c'est ma main qui fait sourire la Joconde ✩ aaron.
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Empire State of Mind
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Sujet: c'est ma main qui fait sourire la Joconde ✩ aaron. Sam 18 Fév - 20:23
FEAT. PENN BADGLEY
Aaron Nathaniel Jones-Cannon
24 ans → Né à Chicago le 11/01/1988 → Avocat célibataire → hétérosexuel → membre des Playboys.
And who am i ?
★Quels sont tes caractéristiques? → Je ne suis pas vraiment ce genre de personne extravagante, ce genre de personne qui va chercher par tous les moyens possibles et imaginables à se faire remarquer, que ce soit en couvrant son corps de tatouages ou de piercing ou en adoptant un style complètement décalé. Je préfère la sobriété à l'extravagance, si je me fais remarquer, je préfère que ce soit par ma classe et mon charisme naturelle plutôt que d'être ce genre de personnes qui veulent lancer des modes. Je n'ai rien d’extraordinaire à première vue, pas de tics, pas d'allergies, j'ai juste hérité d'un physique plutôt avantageux ce qui attire l'attention de filles... Non, vraiment, n'attendez pas de moi que je me démarque par mon physique, je préfère de loin que les gens retiennent qui je suis plutôt que les moindres traits de mon visage, les moindres accessoires que je peux bien avoir.
★Quel est le caractère de ton personnage? → Un sacré bout-en-train, un p'tit rigolo. Tels étaient les termes que les gens donnaient pour me qualifier lorsque j'étais enfant. Je n'arrêtais pas de déconneur, de faire des blagues, de me marrer. Et, au grand désespoir de ma mère, je n'ai pas vraiment changer. Je croque la vie à pleines dents, mais à l'écouter, je suis bien trop immature pour un garçon de mon âge. Elle n'a pas forcément tort, les choses sérieuses - celles dîtes d'adultes - m'ennuient profondément, et l'ennui est ce que je considère comme le pire des sentiments. Rien ne vaut un bon fou rire, un bon moment passer entre amis à se marrer. Les discussions sérieuses ? On aura bien le temps de les avoir quand on sera vieux et retraités. Aujourd'hui, on me dit aussi souvent que j'ai du charme, que je sais m'y prendre avec les filles. C'est vrai que de ce côté, je n'ai jamais vraiment eu de mal à me faire apprécier, mais j'ai quelques défauts que j'essaie de combler, jour après jour. J'ai beau ne pas avoir de mal à séduire une fille, je suis quelqu'un de jaloux, pas une jalousie maladive, mais disons que je ne suis pas forcément rassuré lorsqu'un mec s'approche de ma copine. Ce qui nous amène à un autre trait de caractère, l'impulsivité, généralement, il m'en faut peu pour m'énerver, je suis très sanguin, être calme en toutes circonstances, c'est tout sauf moi, et tout ça m'attire des problèmes assez fréquemment. Même si en règle générale, je suis un être sociable, mon impulsivité me joue bien souvent des tours...
Well... It's my story...
Je suis né à Chicago, il y a de ça dix-huit ans. Issu d’une famille aisée, je n’ai vraiment manqué de quoi que ce soit, à dire vrai, j’ai toujours eu à peu près tout ce que je voulais. Mon père, propriétaire de la deuxième entreprise de bâtiment du pays était toujours plongé dans ses affaires, à discuter avec ses conseillers des stratégies à adopter sur tel ou tel dossier, à réfléchir à comment dépasser la concurrence... Ma mère, elle, ne travaillait pas, elle était mère au foyer. Attention, pas le genre de mère au foyer qui s’occupe de ses enfants toute la journée, non, elle, elle passait son temps à soigner son image, celle de la famille et à organiser des évènements mondains. Elle et ses soi-disant amies étaient du genre à être en compétition, à se faire la guerre pour savoir qui organiserait la plus belle soirée de l’année, autrement dit, c’était à celle qui en mettrait le plus dans la vue des autres, chez les hommes, on aurait appelé ça : qui a la plus grosse. Tout ça pour dire que mes parents étaient bien trop occupé pour bien prendre le temps de consacrer quelques minutes par jour à ma personne, alors, pensant que ça remplacerait une présence parentale, ils m’offraient tout ce que je voulais. D’un côté, j’étais heureux d’avoir à peu près tout ce que je voulais, je pouvais épater mes copains, jouer avec eux à pleins de trucs lorsque je les invitais à la maison, ça c’était plutôt cool. Mais d’un autre côté, j’aurai bien aimé avoir des vraies relations avec mes parents, avoir une vraie complicité, avoir des personnes à qui me confier. Mais bon, qui j’étais pour me plaindre, beaucoup de personnes devaient envier mon niveau de vie, tout ce que j’avais c’était des problèmes puérils de riche, voilà tout. Puis, à treize ans, mes parents décidèrent de voyager vers New-York, mon père estimant que l’environnement serait plus propice à faire des affaires. Ma mère en était vraiment heureuse, nous nous installions dans l’Upper East Side, place par excellence des grands galas et soirées mondaines, ma mère serait dans son élément, parmi les garces croqueuses de fric et avides de pouvoir. J’étais dans une école privée, avec les p’tits fils de riches qui pétaient plus haut que leur cul, qui se prenaient pour des personnes importantes alors qu’ils n’étaient au fond que de simples adolescents. Ils me faisaient rires à croire qu’ils étaient meilleurs que les autres, c’est vrai qu’ils n’étaient pas l’égal d’un adolescent ordinaire, non, ils étaient pires. Se droguer, se débaucher, tout ça parce que ça faisait mauvais garçon, au fond d’eux, ils enviaient les gens normaux et se sentaient bien cons sur leur planète qu’était cette société bourgeoise.
Ce n’était pas vraiment mon élément, mais je faisais avec, je n’avais pas vraiment d’autre choix de toute façon. Et puis, il ne fallait pas généraliser, tout le monde n’était pas si mauvais au sein de cette bulle sectaire. Le temps passait aussi vite que mes relations s’épuisaient, j’enchainais les relations sans jamais arriver à m’attacher, j’étais obligé de sans cesse aller voir ailleurs. Je dénigrais tous ces connards, mais je ne valais pas mieux qu’eux, peu à peu, j’étais devenu un des leurs, à traiter les filles comme de la merde, à laisser de côté les cours, croyant que j’étais au-dessus de ça. C’est seulement dans la musique que j’arrivais à me retrouver, en composant quelques musiques, guitare à la main. C’était une sorte d’échappatoire, un moyen de m’évader de toute cette merde qui polluait mon existence… J’ai quand même continué mes études, continué d’assister aux galas de ma mère, pour rester dans le droit chemin que m’avait tracé mes parents. J’aurais bien voulu devenir artiste, mais la vie de bohème, il en était hors de question pour mes parents. Je n’avais pas envie de mener une guerre contre eux, vraiment pas, et puis ils avaient sûrement raison, autant choisir une voie plus sûre, le droit, afin de devenir avocat, de bien gagner ma vie, et de rendre fiers mes parents. Puis, il y a deux ans, une relation m’a fait changer, m’a fait devenir plus fréquentable, moins coureur de jupons. Alors que je devais répéter une danse pour une des nombreuses réceptions de ma mère, je rencontrais Maya… Petit à petit, on faisait connaissance, on se rapprochait, jusqu’au jour où l’on a tous les deux craqué, où l’on s’est mis ensemble. Cela dura un peu plus d’un an, elle était mon véritable premier amour. Premier amour qui s’est enfui comme ça, du jour au lendemain, en précisant juste qu’elle partait en Europe. Un véritable déchirement, un départ pour lequel j’ai mis du temps à surmonter. Heureusement, Olivia, une amie de Maya était là, on s’est serré les coudes avant de se rapprocher, inévitablement. On était bien ensemble, ce n’était pas aussi fusionnel qu’avec Maya, mais c’était bien, je me sentais bien, j’étais heureux, c’était le principal… Et puis elle est revenue, revenue chambouler nos vies… Maya était de retour et cela rendait Olivia énormément suspicieuse, à la limite de la paranoïa. Elle me faisait sans cesse des crises, pensant que maintenant que Maya était revenue, je voulais la reconquérir. Je ne savais pas vraiment quoi penser à propos de Maya, mais je savais très bien que je voulais être avec Olivia. Seulement, toutes ces crises m’ont fatigué, notre relation fût écourtée… Depuis je ne sais pas vraiment quoi penser, Olivia, Maya… Maya, Olivia… En tout cas, pour l’instant – et ça me permet de me reposer – c’est le célibat…
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → swaggerback, vingt ans ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → connaissances, top-sites, partenariats, etc. ★Ce personnage est-il un double compte ? → Non. ★Présence sur le forum → 5/7 ★Personnage inventé ou scénario ? → Scénario
Mon exemple de RolePlay:
→ « Tu ne me reverras plus. Je ne reviendrai pas. Poursuis ta vie, je ne m’en mêlerai plus. Ce sera comme si je n’avais jamais existé. » Télécommande : zapper. Les lendemains de soirées étaient de plus en plus poussifs, je les passais, affalé sur le canapé, à mater les films qui passaient à la télé. Pas de chance, aujourd’hui j’étais tombé sur Twilight. Je passais une à une les autres chaînes du câble, rien ne m’intéressait. En fait, je n’avais pas envie de regarder la télé, le problème était que je n’avais envie de rien, je voulais juste que les minutes passent, les unes après les autres, dans l’espoir qu’une occupation me vienne à l’esprit plus tard. En attendant, que faire ? Regarder Twilight ? Non, c’était d’un niais bien trop élevé pour ma petite personne, c’était le genre de film que je ne pouvais vraiment pas voir, complètement plat, avec une histoire d’amour merdique et un scénario mal mené. Et pour couronner le tout, les groupies écervelées d’une quinzaine d’années me donnait envie de déglutir. Je faisais un p’tit tour dans la maison, vaguant, l’esprit vidé. Lire un bouquin, réviser, jouer à la console, surfer sur le net, rien de tout ça m’intéressait, j’étais dans le mal, en train de décuver de ma soirée de la veille. J’avais sûrement besoin de quelqu’un avec qui discuter, histoire de m’occuper un peu, mais bien entendu, ma coloc’ n’était pas là, rien n’allait en ce début d’après-midi. Depuis quelques mois, j’avais quitté la résidence des gammas, adieu les chambres partagées, les salles communes et la vie en communauté et toutes ces contraintes, désormais, j’avais une maison pour moi, ou presque. Je m’étais mis en colocation avec Manon, elle était vraiment friquée et payait plus de la moitié du loyer, je n’allais pas m’en plaindre au vu des prix des logements à San Francisco. A vrai dire, je ne tirai quasiment que des avantages de cette colocation. Premièrement, j’avais un cadre de vie des plus plaisant, passer d’une chambre de douze mètres carré que l’on partage avec un mec qui n’a pas vraiment le sens de l’hygiène à une villa que l’on partage avec une fille plutôt attirante, je ne perdais vraiment pas au change de ce côté-là. Seul petit bémol, j’étais un petit plus loin de l’université et je devais me lever plus tôt pour y aller le matin. Marcher un peu, prendre un métro, acheter un café à emporter, prendre un deuxième métro, remarcher pour enfin arriver à l’université, ça me prenait à peu près trente minutes tous les matins, mais ça ne me dérangeait pas plus que ça, au moins, j’avais des excuses pour mes retards vu les fréquents préavis de grève posés par les compagnies de transport en commun. J’étais habitué à toute cette merde en rapport avec le métro, le bus et tout ce qui se raccrochait aux transports. J’avais vécu pendant dix-huit ans à New York, alors autant dire que le pauvre petit trafic de San Francisco ne m’effrayait pas du tout. C’était peut-être une ville qui bougeait beaucoup, mais ça n’arrivait certainement pas à la cheville de New York. New York me manquait un peu parfois, ça faisait trois ans que j’étais parti, j’y retournais deux fois par an généralement, l’été et pour les fêtes de fin d’année. Mais cette année, j’avais passé Noël à San Francisco, c’était probablement mon premier Noël sans famille. Ok, je n’étais plus un enfant, mais ça me faisait tout de même bizarre, pour moi Noël rimait avec famille, c’était le seul instant de l’année où je voyais mes parents réunis, bien que chacun accompagnés par leur nouveau concubin. J’avais toujours un peu de mal avec situation, je faisais comme si je m’étais habitué mais rien n’y faisait, je ne pouvais pas supporter de voir mes parents avec quelqu’un d’autre. Ils étaient pour moi l’allégorie parfaite de ce qu’on appelle âme sœur. Ils étaient fait l’un pour l’autre, cela ne faisait pas l’ombre d’un doute, mais ils avaient fini par se séparer, comme quoi l’amour c’était vraiment de la merde… Ce n’était qu’un terme inventé par un illuminé qui cherchait à se rendre intéressant, qui cherchait à justifier l’intérêt qu’il avait pour une personne, tout simplement. L’amour, je décerne la palme de la stupidité à quiconque y croit dur comme fer. Tout ça est prouvé scientifiquement, ce qu’on appelle amour n’est en fait qu’une attirance qui dure au maximum trois ans. On parle de grand amour ? Quelque chose qui ne dure que trois ans au mieux ne peut pas être grand, c’est juste de la merde, point. Ce genre de relation ne mène à rien, si ce n’est à la souffrance. J’étais tombé une fois dans ce putain de piège, je n’étais pas prêt de refaire la même erreur.
Finalement, j’avais réussi à trouver une occupation, aussi putride soit-elle, je posais des réflexions plus ou moins haineuses sur un des sentiments les plus envié de la planète. Six milliards de personnes, la plupart croyant en l’amour, ça en faisait des idiots complètement naïfs. On nous bombarde de films romantiques happy ending merdiques au lieu de nous raconter la vérité, c’est-à-dire que plus d’un mariage sur deux termine en divorce, que bon nombres d’hommes ont recours à l’adultère, que les mariages tiennent la plupart du temps uniquement pour ne pas blesser les enfants, non, tout ça on ne nous le montre pas assez. On veut nous faire rêver, rêver qu’un jour, le grand amour sera à notre portée. Une arnaque de plus dans ce monde corrompu de toutes sortes, on nous vend des choses qui sont hors d’atteinte, des choses que l’on ne pourra jamais obtenir de la manière qu’on le voudrait. Qu’ils aillent se faire foutre à faire espérer les plus naïfs d’entre nous en nous vendant des daubes commerciales comme cette putain d’attardée qui va tomber amoureuse d’un mec qui n’a qu’une envie : la tuer. Mais bien entendu, leur amour triomphera de ça, mon cul ouais, Twilight était la crème de la merde. Tout ce désir que l’on essayait de nous vendre, que ce soit dans les films, dans les livres, dans les pubs, tout ça, ça me répugnait, ça me répugnait mais je me faisais quand même avoir, parce qu’après tout, si on ne le fait pas, on vit en ermite, et je n’étais pas encore tout à fait prêt à ça.
Le vibreur de mon portable me sorti de mes pensées, retour à la réalité et ce n’était pas plus mal étant donné que j’étais à moitié en train de péter un câble, avec cette satire de l’amour et de la société de consommation que je m’infligeais à moi-même, comme si j’avais besoin de me convaincre, parfois je me faisais limite peur à agir de la sorte. Je regardai rapidement mon téléphone, un texto d’une fille que j’avais rencontré la veille au soir.
Emily a écrit:
T’étais vraiment en forme hier soir. On remet ça ce soir grand fou ?
Encore une qui allait me saouler longtemps si je ne m’étais pas les choses au clair rapidement. Je lui répondis dans la foulée, plutôt sèchement.
Adam a écrit:
Je t’ai baisé, j’ai eu ce que je voulais, tu ne m’intéresse pas. Donc maintenant, si tu pouvais me laisser tranquille, je t’en saurai gré. En plus, t’es pas spécialement un bon coup, au revoir.
Je n’aimais pas ce genre de filles qui pensaient que je voulais les revoir juste parce qu’on avait passé un bon moment au pieu. Si jamais on devait se revoir, ça se ferait naturellement, ce n’étant pas en criant au sexe par texto que j’allais accourir, j’aimais les challenges, pas les garages à bites. Ces filles-là ne se respectaient vraiment pas. Qu’elles aiment avoir des rapports sexuels fréquents, je pouvais le concevoir, mais montrer de la sorte qu’elles étaient en manque, c’était tout bonnement affligeant. Quel homme pouvait être attiré par ça ? Ca revenait à aller aux putes, sauf que là, c’était gratuit, mais le taux de contamination était sûrement sensiblement équivalent. Avec tout ce monde qui passe dessus, ce ne sont plus des filles mais des autoroutes. Nan, tout homme qui se respecte préférait une femme raffiné à une traîné. Qui plus est, il est toujours bien plus intéressant d’avoir un challenge, de corser un peu le jeu en séduisant une femme qui couche avec le premier venu, et puis, soyons honnête, c’est aussi bien plus glorifiant.
Je me dirigeai vers la cuisine pour me servir un verre de vin lorsque que l’on sonna à la porte. Si c’était encore un commercial qui venait pour vendre une machine à laver ou quelque chose du genre, je l’étriperais. Ces enfoirés commençaient à me gaver à un point inimaginable, toutes les week end, on y avait droit, j’avais déjà insulté le dernier, je pensais que ça aurait suffi, mais apparemment non. J’étais encore torse nu, je pris rapidement une chemise en jean qui était sur le canapé, près de l’entrée et allais ouvrir à mon mystérieux visiteur. Surprise, ce n’était pas un commercial qui venait me démarcher, mais une jolie jeune fille qui se trouvait sur le pas de la porte. Alaska, une amie de Manon que je mettrais bien dans mon lit… Il y avait un peu de séduction dans l’air entre nous deux, rien de bien méchant, on aimait juste jouer l’un avec l’autre… « Tiens, comme c’est gentil à toi de venir me tirer de ma solitude. Tu es trop bonne. » lâchais-je ironiquement. Elle sans aucun doute venu voir Manon, et non moi, mais ce n’était pas grave, un peu de contact avec la civilisation ne pouvait pas me faire de mal, ça m’empêcherait au moins de ruminer de mauvaises idées. « D’habitude les filles ne viennent pas jusqu’à chez moi pour me supplier de les mettre dans mon lit, mais j’apprécie le geste. » continuais-je, sur ma lancée, sourire en coin, ironique et aguicheur au possible. C’était peut-être ça dont j’avais besoin après tout, jouer un peu. A un super jeu qui plus est. « Rentre je t’en prie, comment va mademoiselle Valdès aujourd’hui ? » Tout en parlant, je la faisais rentrée dans la villa, en bon hôte que j’étais…
Le code règlement:
→ Yankees Rock.
Dernière édition par Aaron N. Jones-Cannon le Dim 19 Fév - 1:07, édité 2 fois
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: c'est ma main qui fait sourire la Joconde ✩ aaron. Sam 18 Fév - 20:29
Bienvenue & Bonne chance pour ta fiche
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: c'est ma main qui fait sourire la Joconde ✩ aaron. Sam 18 Fév - 20:29
Qu'est ce qu'il est beau sur ton avatar dans la présentation Bienvenue & bonne chance pour ta fiche Merci encore d'avoir pris le scénario & n'hésites pas si tu as la moindre question
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: c'est ma main qui fait sourire la Joconde ✩ aaron. Sam 18 Fév - 20:32
Penn Badgley Bonne chance pour ta fiche
Mackenzie J. Howard
Empire State of Mind
i love the ring of your name you're the yin to my yang
▌INSCRIT LE : 01/07/2010
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▌ADRESSE : 6812 Beverley Road #104, Brooklyn. avec l'amour de sa vie.
Sujet: Re: c'est ma main qui fait sourire la Joconde ✩ aaron. Sam 18 Fév - 20:40
Bienvenue !
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: c'est ma main qui fait sourire la Joconde ✩ aaron. Sam 18 Fév - 21:42
Bienvenue parmi nous N'hésite pas si tu as besoin
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: c'est ma main qui fait sourire la Joconde ✩ aaron. Sam 18 Fév - 23:36
Bienvenue
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: c'est ma main qui fait sourire la Joconde ✩ aaron. Dim 19 Fév - 1:07
Merci tout le monde Ma fiche est terminée
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: c'est ma main qui fait sourire la Joconde ✩ aaron. Dim 19 Fév - 1:08
Bienvenue ici you cette fois ci on fait tout bien rien que pour honorer la connexion toussa, toussa
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: c'est ma main qui fait sourire la Joconde ✩ aaron. Dim 19 Fév - 1:20
ouais j'pense qu'on a retenu la leçon t'façon
et tu seras pas la dernière you, donc le meilleur pour la fin, ça sera pas toi
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: c'est ma main qui fait sourire la Joconde ✩ aaron. Dim 19 Fév - 1:22
Validé !
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Sujet: Re: c'est ma main qui fait sourire la Joconde ✩ aaron.
c'est ma main qui fait sourire la Joconde ✩ aaron.
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