SEBASTIAN - « je suis seul, mais dans ma tête nous sommes plusieurs, un vrai bordel cette tête. »
Auteur
Message
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: SEBASTIAN - « je suis seul, mais dans ma tête nous sommes plusieurs, un vrai bordel cette tête. » Ven 24 Juin - 1:28
Icône
Age: Date de naissance: Lieu de naissance: Métier/Etude:
J'appartiens au groupe des PlayBoy
Personnage:Poste VacantScénarioInventé
Encore plus machiavélique qu’il n’est séduisant, il n’a jamais proféré une seule parole sans quelques projets malhonnêtes. De toutes celles qu’il a conquise il n’en est pas qui en ait à s’en plaindre. Fuyez le à tout prix... Sexe Intention
Signe(s) Particulier(s)
Il n'a jamais proféré ses paroles, ce n'est pas un fan du "Je t'aime", il ne l'a jamais véritablement dit. Il a un tatouage sur l'omoplate qui représente un tribal japonais, signifiant puissance et honneur
Orientation Sexuelle
De tout ce qui existe sur cette terre, le seul sexe a attirer le jeune Reese reste le sexe féminin, ainsi on peut déduire qu'il est hétérosexuel.
Sebastian Shakespeare Reese
Physique & Caractère
Apparence & Style: Les rêves sont parfois réalité, jeune et entreprenant, le Reese est un homme des plus ordinaires, physiquement parlant si on peut le reconnaître. Peut-on le désigner comme un Apollon ? Le mot serait trop gros, mais certaines approuveraient sans le moindre doute. C'est pour cela que nous préférons employer le terme : banal. Mais cela reste tout de même assez vaste, il n'est pas si banal qu'on pourrait le dire. Son visage de mauvais garçon attire bien des regards de la part de la gente féminine. Il faut reconnaître que sa petite frimousse d'enfant mal élevé ou des bas quartiers peu exprimer une certaine attirance. Tout de suite, les esprits se retournent et s'interrogent sur cette nouvelle personnalité. On imagine facilement un garçon mal dans sa peau qui s'est réfugié dans la drogue et tout le tralala mais aussi un garçon fragile qui a tendance à se recroqueviller sur lui-même , qui passe son temps à broyer du noir. Dans les deux cas, cela est faux, il ne faut pas se méfier à l'habit, il ne fait pas le moine. Ses cheveux en batailles blonds n'inspirent qu'un gentil petit ange essayant de faire sa place dans ce monde cruel. Ses petites prunelles bleus, n'attendent qu'une chose, exprimer l'éclat de son âme. Son allure de mannequin musclé et grand lui donne des prouesses pour séduire n'importe quelle femme, mais cela n'est qu'un constat pour attirer ses proies. Monsieur Reese est sans doute un véritable Dom Juan, mais il le vaut bien, ce dernier fait assez attention à son allure. Ses parents lui avaient toujours appris à être parfait sur les points vestimentaires, il n'est jamais arrivé en été en cours habillé comme une savate, bien au contraire, tous les jours cela était jeans et chemise. C'est assez simple, mais bien porté, cela garde un certain charme prononcé. Malgré son allure des bas quartier, il ne perd pas en vue sa seule obsession : être désirable, il n'est pas le genre d'hommes qui veut se faire remarquer, mais il aime être au top de sa forme et être surtout désirable. Il a toujours eu l'idée en tête de plaire aux femmes, pour lui ce n'est pas en s'habillant de façon étrange ou pas coordonné que l'on peut arriver à convoiter l'esprit d'un être féminin. Non il faut être au top de sa forme et être aussi à la pointe de la mode, après tout, tout commence par le look, notamment la façon que les gens ont de nous voir pour la première fois, cela compte beaucoup. Ainsi est sa devise, il doit toujours être impeccable dans n'importe quelle situation quitte à jouer les filles dans la salle de bain pendant des heures et des heures. Il sera toujours impeccable, proche de la perfection, on dit proche car on ne peut pas l'être, ce serait trop ennuyant.
Caractère: La vie est un ensemble de moments uniques qu'on ne pourra revivre qu'une fois. Embrasser pour la première fois, coucher avec quelqu'un pour la première fois, faire sa première nuit.. Tous ces évènements ont une importance chez les jeunes personnes, comme chez les vieilles personnes. Par ces évènements, l'être humain acquiert une certaine éducation, mais on peut aussi compter une bonne éducation et l'environnement dans lequel on évolue.
Exigent et Egoïste « L'homme est fait pour tout avoir, absolument tout ». Depuis sa tendre jeunesse, Sebastian a toujours été exigent, fils unique il a toujours été habitué à avoir tout ce qu'il voulait.Il n'est pas capricieux mais il sait ce qu'il veut. Si il ne l'a pas cela s'est toujours terminé en caprice, il détestait qu'on ne lui achète pas le cadeau qu'il voulait ou autre.. Il savait toujours ce qu'il voulait et généralement ce n'était pas donné, mais ses parents répondaient à ses caprices en offrant ce qu'il voulait. Bavard, Curieux et Attentif « L'homme est une entité curieuse et bavarde ». Sebastian a toujours été un jeune homme bavard, il n'a jamais eu la langue dans sa poche, il savait quoi dire pour détendre l'atmosphère ou pour la refroidir. Il ne s'est jamais gêné de bavarder, il a toujours quelques choses à dire sur divers sujets. Comme tous les enfants, il a été curieux, mais c'est toujours resté, il doit toujours se mêler des choses qui le regardent pas. Si il peut regarder un message sur un cellulaire qu'il n'est pas le sien, il le fait. Il doit toujours tout savoir sur l'individu qui est face à lui. C'est maladif chez lui il doit toujours tout savoir. Malgré tout, il reste très attentif aux problème des autres et a justement tendance à trop parler pour les faire rire. Il essaie toujours de rétablir la situation positivement dans ces cas là. PlayBoy et Joueur « Quel homme n'a jamais tenté de faire la cour ? » Devant tout le monde, il paraitra comme l'homme aux milles conquêtes qui tente toujours d'en avoir plus. Il use de son charme naturel pour séduire les femmes. Mais au fond, ce n'est qu'un jeu qu'il tente de montrer aux autres, dans la réalité il n'est pas comme ça. Il est plus posé et ne dit pas non aux relations sérieuses, il n'a jamais véritablement eu de coups d'un soir, ce n'est pas dans son caractère d'avoir une femme différente à chaque fois qu'il est dans son lit. Manipulateur et Minutieux « Goûter aux vices de la manipulation » Sebastian est un manipulateur nait. Il s'enferme dans une carapace qui a deux personnalités. Face aux gens, il a tendance à se dévoiler sous un jour favorable, il est playboy et rague facilement, mais en vrai, il est différent et à tendance à être un homme bien dans tous les sens. Minutieux, il fait attention aux moindres détails, il ne veut pas laisser paraître aux gens sa véritable personnalité et fait attention aux moindres détails qu'il pourrait dévoiler aux autres. Froid et Individualiste « On est seul face à son destin ». Aux premiers abords, il semble être froid avec les autres, il les teste et tente d'en apprendre beaucoup sur eux sans vraiment se dévoiler, il ne veut pas engendrer de mauvaises relations si cela n'en vaut pas vraiment la peine. Il fait très attention aux gens qui l'entourent et n'est pas facilement abordable. Individualiste, il a toujours appris à se débrouiller seul, il a toujours été seul, étant fils unique, il a toujours été d'un tempérament individuel et a toujours voulu se débrouiller seul. Il n'a jamais laissé aux autres le moyen de lui dicter ce qu'il voulait faire. Autres « Le caractère d'un homme contient un océan de mystères ». Tout n'est pas aussi simple avec lui. Sebastian est marrant et a tendance à faire n'importe quoi pour se rendre intéressant. Mais il est râleur et incontrôlable, il veut toujours avoir raison sur tout et s'emporte facilement dans des délires qu'il ne contrôle pas lui-même. Adolescent, il avait tendance à se battre avec les autres jeunes de son âge pour n'importe quelle raison que ce soit une fille ou autre. Il est impulsif et peut facilement être incontrôlable. Il fait n'importe quoi et fonce tête baissée. Malgré tout, il reste un jeune homme sain d'esprit bien que ses pires défauts ne sont pas encore dévoilés au grand jour.
L'histoire
L'odeur fraiche des nouveaux draps venaient de s'étendre dans mon vaste appartement. La nouvelle literie venait d'arpenter les courbes de mon nouveau lit. J'arpentais à mon tour les horizons de mon nouvel appartement. J'avais maintenant vingt-cinq ans, j'étais jeune, beau, riche, je n'avais pas de quoi envier au monde. Pourtant dans chaque appartement de cette ville, dans chaque maison ou villa , des gens habitaient. Des personnes hautes en couleur. Ils avaient tous une histoire, palpable, émouvante, joyeuse... Joyeuse, quel est le fou qui peut penser que la vie est une joie. Pour ma part, je dirais que la vie est une pute qui nous tend des coups, des perches afin qu'on puisse se casser la gueule, mais ce qui nous rend faible, nous rend plus fort. Je n'ai jamais véritablement pu approuver cette citation, bien qu'elle soit charmante Dans ma vie, j'ai connu plus de hauts que de bas. Pas que je m'en plaigne, cela va sans dire, mais je ressens au fond de moi une force qui ne demande qu'une seule chose : éclater de mon esprit. J'ai trop longtemps été saucissonné à une vie riche et dorée. Mes parents n'étaient pas de petits ouvriers, ma mère avait longtemps été à la tête du conseil d'administration d'une grande entreprise en Suisse, mais suite à cette faillite, mes parents ont du immigrer aux USA. Mon père était neurochirurgien, les fins de mois étaient confortables. Je n'ai jamais connu un seul problème d'argent à ma naissance, je ne sais même pas comment on peut s'en passer, j'ai toujours vécu avec, j'ai toujours eu le sentiment que cette richesse était issue de moi. Ce qui fut stupide. Bien que mon père ait trouvé du travail n'importe où, ma mère était enfermée dans cette grande villa de bord de mer. Je me rappelle y avoir mis les pieds quand j'avais trois ans ou quatre ans, elle avait enfin trouvé un emploi dans une entreprise de rachats d'entreprises, elle passait du conseil d'administration à être tradeur. Ce fut un véritable choc pour mon père, je me rappelle du diner qu'il avait organisé ou plutôt commandé à un traiteur du centre. Il faut bien reconnaître que mes parents n'ont jamais vraiment été doués pour la cuisine. Ma mère arrivait à faire carboniser des pâtes, et mon père lui connaissait très bien l'utilisation du téléphone pour appeler un traiteur ou prendre un bol pour se servir des corn-flakes. Je n'ai cependant manqué de rien dans ma tendre jeunesse. A cette jeunesse dorée, j'eus à peine sorti une cigarette de mon étuis que je fus basculé dans les années 90. J'étais certainement l'enfant le plus heureux de toutes ces familles bourgeoises, mon père et ma mère s'aimaient à en mourir, j'avais des milliers de dollars sur mon compte, j'avais toujours des gens à mon service, la véritable belle vie, si je puis dire. Pas tellement en fait, pendant que tous les jeunes garçons étaient plongés dans le ballon rond ou dans les bouquins, moi j'étais chez moi à assister aux disputes ou aux discussions de mes parents sur mes futurs études, sur l'université que j'allais choisir ou bien encore la petite amie que j'allais avoir. Ils allaient m'infliger ce qu'ils n'avaient pas vécu, pour me mettre dans le bain de la bonne société sans doute. Je n'en pouvais plus de ces discussions sans queue, ni tête, je n'avais pas encore dix ans, qu'il pensait que j'allais épouser une princesse ou que je serai neurochirurgien comme mon père. J'étais fils unique, il fallait que je m'attende à tout ce blabla. A partir de cet instant, mes parents se sont montrés assez stricts avec moi. Ils ne voulaient pas que je me laisse ennuagé l'esprit. Ils voulaient que je sois le meilleur dans tout ce que je pouvais toucher. Ce fut d'abord le tennis, il rêvait que je sois un sportif de haut niveau, sauf qu'une raquette et moi cela fait mauvais ménage, j'ai tendance à frapper ma tête avec, c'est peut-être pour ça que mon père était neurochirurgien, c'était pour m'ausculter plus facilement. Après j'ai eu droit à tous les cours de conduite qui put exister. Des cours de politesse, de danse, et même de table. Oui j'ai su comment placer une fourchette sur une table, plus sérieusement, j'ai du apprendre qu'on ne devait pas mettre les coudes sur la table, se tenir droit. Je n'avais pas vraiment droit à l'erreur, sauf que moi et l'apprentissage des couverts ce n'est pas vraiment mon truc, j'ai toujours aimé mangé un bon sandwich, c'est beaucoup plus simple. On le prend avec les doigts, mais là encore mes parents n'étaient pas d'accord. L'adolescence ne fut pas de tout repos. La fameuse période où les jeunes passent leur temps à éclater leur bouton, ben moi j'étais dans les rues à essayer de jouer les rôles de mauvais garçon, j'en avais marre de toute cette pression chez moi, je me laissais aller, pour une fois je jouais le diable. J'aimais particulièrement partir à la plage pour courir ou me défouler ou quelque fois rouler un joint. Je peux passer des heures devant un coucher de soleil. C'est bien connu, je suis un Dom Juan. J'aime séduire, je suis un vrai romantique. Seulement croyez le ou non, je n'ai jamais su dire je t'aime à une femme. Si à une, il me semble, ce mot m'a toujours posé problème et pourtant un soir au moment de me donner à la plus belle femme du monde, elle n'a pas su me répondre. Et vous savez la meilleure, en partant de chez elle, je me suis fait renversé par une voiture, quelle vie de merde. Deux jambes dans le plâtre j'avais échappé à la mort et je n'avais pas eu une seule de ses nouvelles. Comme on dit si bien Vie De Merde. Ca te dit quelque chose, oui à moi aussi il m'arrive souvent d'aller jeter un coup d'oeil sur ce site et de me tordre de rire, va savoir pourquoi Grandir ça craint. Si j'avais eu le choix, je serai parti avec Peter Pan au pays imaginaire. J'en ai la nausée. Du haut de mon building, j'aperçois tout. Les gens sont si petits. Ils sont tous hauts en couleurs. On en voit des blanc, des noirs, des jaunes.Des cheveux de toutes les couleurs et surtout un look assez étrange. Je me rappelle de mon look de mauvais garçon, je le suis toujours sans doute. Veste en cuir et jean noir. C'était ma tenue favorite, cheveux en bataille et j'arrivai à avoir n'importe quelle fille, mais je n'arrivais jamais à dire un mot. Quel idiot ! Je pensais comme tous les autres lycéens, que à la fac cela passerait et bien non. Papa et maman avaient opté pour une fabuleuse fac à San Francisco, Berkeley si je m'en rappelle bien, ces années là. J'ai été perçu comme un fils à papa mais ça ne change pas grand chose ils le sont tous. J'ai fini par prendre la voie de mon père, la médecine. J'attends toujours d'avoir une spécialité. J'ai opté pour la cardiologie, les études du coeur quoi. Et ouais j'ai récemment appris qu'un coeur ne faisait pas que boum boum mais il y avait des tas de problèmes dans cette petite machine, c'est pour ça que j'ai été envoyé à New York. Je suis devenu interne en suivant des cours de Berkeley par correspondance, j'en avais marre de la côte, j'avais envi de connaître le froid l'hiver et surtout de m'en sortir seul, si on peut dire. Et voilà où j'en suis maintenant. 25 piges, des diplômes en poche. Je suis interne, un métier qui me plait pas tellement, mais pourtant je suis fait pour, allez chercher à comprendre. Et maintenant je me retrouve dans un grand appartement à Manhattan. C'est joli, la vue qu'on peut admirer de central parc; mais cela ne m'impressionne pas du tout. Après ce cours résumé de ma vie. J'arrive au bout de ma cigarette. Au bout de mes forces aussi, je suis si épuisé, si fatigué de ma vie, je ne peux pas posé un pied par terre sans que... Bip; Bip; Bip Et merde, expliquez-moi pourquoi nous aussi les internes on a un putain de bipeur, il ne fait que sonner depuis que je suis arrivé, je vais sans doute devoir vous quitter, mon devoir m'appelle, et qui sait je serai peut-être le médecin sexy qui s'occupera de vous mesdames, mais si t'es un mec, rêve pas, même pas en rêve, je suis pas du genre à être intéressé par les hommes, alors retire toutes tes pensées obscènes, oublie qui je suis, même ce que je t'ai raconté. Mais si tu es une femme, si tu es InvitéSache que je suis à toi ma jolie et si tu veux mon numéro, il suffit de me demander. Bon j'arrête de bavarder, il faut que j'aille affronter la pollution et la mauvaise humeur de mes supérieurs, fini les vacances et le temps de s'amuser. Vive le travail et le travail !
Behind the computer
Prénom:Wonderwoman Âge : 17 ans Avatar choisi : Hayden Christensen Comment as-tu connu ce forum ? : En surfant sur le net Ton avis (design, contexte, ...) : HAN le design (a) Présence sur le forum : 6/7 Autre(s) compte(s) : Non Exemple de RP :
Spoiler:
Journée des plus simples, du moins c’est-ce que pensait Illis en quittant sa salle de cours de langues cet après-midi à quinze heures. Elle était toujours en cours. Poussant ses études dans les langues étrangères, elle voulait devenir interprète pour voyager de nombreuses fois dans le monde. Ses études n’étaient pas la réelle occupation principale de Illis. C’était juste une façon de réussir sa vie. Elle faisait désormais partie de la famille Bishop. Mais elle essayait d’y rester le moins possible. Cette famille était puissante mais très mystérieuse, elle n’avait pas envie de devenir l’un de ces sbires. Elle avait peur qu’on ne prenne son esprit pour toujours. Elle avait surtout peur de ne plus être la jeune candide qu’elle était. Elle était fragile et assez naïve, tous les deux étaient des défauts, mais elle avait envie de garder cette partie d’elle. Elle ne voulait pas devenir méchante et mauvaise comme l’était sa mère ou sa sœur jumelle. Non, elle devait rester elle-même. Rassemblant ses affaires, elle sortit de cours pour se rendre à sa belle voiture noire qui était un cabriolet qui sentait encore bon le neuf. Elle posa ses affaires sur le siège passager, quand quelqu’un la prit par derrière, elle eut peur et se retourna. Elle vit un ancien fournisseur de drogues qu’elle avait connu. Elle s’entendait plutôt bien avec lui. Sourire aux lèvres, elle le prit dans ses bras pour l’enlacer, elle ne l’avait pas vu depuis un long moment. Il la serra dans ses bras un sourire mesquin »Veux-tu prendre un verre avec moi ? ». Elle acquiesça le sourire aux lèvres, innocente tel un ange déchu qui voyait en lui non un sauveur mais un sincère ami. Comment pouvait-il l’être c’était un vendeur de drogues, un homme malsain pour elle. « Oui avec plaisir ! ». Tous les deux partirent en direction d’un bar à la sortie de la ville, le genre de bar qui faisait froid dans le dos, mais dans lequel on vient pour épater la galerie. Entrant dans cet endroit désert, il commanda deux téquilas, puis deux autres et deux verres de vodka, additionnant les addictions de la jeune femme qui se mettait à boire le contenu des verres comme si de rien était. Mais quelque minute plus tard, elle sentit sa tête basculer à droite et à gauche. Elle était devenue toute chose, rattrapant sa tête avec ses mains, elle pria son chauffeur de la raccompagner chez elle. A ces mots, ce dernier se mit à rire de plus en plus fort, il se fichait d’elle, mais elle n’avait pas le courage de dire quelque chose, sa tête était devenue un gong qui ne cessait de sonner pour provoquer la colère de la jeune femme. Il l’aida à se lever et à marcher. Elle ne tenait plus sur ses deux fines jambes qui ne supportaient plus le poids de ses quarante cinq kilogrammes. Pourtant fine comme une aiguille, elle avait l’impression d’avoir pris une centaine de kilogrammes en une seule heure. Ce qui était impossible. Arrivant dans la voiture, elle s’allongea sur la banquette arrière. Le regard livide, elle ferma les yeux alors que le conducteur appelait une autre personne en disant « Je l’ai avec moi ! Le travail est terminé ! ». Quel travail ? Il devait livrer de la drogue ? Non il fallait être réaliste ce n’était pas ça. Luttant contre le sommeil, elle s’agrippa à la portière et regarda les paysages malfamés qui s’additionnaient les uns aux autres. Mais la voiture s’arrêta provoquant un certain bon dans sa poitrine, elle n’arrivait plus à contrôler son corps. La portière s’ouvrit à la volet clouant la jeune femme sous un poids pesant d’un homme sur la banquette de la voiture arrière, retirant sa chemise, remontant la robe de Illis, cette dernière battit ses mains dans tous les sens pour le frapper, mais elle se recevait des coups en retour, criant de toutes ses forces, elle n’arrivait pas à le stopper, pleurant à chaudes larmes, elle désirait que tout s’arrête. Mais ce dernier prit plaisir à la violer alors que cette dernière demandait de l’aide. Perdue dans ses cris et ses larmes, l’homme se mit à rire, laissant Illis dans un état pitoyable se sentant salie, la drogue avait envahi son corps. Elle n’était pas capable de se protéger elle-même. La portière se ferma à clé. A chaudes larmes, elle pria pour que Persia vienne la sortir de là. Mais sur le souvenir de son visage, elle termina par s’endormir. Tous les évènements l’avaient fortement affectée et ce n’était que le début d’une longue série.
Le soir était tombée quand elle se réveilla. Retrouvant légèrement l’usage de son corps, elle fouilla dans ses poches son portable, il n’y avait rien. Rien de toutes ses affaires. Cherchant à sortir de ce taudis de voiture, elle ne pouvait pas. Mais le clic d’ouverture signala l’ouverture de la voiture. Deux hommes vinrent chercher Illis dont son violeur qui restait en retrait. Elle se sentait sale et avait honte d’être comme ça ! Ils la sortirent de la voiture la tenant par les bras pour ne pas qu’elle puisse s’échapper. Elle entendit des coups et des légers soupirs comme si une bagarre s’était présentée. Trainée comme une poupée de chiffon, elle gagna une arrivée remarquée dans cette ruelle bien trop sombre. Elle leva la tête et vit Persia. Les larmes aux yeux, elle les laissa couler, il s’était battu, elle aurait tellement voulu retrouver l’usage de ses jambes et lui courir dans les bras, mais elle n’avait pas plus de force qu’un bambin. « Commence déja par la relachée. ». Des regards se tournèrent vers Illis. Elle s’en préoccupait peu. Elle regardait Persia. Son regard était si triste, il avait perdu tout sens de vitalité. Il n’avait pas pu être au courant. Pour lui donner du courage, elle lui sourit. Elle aurait du s’interposer dans cette bagarre au lieu d’être un simple témoin. Elle était retenue par deux gros bras qui la retenaient. Pourtant elle avait la force de partir vers Persia. Mais pourquoi étaient-ils là ? Tous en même temps ?! Sans être consciente de ses paroles, elle se mit à hurler. « Ne lui faites pas de mal ! Sinon vous allez le regretter et je ne rigole pas ! N’osez plus le toucher une seule fois ! » Des rires éclatèrent tout autour d’elle. C’était bien pathétique. Un des gros bras prit une grosse voix pour dépasser celle de Illis qui était de faible intensité. « Tu comptes t’y prendre comment ? Tu n’as même pas la force de tenir sur tes deux jambes. ». Elle s’en fichait, elle ne rêvait que d’une seule chose, aller dans les bras du prince qui la regardait de son regard éteint, il lui redonnait la force de vivre comme si rien ne s’était passé, il lui pansait n’importe quelle blessure. Bien qu’elle était ridicule de dire ça, mais elle tiendrait ses paroles..
Code du règlement :
Spoiler:
Statue of Liberty
Dernière édition par Sebastian S. Reese le Mer 29 Juin - 2:12, édité 14 fois
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: SEBASTIAN - « je suis seul, mais dans ma tête nous sommes plusieurs, un vrai bordel cette tête. » Ven 24 Juin - 1:33
Bienvenue parmi nous
Et pour répondre à ta question Xavier Samuel all the way!!!!!!!!!!!!
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: SEBASTIAN - « je suis seul, mais dans ma tête nous sommes plusieurs, un vrai bordel cette tête. » Ven 24 Juin - 1:35
bienvenue
bonne chance pour ton avatar, n'hésite pas à demander de l'aide (:
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: SEBASTIAN - « je suis seul, mais dans ma tête nous sommes plusieurs, un vrai bordel cette tête. » Ven 24 Juin - 1:35
Je dirais Milo V.
Bienvenue & bon courage pour ta fiche!
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: SEBASTIAN - « je suis seul, mais dans ma tête nous sommes plusieurs, un vrai bordel cette tête. » Ven 24 Juin - 1:42
Merci à vous Justement, je désire de l'aide, car ce sera un personnage très complexe avec un très fort caractère égoïste, froid.. Donc j'hésite vraiment x)
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: SEBASTIAN - « je suis seul, mais dans ma tête nous sommes plusieurs, un vrai bordel cette tête. » Ven 24 Juin - 1:49
les trois avec qui tu hésites on disparu, certainement quand tu as édité ton post perso j'ai une préférence pour Xavier mais Milo aussi semble un bon choix, oui je n'aide pas beaucoup
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: SEBASTIAN - « je suis seul, mais dans ma tête nous sommes plusieurs, un vrai bordel cette tête. » Ven 24 Juin - 2:09
Oui mais j'ai exploré le coin des scénarios et je n'ai pas pu m'empêcher de tomber sur un rôle qui pourrait me plaire, ce serait celui de Hayden Christensen. Après il faudrait voir si il n'est pas pris x) Cela reste une option si je ne suis pas décidée sur l'avatar.
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: SEBASTIAN - « je suis seul, mais dans ma tête nous sommes plusieurs, un vrai bordel cette tête. » Ven 24 Juin - 2:47
Je voterai Xavier. Sinon, bienvenue et bonne chance pour ta fiche.
Dernière édition par Hope A. Kylinson le Ven 24 Juin - 14:26, édité 1 fois
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: SEBASTIAN - « je suis seul, mais dans ma tête nous sommes plusieurs, un vrai bordel cette tête. » Ven 24 Juin - 3:02
Pour te répondre Hayden est tout à fait libre (:
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: SEBASTIAN - « je suis seul, mais dans ma tête nous sommes plusieurs, un vrai bordel cette tête. » Ven 24 Juin - 7:13
Il est libre, mais il aura une folle à ses trousses
Sinon, welcoommee ! :walrus:
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: SEBASTIAN - « je suis seul, mais dans ma tête nous sommes plusieurs, un vrai bordel cette tête. » Ven 24 Juin - 7:39
La folle qui a fait le scénar' ouais
Bienvenue ici plus officiellement Si tu ne prendras pas le scénario je vote XAVIER & citation de sex intentions
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: SEBASTIAN - « je suis seul, mais dans ma tête nous sommes plusieurs, un vrai bordel cette tête. » Ven 24 Juin - 9:18
Bienvenue parmi nous Je vote blanc, prend celui avec qui tu te sentiras le plus à l'aise (a) Même si Xavier
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: SEBASTIAN - « je suis seul, mais dans ma tête nous sommes plusieurs, un vrai bordel cette tête. » Ven 24 Juin - 10:45
Pour ma part, je dirais Xavier Bienvenue
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: SEBASTIAN - « je suis seul, mais dans ma tête nous sommes plusieurs, un vrai bordel cette tête. » Ven 24 Juin - 12:12
Moi je vote Xavier
Bienvenue
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: SEBASTIAN - « je suis seul, mais dans ma tête nous sommes plusieurs, un vrai bordel cette tête. » Ven 24 Juin - 12:32
Je vote blanc également. Bienvenue.
Mackenzie J. Howard
Empire State of Mind
i love the ring of your name you're the yin to my yang
▌INSCRIT LE : 01/07/2010
▌MESSAGES : 20301
▌AGE DU PERSO : 23
▌ADRESSE : 6812 Beverley Road #104, Brooklyn. avec l'amour de sa vie.
Sujet: Re: SEBASTIAN - « je suis seul, mais dans ma tête nous sommes plusieurs, un vrai bordel cette tête. » Mer 29 Juin - 2:22
Bienvenue & bon choix d'avatar
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: SEBASTIAN - « je suis seul, mais dans ma tête nous sommes plusieurs, un vrai bordel cette tête. » Mer 29 Juin - 9:21
Validé !
Si tu sens que tu auras besoin d'aide pour trouver ta place sur le forum, le système d'intégration pourra t'y aider. N'hésite bien entendu pas à créer tes fiches de liens et de sujets ainsi qu'à faire toutes les demandes relatives à ton personnage. Si tu as la moindre question, tu peux t'adresser par message privé à l'un des membres du staff. N'hésite pas à venir faire un tour dans le flood, dans les jeux ou sur la chatbox pour te familiariser avec les autres membres. Et, finalement, n'oublie pas de voter de temps en temps sur le topsite d'Obsession, en commençant par cliquer sur Pikachu !
Bon jeu parmi nous !
Contenu sponsorisé
Empire State of Mind
Sujet: Re: SEBASTIAN - « je suis seul, mais dans ma tête nous sommes plusieurs, un vrai bordel cette tête. »
SEBASTIAN - « je suis seul, mais dans ma tête nous sommes plusieurs, un vrai bordel cette tête. »
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum