Sujet: The edge of Lana ♣ Hilary Burton Mar 2 Aoû - 1:49
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Age: Date de naissance: Lieu de naissance: Métier/Etude:
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Personnage:Poste VacantScénarioInventé
"Ne me torture pas, je suis déjà à l’agonie." de gossip girl
Signe(s) Particulier(s)
La seule marque particulière physique qu’à Lana, c’est un piercing au nombril qu’elle s’est fait à Florence durant ces études de journalisme. Lana n’est pas du genre extravagante, elle ne va donc pas barioler son corps avec des dessins qui ne s’effaceront jamais de la vie.
Orientation Sexuelle
Lana est hétérosexuelle, elle n’a jamais tenté une quelconque aventure avec une femme, et à vrai dire, l’idée ne lui ait même pas venu en tête. Les hommes un point c’est tout.
Lana Zoey Acciaro
Physique & Caractère
Apparence & Style: Alors que la plupart des italiennes sont grandes et brunes au teint bien bronzé, Lana est une grande blonde aux yeux bleus et à la peau plutôt blanche. Héritage de la maman qui est française. La jeune italienne a un peu fait tous les styles vestimentaires avant de trouver celui qui lui convenait le mieux : classique mais sexy. Vous la verrez le plus souvent avec des jean bien coupé à sa taille, des talons haut, et des petits tops qui passeront souvent pour classique aux yeux de tous. Mais ce style lui donne tout de même des allures de femme fatale contre son gré, elle ne cherche pas la provocation dans son style vestimentaire bien au contraire. Avec un peu de chance, vous aurez également l’occasion de la croiser en baskets, pantacourt de sport, et un débardeur lors de ses activités sportives.
Caractère: En bonne italienne, Lana a un caractère bien trempée. Rarement la langue dans sa poche, elle ne tourne pas la langue sept fois dans sa bouche avant de parler, mais au contraire, elle va être franche. C’est souvent ce qui lui a valu la réflexion qu’elle avait bien fait de se lancer dans le journalisme. La blondinette n’est pas du genre hautaine, mais elle supporte mal le fait que l’on puisse lui donner tord : règle n°1, j’ai toujours raison ; règle n°2, si j’ai tord, revoir la règle n°1. Voilà ce à quoi fonctionner la jeune femme. Mais il ne faut pas s’y m’éprendre, Lana a de grande valeurs familiale, elle est très proche de sa famille, et se battrai jusqu’au bout pour elle. C’est aussi une grande émotive et sentimentale : un film romantique bien choisi peu lui arracher quelques larmes et les grandes causes humanitaires la touche profondément. Amicalement parlant, c’est une jeune femme qui accorde assez vite sa confiance, même si elle l’a souvent regretté, elle a du mal à se méfier des gens, ne voyant que leur bon côté. Mais elle sait avoir du recul et une bonne critique. Et si vous lui faites un coup dans le dos, elle ne vous lâchera pas. En amour, quand la jeune femme se donne, elle ne le fait pas dans la demi mesure, c’est surement pour ça que la jeune femme n’a eu qu’un seul grand amour dans sa vie.
L'histoire
Florence, une ville assez peuplée, mais qui attendait un habitant de plus, ma naissance. Je suis la petite deuxième, et la dernière de la famille des Acciaro. J’ai un grand frère, un peu plus grand que moi, trois pour tout dire, et on peut dire qu’il m’attendait avec impatience, mais peut être pas autant. Je devais arriver pour les alentours de la fête de la musique en France, mais le destin a décidé de s’en mêler. Je suis finalement née un peu prématurément d’un mois chez moi. Comme à son habitude, ma mère, énergique comme pas deux, était en train de faire ses carreaux quand elle hurla après mon père de descendre. Si seulement on l’avait prévenu de ne jamais lever les bras quand on n’était enceinte. Ma mère hurlait donc le salon, disant qu’elle avait perdu les eaux. Non c’était juste impossible et c’était bien trop tôt. Mon père voulait donc mettre ma mère dans la voiture pour foncer en direction de l’hôpital mais c’était peine perdu, elle ne pouvait plus se lever. Il a donc finit par appeler les pompiers, qui sont venu l’aider à me mettre au monde. Mais qui dit prématurée, dit souvent complication. Je n’ai pas fait exception à la règle.
De suite après ma naissance, on m’emmena dans le service de néonatalité le plus proche. J’étais incapable de respirer toute seule, j’ai d’abord était mis sous ventilation artificielle, puis tout doucement j’ai appris à respirer toute seule. Si jamais je n’ai été parvenu, je ne serai surement plus là aujourd’hui. Il ne me manquait plus que les quelques grammes pour atteindre le poids autorisé pour sortir, et je pourrais enfin rejoindre la chambre que l’on m’a préparé. C’est donc le dix sept juin 1989 que j’ai pu rejoindre ma maison, pour commencer officiellement ma vie.
J’ai eu une enfance relativement classique. Il n’était pas question pour mes parents de faire de moi une princesse capricieuse à qui l’on réalise les moindres caprices, malgré le fait que je le sois. Mais mes parents ont passés mon enfance à m’inculquer des valeurs qui me sont chers maintenant : le respect, la politesse, la générosité. Mes parents travaillaient dans une association et donc le partage était essentiel dans notre quotidien, et mon frère et moi, l’avons retenu, et nos jouets devenaient leurs jouets. Je n’ai jamais été surprotégé malgré le fait que j’ai par moment des difficultés à respirer qui est dû aux faits que je suis prématurée. Il y a quelque temps, ma mère avait décidée de m’emmener chez le médecin car elle trouvait ça anomal – ou alors c’est l’instinct maternel qui parlait – d’avoir du mal à respirer dans certains moments. Après une batterie d’examen en tout genre, le diagnostic était simple : je suis asthmatique. Je ne savais pas encore ce que ça voulait dire du haut de mes cinq ans, mais je sais juste que ça a changé beaucoup d’habitude au sein de la maison. Mais ma famille ne souhaitait pas que mes propres habitudes changent et que j’ai une vie tout à fait normale. Ils ont donc suivit plusieurs entretien entre professionnels et parents, qui leur disait ce que je pouvais faire, ce que je ne pouvais pas faire, et comme y remédier en cas de crise. J’ai donc passé mon enfance on ne peut plus normal, juste avec ma ventoline, les amis et le sport aussi.
Arrive le temps du lycée, du moment où l’on se dévergonde un petit peu et que l’on profite des joies de la vie. Ce n’était pas vraiment mon style tout ça. J’étais plus la jeune fille qui fait partie du club de journalisme de l’école, discrète, qui ne disait pas un mot. J’avais la rubrique nouveauté dans l’école, je devenais la spécialiste pour aller à la pêche aux informations partout où il fallait dans l’école. La conseillère d’orientation m’avait d’ailleurs conseillé de partir en école de journalisme. Il y avait une pas loin de chez moi. C’était le moment aussi des grandes amitiés, Marisa, était l’une de mes meilleures amies, et l’on avait décidé de suivre l’école de journalisme également. A la fin de notre lycée, elle est tombée enceinte. Heureusement elle vivait une histoire passionnelle avec son copain qui allait assumer parfaitement son rôle de père. J’étais donc la marraine d’un merveilleux petit bonhomme, Lorenzo. Pour le besoin de ses études, Marisa a dû partir pou New York avec toute sa petite famille.
Mon année de lycée a également été marqué pour mon seul et unique amour, Sergio. Le cliché typique, lui était le sportif célèbre du lycée, moi l’élève studieuse. Il avait besoin de cours particulier, et j’étais sa tutrice. De fil en aiguille, on apprit à faire connaissance et nous sommes sortis ensemble, secrètement en premier, mais cette situation ne me plaisait absolument pas. Lui disant alors que j’allais le quitter s’il n’assumait pas notre relation, il a fini par le dire à ses amis qui au final s’en douter. Nous sommes restés deux ans ensemble, jusqu’à ce que son côté célèbre de l’école prenne le dessus. Il a fini par prendre la poudre d’escampette avec une pompom girl de l’école. Je n’avais plus qu’une hâte : finir le lycée afin de ne plus le voir. La haine envers lui faisait partie de mon quotidien, aussi bien que j’avais enchaîné les sorties et les rencontres en tout genre pour l’oublier, pour passer à autres choses, et surement inconsciemment, vouloir le rendre jaloux. J’obtenu mon diplôme de lycée et ma demande pour l’école de journalisme était faite.
Cela faisait maintenant trois ans que j’étais en école de journalisme, j’allais être diplômé de l’école de journalisme. Mon travail était dans un célèbre journal italien, où j’avais ma propre rubrique. Mais un appel allait tout changer mes projets. Un appel de l’hôpital de New York, me disant que Marisa et son homme avait eu un grave accident de voiture. Je demandais comme aller le bébé, il était sain et sauf. Quand j’avais prévenu mes parents, ils m’ont conseillé de partir directement pour New York, j’avais pris la décision d’aller y vivre quelques temps. Mon boss envoya donc une lettre de recommandations dans un des journaux new yorkais les plus lu, et pendant ce temps, je faisais mes bagages. Quelques jours après, j’avais un nouveau boulot, et un nouveau logement. Je passais les trois quart de mon temps à l’hôpital et avec Lorenzo. Marisa et son mari était dans le coma. Elle n’avait plus aucun contact avec sa famille, c’était donc à moi de prendre la décision la plus dur de ma vie : les médecins savaient que Marisa et son copain ne se réveilleraient pas, il fallait donc débrancher les machines. Mais je ne pouvais pas faire ça, pas pour Lorenzo, c’était ses parents, je ne pouvais pas lui en privée. Il le fallait. Quelques jours plus tard, les machines étaient débranchées et je disais adieux à ma meilleure amie. N’ayant pas de famille proche, c’était moi qui devais prendre en charge Lorenzo, j’allais devenir sa nouvelle maman. Mais comment on devient maman ? Je n’en ai aucune idée. Cela fait maintenant six mois que Marisa est décédée, et je suis dans mon travail en permanence. Lorenzo passe son temps à la crèche, je n’assume pas encore vraiment le fait d’être maintenant mère.
Behind the computer
Prénom:Gwen Âge : 21ans Avatar choisi : Hilarie Burton Comment as-tu connu ce forum ? : top obsession27 Ton avis (design, contexte, ...) : il est juste extra Présence sur le forum : normalement, un peu tous les jours Autre(s) compte(s) : Et non Exemple de RP :
Spoiler:
« Oui Rose tu peux venir faire un câlin dans le lit ». Mon petit trésor se trouva à notre porte de chambre avec ces yeux tout brillant qui ne demandaient qu’à venir nous rejoindre, Ron et moi, dans le lit. Comme à son habitude, Ron ne trouva rien de mieux que chatouiller la petite qui ria au éclat, ce qui avait également le don de me sourire également. Hugo ne tarda pas à montrer le bout de son nez également, et je n’avais juste qu’à taper sur le lit pour qu’ils nous rejoignent. Ça c’était un matin des plus normaux, un matin en famille dans le lit. Il était un peu moins de neuf heures quand je décidais de laisser les enfants avec Ron dans le lit, il allait pouvoir s’amuser. « Mione, reste un peu encore avec nous, c’est dimanche ! » Ron n’était pas le dernier pour s’amuser, mais je n’aimais pas trainer au lit et il le savait très bien, après toutes ses années à Poudlard et de vie commune. « Désolé chéri, mais amuse toi avec les enfants encore un peu toi, je dois préparer les affaires car on mange où ce midi ? » disais-je en regardant les enfants. Je voyais leurs sourires s’agrandir sur leurs visages alors qu’ils me répondaient en cœur « Chez tonton Harry et tata Ginny ! ». Je faisais rapidement le tour du lit pour embrasser mon mari, et de quittait le chambre pour préparer les affaires des enfants. J’entendais des bruits de grincement à peine sortie de la chambre. « Ron ! ». Suite à ça, j’entendais ma petite famille rire. Quelle bande de filou, ils avaient bien hérité du caractère bout en train de leur père. « Rose, Hugo, je vous ai déjà dit que votre mère entendait tout ? Je suis sur qu’il y a une oreille à rallonge que tonton George pourrait donner à maman… » . J’étais resté dans le couloir pour les écouter, et j’eus un petit rire. Connaissant mon roux, il était en dehors du lit à faire comme ci il cherchait une réelle oreille à rallonge. Je descendis enfin dans la cuisine pour préparer le petit déjeuner. Ron était un glouton, et les enfants faisaient bonnes chairs des petits déjeuner également. Comme c’était dimanche, je préparais une pâte à pancake, ils en raffolaient. Ron me rejoignit dans la cuisine après un bon fou rire avec Rose & Hugo. Mon mari ouvrit l’un des placards du haut, un placard où l’on avait décidé de ranger les baguettes, et de les avoir à porter de main où qu’à où. Même si Voldemort était bien mort, je restais toujours méfiante de quelqu’un qui pourrait prendre sa place, et déciderait de se venger de ceux qui avait anéantie leur maitre, autrement dit, nous. Mais je voulais que l’usage de la magie reste exceptionnel. J’étais née de parents moldus, et il m’avait appris à rester le plus moldus possible, à me servir de la magie qu’en qu’à de réelle nécessité, mais en aucun qu’à pour les gestes quotidiens. Il allait de soi que j’inculquerais les mêmes valeurs à mes enfants. Rose allait déjà rentrer en première année à Poudlard, le temps passait beaucoup trop vite, et elle allait enfin pouvoir faire usage de la magie pour la première fois. Quant à Hugo, nous avions encore un peu de temps pour y penser, bien qu’il nous avait accompagné au Près-au-lard pour faire les achats pour sa sœur. Ron avait donc sa baguette en main. « Pourquoi tu n’utilises pas ça pour faire le petit déjeuner ? » . Je soupirais alors que je remuais la pâte activement. . « Ron non ! Pourquoi ce servir de la magie alors qu’on peut le faire nous même ? Tu veux faire de nos enfants des fainéants comme leur père ? ». Mon cher et tendre levait les yeux au ciel. Nos chamailleries n’avaient jamais cessé même avec le mariage et les années ensemble. Il savait que je ne pensais jamais à mal en disant mes mots, il connaissait mon caractère et heureusement, sinon le divorce nous serait tombé plus d’une fois sous le nez. Les enfants descendaient en courant les escaliers. « Les enfants, on ne court pas dans les escaliers, je vous l’ai déjà dit. ». Ron avait mis la table du petit déjeuner en attendant que je finisse de tout chauffer. Mes petits trésors se plaçaient à leur place habituelle, mon mari également, je servais les pancakes dans leurs assiettes. A peine avais-je eu mis dans l’assiette qu’ils sautaient dans leur assiette comme si ils n’avaient jamais eu à manger. Non mais alors les enfants je vous jure, si seulement Ron n’en faisait pas autant aussi. Je n’avais pas deux enfants à la maison mais trois. Je regardais Ron, de façon à lui faire comprendre. Il ralentissait le mouvement. « Doucement les enfants, attendez au moins que votre mère soit à table. » leur disa-t-il avec un clin d’œil. Je répondis par un sourire à mon époux. Je me mis à table à mon tour, et souhaita un bon petit déjeuner à tout le monde. Neuf heures trente. Il nous restait encore du temps avant d’aller chez Harry & Ginny. Rose nous parla un peu de Poudlard et de son inquiétude quand au fait de ne pas être chez les Gryffondors. « Dit papa ? Qu’est-ce qui se passera si je ne suis pas chez les Gryffondors ? ». Ron posa un instant sa fourchette, et s’adressa à Rose « Et bien tu travailleras au magasin de tonton Georges à vendre des chapeau-sans-tête » . Je donnais un coup de coude à Ron, non mais je vous jure celui là des fois. Il toussota avant de reprendre. « Princesse, que tu sois chez les Gryffondors où ailleurs, tu resteras aussi intelligente que ta mère. Souvient toi de ce que tonton Harry, le choipeau magique tient compte de ce que tu souhaites très fort. » . Il fit un clin d’œil à sa fille. J’aimais la complicité entre Ron et les enfants, son caractère un peu foufou permettait des bons moments en famille. Le petit déjeuner se passa dans la joie et la bonne humeur. Je débarrassais la table pendant que la plus grande allait à la douche, j’avais préparé ces affaires dans sa chambre, elle n’avait plus qu’à les prendre pour aller dans la salle de bain. Pendant ce temps, Hugo et Ron faisait un jeu d’échec, un jeu comme chez les humains, mais les pièces étaient animés. Le jeu préféré de Ron et Hugo, alors ensemble, il passait de bon moment. C’était d’ailleurs le jeu excellent de Ron aux échecs que l’on avait pu passer l’une des pièces pour la Pierre Philosophale lors de notre première année à Poudlard. Quelques minutes après, Rose avait fini sa douche, elle avait enfilé la petite robe blanche que je lui avais préparée. J’entrais dans la salle de bain à mon tour, avec ma puce, pour lui faire ses cheveux. C’était un moment entre moi et ma fille, sans personne d’autres. Je lui avais fait une queue haute enroulé dans un ruban rouge. « Tu es tellement belle ma puce, j’arrive pas à croire que tu rentres déjà à Poudlard » « Toi aussi tu es belle maman. ». Je pris mon ange dans mes bras avant de lui demander de finir de se préparer dans sa chambre. Déjà à son âge elle était très coquette. « Hugo à la douche ! » « Attend maman, je … » « Il n’y a pas de attend qui tienne, tu viens et tout de suite ! ». J’entendais Hugo soupirait, quand il était parti dans ses jeux avec son père, c’était fini. Surement que Ron lui avait dit de monter pour éviter de me mettre en colère, Hugo était devant la porte de salle de bain, mais en boudant. Je laissais Hugo le temps de se laver, moi de mon côté je préparais ses affaires que je n’avais pas eu le temps de faire ce matin. Hugo était très rapide sous la douche, encore plus que sa sœur. J’enveloppais Hugo dans sa serviette, et je l’emmenais dans sa chambre pour s’habiller, Ron lui prenais la salle de bain à son tour. Dans un jean simple et un tee shirt qu’il avait eu pour son anniversaire, je savais qu’Hugo était du genre galipette avec ses cousins, je ne prenais donc pas le soin de le mettre en costume. Mon fils, le plus beau. Ron sortit de la salle de bain. « Tu es beau mon amour, ça change. » lui dis-je en rigolant. Je l’embrassais et m’enfermais dans la salle de bain avant de lui donner une chance de me répondre. Je pris ma douche, j’avais un moment calme rien qu’à moi durant quelques minutes. C’était mon moment à moi, mais les enfants me manquaient souvent bien trop vite, c’était pourquoi je ne les laissais que rarement dormir ailleurs, sinon je tournais vite en rond. J’enfilais une robe rouge, de la même couleur que le ruban dans les cheveux de Rose. Le maquillage, toujours discret chez moi, la seule fois où j’avais pris l’occasion de me maquiller de façon plus prononcé, j’avais eu le droit toute la journée aux moqueries de Georges, même gentiment. J’enfilais des ballerines rouge foncés, et je me brossais simplement les cheveux en les laissant détacher. Quand je sortis de la salle de bain, j’eus le droit à un sourire de ma fille, et mon fils qui sifflait comme son père. Je croisais Ron qui me fit une petite réflexion. « Tu es belle mon amour, ça change » . Bon je l’avais bien cherché, il fallait le dire. Le temps que tout le monde se préparait, il était déjà passait dix heures, il fallait se mettre en route pour aller chez Harry et Ginevra. Mais avant de partir, je filais dans la cuisine prendre les baguettes, j’aimais les avoir sur moi, juste au cas où. Les enfants s’installaient dans la voiture, Ron au volant. Nous prîmes la route direction Londres. Avec les embouteillages qui avaient fait soupirer Ron plus d’une fois, et qui nous disait que prendre la voiture volante aurait été plus rapide, je tachais de lui rappeler comment était la dernière voiture volante qu’il avait pris avec Harry. On se gara sans difficulté devant chez Mr & Miss Potter. « Les enfants doucement… Attendez nous ! » « Laisse-les Hermione, ils sont content de voir leurs cousins et cousine c’est normal. » J’avais envie de répliquer qu’il y avait tout de même la route, que c’était dangereux, mais je le laissais dire. Hugo sautait pour sonner à la porte. Le couple nous ouvrait la porte, j’étais contente de voir ma belle famille, cela faisait un moment que nous nous n’étions pas vu. Je faisais la bise à toute la famille Potter et pris mes neveux dans mes bras, même un cours instant. Un peu plus tard, on s’installa à table, c’était dingue ce que les enfants obéissaient plus quand il était chez les autres. Surtout chez tante Ginevra. Ginny envoya le petit Albus cherchait les cocas pour mettre à table. En m’adressant à Rose & Hugo « Pas trop de coca les enfants, une canette c’est tout ! ». A peine avas-je fini que j’entendais Ron soupirait à côté de moi encore, et encore je ne le regardais pas, j’étais presque sur qu’il levait les yeux au ciel. «Merci, tu es très belle aussi Ginny.» revenais-je à ma belle sœur. Quand elle-même s’adressa à mon époux, je ne pus m’empêchais de rire. « Et toi tu as encore quelques kilos de ta grossesse ma sœur ! La famille va bien, ils sont contents de voir leurs petits enfants … » « Comme s’ils n’en avaient pas assez d’un père fou. » complétais-je en rigolant. « Et toi alors Ginny quoi de beau dans la Gazette du Sorciers ? ». J’entendis Ron à côté, qui parlait discrètement à Harry. « Ah ces femmes, adepte des ragots… Et chez les Aurors Harry, il y a du mouvement ? » « Et à part ça, c’est moi qui aime les potins .. » répliquais-je aussitôt tout doucement dans l’oreille de mon amour. Ils travaillaient ensemble, donc c'était juste à titre de renseignement, mais il n'y avait que quand il était avec Harry que je l'entendais parler travail. A la maison, je n'étais au courant de rien, comme je ne lui parlais pas beaucoup du travail non plus. Je jetais alors un coup d’œil aux enfants qui parlaient avec leurs cousins, cousines calmement.
Code du règlement :
Spoiler:
ok by Dylan
Dernière édition par Lana Z. Acciaro le Sam 1 Oct - 15:46, édité 3 fois
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Sujet: Re: The edge of Lana ♣ Hilary Burton Mar 2 Aoû - 2:05
Une nouvelle italienne. De Florence en plus!! **
Bienvenue & bon courage pour ta fiche!!
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: The edge of Lana ♣ Hilary Burton Mar 2 Aoû - 2:14
Hihi toi bienvenue parmi nous et bon courage pour ta fiche
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Sujet: Re: The edge of Lana ♣ Hilary Burton Mar 2 Aoû - 4:19
Ouii Florence, la plus belle ville qui m'ait été donner de voir jusqu'à aujourd'hui, je me devais de lui faire honneur
Hihi toi
Merci les filles
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: The edge of Lana ♣ Hilary Burton Mar 2 Aoû - 5:28
Bienvenue parmi nous !
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: The edge of Lana ♣ Hilary Burton Mar 2 Aoû - 11:29
Bienvenue sur nycl
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: The edge of Lana ♣ Hilary Burton Mar 2 Aoû - 13:02
Noe elle nous ramène du moooooonde !! Et que des bombes en plus
Parce que Hilarie
bref bienvenue
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: The edge of Lana ♣ Hilary Burton Mar 2 Aoû - 13:05
Encore une blonde Hilary
Bienvenue
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: The edge of Lana ♣ Hilary Burton Mar 2 Aoû - 13:06
Merci tout le monde
Je pourrai dire pareil avec Ashton un pur fantasme ce mec *_*
Les blondes auront le pouvoir
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: The edge of Lana ♣ Hilary Burton Mar 2 Aoû - 13:14
Lana Z. Acciaro a écrit:
Ouii Florence, la plus belle ville qui m'ait été donner de voir jusqu'à aujourd'hui, je me devais de lui faire honneur
Mais +1000, cette ville est juste wow!
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: The edge of Lana ♣ Hilary Burton Mar 2 Aoû - 13:17
Johnathan S. Norton a écrit:
Noe elle nous ramène du moooooonde !! Et que des bombes en plus
Voui j'amène mes coupines
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: The edge of Lana ♣ Hilary Burton Mar 2 Aoû - 13:53
bienvenue à NY
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: The edge of Lana ♣ Hilary Burton Mar 2 Aoû - 15:12
Merci
Fiche fini
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: The edge of Lana ♣ Hilary Burton Mar 2 Aoû - 15:36
bienvenue J'edit ton code qui est bon & si ta fiche est terminée merci de poster ici.
Mackenzie J. Howard
Empire State of Mind
i love the ring of your name you're the yin to my yang
▌INSCRIT LE : 01/07/2010
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▌ADRESSE : 6812 Beverley Road #104, Brooklyn. avec l'amour de sa vie.
Sujet: Re: The edge of Lana ♣ Hilary Burton Mar 2 Aoû - 17:09
J'aime tellement pas Burton Mais bienvenue quand même ^^
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Sujet: Re: The edge of Lana ♣ Hilary Burton Mar 2 Aoû - 18:13
J'aime beaucoup ta façon d'écrire. Tout est en ordre, je te pré valide donc. Un administrateur devrait prochainement te valider. Bienvenue sur NYCL et bon jeu parmi nous.
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: The edge of Lana ♣ Hilary Burton Mar 2 Aoû - 18:17
Bienvenue sur nycl.
Mackenzie J. Howard
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Sujet: Re: The edge of Lana ♣ Hilary Burton Mar 2 Aoû - 18:38
Validée !
Un système d'intégration est mis en place sur le forum sous forme de flood d'intégration, mélangeant anciens et nouveaux membres, n'hésite pas à t'y inscrire ! N'oublie pas de compléter ta fiche personnage, ton profil et de faire toutes les demandes nécessaire. Si tu as la moindre question ou problème, tu peux bien sur contacter un membre du staff par MP. Et puis tu peux bien sur voter toutes les deux heures pour aider le forum en cliquant sur la petite poire (a)
Have Fun !
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Sujet: Re: The edge of Lana ♣ Hilary Burton Mer 3 Aoû - 12:20
HILARIE Bienvenue sur NYCL
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: The edge of Lana ♣ Hilary Burton Mer 3 Aoû - 13:40
Merci tout le monde
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Sujet: Re: The edge of Lana ♣ Hilary Burton
The edge of Lana ♣ Hilary Burton
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