EVA ▬ I rather count a hundred thousand dollars on a sunday.
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Sujet: EVA ▬ I rather count a hundred thousand dollars on a sunday. Mer 21 Déc - 17:36
FEAT. SHAY MITCHELL
Eva Ilona JACKSON
24 ans → Né(e) à Melbourne le 13/10/1987 → Étudiante en langues étrangères célibataire → hétérosexuelle → membre des Ordinaries.
And who am i ?
★Quels sont tes caractéristiques? → Eva mesure 1m75, elle est mince mais ne se soucie pas vraiment de son image, ce qui la différencie grandement des autres filles. Elle fait partie des gens qui pensent que le physique ne fait pas tout, et elle a toujours défendu cette cause. N'étant pas très addict au shopping, Eva ne suit pas la mode, c'est une deuxième différence avec la plupart des autres filles. Elle peut être à la fois féminine et à la fois un peu garçon manqué, cela importe peu tant qu'elle se sent à l'aise. Par contre, la demoiselle aime beaucoup les bijoux et les petites babioles, elle a tous les jours de nouveaux bracelets ou de nouvelles boucles d'oreilles. Elle a la langue et le nombril percés, et envisage de se faire tatouer dans un futur proche. Elle a toujours été une fanatique des tatouages mais n'a jamais eu le courage de se faire tatouer, de peur de regretter.
★Quel est le caractère de ton personnage? → Le caractère d'Eva n'est pas simple, ses airs de femme simple et ordinaire cachent une grande complexité. Un jour oui, un jour non, être lunatique et de loin son plus grand défaut. Elle est bavarde, maniaque, très organisée, studieuse, souriante mais les points à retenir sont les suivants :
FRANCHE ♣ L'hypocrisie, c'est vraiment la chose qu'Eva déteste le plus. C'est bien dans son caractère de dire ce qu'elle pense et de défendre la liberté d'expression. Quitte à passer pour quelqu'un de méchant, ou de "bizarre", elle dira toujours ce qu'elle a à dire sans trop se soucier de ce que pensent les autres. Elle fait quand même attention à ne pas dépasser certaines limites, à rester polie même si des fois elle ne se contrôle pas.
FIDÈLE ♣ Que ce soit en amour ou en amitié, Eva est fidèle et aime qu'on soit fidèle à elle. Elle sait être présente pour ses amis et elle est même de bons conseils. Seuls ses amis peuvent dire qu'elle a un bon fond malgré son fort caractère.
SENSIBLE ♣ La sensibilité est l'un de ses points faibles, bien que ça ne soit ni un défaut, ni une qualité. Sous son cœur de pierre, Eva est bel et bien sensible et elle a un cœur comme tout le monde. Quand quelque chose la blesse, elle essaye de ne pas le montrer. Elle n'a jamais pleuré devant quelqu'un, elle considère ça comme une honte.
OUVERTE ♣ Eva s'intéresse à a peu près tout. Elle aime parler de tout et de rien, découvrir de nouvelles choses, poser des questions... Elle adore débattre sur un quelconque sujet, elle trouvera toujours des arguments.
CURIEUSE ♣ Elle n'ira pas jusqu'à fouiller dans la vie des gens, mais Eva déteste ne pas comprendre. Alors pour comprendre, il faut beaucoup chercher C'est ce qu'elle fait, et ce depuis qu'elle est enfant.
Well... It's my story...
Melbourne, Australie; appartement des Jackson, 14h10 - « Chéri, appelle une ambulance ! Elle est pressée ! » plus tard... « Je vous présente Eva, votre petite fille. » Ma naissance, c'est comme ça qu'elle s'est passée, normalement quoi. Inutile de dire que ma mère fut la plus heureuse, elle m'attendait avec impatience depuis neuf moi et j'étais enfin là, dans ses bras. Je fus accueillie merveilleusement par tout le monde : les amis, les voisins, la famille... Tout le monde était très heureux que je sois enfin sortie, tout le monde sauf papa. Mon père, Harry Jackson, PDG d'une grande entreprise, ne voulait pas d'une petite fille. Il aurait préféré un garçon à qui il apprendrait à jouer au golf, à draguer les filles, à être classe et avoir un bon avenir dans le même secteur que lui, disait-il. Or, c'est moi, Eva, Ilona de mon deuxième prénom, qui suis née et même s'il essayait de le cacher, je savais très bien qu'il regrettait que maman m'ait gardée. Mon enfance fut assez simple à vrai dire, ma mère ne travaillait plus et vivait de l'argent de mon père ainsi que de celui qu'ils avaient mis de côté pour mon arrivée dans le monde. Ils s'étaient toujours promis de me donner tout ce dont j'avais besoin, de m'offrir une vie heureuse et j'ai d'ailleurs toujours baigné dans l'argent... J'étais dans une école privée et mon institutrice disait à maman que j'avais un bel avenir devant moi. J'avais des copains et des copines qui me ressemblaient, ils portaient tous les mêmes vêtements que moi et ils parlaient très bien, dans un langage soutenu, tout comme moi, parce que maman m'y obligeait. Dans l'année de mes huit ans, c'était mon père qui m'amenait à l'école, venait me chercher et maman ne m'aidait plus à faire mes devoirs. Elle restait toute la journée au lit, en me disant qu'elle était malade. Un jour, alors que je venais d'avoir dix ans, je rentrais de l'école avec une domestique que papa payait car il n'avait pas assez de temps pour s'occuper de moi, on m'annonçait que maman était morte suite à un cancer du cerveau. Ce fut le jour le plus horrible de ma vie. Après ça, je ne voulais plus parler à personne, ni même me rendre à l'école. Elle me manquait. Je vivais avec mon père qui n'était d'ailleurs jamais présent, trop pris par son boulot. La domestique qui s'occupait de m'élever et de faire le ménage dans notre demeure s'appelait Janett. C'était une peu comme une deuxième maman même si elle ne pouvait pas la remplacer. Elle était très gentille avec moi, m'aidait pour mes devoirs et me faisait à manger. Les jours passaient et je faisais le deuil de maman petit à petit, même si, quand je me répétais son prénom dans ma tête, mes yeux se remplissaient de larmes. Quand mon père me voyait, il faisait semblant de s'intéresser à moi en me demandant si j'allais bien et en me prenant dans ses bras. C'était de la comédie, ça crevait les yeux...
- - -
Cher journal, pour mes seize ans, Janett m'a offert un journal intime. C'est la première fois que j'en ai un et j'avoue que ça ne m'enchante pas trop de raconter ma vie à un objet, même si devant elle, j'ai fait mine d'être super contente. Elle a dit que ça m'aiderait beaucoup puisque je ne me confiais à personne, mais je doute qu'un simple cahier puisse m'aider. Maman me manque toujours, j'ai maintenant pleins de photos d'elle au-dessus de mon lit et quand je m'endors, c'est avec elle. À la maison, rien n'a changé : mon père n'est jamais là et Janett travaille tout le temps. C'est d'ailleurs elle qui a préparé mon anniversaire qui s'est super bien passé. J'ai invité des amis que j'ai rencontré au lycée. En parlant de ça, mon entrée au lycée a été un peu difficile. Ça me changeait de l'école privée mais c'est tout de même mieux, on a plus de liberté. Les profs sont sympa mais l'emploi du temps l'est moins... Je finis trois jours par semaine à dix-huit heures et j'ai toujours pleins de devoirs. Heureusement pour Janett, maintenant, je n'ai plus besoin d'aide. Finalement, c'est pas si mal de te parler, je commence à m'habituer !
Cher journal, j'ai rencontré un garçon au lycée, il s'appelle James. Je l'aime bien, il me fait rire et j'en ai déjà parlé à Janett, elle a dit qu'on pourra l'inviter à dîner. Par contre, mon père a été moins enchanté par l'idée ce qui a d'ailleurs déclenché notre première engueulade. Mais ce n'est pas grave comme il n'est jamais là, il ne s'apercevra même pas que James est venu. Et puis, je vais te faire une confidence puisque tu es censé servir à ça, on s'est embrassé, James et moi. C'était mon premier baiser... C'était magnifique. Le lycée c'est trop dur, j'arrive plus du tout à suivre et il y a trop de devoirs. Il m'arrive souvent d'aller me balader avec J. plutôt que d'aller en cours... Si mon père l'apprend, ça va chauffer pour moi ! Samedi, je suis invitée à la première soirée de toute ma vie. C'est Charlie, ma meilleure amie, qui m'a invitée. Ça va être trop bien ! James sera là aussi ! Bon, c'est l'heure de la douche, à bientôt.
Cher journal, la soirée de samedi soir s'est parfaitement bien déroulée. Je crois que c'était la meilleure soirée de toute ma vie. Avec James, on s'est rapproché comme jamais. C'était bien, merveilleux, je crois que c'est l'homme de ma vie ! Maintenant, c'est les vacances alors je vais pouvoir profiter au maximum. Hier, Charlie et moi sommes allées faire du shopping, j'aime pas trop ça mais je l'ai accompagnée pour la conseiller sur ses fringues. Elle est restée pour le diner et nous avons passé la soirée ensemble. Je pense à James, il est magnifique ! Veux-tu que je te le décrive ? Grand, blond, yeux verts... L'idéal masculin ! Il est super gentil avec moi et il est toujours au petits soins. Je crois que je l'aime... Bisous.
Cher journal, il y avait longtemps que je ne t'avais pas ouvert. Très très longtemps. Maintenant, j'ai dix-sept ans, je vieillis petit à petit ! Je n'ai pas fêté mon anniversaire cette fois-ci, parce qu'il n'y avait personne pour le préparer avec moi... Mon père a viré Janett pour je ne sais quelle raison et du coup, je me retrouve toujours toute seule et je dois me débrouiller. Avec lui, ça ne va plus. Il trouve toujours un prétexte pour qu'on se dispute et ça marche. On se supporte plus... Avec James, c'est fini, ce n'était pas du tout l'homme de ma vie, en fait... D'ailleurs, je ne parlerais plus jamais de lui. Vendredi soir, j'ai fumé ma première cigarette. Mais bon, c'est rare que j'en fume, je veux tout de même pas devenir une droguée. Papa m'appelle pour diner, je dois avouer que je n'ai aucune envie de me retrouver à table en face de lui dans un silence religieux, mais je n'ai pas le choix.
- - -
Je m'étais toujours promis qu'à mes dix-huit ans, je partirais. N'importe où, loin de mon père. Et lorsque ma majorité fut enfin là, j'annonçais à mon père mon départ pour New York. Sa réaction ne fut ni bonne, ni mauvaise, même si j'étais certaine d'une chose : ça devait être un soulagement pour lui. Il pourrait enfin se consacrer à son boulot sans se soucier que qui ce soit l'attende à la maison. Il a versé de l'argent sur mon compte, beaucoup d'argent... Le reste des économies que lui et maman avaient mis de côté spécialement pour moi. Le changement a été brutal mais je m'y suis remis et je me suis habitée à la ville qui ne dort jamais.
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → Alicia, 17 ans. ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → Je cherchais un RPG, ça fait très longtemps que je n'ai pas RP. Je suis tombée ici, j'ai direct flashé sur le design et le contexte, en plus tout le monde est actif, c'est parfait. ★Ce personnage est-il un double compte ? → Négatif. ★Présence sur le forum → Quand je le pourrais, pour l'instant ce sont les vacances donc ma présence sera régulière et je ferais de mon mieux en période de cours. ★Personnage inventé ou scénario ? → Inventé.
Mon exemple de RolePlay:
→ Je sortais de mon dernier cours un peu fatiguée, j'avais beau adoré la filière choisie, je me retrouvais parfois avec de folles journées. Je me dirigeais vers ma voiture dans l'optique de rentrer chez moi et m'affaler sur mon canapé moelleux et zapper les chaines jusqu'à ce que le sommeil m'emporte. C'était simplement un de ces jours où j'avais la flemme de tout. Je trouvais un petit mot sur mon pare-brise, ce que j'avais cru au début être une pub était enfaite un joli poème anonyme. Je regardais autour de moi, cet anonyme me regardait peut-être et c'était la moindre des choses de le remercier, malheureusement tout le monde semblait s'affairer à ses occupations. Je fourrais le papier dans mon sac de cours et grimpais dans ma voiture en direction de mon confortable appartement. Nous étions jeudi et j'avais vraiment hâte d'en finir avec cette lourde semaine, j'avais passé les trois quarts de mon temps à bosser des dissertations ou bien à construire des problèmes. Nous allions passer aux matrices dans mon cours de mathématiques, j'aimais cette matière, mais j'étais bien plus passionnée par l'anthropologie qui me motivait vraiment. C'était la psychologie qui m'avait amené sur ce chemin, cela m'avait semblait vraiment intéressant. Je me garai sur ma place de parking, enfin arrivée devant mon immeuble. Un vieux monsieur me salua avec un grand sourire que je lui renvoyais, les habitants du quartier étaient vraiment sympathiques. Je montais les escaliers – il y avait un ascenseur mais je pouvais bien monter trois étages à pieds, ça maintenait la formes – pour arriver devant la porte de mon appartement. Cela faisait maintenant deux ans que je vivais seule ici, j'avais envoyé mon adresse à mes parents, si jamais ils avaient envie d'accepter leur fille un de ces jours, mais n'avait pas eu de lettres ou de coup de fil depuis que j'avais quitté le domicile familial. J'avais juste été les voir l'an dernier pour tenter de fêter noël avec eux, j'avais beau vouloir passer à autre chose, ils étaient tout de même ma famille. Mais cela avait été loin du noël dont j'avais rêvé, je m'étais démerdée pour tenter de leur trouver un cadeau originale – et légal – mais rien n'avait semblé leur faire plaisir. À à peine trente-huit ans mes parents me faisaient l'image de deux légumes, capable de s'assoir sur le canapé durant des heures sans rien faire de plus. Je jetais mes affaires à l'entrée et me débarrassais de mes chaussures, la première chose que je fis, fut d'aller jeter un coup d'oeil dans mon frigo et dans mes placards. Parfois je ressemblais à une ogresse, mais qu'importe. Croquant dans une pomme bien juteuse, j'allumais la télévision et m'affalais sur mon canapé, attrapant la télécommande pour zapper. Le problème était qu'il n'y avait jamais rien vers ces heures là, seulement des séries plus débiles les unes que les autres, les informations ou bien une émission de cuisine. Je n'avais pas le câble, je galérais déjà assez pour me payer mon loyer et mes études – même si j'avais une bourse elle ne couvrait pas tout – en plus d'avoir suffisamment d'eau chaude pour tout le mois. À première vu, j'avais une vie merdique de petit étudiant qui se démerde comme il peut pour s'en sortir, mais j'aimais vraiment cette vie. Ne pas se soucier de ce que demain sera fait, oublier les problèmes de la veille, ne se concentrer que sur l'instant présent. Je vivais au jour le jour. Je me dirigeais vers la salle de bain, dans le but de prendre une bonne douche et enfiler mon pyjama. Autant être à l'aise jusqu'au bout. J'entrais dans la douche et lorsque l'eau vint s'écraser contre mon corps, je me détendis enfin. Je me lavais le corps et les cheveux rapidement, voulant profiter d'un peu d'eau chaude. Je sortis et m'enroulais dans une serviette propre allant vers ma chambre, j'avais reçu un sms d'une amie qui voulait qu'on se voit dans une petite demi heure dans le nouveau bar branché de la ville. Je déclinais l'offre, mais c'était apparemment mal la connaître, elle m'appela dans la seconde, criant comme une hystérique dans le combiné, parce qu'il fallait à tout prix que je vienne. Étais-je vraiment amie avec ce genre de fille ? Finalement, j'acceptais, un peu bougon, on me trouvait chiante, mais vraiment, il y avait pire que moi.
Habillée d'un simple jean et d'un pull bien chaud je fermais mon appartement à clés. J'allais encore me faire engueuler parce que je n'avais pas de petite jupe et de superbe collant à motif qui s'associait parfaitement avec le pull col V que j'étais censée porter, mais peu importe. Je faisais déjà l'effort de sortir alors qu'à la base ma soirée s'annonçant comme étant télé, pizza, dodo. J'arrivais devant l'adresse indiqué, j'aimais bien sortir, mais pourquoi fallait-il toujours que ce soit dans le dernier endroit à la mode ? Mes amies pouvaient se montrer vraiment adorables parfois, mais j'espérais ne jamais devenir comme elles. J'entrai tranquillement, m'asseyant sur un des grands tabourets, ces satanés trucs n'étaient vraiment pas fait pour les petites personnes. À croire qu'ils ne visaient qu'une clientèle de grand. Mes amis n'étant toujours pas arrivé, je décidais de commander une bière en attendant. Le barman me fit un clin d’œil et me donna ma petite bouteille de bière. « Qu'est-ce qu'une jolie fille comme toi vient faire seule ici ? » demanda-t-il, entamant la conversation. Je lui répondis simplement que j'attendais du monde. Mon portable vibra dans ma poche « Désolé de te faire faux-bond, mais finalement nous ne sortons pas ce soir, grosse dissert' pour demain, encore désolé ». Je soufflais, agacée. Pourquoi ces filles se retrouvaient toutes dans la filière littérature ? Elles avaient toujours de gros devoirs ensemble, s'entraidant parfois. Les livres étaient leur passion soit disant, pourtant je les voyais plus souvent dans les bars que dans les bibliothèques, mais passons. Pour le coup, ma soirée était vraiment gâchée, mais puisque j'étais ici, autant y rester un peu.
Le code règlement:
→ Ok By Erynn'.
Dernière édition par Eva I. Jackson le Mer 4 Jan - 16:13, édité 11 fois
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Sujet: Re: EVA ▬ I rather count a hundred thousand dollars on a sunday. Mer 21 Déc - 17:49
Bienvenue ici Shay
si tu as des questions n'hésite surtout pas & bon courage pour ta fiche
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: EVA ▬ I rather count a hundred thousand dollars on a sunday. Mer 21 Déc - 17:54
Merci J'ai une question à propos de l'exemple de RP ; comme ça fait super longtemps que je n'ai pas RP et que je ne sais même plus sur quel forum j'étais inscrite et/ou s'ils existent encore, j'ai donc du mal à retrouver un post. J'en écris donc un maintenant?
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: EVA ▬ I rather count a hundred thousand dollars on a sunday. Mer 21 Déc - 17:57
bienvenue à ny
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: EVA ▬ I rather count a hundred thousand dollars on a sunday. Mer 21 Déc - 17:59
Merci Alyssia, j'aime beaucoup l'orthographe de ton prénom, c'est original.
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: EVA ▬ I rather count a hundred thousand dollars on a sunday. Mer 21 Déc - 18:02
Bienvenue parmi nous Avec la belle Shay :brigitte:
Mackenzie J. Howard
Empire State of Mind
i love the ring of your name you're the yin to my yang
▌INSCRIT LE : 01/07/2010
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▌ADRESSE : 6812 Beverley Road #104, Brooklyn. avec l'amour de sa vie.
Sujet: Re: EVA ▬ I rather count a hundred thousand dollars on a sunday. Mer 4 Jan - 22:38
Validée !
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Sujet: Re: EVA ▬ I rather count a hundred thousand dollars on a sunday.
EVA ▬ I rather count a hundred thousand dollars on a sunday.
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