa Palmer pour ramasser les cds qu\'elle a fait tomber à terre. Je vais donc retenir ton premier \'désolé\', sauf si tu tiens vraiment à voir ta vidéo sur facebook. » Une vraie gamine, Teresa. Réajustant une bretelle de sa robe, blondie se demanda ce qu\'il faisait ici, à cette heure, surtout qu\'hier, elle avait appris qu\'il avait une tonne de choses à faire aujourd\'hui, entre interviews, séances photos et autres, et que d\'ailleurs, elle n\'avait pas pu résister à lui envoyer un petit texto où elle avait écrit \' je pense me réveiller vers onze heures demain, manger un bon big mac, et aller tranquillement faire du shopping. Et toi ? (a) \" bien qu\'elle connaissait parfaitement la réponse. C\'était toujours bon de réagir de cette manière, surtout qu\'il ne se gênait pas non plus, lui aussi. Curieuse, Teresa décida donc de formuler sa pensée : ▬ bah, qu\'est ce que tu fais ici ? Tu n\'avais pas un truc de prévu ? » Il était férocement magnifique, dans son tee-shirt rock\'n peace, elle devait bien l\'avouer, et ses dents blanches lorsqu\'il commença à chuchoter, en observant les environs : ▬ Quel hasard! Si j\'étais pas déjà poursuivit, je t\'aurais bien kidnappé, mais là, je crois que le Mercury est mon seul refuge! » Aha. Était-il sérieux, surtout au vu de l\'air qu\'il affichait ? Elle douta, bien que ce ne serait pas étonnant du tout qu\'une horde de filles le poursuivent. D\'un ton et d\'une mine qu\'elle tenta de faire le plus sérieux possible, blondie lui répondit : ▬ Tu ne crois pas qu\'on devrait en faire un film, genre drame, qu\'on pourrait appelé \' Alex, le réfugié du Mercury \' avec genre une fin en suspens où le téléspectateur ne saura jamais si Alex a été découvert ? Carton assuré. » Quand on vous disait qu\'elle était immature. (a)
Code du règlement :
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ok by Dylan
Dernière édition par Azra-Inès A. De Cavalli le Mer 27 Avr - 14:32, édité 21 fois
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Sujet: Re: ♥ tonight we gon'be it on the floor. Sam 26 Mar - 17:35
L'histoire
Chapter I - Meeting of my parents. C'était un mardi de mai, de l'année mille neuf cent quatre-vingt sept, un jour ensoleillé à Naples, en Italie. Ce jour-là, la ville organisait une fête pour tous les habitants, avec des danses et des chants au programme, et comme chaque année, Armando De Cavalli s'y est présenté, étant une personne socialement apprécié de tous. C'est un homme de haute stature, brun, dont beaucoup de femmes étaient amoureuses. Et il y avait de quoi. On aurait facilement pu croire à un mannequin pour une publicité pour Giorgio Armani, avec un physique à damner Jamie Dornan. (a) Un avocat réputé, de plus. Le fait qu'il se soit séparé de sa petite amie il y a trois semaines, avait fait le tour de la ville, et nombreuses étaient prêtes à se lancer pour lui demander s'il n'accepterait pas, par hasard, de sortir avec elles. Mais Armando ne recherchait pas forcément de relation, il voulait simplement prendre du bon temps en cette fin de journée. Tout le monde savait qu'il avait un peu l'œil à l'extèrieur, même quand il était en couple, et donc que les femmes qui devenaient ses compagnes devaient faire attention. Un verre de whisky-coca à la main, il se frayait un chemin parmi la foule, saluant au passage les gens qu'il connaissait, et c'est alors qu'il la vit. Une jeune femme, de taille moyenne, blonde, très jolie. Elle n'était pas forcément spéciale, et il y avait des femmes beaucoup plus belle, mais son regard s'arrêta sur elle. Et c'est ainsi, avec son naturel sociable, qu'il est allé faire sa connaissance. Elle s'appelait Livia Dolce, et venait de débuter le métier d'avocat, également. Elle habitait à Rome, en Italie, plus jeune, puis avait fini par déménagé à Naples, où son père avait été muté. La femme parfaite. Elle était agréable, gentille, douce, intelligente. Et blonde, ce qui était assez rare pour une italienne. Exactement comme il les aimait. Ils se revirent plusieurs fois après cette fête, puis finirent inévitablement par sortir ensemble, avant de se marier, deux années plus tard. Ils étaient un couple heureux, vivant dans une belle maison à Naples, et Livia tomba rapidement enceinte, les comblant d'un bonheur encore plus grand lorsque sa grande sœur vint à monde. Ils arrivèrent à concilier travail et vie privée, si bien que tout se déroulait à merveille. Ils s'aimaient, peut être pas passionnément, mais d'un amour véritablement sincère. Et l'annonce de la seconde grossesse de Livia n'avait que rendu les choses plus parfaites encore qu'elle ne l'était.
BABY, I WAS BORN THIS WAY. ♫♪ « putain! » Alessia se cogna la tête, assez violemment, sur le sol carrelé, après sa chute du canapé, où elle avait dormi, visiblement. « et merde! » Se frottant vigoureusement les yeux, encore brûlants de fatigue, elle lança un regard circulaire. La pièce, inconnue à première vue, était plongé dans la pénombre, bien qu'elle pouvait distinguer des corps allongés un peu partout. La tête lourde, avec des mouvements lents, la jeune fille se mit debout tant bien que mal puis, en faisant attention à ne trébucher sur les personnes se trouvant sur son chemin, elle avança vers sa chambre, après avoir identifié les lieux comme étant sa propre maison. Elle avait envie de vomir, mais détestant ça, elle savait qu'elle ne le ferait pas, puis atteignit sa chambre, aux murs couleur lavande, avec l'impression d'avoir marché pendant une heure, alors qu'elle avait à peine parcouru quelques mètres. Ses couvertures blanches avaient été jeté au sol, et sur son lit se trouvait un couple qui dormait, nus. Alessia eut un haut-le-cœur puis ramassant les draps, elle les posa sur eux pour s'épargner leur image particulièrement dégoutante, avant de d'assoir à terre. Hier, c'était le quatre mai, autrement dit, son anniversaire, d'où le pourquoi de la fête explosive qui s'était déroulée chez elle. Voilà dix-neuf années de cela qu'elle était née, dans la magnifique ville qu'était New-York, aux États-Unis. Quelle impression bizarre! A croire qu'elle était arrivée au monde hier. Comme le temps avait passé vite. Mais Alessia ne regrettait pas sa vie, bien au contraire, elle avait le sentiment de la vivre à fond. Et les souvenirs d'enfance ou d'adolescence étaient resté ancré en elle. Elle n'oubliait pas, et n'oublierait probablement jamais comment ses parents avaient dû maudire d'avoir une enfant telle que la leur. Le vingt-cinq décembre mille neuf cent quatre-vingt huit, à vingt-heures huit, elle était donc sortie du ventre de maman, dans une clinique privée de Naples, en Italie. D'après les photos prises à la clinique alors qu'elle ne faisait encore que cinquante-neuf centimètres, elle était un beau bébé, clair, avec de grands yeux. Innocente. Son père lui avait répété maintes fois qu'il donnerait tout ce qu'il avait de plus cher pour qu'elle redevienne ainsi. Quel con celui-là. Un bébé calme, pas trop bruyant, idéal, même que toutes les sages-femmes étaient en extase. Et oui, déjà à cette époque, elle attirait les gens comme des aimants. Et ses parents qui pleuraient de joie. S'ils savaient comment ils allaient en baver plus tard... ! Cette année, elle avait simplement eut droit à un coup de fil de la part de sa mère pour lui souhaiter un " gioioso compleanno " et lui précisant qu'elle se verrait ce week-end quand elle rentrera à la maison, pour lui donner ses cadeaux. Son père ne l'avait même pas appelé, il devait certainement avoir oublié que c'était son anniversaire aujourd'hui, et franchement, elle en avait rien à faire. Il ne lui manquait absolument pas.
Elle n'avait pas toujours été comme ça, si ? Pourtant, c'est dans un environnement stable et aimant que Alessia avait grandi, dans un grand appartement de la ville qui ne dort jamais, entouré de ses deux parents et de son frère. Son père, Armando De Cavalli, était un architecte italien, très occupé avec son travail mais accordant tout autant de temps à sa famille. Un homme de haute stature, qui avait épousé il y a des années de cela, une italienne du nom de Livia Dolce, sa mère donc. Sa mère était blonde, ancienne psychologue qui avait décidé d'arrêter son métier lorsqu'elle était tombée enceinte la première fois. Ne lui demandez pas pourquoi, elle-même l'ignore. C'était une femme qui aimait les valeurs traditionnelles telles que la famille, l'amitié, et le reste, et qui avait gaspillé toute son énergie à l'inculquer à ses enfants. Sa fille aînée encore, ça avait assez bien fonctionné, mais quant à Alessia, il y eut comme un problème et c'est carrément l'inverse qui s'opéra. Léana, sa grande soeur, vint au monde deux ans avant elle. C'était une gamine sage, déjà studieuse, qui pouvait s'occuper seul pendant des heures à faire et refaire un puzzle, un coloriage, ou regarder des dessins animés. Elle fit le bonheur de ses parents, qui virent la vie en rose jusqu'à ce que la cadette naisse, Azra-Inès Alessia De Cavalli. Bébé, cela se prévoyait que ça allait devenir un monstre : elle pleurait sans cesse, braillait de toutes ses forces et se mit à marcher très tôt, au grand étonnement de son médecin. Et la petite fit vivre un véritable calvaire à Armando et Livia. Elle détruisait partout où elle passait, allait toujours choper du chocolat quand personne ne la surveillait, faisait des caprices chaque fois qu'ils se rendaient dans un magasin pour obtenir une nouvelle barbie... C'était l'enfer, et elle ne s'arrêtait pas, en plus d'être hyperactive. C'était comme si l'immense ville de Naples était trop étroite pour elle. A trois ans, on l'envoya à la maternelle et l'enfer continua. Rares étaient les jours où sa mère venait la chercher et que le professeur lui disait que tout s'était bien passé. Il y avait toujours un problème de bagarre avec une autre fille, le fait que Alessia ne voulait pas prêter les jouets, qu'elle allait faire des bisous à tous les garçons de la salle, qu'elle insultait tout le monde lorsque quelque chose n'allait pas... Terrible quoi. Au primaire, c'était pareil, les mots dans son carnet ne cessaient pas : " Azra-Inès a cassé les lunettes de son camarade ", " Azra-Inès a gifflé sa voisine de table ", " Azra-Inès ne connait pas sa poésie ", " Azra-Inès a apporté du rouge à lèvre qu'elle s'est mis pendant la récréation, je vous rappelle que le maquillage est interdit. ", " Azra-Inès ne fait pas ses devoirs. " Tous les soirs, Livia se demandait ce qu'elle avait fait au bon Dieu pour mériter une telle punition. Et encore, c'était les belles années là. Une fois le collège arrivé, c'était encore autre chose.
En y repensant, 'Inès se dit à quel point elle avait pu être insupportable parfois. Oui, elle le reconnaissait. Mais, elle était jeune. Si elle n'en profitait pas maintenant, quand allait-elle pouvoir le faire ? Ses années collège et lycée étaient les plus mémorables. Elle se souvenait encore de son uniforme de collège, une jupe bleue à carreaux, avec une chemise blanche affreuse. Car ses parents avaient jugé que c'était mieux qu'elle aille dans un collège privé. Comme si ça allait changer quoi que ce soit. Cet uniforme, elle l'avait détesté pendant ses quatre années, en prenant bien soin chaque fois de raccourcir la jupe lorsqu'elle était trop longue, ce qui lui avait causé des problèmes avec l'administration qui remarquait cela. Mais c'était la belle vie, on se sentait grande, on se sentait belle, on avait envie de devenir la plus populaire. Et puis c'est cette époque où on fait tous les trucs qui sont le plus à la mode, les trucs qui vous feront passer pour 'cool'. Ainsi, la brune se rappelait encore ce fameux vendredi d'avant les vacances de Noël, lorsqu'elle était en classe de cinquième. Il avait neigé à Naples, la ville était recouverte d'un magnifique rideau blanc, et une légère brise sifflait. Comme après chaque soir, Azra et sa bande de copains trainaient à l'extérieur, malgré le temps. Ils étaient assis dans un endroit tranquille, et un mec, sans se souvenir de qui il s'agissait, avait sorti un paquet de Marlboro, comme ils l'avaient prévu tous ensemble, et leur en avait tendu une à tous. Puis, il avait fait passer son briquet noir à chacun, et ils avaient tous fumé leur première cigarette. Ce qu'elle avait toussé Alessia. On lui avait conseillé d'aspirer moins fort sur la clope, et les autres fois qui suivirent se passèrent mieux. Voilà, ça avait été aussi simple que ça. Et depuis, elle ne sort plus sans son paquet nul part. Ses parents l'avaient appris en la prenant la main dans le sac un soir, alors qu'ils venaient la chercher à l'école pour aller chez les grands parents. Et son père avait gueulé, avant d'abattre sa main sur sa joue. Déjà qu'elle ne le portait pas dans son cœur, cette fois avait été de trop. « tu n'es vraiment qu'une gamine inconsciente de ses actes, Alessia! » Va te faire voir, Armando De Cavalli. Dû à ça, sa grande soeur Léana avait pour mission de la surveiller, étant donné qu'ils fréquentaient la même école, ce qui avait pour don d'énerver la cadette. Chiant, trop chiant. Mais ce n'était pas lui qui l'empêcherait de faire tout ce dont elle avait envie. Et elle voulait encore plein de choses la De Cavalli. Elle voulait être encore plus populaire, elle voulait qu'on l'adore, qu'on la copie, qu'elle soit la It girl. Et les fêtes arrivèrent. Alessia savait qu'y aller allait être dur, étant donné que ses parents ne risquaient pas de lui donner l'autorisation, mais elle se souvenait quand elle avait essayé la première fois. « maman, j'ai un truc à te demander. » « oui ? » « en fait, y a une soirée chez Callie samedi, je pourrais y aller s'il te plait ? » « avec le zéro en maths que tu as eu, sûrement pas. De toute façon, ton père ne sera pas d'accord non plus. Donc non! » De toute manière, elle s'en doutait. Mais, ça ne l'avait pas empêché d'acheter la robe noire sublime avec l'argent qu'elle avait volé de la poche de son père pendant qu'il dormait, et d'y aller en faisant le mur. Bah oui quoi, c'est pas un simple non qui allait la retenir. En plus la soirée s'annonçait parfaite, et puis il y aurait Heath, qui était magnifique. Elle s'y était donc rendue, et tout s'était passé comme elle l'avait espéré. La vodka n'avait pas manqué, le premier rail de cocaïne non plus. C'était si bon, la vie. Il l'avait embrassé, même. Que pouvait-elle souhaiter de mieux ? Euh... retrouver l'adresse de sa maison par exemple ? Car saoule, elle s'était endormie chez sa copine, et en rentrant le lendemain, s'était fait sévèrement puni. « à partir de maintenant, sale gosse, ça sera maison-école, école maison, et c'est tout! Et c'est moi qui te déposera et viendra te chercher. Tu m'as bien comprise ? » Oh ça oui, elle l'avait comprise, le Armando. Pendant des semaines, ce rituel d'une débilité absolue avait persisté. Cloîtrée dans sa chambre le soir, sans même droit à l'ordinateur, elle ne lisait donc que des magazines et faisait ses devoirs. Et elle ne se doutait pas qu'une nouvelle fois sa vie allait changer du tout au tout.
« asseyez-vous, les filles, on a quelque chose à dire. » Azra se souvenait encore des regards inquiets qu'elle avait échangé avec sa sœur, alors qu'elles prenaient place en face de leurs parents, dans le salon familial. Depuis quelques temps, les disputes ne cessaient plus entre Armando et Livia, des disputes violentes, mais ces jours-ci, étant donné que ça s'était atténué, Alessia en avait conclu qu'ils s'étaient probablement réconciliés. Elle se rappelait avoir eu un mauvais pressentiment, et tenir la main de Léana pour se rassurer. Son père les fixait bien droit dans les yeux, tandis que sa mère se posa sur l'autre canapé. Bizarre. « Bon, c'est un peu difficile, donc je vais faire simple : nous allons divorcer. » La voix d'Armando avait résonné, sèche, comme une claque. Pour faire simple, il avait fait simple. Aucun son n'était sorti de la gorge d'Alessia, qui regardait sa mère, effrayée. Celle-ci ajouta, d'un ton ironique, à l'attention de son mari : « dis-leur pourquoi. » Armando détourna ses yeux de ses filles et ajouta simplement : « j'ai trouvé une autre femme. » Léana s'était levé et avait quitté la pièce, et sans pouvoir se retenir, Azra-Inès avait éclaté en sanglots, mais personne n'était venu la consoler. Quelle situation horrible. Quelques jours plus tard, sa mère, sa sœur et elle-même avaient fait leurs valises pour voler en direction de New-York où habitaient les parents de sa maman. Armando souhaitait en effet garder la maison, car sa nouvelle femme allait venir s'y installer. Haïr autant une personne, Alessia n'avait pas pensé que cela fut possible, mais son père, elle le détestait à en mourir. Les trois femmes avaient donc débarqué aux Etats-Unis, chez les grands-parents, et Azra avait du reprendre sa scolarité dans un lycée américain, où elle a obtenu son équivalent du baccalauréat français. Après ces changements conséquents, la jolie brune a dû se reprendre en main, et arrêter ses conneries, pour éviter de faire souffrir sa mère encore plus. Finalement, elle fut acceptée dans toutes les universités où elle avait postulé, mais ce fut celle prestigieuse de Columbia à New York qu'elle décida de choisir, afin de se spécialiser dans le stylisme et surtout pour s'éloigner de sa ville natale. Alessia déménagea donc aux États-Unis, où elle espère pouvoir redémarrer du bon pied. Aujourd'hui, c'est une jolie jeune femme de vingt-trois ans, très anticonformiste, qui ne supporte pas les normes imposées, et qui se bat toujours pour tout ce qu'elle veut. Mais attention : on n'a pas dit qu'elle était sage comme une image, non plus. (a) .
Dernière édition par Azra-Inès A. De Cavalli le Mer 27 Avr - 14:30, édité 9 fois
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Sujet: Re: ♥ tonight we gon'be it on the floor. Sam 26 Mar - 17:42
MILA. bienvenue.
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Sujet: Re: ♥ tonight we gon'be it on the floor. Sam 26 Mar - 18:01
Merci beaucoup Heaven.
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Sujet: Re: ♥ tonight we gon'be it on the floor. Sam 26 Mar - 18:09
Han, Mila. Bienvenue à toi et bonne continuation.
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Sujet: Re: ♥ tonight we gon'be it on the floor. Sam 26 Mar - 18:17
Bienvenue parmi nous.
Il faudra que tu changes ton pseudo par contre, pour mettre l'initiale après le prénom et non l'inverse. Bonne continuation pour ta fiche.
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Sujet: Re: ♥ tonight we gon'be it on the floor. Sam 26 Mar - 18:19
Han Mila Bienvenue & bonne chance pour ta fiche
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Sujet: Re: ♥ tonight we gon'be it on the floor. Sam 26 Mar - 18:27
Merci beaucoup à vous trois, vous êtes mignons. Gabrielle ; j'ai changé.
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Sujet: Re: ♥ tonight we gon'be it on the floor. Sam 26 Mar - 18:42