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Un homme d’une trentaine d’années, John Williamson arrivait dans un hôpital des plus réputés de New York. Il s’avança à travers les couloirs de l’hôpital le sourire aux lèvres alors qu’il tenait la main de son petit garçon, son fils aîné, le jeune Antoine. Antoine nom à consonance française, c’était Marie, sa femme qui l’avait voulu, elle était française et voulait qu’au moins un de ses enfants porte ses origines. John arriva depuis la porte de chambre, un bouquet à la main, qu’ils étaient amoureux en ce temps-là ! Le petit garçon, du haut de ses trois ans, arrivait à portée de sa mère regardant l’enfant qu’elle tenait. Il riait, visiblement heureux d’avoir un petit frère. « Je veux qu’il s’appelle Denzel. » murmura le petit garçon à sa mère. La jeune femme ria légèrement et regarda son mari qui haussa les épaules en souriant à son tour alors que le petit garçon prénommé Antoine les regardait d’un air semi suppliant.« Alors il s’appellera Denzel. » fit-elle en souriant. L’enfant qu’elle portait dans ses bras remuait légèrement et le père l’embrassa sur le front. C’est ainsi que Denzel Ezeckiel Williamson vint au monde le quinze mai mille neuf cent quatre-vingt six et devenait le deuxième enfant d’une famille plutôt aisée de New York.

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La famille s’agrandit trois ans après et accueillit un troisième enfant, pour le bonheur du couple cette fois-ci vint au monde une petite fille qu’ils nommèrent Maxyne. Petite fille qui devint peu à peu une jeune fille de neuf ans qui vit sa famille se déchirer sous ses yeux et dû se rapprocher de ses frères. « Tu crois qu’ils vont arrêter de se disputer Denzel ? » chuchota la petite fille à son grand frère tandis que ce dernier se tourna vers l’aîné. Ils s’étaient retrouvés tous les trois dans la chambre, s’enfermant et espérant que l’orage passe des couloirs. « J’en ai marre. » soupira Denzel alors. Ils se turent lorsqu’ils entendirent un assiette se casser. « Je m’en vais, tu n’auras qu’à aller retrouver ta poufiasse de Maria, Mona ou Mata comme tu veux. » cria la mère de famille en claquant la porte de sa chambre. Alors la fratrie se regarda, tremblante. Cette fois c’était fini, c’était certain. « Maman s’en va ? » demanda une petite voix aiguë à ses frères. « Chut Maxyne, dors. » répondit Antoine. Elle appuya sa tête contre l’épaule de son frère en réprimant quelques sanglots. « En tout cas, je ne vous quitterai jamais. » dit-elle alors à ses frères avant de s’allonger sur le lit et de sombrer dans les bras de Morphée. Les deux garçons sourirent à la réplique de leur sœur tandis que Denzel osa enfin sortir de la chambre pour voir ce que ses parents faisaient. Leur mère était effectivement en train de préparer la valise tandis que leur père se retrouvait seul sur le canapé, une bouteille de whisky à la main visiblement déjà bien entamée. Il refusait de voir cela, il refusait de devoir subir cela et se promit qu’il ne laisserait jamais tomber son frère et sa sœur.
Effectivement, Marie repartit pour la France, laissant leur père avec eux. Ce dernier leur imposa sa conquête, Mona ou Maria, peu importait pour Denzel, elle était blonde, affreuse et n’était avec son père qu’afin de pouvoir profiter de l’argent de ce dernier. Il se désolait pour son père.

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« Ouais c’est ça, et un coup de pied là où je pense te remettra les idées en place jeune fille. » fit Denzel à sa sœur d’une quinzaine d’années. « C’est pas parce que tu viens d’avoir dix-huit ans que tu dois faire le beau chouchou ! » répliqua-t-elle en tirant la langue. « Ouais ouais. » fit-il amusé alors que leur frère soupira en répondant : « Vous êtes deux gros gamins va ! » Denzel tira la langue à son tour. C’était ainsi depuis quelques années déjà, à vrai dire depuis que Antoine était devenu majeur. Ils avaient tous trois déménagés en France, le pays natal de leur mère. Ils habitaient non loin de Paris, la capitale alors que leur mère était partie vivre dans le centre de la France. Ils avaient préféré s’éloigner de leur père, idiot de père qu’ils avaient. Leur ‘colocation’ était plutôt amusante, entre le frère et la sœur qui se chamaillaient sans arrêt et l’aîné qui devait faire le tampon entre les deux. Il fallait dire que ces deux-là avaient le même caractère, ce n’était donc pas étonnant que cela ‘pète’ de temps en temps entre eux ce qui amusait toujours Antoine à vrai dire. « Vous pensez que demain on part chez maman, donc ce soir Denzel tu restes ici, hein. » glissa-t-il à son frère. Ce dernier qui était parti se chercher un verre d’eau toisa son frère. « Ah non non. J’avais promis à Sarah que je la rejoindrais à une fête non loin. » « Depuis quand tu tiens tes promesses toi ? » se mêla Maxyne. Antoine soupira de plus bel, les deux étaient repartis dans leur dispute infernale et surtout interminable. « Oh ! » s’écria-t-il alors en vain pour que retrouver le silence, ce qui marcha apparemment. Ils avaient pris en effet l’habitude d’aller au moins rendre visite à leur mère un week-end sur deux. Leur père c’était plutôt une année sur deux, enfin quand ils y pensaient même si la vie de New York leur manquait un peu.

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Mais un jour leur petite vie tranquille s’arrêta. D’abord, c’est un beau jour d’été que Denzel rentrait dans l’appartement qu’il partageait avec son frère et sa sœur. Il était alors âgé de vingt-deux ans. Tous étaient majeurs et pouvaient décider de partir ou non mais étrangement aucun n’avait envie de quitter cette petite bulle dans laquelle ils s’étaient tous trois renfermés. Ils étaient si bien ensemble, ils se sentaient si forts tous les trois réunis. Alors que Denzel rentrait, le sourire aux lèvres comme à son habitude, il sifflait et ouvrait la porte. Il trouva son frère assis sur le canapé sans expression. « Qu’est-ce qu’il se passe ? » s’enquit alors automatiquement le jeune homme auprès de son frère. « Elle m’a quitté. » Denzel savait à quel point Lisa comptait pour son frère, cela faisait bientôt maintenant quatre ans qu’ils sortaient ensemble et voir Antoine sans Lisa serait vraiment étrange. « La raison ? » Oui, car il y avait forcément une raison pour qu’elle le quitte, Antoine était si gentil, presque l’homme parfait. Denzel l’enviait véritablement, son frère avait décidément tout pour réussir : des études de droit en poche, une personnalité en or et un physique qui ne laissait pas indifférent. « Tu n’as pas compris, elle est partie. Partie ! » s’emporta-t-il alors que des larmes coulèrent sur ses joues. Mais Denzel n’était pas sûr de comprendre ce que son frère lui disait. « Mais comment ça partie, explique-toi ! » Antoine releva la tête et lui donna le téléphone. « Elle a eu un accident de voiture…elle ne s’en est pas sortie. C’est de ma faute ça, elle était au téléphone avec moi ! On s’est disputés et elle a raccroché. J’ai reçu un coup de fil tout à l’heure m’annonçant qu’elle était partie… » Il se remit à pleurer alors que Denzel se rapprocha de lui, visiblement sous le choc à son tour. Il savait à quel point cette femme comptait pour son frère, il savait qu’entre eux ces temps-ci ce n’était pas tout beau tout rose, ils se disputaient souvent parce que Antoine voulait franchir une étape, il avait voulu qu’ils emménagent tous deux ensemble dans un appartement, mais elle refusait disant qu’elle avait toujours ses études et qu’elle ne pourrait pas vivre avec quelqu’un pour le moment. Antoine semblait s’en vouloir terriblement et pourtant ce n’était pas de sa faute à lui. « Ce n’est pas de ta faute Antoine. » murmura Maxyne qui était entrée au moment où Antoine avait conté son histoire.

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L’enterrement passé, deux mois écoulés et Antoine avait pris la décision de quitter le pays natal de sa mère préférant retourner à New York. Denzel et Maxyne le suivirent alors espérant que leur frère pourrait faire son deuil comme il se devait. Denzel se sentait terriblement mal pour son frère, il avait des petites amies, peut-être un peu trop d’ailleurs, mais il s’en voulait d’avoir peur d’aller trop loin avec elle et de briser son couple par manque d’assurance si on peut dire ainsi. Son frère traversait une terrible épreuve et il voulait qu’il sache qu’il était là pour lui. Seulement très vite leur relation se dégrada quant Antoine se referma sur lui-même, il ne voulait plus voir personne, mangeait à n’importe quelle heure et lui arrivait même d’insulter son frère et sa sœur. Il était devenu une personne ingrate en l’espace de six mois seulement et ni Maxyne ni Denzel ne savait quoi faire pour l’aider. Alors Denzel partait en boîte, jonglait avec ses études et ses petites amies qu’il changeait régulièrement. D’ailleurs ce fut le dernier sujet de dispute entre les deux hommes… « Si t’arrêtais de t’envoyer en l’air avec tout ce qui bouge. T’es vraiment un salaud ! » s’était écrié Antoine avec sa bouteille de whisky. Etrangement cette image faisait penser à Denzel le jour où ses parents s’étaient quittés et qu’il avait trouvé son père avec une bouteille similaire assis sur leur canapé. « Tu peux parler, tu n’as même pas été capable de garder celle que tu aimais ! » lui rétorqua-t-il alors qu’après un moment il prenait enfin conscience qu’il avait été beaucoup trop loin. « Désolé. » murmura-t-il avant de s’engouffrer dehors. Une phrase qui était sortie de sa bouche sans qu’il ne puisse rien y faire. Il s’en voulait, il avait été dégueulasse là.
C’est alors qu’il voulait rentrer qu’il ne trouvait personne dans le salon dans lequel il s’était disputé plus tôt. Il s’avança. « Antoine ? » Il n’entendit aucune réponse et alors un frisson le parcourut. Où était-il passé ? Il arriva dans la chambre de son frère dans lequel il trouva se dernier accroché au plafond. Denzel referma la porte aussitôt et resta ébahi quelques secondes avant de courir appeler les secours. Mais ces derniers ne purent rien faire, Antoine avait déjà quitté ce monde au moment où il avait poussé la chaise. Denzel s’en est terriblement voulu et cette scène resta gravée à jamais dans son esprit. Très vite, il partit de l’appartement et sa sœur disparut de la circulation elle aussi. Plus aucune nouvelle, plus rien mais Denzel avait également choisi cela, il préférait tout reprendre à zéro.

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Cela fait maintenant trois bonnes années que Antoine avait quitté ce monde. Trois bonnes années pendant lesquelles Denzel s’était ouvert un peu plus aux autres. Il avait trouvé refuge en s’entourant de ses amis, se créant une sorte de carapace alors que au moins deux soirs par semaine il part retrouver son frère et lui parle à travers la pierre indiquant son nom. Il s’excusait, toujours le même rituel, rien à y faire, il s’en voulait terriblement.
Denzel a continué ses études, devenant professeur dans un lycée, enseignant la langue maternelle de sa mère. C’était une chose qu’Antoine avait toujours voulu que Denzel fasse et il le faisait désormais, pour lui mais aussi pour son frère. Il est actuellement célibataire et n’est pas encore prêt à entamer une relation sérieuse, à dire vrai quand cela le devient, il recule et finit toujours par tout faire foirer. Il préfère s'en amuser, avoir des conquêtes plutôt que de s'ennuyer à n'en supporter qu'une seule. Mais Denzel, cela ne leur retombe-t-il pas dessus ce comportement à ce genre de messieurs ?

Bienvenue ici

Je te demanderai de mettre ton pseudo sous la forme Prénom I. Nom, s'il te plait

Merci
J'ai rectifié ça, désolé. (a)

BEN BARNES LE MAGNIFIQUE
Bienvenue parmi nous et bon courage pour ta fiche (a)

Bienvenue parmi nous
N'hésite pas si tu as besoin

BEN
Bienvenue ici
si tu as des questions n'hésite surtout pas & bon courage pour ta fiche

Ben
Bienvenue & bonne chance pour ta fiche

Bienvenue parmi nous

BEN, BEN, BEN, BEN, BEN, BEN, BEN, BEN, BEN, BEN, BEN, BEN, BEN, BEN, BEN, BEN, BEN, BEN, BEN, BEN, BEN, BEN, BEN, BEN, BEN, BEN, BEN, BEN, BEN, BEN, BEN, BEN, BEN, BEN, BEN, BEN (...) BEN, BEN
Bienvenue parmi nous et bon courage pour ta fiiiche

Je n'avais pas fait attention toute à l'heure mais nous avons déjà un Wayne sur le forum, hors nous évitons les doublons, donc il faudrait changer ton prénom stp

vas pas lui faire peur nash
bienvenue parmi nous.

Nash C. Riddaren a écrit:

Super Casse-couille !!!

Ben Barnes alias Desmond-Dieu c'est censé être un cadavre

Bienvenue quand même
et t'as intéret a respecter Ben Barnes ... sinon j'te bombe

ne l'écoute pas, le forum aussi doit avoir son quota d'handicapé bah lui, c'est le chef

bienvenue mon ami, amuse-toi bien ici :xander:
& bonne chance pour ta fiche

→ Oups.. Je rectifie ça, décidément (a)
Merci à vous tous, quel accueil, j'aime ça

Citation :

et t'as intéret a respecter Ben Barnes ... sinon j'te bombe

Très sympathique ton accueil (aa)
Je vais le torturer rien que pour toi xD
Fallait pas me chercher

Je rajouterai qu'il l'est tellement que non seulement il est le chef, mais en plus, il est l'unique membre.

Bienvenue btw et il est aussi jaloux certainement parce que tu portes Ben mieux que lui

OH MON DIEUUUUUUU BEEEEEEEN !!! Il nous faudra ABSOLUMENT un lien !!
Bienvenue sur NYCL !!

Bienvenue Ben Barnes un dieu

Bienvenue, le beau BARNES

BEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEN. Fais moi des enfants et tu fera de moi, la plus heureuse des femmes sur terre.

Bienvenue sinon.. ♥

Spoiler:

Helynn C. McEven a écrit:

OH MON DIEUUUUUUU BEEEEEEEN !!! Il nous faudra ABSOLUMENT un lien !!
Bienvenue sur NYCL !!

Bien sûr, beauty !

Lilly-Rose M. Pettigrew a écrit:

BEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEN. Fais moi des enfants et tu fera de moi, la plus heureuse des femmes sur terre.

Oh oui !
ça peut toujours se faire

Merci à vous tous !

On va très bien s'entendre toi et moi.

Bienvenue & Bonne chance pour ta fiche

Bienvenue parmi nous