Sujet: Salvador Ϟ Mon destin ne m'appartenait pas. Dim 14 Aoû - 0:28
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Age: Date de naissance: Lieu de naissance: Métier/Etude:
J'appartiens au groupe des Rebels
Personnage:Poste VacantScénarioInventé
"Se pencher sur son passé, c\'est risquer de tomber dans l\'oubli." Coluche
Signe(s) Particulier(s)
Aucun.
Orientation Sexuelle
Heterosexuel
Salvador Adam Bishop
Physique & Caractère
Apparence & Style: Salvador est un jeune homme plutôt élancé, de grande taille et de corpulence moyenne. Ce n’est pas pour autant qu’il passe inaperçu dans une foule humaine. En effet, ses cheveux d’un blond très pâle, facilite nettement la chose. Parfois, il les garde long, et puis du jour au lendemain, il décide de les couper à la brosse. Courts, des reflets bruns apparaissent parfois. Elevé en Californie, il a baigné dans le soleil depuis sa tendre enfance, le jeune homme a pourtant la peau blanche malgré les nombreuses heures passées au soleil. Manuel, ses grandes mains sont fortes mais un peu abimées à force de travailler le bois, mais qu’importe, son métier est une vocation et ne l’échangerait pour rien au monde. Comme tout californien qui se respecte, Salvador a structuré sa taille en allant sur les plages de Californie, un surf sous la main, prenant les plus belles vagues du monde. Rapidement, le surf devient son sport favori et, à seize ans, il était devenu un as des vagues.
Au niveau vestimentaire, le jeune homme était un adepte des tenues typiques de la côté ouest. Souvent sur la plage, durant son adolescence, il vivait en tongs, short et bien souvent torse nu, un simple collier autour du cou. En grandissant, il a nettement moins passé de temps habillé comme cela, étant trainé beaucoup plus loin de la côte toujours en Californie. Adepte de la simplicité, Salvator portait souvent des jeans et des tee shirt en toute simplicité. En somme, tant que le blondinet a vécu sous le soleil californien, la simplicité à guider sa garde robe. Mais une fois arrivé à New York, la vie vestimentaire de Monsieur Bishop est devenue beaucoup plus sérieuse et ornée de nombreux costumes pour côtoyer le monde de l’Upper East Side, et se fondre dans la masse.
La seule chose qui relie le californien d’avant et le californien de maintenant, c’est son parfum. Toujours le même, naturel. Fruité et discret contrairement à ce que l’on pourrait penser. Sa voix est seulement marquée par son accent de la côté ouest. En quelques mots, Salvator est un homme qui se veut simple mais qui va devoir se compliquer un peu pour entrer dans un monde qu’il ne connait pas, et qu’il n’appréciera pas.
Caractère: Calme, Salvador ne se met jamais en colère. Et pourtant la vie n’a pas fait de cadeaux au californien. Malgré cela, il garde son sang froid face à toutes les situations possibles. Que ce soit en amour, au travail ou bien même en amitié, il ne s’emporte jamais. Réfléchi, il est évident que l’homme calme qui l’est ne fait jamais rien au hasard. En faite, il croit au hasard, lui laisse la possibilité d’intervenir à chaque fois qu’il est possible, mais ça ne l’empêche pas de faire attention à chacune de ses décisions importantes. Même si au final, il prend toutes ses décisions à l’instinct, cela n’empêche pas l’ébéniste d’avoir réfléchi à toutes les possibilités. Pacifique, il est de ceux qui ne trouvent aucun intérêt dans une guerre. Il sait, mieux que personne, que c’est la nature qui décide au final de la destiné des hommes. Après tout, seuls les arbres ont connus à la fois les dinosaures et les humains. Investi, il ne fait jamais rien à moitié. A près tout, cela ne sert à rien de faire les choses à moitié. Le jeune homme a compris que les regrets ne servent pas à avancer. Alors, afin de ne pas en avoir, il fait tout au maximum, engageant toutes les parties de lui-même et conciliant toutes ces facettes de la personnalité. Drôle, le californien n’a jamais aimé les gens qui n’ont jamais le sourire. Lui, l’a éternellement. Et quand il ne l’a pas, il l’aura bientôt. Souriant, il croque la vie à pleine dents, allant jusqu’à faire des expériences jusqu’à l’extrême. Se jouant de la vie et du destin comme la vie s’est joué de lui alors qu’il n’était encore qu’un adolescent. Généreux, Monsieur Bishop n’a pas de fortune sur son compte en banque, il vit dans la classe moyenne et dès qu’il a une rentrée d’argent, cela va directement dans des cadeaux pour les personnes qui lui sont proches, que ce soit directement ou indirectement. Fou, même si Salvador est au courant, mieux que personne des décisions qu’il prend, il lui arrive de prendre des risques alors que tout indique une issue fatale, à commencer par le fait qu’il aime consommer de la drogue sous toutes ses formes, faire du saut en parachute, ainsi que des chutes libres. Sa dernière lubie en tête : traverser les Etats Unis en stop pour retourner en Californie. Enfin tout cela ne pourra être fait que lorsqu’il aura résolu le pourquoi il est venu à New York.
Behind the computer
Prénom:Marie Âge : 19 ans. Avatar choisi : Ryan Kwanter Comment as-tu connu ce forum ? : Top site, il me semble. Ton avis (design, contexte, ...) : Vos modos sont trop hot. Présence sur le forum : J7 H24? Autre(s) compte(s) : Ouais, un aveugle, un futur papa Exemple de RP :
Spoiler:
Bienvenue dans un monde où aucun être humain n’est capable de survivre sans y laisser des plumes. Ce monde n’est autre que l’appartement des deux jeunes étudiantes qu’étaient Heaven et Burberry, les seules femmes au monde qui n’avaient rien en commun et qui vivaient ensemble par la force des choses. Jeff n’aurait pu ne rien à voir avec ce monde si seulement la brune n’étaient pas une amie d’enfance et si la blonde n’étaient pas l’ancienne éhontée de petite amie de son meilleur ami. En se rendant dans l’appartement, il n’aurait jamais pensé se faire gifler et griffer et pourtant cela s’était produit. Léger frisson de rage qui court le long de sa colonne quand il voit la colocataire d’Heaven partir de la cuisine. Si seulement, il avait eu le cran de la retenir, de lui dire ses quatre vérités, il se serait nettement senti plus à l’aise, et n’aurait plus l’impression d’être une cocote minute sous un feu énorme. Sa mâchoire est serrée, il ne prononce pas un mot alors qu’il se charge de rage. La dernière fois qu’il s’était autant énervé autant d’une personne, c’était Enzo, l’ancien mari de Savannah. Et heureusement, il avait disparu de la surface de la terre, à sa connaissance. Il sort sur les talons de la vilaine, le visage fermé, incapable de faire sortir le moindre mot, il lance un regard noir au dos de la jeune blonde. Par chance, ou pas, Heaven vient à leur rencontre, et la seule chose dont Jeff peut être capable de lui répondre pour le moment, c’est de regarder son amie avec ses yeux ronds.
En un simple regard, il lui fait part de toute l’amertume qu’il ressent vis-à-vis de sa colocataire. S’il pouvait parler en cet instant, il dirait tout simplement qu’il avait des envies de meurtres. S’il n’y avait pas Andrea, et Sully qu’il ne connaissait pas, il ouvrirait la fenêtre et la pousserait de toutes se forces afin qu’elle s’écrase comme une fiente d’oiseau sur les voitures garées plus bas. Psychologiquement, il se devait de ne pas regarder l’italienne, il avait la sensation que s’il le faisait, il ne se contiendrait pas une seconde de plus. Et honnêtement, son niveau de contenance était jusque là on ne peut plus admirable. Le regard pourtant cristallin de l’anglais reste très sombre quand il s’approche de sa compatriote. De là où il est il voit que le fauteuil sur lequel quelques minutes plutôt se trouvait Sully est à présent vide. Un léger arquement de sourcil, il s’est tout simplement volatilisé. Trop agacé et frappé dans sa fierté, il n’aura pas entendu le jeune homme s’excuser et partir. Mais puisqu’il n’était pas là, à présent, Jeff avait bien envie de la massacrer, de l’éventrer et de la faire disparaitre dans un bidon d’acide avant de la jeter en pâture dans un marécage de Floride. C’était si tentant, et puis ce n’était pas Heaven qui allait s’en plaindre, si ? Jeff, les dents toujours soudés vient à se pencher près de l’oreille de son amie, pour lui faire un bref résumé sur ce qui vient de se produire dans la cuisine.
« Entre nous, j’ai jamais eu autant envie de tuer une personne que le truc avec qui tu vis. Je te préviens, à la moindre attaque directe de sa part, je ne réponds plus de mes actes. »
Le fait de l’avoir dit à haute voix l’avait clairement calmé, mais il était évident que la moutarde ne le quitterait pas avant quelques jours. Même si sa mâchoire s’est un peu détendue, il est évident que ses dents grincent. Lui avait décidé de rester totalement indifférent au retour de la jeune femme, il allait à présent lui renvoyer chaque balle et en plein figure s’il vous plait. Cette femme n’était que le diable incarné. La seule chose qu’elle avait pour elle, c’était son physique et encore, elle était quand même quelconque cette fille quand on regardait de près. Donc en faite, après rectifications, la seule chose qu’elle a de bien dans sa vie, c’est Andrea. Non, double rectifications : c’était Andrea. Elle n’avait simplement rien, plus rien, absolument rien. Et avec son caractère de merde, on pouvait comprendre. Histoire de ne pas avoir des nouvelles poussées de meurtres, il se contente de rester derrière Heaven. Seule rempart entre les deux ennemis du jour. Pour une fois depuis bien longtemps, Jeff ressentait encore plus d’amertumes à son égard qu’Heaven. En faite, son amie avait du mérite. Avançant dans le couloir pour rester le plus loin possible de Burberry. A sa petite réflexion, un sourire vient enfin retrouver le visage de l’anglais. Et bien, au moins il allait la soutenir. Alors qu’il regarde un tableau ou plutôt une photographie de paysage accroché au mur, il lance assez fort dans l’appartement.
« Heaven, tu pourras m’expliquer pourquoi ta chose reste avec nous. Je veux bien supporter tes félins et leur griffe. Mais les pseudo tigresse aux ongles façon prostituée en solde, j’ai un peu de mal. Tu m’excuseras mais je suis venu te voir, pas faire une visite du zoo. »
Et alors qu’il parle, l’européen, vicieux, se rapproche du lieu où se trouve les deux habitantes de l’appartement rien que pour voir le visage de cette femme qu’il dénigre pour le moment se décomposer alors qu’il lui renvoie la balle encore et encore. Le décompte des points se fera facilement. Heaven et Jeff sont ensemble, elle est seule. L’issue lui sera donc fatale et Jeff, frappé dans son égo et surtout dans sa fierté masculine, avait une particulière envie de le faire.
« D’ailleurs, Heavy, tu m’as toujours pas dit pourquoi tu voulais me voir. Si c’était pour que je trouve un petit ami à ta colocataire, sache que tu ferais mieux de lui acheter un sextoy. »
Code du règlement :
Spoiler:
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Dernière édition par Salvador A. Bishop le Ven 26 Aoû - 12:46, édité 8 fois
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Salvador Ϟ Mon destin ne m'appartenait pas. Dim 14 Aoû - 0:28
L'histoire
Acte I : Une autre vie. La vie de Salvador aurait pu commencer à sa naissance. Son père était un grand avocat de la côte Ouest, et sa mère une suédoise expatriée aux Etats Unis pour jouer les mannequins sur les plages de la Californie. De cet union doré est né deux enfants : un garçon prénommé Salvador, parce que les prénoms exotiques plaisaient à la jeune Madame Bishop, et une demoiselle Kjerstin, pour montrer à tous les origines suédoises de cette famille. Mais, clairement, autant de têtes blondes prouvaient qu’ils n’étaient pas tous des californiens purs souches. Ce portrait de famille pouvait être parfait, si des histoires de famille ne s’y mêlaient pas. En effet, certaines mauvaises langues ont eu des doutes sur la paternité des enfants. D’autres, sur le réel compte en banque des Bishop. Certains sur le sexe de la mère, mais cette dernière n’était fondé que sur de la jalousie. Mais cette vie là n’est pas vraiment celle que Salvador a vécue. Bien au contraire.
Il avait dix ans, et ses parents et sa sœur sont mort dans un accident d’avion, pendant que lui était resté à la maison, avec la gouvernante parce qu’il avait la varicelle.
Acte II : Encore une autre vie.
Salvador se retrouva donc a dix ans, seul héritier de la petite fortune des Bishop. Mais, il avait perdu sa famille. Et à 10 ans, on ne peut pas être émancipé. De ce faite, puisque la communauté du droit avait été ébranlé par le décès d’un de ces imminents avocat, on décidé de tout faire, pour que le jeune Bishop est une vie digne de celle que ses parents lui destinait. Raté. Une fois sa varicelle guérit, il quitta le conté de Santa Clara, pour Walnut Creek, toujours en Californie, dans une famille d’accueil qui avait soit disant une très bonne réputation.
Raté. Même si la vie n’était pas noir. Sa vie n’était pas aussi amusante qu’à San Jose. Et puis, la plage était loin, trop loin pour se permettre d’aller surfer sur les vagues. Et puis, cette maison, bien grande, était comme un moulin, des personnes venaient, restaient, et partaient. Alors que lui, quoi qu’il arrivait, restait là. Des nombreuses personnes à qui il s’attachait, à qui il parlait, à qui il se confiait. Et à chaque fois, elles partaient avec une petite partie de lui.
Alors qu’on aurait pu croire, qu’il aurait pu s’endurcir en comprenant que les gens viennent, vous aiment, et partent, le jeune blondinet a décidé de développer une tout autre optique de vie : profiter de chaque instant, comme si demain, un avion pouvait tout vous enlever. Ce train de vie, Salvador va l’avoir pendant presque six longues années, où il va faire des rencontres en tout genre, des plus formidables, mais aussi des moins agréables. Sa vie n’est déjà plus la même, mais elle va encore changer. On s’en doutera, mais lui ne savait pas encore à quel point. A cette époque là, il était encore loin de savoir que le mois de décembre 2001 marquerait la fin de sa vie.
Acte III : C’est pas l’homme qui prend la mer, c’est la mer qui prend l’homme.
Cette chanson d’un chanteur assez particulier il faut l’avouer ne peut pas trouver meilleur illustration que la vie de Salvador. Cette toute nouvelle vie qu’il n’avait à peine vue arrivé.
Nous étions en fin d’année 2001, et dans la grande école qu’avait exigé le juge lors de sa mise en place dans cette famille d’accueil, était organisé un voyage de fin d’année au prix exorbitant, mais censé rapprocher ces jeunes enfants riches, d’un pays beaucoup plus pauvre : la Thaïlande. En réalité, cela n’était qu’une excuse pour qu’ils puissent aller passer Noël à se dorer la pilule. Un mois entier à faire ce qu’ils voulaient, comme ils le voulaient sans qu’aucun professeur ne donne réellement d’ordre. Il était évident qu’un troupeau d’adolescent en profiterait à fond. Alcool, sexe, drogue, tout avait été testé et approuvé par ces jeunes. Et plutôt deux fois qu’une. En moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, Salvador qui trainait les pieds à vivre dans ce monde dorée en dehors de la maison, s’est dit qu’il y avait plutôt du bon à avoir de l’argent. Il avait un mois pour profiter à fond de sa vie et de faire ce qu’il voulait, comme il le voulait.
Du moins, c’est ce qu’il pensait …
Il se souvient très bien de ce matin. Pour une fois, il avait décidé de ne par surfer. Bien trop occupé à tourner autour d’une de ses camarades de classe à la poitrine déjà refaite, mais tellement tentante. Il était allongé sur sa serviette, les mains baladeuses sur le corps de l’adolescente qui se trouvait à côté d’elle. Charmeur, il s’amusait à faire courir ses doigts sur le corps de la jeune femme, en jouant avec les limites de son maillot de bain, déjà bien ridiculement petit pour une jeune demoiselle de son âge. Sourire aux lèvres, trouvant que le vent se levait un peu trop, et mademoiselle trop frileuse avait demandé à repasser par l’hôtel. L’hôtel, à neuf cents mètres des côtes, les deux jeunes lycéens main dans la main, s’amusait à se taquiner gentiment, se charmer encore et encore. Il était loin de s’imaginer que plus loin, tous leur camarade de classe, commençait à paniquer en voyant une vague immense s’avancer vers eux, ne sachant pas s’il fallait courir ou bien rester là et attendre. Certains ont couru, d’autres ont criés. C’est à ce moment là que le couple de pacotille, comprit que c’était la fin du monde, ou un truc bien catastrophique. Et alors qu’on aurait pu croire que pensant que c’était la fin du monde, et qu’ils allaient en profiter pour s’embrasser en attendant la mort, les deux prirent la fuite, chacun de leur côté. Salvador, courant plus vite s’est réfugié, naïvement dans un arbre, grimpant le plus haut possible, observant la vague arrivée, trop vite. Pas le temps de dire quoi que ce soit, qu’il vit son amie être projetée violemment contre ce dit arbre. Il a tendu la main, puis a été submergé, des mètres cubes d'eau au dessus de lui.
Fin de vie.
Acte IV : Et après ?
La suite, Salvador ne sait pas trop ce qu’il s’est passé, il s’est retrouvé loin, bien loin, l’esprit on ne peut plus vaseux, ayant perdu toute connexion avec la réalité. Et tant mieux, car cette réalité n’était que chaos et désastre. Rien, il ne restait rien, que les décombres d’anciennes vies. Blessé, à deux doigts de la mort, il ne comprit que quelques longues journées plus tard ce qui lui était arrivé. En voulant rattraper son amie, il avait compris horrifié qu’elle s’était fracassée la tête. Surpris, il avait lâché prise à ce grand arbre et s’était laissé emporter par la vague. A ce moment là, il aurait pu être évident que c’était la fin. Mais un thaïlandais, juché sur les hauteurs d’un hôtel avait réussi à rattraper le blondinet. La suite, il ne l’a jamais comprise, il n’a fait qu’imaginer que les secours sont arrivés après de longues heures ou plutôt journée d’attente. Et pourtant, il s’en était sorti sain et sauf. Enfin, quelques blessures assez grave mais rien comparé à toute sa promotion qui a périt ce jour là. Personne ne s’en est sorti excepter lui.
Acte V : La suite.
De retour aux Etats Unis, la vie de Salvador n’a pas forcement changé. Il était retourné dans sa Californie natale. Ayant besoin d’indépendance, ses parents adoptifs, lui rendirent les accès à son argent quelques jours avant ses vingt et un ans. Du coup, le jeune homme est retourné aux sources en partant vivre sur la côte. Un petit appartement qui coûte assez cher, mais qui avait un accès direct à la plage. Avec sa planche de surf, il s’est rapidement remis en cause avec l’eau. Et a décidé d’en faire son élément. A cet âge là, on ne devient pas un professionnel mais on peut largement devenir doué dans sa passion. Bien dans l’eau, il a oublié le monde qui l’entourait. Avec le déménagement, il a perdu la plupart de ses amis. Du coup, c’est Salvy, son appartement, sa planche et son bord de mer. Pour la première fois depuis bien longtemps, il savait qu’il vivait une vie de rêve, et qu’il n’avait besoin de rien d’autre pour vivre.
Ce petit manège dura presque deux ans. Il n’avait besoin de rien d’autre. Lui et la nature, c’était tout, et c’était bien. Sauf que des promoteurs immobiliers, de gros sous, comme il les appelle, on décidé de racheter toute une partie de la côte, et évidement, l’immeuble dans lequel habitait Salvador n’y a pas échappé. Déçu, il se décida à retrouver un autre coin de Paradis. Bien sur la galère commençait, et toutes les maisons qu’il voulait acheter nécessitaient qu’il ait un emploi. Problème de taille, il ne savait pas quoi faire de sa vie, n’avait jamais travaillé, et il était certain de ne pas vouloir devenir comme ses parents biologiques, et devenir famille d’accueil nécessitait d’être une famille. Et à lui seul, il n’en n’était clairement pas une. Coupé des relations humaines depuis bien trop longtemps, il décide d’y remédier.
Salvador a 21 ans, et va faire de tour des Etats Unis pendant cinq longues années jusqu’à arriver à Atlantic City.
Dernière édition par Salvador A. Bishop le Ven 26 Aoû - 12:17, édité 3 fois
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Salvador Ϟ Mon destin ne m'appartenait pas. Dim 14 Aoû - 0:30
Un aveugle, un Anglais, et maintenant un blond... Où va le monde ? Rebienvenue parmi nous Papounetmaman
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Salvador Ϟ Mon destin ne m'appartenait pas. Dim 14 Aoû - 0:31
oh yeah bon courage pour ta fiche
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Salvador Ϟ Mon destin ne m'appartenait pas. Dim 14 Aoû - 0:32
Re-Bienvenue
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Salvador Ϟ Mon destin ne m'appartenait pas. Dim 14 Aoû - 0:34
Ah ben re-bienvenue Il nage tu lui? (quelle belle phrase syntaxique )
haha!
(Le pire, c'est que je me trouve drôle... )
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Salvador Ϟ Mon destin ne m'appartenait pas. Dim 14 Aoû - 1:51
:savy:
Est-ce que tu pourrais indiquer le nom de ta célébrité en dessous du titre stp?
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Salvador Ϟ Mon destin ne m'appartenait pas. Dim 14 Aoû - 2:06
Cafard, tu pues.
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Salvador Ϟ Mon destin ne m'appartenait pas. Dim 14 Aoû - 2:18
Arrête je sais que tu aimes mon exemple de RP.
Fait Maya. D'ailleurs, je comprend quand les gens disent que ça saute cette connerie d'avatar
Noël, celui là, surfe sur l'eau il plonge pas dedans.
& merci aux trois plus belles de ce forum
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Salvador Ϟ Mon destin ne m'appartenait pas. Dim 14 Aoû - 3:21
Bienvenu
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Salvador Ϟ Mon destin ne m'appartenait pas. Dim 14 Aoû - 12:52
Graouh Re bienvenue :10:
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Salvador Ϟ Mon destin ne m'appartenait pas. Dim 14 Aoû - 13:16
Maya L. Fabregas a écrit:
Est-ce que tu pourrais indiquer le nom de ta célébrité en dessous du titre stp?
comment tu crains
:hope: Comme Jilly, te souhaiter la bienvenue ne sert pas à grand chose, t'es chez toi après tout
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Salvador Ϟ Mon destin ne m'appartenait pas. Dim 14 Aoû - 13:31
Graaaaaaaaouuh Te souhaiter re bienvenue serait inutile t'es a la maison ici
Mackenzie J. Howard
Empire State of Mind
i love the ring of your name you're the yin to my yang
▌INSCRIT LE : 01/07/2010
▌MESSAGES : 20301
▌AGE DU PERSO : 23
▌ADRESSE : 6812 Beverley Road #104, Brooklyn. avec l'amour de sa vie.