Age : Date de naissance : Lieu de naissance : Métier/Etude :
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Personnage :Poste VacantScénarioInventé
"Vivre, ce n’est pas seulement respirer ... C’est aussi avoir le souffle coupé." Hitch - Expert en séduction.
Signe(s) Particulier(s)
Est-ce grave de ne posséder aucun signe particulier ? Max ne possède rien qui pourrait le différencier d'une autre personne, à part peut-être quatre petits tatouages sur les avants bras. Sur le bras gauche l'un représente un papillon, l'autre des fourmilles, rien de très symbolique la-dedans. Concernant le bras droit, il possède un paragraphe d'une musique des beatles "Sexy Sadie", il a également un triangle en trois d, pas de quoi fanfaronner.
Orientation Sexuelle
Il est tout ce qu'il y a de plus hétérosexuelle, il a dans son adolescence, comme nombre de gamin, essayer de savoir vers quel bord se pencher et c'est vers les femmes que son choix s'est porté. C'est d'ailleurs pour cela qu'il s'est marié à une très jolie fille.
Maxwell Zadig William Bradford
Physique & Caractère
Apparence & Style : Maxwell est beau, incroyablement beau, il faudrait être aveugle ou totalement miro pour ne pas le constater, il faut bien avouer que le physique de notre homme est totalement voir carrément ... sexy, même s'il sera du genre à dire le contraire, il n'est plutôt pas du genre à se vanter, mais il sait que son physique est un terrible atout pour séduire la gente féminine. Un visage fin quelque peux mate qui lui donne souvent bonne mine, des yeux magnifique possédant une belle couleur vert émeraude. Un nez non proéminent et des lèvres fines qui s'étire souvent pour laisser place à un large sourire. Ses cheveux de couleur brun avec des reliefs châtains, sont souvent cour et fins, légèrement ébouriffés aux contours de son visage, tandis que le reste semble plutôt lisse et soyeux, mais il lui est déjà récemment arrivé de se les raser totalement. Maxwell mesure dans les un mètre quatre vingt pour environ soixante-dix kilos, on ne peut pas dire qu'il soit gringalet. Il est plutôt muscler et bien battit et oui notre jeune homme pratique certaine activité physique telle que la course à pied ou le football pour sculpter son corps et entretenir sa ligne, que voulez-vous il faut savoir rester velte pour avoir une bonne hygiène de vie. Côté vestimentaire il possède un look sans extravagance toujours ce qu'il faut pour être classe, portant encore et toujours un costume cravate pour aller à son boulot. Il trouvera souvent une tenu qui le mettra en valeur même si souvent il ne le fera pas exprès, on ne peut pas dire qu'il est le look dans le sang il est chef marketing après tout et non styliste, mais bon que voulez-vous Maxwell est comme ça et puis c'est surement ce qui fait son charme, ce style que seul lui possède, classe, mais quelque peu débrailler.
Caractère : Doux et sécurisant, agréable et charmant, Maxwell est un homme séduisant, au charme discret, non dépourvu d'une certaine aura de mystère. Il est quelqu'un de terriblement énigmatique et difficiles à saisir. C'est quelqu'un d'inquiet et de tourmenté qui recherchent des réponses à ses angoisses ou à ses malaise de vivre. Très émotifs et hypersensibles, il se protège bien souvent derrière de la froideur, de la distance et souvent même par du cynisme et de l'ironie qui ne sont pas sans déroutés ses proches. C'est souvent par l'humour ou la dérision qu'il réagi face aux sentiments, car il a peur du monde et tente avant tout à se protéger lui. Il cherche avant tout à plaire et à être dans les grâces d'autrui et cela peut se traduire tant par le souci de son apparence raffinée que par un besoin de séduire. Il excelle lorsqu'il se met dans la position de celui qui console, soutient ou prend en charge. Maxwell est souvent perfectionniste et parfois maniaque, même si cette tendance ne s'exprime pleinement que dans certains domaines de prédilection tel que le marketing. Énergique et volontaire, il est soucieux de son image de marque et soignent beaucoup son apparence, ses attitudes, ses gestes, afin de pouvoir être regardé et admiré. Distingué et séduisant, il ne manque pas de charme. Il possède une bonne vitalité et son rendement à son boulot est important, même si sont rythme d'action est inégal. Il détient des dons d'organisation et est plus aptes à commander qu'à exécuter. Orgueilleux, il lui arrive quelques fois de se montrer cassant. Très peu patients, il peut connaitre des accès de colère et d'emportement où il peut dépasser certaine mesure. Il est indépendant, épris de nouveauté et amoureux du changement. Doués pour les contacts ou les négociations, il a de réelle faculté d'adaptation, ce qui lui a donné le goût des voyages, l'envie de prendre parfois des risques, ainsi que de se remettre en question fréquemment. Il est assez rétifs aux contraintes et ils apprécient que tout aille très vite. En résumé Maxwell est un homme agréable qui dégage une impression de force et un certain magnétisme. Il apparait viril et fort, sûr de lui, alors qu'il n'est pas toujours à l'aise, mais plutôt d'un naturel inquiet et tourmenté. Beaucoup plus sensible et vulnérable qu'il n'en donne l'air, il cherche à faire plaisir et à vivre en harmonie avec les êtres qui lui sont chers.
Dernière édition par Maxwell W. Bradford le Sam 21 Mai - 14:33, édité 4 fois
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: And here’s to you, Mrs. Robinson ••• Maxwell. Dim 15 Mai - 23:09
L'histoire
26 Juin 2007
« Je t'aime, je t'aimerai à jamais. » Les yeux remplient de larmes, une détresse extrême perlant sur ses joues, une marque de désespoir, une peur effroyable parcourant son corps, s'en était belle et bien fini, une belle histoire possédant une fin des plus tristes. Une vie gâcher, un au revoir murmurer bien trop tôt. Il embrassa la femme avec laquelle il s'était marié, pour une énième et dernière fois, une dernière caresse sur ce visage angélique qu'il ne reverrait plus jamais, un dernier mot chuchoter à son oreille, un dernier regard qui se perdit dans le vide. Une étoile avait cessé de briller, un cœur c'était arrêté, une vie c'était éteinte, le destin en avait décidé ainsi, bien que cela soit totalement injuste. Si jeune, si belle, en pleine fleur de l'âge, rattraper par cette fichu maladie qui l'avait après un dur combat finalement emporter. Il était à présent temps d'entamer un dernier voyage, celui qu'ils entameraient ensemble, une dernière fois, juste tout les deux, histoire de se dire au revoir. La vie démontrait encore quelle ne tenait réellement qu'à un fil et que celui-ci pouvait se rompre à tout moment, c'était quelque chose d'effroyable, mais de réel. Il l'aimait tant, il aurait tout fait pour elle, elle lui avait temps apporté et elle était partie à jamais, les larmes continuaient à couler semblant ne pas vouloir s'arrêter. Une petite église remplies de personnes qui la connaissaient, un piano discret qui chantonnait ses musiques favorites, il était temps de la laisser partir, la laisser s'en aller vers un monde meilleure où elle serait en paix et où elle pourrait veiller sur lui, comme elle le faisait si bien tous les jours de l'année. Elle s'appelait Kathleen et n'avait que vingt-neuf ans. Ils s'étaient mariés trois ans plus tôt et avait vécu une véritable histoire d'amour, ils étaient sur de finir leurs jours ensemble, mais le destin en avait voulu autrement et la emporter plus tôt que prévu. Une véritable tragédie qui laisse une plaie béante dans la poitrine. Ce jour-là il n'a pas dit adieu qu'à son épouse, mais également à sa meilleure amie, sa confidente, sa moitié, tout ce qui le faisait exister et qui faisait de lui ce qu'il était. À présent il avait tout perdu et rien ne serait plus comme avant. C'est dans les bras de son père qu'il avait fini par se calmer et que les larmes avaient cessé de rouler sur son visage, qu'il avait fini par réaliser quelle était définitivement partie et que cela serait dur, extrêmement dur de supporter son absence. Une dernière rose blanche lancée à la femme qu'il aimait tant et s'en était fini. Cela avait été les pires jours de sa vie, il ne s'en remettra sans doute jamais et la douleur était toujours là, lancinante, refusant de laisser partir son souvenir, son sourire, ses yeux, elle l'accompagnait chaque jour, lui tenant la main pour surmonter les obstacles qui lui barraient le chemin qu'il devait à présent parcourir seul.
12 Février 1994
Un hiver particulièrement froid qui refusait de voir arriver le printemps. Londres ce jour-là était recouvert par une légère couche de neige qui finirait par disparaitre, emporter par le passage incessant des riverains. Une journée qui avait commencé comme toutes les autres pour un adolescent des plus communs. Une journée ou le ciel gris n'annonçait rien de beau. Une journée qui malgré tout promettait d'être riche en rebondissement. « Nous allons aujourd'hui accueillir une nouvelle élève. » Une nouvelle, mais pas n'importe laquelle, une sublime et magnifique nouvelle élève. Subjuguer part sa beauté il en était resté bouche bé, enivrer de par son charme il n'arrivait plus à réfléchir, son cœur tambourinant dans sa poitrine et il ne réalisait pas réellement ce qui se passait à ce moment-là. Elle s'appelait Kathleen et avait seize ans, une jolie brune possédant de magnifiques yeux verts, à ce moment-là il n'avait souhaité qu'une chose, que son professeur la place à côté de lui, mais son désir prit fin quand elle alla s'asseoir au côté d'une de ses camarades. N'arrivant pas à détacher son regard de ce visage qui le faisant tant rêver, il resta là, sur sa chaise à contempler sa nouvelle camarade de classe. Une récréation, une cour enneigée, un froid polaire, un regard, un sourire et une parole. Ce jour-là il avait prit son courage à deux mains et il avait eu raison, car cette jeune fille allait devenir la femme de sa vie, mais ça il l'ignorait encore.
15 Novembre 2008
« Elle me manque tellement. » Cela faisait maintenant un peu plus d'un an qu'elle s'en était allé pour ne plus jamais revenir. Une dure épreuve de la vie qu'il fallait surmonter, seul. Un café au cœur de Londres, un père essayant de réconforter son fils qui était plus bas que terre, n'arrivant pas à faire le deuil de la femme qu'il aimait. Une chose bien trop dure pour un homme aussi jeune. La vie était insupportable sans elle, elle possédait un gout amer et ne s'appréciait plus. Les moments de bonheur avait disparu, laissant place au regret, au désespoir et à la solitude. Des sentiments qui lui agressaient le cœur sans discontinuer, ne lui laissant même pas quelques secondes de répits. Pourquoi, était surement le mot qui trottait le plus dans sa tête, malheureusement il n'y trouvait jamais aucune réponse. Son sourire était encore profondément encrer en lui et il n'arrivait et ne souhaitait pas l'oublier, une par de lui-même avait sombré dans les eaux glacées qu'était la nostalgie. Ce jour la n'avait malheureusement pas été bien différent des autres, mis à part peut-être la présence de son père qui avait fait la route jusqu'à Londres pour venir prendre des nouvelles de son fils. Il avait toujours existé entre eux une sorte de complicité, une chose étrange qui les avait toujours rapprochés, c'était peut-être parce qu'il était le seul garçon issu d'une patrie de trois enfants. En effet il possédait deux sœurs, toujours présente dans les coups durs, elle représentait beaucoup pour lui. Toutes deux plus jeunes que lui, il a toujours veillé sur elle et c'était toujours le cas.
8 Août 2003
Une plage, un magnifique couché de soleil et un pays des plus jolies. Tout était réuni pour faire la plus belle des demandes. Une demande qui les engagerait à passer leur vie ensemble, une demande qui se devait d'être inoubliable. C'était maintenant ou jamais. « Kathleen Emma Brown acceptes-tu de devenir ma femme ? » Un genou posé au sol, une bague scintillant au dernier rayon du soleil, quelques larmes et un « Oui. » Peut-être le plus beau jour de sa vie, la jeune fille qu'il avait rencontré des années auparavant avait accepté de l'épouser et de devenir sa femme. Un cœur s'emballant, un baiser, une étreinte, il n'avait jamais ressentie une joie aussi immense, il vivait un réel et magnifique conte de fée auprès d'une véritable princesse, sa princesse. C'était comme si le temps avait décidé de s'arrêter, comme s'il voulait immortaliser ce moment, qu'il reste à jamais graver. Un souvenir à la fois douloureux et magnifique, deux sentiments diamétralement opposés qui le pourfendaient, l'un de plaisir et l'autre de douleur.
19 Septembre 2010
« Tu crois réellement que je dois prendre ce poste ? » Une question parmi tant d'autre qu'il avait posé à son meilleur ami, celui qui avait toujours été présent pour lui, celui qui avait été son témoin le jour de son mariage, celui qu'il considérait et aimait comme un frère. Quelques jours plus tôt il avait reçu une offre d'emploi provenant d'une grande firme américaine installée à New York. On lui proposait de devenir chef marketing, ce qui n'était pas à là porter de tout le monde. Il avait travaillé dure toute sa vie pour décrocher un tel poste, surtout dans une agence aussi réputé, mais à présent sa vie était ici, à Londres, il y avait tout gagné, mais également perdu énormément. C'était une chance énorme, mais à quel prix ? Tout quitté du jour au lendemain, dire adieu aux gens qu'il aimait, ne plus pouvoir retourner sur la tombe de la femme qu'il avait aimée ... C'était vraiment trop pour lui. La vie avait été injuste le concernant, comme pour beaucoup d'autres personnes, mais elle lui donnait une chance, la saisirait t'il ? D'un côté cela lui permettrait de reprendre à zéro, bien que son esprit ne puisse pas tout oublier de la vie qu'il avait menée en Angleterre, c'était son pays, sa patrie, là où il avait dit oui à la femme qu'il aimait, là où elle reposait, là où il avait vécu les plus beaux jours de sa vie, mais également les pires. Une décision qu'il devait prendre seul, une décision qui changerait surement sa vie, une vie qui avait déjà été bien trop chamboulée. Soit il restait ici avec le chagrin qui le poursuivait h24, soit il disait au revoir à tout cela, ce qui n'était pas chose facile. Finalement c'est en se promettant de revenir le plus souvent possible qu'il embarqua dans l'avion qui le mènerait vers une ville dont t'il ne connaissait rien.
Behind the computer
Prénom : À vous de me le dire. Âge : Étonner moi. Avatar choisi : Jude Law. Comment as-tu connu ce forum ? : Par le grand forum qu'est bazzart. Ton avis (design, contexte, ...) : Très bon contexte et un design plaisant à regarder. Présence sur le forum : On va dire 5/7. Autre(s) compte(s) : Non. Exemple de RP :
Spoiler:
Une vie parsemée de haut et de bas, une vie remplie de bonheur et de malheur, une vie pleine de chagrin, mais également remplie de sourire. Une vie ou le rêve est primordial, mais ou les cauchemars règnes, fermer les yeux est dire bonjour à l'enfer et tirer la révérence au paradis. Interdire l'évasion, empêcher l'esprit de vagabonder le long des couloirs du subconscient, une épreuve terrible, où le désespoir fait vite son apparition, un sentiment des plus sournois qui te consume et te salue. Que faire dans ces cas la ? Une question auxquelles il n'y a aucune réponse, où alors celle-ci est si bien caché que la trouvé est un défi des plus olympiques. Ce que l'on éprouve est souvent dur à exprimer, nous ne savons pas à qui nous confier, à qui en parler, après tout on est né seul et on mourra seul, même si tout au long d'une vie on rencontre des gens extraordinaires qui nous permettent d'avancer le long du chemin sinueux qui peut s'arrêter à n'importe quel moment. On laisse alors place au chagrin, laissant nos larmes rouler le long de nos joues. La vie est vagabonde et ne laisse pas place au projet, du jour au lendemain, de la minute à l'heure, tout peu basculé. C'est l'une des premières choses que l'on nous apprend, mais quand cela arrive, on en reste penaud. Il est vrai qu'on ne peux voir que cette fâcheuse partie de la vie, mais bien heureusement il existe encore le bonheur, un bonheur à savourer, car malheureusement il ne dure souvent pas une éternité, il faut s'en délecter lorsqu'il est présent et se dire que finalement on est quand même heureux d'être encore en vie pour pouvoir partager des moments inoubliaux en compagnies des personnes que l'on aime et qu'on ne voudrait jamais quitter, même si la vie en décide parfois autrement. Au final il nous restera encore nos souvenirs, des souvenirs qui seront durs, mais qui feront du bien, des souvenirs emplis de nostalgie que l'on conserve malgré le temps, car on en a besoin, il est vrai que vivre est une épreuve de tous les jours, mais devoir quitter tout cela, fermer les yeux en sachant que plus jamais on les rouvriras, devoir dire adieu, accueillir la peur comme une amie qui nous a poursuit tout au long d'une vie riche en émotion, ça vaut t'il vraiment le coup ? Énormément de question se bousculait dans le crane de Guillaume à ce moment, il ne savait pas trop en quoi penser, mais une chose est sûr il n'allait pas très bien ce soir-là, alors qu'il était encore assis sur sa chaise, fixant un point invisible qui devait se trouver non loin au-dessus du tableau noir.
C'était son dernier cours de la journée et le soleil commençait à décliner dans le ciel, laissant apparaitre un mélange de rose pale à un bleu clair ou le blanc des nuages venait nuancer le tout. Un regard vague, une attention réduite, une écoute approximative, cela faisait quelque jour que Guillaume n'était pas dans son état normal et toute personne le connaissant un minimum l'aurait remarqué. Bien sûr lui rétorquait qu'il allait très bien, alors que ce n'était bien sûr pas le cas. Il n'était pas habituel pour notre jeune homme de paraitre fatigué, pas dans ses baskets et totalement à côté de la plaque. Habituellement joviale, sympathique et sur de lui, il n'était plus le même ces derniers jours. Bien sûr comme pour beaucoup de personnes qui se retrouvent dans un tel état second, il y a un déclencheur, le nôtre remonte à il y a un peu plus d'une semaine, alors qu'il était dans son appartement prêt à sortir. Ce soir-là, il avait eu un coup de fil de son père, rien de vraiment inhabituel, mais rien qu'à la voix de celui-ci il comprit que quelque chose n'allait pas. Cette chose était sa mère, celle-ci avait été hospitalisée après un malaise et les médecins ne prévoyaient rien de bon, car son état se dégradait d'heure en heure. Un véritable choc, la femme qui avait et qui était tout pour lui allait de mal en pie et lui dans tout ça se trouvait de l'autre côté de l'atlantique, près à prendre un billet d'avion fit ça pour rentrer en France au plus vite. Comment la vie avait-elle put être aussi cruelle ? Pourquoi elle ? Bien sûr des tas et des tas de questions que Guillaume c'était retourné un énième de fois. Finalement son père lui avait interdit de quitter San Francisco, en tout cas pour le moment et qu'il le tiendrait au courant. Depuis rien de plus n'est arrivé, sa mère est toujours hospitalisée, mais dans un état stable, même si cela reste quelque chose de sérieux. Voilà donc la raison pour laquelle le regard de Guillaume reste vague et bien sûr il n'a mis personne au courant, même ses meilleurs amis.
Finalement quand la cloche résonna, qu'il ne remarqua quasiment pas, il attrapa son sac et quitta la salle prêt à emprunter le chemin pour rentrer chez lui et continuer à ruminer et à essayer de comprendre. Mais il remarqua qu'il avait un message vocal, il n'avait même pas sentie son portable vibrer dans sa poche, tellement il était occupé à se retourner le cerveau. C'était Benjamin et au vu de sa voix ça n'allait pas fort, voir pas du tout. Qu'avait-il à lui dire de si important ? En tout cas il était temps de laisser ses propres problèmes de côté pour le moment et de rejoindre son meilleur ami qui avait surement besoin de lui. Sortant de l'université, il aspira une bonne goulée d'air fraiche venant du parc ou les ombres des arbres dansaient à la lueur du soleil. Il lui avait dit de le retrouver ici, surement assis sur l'herbe, Guillaume commença à marcher le long de l'aller qui traversait le parc du campus en essayant de distinguer son meilleur ami. Finalement non loin de là, assis sous un chêne il le reconnut, ça allait être dur de devoir cacher son propre chagrin pour laisser Benjamin extérioriser le sien, mais il était la pour ça, même s'il avait toujours du mal à savoir pourquoi il était là. La voix que le jeune homme avait eu au téléphone n'était pas loin de le rassurer, en espérant qu'il ne lui suit rien arriver de grave, ni lui, ni à sa famille. Une fois arrivé à sa hauteur il lui fît un grand sourire tout en désignant d'un geste du menton la cigarette qu'il tenait entre les mains. « Tu m'avais pas dit que t'avais arrêté de fumer ? » En tout cas c'est ce qu'il croyait, mais on dirait bien qu'il se trompait, ça arrive à tout le monde. Il lui était lui arrivé de fumer de temps en temps pour laisser retomber la pression. Lui tendant la main pour le relever et le serrer dans ses bras il ajouta. « Alors qu'est ce qui t’arrive pour me faire venir ici à cette heure-ci, j'ai pas trop aimé le message que tu m'as laissé. » Ce qui était vrai, il ne savait pas pourquoi il était là, mais le message sur sa boite vocale ne présageait rien de bon et il le savait.
Code du règlement :
Spoiler:
ok by Dylan
Dernière édition par Maxwell W. Bradford le Mar 17 Mai - 20:26, édité 3 fois
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: And here’s to you, Mrs. Robinson ••• Maxwell. Dim 15 Mai - 23:22
JUDE
Bienvenue
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: And here’s to you, Mrs. Robinson ••• Maxwell. Dim 15 Mai - 23:26
OMG JUDEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE Inutile de dire que c'est un très bon choix d'avatar
Bienvenue J'edit ton code qui est bon
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: And here’s to you, Mrs. Robinson ••• Maxwell. Dim 15 Mai - 23:27
Jude. bienvenue.
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: And here’s to you, Mrs. Robinson ••• Maxwell. Dim 15 Mai - 23:35
Jude
Bienvenue parmi nous
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: And here’s to you, Mrs. Robinson ••• Maxwell. Dim 15 Mai - 23:42
JUDEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE Bienvenue & bonne chance pour ta fiche
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: And here’s to you, Mrs. Robinson ••• Maxwell. Dim 15 Mai - 23:52
Jude Bienvenue, et bonne chance pour ta fiche.
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: And here’s to you, Mrs. Robinson ••• Maxwell. Dim 15 Mai - 23:59
Jude WAOU, Maxwell et Zadig dans le même pseudo
Bienvenue en tout cas
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: And here’s to you, Mrs. Robinson ••• Maxwell. Lun 16 Mai - 1:04
Bienvenue ici
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: And here’s to you, Mrs. Robinson ••• Maxwell. Lun 16 Mai - 1:43
Jude Bienvenue parmi nous
Mackenzie J. Howard
Empire State of Mind
i love the ring of your name you're the yin to my yang
▌INSCRIT LE : 01/07/2010
▌MESSAGES : 20301
▌AGE DU PERSO : 23
▌ADRESSE : 6812 Beverley Road #104, Brooklyn. avec l'amour de sa vie.
Sujet: Re: And here’s to you, Mrs. Robinson ••• Maxwell. Mar 24 Mai - 22:28
Je te pré-valide ! Un admin devrait te valider rapidement
& réserve moi un lien qui tue, merci.
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: And here’s to you, Mrs. Robinson ••• Maxwell. Mer 25 Mai - 13:04
Validé !
Si tu sens que tu auras besoin d'aide pour trouver ta place sur le forum, le système d'intégration pourra t'y aider. N'hésite bien entendu pas à créer tes fiches de liens et de sujets ainsi qu'à faire toutes les demandes relatives à ton personnage. Si tu as la moindre question, tu peux t'adresser par message privé à l'un des membres du staff. N'hésite pas à venir faire un tour dans le flood, dans les jeux ou sur la chatbox pour te familiariser avec les autres membres. Et, finalement, n'oublie pas de voter de temps en temps sur le topsite d'Obsession, en commençant par cliquer sur Pikachu !
Bon jeu parmi nous !
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Sujet: Re: And here’s to you, Mrs. Robinson ••• Maxwell.
And here’s to you, Mrs. Robinson ••• Maxwell.
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