She said, do me a favour and stop flattering yourself
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Empire State of Mind
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Sujet: She said, do me a favour and stop flattering yourself Sam 24 Déc - 0:39
FEAT. Jamie Dornan
William Joseph Burrows
25 ans → Né(e) à Phoenix le 20/04/1985 → Métiers ou Études célibataire → hétérosexuel → membre des All Star.
And who am i ?
★Quels sont tes caractéristiques? → " Take your chance " tatoué sur son épaule † Une large cicatrice dans le creux de se reins † Le prénom de son ex petite amie effacé au laser à ce même emplacement † Le tennis est sa raison de vivre † Possède une dizaine de raquette † Ne porte que des jeans Levi's † Lombricophobe † Chante sous la douche † Grand fan de 30 secondes to Mars † Possède une guitare † Ne sait pas en jouer, mais c'est toujours classe †
★Quel est le caractère de ton personnage? → William est le stéréotype du mâle. Bordélique à souhait, que se soit dans sa vie privée, sa vie professionnelle, ou même dans son appartement. Ne comptez pas sur lui pour quoi que se soit, inattentif, indifférent, irresponsable, colérique, un total manque de tact, tête en l'air à tendance mémoire de poisson rouge, un brin égoïste et égocentrique, pas toujours agréable. C'est un peu le revers de la médaille, le fait de tomber de son piédestal, de se retrouver au raz des pâquerettes, d'être redevenu Monsieur Tout Le Monde, alors qu'il aurait put être connu de tous : Amer d'une défaite aussi injuste. Malgré cette suite de défauts, pas franchement charmant avouons le - promis il se soigne - William peut vous montrer une part beaucoup plus sensible de sa personnalité, passionnée, fidèle & loyale, un vrai besoin de se sentir entouré et soutenu par ses proches. Ajoutons à cela un humour pourrie, un côté charmeur et des boulettes à gogo. Il a conscience que le nombre de personne qui arriverait à le supporter est assez limité...
Well... It's my story...
William est né à Phoenix, ville de l'Arizona, état des États Unis, comme beaucoup d'enfant, il fut chéri et aimé dés sa naissance, ses parents Stephen et Naomi eurent toutes les peines du monde pour avoir un garçon. Sa mère avait une pathologie plutôt rare qui dés qu'elle attendait un garçon, faisait une fausse couche au bout de quatre mois de grossesse. C'est après cinq petites filles, quatre fausses couches et des mois de traitement que Naomi Burrows donna le jour à William, alors attendu comme la messie. Vous l'aurez donc compris, fils unique dans une famille quasi féminine et petit dernier, tout était propice à une enfance heureuse et harmonieuse. Mais la famille ce n'est jamais aussi simple que ça, bien au contraire ! Ses parents divorcèrent alors qu'il était âgé de huit ans, plus un bébé pour ne pas comprendre que plus rien ne serait comme avant, mais encore trop petit pour comprendre les histoires d’adultère et de trahison. Une déchirure chez les Burrows, ses grandes sœurs boudèrent leur père, mais quand l'assistante social demanda l'avis du petit William, il ne sut pas vraiment quoi faire et fondit en larmes, commença alors une bataille juridique pour la garde de William, nous sommes en 1993.
Un an après, William et son père emménagèrent à Londres, avec la promesse qu'il s'adapterait très vite, se ferait de nouveaux amis ect ... Sa toute nouvelle belle mère, avec laquelle il ne s'entendait pas du tout, l'inscrivit dans une école privé. Et ce fut le début des problèmes, rejeté dés le premier jour, il fut un peu le bouc émissaire de la classe, considéré comme l'étranger, le yankee qui n'avait rien à faire parmi eux, l'adaptation tant espérée ne se fit jamais. Il se mit à détester tout ce qui se rapportait à l'Angleterre, à détester sa famille, à vouloir à tout prix quitter le pays pour rentrer en Arizona. A l'école on avait finit par l'appeler Whinning Willy, la situation se dégradait au fil des mois, jusqu'à ce fameux jour.
9 Juin 1995, Wimbledon à Londres, Stephen Burrows décide de faire découvrir le prestigieux tournois de tennis anglais à son fils, William, âgé de 10 ans, ce dernier ayant eut de nombreux problèmes avec ses camarades dernièrement, histoire de lui changer les idées. Ce fut le premier coup de cœur du jeune homme, cette technique, ce jeux, la vitesse des balles, l’atmosphère du tournois, les holà des spectateurs, le garçon se voyait à la place de ces hommes, grand tennis man, couronné de succès, nouvel idole du sport. Cette année là, l’américain Pete Sampras gagna le tournoi de Wimbledon et un petit garçon trouva sa vocation. Il supplia son père de l'inscrire dans un club, et tout s'enchaina très vite, la découverte, les entrainements, les étapes gravies une à une, un certain talent qui se prononçait peu à peu, les championnats, certains gagnés, d'autres perdus, une notoriété qui se créa dans la capital, à l'âge de 17ans, il abandonne ses études pour se consacrer pleinement à sa passion, laissant murmurer le doux nom de William Burrows comme une étoile montante dans le tennis anglais. La même année, il rencontre Anne Baker, une tennis woman de son âge venant de Liverpool, second de cœur du jeune homme.
Janvier 2006, Melbourne, Australie, William avait 21 ans, il était présentit pour participer à l'Open d'Australie, chose qu'il rêvait depuis toujours et qui était sur le point de se concrétiser. En couple depuis trois ans avec Anne, il menait une vie parfaite depuis plusieurs temps, de nombreux sponsors qui lui souriaient, quelques fans qui le suivaient, une vie de grand sportif s'offrait à lui, ajoutant à cela les petits plaisirs de la célébrité, la gratuité des choses et l'hypocrisie collective, les fêtes à tout va, les nouvelles rencontres, mais surtout la drogue, un spliff par ci, un rail par là, entre deux shoots de vodka et la soirée continuait. Les lendemains difficiles s'accumulaient, les entrainements également, il était obligatoire pour lui de rester au top de sa forme, les produits dopants étaient devenus indispensable, mais cela rester discret, sa petite amie n'était pas au courant, ni son entraineur, ni sa famille, juste les petits fumiers qui l'entouraient. La compétition arrivait à grands pas, la jalousie également et les nombreuses rumeurs de la nouvelle étoile William Burrows camé jusqu'à l'os allaient bon train. Dans le sport, on ne rigole pas avec ces choses là ! Un test sanguin fut exigé sur le jeune homme, qui se révèla être positif. Et là tout s'enchaina très vite, mais dans l'autre sens, rayé du tournois, perte des sponsors les un après les autres, ses entraineurs le lâchent, sa petite amie le quitte ... Son petit monde s'écroulait sous ses pieds en l'espace de quelques mois. Retour à la case départ.
Septembre 2011, New York, États Unis Après tous ces événements, William a échappé de peu à une dépression nerveuse, il a quitté l'Angleterre ni une ni deux pour retourner chez sa mère, se ressourcer dans son pays natal, mais surtout pour se faire oublier quelques temps. Impossible de rentrer à la fac sans diplôme de fin de secondaire, il se trouve un petit job de coach dans une station balnéaire histoire de payé son loyer et de refaire des projets d'avenir. Plus de drogue, plus de soirée, plus de mauvaise fréquentation, William fait désormais parti des 99% comme on dit actuellement. Un déménagement dans les règles sur New York, à 25 ans il mise sur son expérience dans le haut niveau du tennis et en tant que coach pour commencer une nouvelle carrière dans l'entrainement sportif.
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → F. nearly 20 ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → Il y a un an et douze jours, je me suis perdue dans les partenariat, et en prenant à gauche j'ai atterrit ici ★Ce personnage est-il un double compte ? → Et même plus ★Présence sur le forum → Tout le temps ★Personnage inventé ou scénario ? → Inventé
Mon exemple de RolePlay:
Sariah s'était très souvent demandé comment elle arrivait à le supporter, pourquoi s'était toujours vers lui que son chemin la menait, elle pensait avoir trouvé la réponse, mais ce n'était encore sûre. Ils ne s'entendaient sur pas grand chose, voir sur rien du tout, d'ailleurs chacune de leur rencontre finissait en engueulade, jusqu'au jour où ils se cogneraient vraiment dessus. Il n'avait pas l'air d'apprécier quoi que se soit de sa personne, que se soit physique ou moral, parfois il la trouvait trop pimbêche, ses jupes trop courtes, ses talons trop hauts, trop de maquillage, il la trouvait grande gueule, superficielle, colérique, trop égoïste, égocentrique, pas présentable bref, selon ses dires il ne lui trouvait rien à lui envier. Et le même reproche qu'elle devait entendre à longueur de journée : le nombre de rails de cocaïne qu'elle s'enfilait par jour, parfois mélangeait à la boisson. Et malgré sa méchanceté gratuite, la jeune femme retournait toujours vers lui, bon nombre de personne qui lui aurait dit ne serait-ce qu'un quart de ses propos à lui, se serait pris une baffe monumental et aurait souffert d'une vengeance terrible. Mais avec lui, elle n'y arrivait pas, elle n'avait pas envie de lui faire du mal, alors que T. ne se gênait pas vraiment pour l'humilier et la faire pleurer, soit disant pour son bien, pour l'aider. Quel sentiment était suffisamment fort, pour lui faire oublier tout ça ? Elle était stupide, ce n'était pas un sentiment qui la ramener à lui, mais son état d'esprit, elle était suffisamment idiote pour se faire du mal physiquement avec la drogue, alors pourquoi ne pas souffrir mentalement avec un crétin ?
Elle tira la langue et mima ses paroles avec ses mains, il se croyait au dessus de tout, il pensait avoir toujours raison. S'était il mis une seule fois dans sa tête ? Avait il cherché à comprendre pourquoi elle était aussi dépendante ? Pourquoi elle ne cherchait pas à se faire aider ? Elle en avait les moyens pourtant, pour le faire dix fois même. Est-ce qu'il savait qu'elle se détestait autant que lui quand elle était dans un état pareil ? Qu'elle n'osait pas se regarder dans le miroir. Le nombre de fois où elle avait eu honte de son état, de ce qu'elle était, de ce qu'elle avait fait. Quand elle était pliée en deux par les crampes d'estomacs, qu'elle était victime de ses crises de larmes et qu'il lui venait en tête de mettre fin à ses jours. Une bonne nuit de sommeil et le lendemain, elle sortait la tête haute. Sa grand mère lui disait toujours de garder la tête haute, quoi qu'elle eut fait, elle était une Carlin, on ne se laissait pas abattre dans sa famille, on était fier de son sang et on faisait les choses en grand. Things are things for a reason. Pour le moment elle n'avait pas encore assez de courage pour se sortir de là, mais un jour elle y arriverait, avec ou sans son aide.
Elle serra les poings, mais ne répondit pas à ses attaques, non elle ne lui dirait pas qu'hier, avant de l'appeler, elle n'avait rien sniffé, rien fumé, et rien but. Que si elle avait composé son numéro, c'était pour l'entendre lui, et aucun autre, si elle avait juste voulu se prendre la tête, elle serait sortit de sa chambre pour rejoindre sa nouvelle colocataire. Si elle avait pris son foutu téléphone, c'était parce qu'il lui manquait, rien de plus et rien de moins. Ses pas se firent plus rapide, elle cachait son visage qui rougissait à vu d’œil à l'aide de ses cheveux, tout le monde les regardait lui hurler dessus, lui s'énerver et balancer des propos dont il n'avait l'air de comprendre qu'ils étaient vraiment violents. Elle finit par tourner la tête en sa direction. Mon avenir ? Certainement pas avec toi en tout cas ! Il me reste deux ans d'étude avant mon diplôme, tu crois quoi ? que je suis trop faible pour avoir de l'ambition ?! Que je n'arriverais à rien ?! Tu ne me connais pas Tyron, arrête de prétendre le contraire parce que tu connais mon point faible, c'est bien trop facile ! Tu comprends que ce que toi tu veux bien comprendre ... Elle n'aurait décidément jamais dû le suivre le jour où elle l'avait rencontré.
La jeune femme avait tellement attendu de cette après midi à ses côtés, pour profiter des derniers rayons de soleil du New York, une glace sur la terrasse d'un café, une balade dans un parc, où elle aurait rit, sourit, où elle se serait amusée. Du Rêve ... Pour le coup c'était pire que raté. Les larmes lui montaient aux yeux, elle serait tellement les forts les poings pour se retenir de craquer, elle ne lui ferait pas cette joie, et pas devant autant de spectateur. Ses talons claquaient sur le sol, elle se disait qu'à un moment donné l'une de ses chevilles partiraient violemment sur le côté et qu'elle s'étalerait de tout son long sur le trottoir. Ce qui fut violent ce fut lorsque Tyron l’arrêta dans sa course, elle manqua de tomber, les yeux brillants, elle pouvait voir toute sa colère dans son regard. Sariah n'était plus en colère, elle était juste triste, triste qu'il n'ai que cette image négative d'elle. Les sourcils froncés, elle lui répondit calmement, elle ne pouvait plus s'énerver à moins de n'éclatait en sanglot Parce que je t'ai cru quand tu m'as dit que tu voulais m'aider !Je pensais que tu me voyais différemment; Je pensais que j'étais importante, parce que toi tu l'es ! J'avais besoin d'un ami qui ne me juge pas, qui ne m'utilise pas pour mon argent ou mon entourage. Quelqu'un qui me comprendrait. Quand je t’appelle toi, et pas n'importe quel plouc de la ville, c'est parce que je me sens bien avec toi, en sécurité. Mais je me suis trompée. Si tu me supportes pas, si je suis si horrible que ça, pourquoi tu décroches ?, pourquoi tu viens me rejoindre ? Je ne t'oblige en rien, je ne t’achète pas non plus, alors casse toi ! J'ai pas besoin de toi pour savoir tout ça ! Elle finit par jeter son gobelet à ses pieds et passa son revers de manche sur ses joues, son autre bras essayait de s'échapper de son emprise, il lui faisait presque mal. .
Le code règlement:
→ ok by Dylan
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Sujet: Re: She said, do me a favour and stop flattering yourself Sam 24 Déc - 0:42
re-bienvenue
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Sujet: Re: She said, do me a favour and stop flattering yourself Sam 24 Déc - 0:48
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Sujet: Re: She said, do me a favour and stop flattering yourself Sam 24 Déc - 0:49
j'attends un peu pour bouger ta fiche
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Sujet: Re: She said, do me a favour and stop flattering yourself Sam 24 Déc - 0:55
Il aurait été parfait notre bébé avec Jamie en papa
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Sujet: Re: She said, do me a favour and stop flattering yourself Sam 24 Déc - 1:12
encore un compte avec un bg je vais te violer un jour tu le sais re bienvenue, et bon choix d'avatar ma petite chérie
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Sujet: Re: She said, do me a favour and stop flattering yourself Sam 24 Déc - 1:32
re-bienvenue copine no-life
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Sujet: Re: She said, do me a favour and stop flattering yourself Sam 24 Déc - 2:30
Re-bienvenue parmi nous
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Sujet: Re: She said, do me a favour and stop flattering yourself Sam 24 Déc - 11:20
rebienvenue
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Sujet: Re: She said, do me a favour and stop flattering yourself Sam 24 Déc - 12:53
dornan te va tellement bien, tu sais rebienvenue ma belle
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Sujet: Re: She said, do me a favour and stop flattering yourself Sam 24 Déc - 14:06
Olympe B. Ioanidis a écrit:
Il aurait été parfait notre bébé avec Jamie en papa
Comme tu dis
Merci tout le monde
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Sujet: Re: She said, do me a favour and stop flattering yourself Sam 24 Déc - 17:01
Bienvenue à New York
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Sujet: Re: She said, do me a favour and stop flattering yourself Sam 24 Déc - 17:14
Rebienvenue ma flaviechérie Dornan
Mackenzie J. Howard
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i love the ring of your name you're the yin to my yang
▌INSCRIT LE : 01/07/2010
▌MESSAGES : 20301
▌AGE DU PERSO : 23
▌ADRESSE : 6812 Beverley Road #104, Brooklyn. avec l'amour de sa vie.