Sujet: bang bang; my baby shot me down. #CHEYENNE. Sam 14 Jan - 16:04
FEAT. Freida Pinto
Cheyenne Lana Pearson
23 ans → Né(e) à New-York le 01/04/1988 → Etudie le théâtre à NYU célibataire → hétérosexuelle → membre des Beauty Queens.
And who am i ?
★Quels sont tes caractéristiques? → Cheyenne est remarquable à plusieurs niveaux. Déjà, elle détonne au milieu des New-Yorkaises pures souches grâce à ces origines Hindoues. Un teint hâlé 365 jours par an c'est plutôt classe surtout sur ces jambes de rêves. Elancée, mince et d'une beauté rare, elle aurait pu incarné les plus belles princesses orientales. D'ailleurs, la taille de son dressing où les plus grands noms se côtoient en ferait pâlir plus d'une. Pas de styliste privée mais aucune faute de goût au compteur pour la jeune femme. La classe à l'état pure toujours perchée sur une paire de stiletos hors de prix. Au contraire de certaines, en plus de souhaiter une fête inoubliable, la belle a demandé son premier tatouage pour son sweet sixteen. Celui-ci se trouve sur son poignet gauche et symbolise la date de la mort de son père 11.09.01.
★Quel est le caractère de ton personnage? Je suis jamais contente, on dit que je suis chiante. Pourrie gâtée, riche, excentrique, fêtarde, égoïste, ... Bref, vous adorerez détester Cheyenne. Mais entre-nous qu'elle soit aimée ou non, elle s'en fou un peu parce qu'elle n'aime quasiment personne. Ces amis se comptent sur les doigts de la main, les autres sont seulement de vulgaires pions sur l'échiquier de sa vie dont elle se sert pour arriver à ces fins. Avoir des contacts c'est toujours bon dans la vie non ? Même si la jeune femme a juste besoin de taper du poing sur la table pour que ces grands-parents répondent à ces moindres désirs, elle veut toujours plus telle une éternelle insatisfaite. Les seuls moments où elle est comblée sont ceux où elle est sous l'emprise de l'alcool et rarement de la drogue. Elle aime la débauche pour oublier, sa mère surtout. D'ailleurs le fait que cette dernière l'ait laissé tomber lui a totalement enlevé la capacité à faire confiance et à aimer. Ouais, l'amour ce n'est pas pour Cheyenne, seule et indépendante elle se trouve bien plus forte. Cela semble contradictoire avec des multiples conquêtes d'un soir mais c'est juste pour "le fun" comme elle le dit si bien. La demoiselle est une charmeuse se considérant comme irrésistible et parfaite, mieux ne vaux pas s'opposer à sa volonté ou la vengeance sera terrible. D'ailleurs la vengeance, elle adore ça c'est l'une de ces activités favorites. Machiavélique, elle aime voir les gens souffrir. Bon, il faut avouer qu'il y a néanmoins du bon chez l'Hindoue lorsque que vous grattez un peu sa surface totalement artificielle. Le décès tragique de son père l'a littéralement détruite, elle se dédie donc à une association qui aide les familles qui ont perdu un être cher dans l'attentat, elle est particulièrement attachée aux enfants devenus orphelins. Elle aime passer du temps avec eux, les chouchouter, leur offrir des cadeaux, les emmener au parc de jeu ... Cheyenne endosse le rôle de deuxième maman. Eh oui, la vielle égoïste peut faire preuve de bonté parfois. C'est surement l'une de ces seules qualités d'ailleurs ... Au niveau des études ce n'est pas glorieux non plus, les fêtes occupant une bonne partie de ces nuits, elle rattrape son sommeil durant les heures de cours au fond de son lit bien au chaud sous sa couette. Elle daigne seulement se lever pour ceux de théâtre car c'est le seul moment où elle peut se détacher de ce qu'elle est. La demoiselle a beau être narcissique et bien trop sure d'elle, parfois elle ne supporte pas cette fille hargneuse, sans morale, détruite, seule au monde.
Well... It's my story...
« Regarde ce qu’on a arrêté sur la voie publique ! »
Je ne regardai même pas à qui ce flic s’adressait, j’étais bien trop bourrée pour m’en préoccuper. Le type en question m’attrapa par le bras, comme si les menottes n’étaient déjà pas assez humiliantes, et me fit assoir sur une chaise des moins confortables. A travers mes paupières à moitié entre ouvertes je le vis s’assoir face à moi derrière son bureau après m’avoir retiré l’objet métallique qui liait mes mains. Je crois que c’est à ce moment précis que j’ai compris où j’avais atterrit : au poste de police. Pour me faciliter d’avantage la tâche, il alluma une lumière aveuglante droit sur moi. J’essayai de marmonner quelques mots mais il se mit à me questionner.
« Puisque tu n’as pas tes papiers, nom et prénom ? » « Pearson Cheyenne Lana » soupirai-je. « Date de naissance ? » « Premier avril 1988 à New-York » « Et tu te moques de moi en plus ? »
Je levai les yeux au ciel, j’étais tellement habituée à ce genre de situation. Jamais un flic ne n’avait cru lorsque je lui avais dévoilé ma date de naissance, bon sauf quand j’avais mes papiers sur moi, et encore moins que j’étais née à New-York avec la nationalité Américaine. Visiblement j’avais encore à faire avec un raciste à deux balles qui s’arrêtait à ma couleur de peau. J’avais beau être matte, avoir des origines Hindoue, j’étais belle et bien reconnue en tant qu’Américaine. Je n’ai jamais eu la chance de fouler les terres de l’Inde au contraire de ma chère mère. Mère qui me donnait un parfait exemple de décadence. Elle par contre était née à Mumbaï dans une famille, oui une famille mais pas celle que je considère comme ma famille, riche et respectée. Mon soit disant grand-père étant dans le milieu politique, il n’acceptait en aucun cas les écarts de conduite de sa fille, de ma mère quoi. Elle prenait un plaisir malsain à me raconter ses frasques de jeunesses, sa première cigarette, son premier joint, sa première cuite, les nuits qu’elle passait à errer dans les bidonvilles en compagnie de jeunes très peu recommandables … Elle en parlait avec un tel enthousiasme que c’est surement elle qui m’a donné envie de goûter à tous ces plaisirs de la vie. Mais contrairement à moi mes grands-parents trouvèrent la bonne solution pour qu’elle se remette sur le droit chemin : s’en débarrasser tout simplement. Le vieux qui me sert de grand-père l’envoya donc chez un de ces amis New-Yorkais encore plus friqué que lui … mais beaucoup plus stricte aussi. Ma mère apprit donc ce qu’elle appelle ‘’la vraie vie’’ et le rôle de la femme c’est-à-dire faire le ménage, les courses, s’occuper de la maison en gros. Ouais, elle changea du tout au tout mais elle n’eut pas d’autre choix. Bref, je me contentai d’adresser un grand sourire hypocrite au flic. « Bon, ton adresse ? » « Quelque part dans l’upper east side, j’ai pas les idées très claires à cette heure-ci. »
Bien entendu je savais parfaitement mon adresse, celle de mon chez moi, de mon gigantesque appartement gracieusement payé par mes chers grands-parents New-Yorkais. Comment oublier mon palace ? L’ascenseur qui s’ouvre en plein milieu du salon, de la terrasse avec une vue imprenable sur Central Park, du jacuzzi, de mon dressing de 20 m² ? Impossible, j’aimai bien trop cet endroit. J’y vivais seule depuis mes 16 ans mes grands-parents en ayant ras le bol de moi, des sorties tard le soir et du bordel que je faisais en rentrant à 6 heure du matin. Ils m’ont donc offert le luxe de l’indépendance pour mon sweet sixteen, je crois que c’est la raison pour laquelle je les aime.
« Pas de chance tu es majeur, mademoiselle va donc finir en cellule de dégrisement ! »
J’observai l’air satisfait qui s’étala sur son visage avant que je n’éclate de rire. Moi en cellule de dégrisement ? Impossible, mon grand-père n’accepterait pas le scandale alors autant aligné la rançon de suite. Le type se leva énervé par mon attitude et tapa du poing sur son bureau. J’étais littéralement hilare. En effet, grand-père Pearson était lui aussi dans le milieu politique et toutes frasques devaient être cachées. J’avais beau être sa petite-fille j’étais parfois traquée par ces connards de paparazzis. Bon, je dois quand même avouer que j’aime qu’on parle de moi, en bien ou en mal peu m’importe. Même si ce dernier n’était pas aussi connu, je n’y aurai pas échappé grâce à ma grand-mère celle-ci étant une célèbre présentatrice tv à la retraite. Ouais, ma famille est célèbre enfin faisons exception de ce qui me sert de mère qui est retombée dans l’ombre depuis le décès de mon père. Sa jalousie ayant détruit notre relation, pas de bol maman toi et papa n’étaient pas mariés la seule héritière de son immense fortune c’est moi ! Aux dernières nouvelles je crois qu’elle doit errer quelque part dans le Bronx. Oh oui tient le décès de mon père autrement dit le tournant de ma vie. Mon père était un Pearson donc, le fils des vieux chez qui mon grand-père Hindoue avait envoyé ma mère. Je ne sais pas ce qu’il a trouvé à ma mère mais au bout d’un an et demi j’étais là et tout se passait comme dans le meilleur des mondes, j’étais une petite fille modèle, joyeuse et aimée. Un peu le contraire de maintenant en fait. Mon paternel avait suivi la voie des affaires et excellait en la matière, il avait bâti un empire de plusieurs millions de dollars. Mais comme d’habitude il a fallu que le rêve prenne fin, putain de vie ! Ou plutôt putain d’avions ! J’avais 13 ans ce jour-là, ce jour où des cons se sont dit « Tiens et si on allait exploser les tours du World Trade Center ? », le 11 septembre 2001. Papa était dans ces bureaux dans l’une des tours comme tous les jours et puis l’avion est arrivé. Papa est mort ce jour-là. Une semaine plus tard j’héritais de toute sa fortune, une semaine plus tard ma mère me faisait la gueule. Je m’éclaircie la gorge avant de répondre au flic.
« Richard Pearson, vous connaissez ? » J’observai le visage du type se décomposer, jubilant de ma victoire. « C’est mon grand-père, appelez-le il viendra me chercher. »
Aucun mot ne sortit de sa bouche alors qu’il sortit de la pièce se précipitant sur l’un de ces collègues, je pu seulement entendre « Putain c’est la petite-fille de Pearson, merde ! ». Un rire diabolique sortit de ma bouche. Moins d’une heure plus tard, j’étais déjà dehors.
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → No. twenty. ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → me souviens plus (a). ★Ce personnage est-il un double compte ? → oui. Chey le retour ! ★Présence sur le forum → everyday. ★Personnage inventé ou scénario ? → inventé.
Mon exemple de RolePlay:
Attendre des heures dans le noir, voilà ce à quoi Mackenzie s'était attelée jusqu'à ce que la porte d'entrée grince. Des pas, un sac qui s'affale sur le sol ... Carter était rentré. Enfin. La demoiselle l'attendait depuis bien longtemps ayant prévu une petite soirée en tête à tête pour retrouver le moral. C'était important pour elle et elle croyait que ce l'était pour lui aussi, mais apparemment ce n'était pas le cas. Sympa l'ami. Un mélange de rage, de tristesse, de déception, de colère ... Elle ne savait pas vraiment comment réagir face à lui. Lui gueuler dessus, lui tordre le cou ou ne plus lui parler pendant toute une semaine ? Mackie était du genre rancunière et avait cette trahison en travers de la gorge. De ce fait, elle se contenta seulement de quelques mots glaciales, tranchant comme des couteaux bien aiguisés qu'elle lui enfonçait dans le dos un à un et lentement.
«J’espère que monsieur a passé une bonne soirée.», il valait mieux pour lui qu'il ait profité au maximum de son autre activité car la suite de la nuit allait être riche en émotion. Oui, elle allait lui faire sa fête au petit Carty. Blondie avait le regard dans le vide lorsque son colocataire vint s'assoir à côté d'elle sur le canapé et posa sa tête sur son épaule. Comme si il allait s'en sortir comme ça, ce serait bien trop facile. Il se répandit en excuses, mais de simples mots n'allaient pas atténuer la douleur que ressentait la demoiselle. Elle venait de perdre une amie et celui avec qui elle partageait son appartement, qui la supportait tout les jours depuis presque deux ans était incapable de lui prouver une once de son affection à son égard. A croire que Mackenzie était juste une fille qui était bonne à faire le ménage et à louper le repas du soir et rien d'autre. Pas le genre de fille pour qui on se fait du soucis, qu'on réconforte. C'était comme si elle n'avait jamais réellement exister pour Carter. Le portable de ce dernier vibra et le coupa en plein dans ses lamentables excuses.
Que t'es vraiment un sale con ? Ouais je confirme. Mais j't'en pris, réponds ça doit être vachement plus important !
Le jeune homme semblait presque angoissé en lisant ce fameux sms inattendu. Avait-il quelque chose à cacher à sa colocataire ? Surement. En tout cas ce soir Mack ne comptait pas prendre de gant avec lui. Mine de rien, elle lui faucha donc son téléphone alors qu'il s'apprêtait à le ranger. C'est avec de grand yeux qu'elle découvrit l'expéditrice de ce message : une certaine Maëlys. Oh putain, il l'avait planté pour une soirée avec fille ? Et d'abord, il ne lui avait jamais parlé d'une Maëlys. Il avait donc préféré passer sa soirée avec une totale inconnue qu'avec elle ? Ouais, à croire que Carter était devenu ce type prêt à tirer son coup au lieu d'épauler une amie de longue date. Mmh, Connor commençait gravement à déteindre sur lui. D'une voix étonnamment calme que s'en était presque alarmant, la belle déclara -et toujours sans le regarder-.
J'espère que tu t'es bien envoyé en l'air avec ta pétasse parce qu'il va te valoir un nouvel appart.
C'était plus fort qu'elle. Elle ne supportait pas ce qu'il était en train de lui faire subir, c'était au dessus de ses forces. Ne plus le voir serait la meilleure des solutions afin de digéré l'amertume d'une relation de confiance à sens unique.
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Dernière édition par Cheyenne L. Pearson le Lun 16 Jan - 18:09, édité 8 fois
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: bang bang; my baby shot me down. #CHEYENNE. Sam 14 Jan - 16:08
first
Re-bienvenue la blondasse travestie en brunasse
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: bang bang; my baby shot me down. #CHEYENNE. Sam 14 Jan - 16:36
No. Rebienvenue
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Sujet: Re: bang bang; my baby shot me down. #CHEYENNE. Sam 14 Jan - 16:48
Welcome à la maison alors. courage pour ta fiche.
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Sujet: Re: bang bang; my baby shot me down. #CHEYENNE. Sam 14 Jan - 17:08
Re bienvenue
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Sujet: Re: bang bang; my baby shot me down. #CHEYENNE. Sam 14 Jan - 17:19
rebienvenue
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Sujet: Re: bang bang; my baby shot me down. #CHEYENNE. Sam 14 Jan - 19:11
re-bienvenue
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Sujet: Re: bang bang; my baby shot me down. #CHEYENNE. Sam 14 Jan - 19:43
le retour
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Sujet: Re: bang bang; my baby shot me down. #CHEYENNE. Sam 14 Jan - 19:50
MA BEST!!!!!!!!!!!!!!!!! LA VRAIE DE VRAI!!!!!!
Je suis trop contente que tu la reprennes!!!!!
Re-bienvenue parmi nous
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: bang bang; my baby shot me down. #CHEYENNE. Sam 14 Jan - 22:25
Bienvenue sur le forum
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Sujet: Re: bang bang; my baby shot me down. #CHEYENNE. Sam 14 Jan - 22:27
Re-bienvenue parmi nous =)
Mackenzie J. Howard
Empire State of Mind
i love the ring of your name you're the yin to my yang
▌INSCRIT LE : 01/07/2010
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▌ADRESSE : 6812 Beverley Road #104, Brooklyn. avec l'amour de sa vie.