MICHAEL EVAN SPARKS -> I DON'T SPEAK ENGLISH, WHAT ELSE ? { O.K.}
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Sujet: MICHAEL EVAN SPARKS -> I DON'T SPEAK ENGLISH, WHAT ELSE ? { O.K.} Lun 9 Mai - 8:13
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Age: Date de naissance: Lieu de naissance: Métier/Etude:
J'appartiens au groupe des WORKAHOLICS
Personnage:Poste VacantScénarioInventé
"La vie est un échéquier ? alors proclame moi roi, je te ferais avancer, dans mon interet !" de moi même.
Signe(s) Particulier(s)
L'homme ne porte ni tattoo ni percing, il a une petite cicatrice minime, au dessus du sourcil gauche, il a toujours une petite barbe ou juste le bouc, cela dépend de son humeur, de ses envies du moment.
Orientation Sexuelle
Les tailles fines, les longues jambes, des mains fines, ainsi que les petits pieds féminins, je vais pas en dire plus mais... vous devinez, que cet homme aime les femmes, elles sont muses, fantasmes et passe-temps du beau chirurgien.
Michael Evan Sparks
Physique & Caractère
Apparence & Style: Pour un homme de 40 ans, il ce porte bien, le regard sombre, les sourcils fins, le bouc ou la barbe de 4 jours dessine son visage. Le cheveux en batailles il s’amuse avec son style capillaire, cependant sur lui il reste très classe, chaussures cirées en cuir, costard, ou parfois en polo jean, l’homme se néglige pas quoi qu’il arrive, il manquerait plus que ça.. Il fait penser à un homme qui snobe les gens sur son chemin, alors que non, malgré son arrogance parfois agaçante il reste un homme agréable. Sa prestance et son charisme émane de son enveloppe corporelle, son sourire aussi charmeur que sadique, exprime long sur ses intentions qu’il cache difficilement, trahi par ce dernier. Pour les demoiselles observons le torse de cet homme, il semble viril, non il s’épile pas comme il dit « Mes poils témoignent de mon charisme perceptible par les minettes des alentours », il fait pas comme ces jeunes hommes, malgré que certaine femme aime cela, Michael lui est pas fait pour certaine femme. Michael est très propre sur lui, malgré son visage négligé par son bouc, il le taille et entretient les formes bien particulière de ce bouc, les femmes aimes souvent ce genre de chose, cela donne un coté sombre au quadragénaire, en plus de ses yeux noirs et ses cheveux de mêmes couleurs, il semble mystérieux, presque inaccessible, cela est pas faux, Michael est très dur quand à ses gouts en question de femme. Concluons, sur le style vestimentaire, en ajoutant sa mode favorite, la blouse « delamortquitue » gant en latex, blouse en... coton ? La charlotte qui englobe son magnifique crâne, la beauté uniforme de cette tenue est tout simplement impressionnante sur le beau chirurgien, heureusement la beauté ne tue pas, sinon le Richmond University Medical Center aurait fermé pour cause d’AVC répétitif et inexpliqué envers le personnel et les patients.
Caractère: Le temps s’écoule chaque seconde, chaque instant, en 40 ans l’homme à beaucoup changé de caractère, de l’enfant naïf au regard lumineux en voyant Mickey danser, à l'adolescent qui ce cherche, admiratif de son père, et maintenant, homme parfois arrogant sur de lui, il est comme un gentleman avec des manières de vilains garçons, son style plutôt soigné trompe sur son caractére, comme quoi l’habit ne fait pas le moine. Il ce rend compte de sa beauté naturelle, mais il a aussi beaucoup souffert dans sa vie, depuis la mort de sa mère il prend tout à l’humour ou presque, comme si il avait perdu une pièce maitresse dans son jeu, cela se répercute sur ses relations sociales, malgré son but atteint, il sauve des vies, mais il manque sa mère, la femme qui la mit au monde. Si vous tombez sur Michael vous apprendrez jamais à le connaître véritablement, imprévisible, et manipulateur il vous surprendra, la vie est déjà un long fleuve tranquille, autant agiter l’eau et en faire sautiller les poissons, que la rive puisse goutter aux éclaboussures et aux gouttes d’eau de la vie. Le chirurgien à jamais pensé à sa vie sentimentale, le boulot passe avant tout pour lui, son objectif est de sauver des vies, mais entre sauver des vies et faire battre un cœur la différence est mince, être aimer et aimer c’est pas plutôt cela redonner la vie et enfin vivre de son coté, qui sait ? Lui il connait pas. L’amour et une cigarette qui ce consume comme une routine et finit par vous tuer, alors que le boulot apporte satisfaction, valeur de notre égo et surtout de l’argent, ce qui vaut parfois son caractère si amer, souvent perdu par la surcharge de travail il sort que très rarement, sa soif de connaissance n’est jamais rassasié, c’est ça qui stimule son cerveau et calme les questions qui ce posent sans cesse dans la tête. Sa vie est un long documentaire sur la recherche d’un remède contre la leucémie, peine perdue diront-ils, mais bien heureux sont les ignorants, il poursuit son but, un but qu’il sait fixé à la mort de sa mère, Michael souffre dans son cœur, ce qui le rend dur à vivre, il en est parfois colérique. Le chirurgien maniaque aime que tout soit à sa place, si une chose bouge d’un millimètre il va le voir et chercher le fautif de ce désordre qui est pour lui un non respect, vous verrez son bureau est aussi propre qu’une salle d’opération, tout est désinfecté, l’odeur ambiante est douce, tout cela risque de mettre bien plus qu’à l’aise de nombreux clients ou tout le contraire. Comme quoi le caractère reste jamais le même, chaque chose, chaque événement, chaque influence, fait qu’il va changer, tout comme notre physique et les styles vestimentaires, l’homme adapte son caractère en fonction de son entourage ou de ses fréquentations la plus par du temps, c’est l’influence de groupe, nous marchons jamais seul, la cohésion de groupe fait que nous apportons notre personnalité et elle nous renvoies un caractère dit « caméléon », l’homme est bien fait, si vous souhaitez changer... il est encore temps. Mike,chirurgien, 40 ans, un but, des objectifs, son caractère forgé il risque pas de bouger, pourtant rarement seul, toujours en bonne compagnie, il s’amuse et amuse la galerie en dehors du travail, ce qui reste des occasions rares, il a tout de même son public et comme ce dernier il est victime de son charme et de son charisme, ainsi sont les cancer dans l’astrologie.
L'histoire
Quand je suis née, il n'y a eu ni grande fête au village, ni célébration interminable dans ma famille. Quand j'ai ouvert les yeux pour la première fois, tout ce que j'ai vu, ce sont deux autres paires de yeux, aussi sombres que les miens le sont maintenant, et qui me regardaient. Puis, j'ai hurlé. Je ne voulais plus m'arrêter, l'oxygène me brûlait les poumons, et plus je criais, plus ils riaient et ils souriaient. Quand je sentis quelque chose de chaud et de doux m'envelopper, une odeur douce et musquée envahir mes narines, je me calmai aussitôt. Mue par un instinct dont je n'avais nullement contrôle, ma bouche s'ouvrir en un petit o rose et mouillé, et presqu'immédiatement après, je tétais goulument le sein de ma mère. Ô, comme ce fut un contact paisible, agréable. Qui ne dura guère, cependant. Mes parents étaient un couple qui aurait dû durer, qui aurait dû se solidifier grâce à la venue du salopio que j'étais. C'est comme ça qu'ils m'appelaient, et c'est tout ce dont je me souviens de mon enfance. J'étais leur salopio, leur petit joyau, leur petit trésor. Avant d'habiter à New York, nous avons habités à Boston. Mon père était pasteur et il avait une paroisse modeste, ou il était aussi populaire que le bon dieu lui même. Il a rencontré ma mère, ils se sont mariés, a Boston. Il avait sa petite paroisse, la femme qu'il avait mariée n'était pas aussi blanche qu'il l'aurait cru, et bientôt, des commérages sur sa femme le trompant avec le maire du village le força à considérer sérieusement l'idée de quitter définitivement Boston.
Il voulait sauver son mariage, parce qu'il était vraiment amoureux de ma mère, alors il acheta une petite baraque près du port, tout au bord de l'eau, et c'est là que je suis née, avec l'aide d'une sage-femme que mes parents avaient trouvée dans la grande ville. Pendant six ans, j'ai été la seul préoccupation de ma mère. Elle m'a nourrie, choyée, aimée, calinée. Puis, elle est tombée malade. Malade d'une maladie qui ne se guérit pas. Mon père me l'a expliqué ainsi, le jour où je suis rentré de la maternelle et que j'ai trouvé la maison à moitié saccagée et lui soul comme un cochon. Il m'a fait grimper sur ses genoux, a déposé un baiser sur mon front, et m'a dit, la voix pâteuse : « Mike, mon grand, ta maman est malade. Elle est partie, et elle ne reviendra pas. Sa maladie ne se guérit pas, elle doit donc rester loin d'ici, les anges vont la soigner. Je t'aime, mon fils. » et il m'a serré si fort dans ses bras que j'ai cru que j'allais mourir étouffé. C'est la première fois que je voyais mon père pleurer, mais pas la dernière. Dans ma tête de gaminede six ans, ma mère était partie, mon père pleurait, ma vie venait de prendre un détour auquel je ne m'attendais pas du tout et ça me prit une année complète pour m'en remettre. Ce ne fut que vers l'été de mes sept ans que nous sommes partis vivre a New York. Mon père ne voulait pas que j'aille l'éducation de la ville, il avait vu ce que ça faisait aux femmes auprès de ma mère, et il refusait que son fils soit partisan de ces idées. Je rentrais donc à l'école locale de New York en septembre, avec une classe d'avance sur les autres de mon âge. Mon père commença a délaisser sa paroisse sans que je m'en rende compte. Moi, j'étais concentrée dans mes études, je voulais être bon pour lui, lui prouver que moi aussi, j'étais de la même trempe, que je pouvais réussir là où tous les Sparks avait échoués : j'allais terminer l'école.
Pourtant, je n'y voyais pas trop l'utilité, car mon père n'avais jamais fini le lycée et il s'en était très bien sorti. Du moins, c'était ce que je pensais. Mais alors, dans la tête d'un enfant de sept ans qui idôlatre son père sans voir que c'est une loque depuis le départ de sa mère, ce n'est jamais très objectif.
Si j'avais su qu'un jour, toutes mes belles résolutions d'enfants s'envoleraient en fumée, je ne les aurais pas regardés avec tant d'espoir, à cet âge. Nous vivions dans un petit taudis reculé, tout au bout de New York, à deux pas du port marchand. Mon père s'était lancé dans l'import/export. Ainsi, il pouvait travailler à partir de la maison, il pouvait boire autant qu'il pouvait, mais surtout me voir aussi souvent qu'il voulait. Après le départ de ma mère, il y a quelque chose qui s'est brisé en lui, je n'ai jamais su quoi exactement, mais j'ai su que grâce à moi, d'une certaine manière, il retrouvait ce qu'il avait perdu. Je ressemble énormément à ma mère, peut-être que c'est pour ça, mais chaque fois que je rentrais de l'école, que je le trouvais, affalé dans le canapé, avec une caisse de bière à côté et que j'allais le réveiller pour qu'il prépare le souper, la première chose qu'il faisait en ouvrant les yeux, c'était de sourire. Il souriait, avec ses lèvres gercées par la déshydratation, ses dents jaunies par la cigarette. Il souriait et ça faisait ma journée, parce que je savais qu'il n'avait ce sourire que pour moi. Puis, il se levait, faisait mine de s'étirer, et me coinçait dans son étreinte pour ce qu'il appelait "le supplice des bisous". Et moi je riais. Je riais aux éclats, je riais à en avoir des crampes. Pas parce que ça chatouillait, je n'ai jamais été chatouilleux, mais parce que c'était dans ce petit moment que je retrouvais le père d'avant, celui qui m'aimait inconditionellement et qui ferait tout pour moi.
Puis, il se mettait debout, m'envoyait une tape sur les fesses et je savais que c'était terminé. Au début, j'en voulais plus, toujours plus, mais j'ai vite appris que ce qu'il me donnait comme affection, je devais le prendre, le chérir et le garder jalousement, mais jamais en demander d'autres. La première fois que j'ai entendu sa voix gronder et me dire « MICHAEL, va faire tes devoirs, c'est fini maintenant! » j'ai eu si peur qu'il ne m'aime plus que j'ai refusé de sortir de ma chambre pour toute la soirée, quand bien même il toquait doucement à ma porte en s'excusant. Je voulais pas qu'il aille mal, autant que moi j'avais eu mal quand je l'avais entendu me crier dessus. Jamais il n'avait haussé le ton avant, et jamais non plus il n'avait levé la main à hauteur de mon visage, comme s'il était prêt à me gifler à la moindre réplique. Le lendemain, il a forcé la porte de ma chambre pour que j'aille à l'école, m'a traînée hors de mon lit avec l'odeur des crêpes et j'ai dû lui obéir parce qu'il était redevenu le papa gentil que j'aimais. Pourtant, quand j'ai vu son visage ce matin-là, je me souviens avoir eu un vague sentiment de peur, comme un vestige de ma frousse de la veille. Il n'a jamais réparé la serrure sur ma porte qu'il avait ouverte avec un solide coup d'épaule.
Une fois notre moment passé, je descendais à la cave pour aller dans ma chambre et je faisais mes devoirs. Je m'appliquais, et je réussissais, j'étais d'ailleurs très bon à l'école et j'avais les meilleures notes de ma classe, même si j'étais le plus jeune, tout ça car maman est pas partie, elle est morte par la leucémie, une maladie qui ne compte pas encore de remède à son actif, mon but est de trouver ce remède pour sauver mon prochain. Puis, sa voix tonnait du haut des marches et je montais souper. Il vacillait déjà sur ses pieds pendant l'heure du repas, et quand je remontais pour aller me brosser les dents avant d'aller me coucher, je le trouvais souvent avachi sur le sofa, à ronfler comme un tracteur, une bouteille de vin à ses pieds, toujours vide. Ça a pris 4 ans avant que quelque chose ne change. Et ce quelque chose, ce fut moi. Au milieu d'un royaume déchu, j'étais de plus en plus dur, avec moi même, mon caractère changé, mais je tenais toujours la main de celui qui, jadis, avait été mon idole et mon modèle : mon père. J'étais convaincu, à force de l'entendre me le dire, que je n'étais pas meilleure qu'à cela : entrevoir un bel avenir, puis redescendre jusqu'au plus creux. J'ai préféré m'éviter de faux espoir, je suis descendue tout de suite au plus creux.
J'avais onze ans quand j'ai pioché pour la première fois dans le bar de mon père. Je voulais savoir si c'était aussi bien que les plus vieux disait, de se souler. J'ai bu une gorgée de scotch et j'ai trouvé ça horrible, alors je l'ai recraché dedans. Par contre, j'avais douze ans quand j'ai volé une de ses cigarettes. Ça, c'était bien plus sacré que son alcool. Si jamais il m'avait pris la main dans le sac ― c'est le cas de le dire, car il en fumait tellement qu'il se les achetait par pack de 200 et ils venaient dans un sac refermable transparent ― j'aurais probablement eu droit à pire que l'habituelle claque derrière la tête quand je faisais un mauvais coup.
Puis mon père a carrément arrêté de s'occuper de moi. Les premières semaines, j'étais aux anges! Enfin, plus de discipline ni de règlements, je faisais ce que je voulais. Bien vite, cependant, j'ai déchanté, parce que je devais me faire mes repas, matin, midi et soir, alors que lui il restait écrasé dans son canapé à zapper les chaînes de télé jusqu'à ce qu'il trouve une émission sur laquelle s'endormir, sa bouteille de bière au bec. Ça faisait belle lurette qu'il ne donnait plus dans l'import/export, mais je l'appris lorsqu'un huissier vint saisir la télé, la table de cuisine et mon matelas. Je réalisai à quatorze ans que sans mon aide, nous allions mourrir tous les deux, de faim et de solitude, j’ai dû voler, pour nous nourrir.
A 25 ans sans que je m'en aperçoive, j'avais rendu ma vie plus facile en ne me prenant plus la tête avec des sentiments inutiles. Les gens étaient ce qu'ils étaient, ils vivaient comme ça leur chantait, et moi je faisais pareil. C'est-à-dire que je ne vivais plus que pour mon boulot. J'avais arrêté de boire, parce que j'avais vu à quoi ça avait mené mon père : la mort à 45 ans, mais je fumais encore, peut-être moins, je en sais pas. À New York, tout le monde sait ce que je fais comme métier.
« Depuis quelques mois, le chef a annoncé sa retraite et le nom de son successeur pour diriger le service de chirurgie est tombé : Michael Evan Sparks. Son arrogance déplait à bien du monde, mais on ne peut nier sa perspicacité, qui l'a sans doute mené là où il en est aujourd'hui. Mike atteint ainsi l'objectif qu'il s'était fixé depuis quelques années et espère bien profiter de cette place de prestige pour faire bouger les choses dans les recherches contre la leucémie. A côté de cela, il serait peut-être temps qu'il se concentre un peu moins sur le boulot, et un peu plus sur sa vie sentimentale qu'il prend plaisir à foutre en l'air chaque jour. »
Aujourd’hui je continu dans mes recherches, la Leucémie sera bientôt qu’un lointain souvenir, une maladie comme la grippe, chaque problème à une solution, chaque maladie à une faille, un point faible, je vous promet, Michael Evan Sparks trouvera le remède contre la Leucémie, la suite de ma vie en sera la preuve.
Behind the computer
Prénom: I'm boy, and my name is... is... Aurèle ! Âge : 20 ans. Avatar choisi : Robert Downey Jr. Comment as-tu connu ce forum ? : Top 50 rpg Ton avis (design, contexte, ...) : Sa pique les yeux mais, pas grave demain j'ai ophtalmo Présence sur le forum : Jours de la semaine, pas le week y a boite de nuit >< Autre(s) compte(s) : Non Exemple de RP :
Spoiler:
À l'instar d'une majorité de familles sang-bleue, la maison Rowling était régie par une armée d'agents de service qui circulait dans les appartements à longueur de journée afin d'accéder aux besoins de leurs employeurs. Rosa Zanetti était l'une des plus anciennes employées de cette maison et, elle en était particulièrement fière. Étant arrivée à New-York avec ses enfants une vingtaine d'années plus tôt, elle était parvenue à décrocher cet emploi qui l'avait certainement sauvée de la misère. La vieille femme, après avoir déposé le combiné sur son socle, s'empressa de rejoindre la chambre du concerné. Elle frappa deux fois contre le panneau de la porte et, entrebâilla cette dernière. Bien entendu, Logan l'avait repéré dès qu'elle avait posé un pied sur cette marche branlante du rez-de-chaussé. Simulant parfaitement la surprise, il releva les yeux du livre qu'il était "en train de parcourir" et offrit un large sourire bienveillant à celle qui avait durant de longues années, été sa nourrice. « Logan, votre père vous fait savoir qu'il compte diner avec vous ce soir, en ville » l'informa t'elle, une mine pensive sur le visage, comme si elle craignait d'avoir oublié une information capitale. « Merci beaucoup Rosa. Comme nous serons tout deux absents ce soir, je vous suggère d'en profiter pour passer la soirée avec votre petit-fils. Je suis certain qu'il en sera très enthousiaste. Je n'aurai certainement pas besoin de vous aujourd'hui et, après tout, je ne suis plus un petit garçon. ». Ils échangèrent un regard éloquent, saturé d'affection, puis la vieille femme décréta qu'il était temps de s'effacer et, referma délicatement le battant de la porte afin de le laisser vaquer à ses occupations. Bien entendu Rosa, tout comme l'ensemble de ses collègues, ignorait en tout point la nature vampirique de leurs employeurs. Ils avaient été très rapidement confrontés aux inhabituelles, habitudes alimentaires de la famille, mais par bonheur, aucun n'avait été assez audacieux pour poser des questions embarrassantes. Parfois, il arrivait à Logan de se demander si, sa relation avec la nourrice serait la même, si elle savait. Et souvent, il chassait ce genre de réflexions inutiles.
Logan rangea quelques affaires qui traînaient sur son lit, tout en laissant ses pensées naviguer à leur guise. Ainsi, son père dans ce cycle, était de retour à la Grosse Pomme ? C'était une information qu'il ne s'attendait certainement pas à recevoir. Aux dernières nouvelles, Richard Rowling était occupé à conclure quelques contrats immobiliers en Californie. Logan rangea les quelques affaires qui étaient étalées sur son lit, tout en laissant le fil de ses pensées naviguer à sa guise. Ainsi, son père dans ce cycle, était de retour au sein de la Grosse Pomme ? C'était une information plus ou moins inattendue. Aux dernières nouvelles - qui ne dataient que de la semaine précédente - Richard Rowling dirigeait la nouvelle campagne marketing de son entreprise immobilière et, finissait de conclure ses nouveaux contrats avec de riches acheteurs, intéressés par les terrains d'Orange Country. Le jeune homme sentit une pointe de curiosité naître en lui. Qu'est-ce qui avait bien pu amener son père, à rentrer si rapidement ? Certainement qu'il lui expliquerait le pourquoi, le soir même, au cours de ce dîner. Un sourire étira les lèvres du sang-bleu. Déterminé à tirer les vers du nez de son paternel, il fit machinalement craquer les articulations de ses doigts, avant de se plonger dans son armoire.
Lorsque le véhicule s'arrêta en douceur à destination, le jeune homme glissa un billet au conducteur, accompagné d'un généreux pourboire, avant de quitter l'habitacle de son taxi avec une souplesse féline. Une légère brise vînt se perdre dans ses boucles brunes, tandis qu'il claquait proprement la porte derrière lui. Il sonda minutieusement la rue, à la recherche de Richard, tentant de le repérer dans cette masse dense, en mouvement. Ce qui, même en possession de ses capacités, se révéla impossible. Il se résolu à patienter quelques instants. Le jeune blue blood était vêtu d'un simple costume trois pièces aux tons gris clairs, particulièrement élégant. Dans le genre d'établissement où son père l'invitait, il était généralement déplacé de se présenter dans des tenues décontractées. Il n'était d'ailleurs pas rare de voir quelques badauds se faire recaler à l'entrée du restaurant, pour ces raisons de présentations. L'entreprise, disaient-ils, avait une image à conserver. Décrétant qu'il serait d'autant plus intelligent d'attendre son père à l'intérieur, Logan pénétra à l'intérieur du restaurant uppé et, se laissa conduire à une table réservée. Il refusa poliment l'apéritif que lui proposait l'hôtesse, préférant attendre son compagnon de table.
Quelques cent vingts minutes plus tard, le jeune Rowling était toujours assis, seul. Plusieurs fois, l'hôtesse était revenue vers lui, lui proposant des rafraîchissements qu'il avait finalement accepté, afin de passer le temps. Il n'avait pas mis longtemps à tomber sur le numéro de la jeune femme, rédigé à l'arrière d'une serviette de table qu'il avait ensuite fait mine de ne pas remarquer. Inconsciemment, ses doigts commencèrent à donner un concert rythmé de clapotements, à peine sonores. Finalement, son attention fut attirée par la discrète sonnerie de son téléphone portable, en provenance de sa poche intérieure droite. Lorsque ses yeux parcourent l'écran, un éclair de déception zébra le visage du blue blood. Visiblement, Richard serait retenu ce soir et, ne pourrait pas être présent. Il proposait donc de remettre leur "entrevue" à un autre jour cette semaine.
Les sourcils du jeune vampire se froncèrent soudainement, tandis qu'une mine intense s'installait sur ses traits. Il était presque certain de n'avoir jamais rencontré cette jeune femme auparavant. Néanmoins, sa simple apparition réveillait en lui un étrange sentiment de ... familiarité. Ses prunelles océaniques suivirent la progression de l'inconnue à travers la pièce, qui lui sembla vaguement insonore. Lorsqu'elle tourna la tête vers lui, il cru percevoir quelques lueurs d'espérances dans ses iris, juste avant de se sentir transpercer. Comme si elle avait d'abord cherché à voir en lui, plutôt qu'à le voir, lui. Le jeune homme se surprit à sentir son rythme cardiaque s'accélérer et, il dû s'accorder une profonde inspiration afin de subvenir aux besoins de son corps déstabiliser. L'étrange jeune femme dansa entre les tables afin de se frayer un chemin jusqu'à lui et s'arrêta à quelques pas, conservant une réserve. Lui-même se leva, afin de ne pas paraître mal élevé et patienta. Il perdit quelques instants, avant d'assimiler le sens de la question de la demoiselle. Ainsi, son impression était réciproque, ça avait quelque chose de rassurant. « Je ne pense pas, mais vous me semblez étrangement familière » répondit-il d'une voix lente. Ses orbes bleues se détournèrent du visage de la jeune femme et, glissèrent le long de ses bras nus, afin de découvrir - ou non - la couleur veineuse typique, des sang-bleu. Un sourire franc s'épanouit sur ses lèvres, lorsqu'il eut cette confirmation. Un "et si ..." lui traversa l'esprit, qu'il s'empressa d'enterrer, préférant ne pas sauter sur les conclusions trop rapidement. « Je m'appelle Logan Rowling. J'habite à New-York. » se présenta t'il, en lui tendant traditionnellement une main. « Puis-je vous invitez à vous joindre à moi ? » proposa t'il, en tirant la chaise qui jusqu'alors lui avait fait face.
Code du règlement :
Spoiler:
ok by Dylan
Dernière édition par michael e. sparks le Mar 10 Mai - 19:32, édité 18 fois
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Sujet: Re: MICHAEL EVAN SPARKS -> I DON'T SPEAK ENGLISH, WHAT ELSE ? { O.K.} Lun 9 Mai - 9:40
Bienvenue ici Si tu as des questions n'hésite surtout pas . Faudra mettre seulement l'initiale de ton second prénom par contre ^^.
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: MICHAEL EVAN SPARKS -> I DON'T SPEAK ENGLISH, WHAT ELSE ? { O.K.} Lun 9 Mai - 10:00
Oh punaise, Robert, excellent choix.
Bienvenue & bon courage pour ta fiche!
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Sujet: Re: MICHAEL EVAN SPARKS -> I DON'T SPEAK ENGLISH, WHAT ELSE ? { O.K.} Lun 9 Mai - 11:27
Merci mesdemoiselles, enfin demoiselles j'espére pour moi *siffle*. Je commence ma presentation ce soir, car la sur mon iphone c'est tendu. June pardonne mon ignorance ma faute est corrigée.
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: MICHAEL EVAN SPARKS -> I DON'T SPEAK ENGLISH, WHAT ELSE ? { O.K.} Lun 9 Mai - 12:59
Bienvenue
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Sujet: Re: MICHAEL EVAN SPARKS -> I DON'T SPEAK ENGLISH, WHAT ELSE ? { O.K.} Lun 9 Mai - 13:00
Bienvenue parmi nous Il ne faudra pas oublier de préciser ton avatar dans la description du sujet, s'il te plait, comme demandé.
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Sujet: Re: MICHAEL EVAN SPARKS -> I DON'T SPEAK ENGLISH, WHAT ELSE ? { O.K.} Lun 9 Mai - 13:13
Bienvenue à toi et a hâte de lire ta fiche de présentation
J'adore cet acteur
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Sujet: Re: MICHAEL EVAN SPARKS -> I DON'T SPEAK ENGLISH, WHAT ELSE ? { O.K.} Lun 9 Mai - 14:29
Merci bien, Gabrielle ceci est fait. Attention Emy la hâte engendre la deception, loin de moi cette envie.
Mackenzie J. Howard
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Sujet: Re: MICHAEL EVAN SPARKS -> I DON'T SPEAK ENGLISH, WHAT ELSE ? { O.K.} Lun 9 Mai - 15:26
Bienvenue !
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Sujet: Re: MICHAEL EVAN SPARKS -> I DON'T SPEAK ENGLISH, WHAT ELSE ? { O.K.} Lun 9 Mai - 16:11
michael e. sparks a écrit:
Merci bien, Gabrielle ceci est fait. Attention Emy la hâte engendre la deception, loin de moi cette envie.
On discutera de nos envie plus tard dans ce cas, bon je stoppe le flood sinon je vais me faire taper sur les doigts xD A très vite
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: MICHAEL EVAN SPARKS -> I DON'T SPEAK ENGLISH, WHAT ELSE ? { O.K.} Lun 9 Mai - 16:44
Welcome
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Sujet: Re: MICHAEL EVAN SPARKS -> I DON'T SPEAK ENGLISH, WHAT ELSE ? { O.K.} Lun 9 Mai - 16:53
Bienvenue
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: MICHAEL EVAN SPARKS -> I DON'T SPEAK ENGLISH, WHAT ELSE ? { O.K.} Lun 9 Mai - 19:09
Bienvenue parmi nous && bonne chance pour ta fiche
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: MICHAEL EVAN SPARKS -> I DON'T SPEAK ENGLISH, WHAT ELSE ? { O.K.} Lun 9 Mai - 19:16
Bienvenue
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: MICHAEL EVAN SPARKS -> I DON'T SPEAK ENGLISH, WHAT ELSE ? { O.K.} Lun 9 Mai - 19:25
Bienvenue.
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Sujet: Re: MICHAEL EVAN SPARKS -> I DON'T SPEAK ENGLISH, WHAT ELSE ? { O.K.} Lun 9 Mai - 20:47
Bienvenue beau brun
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Sujet: Re: MICHAEL EVAN SPARKS -> I DON'T SPEAK ENGLISH, WHAT ELSE ? { O.K.} Lun 9 Mai - 20:55
Merci, pour cet accueil
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Sujet: Re: MICHAEL EVAN SPARKS -> I DON'T SPEAK ENGLISH, WHAT ELSE ? { O.K.} Lun 9 Mai - 22:40
Bienvenue et bonne chance pour la fin de ta fiche.
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Sujet: Re: MICHAEL EVAN SPARKS -> I DON'T SPEAK ENGLISH, WHAT ELSE ? { O.K.} Lun 9 Mai - 22:47
Merci :rock:
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Sujet: Re: MICHAEL EVAN SPARKS -> I DON'T SPEAK ENGLISH, WHAT ELSE ? { O.K.} Mer 11 Mai - 15:09
Tout me semble en ordre un admin devrait venir te valider d'ici peu (:
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: MICHAEL EVAN SPARKS -> I DON'T SPEAK ENGLISH, WHAT ELSE ? { O.K.} Mer 11 Mai - 15:23
Merci bien )
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Sujet: Re: MICHAEL EVAN SPARKS -> I DON'T SPEAK ENGLISH, WHAT ELSE ? { O.K.} Mer 11 Mai - 17:00
Validé !
Si tu sens que tu auras besoin d'aide pour trouver ta place sur le forum, le système d'intégration pourra t'y aider. N'hésite bien entendu pas à créer tes fiches de liens et de sujets ainsi qu'à faire toutes les demandes relatives à ton personnage. Si tu as la moindre question, tu peux t'adresser par message privé à l'un des membres du staff. N'hésite pas à venir faire un tour dans le flood, dans les jeux ou sur la chatbox pour te familiariser avec les autres membres. Et, finalement, n'oublie pas de voter de temps en temps sur le topsite d'Obsession, en commençant par cliquer sur Pikachu !
Bon jeu parmi nous !
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Sujet: Re: MICHAEL EVAN SPARKS -> I DON'T SPEAK ENGLISH, WHAT ELSE ? { O.K.}
MICHAEL EVAN SPARKS -> I DON'T SPEAK ENGLISH, WHAT ELSE ? { O.K.}
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