Age: Date de naissance: Lieu de naissance: Métier/Etude:
J'appartiens au groupe des Artists
Personnage:Poste VacantScénarioInventé
"Je n\'ai pas peur de mourir. J\'ai peur de ne pas avoir assez vécu." ...Nemo Nobody ? (a)
Signe(s) Particulier(s)
La première chose que l'on remarque sur Ethan, ce sont bien entendu ses cheveux un brin trop longs qui ont la fâcheuse tendance à se mettre devant ses yeux et donc, à li obstruer la vu. Face à cela, plutôt que de faire le petit mouvement de tête à la Bieber -giuu...- il préfère passer ses doigts dans ses cheveux pour les ramener en arrière. En plus de cela, il lui arrive fréquemment de mordre sa lèvre inférieure ou encore ,de se passer plus ou moins rapidement sa langue entre ses lèvres.
Orientation Sexuelle
Aucun doute là dessus, Ethan est Hétéro à deux cent pour cent et n'a jamais éprouvé la moindre attirance pour une personne du même sexe que lui.
Ethan Kaylianne Connor
Behind the computer
Prénom:Elodie alias Morphine. Âge : 20 ans Avatar choisi : Jared Leto (je sais qu'il a 39 ans mais il fait moins que son âge non ? >_<') Comment as-tu connu ce forum ? : J'y étais il y a fort fort longtemps. Ton avis (design, contexte, ...) : Le fo est so perfect. L'accueil ... J'ai connu mieux. Présence sur le forum : Pour le moment, je serais présente et archi présente tous les jours. Autre(s) compte(s) : // Exemple de RP :
Spoiler:
L’amour dans le fond qu’est-ce que c’est ? Un sentiment qui vous prend aux tripes et au cœur et qui vous fait voir la vie en rose ? Un sentiment qui vous accroche fortement à quelqu’un et vous coupe toute l’envie de la laisser tomber de vous éloigner d’elle un tant soit peu ? Un sentiment qui vous donne du rêve alors qu’il vous lit férocement à quelqu’un, que ce soit pour une courte durée ou un temps infini ? L’amour, c’était sans doute un peu de tout cela. Vous prenez le tout, vous le mettez dans un shaker, vous ouvrez, vous vous laissez envahir par ce qui en résulte … Et Boum … Vous voilà dans un monde aux milles promesses et aux milles couleurs envoûtantes et parfaitement magiques et fascinantes. Un monde dans lequel vous n’êtes plus seul puisque forcément, votre moitié se doit de se trouver à vos côtés. Que fait-elle là ? Elle est présente à vos côtés tous les jours, à chaque instant de votre vie. Elle vous regarde, vous parle, vous souri, vous fais rire. Elle est là dans les bons comme dans les mauvais moments. Elle vous offre un soutien sans faille, vous donne l’envie d’avancer, de vivre et de sourire tout en vous apprenant ce qui se fait et ce qui ne se fait pas lorsque l’on est plus seul mais bel et bien à deux. Deux pour tout voir, tout découvrir et tout vivre. Cette personne est là, tout le temps, pour soutenir et aider à mûrir. Elle est là pour donner un sens quelconque à une vie avec plus ou moins d’intérêt. Elle est là pour faire avancer et évoluer et tout un tas d’autres choses de ce genre, encore. A mes yeux, l’amour ne pouvait qu’être d’une perfection sans faille. L’amour, le vrai, le partagé et l’infini, se devait de rendre pleinement heureuses, les personnes qui se trouvaient être amoureuses. L’amour c’était un sentiment fort et puissant, presque indestructible dans le meilleur des cas. Quelque chose que l’on ne pouvait pas détruire, d’une quelconque façon que ce soit. Sans doute que je me faisais des films et que rien ne pouvait être aussi beau et parfait que cela. A m’écouter parler, ou du moins penser à l’instant présent, j’avais tout l’air d’être le genre de type complètement rêveur qui croit que la vie peut être belle et parfaite, simplement partagée avec la personne aimée. Mais non, ce n’était nullement le cas, je n’étais pas du genre fleur bleue ou quoi que ce soit de ce genre. Moi, j’étais plutôt même, très terre à terre. Simplement, c’était ainsi que j’aurais aimé voir l’amour, de la sorte et pas autrement. J’aurais voulu qu’il soit tout aussi beau et parfait que ce que moi j’imaginais et non pas le total opposé. Oui à dire comme ça j’avais tout d’un jeune homme rêveur qui croit en bien trop de choses. Mais dans le fond je m’en fichais, pour la simple et bonne raison que c’était ainsi que je voulais voir les choses et pas autrement. Et dans le fond, je ne doutais pas que le fait que je n’ai moi-même jamais connu l’amour ou de sentiment s’en approchant, jouait énormément dans le fait que je voulais l’imaginer beau et parfait. En même temps, qui n’aimerait pas que tout soit aussi simple et que l’amour offre un sentiment de plénitude absolue ? Qui ne désirerait pas une vie parfaite et sans le moindre nuage à l’horizon, une relation pleine et parfaite en tous points ? C’était impossible de ne pas espérer un tant soit peu avoir un jour la chance de connaître cela. Moi j’aurais donné cher pour connaître la chance d’avoir tout cela un jour. Pour cela, j’aurais bien pu échanger toute ma famille et ne garder que ma très chère sœur à mes côtés, pour connaître enfin l’amour. J’avais l’air stupide à penser de la sorte et j’en avais parfaitement conscience. Mais c’était plus fort que moi. J’osais espérer que chaque personne en ce monde avait une âme sœur pour lui et que je ferais sans doute parti de ceux qui la trouveraient plus ou moins rapidement. Je me faisais sans doute du mal à me faire trop d’espoir car la chute serait sans nul doute douloureuse. Mais moi je préférais amplement partir du principe que l’espoir faisait vivre et avancer. Ainsi, je pouvais avoir mon espoir, à moi, dans de simples pensées, pour avancer sans trop me poser de questions. J’osais espérer qu’il en soit toujours ainsi, que je puisse demeurer éternellement dans un monde à part, le mien, que j’acceptais de ne partager qu’avec ma sœur. Du moins, c’était le cas avant. Avant quoi ? Je n’en savais trop rien. Avant de découvrir que la jeune femme à qui je vendais des doses de drogues régulières, étaient en train de prendre une place assez conséquente dans ma vie ? Non c’était idiot … Ne jamais mettre la charrue avant les bœufs, c’était bien connu. Elle ne resterait qu’une simple amie, malgré la forte attirance qui me poussait encore et toujours dans ses bras, depuis deux ans que je la connaissais. L’espoir était souvent bon mais dans son cas je préférais ne pas me faire trop d’illusions …
Pourquoi est-ce que j’étais en train de penser au sentiment amoureux et tout ce qui pouvait l’entourer ? Pour la simple et bonne raison que Nastazià elle-même, était en train d’émettre l’idée que j’étais amoureux de la fille que j’étais en train de peindre dans un cadre des plus idylliques, en pleine nature. Elle me parlait d’amour alors que moi-même j’étais resté dans le domaine de la fascination et sans doute même du fantasme. Oui je fantasmais clairement sur elle. Elle, cette fille à la cascade soyeuse de cheveux couleur or. Cette fille à la peau pâle et au regard couleur eau glacier … Cette fille à l’accent russe et au corps de déesse. Cette fille que je désirais depuis deux longues années tout simplement. Cette fille que je voulais sans jamais oser me l’avouer à moi-même. Evidemment, elle était bien loin de se douter qu’elle était mon modèle favori quant à la peinture. Elle était la seule personne, avec ma sœur, à avoir eut le privilège que je fasse un portrait d’elle, tout simplement. Et ce, pour la simple et bonne raison que seules les personnes que je jugeais aussi belles physiquement qu’intérieurement et à m’inspirer comme jamais pour telle ou telle raison, pouvaient se voir apparaître sur des tableaux portraits. Et elle en faisait partie avec ma sœur, parce que sa beauté me fascinais de façon démesurée et que son côté énigmatique et intouchable, en ajoutait à son charme tapageur qui me donnait l’envie de retranscrire tout cela sur des tableaux. Bien sûr je ne limitais pas les peintures que je faisais d’elle, à des portraits. La preuve avec cette peinture en cours qui se trouvait dans mon salon à l’instant même et qu’elle venait de découvrir et d’apprécier, sans pour autant pouvoir deviner qu’il s’agissait d’elle et de personne d’autre. Elle était bien la seule en même temps, à avoir un tel pouvoir hypnotisant et envoûtant sur moi. Et cela me convenais parfaitement ! Depuis deux ans, je m’étais bien fais à l’idée de toute façon. Et ça ne me dérangeais en rien de la voir et l’observer de loin sans pour autant comprendre qui elle était vraiment dans le fond. J’étais pleinement habitué à l’idée qu’elle soit le genre de femme intouchable et tellement supérieure à moi que vouloir la conquérir serait une vraie honte et d’un sacré ridicule pour moi. Je m’y étais fais et c’était un tout. Moi j’appréciais le tout qu’elle formait autour de sa personne, sans même s’en rendre compte. Se doutait-elle un seul instant qu’elle pouvait créer ce genre d’impression d’irréalité et ce côté invraisemblable ? J’avais d’ailleurs retranscris ces impressions sur un tableau. Elle, vêtue en tout et pour tout d’une longue robe de nuit blanche aux manches longues, dans l’eau d’une plage quelconque, avec l’eau lui arrivant aux hanches, mains posées à plat sur le dessus de l’eau et le visage levé vers la lune qui l’éclairait de sa pâle lumière, lui donnant des airs de pure être irréel. Ses cheveux humides suite à un bain de minuit, plaquées en arrière et son corps nu parfaitement visible sous les plis de sa robe de nuit. Peinte de trois quart arrière, l’on pouvait voir son visage de profil et la couleur de sa peau sous son vêtement humide et blanc. Les couleurs prédominantes étant alors le bleu nuit, le noir et le blanc, elle y apparaissait telle une véritable apparition, une sirène venue sur les bords de l’eau pour admirer la lune qui se jouait d’elle, créant des ombres et des lumières sur son corps de sylphide perdu dans les eaux calmes d’une nuit parmi tant d’autre. A présent il serait légitime de se demander où se trouvait ce tableau à l’heure qu’il était, en sachant que je ne pouvais pas tous les garder chez moi, mes murs étant déjà bien assez recouverts de mes propres œuvres d’art. En sachant que les tableaux qui représentaient explicitement une personne étaient soit chez ladite personne soit chez moi, soit dans la galerie … Autant dire que celui-ci ne pouvait être qu’à la galerie, puisque je me voyais mal l’offrir à Nastazià en sachant que ce tableau avait tout l’air d’un fantasme ou d’un rêve que j’aurais pu faire d’elle. Je ne tenais vraiment pas à ce qu’elle puisse réaliser que c’était elle mon fantasme, elle la fille sur le tableau présent dans mon salon. Du coup, en effet, le tableau était à la galerie. Mais pas en vente toutefois, puisque je refusais de le perdre comme tous ceux qui représentaient Nastazià. Non, lui, j’avais plutôt demandé à ce qu’il soit disposé de sorte à montrer quelque peu le genre d’œuvres que je pouvais faire et dans quel univers pictural je me trouvais alors. Je savais bien que j’aurais du le mettre en vente, histoire de me rapporter un peu d’argent. Pas mal d’argent en fait. En effet, j’avais eus de nombreuses offres assez impressionnantes par des amateurs d’art qui avaient véritablement voulu l’acheter. Mais en apprenant que pour rien au monde je ne voulais m’en séparer, ils s’étaient heureusement pour moi, rabattu sur d’autres tableaux que j’avais pu réaliser. Ce tableau … Comme tous ceux qui représentaient Nastazià, j’étais prêt à tout pour les garder avec moi. Je préférais encore finir à nouveau dans la rue, en clochard, avec ces tableaux, plutôt que de les vendre à qui que ce soit et pour quel que prix que ce soit. Mais fort heureusement le jour où cela m’arriverais, n’était pas encore arrivé et n’était même pas en projet à n’en pas douter ! J’étais très loin d’être dans le besoin à présent et ce, depuis de très longues années déjà. Plus précisément huit ans. Car cela faisait hui ans que j’avais abandonné la majorité de ma famille pour ne partir qu’avec Katerina. Ainsi, nous pouvions nous en sortir rien que tous les deux et largement !
« Euh… J’ai droit à un joker là ? » Retombant brutalement sur terre, je tournais un regard frustré à l’adresse de Nastazià qui, de toute évidence, préférait largement mentionner le fait que j’étais sans doute amoureux de la fille sur le tableau, mais qui refusais catégoriquement que l’on parle de ses relations amoureuses, à elle. C’était frustrant de voir que ce genre de chose ne tournait que dans un sens et pas dans l’autre. Je comprenais parfaitement qu’elle veuille garder une certaine part de mystère … Mais elle était bien assez mystérieuse comme cela, selon moi. Inutile d’en rajouter par-dessus le marché ! « Pas vraiment non … » Soufflais-je presque malgré moi en fronçant les sourcils. Non, ce n’était pas du jeu ! Si elle commençait à ne pas vouloir répondre à mes questions innocentes, j’allais me fermer totalement et ne pas répondre aux siennes. Pourquoi répondrais-je après tout, si cela n’allait pas à double sens ? Surtout avec des questions aussi gênantes que cela … Je répondais alors que j’étais gêné et que le sujet n’était pas si aisé que cela pour moi. Alors elle pouvait tout de même en faire de même … « Je n’ai jamais été amoureuse fin… j’en ai pas souvenir, même pas un amour de jeunesse, j’ai embrassé pour la première fois un homme, je devais avoir genre dix neuf ans, il bavait tellement comme un chien que je me suis rincé la bouche comme jamais et que j’ai cru vomir de dégout… Mais… J’ai une attirance pour un mec… genre quand je le vois, je me sens bien, je le mate… j’ai toujours envie de le revoir et tout, mais je ne sais pas si c’est de l’amour… donc … Je ne sais pas… Et toi ? T’as déjà été amoureux ? » Riant quelque peu à sa remarque concernant l’homme qui avait trop bavé, je lui adressais un regard moqueur sans me départir d’un léger sourire en coin. Elle était vraiment douée pour détendre un tant soit peu l’atmosphère. Non … en fait, elle était tout bonnement parfaite ! Cette fille était unique du tout au tout ! « Pauvre homme escargot … » Dis-je doucement en lui adressant un nouveau sourire en coin, baissant un involontaire regard sur ses lèvres. Lèvres que je rêvais de caresser de ma langue. Est-ce que ça ferait de moi aussi, un homme escargot ? J’espérais bien que non. « Si c’est pas de l’amour c’est au moins de la fascination. Comme moi pour … La fille au tableau ... » Continuais-je d’une voix douce en désignant alors vaguement le tableau du menton, sans pour autant la quitter du regard, soupirant doucement à sa question. Est-ce que moi j’avais déjà été amoureux ? Outch, sujet quelque peu sensible. « J’ai cru l’être … Mais le fait d’avoir oublié cette fille aussi rapidement qu’elle est sortie de ma vie, m’a clairement fais comprendre que ça n’avait rien à voir avec de l’amour. Je suis donc encore un naïf jeune homme qui veut croire en l’amour. » Concluais-je en haussant vaguement les épaules et parlant comme s’il s’agissait d’une tragédie. Rafaello et naïf dans la même phrase, ça revenait à mettre Rambo et Bisounours dans une même phrase. Ou encore, un monde enchanté et magique avec un personnage de film d’horreur. Autant dire que c’était tout à fait invraisemblable. J’avais connu bien trop de choses, bien trop de douleur et bien trop d’horreur dans ma vie, pour pouvoir dire à présent, que j’étais une personne naïve. Je connaissais l’horreur et la souffrance. Je savais ce que c’était que d’être trahit, battu presque à mort, la perte d’un proche, le dépaysement total, la vie dans la rue, faire la manche, vendre de la drogue, découvrir que le viol contre lequel on se bat depuis toujours, peut aussi arriver à sa propre sœur, un nouveau dépaysement, le mensonge, la violence, la mort … Tout ça je connaissais, tout ça j’avais vécu. Avec une telle conscience du fait que la vie n’avait rien d’un bonbon tout bon rose qui fait pétiller mille saveurs sur la langue, comment être encore naïf ? C’était impossible … Je ne pouvais pas l’être. Et pourtant je restais optimiste. Je voulais encore et toujours croire qu’un jour ça pourrait s’arranger. On dit que ceux qui perdent espoirs trop rapidement, ne le retrouvent jamais et sombrent souvent dans une dépression. Je ne voulais pas sombrer alors je m’accrochais au plus petit espoir soit-il. Je voulais rester une personne qui croyait et s’accrochait à quelque chose. Je voulais encore croire et encore espérer. Je ne voulais pas cesser de penser que demain serait un jour meilleur. Ne jamais baisser les bras, c’était une règle d’or dans ma vie. Et je tentais par tous les moyens possibles, d’inculquer cette manière de voir les choses et de vivre, à ma petite sœur, en espérant que cela pourrait finir par l’aider et la sortir de l’abime dans laquelle elle semblait être tombée et de laquelle elle ne parvenait pas à s’échapper malgré toute notre bonne volonté à tous les deux. Soupirant faiblement et me forçant à revenir à l’instant présent qui se déroulait dans ma cuisine en la charmante et surprenante compagnie de Nastazià, je la rejoignis tranquillement à table, en parlant alors de sexe avec elle. Cela avait beau me surprendre au plus haut point, ça ne me déplaisais pas pour autant. C’était même étonnamment plaisant !
« L’envie est là… J’ai réellement envie de savoir ce que ça fait… Juste que… J’ai une cicatrice a ce niveau là et j’aime vraiment pas… L’idée qu’un homme puisse voir ça… ce n’est pas joli a voir pour moi c’est tout… » Surpris qu’elle puisse se limiter dans quelque chose d’aussi … Répandu et apprécié dirons nous, simplement à cause d’une petite cicatrice mal placée, je haussais un sourcil. « Alors tu complexes sur le seul petit, minime, défaut que tu as et tu passes à côté de quelque chose que tu as pourtant envie de connaître ? » Dis-je alors en levant une main pour placer mon pouce près de mon index pour illustrer et insister avec conviction sur le terme de ‘petit’, disant clairement qu’elle était plus que parfaite en tout point. Oh oui elle était parfaite de la racine de ses cheveux à ses orteils, aucun doute là-dessus. Et je ne doutais pas qu’elle-même ne doutait pas à ce sujet. Comme toute mannequin, elle devait avoir plus que conscience du fait qu’elle était on ne peut plus belle et désirable. D’un côté, elle avait vraiment de quoi. « Bon tu me diras … Certaines femmes ont besoin de faire l’amour dans le noir tellement le nombre de leurs complexes est impressionnant. Si toi tu résumes le nombre de tes complexes à un seul et placé là, on ne peut pas dire que tu sois chiante. » Dis-je simplement en haussant vaguement les épaules, comme pour faire comprendre que dans le fond, ce n’était vraiment pas grand-chose. Voyant qu’elle détournait la conversation d’elle pour me demander clairement s’il était bon de se faire sucer, je fus d’abord franchement surpris par cette question on ne peut plus directe et franche, finissant alors par lui répondre que oui, ça l’était. « Euh… Hum, j’ai réellement une tête à sucer ? Non … Sérieusement… j’en sais foutrement rien moi… j’ai dû le faire… Deux fois ouais… et bon je n’ai pas réellement demandé si c’était bien… Je ne me juge pas experte dans ce domaine quoi… Puis le gout de la capote, a limite me faire vomir…» D’abord surpris, j’entrouvris les lèvres comme sous le choc, avant de rire doucement, tout en portant une main à ma bouche pour me retenir de rire de trop, la regardant alors franchement amusé devant sa grimace de dégoût. « Je ne pensais pas que tu avais une tête à sucer. Simplement, je songeais que vu ta facilité à me poser cette question, c’était bien que tu avais déjà du le faire ! Et quant au goût … C’est bien pour ça qu’il y a divers goûts maintenant non ? » Demandais-je en riant doucement, le regard brillant d’amusement et de taquinerie à son adresse. J’aimais terriblement rire de tout et de rien avec elle et pouvoir la taquiner en sachant parfaitement qu’elle ne se vexerait pas. Elle n’était pas le genre de femme à se prendre la tête pour un oui ou pour un non et à se vexer pour une petite plaisanterie. Ce qui était affreusement bon et plaisant ! Discutant encore et toujours, je fus quelque peu ravi d’apprendre qu’elle me jugeait assez intéressant pour revenir me voir par la suite, sans avoir nécessairement besoin de drogue. C’était bon et plaisant à entendre, c’était clair et net ! La regardant tout en lui souriant franchement, je lui appris que ma porte lui serait ouverte. Oh que oui … Qu’elle vienne me voir aussi souvent et aussi longtemps qu’elle le voudrait, j’étais là et parfaitement prêt à l’accueillir en cas de visite de sa part. Je serais même aux aguets ! « Merci Rafaello… Je n’en abuserai pas toute fois… Je vais essayer… » Souriant en coin, je la regardais longuement, bien après même qu’elle eut baissé la tête pour regarder à nouveau son assiette. « Bof … Ne te limite pas ! Dès que l’envie te prend et que tu as le temps, tu peux passer. » Dis-je en haussant les épaules, signe que jamais elle ne me dérangerait. N’importe qui mais pas elle. Comment pourrait-elle me déranger alors que je voulais terriblement sa présence ? J’espérais même de tout cœur que l’envie lui prendrait souvent, de venir me voir ! Continuant de discuter en changeant aisément de sujet tant il nous était aisé de parler tous les deux, nous mentionnâmes alors nos pays respectifs. Et une chose était sûre, c’était que la Russie n’était décidément pas un pays pour moi ! Non seulement ce pays était vachement réputé pour sa mafia des plus dangereuses. Mais en plus, les températures hivernales étaient terriblement choquantes. Moins quarante degrés ? Autant dire que je mourrais gelé sur place si je venais à me retrouver dans un pays avec de telles chutes de température. Et dernier point, la vodka qu’ils buvaient comme de l’eau, alors que moi-même je ne tenais vraiment pas l’alcool. Un verre de vodka suffirait à me rendre franchement gaie et deux trois verres, à me faire me rouler par terre. Un quatrième aurait définitivement raison de moi. C’était clair, l’alcool ne faisait vraiment pas de bien à mon organisme. « Un jour… Faudra que tu viennes chez moi… Je fabrique ma propre Vodka… J’en ai à tous les gouts… Malabar, carambar, schtroumfs, rose, fraise, vanille, chocolat, menthe, café et j’en passe… Je suis une dingue de la Vodka… c’est trop bon… quant au froid… En fait, en Russie nos vêtements sont faits pour… Donc du coup on ne ressent pas réellement le froid… C’est genre, comme au Canada… Ils ont les mêmes températures que nous… Les mêmes fringues tu vois le genre ? »
Fronçant les sourcils, je réfléchissais un long moment aux pensées qui s’agitaient dans mon esprit, sans pour autant oser les dire par peur qu’elle ne se foute royalement de moi. Soupirant doucement, je la regardais à nouveau en plissant le nez. « J’ai l’air complètement stupide et inculte si je te dis que moi, quand on me parle froid et fringues spéciales, j’imagine des esquimaux ? Désolé mais moi je viens plus d’un pays où la tenue spéciale c’est davantage le tee shirt et le bermuda. Et quant à la vodka que tu fais … Je veux bien te croire que c’est bon mais je suis du genre à ne pas tenir l’alcool alors … A moins que tu n’aies envie de me voir rire pour un con sans raison et finir ivre mort après trois ou quatre verres … C’est à déconseiller. » Dis-je en plissant le nez avec franchise tant j’étais presque gêné de faire de telles révélations. Ce qui n’était pas bien loin de la vérité à vrai dire. J’étais gêné de lui avouer que j’ignorais comment s’habillaient les russes et les canadiens pour se protéger du froid. Et j’étais gêné de lui apprendre, à elle, que je ne tenais pas le moins du monde l’alcool. J’étais d’un ridicule consommé, c’était clair ! Et je me ridiculisais franchement devant elle. Génial … Vraiment génial ! Parlant par la suite de sa fille qui avait malheureusement périt dans un accident de la route, elle souffla qu’elle ne me souhaitait pas que cela m’arrive un jour, de perdre un enfant. Ce à quoi je répondis simplement que ça ne risquais pas de m’arriver. En effet, je ne voyais pas comment je pourrais perdre un enfant alors que je n’en n’avais pas et n’étais pas prêt d’en avoir. Pour cela il aurait au moins fallut que je sois un tant soit peu en couple, ce qui n’était nullement le cas. « T’en aura bien un jour non ? Dis pas ça … Mais en tout cas, oui, je ne le souhaite a personne… C’est douloureux… Ce n’est pas le court de la vie… Un gosse ne doit pas mourir avant ses parents… » Soupirant doucement, je haussais quelque peu les épaules comme si cela m’importais peu de savoir si j’aurais ou non des enfants un jour. Alors qu’en fait … Depuis toujours je rêvais de fonder ma propre famille. Dommage que la vie ne semble pas de mon côté pour cela. « Vu que je ne compte pas avoir d’enfant avec la première venue, je doute d’en avoir un jour. » Dis-je simplement en soupirant faiblement, préférant changer de sujet plutôt que de parler encore d’enfant, qui était quelque peu un sujet sensible puisque plus le temps passait et plus je réalisais que je n’aurais sans doute jamais la chance de connaître le bonheur d’être père. Revenant au sujet de sa fille qui était malheureusement morte depuis deux ans, je ne pu m’empêcher d’insister encore et toujours sur le fait qu’elle ne devait pas culpabiliser sur ce fait car ce n’était nullement de sa faute, mentionnant que c’était très certainement les magazines qui s’étaient chargés de monter toute cette histoire pour qu’elle culpabilise. « Au début, les magazines n’ont rien dit, juste que la grande mannequin Russe avait eu un accident de la route mortelle pour sa fille… Puis… Au bout de quelques mois quand ils ont vu que je me droguais, les ragots sont tombés… Elle a tuée sa fille, elle se drogue en prenant le volant… elle boit et tue des gens… Elle néglige sa seconde fille, elle drogue ses filles… elle maltraite son enfant, j’ai eu droit a tout… Pur jalousie, je n’ai jamais… jamais prit de drogue quand je m’occupais de Marilys, jamais… J’étais toujours clean… Elle n’a jamais eu un seul bleu, rien, n’a jamais rien manqué… Putain c’est blessant… Vexant, des gosses se font violer, battre par leurs parents et on dit rien… Et moi que mes filles n’ont jamais rien eux… On m’a détruit ma vie t’imagine même pas… Parfois je me dis que quitter New-York ne serait pas plus mal… Paris est une ville que j’aime… La France est un pays magnifique… Si je pars en Russie ma vie sera mieux… C’est dans mes projets… J’y pense de plus en plus… » Choqué d’apprendre tout ce qu’avaient pu sous entendre les magazines, je redressais la tête, lèvres entrouvertes par la surprise, croisant alors son regard brillant. Soupirant, je tendis une main pour récupérer l’une des siennes et la serrer doucement sans trop y penser, gardant mon regard plongé dans le sien. Je préférais ne même pas envisager le fait qu’elle puisse quitter New-York. Ce serait … Trop dommage et plus encore … « C’est justement pour ce genre de conneries que je ne lis pas les magazines people. Ca leur ferait trop plaisir que tu réagisses. Et si des amis à toi ou je ne sais qui, croient à ce qu’ils disent plutôt que de te croire toi, c’est qu’ils ne te méritent pas. Tu ne devrais vraiment pas les laisser prendre le contrôle sur ta vie comme ça. » Dis-je doucement en lui souriant faiblement avant de me redresser et lâcher sa mains en réalisant que j’étais en train de prendre la fâcheuse habitude de la toucher. Entre le fait d’avoir passé une main sur son front puis à présent d’avoir pris sa main dans la mienne, elle allait finir par réagir et sans doute même se lasser que je sois de la sorte avec elle. Parlant par la suite de viols, c qui eut le don de franchement me perturber, elle m’apprit qu’en Italie, il y avait un fort pourcentage de viols. Elle ne pouvait évidemment pas se douter un seul instant que j’étais bien placé pour le savoir puisque dans le passé je m’étais toujours battu pour empêcher que cela n’arrive de trop. Cela ajouté au fait que ma sœur avait du subir cela, par sa propre famille … « Je sais que tu ne parlais pas de viols… Mais en Italie s’est plus que présent… ça en parle tous les jours aux infos, la ou je vivais beaucoup de filles se faisaient violer… Et… C’est assez dur à vivre… Pour certaines. » Soupirant doucement devant ce sujet que je n’aimais pas vraiment, je détournais un instant le regard avant de me tourner à nouveau face à la jeune femme assise en face de moi. « Là où je vivais aussi il y avait beaucoup de filles qui se faisaient violer. » Dis-je simplement en serrant les dents à ce souvenir et baissant à nouveau le regard sur mon assiette.
Continuant de discuter, nous en vînmes alors à parler de sexe, ce qui eut le don de me surprendre franchement, alors que nous venions tout juste d’aborder le sujet des viols. Et tout cela partait simplement d’une frite, d’un orgasme et de mayonnaise, avant que je n’aie la très étrange idée d’y ajouter le ketchup, ce qui eut le don de franchement me choquer mais de beaucoup faire rire Nastazià qui explosa littéralement de rire à en pleurer, devant moi. Levant les yeux au ciel et riant doucement, je lui demandais alors si elle avait fini de se foutre de moi. « Je ne me fou pas de toi… juste un peu… Tu me pardonnes ? Hein ? Pardonne moi va… tu étais trop… Trop beau à voir… » Souriant franchement, je lui adressais un regard moqueur. « Et tu crois que c’est un petit compliment qui va suffire à ce que je te pardonne ? » Demandais-je alors l’air de rien, en souriant quelque peu en coin sans la quitter du regard. J’aimais terriblement la complicité qui était en train de naître entre nous. C’était plaisant à souhait même ! Et cela ne faisait que me choquer un peu plus quant au fait que durant deux années, nous étions passés à côté de cela alors que de toute évidence, nous pouvions parfaitement bien nous entendre tous les deux. Pourquoi ne m’en étais-je jamais rendu compte ? Je l’ignorais totalement et ça avait le don de me choquer plus que de raison. Nous avions perdu un temps monstre alors qu’à l’heure actuelle, nous pourrions déjà être d’excellents amis. Certes je ne pourrais sans doute pas m’empêcher d’espérer et vouloir plus … Mais je saurais tout de même me contenter de cela … Du moins je l’espérais sincèrement ! Parlant par la suite de la taille … Du sexe masculin, elle me souffla de remercier dame nature pour m’avoir fait bien monté. Bien sûr elle ignorait totalement ce qu’il en était réellement de ce côté-là et je n’allais pas non plus le lui avouer, n’étant pas du genre à divulguer ce genre d’information sur ma petite personne, à tout va. Lorsque je la vis rire à mes paroles concernant le fait que je remerciais dame nature de m’avoir fais naître européen, comme elle venait de me conseiller de le faire, je ne pu m’empêcher de sourire en la regardant, étant totalement fou de son rire. En fait elle était en train de me rendre complètement fou, c’était clair et net ! Comment ne pas être fou d’elle en même temps ? C’était totalement impossible ! « Qui s’évertue à ? Dis-moi euhhh ! Je veux la suite moi ! Hum… je le savais que tu étais bien monté ! Oh putain, c’est tripant de t’entendre le dire, mais bon, malheureusement pour vous les européens, les africains, sont mieux montés que vous…. Soit pas gavé va… je compatis… » Riant doucement devant son insistance à savoir ce que j’avais préféré taire, je levais les yeux au ciel avant de lui adresser un regard moqueur. « Qui s’évertuent à donner des coups de reins, plus ou moins rapides et blabla, alors que la fille ne sent rien du tout. Bref ! Et personnellement je m’en fous de ne pas être né africain … Comme tu l’as si bien dis, en tant qu’Européen je n’ai pas de quoi me plaindre ! » Ajoutais-je en lui adressant un nouveau regard moqueur. J’ignorais si c’était le fait de n’avoir vraiment aucun problème de taille de ce côté-là, mais une chose était certaine, ça ne m’avais jamais paru drôle ou intéressant de me comparer à qui que ce soit. L’on pouvait dire que je n’avais pas vraiment de complexe et que par conséquent, je ne cherchais pas à savoir ce qu’il en était pour les autres hommes qui pouvaient alors m’entourer. Parlant encore et toujours du ketchup, sous entendant le sang, lors des rapports sexuels, nous mimes alors tout ce que nous avions pour changer le plus possible de sujet. Voyant sa réaction, je ne pu m’empêcher de rire devant son dégoût manifeste. J’aimais terriblement voir et tester toutes ses petites réactions tant tout cela pouvait me plaire de façon démesurée chez elle. « Mouais, donc la bouffe Américaine est super grasse, t’imagine que soixante pourcent de la population est obèse ? ça craint quand même, l’Amérique est le plus gros industrie en fast-food et alimentation grasse… Ils font tout en grand et rien en petit… C’est tout de même abusé… » Voyant le fait qu’elle peinait à se retenir de rire, je tentais tant bien que mal de rester sérieux tout en la regardant, faisant alors mine d’être franchement intéressé par le sujet. « C’est sans doute parce qu’ici tout est grand … » Réalisant le sous-entendu dans mes paroles, je fronçais quelque peu les sourcils en me figeant. Quand on cherchait à détourner le sujet du sexe, il fallait que je replonge dedans à pieds joints et de façon, parfaitement involontaire ! Je n’étais véritablement pas doué dans mon genre moi. « La taille du pays, les bâtiments, les gens donc … Les plats aussi ! » Précisais-je l’air de rien, sachant que malgré tout elle aurait réalisé le sous-entendu involontaire que j’avais lâché, alors qu’un instant plus tôt nous parlions justement de la taille des attributs masculin.
Parlant par la suite d’un sujet des plus sensibles, surtout pour elle de toute évidence, j’eus bien du mal à me dépêtrer du fait que je venais de dire une chose qu’il ne fallait pas, concernant la mort. J’avais beau savoir que sa fille était morte, je n’avais pas pu m’empêcher de lâcher cela, sans trop réfléchir. Sans doute parce que pour ma part, j’avais beau avoir perdu des proches, cela ne m’empêchais pas de vivre, d’avancer et d’aborder ce sujet sans trop montrer la douleur que cela provoquait en moi. Pourtant je savais bien que tout le monde ne réagissait pas de la même façon face à tout cela. Sacré manque de tact … Blêmissant quelque peu devant ma propre connerie, je tentais de m’excuser, ne sachant que dire et que faire pour lui faire oublier ce petit incident. Aussitôt, tant bien que mal, nous parlâmes de tout autre chose. A savoir, le fait qu’elle voulait que nous devenions amis. Ce qui me plaisait démesurément tout en m’inquiétant quelque peu car je ne comprenais pas pourquoi elle avait brutalement cette envie, priant pour que ce ne soit pas tout simplement une façon de me remercier pour lui avoir porté secours alors qu’elle se trouvait dans une bien mauvaise passe, avec ce malaise qu’elle avait fait dans la rue. « Rafaello… J’ai envie de te voir depuis bien trop de temps… ça fait un moment que je me tâte a te demander a ce que l’on se voit hors vente de drogue… Mais à chaque fois je n’ai pas osé… Par peur de recevoir un non surement… J’ai envie d’être amie avec toi, tu m’inspires, t’es quelqu’un qui m’intéresse beaucoup. Ça répond à ta question ? » Surpris, je haussais les sourcils en la regardant longuement, comme tentant de comprendre le fil de ses mots. J’étais on ne peut plus choqué et émerveillé de l’entendre me dire une chose pareille, ce qui eut le don de me faire soupirer doucement, presque de soulagement. Après tout ce temps passé à penser qu’elle se foutrait royalement de moi si je venais à faire le premier pas, ne serait-ce que pour me rapprocher d’elle en tant qu’ami. Finalement, je réalisais que je m’étais trompé du tout au tout et je devais reconnaître que c’était terriblement bon de voir que j’avais fais erreur dans ce sens là et que je m’étais autant trompé sur un sujet pareil. « Oui ça répond à ma question … Et je me sens moins seul d’un coup, moi qui n’osais pas en faire de même … » Dis-je en plissant le nez, réalisant que dans le fond nous étions tous les deux aussi stupides l’un que l’autre. Parlant ensuite de l’amour, je fus franchement surpris d’un tel sujet de conversation mais aussi gêné, par le fait que j’étais justement en train de me demander si je n’étais pas en train de tomber amoureux d’elle. Autant dire que j’avais bien du mal à réfléchir rationnellement à la question alors qu’elle était justement en face de moi. Soufflant que l’amour fraternel me suffisait amplement, je me surpris moi-même à tourner un bref regard vers le tableau, comme pour venir contredire mes propres paroles. Au rire de Nastazià, je retombais brutalement sur terre, la regardant sans trop comprendre, réalisant que je m’étais sans doute vendu sans même y penser. « J’ai tendance à ne pas te croire sur ce coup là. Vraiment Raf… Va la voir cette fille tu crèves d’amour pour elle, ça se voit trop… On remarque ce genre de chose nous les femmes… Va la voir… Tente le tout pour le tout… Moi si un homme m’aimait comme tu as l’air d’aimer cette fille et qu’il venait me déclarer sa flamme je me rapprocherais de lui… T’es un type bien… Fonce ! » Choqué et peiné de voir qu’elle me poussait littéralement dans les bras d’une autre, sans se douter bien sûr que la femme en question n’était autre qu’elle, j’eus un faible sourire en baissant le regard. C’était on ne peut plus douloureux d’entendre cela en sachant que c’était bel et bien d’elle que j’étais en train de tomber amoureux. Certes elle affirmait que si un homme l’aimait elle, elle se rapprocherait de lui … Mais le fait qu’elle tente de me pousser dans les bras d’une autre, signifiait clairement que cela concernait tout autre homme mais pas moi. C’était donc pleinement mort par avance. La situation devenant franchement gênante, je ne pu m’empêcher de rougir quelque peu avant de rire nerveusement. « Dire que je crève d’amour pour elle c’est un peu fort tout de même. Disons … qu’elle me plaît assez pour que j’ai envie d’une histoire avec elle. Mais inutile d’insister je ne tenterais rien. Je préfère la regarder sur son piédestal et rester en retrait pour la contempler tout à loisir. » Dis-je doucement sans me départir de mon faible sourire avant de soupirer doucement. Changeant à nouveau de sujet, je ne fus pas franchement surpris d’apprendre que Nastazià était davantage du genre à coucher avec des hommes pour une seule nuit, que de se mettre en couple un tant soit peu. Je ne voyais pas ce qu’il y avait de choquant ou dérangeant là dedans. Vraiment pas même … Je ne me privais d’ailleurs pas pour lui en faire la remarque, ce qui de toute évidence la surprit puisqu’elle lâcha que j’étais différent des italiens qu’elle connaissait. Souriant faiblement, je ne pu que lui répondre que je m’efforçais de l’être un tant soit peu.
« Tu sais… Je crois que tu n’as pas réellement d’effort à faire sur ce plan là. Tu es déjà différent Raf… Tu m’as hébergé, tu m’as enlevé ma robe alors que je n’ai qu’un string dessous, tu m’as habillé d’une chemise, tu ne m’as pas touché tu n’as strictement rien fait… Et… Je suppose que tu n’as pas dormi avec moi ? D’autre m’aurait touché, en aurait surement profité… Raf, t’es déjà a part quoi croit moi… Et même si tu avais dormi avec moi, je ne t’en aurai pas voulu car ça ne m’aurai pas gêné soit dit en passant… » Presque ravi malgré moi, de l’entendre me dire des choses pareilles, je lui adressais un sourire on ne peut plus heureux. C’était très plaisant de voir que finalement, mes efforts avaient payés. En effet, je ne lui avais rien fais durant son sommeil. A vrai dire, cette éventualité avait le don de me dégoûter quelque peu. Profiter de l’inconscience d’une femme, c’était un viol, purement et simplement. Et j’étais tout sauf pour le viol … Bien entendu ! « Justement … Ayant grandit en Italie, entouré par pas mal d’hommes, j’aurais du devenir un italien de base en toute logique. Mais il faut croire que je me sers plus de mon cerveau … Que d’autre chose. Et non je n’ai pas dormi avec toi. T’inquiète pas mon canapé est très confortable. » Dis-je en souriant quelque peu. « Et puis, si tu es jaloux, possessif et autoritaire comme plus de quatre vingt dix neuf pourcent des italiens, dans un sens ce n’est pas plus mal. Si j’avais un mec, j’aimerais qu’il soit comme cela. Au moins il montre à quel point il aime sa femme… Alors qu’un type qui ne montre aucune émotion c’est naze… à mes yeux… » Plissant le nez, je soupirais doucement en me laissant tomber dans le fond de ma chaise en pinçant les lèvres, regardant la table sans la voir, durant un long moment avant de relever le regard vers elle en fronçant quelque peu les sourcils. Elle ne savait pas de quoi elle parlait. Non, elle ne savait vraiment pas ce que c’était que de se retrouver face à un type tellement jaloux et possessif, que les disputes prenaient le dessus sur tout. Et encore, jusqu’à présent je n’étais encore jamais vraiment tombé amoureux. Je n’osais imaginer lorsque cela serait le cas, si tant est que cela soit possible. Je serais alors très certainement pire que tout. Tout bonnement insupportable et ingérable à n’en pas douter. « T’as jamais du rencontrer de type qui était atteint de jalousie maladive et de possessivité excessive toi. Sans avoir jamais été amoureux, j’ai toujours très mal réagis lorsque l’une de mes petites amies se montrait un peu trop proche d’un type … Ne serait-ce qu’une bise. Tu vois … Raison de plus pour laquelle je ne dois pas dire à … Cette fille … Qu’elle m’intéresse. C’est voué à ne pas marcher. » Dis-je l’air de rien en haussant quelque peu les épaules d’un air peu intéressé alors que l’idée d’être en couple avec elle et qu’elle finisse par me larguer en étant las de mes crises de jalousie, me blesse un tant soit peu. Je savais parfaitement qu’une relation qui se terminait de la sorte, ne pouvait pas finir en une quelconque amitié. Autant dire que l’idée d’être définitivement détesté par Nastaizà ne me plaisait vraiment pas. Est-ce que ça valait le coup de tenter quoi que ce soit, en sachant que je risquais plus de la perdre qu’autre chose ? J’en doutais terriblement … C’était même tout bonnement impossible. Je ne voulais pas prendre un tel risque … J’avais bien trop peur pour cela, il fallait bien le croire. Préférant continuer de parler de tout et de rien plutôt que d’insister sur ce fait quelque peu dérangeant, je fus surpris de l’entendre mentionner le fait qu’elle vivait seule avec son frère et sa sœur. Songeant qu’il manquait sa fille à l’appel, je lui demandais alors si elle ne vivait qu’avec eux, ne sachant trop comment tourner ma question par peur de faire un faux pas en sortant une grosse connerie. « Oui… On ma retiré la garde de ma fille… Elle ne vit plus avec moi, mais avec ma gouvernante… J’ai le droit de la voir en compagnie de Lucie… Sauf que Lucie m’empêche totalement de la voir, prétextant qu’au moins je cesserai la drogue plus vite… Mais elle ne comprend pas que me priver de Marilys c’est… Affreux. J’aurais voulu que ma sœur prenne la garde comme l’on vit ensemble… Je l’aurais vu… Mais, elle a refusé… Donc bon, ouais, je vivrais seule s’ils partaient… » Fronçant les sourcils, je levais les yeux au ciel en soupirant doucement. Sa vie était encore plus complexe que ce que j’aurais pu imaginer. « Je suppose que les magazines y sont pour beaucoup dans ce retrait de sa garde non ? Et t’as essayé de lui expliquer que tu cessais la drogue et que la voir ne pourrais que t’aider et t’encourager encore plus ? » Demandais-je d’une voix douce en la regardant longuement, espérant qu’elle ne me jugerait pas trop curieux ou je ne sais trop quoi. Je ne voulais rien faire de plus que de l’aider en voyant qu’elle semblait vraiment peiner dans sa vie, avec ces foutues histoires de drogue. Et même si je ne doutais pas que cela ne pouvait qu’être très mal vu, le fait qu’elle se drogue alors qu’elle avait toujours une fille, je ne pouvais m’empêcher de songer que si elle avait été un tant soit peu plus entourée, elle ne serait jamais tombée aussi bas. Je faisais peut-être erreur dans le fond, mais c’était ainsi que je voyais les choses pour ma part. Entre les magazines qui la descendaient en flèche, les juges qui lui retiraient la garde de sa fille, sa sœur qui refusait la garde et sa gouvernante qui l’éloignait de sa vie … Il était plus qu’évident qu’elle manquait du soutien de quelqu’un. Peu importe qui … Je ne doutais pas qu’elle devait tout de même avoir un tas d’amis. Mais personne d’assez proche pour la sortir de là ? Tout portait à croire que non et c’était tout de même assez triste d’en arriver là.
La voyant par la suite se lever et prendre littéralement la fuite, je ne tardais pas à la rejoindre et à la prendre dans mes bras sans trop réfléchir, en la voyant aussi mal en point. La serrant contre moi avec force, je ne fis pas le moindre commentaire sur ses pleurs, me contentant de lui souffler qu’elle n’était en rien une femme faible à mes yeux, me contentant de la serrer avec plus de force encore, tout contre moi. Cette étreinte était des plus plaisantes et je me surprenais à ne plus vouloir la lâcher, ravi de l’entendre me demander de ne plus la lâcher. Doucement, je lui avouais alors aimer la serrer contre moi, tout en frissonnant de bien être à sa main dans mes cheveux et ses baisers dans mon cou. « J’aime aussi… J’ai pas l’envie de quitter tes bras, tes le premier garçon qui me câline autant… D’habitude je rompe toujours les étreinte, je ne suis pas tactile… Tu es chanceux Rafaello… profites en… » Surpris par cette révélation, je ne pu m’empêcher de rire doucement même si ce n’était vraiment pas rassurant quant à la suite de notre amitié. Je n’osais pas trop imaginer le jour où elle serait lassée des étreintes que je risquais de demander un peu trop souvent, étant du genre très tactile avec les personnes que j’appréciais vraiment. Certes le nombre de ces personnes était très limité. Mais elle … J’aimais déjà terriblement la serrer dans mes bras. Je ne doutais pas que cela ne risquait vraiment pas de changer dans les jours, semaines, mois ou même années à venir. « J’en profite alors … Ce sera peut-être la dernière fois que tu me laisseras faire … » Soufflais-je doucement en déposant un bref baiser sur ses cheveux sans pouvoir m’en lasser. Lorsqu’elle me remercia d’être là pour elle et de l’aider et la soutenir, je lui soufflais doucement que c’était à ça que servaient les amis, déposant un nouveau baiser sur ses cheveux avec douceur. « Mon Ami… Rrrafaello… » Frissonnant doucement sous cet accent que j’aimais tant lorsqu’elle prononçait mon prénom, je fermais les yeux en souriant franchement de bien être. J’étais si bien à la serrer ainsi contre moi, que j’en avais presque oublié les raisons premières de cette étreinte, à savoir que Nastazià se sentait on ne peut plus mal et était tiraillée par une douleur insupportable en raison du manque grandissant de drogue. Retombant sur terre lorsqu’elle me demanda si je n’avais pas un remède miracle, je la fis lentement mais sûrement reculer jusque dans la salle de bain en mentionnant alors l’idée de la douche froide. Autant dire que ce n’était vraiment pas ce qu’il y avait de plus plaisant en soit. Lorsqu’elle mentionna franchement, d’une voix toute paniquée, que les douches froides servaient plus pour les hommes qui bandait, littéralement, je ne pu m’empêcher de rire en lui sortant alors la liste des choses à quoi pouvaient servirent lesdites douches froides. « J’aurais préféré prendre une douche en ayant terriblement envie de sexe… Tu ne veux pas me donner une bonne raison de prendre cette douche ? Je vais réellement t’en vouloir Raf, si tu me fous sous cette douche froide… A vie ! Je viendrais te hanter quand je serais de l’autre coté ! Je viendrais taguer ta tombe je te pourrirai la vie… Bon ok ça fait légèrement peur ce que je dis, mais je suis toute mignonne a côté de ça j’en fais le serment… ou pas. » Surpris, je haussais les sourcils avant de rire franchement devant ses paroles. « T’es complètement givrée comme fille on te l’a déjà dis ? Une bonne raison de prendre cette douche ? Tu la connais toi-même … Ca devrait calmer tes douleurs et tout ça. Et crois moi quand tu n’auras plus mal, tu ne pourras plus m’en vouloir … N’est-ce pas ? » Demandais-je moqueur avant de me figer quelque peu sous sa violente morsure dans mon cou, finissant par lâcher un involontaire gémissement de plaisir tant cette morsure avait le don de me plaire, malgré l’étrangéité de la chose. L’entendant par la suite s’excuser de cette morsure et de la marque qu’elle avait laissé dans mon cou, j’eus un léger rire par sa précision quant au fait qu’heureusement je n’avais pas de petite amie qui, dans le cas contraire, l’aurait détesté pour cela. Riant doucement, je lui fis la remarque que grâce à cela, je ne risquais pas d’en avoir, pour au moins les semaines à venir. « Tant mieux.. » Choqué de l’entendre dire pareille chose, j’écarquillais les yeux avant de songer qu’elle disait cela davantage par taquinerie qu’autre chose. « En fait … Sous ce physique et cet air de petit ange, se cache un vrai démon … » Lâchais-je d’une voix franchement taquine en la laissant enfouir à nouveau son visage dans mon cou. L’instant d’après, elle me faisait remarquer que la douche froide serait à deux ou rien du tout. La soulevant alors dans mes bras sans attendre en enroulant mes bras autour de ses hanches, je lui fis remarquer que moi non plus je n’avais rien à faire débander, l’entraînant alors résolument vers la cabine de douche. « Je vais te faire bander moi ! Tu vas voir tu auras quelque chose a faire débander, ne me fait pas ça Rafaello, ne me… » Riant doucement en voyant qu’elle était réellement prête à tout pour échapper à cette douche froide, je ne lui laissais pas le temps de finir sa phrase, la posant alors sur le sol tout en allumant rapidement l’eau et la poussant doucement mais fermement sous le jet de la douche, en lui lâchant un bref mais sincère désolé. Restant devant la cabine en hésitant à refermer la porte pour l’empêcher d’en sortir trop rapidement, je croisais son regard qui semblait me tuer sur place, tentant d’ignorer tant bien que mal ses cris.
Sentant ses mains se refermer sur mes poignets, je n’eus pas le temps de comprendre ce qu’il m’arrivait, que je sentais déjà l’eau glaciale me tomber dessus, me glaçant sur place et entendant rapidement la porte de la cabine se refermer. Me sentant plaqué contre le carrelage frais, je restais totalement immobile et incapable de réagir ou dire quoi que ce soit, si ce n’est lâcher un doux gémissement en sentant la pression de la cuisse de Nastazià contre mon entre jambe. Le souffle coupé, ne pensant alors plus qu’à cela comme totalement incapable de penser à deux choses à la fois, je baissais le regard sur sa cuisse en soufflant doucement pour tenter de retrouver mes esprits, en vain. « Je disais donc, que je vais te faire bander moi… Douche… Froide… Tu… abuses…. Je suis… Congelé…. Totalement froide… Bordel j’ai froid, on va crever comme dans Titanic… Enfin... Toi tu vas mourir, Rose elle s’en sort… tu fais Jack et je fais Rose… Je n’ai pas de queue moi, toi en l’occurrence t’en a une d’après ce que je sens sur ma cuisse… Dame nature t’as vraiment bien gâtée… » Déglutissant longuement, je posais mes mains dans son dos, serrant doucement la chemise qu’elle portait en sentant mon corps réagir vivement à la pression de sa cuisse contre mon entre jambe et à son corps collé au mien. Fermant les yeux, je posais l’arrière de mon crâne contre le carrelage en tentant de limiter le désir, mais en vain, mon membre étant décidé à durcir sous la pression tendre mais insistante de sa cuisse contre celui-ci. « Tu l’as dis toi-même … J’ai la chance d’être européen. Et je te ferais remarquer que Jack est mort parce qu’il s’est sacrifié pour Rose. Là … On va tous les deux crever, désolé de te l’apprendre ! Quoi que je suis plus lâche que Jack … Je devrais pouvoir t’abandonner là l’air de rien. » Dis-je en riant quelque peu, gardant les paupières fermées. Sentant alors Nastazià se reculer et empoigner avec force, je sursautais en rouvrant les yeux pour la voir glisser et tirer sur mon haut jusqu’à le faire craquer sous son poids. « Je vais porter plainte… ta douche est glissante, j’aurais pu me tuer… Je te rembourserai le t-shirt… Ou pas… Tu m’as foutu sous l’eau… Tu es un vilain garçon… Et… Et… Change moi cette flotte par pitié ou je continuer a te chauffer telle une…. Une… Russe en mode glaçon sous ta douche…. » Surpris, je baissais le regard sur mon haut avant de rire quelque peu. « Fallait le dire si tu voulais que je fasse tomber le haut … » Lâchais-je alors, presque malgré moi, en lui adressant un regard franchement taquin. La laissant se coller à moi pour repousser le pommeau de douche, je posais ma main sur sa taille pour la maintenir éloignée de moi, le temps de monter l’eau chaude. Une fois fait, je lui adressais un regard moqueur. « Satisfaite ? Maintenant à défaut de me chauffer, pousse toi de là et réchauffe toi va … Tu l’as bien mérité malgré tout. » Dis-je en riant doucement avant de baisser à nouveau le regard sur mon haut et le retirer avec lenteur pour ensuite le balancer hors de la douche, récupérant par la suite le pommeau de douche pour que l’eau plus chaude nous tombe dessus. « Une russe qui a froid … On aura tout vu. »
Code du règlement :
Spoiler:
statue of liberty
Dernière édition par Ethan K. Connor le Ven 3 Juin - 12:12, édité 9 fois
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Sujet: Re: I tried to be someone else but nothing seemed to change. Ven 3 Juin - 0:52
Physique & Caractère
Apparence & Style: Partie récupérée par Ethan.
Caractère: Partie récupérée par Ethan.
L'histoire
Partie récupérée par Ethan.
Dernière édition par Ethan K. Connor le Sam 4 Juin - 2:48, édité 1 fois
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Sujet: Re: I tried to be someone else but nothing seemed to change. Ven 3 Juin - 1:04
LETO Bienvenue
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Sujet: Re: I tried to be someone else but nothing seemed to change. Ven 3 Juin - 1:19
Et Ashton
Merci =D
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Sujet: Re: I tried to be someone else but nothing seemed to change. Ven 3 Juin - 1:29
Bienvenue Alors Jared est de 1971, il va donc te falloir augmenter son âge comme écrit dans le règlement, d'ailleurs ton code du règlement n'est pas le bon, je t'invite donc à le relire.
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Sujet: Re: I tried to be someone else but nothing seemed to change. Ven 3 Juin - 1:31
Merci =) Oui je vais y repasser. Mais justement dans le règlement il est dit que l'on peut voir dans le cas où la personnalité ne fait pas son âge ... Jared Leto fait 39 ans ?
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Sujet: Re: I tried to be someone else but nothing seemed to change. Ven 3 Juin - 1:39
Peu importe s'il fait son âge ou pas. enfin je dis ça je dis rien. x) Bienvenue. Leto est un trèèès bon choix.
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Sujet: Re: I tried to be someone else but nothing seemed to change. Ven 3 Juin - 1:40
Merci.
Je reprends les propos du règlement =) J'attends donc de savoir si je dois vraiment changer l'âge et de combien parce que je me vois mal jouer Ethan avec plus de 30 ans au compteur ...
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Sujet: Re: I tried to be someone else but nothing seemed to change. Ven 3 Juin - 2:08
Jared fait pas 27ans non plus je trouve, la trentaine passé oui, 39 peut-être pas mais pas 27 ça c'est sur.
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Sujet: Re: I tried to be someone else but nothing seemed to change. Ven 3 Juin - 2:11
Moi je trouve. On peut s'arrêter à 30 ans tout rond ou pas ?
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Sujet: Re: I tried to be someone else but nothing seemed to change. Ven 3 Juin - 2:17
OMG, la longueur de ta fiche. o.o
Bienvenue, tu me dédicaces ton roman. *part se pendre avec son humour pourri*
Bref, bienvenue parmi nous.
Dernière édition par Burberry V. Da Vindicci le Ven 3 Juin - 2:22, édité 1 fois
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Sujet: Re: I tried to be someone else but nothing seemed to change. Ven 3 Juin - 2:18
MDRRR merci et oui je vais ajouter la dédicace *sort* Et encore je la trouve courte celle ci x)
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Sujet: Re: I tried to be someone else but nothing seemed to change. Ven 3 Juin - 2:42
Bienvenue et Jared. Troisième personnage de F.S. dis donc... Amazing, il se passe quoi sur ce forum ? En tout cas, j'adore toujours ta biographie.
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Sujet: Re: I tried to be someone else but nothing seemed to change. Ven 3 Juin - 2:43
Merci beaucoup =)
Oui ... On a choisi de partir avec Baylee
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Sujet: Re: I tried to be someone else but nothing seemed to change. Ven 3 Juin - 2:45
Oh dommage Le forum semblait véritablement bon... Bref, j'arrête le flood.
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Sujet: Re: I tried to be someone else but nothing seemed to change. Ven 3 Juin - 4:19
Bienvenue par ici
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Sujet: Re: I tried to be someone else but nothing seemed to change. Ven 3 Juin - 11:18
Bienvenue parmi nous Pour ma part j'approuve le 30 ans, surtout que Jared ne fait pas du tout son âge =)
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Sujet: Re: I tried to be someone else but nothing seemed to change. Ven 3 Juin - 11:43
Burberry & ses remarques pertinentes làlàlà Bienvenue ici
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Sujet: Re: I tried to be someone else but nothing seemed to change. Ven 3 Juin - 12:11
Merci beaucoup à vous trois =D
Je change donc ma fiche pour les 30 ans, merci =)
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Sujet: Re: I tried to be someone else but nothing seemed to change. Ven 3 Juin - 12:31
Bienvenue
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Sujet: Re: I tried to be someone else but nothing seemed to change. Ven 3 Juin - 12:35
Merci
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Sujet: Re: I tried to be someone else but nothing seemed to change. Ven 3 Juin - 13:59
Bienvenue,
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Sujet: Re: I tried to be someone else but nothing seemed to change. Ven 3 Juin - 14:35
Jared Bienvenue parmi nous
Mackenzie J. Howard
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i love the ring of your name you're the yin to my yang
▌INSCRIT LE : 01/07/2010
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