Sujet: louis p. johnson •• « Pretty Boy. » Mer 25 Jan - 21:18
FEAT. KINGSTON ROSSDALE
LOUIS PATRICK JOHNSON
6 ans → Né(e) à Kendal, in Cumbrie le 14/02/2006 → Trop jeune a priori pour travailler célibataire→ euh...je sais pas → membre des Ordinaries.
And who am i ?
★Quels sont tes caractéristiques? → Il adore se faire des tatouages artificiels avec le papier des chewing-gum malabars. Il fait croire à tout le monde que c'est un vrai caîd, la terreur du quartier alors qu'au fond, comme la plupart des gamins de son âge, Louis est la tendresse personnifiée. Il aime particulièrement être à l'arrière d'une moto. La vitesse a tendance à le faire rire aux éclats. Etrangement, il déteste l'escalade, mettons ça sur le compte du vertige. Allergique ? Non, sauf qu'il est asthmatique depuis tout bébé et qu'il a des médicaments à prendre, bien malgré lui d'ailleurs. Il adore se rouler dans l'herbe, dans la paille, dans la mousse alors qu'il vient de pleuvoir. Grand sentimental, il pleure toujours lorsqu'il entendu de la musique classique - ou quand on le gronde, ça marche aussi - et a une peur bleue des insectes qui courent trop vite. Il aime courir derrière les papillons et faire des bulles de savon lorsqu'il est dans son bain. Physiquement parlant, notre petit bonhomme n'est pas bien costaud. En même temps, vu son âge, c'est un peu normal. C'est qu'il fait attention à sa ligne notre Louis. Coquet ? Oh que oui. Il peut passer des heures devant la glace à admirer son reflet et voir si ses vêtements tombent impeccables. Il déteste par contre qu'on essaie de discipliner sa tignasse blonde. Pourquoi ? Il aime que ses cheveux soient en pétard, encore une mode de 'jeunes' apparemment. D'ailleurs, Louis a une préférence notable pour tout ce qui rapporte au 'bads boys ou hippies'. Coiffure à la punk, tatouages, il prétend même faire des piercings quand il sera plus grand. Et oui, pour un gosse de son âge, il sait ce qu'il veut et battre du poing sur la table pour se faire entendre. Il a commencé le piano et la guitare depuis un an maintenant. Très patient, il espère un jour devenir un grand musicien, autant que son papa. Niveau vestimentaire, il porte ce qui lui tombe sous la main, tout en faisant très attention à ce que les couleurs, leurs tissus et tout le reste soient au summum de la cool attitude, aussi décontracté que classe. Vous ne le verrez jamais porter des baskets jaunes avec un survêtement vert fluo par exemple. Il aime les bracelets brésiliens. Il en fait collection. Dernier petit détail : il déteste qu'on l'appelle par son prénom. On lui a donc trouvé un surnom : Lou.
★Quel est le caractère de ton personnage? → Ne vous fiez pas à sa bouille d'ange ! C'est le conseil que je vous donne. Aussi adorable semble t-il être, ce petit bout de chou a un véritable caractère de feu. Sans être capricieux, il aime pourtant qu'on lui donne ce qui lui fait plaisir, sans véritablement comprendre la raison qui pousse les adultes à toujours le lui refuser. Même s'il vous dit oui, veillez bien à vos arrières, le petit bonhomme aura tendance à fuir dès la première occasion. Ce qu'il a d'ailleurs fait très souvent en échappant à la surveillance de ses 'taties' de l'orphelinat. Pourquoi ? Il dit qu'il est malheureux, et on ne peut pas douter de ce sentiment si l'on s'intéresse un tant soit peu au garçonnet. Quoiqu'agaçant par moment, surtout s'il vous fait un sale coup – il adore taquiner les plus grands – Louis est aussi un garçon très seul et solitaire. Il reste à l'écart des enfants de l'orphelinat et ne parle pratiquement jamais de ce qui l'ennuie. La raison en est de son incompréhension du monde qui nous entoure, ainsi que du traumatisme qu'il vécut étant petit. Pour autant, si vous parvenez à toucher ce cher petit ange et à avoir sa confiance la plus totale, vous vous apercevrez que vous avez affaire à un petit chef très propre sur lui, aussi attentionné que dévoué. Dévoué au sens où il cessera de lui-même de vous mentir pour un oui ou pour un non, et qu'il acceptera sans ronchonner vos conseils et mises en gardes. Ah oui...j'allais oublié. Louis est aussi un petit garçon très gourmand. Il adore par dessus tout les bonbons de la marque Haribo et Lucci. Pour le reste, je vous laisse le découvrir ...
Well... It's my story...
Il est né en Angleterre, dans un petit village situé très loin au Nord des grandes villes du pays. Dès le départ, il faut savoir que le petit Louis n'a pas eu une enfance des plus heureuses. D'abord, sa naissance ne fut qu'une regrettable erreur de jeunesse découlant de l'envie bestiale et stupide - les deux termes étant souvent complémentaires - de sa prétendue mère, âgée d'à peine 18 ans à l'époque, est-ce à dire tout juste la majorité. Il fut conçu un soir de Mai, alors qu'un groupe partiellement connu, de hard rock ou quelque chose comme ça, mettait le feu sur la scène. Il était alors 22h00, et le spectacle touchait à sa fin. Sa mère, grande fan du bassiste à l'époque, était parvenue en plus d'avoir son autographe, à se faire inviter dans la loge des jeunes célébrités. Inutile de vous dire que la nuit ne s'est arrếtée que lendemain matin pour les deux amateurs de musiques. Ce n'est qu'un mois plus tard que la jeune mère apprit la nouvelle. Désespérée à l'idée que ses parents apprennent la vérité sur son compte, d'autant plus que le fameux père passait sa vie en dehors du 'droit chemin', touchant drogue et compagnie, elle décida d'avorter. Au départ. Heureusement, ou pas d'ailleurs, tout dépendait des points de vue, une amie lui conseilla une solution moins intrusive – surtout pour l'époque - : l'adoption par une famille aimante. D'abord hésitante, plus pour son propre bien que celui de l'enfant, elle finit néanmoins par accepter. La raison en fut notamment de la place de la religion dans sa propre vie. Oui, elle était chrétienne. Quoiqu'il en soit, le 14 février, soit le jour de la St Valentin, le petit Louis vint au monde. Aussi seul qu'un orphelin, poussant son premier souffle sans que sa mère n'ait le moindre sentiment pour ce petit être sans défense à qui elle venait de donner la vie. Très vite, le bébé fut adopté. Et très vite, les ennuis commençèrent. A partir de ce jour, Louis n'eut plus aucune nouvelle de sa génitrice, se consacrant essentiellement à l'amour que lui offrait ses parents adoptifs, bien loin en vérité de celui véritable d'une famille d'accueil aimante. Hélas, ce ne fut qu'à l'aube de ses trois ans, et alors que la famille venait de quitter le sol anglais pour les Amériques, terre qui promettait bien plus en matière d'avenir à leur goût, que les services sociaux apprirent la triste réalité de l'enfant. Maltraité. Après une rapide procédure qui dura tout de même un an, Louis fut déménagé dans une nouvelle famille, plus à l'écoute cette fois, quoiqu'elle eut déjà deux filles et un garçon de son âge. Le changement était trop important pour le garçonnet qui s'enfuit le jour-même. Peut-être par peur de recevoir de nouveaux coups, ou parce qu'il ne s'y sentait pas chez lui. L'assistante sociale ne mit pas longtemps à le retrouver. Avec ses petites jambes et alors que l'hiver commençait à peine, il n'avait aucune chance d'aller bien loin. Il a aujourd'hui 6 ans. Parle peu, observe beaucoup. Cherchant toujours à quitter l'orphelinat dans lequel il a été replaçé suite à une discussion sérieuse avec sa famille d'accueil qui craignait qu'il ne prenne continuellement la fuite. Depuis, l'enfant attend toujours une nouvelle famille. Père et mère, mère ou père, qu'importe. Louis attend sans y croire. Habitué à vivre dans sa forteresse, il espère toutefois ne pas revivre son passé. Il a d'ailleurs souvent des cauchemars. Observant sans comprendre l'homme qui fut présenté comme son premier père abattre d'un coup sec la hache sur le cou de ce qui était autrefois, son poussin. Son animal de compagnie, son seul ami. Il se rappelle de ses mots, tranchants, cruels au moment où il avait pleuré pour la première fois. Pus jamais ça. Ni d'une famille qui l'accepterait parce qu'elle aurait une place de plus dans sa fratrie. Louis a besoin d'espace, d'attention, d'être au centre de leurs attentions. Cela pouvait paraître égoîste, mais il n'a jamais vécu autre chose que des déménagements et des regrets. Pourquoi devait-il croire que tout pouvait changer du jour au lendemain ?
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → Alex, 22 ans ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → Grâce au TOP SITE RPG x) ★Ce personnage est-il un double compte ? → Non. ★Présence sur le forum → Le weekend, essentiellement, depuis que les cours ont repris. ★Personnage inventé ou scénario ? → Inventé.
Mon exemple de RolePlay:
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Tout de même, elle ne s’attendait pas à ce qu’il n’ait rien entendu ou remarqué. En plus du sang et de ses battements de cœur qui s’étaient envolés à peine l’eut-il effleuré de la main, sa couleur de peau, d’ordinaire légèrement hâlée avait prise une teinte plus maladive. Un peu comme du blanc cassé. James avait tôt fait de comprendre que ce qu’elle avait à la main, puisque ce fut la première chose qu’il vit lorsqu’il éclaira la pièce, n’avait rien d’une simple coupure. D’ailleurs, elle se serait coupée avec quoi ? Un taille ongle ? Il n’y avait rien dans cette chambre qui aurait pu lui causer une blessure. Aussi, logiquement, l’homme en avait déduit que le sang venait de sa gorge puisqu’il l’avait entendu tousser quelques secondes auparavant. Et pas d’une simple toux qu’on ne remarque pas, ou alors par accident. Non, la jeune femme avait réellement prise d’une quinte brutale qui l’avait immédiatement alerté sur son état de santé préoccupant. Et heureusement pour lui, la jeune femme n’aurait pas pu lui mentir, d’ailleurs elle n’avait pas essayé, pas exactement. Disons simplement qu’elle n’avait pas cherché à l’induire en erreur, pas plus qu’elle n’avait fait référence à sa santé fragile. James était quant à lui très doué pour les énigmes, autant qu’il savait immédiatement différence une personne sincère d’une autre qui ne l’était pas. Maya avait peur, certes, mais il y avait autre chose qu’il décela chez elle. Plus qu’une simple appréhension, c’était presque une irrépressible envie de dissimuler sa véritable nature aux yeux du business man. L’envie farouche de demeurer celle qu’elle n’avait jamais cessé d’être à ses yeux, à savoir, la déterminée et non moins coriace femme d’affaires, jeune et belle à souhait, qui pouvait voir tous ses désirs se réaliser d’un simple claquement de doigt. Mais tout cela n’était qu’un leurre et avec le temps, James se rendait compte de la supercherie. Sans doute, comme tous les aristocrates Maya avait-elle des petites manies bien à elle qui la rendaient excentrique aux yeux du reste du monde. Mais d’un autre côté, elle avait un tout autre visage qu’il découvrait peu à peu, un visage qui lui renvoyait son propre reflet, quelques années plus tôt.
Sans même avoir baissé les yeux au sol, James n’avait pas répondu à sa première question, comme si son regard suffisait amplement à lui faire comprendre qu’elle pouvait avoir toute confiance en lui. Pourquoi en serait-il autrement de toutes façons ? Que croyait-elle au juste ? Que sitôt après lui avoir révélé tous ses secrets, le malandrin téléphonerait à tous les paparazzis de la planète pour mieux voir la jeune femme sous le feu des projecteurs. Il était vrai que dans les affaires, les requins avaient la dent longue si vous permettez l’expression. Et James ne faisait pas exception à la règle. Cependant, ce soir, et uniquement ce soir, parce qu’elle semblait aussi timide qu’une enfant, aussi fragile qu’une poupée de porcelaine, parce qu’il n’était pas le salop que beaucoup croyait dans les magasines, enfin, parce qu’il avait de l’estime pour cette jeune femme et qu’il n’avait absolument pas la tête à jouer aux échecs, James se contenta d’écouter ce qu’elle avait sur le cœur, sans jamais l’interrompre, son regard tantôt dans le sien, tantôt ailleurs, ses soucis s’envolant pour ne laisser la placer qu’à elle seule. Elle et son tourment au quotidien. James imaginait très bien la souffrance qu’elle pouvait endurer. Toutes ces soirées passées à sourire alors que l’on sait son sort presque scellé. Toutes ces soirées passées à se demander si ce ne serait pas la fin, sans espoir, à ne pouvoir se confier à nul qui ne saurait comprendre une telle douleur. James ne pouvait lui avouer, il n’oserait, ni n’espérait faire de lui un homme nouveau en lui révélant qu’il savait parfaitement ce qu’elle ressentait. Pas parce que lui était malade, mais plutôt parce qu’il avait connu autrefois, il y a bien des années, une femme qui, comme elle, avait espéré voir un jour sa douleur s’atténuer puis s’en aller définitivement. Elle était sortie vainqueur puisque la douleur était effectivement partie un jour. Sauf qu’elle l’avait emportée avec elle. Aujourd’hui, c’était le milliardaire qui souffrait. D’un tout autre mal mais aussi fulgurant. On dit que les blessures d’amour guérissent avec le temps. Il n’avait jamais cru à une telle fadaise. Encore aujourd’hui, James repensait à celle qu’il avait chéri de tout son cœur, de toute son âme, au cancer qui lui avait arraché à lui et ses pensées dévièrent vers Maya. Le même supplice à un si jeune âge. La vie est parfois si injuste…Un sourire égaya son visage. Sans doute pour la rassurer plus qu’il n’était sincère en vérité.
« Oui, sans doute que vous me manquerez… »
Maya devait croire qu’il avait pitié de sa situation, ou compatissant. Deux mots qui ne faisaient d’ordinaire absolument pas partie de son vocabulaire. Et encore une fois, elle se trompait sur son compte. Il n’avait ni pitié, ni n’était compatissant, juste triste d’apprendre une nouvelle aussi affligeante. Triste et en colère contre la nature humaine, contre le monde en général. Des souvenirs refaisaient surface, ses sourcils s’étaient froncés. Il songeait à Cheryl, puis à Maya. Deux situations pratiquement similaires. Elles avaient le même âge, presque le même tempérament, la même vigueur, la même envie de vivre et pourtant … D’autres auraient sans doute eu l’air surpris après un tel aveu. Surpris ou gênés, ou encore pris à partie de la faire parler parce qu’ils ne savaient pas quoi dire. James n’était pas de ces gens-là. Lui se contentait d’écouter en silence et d’observer. Ce n’était peut-être pas l’attitude qu’elle attendait. Peut-être Maya aurait-elle souhaité, en plus d’une oreille attentive, une épaule sur laquelle s’appuyer. Malheureusement, James n’avait jamais été doué pour consoler. Il était réaliste, d’une franchise qui n’avait égale que sa parfaite maîtrise de soi. C’était souvent ce qui rebutait ses interlocuteurs d’ailleurs. Personne n’a envie de connaître la vérité, surtout quand ça fait mal.
« Vous avez bien fait. » murmura t-il soudain en ayant les yeux baissés au sol. Un simple murmure qui n’avait rien d’une parole lancée à l’aveuglette. « C’est bien d’avoir quelqu’un à qui parler, même un quasi-inconnu, ça soulage. » Un robot n’aurait pas été moins performant que le milliardaire à l’heure actuelle. D’ailleurs, il maudissait déjà son absence de bons sentiments. Après toutes ces années pendant lesquelles il avait pleuré toutes les larmes de son corps, James O’Malley ne savait plus avoir mal. Pas comme avant. Seul son regard le trahissait encore. D’ordinaire émeraude, son iris avait prise une teinte plus foncée, et ses yeux respiraient une attention encore insoupçonnée jusqu’ici. Encore une fois, James n’avait pas pris la peine de répondre. Il s’était dirigé d’un pas lourd vers le lit, s’y était assis pour l’écouter. Elle avait du mal, cela se voyait. Evidemment, puisqu’ils ne s’étaient jamais fait confiance jusqu’ici, pourquoi ce fait devrait-il changer du jour au lendemain ? Parce que l’envers du décor était plus réel que le décor lui-même. Qu’elle ne se fiait pas ce soir au business man mais à l’homme. Encore fallait-il qu’elle le sache, qu’elle découvre elle-même le masque de cire qui recouvrait sa véritable nature. James n’était qu’un homme blessé. Meurtri par la folie des hommes, et le cœur en morceaux par la faute de cupidon qui avait décidé sans l’en informer, de lui reprendre l’unique amour de sa vie. Détruit, il n’en était pas moins resté incroyablement humain derrière cette façade de mauvais garçon.
Tout en prêtant une oreille attentive à Maya, James comprenait une grande partie de sa personnalité devenue si contrastée à ses yeux. La vérité aussi. Le fait par exemple que son père ne soit pas au courant. En un sens, il s’en doutait un peu puisque M. Kammiya n’aurait sûrement pas été l’hôte de plusieurs soirées festives s’il savait sa fille gravement malade. D’un autre côté, ç’aurait très bien pu être une façon de préserver les apparences en public. Quoiqu’il en soit, le milliardaire ne préférait pas juger pour le moment le choix de Maya d’avoir gardé ce secret aux dépens de son père. Il estimait qu’il n’était pas bon juge en la matière puisque lui-même dissimulait beaucoup de lui-même à sa propre famille. Et puis, une question, posée à la va-vite, après moult rebondissements. Une question qu’il pensa d’abord rhétorique avant de se décider à répondre malgré tout.
« Si, bien sûr. » Après tout ce qu’elle avait osé lui dire, trois mots. Rien de plus. Décidément, jouer les altruistes n’était pas son for. La jeune femme n’oublierait sûrement jamais le jour où elle avait été contrainte de passer une nuit auprès du grand James O’Malley, lui si loquace. A vrai dire, il ne savait trop par où commencer. Il ne pouvait pas lui avouer qu’il avait déjà fondé une famille, il s’était fait la promesse de tenir sa fille à l’écart de ce monde à sa naissance. Et malgré l’estime qu’il avait pour Maya, il ne pouvait prendre le risque de tout déballer de but en blanc. Sans compter que ce n’était absolument pas son genre de parler de sa vie privée. « Oui, vous vous êtes confiée. Mais je n’oublierais pas. » murmura James au dernier moment. « Jamais, Maya. » répéta t-il avec insistance en croisant son regard. Il la dérangeait, elle semblait mal à l’aise. Tant mieux, au moins écouterait-elle avec attention ce qu’il s’apprêtait à lui dire. James avait toujours fait cet effet aux femmes. Enfin, pas cet effet en particulier, mais il y avait toujours quelque chose : de l’attirance, de la frustration, de la curiosité. Il avait le don de provoquer bien des émotions chez la gent féminine, inconsciemment bien entendu. Et il n’était jamais flatté, ni touché de quelques manières par ces dites émotions. Tout au plus un remerciement ou un bref sourire. Rien d’extraordinaire. N’allez pas croire que son ego avait quoique ce soit à voir dans tout ceci. James agissait avec la plus complète indifférence parce que primo, il était toujours amoureux de son passé, secundo, il était très difficile de séduire un homme comme James O’Malley. Encore une fois, oubliez le côté vaniteux de ces propos. Mais revenons-en à Maya qui ne parlait plus, tentait maladroitement de faire de l’humour pour dissiper le silence pesant dans la chambre. Lentement, tel un automate, l’homme venait de se lever, s’approchant de la jeune femme immobilisée, jusqu’à ce qu’il ne reste plus que quelques centimètres entre eux deux. Une distance qui ne fut jamais rompue, même après qu’il se soit penché vers elle et lui glisse quelques mots à l’oreille.
« Maintenant, vous allez écouter très attentivement ce que je vais vous dire ce soir. Et je vous demande à mon tour de ne pas interrompre. Je ne suis ni votre père, ni votre confident, ni votre ami. Je ne suis qu’un homme d’affaires, comme vous. Je vais vous dire un secret Maya, tous les milliardaires rêvent de vivre leur idéal, de fonder une famille. Tous, sans exception. » Il s’écarte légèrement, plonge son regard émeraude dans le sien et poursuit avec un sérieux inébranlable. « Je devrais peut-être me montrer moins dur avec vous parce que je vous sais souffrante, quoique je doute que vous appréciez que l’on s’épanche à vos côtés. Je ne suis pas doué pour ça de toutes façons. Il n’y a qu’une seule chose que vous devez retenir ce soir Maya. Malgré nos différends passés, qu’importe ce que vous pensez savoir de l’homme qui est devant vous, sachez qu’il vous offre son soutien à partir de cet instant. Je ne plaisante pas mademoiselle Kammiya. Je ne suis peut-être pas le meilleur ami dont vous rêviez, mais vous vous assurez par contre une aide indéfectible quelque soit l’heure, le jour ou l’année le temps que durera votre mal. Je ne prétends pas être de meilleurs conseils que vos proches, mais j’ai le mérite de comprendre vos ressentiments. »
Le milliardaire finit par faire silence, reculant de quelques pas pour préparer le lit sur lequel ils allaient bientôt s’endormir. Il ne voulait pas de réponse, ni de questions. Elle avait compris le message. C’était tout ce qui lui importait. Qu’elle sache qu’il serait présent, et qu’il l’aiderait, sans contrepartie.
« Je dors toujours du côté gauche. » Lui jetant un bref coup d’œil, James s’était déjà installé sous les couvertures, sa tête reposant sur l’un des oreillers blancs qui jonchaient le haut du lit. « A moins que vous ne souhaitiez mourir de froid, je vous conseille vivement de suivre mon exemple et de venir vous réchauffer. » Où était passée sa gêne quant au fait de partager sa couche avec la jeune femme ? Oubliée après pareil discours.
Le code règlement:
→ Validé par Maya.
Dernière édition par Louis P. Johnson le Ven 27 Jan - 16:45, édité 25 fois
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Sujet: Re: louis p. johnson •• « Pretty Boy. » Mer 25 Jan - 21:19
Bienvenue ici Louis si tu as des questions n'hésite surtout pas & bon courage pour ta fiche
Si t'as besoin d'aide pour chercher un avatar dis-nous
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Sujet: Re: louis p. johnson •• « Pretty Boy. » Mer 25 Jan - 21:31
Bienvenue parmi nous Comme l'as dit Serena, n'hésite pas si tu as besoin d'aide pour l'avatar
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Sujet: Re: louis p. johnson •• « Pretty Boy. » Mer 25 Jan - 21:38
bienvenue sur nycl
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Sujet: Re: louis p. johnson •• « Pretty Boy. » Mer 25 Jan - 21:50
Bienvenue parmi nous
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Sujet: Re: louis p. johnson •• « Pretty Boy. » Mer 25 Jan - 21:53
Bienvenue,
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Sujet: Re: louis p. johnson •• « Pretty Boy. » Mer 25 Jan - 22:20
Merci à tous, ça fait plaisir J'hésite encore sur l'acteur en vérité. Je crois que je vais aller poster Ce sera ma première fois.
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Sujet: Re: louis p. johnson •• « Pretty Boy. » Mer 25 Jan - 22:54
Bienvenue
Cheyenne L. Pearson
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if you're going through hell, KEEP GOING.
▌INSCRIT LE : 14/01/2012
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▌AGE DU PERSO : 25
▌ADRESSE : 2515 Lexigton Avenue #402; Manhattan.
▌CÉLÉBRITÉ : Freida Pinto.
▌SMALL IDENTITY PHOTO :
Sujet: Re: louis p. johnson •• « Pretty Boy. » Mer 25 Jan - 23:06
Le prénom Bienvenue !
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Sujet: Re: louis p. johnson •• « Pretty Boy. » Jeu 26 Jan - 0:50
Bienvenue parmi nous
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Sujet: Re: louis p. johnson •• « Pretty Boy. » Jeu 26 Jan - 5:31
Merci, merci
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Sujet: Re: louis p. johnson •• « Pretty Boy. » Jeu 26 Jan - 12:36
Le chéri de teresa palmer Par contre on accepte un écart de seulement 5 ans entre âge IRL et âge du perso', et comme scott a déjà 36 ans il va falloir changer désolée :$ De plus comme on a pas mal de jeunes membres je te demanderai également de modifier ta signature .
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Sujet: Re: louis p. johnson •• « Pretty Boy. » Jeu 26 Jan - 13:22
Bienvenue parmi nous Je valide le code du règlement qui est le bon
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Sujet: Re: louis p. johnson •• « Pretty Boy. » Jeu 26 Jan - 13:34
Signature modifiée, ainsi que son âge. Merci Maya
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Sujet: Re: louis p. johnson •• « Pretty Boy. » Jeu 26 Jan - 13:47
Bienvenu sur NYCL et bonne chance pour ta fiche
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Sujet: Re: louis p. johnson •• « Pretty Boy. » Jeu 26 Jan - 14:04
Merci beaucoup mademoiselle
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Sujet: Re: louis p. johnson •• « Pretty Boy. » Jeu 26 Jan - 15:16
La SIP avec L'âge de Glace Bienvenue parmi nous
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Sujet: Re: louis p. johnson •• « Pretty Boy. » Jeu 26 Jan - 15:22
j'adore ce gif x) Thanks my dear ! ^^
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Sujet: Re: louis p. johnson •• « Pretty Boy. » Jeu 26 Jan - 16:07
Scott Welcome here et bonne chance pour la suite de ta fiche
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Sujet: Re: louis p. johnson •• « Pretty Boy. » Jeu 26 Jan - 16:42
Merci miss
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Sujet: Re: louis p. johnson •• « Pretty Boy. » Jeu 26 Jan - 21:18
Encore bienvenue parmi nous
J'ai lu ta fiche et il y a un petite chose qui accroche à mes yeux. J'ai vu que ton personnage avait eu une relation avec une femme âgée de 32 ans alors qu'il n'en avait que 16 ans. Comme il n'était pas majeur, j'aimerais bien que tu montes au moins à 18 ans s'il te plait Merci.
Lorsque la modification sera faite, merci de reposter dans la section appropriée
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Sujet: Re: louis p. johnson •• « Pretty Boy. » Jeu 26 Jan - 21:21
Hum...ce n'est pas censé se savoir mais enfin bon, d'accord..
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Sujet: Re: louis p. johnson •• « Pretty Boy. » Jeu 26 Jan - 22:02
Je te pré-valide donc Un administrateur viendra bientôt te valider officiellement
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Sujet: Re: louis p. johnson •• « Pretty Boy. » Jeu 26 Jan - 22:13
Je vais juste te demander de choisir un autre groupe. En vue de ta fiche, je ne pense pas que les artists soient le groupe qui colle le mieux. Désolée du désagrément, pour ne pas repasser par le topic, envoie moi un MP lorsque cela sera changé (:
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Sujet: Re: louis p. johnson •• « Pretty Boy. » Ven 27 Jan - 10:36