CAMERON ϟ " All the riches don't bring what your love can bring "
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Sujet: CAMERON ϟ " All the riches don't bring what your love can bring " Mer 30 Nov - 0:12
FEAT. JOSHUA BOWMAN
Cameron Michael Kennedy
24 ans → Né(e) à New York City le 15/06/1984 → PDG Kennedy Enterprise célibataire → hétérosexuel → membre des PLAYBOYS.
And who am i ?
★Quels sont tes caractéristiques?
→ Loin d'être le plus bel homme du monde, Cameron ne se considère pas comme tel. Il a beau avoir de nombreuses ressources, il se contente de très peu. Loin de se trimballer en costard trois pièces tous les jours, il préfère les bons vieux jeans et leurs collègues les t-shirts. D'ailleurs sous ses t-shirts se cache une phrase, « once upon a time » tatouée verticalement sur le flan droit de son torse. Une petite phrase pour se souvenir que si les histoires ont un début, elles ont aussi une fin. Côté corpulence, Cameron n'a rien d'une armoire à glace. Il se contente encore une fois du minimum. De son éducation, il garde une politesse à toute épreuve. Courtois et respectueux il ne fait jamais un pas de travers ce qui lui donne un air coincé.
★Quel est le caractère de ton personnage?
→ Victime de préjugé, Cameron est catalogué comme étant instable, colérique et surtout coureur de jupons. Tous ceux qui lisent la presse se plaisent à dire qu'il ne faut pas lui faire confiance. Mais cela fait bien longtemps que Cameron n’est plus comme ça. La drogue et l'alcool derrières lui, il est redevenu ce qu'il a toujours été : un garçon simple qui se satisfait du nécessaire. Il a beau avoir de l'argent, il ne s'en sert que rarement et ne l'étale pas aux yeux des autres. Drôle, et bon vivant il aime s'amuser et profite de chaque instant. Et contrairement à ce qu'aime dire certaines filles, Cameron n'est pas à l'aise avec le sexe. A cause de ses expériences passées, mais aussi le fait que le sexe soit dangereux pour certains ex-drogués qui peuvent facilement en devenir accro. Avec les efforts que Cameron a fait pour ce sortir de là, il n'est pas près à se replonger. Et puis faut dire qu'il n'est plus très à l'aise avec la gent féminine. Elevé comme un parfait fils à maman, Cameron est habitué aux soirées mondaines… Soirées qu'il n'aime pas particulièrement d’ailleurs. Fêtard oui, mais beaucoup moins qu’avant, Cameron ne sort plus beaucoup en club. Méfiant et susceptible, il s'emporte vite. Mais depuis qu'il est à New York, il essaie de se contrôler, il sait très bien que la presse est derrière lui quoiqu’il dise et quoiqu’il fasse et n'a pas envie de redevenir la cible préférée des tabloïdes New Yorkais. Jeunes, beau et riche, Cameron attire souvent les jalousies, mais pour lui tout cela ne veut rien dire. Il a beau être tout ça, sa vie reste un calvaire. Très lié à sa famille, il est prêt à tout pour eux quitte à revenir à New York qui est de loin, la ville qu’il déteste le plus.
my little secret
★ Ton pseudo & ton age → MadnessK ~20ans. ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → TopSite Obsession. ★Ce personnage est-il un double compte ? → Non. ★Présence sur le forum → 3/7 Jrs. ★Personnage inventé ou scénario ? → Inventé.
Mon exemple de RolePlay:
Voilà plusieurs heures que la nuit était tombée sur la ville de New-York. Ce soir-là on était le trois mars, et comme chaque premier jeudi du mois, Joshua avait pris sa soirée. Soirée qu’il consacrait, normalement, à ses meilleurs amis. Mais ce soir était un peu particulier étant donné que Gabrielle n’était pas libre et qu’Alexander devait retrouver on ne sait pas trop qui, on ne sait pas trop où. Du coup, Joshua s’était rabattu sur sa voisine et amie, Hope. Ensemble, ils avaient prévu d’aller dans n’importe quel club branché de Manhattan et de se mettre une mine d’enfer. Et qui dit alcool, dit gueule de bois, mais qui dit alcool, dit aussi rencontre. Voilà plusieurs mois que Joshua était célibataire. Olivia était passée à autre chose, elle, alors pourquoi pas lui ? Sans parler de Sephora qui ne donnait plus de nouvelles depuis la Saint-Valentin. C’était décidé, ce soir Joshua ne rentrerait pas seul. Il avait beau être romantique et tout ça, il restait un homme. Et un homme a des besoins, enfin, il parait. Serrant une toute dernière fois sa cravate de soie noire, Joshua se plaça devant son armoire qui faisait aussi office de miroir. Sous sa cravate, une chemise noire des plus classiques faisaient ressortir les quelques exercices matinaux qu’il s’était imposé. Fier de lui, Joshua enfila un jean troué au niveau du genou droit et de l’arrière de la cuisse gauche. Avec le froid qu’il faisait dehors, il allait surement se les geler, mais le style passait avant le bien être. Enfilant des converses noires, Joshua lança un coup d’œil à sa montre. Il était pile à l’heure.
Il attrapa son blackberry posé sur sa table de chevet avant d’envoyer un texto à Hope pour savoir si elle était fin prête. Une fois fait, il plaça son téléphone dans la poche avant de son jean et son portefeuille dans la poche arrière. Joshua avait beau ne pas être bien riche, – surtout depuis l’achat de sa nouvelle voiture – il ne faisait pas confiance à ceux qui travaillaient dans les vestiaires des night-clubs. Lui-même serait tenté par le vol dans une telle situation ! Une fois tout en place, Joshua se mit à la recherche de ses clés de voiture toujours fourrées dans un de ses jeans sales. Une fois les clefs trouvées, il les garda en main et se dirigea une toute dernière fois vers le miroir. Ses cheveux se faisaient longs, mais coiffé comme il était, il était persuader qu’il ferait fureur. Éteignant la lumière de sa chambre, Joshua se rendit vers la cuisine qui se voulait toujours aussi vide. Là-bas il attrapa ce qu’il restait de son beguel. Il sortit finalement de son appart en avalant le reste de son beguel et en fermant la porte à clef derrière lui. Une fois dans le couloir il se dirigea vers l’appart de Hope avant de frapper à la porte, toujours le beguel en bouche. Avec l’arrière gout de dentifrice qu’il avait dans la bouche, ce truc était dégueulasse.
On va où au final ? Lança-t-il finalement quand Hope fut sortie de son appartement, toute pomponnée. Souriante, la jeune fille se contenta de lui répondre « tu verras » et les deux jeunes gens se dirigèrent finalement vers l’ascenseur. A l’intérieur de celui-ci, Joshua lui posa une multitude de question sur le club et sur les potentielles filles qui pourraient s’y trouver. Elle ne répondit pas et se contenta de sourire. Une fois dehors, ils se dirigèrent vers la toute nouvelle Chevrolet Cruze de Joshua. Tu vas bien être obligée de me dire où on va maintenant vu que c’est moi qui conduit. Dit-il une fois arrivé devant la portière de sa voiture grise métallisée. Une nouvelle fois sans un mot, Hope monta dans la voiture, attacha sa ceinture attendant que Joshua en fasse de même. Une fois fait, elle lui dit de se diriger vers Chelsea, un quartier de Manhattan. Perplexe, Joshua s’exécuta, mettant le contact. Je croyais qu’on devait être que tout les deux ce soir ? Demanda-t-il finalement une fois sur le pont qui relié Brooklyn à Manhattan. Chelsea était un quartier réputé pour sa population gay… et comme Hope n’était pas lesbienne, Joshua se doutait qu’ils allaient surement chercher quelqu’un. Peut-être un ami qui sait ?
Suivant la direction qu’Hope lui indiquait, Joshua se retrouva finalement devant un club assez spécial appelé le Splash Bar. Devant l’entrée, une multitude de mecs semblaient faire la queue et s’il y avait bien des filles ici et là, Joshua se doutait bien que le nombre de mecs hétéros dans ce club devait frôler le zéro. Tournant le contact vers la gauche, Joshua relâcha la pédale de frein pour finalement détacher sa ceinture. Il n’avait rien contre les homosexuels, il en avait déjà embrassé pour le fun et devait bien avouer qu’ils s’habillaient bien mieux qu’il ne le ferait jamais… mais de là à se frotter à eux… non merci. Juste au cas où Hope… tu sais que je ne suis pas gay hein ? Une nouvelle fois pas de réponse, juste un sourire. Elle avait tendance à le mettre dans des situations pas possible et fallait toujours qu’il se laisse faire… Je te préviens, s’il y en a un seul qui me touche, ça va mal aller. Dit-il finalement avant de sortir de la voiture, suivi de près par son amie.
Devant les portes du club, Joshua et Hope croisèrent un videur assez imposant tatoué de la tête aux pieds. Ce gars est vraiment gay ? Demanda-t-il finalement à Hope, une fois entré dans le club. Mais si Hope prit la peine de répondre, Joshua ne l’entendit pas. Il était beaucoup trop choqué par ce qu’il se passait sous ses yeux. Une multitude de mecs, tous à moitié nus se frottaient les uns contre les autres… Cette soirée promettait d’être longue. Toujours collé à Hope qui tentait de leur frayer un chemin au milieu de la foule, Joshua ne put s’empêcher de remarquer les regards que certains mecs lui lançaient. Si certains semblés intéressés, d’autres semblaient le voir comme un intrus qui n’avait aucune raison d’être là. Un peu comme s’il était passé de l’autre côté du miroir… le pire c’était que beaucoup d’entre eux étaient élèves à Fordham. Vive les soirées étudiantes, demain à la première heure, la moitié de Fordham serait au courant.
Le code règlement:
→ Validé par l'abeille
Dernière édition par Cameron M. Kennedy le Mer 30 Nov - 0:25, édité 2 fois
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: CAMERON ϟ " All the riches don't bring what your love can bring " Mer 30 Nov - 0:13
Well... It's my story...
→ The Kennedy Family / Enterprise
Né en 1913 au sein d’une des plus riches familles d’Europe, Philius Cinnéidigh a quitté son pays natal suite à la mort prématurée de ses parents. Après plusieurs tours du monde, il finit par s'installer à New-York qui était, à l'époque, en pleine extension. Profitant des nombreuses économies qui lui restaient, Philius acheta bon nombre de propriétés. Puis, en 1937, il créa la Cinnéidigh Enterprise. Son but ? Acheter et rénover un maximum de propriétés new-yorkaises pour les relouer au prix fort. Amoureux de la ville, mais surtout de Brooklyn, l'irlandais acheta une bonne partie de ce vieux quartier laissé autrefois, à l’abandon. Mal vu par bon nombre de New Yorkais peu enclins à céder leurs propriétés à un étranger, Philius laissa tomber sa nationalité irlandaise pour devenir un véritable américain. Cinnéidigh devint alors Kennedy pour le plus grand plaisir de ses employés qui le voyaient déjà multimillionnaire.
Installé au centre de ce quartier auquel il tenait tant, Philius ou Philippe Kennedy gagna le titre de « Roi de Brooklyn » gentiment attribué par la presse locale qui le comparait souvent à la royauté, à un conquérant. Vingt ans plus tard, Philippe Kennedy se marie à Anica Valimar, une ressortissante Serbe installée à Brooklyn depuis peu. Plus jeune de vingt ans, la musicienne succomba aux charmes du multimillionnaire et finit par lui donner un fils qu’il nomma William Arthur Kennedy.
En 1977, Philippe décède. Son fils alors âgé d’une vingtaine d’années, prend les rênes de l’entreprise familiale. Sous son « règne », la Kennedy enterprise perdit bon nombre de propriétés. Loin d'être un amoureux de Brooklyn, William lui préférait Manhattan, beaucoup plus prisée par les puissants de ce monde. Et bien que la famille Kennedy délaissa le quartier de Brooklyn pour s’installer dans l’upper east sidde, elle garda son titre de famille royale. Puis, à vint-sept ans, William rencontre Katherine Jessica Carter, une fille d’ambassadeur Anglais. Ils se marièrent trois ans plus tard et eurent deux enfants, Cameron et Jessica Kennedy gentiment surnommés le petit prince et la petite princesse de Brooklyn par la presse.
Mais le règne de William fut interrompu par un accident de voiture qui lui couta la vie. C’est sa femme, Katherine, qui devint alors le chef de famille. Sous ses ordres, l'entreprise familiale stoppa l'acquisition de nouvelles propriétés pour se concentrer sur celles qu'elle possédait déjà. Femme d’affaire accomplie, elle n’avait rien à envier aux plus puissants de ce monde. Accompagnée d’une dizaine de conseillers, elle fit prospérer cette entreprise qui était si précieux aux yeux de feu son mari.
Le « règne » de Katherine aura duré plus de 15 ans. Pourtant, il y a six mois de cela, on lui a diagnostiqué un cancer. Mourante et incapable de continuer à diriger l’empire Kennedy, elle a dû passer le flambeau. Son fils ainé, Cameron Kennedy n’étant pas fiable, c’est vers sa fille cadette que Katherine se tourna. A peine majeure, Jessica Kennedy prit les rênes de l’empire aidées par les anciens conseillers de sa mère. Aujourd’hui les Kennedy possèdent environ la moitié de Brooklyn et plus d'un quart de Manhattan.
→ Cameron, the little dirty prince
Né dans une clinique privée, le petit prince de Brooklyn est le fils ainé d'une fratrie de deux enfants. Les Kennedy étant une famille dévouée et aimante, Cameron n'a jamais manqué de rien. Chéri et gâté par ses parents (surtout par sa mère), il a longtemps été à l'affiche de la presse locale. Moins connu qu'une star de cinéma, mais plus suivi que les tops modèles de la grosse pomme, il a longtemps souffert des critiques. Plus jeune on le rabaissait, on le tapait. Pas du genre violent, le jeune Cameron se laissait souvent faire pour le plus grand plaisir de ses adversaires. Pour couronner le tout, Cameron perdit son père très jeune. Il n'avait que cinq ans quand son père décéda suite à un accident de voiture et pour dire la vérité, il n'a que très peu de souvenir de celui-ci. Tout ce qu'il sait de c’est qu'il convoitait New York, comme tout le reste de sa famille à vrai dire. Et c’est d'ailleurs pour cela qu'on lui avait attribué le doux pseudonyme de Prince de Brooklyn. Mais pour être franc, Cameron n'a jamais vraiment été fier de cet empire qui était le leur. A cause de cela les gens le jalousaient et lui voulaient du mal. Il a longtemps subis la colère de ses camarades de classe. Mais tout cela s'arrêta quand il rejoignit les bancs du collège. Epuisé, mais surtout énervé d'être un souffre douleur, Cameron entra dans sa phase rebelle. Les poings serrés il se faisait respecter du mieux qu’il pouvait. Ami avec les rebelles de son collège ( groupe de rebelles essentiellement constitué de jeunes riches incompris par leurs parents ou par le petit peuple), Peu à peu Cameron sombra dans l'adolescence. Crises existentielles, crises de colère excessives, il est bien vite devenu la bête noire de la famille.
Au lycée, Cameron rencontra une certaine Emilie Delorme, une ressortissante française. Fêtarde, bonne vivante et plutôt jolie, Emilie entraîna Cameron dans la délinquance. Alcool, drogue, ils ont tout essayé. Amoureux, du moins autant qu'on puisse l'être à seulement seize ans, Cameron et Emily passaient leur temps collés l’un à l’autre au grand drame de Katherine, la mère de Cameron qui devait subir les critiques des médias. Pourtant, quelques mois après leur rencontre, Cameron et Emilie passèrent la vitesse supérieure, persuadés de finir leurs vies ensemble. L'alcool se mêlant aux gestes, ils ont agis sans prendre de précaution. Une chose futile dans l'instant, mais qui se révéla catastrophique quelques semaines plus tard. Ne sachant pas quoi faire du fœtus qui grandissait en elle, Emilie annonça la nouvelle à Cameron qui, mature comme il l'était, s'est contenté de fuir sans un mot. A la fois apeuré mais content à l’idée de devenir père, il en informa tout de suite sa petite sœur Jessica... Et deux jours plus tard, Cameron fut envoyé en cure de désintoxication sans qu'on lui donne la moindre explication. S'en suivit des crises de colère, de larmes car d'après la mère de Cameron, Emilie avait opté pour l'avortement. Conscient qu'au final il ne représentait rien pour Emilie, il n’eut d’autres choix que de l’oublier.
Une fois sorti de son centre de désintoxication, Cameron fut envoyé en Californie. New York n’ayant plus rien à lui offrir. Après tout, les seuls amis qu'il avait là-bas étaient comme lui, drogués et perdus et franchement, il n'avait aucune envie de les retrouver. Sans parler d'Emilie qui trainait toujours dans les rues de la grosse pomme. Puis, une fois son diplôme en poche, Cameron intégra la prestigieuse université de Yale à New Haven. Là-bas personne ne le connaissait, il n’était qu’un fils de richards parmi tant d’autres. Il y étudia l’économie et le commerce et fut diplômé avec brio. Content de lui, Cameron décida de rester à New Haven et d'y poursuivre. Pour être tout à fait franc, il n'avait aucun projet d'avenir. Bien sûr, en tant que Kennedy il se devait de reprendre l'affaire familiale mais bizarrement, il n'en avait aucune envie. Profitant de l'argent de sa mère il se trouva un appartement près de Yale, déterminé à y rester.
Mais après sept ans d'absence, Cameron reçu un appel inquiétant de sa mère. Mourante depuis quelques mois, elle le voulait à son chevet. Fidèle à ses amis, mais surtout à sa famille, Cameron retourna donc à New York où il ne passa pas inaperçu. Comme des rapaces, la presse s’est empressait d’annoncer le retour de leur petit prince. Décrit comme étant instable, violent mais surtout drogué, Cameron dû prendre sur lui. Sa mère, elle était la seule qui comptait. Heureusement, il n’était plus seul. Son meilleur ami étant, lui aussi en ville, il pouvait compter sur lui pour le soutenir. Car si pour beaucoup, New York est une ville magique, pour Cameron il s’agit surtout d’un véritable calvaire. Sans parler de son héritage qui ne va pas tarder à tomber. Qu'il le veuille ou non, sa mère le voit désormais apte à reprendre l'affaire familiale. Oh joie !
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Sujet: Re: CAMERON ϟ " All the riches don't bring what your love can bring " Mer 30 Nov - 0:19
Re-bienvenue parmi nous & excellent choix d'avatar Je valide le code du règlement
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Sujet: Re: CAMERON ϟ " All the riches don't bring what your love can bring " Mer 30 Nov - 0:22
re-bienvenue
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Sujet: Re: CAMERON ϟ " All the riches don't bring what your love can bring " Mer 30 Nov - 0:34
Validé !
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Mackenzie J. Howard
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i love the ring of your name you're the yin to my yang
▌INSCRIT LE : 01/07/2010
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▌ADRESSE : 6812 Beverley Road #104, Brooklyn. avec l'amour de sa vie.