Sujet: COSTA ☆ on a qu'une seule vie, viens tu me donnes trop chaud ♪ Ven 17 Fév - 23:12
FEAT. CANDICE SWANEPOEL
Catarina Linaya Zélia Costa
23 ans → Née à Fundaõ, Portugal le 27/10/1988 → Gérante d'une boutique & vendeuse / Stripteaseuse la nuit. → Célibataire → Hétérosexuelle → Membre des Populars.
And who am i ?
★Quels sont tes caractéristiques? → A été adopté à ses dix ans ☆ Quitte le Portugal pour aller vivre à Paris jusqu'à ses dix-huit ans ☆ Ne connait pas son père ☆ Fille unique ☆ Vie que pour sa meilleure amie ☆ A déjà fait une fausse couche il y a trois ans ☆ Est amoureuse de son meilleur ami ☆ Libertine, fêtarde ☆ A un tatouage sur le bas du ventre ici☆ Manipulatrice, charmeuse ☆ Adore jouer avec les garçons s'en vraiment rien faire au final ☆ Une fan de Just Dance, elle pourrait y passer des heures ☆ Est stripteaseuse la nuit, mais le fait que lorsque les fin de moins sont rêche ☆ Est gérante d'une boutique de prêt-à-porter de la marque Victoria's Secret ☆ A fait du mannequinat pendant un an à New-York il y a quelques temps déjà ☆ A fait des études de droit dans une université à Harvard ☆ Généreuse, elle n'hésite pas à aider ceux qui sont dans le besoin ☆ Aimerais avoir un enfant ☆ A toujours été déçu côté amour ☆ Son dernier petit-ami l'a quitté parce qu'elle ronfle la nuit ☆ Elle est loin d'être pudique, mais déteste qu'on regarde ses pieds ☆ A passé son code trois fois avant de l'obtenir, aujourd'hui elle a le permis ☆ Parle beaucoup trop parfois ☆ Vaux mieux éviter de l'embêter lorsqu'elle est en colère ☆ Déteste la soupe ☆ Sa boisson préféré est le Fanta citron ☆ Allergique au chocolat noir ☆ Asthmatique ☆ Ne supporte pas la prononciation du mot " Biscuit "
★Quel est le caractère de ton personnage? → Généreuse ☆ Forte ☆ Fière ☆ Sur d'elle ☆ Un peu prétentieuse sur les bords ☆ Géniale ☆ Douce ☆ Gentille ☆ Sociable ☆ Habile ☆ Travailleuse ☆ Déterminée ☆ Courageuse ☆ Parfois sensible ☆ Très jalouse ☆ Possessive ☆ Vraiment têtue ☆ Beaucoup trop naïve ☆ Maniaque ☆ Trop franche.
Je vais vous en dire au maximum sur moi, mais sachez qu’il y a certaine chose qui ne seront pas facile à croire. Commençons par le moins bien, mes défauts. Je peut paraître conne sur les bords pas vrai ? Certainement suite à ma couleur de cheveux, le blond. Sachez que les apparences sont parfois trompeuses, je suis loin d’être comme ça. Tout d’abord, je suis très intelligente. J’ai obtenue mon diplôme de droit en trois ans, donc sa prouve bien que j’ai quand même quelques choses dans la tête, pas vrai ? Bref, de ce côté-là, il n’y a vraiment aucun soucis à se faire. Je suis généreuse, sérieuse ? Oui absolument. J’adore aider les gens qui sont dans le besoin et surtout - en grande partie - ceux que je connais et que j’aime bien évidemment. Il n’est pas faux que je n’aide pas un sans abri dans la rue, parfois je m’en vais chercher un sandwich pour ses clochards, mais sachez que je ne le fais pas souvent je tiens quand même à garder ma réputation de « fille prétentieuse » et tout ça. Vous voyez le genre ? Forte et fière, bon c’est vrai qu’on dirait pas trop comme ça, mais je suis bien ce genre de fille. Je suis un peu trop fière de moi, genre j’suis fière d’être ce que je suis et si sa te plaît pas tant pis. Ou il y a encore le mot plus approprié « fierté ». Voilà comment je me définirais. Je suis donc très sûre de moi et il m’arrive de prendre des décisions à la légère, voir même à la rigolade quoi. Tout le monde me le dit, je suis géniale. Même si j’ai un côté peste avec mes pires ennemies que j’aime vraiment emmerder. Je cache derrière tout ça, un caractère renfermé et sensible. Et oui, au fond de moi je suis une fille douce et attachante. J’arrive à me faire beaucoup d’amie avec ce deuxième caractère. Je cache bien mon jeu, je le sais. Je suis donc une personne très sociable, j’aime aller vers les gens et c’est de cette manière qu’on m’apprécie. Je suis très ouverte et je ne suis gêner sur aucun sujet. Sinon, je suis également une femme très déterminé, courageuse et travailleuse … quand je veux quelque chose, je l’obtiens tout de suite. Quant à mes défauts, ça va être plus court car je n’aime pas trop m’aventurer sur le sujet. Je suis une fille sensible … et non, je ne rigole pas. C’est bien le cas, il y a parfois certaine chose qui peuvent réellement me blesser et donc une fois fais … c’est la galère après, me voir pleurer et tout ça … pas super. D’ailleurs, on m’a beaucoup qualifié comme étant une « gamine » parce que je pleurais souvent pour rien. Mais j’ai quand même un peu évoluer sur ce terme. Je suis Jalouse … mais alors très très jalouse ! Pire que moi, il n’y a pas pire. Enfin jalouse … vraiment quand je suis amoureuse du garçon en question sinon il se peut que je m’en fiche royalement. D’ailleurs côté cœur, ce n’est pas vraiment la grande forme, j’ai souvent était naïve, mais maintenant c’est différent. Je suis toujours naïve, mais plus sentimentalement. J’ai vraiment bon caractère maintenant. Je suis une personne têtue et bornée … je tiens ça de ma mère apparemment. Beaucoup trop franche au gout de certain, mais que voulez vous je n’aime pas passer par quatre chemin. Quand j’ai quelque chose à dire, je le dis et je ne cherche pas à comprendre. Même si parfois je regrette, car sa peut faire mal. Rancunière est mon pire défaut … alors attention au couteau dans le dos.
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → CJ.Pomme' & j'ai dix-huit dans dans deux mois ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → Je ne m'en souviens plus, surement par rapport à PRD. ★Ce personnage est-il un double compte ? → C'est le premier, mais j'en ai un deuxième effectivement. ★Présence sur le forum → Très souvent, mais beaucoup plus le week-end quand même. ★Personnage inventé ou scénario ? → Inventé.
Mon exemple de RolePlay:
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☆ FLASH BACK ☆
Un retour en arrière. Lorenzo de retour à Rome après avoir quitté les Etats-Unis ou plus particulièrement New-York. Il vient d'échouer à son examen final tout ça parce qu'il c'est un peu trop concentré sur sa vie de famille. Ce qui est tout à fait normal. Après avoir raté son mariage avec Liberty, Lorenzo c'est très vite mit en tête de re-abandonner New-York pour rejoindre son pays natale. Tout ça pour réussir ces études, c'est en s'inscrivant à une formation pour devenir policier que sa vie prendra un changement. « Alors, Monsieur Loris. Pourquoi voulez-vous vous engager dans notre enseigne de police ? » Ce fut la toute première question qu'il avait reçu en face du capitaine de police. Lorenzo fut un peu submergé de se retrouver en face de quelqu'un qu'il détestait étant plus jeune. Et oui, car Lorenzo a fait beaucoup de bêtises. Mais à ces dix-huit ans son casier a été effacé et ensuite il s'est comporté comme un grand et a très bien géré ces responsabilités. « Je n'ai pas eu une vie très passionnante, étant plus jeune j'ai fait beaucoup de bêtises et c'est seulement à mes dix-huit ans que je me suis rendu compte des impacts que tout cela pouvait causer. Je ne devrais pas vous parler de ça, car cela pourrait nuire à mon engagement, mais sachez que tout cela j'y regrette amèrement. À présent j'ai besoin d'avoir de plus grande responsabilité. J'ai deux enfants, deux merveilleux enfants et je ne vois pas ma vie sans eux. Si je suis là, si je me propose auprès de vous c'est bien pour réussir ma vie, donner le plus possible à mes bouts de chou et pour aider ma patrie. En regardant le journal ce matin, j'ai appris qu'une famille venait de perdre leur enfant, une petite fille de deux ans. Je n'aimerais pas que ça m'arrive, alors je veux aider. Je ne suis peut-être pas un bon père, peut-être pas un bon frère ou je ne sais trop quoi, mais ce qui est sûr c'est que j'aime venir aux besoins des gens. J'ai vraiment besoin de ce métier. Je vous promets d'être fidèle au poste. » Bon ok, ce n'était pas vraiment un bon moyen pour ce faire embaucher dans une gendarmerie, mais après tout il l'a eu ce job. Il est devenu policier en à peine quelque mois. C'était fini la vie merdique, à présent il devait remonter la pente avec ou sans Liberty. Et oui, cette fille il l'aura toujours en tête.
☆ FIN FLASH BACK ☆
Devant Liberty, Lorenzo a toujours fermé un peu sa bouche. Pourquoi ? Parce qu'il en est amoureux. Enfin, certes quelques fois il n'hésitait pas à la ramener lorsque ceci était nécessaire. Depuis qu'il n'est plus avec Lorenzo a complètement changé. En bien ou voir même en mal. Les filles sont de passage dans sa vie de célibataire, à présent il évite de trop se concentrer sur une nouvelle relation. Le plus important est de s'occuper de ses enfants, gérer son travail et surtout se trouver un appartement. Car malgré tout, Lorenzo se donne du mal pour élever son fils et sa fille dans de bonnes conditions. En ce moment, il réside dans une chambre d'hôtel, mais pas n'importe lequel : le plus luxueux de New-York. Donc c'est assez spacieux pour élever des enfants. Malgré tout, il compte bien se faire un vrai nid douillet. De retour à New-York depuis peu, Lorenzo devait absolument ramener Elena et Mathéo à leur mère. Tout d'abord, parce qu'il les a eu durant les fêtes de Noël et qu'il serait peut-être temps qu'ils revoient Liberty. Lorenzo s'en voulait un peu d'avoir était jaloux lorsqu'il a appris que David avait accouché son ex-fiancée. Malgré tout, il fallait le comprendre. Entre temps, Lorenzo avait mal agi et cette âme de jeune adolescent était revenue et il a profité de l'accouchement de Liberty pour aller voir une autre fille. Evidemment, il s'en veut. Quand on regarde, ce beau blond s'en veut tout le temps. Liberty est la personne la plus chère qu'il est eu dans sa vie et certainement la seule histoire d'amour qui est réellement duré voilà pourquoi il ne sait plus où donner de la tête. Ce qui est sûr c'est qu'il n'arrivera pas à la reconquérir, David n'est pas loin après tout. « Elena, ma puce, tu as fait ton sac ? » dit-il a sa fille complètement scruté devant la télévision. « Oui » avait-elle simplement répondu. Quant à Mathéo, il pleurait. Une habitude en ce moment. Lorenzo s'occupa de lui faire son biberon et de préparer le plat d'Elena. Des légumes et un bon steak - délicatement coupé par les soins de son papa - pour midi, c'est bien suffisant. « Finit de manger ma puce et après on rentre chez maman. » dit-il à sa fille. Lorenzo se mit en face d'elle, avec Mathéo dans les bras et s'occupa de le nourrir comme il le fallait. Il demanda à sa fille d'aller se laver les dents comme une grande et d'enfiler une veste. Evidemment, il lui a laisse le temps de digérer son repas ! Elena avait subis une opération il n'y a pas très longtemps alors, Lorenzo faisait en sorte qu'elle prenne son temps. « Tu peux regarder la télé le temps que j'habille ton frère. » Dit-il en lui déposant un baiser sur le front. Il avait les yeux qui pétillaient à chaque fois qu'il la regardait.
Une fois que tout le monde fut près, Lorenzo en profita pour ce coiffer et ce parfumer très rapidement. Il n'avait pas revu Liberty depuis les fêtes de Noël. Il souriait à ses enfants et attrapa ses clefs de sa voiture ainsi que son téléphone portable qu'il rangea dans sa poche de jeans. Il attrapa le sac de la petite au vole, ferma la chambre à clef et la petite famille pris la route en direction du parking. Lorenzo ouvrit la voiture, attacha le siège auto de Mathéo correctement et le posa dedans délicatement. Il l'attacha et s'occupa ensuite d'Elena. Il l'attacha à son tour. « C'est parti ! » Lorenzo leur souris et ferma les portes avant de se diriger à la place conducteur. Au bout d'une vingtaine de minutes de route, ils arrivent en bas de l'appartement de Liberty. Elle devait être très pressé de revoir ses enfants. Lorenzo pris Mathéo dans ses bras, sortie les sacs du coffre de la voiture et se dirigea jusqu'à la porte tout en tenant la main d'Elena. Il sonna alors qu'Elena se précipita pour rentrer à l'intérieur.
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Dernière édition par Catarina L. Costa le Dim 19 Fév - 18:00, édité 22 fois
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Sujet: Re: COSTA ☆ on a qu'une seule vie, viens tu me donnes trop chaud ♪ Ven 17 Fév - 23:13
Le jour de ma naissance✩C’était le 27 octobre 1988, je ne m’en souviens pas, j’étais encore dans le ventre de ma mère à quelques heures près du moins. Alors, comment vous racontez ce jour si spéciale ? On va déjà commencer rapidement avec la rencontre de mes parents. Ma mère, Marya Costa, est avocate. Là, ont pouvait dire qu’elle avait de quoi faire rêver plus d’une famille. Chaque procès gagner, lui rapporter une très grosse sommes d’argent, environ 5.000 escudo (oui, dans ce temps-là c’était encore de la monnaie portugaise appeler « L’escudo » maintenant remplacer par la monnaie européenne « l‘euro » depuis le 31 mars 2002) Beaucoup d’argent, il faut l’avouer. Quant à mon père, en réalité, je vais pas pouvoir vous dire grand-chose sur lui. Tout simplement, parce que je ne l’ai jamais connu et je n’ai pas chercher à le retrouver. A quoi sa sert ? Mise à part se faire rejeter, aucune envie. Ma mère m’a toujours dit qu’il ne méritait pas une aussi belle famille. J’ai jamais compris pourquoi elle me répétait sans cesse cela, il a certainement fait quelque chose de mal pour qu’elle pense en mal à son sujet. J’ai chercher un tas de question dans ma tête, pour ensuite les poser à ma mère. Elle changeait de conversation rapidement … au final j’ai appris qu’il était marié avec une autre femme et qu’il ne voulait pas continuer sa relation « secrète » avec ma mère, pour ne pas gâcher celle avec sa « vraie » femme. En gros, il en a rien à faire de ma tête … bref, tout ça pour dire que j’ai pas de père, même si au plus profond de moi j’aurais aimé en avoir un, une épaule sur laquelle me reposer quand je suis en déprime et tout ça … un vrai repère tout simplement. A ma naissance, ma mère fut la plus heureuse au monde. Mon sourire l’avait charmée, comblé … elle avait l’impression que le monde tournait autour d’elle. La sage femme avait beaucoup sympathisé avec elle d’ailleurs et elle n’arrêtait pas de complimenter ma maman par rapport à mon physique. « Cela fait trois ans que je travaille dans cet hôpital et je dois bien avouer que je n’ai jamais vu un bébé ou plutôt une petite fille aussi belle que la vôtre. » Les sages-femmes étaient toute étonné en apprenant que j’étais portugaise … oui, car je n’ai pas du tout la peau matte. C’est de mon père ce côté, il est Canadien. Ma mère me ramène à la maison quelques jours après qu’ils aient constaté que je serais asthmatique. Il y a eu des complications lors de l’accouchement, au lieu de mettre quatre heures à l’accoucher, ils ont mit le double. Mon cœur a arrêter de battre pendant un fragment de seconde, mais aujourd’hui je suis toujours là. Ma mère se faisait toujours du soucis pour moi, toujours peur que je fasse des crises d’asthme. La plupart se faisait en été, mais rarement l’hiver. Mon asthme a commencer à réduire au fil des années.
Mon enfance✩Pour mon enfance, on va dire que c’est un peu plus simple. Même s’il y a certains chapitres que j’aimerais éviter de vous raconter, mais après tout si je suis ici c’est bien pour ça non. Débutons. Depuis ma naissance, je suis aimée. Sans me vanter bien sûr. Quand ma mère croisait les parents d’autres enfants, ils disaient que du bien de moi. J’étais vraiment fière de moi à ce moment-là. J’avais l’impression d’être quelque chose dans ce monde et pourtant je n’étais qu’un petit être fragile dans un monde de fou. Les portugais de Fundaõ sont vraiment des anges, tous accueillant les uns des autres. A mes cinq ans, je finis par rentrer à l’école comme tous les enfants du monde, je suis dans la capacité de faire quelque chose de ma vie. J’apprend à lire, à écrire et même à compter. C’est vraiment quelque chose quand on est petit comme ça. Mes récréations je les passait dans les bras du petit garçon de la voisine, Lorenzo. Il est vraiment beau, il a un an de plus que moi à ce moment-là. Il paraitrait que je griffais toutes les filles qui s’approchaient de lui. J’étais une petite peste pure et dure, c’est ça l’amour. On était jeune, une petite amourette de rien du tout, qui n’a aucune importance. Il est certain que si je revois se garçon, je serais contente, ça me rappellerais de nombreux souvenirs. Finalement, je finis la maternelle et j’entre en primaire vers sept - huit ans … la cours des grands gamins on va dire. J’étais vraiment dans mon élément, j’avais l’impression que la cours m’appartenait. Derrière-moi j’avais un petit groupe de filles, des vrais petit chiens en faite, même si c’était des filles de rêves, avec un grand potentiel. Au final, il n’y en a qu’une pour qui j’ai attaché de l’importance. Elle s’appelle Féliciya. Vraiment jolie cette fille, elle est devenue ma meilleure amie. Sans elle, ma vie n’avait plus aucune importance. Notre vie, on la voyait ensemble et pas autrement. On avait déjà décidé qu’on serait marraine de nos enfants enfin vous voyez quoi, les trucs qu’on se dit quand on est enfant et qu’on ne fait pas quand on est à l’âge d’avoir des enfants. Bref, mes années se passèrent tellement bien, un peu trop bien d’ailleurs. Quand j’atteints mes dix ans, quelque chose de très grave va détruire ma vie. Je m’en souviens, car c’est en partie à cause de moi que c’est arrivé. J’étais à l’école ce jour-là et la journée n’avait pas été vraiment bonne. Je m’étais battu avec une fille, car elle avait craché sur Féliciya. La directrice à contacter ma mère, celle-ci travaillait et elle s’est dépêcher de venir me rejoindre pour avoir des explications à tout ce raffut qui pourrait lui faire perdre son travail. Seulement voilà … elle n’est jamais arrivé et personne n’a su pourquoi pendant bien deux heures. La directrice s’acharnait sur le numéro de ma mère. Elle ne répondait pas, jusqu’à ce quelqu’un décroche … une voix d’homme. « Bonjour madame, êtes-vous de la famille à Madame Costa ? » « Non, je ne suis que la directrice de l‘école de sa fille. Qu’est-ce qui se passe ? Rien de grave j’espère ? » « Justement, il faudrait que vous trouvez quelqu’un pour venir chercher la petite à l’école … un membre de sa famille, une amie. » « Je peux savoir ce qu’il se passe ? » « Cette petite fille, viens de perdre sa mère. » Sur ces mots, la directrice était choqué. Je m’en souviens encore, son regard perçant devenue triste. Elle ne froncé plus les sourcils, elle me regardait complètement apeuré. Une petite heure après, la maman de Féliciya vient me chercher à l’école pour m’emmener à l’hôpital. Je savais qu’il se passait quelque chose de grave, mais personne ne voulait rien me dire. Féliciya avait quitter les cours elle aussi, elle tenait ma main dans la voiture. Elle était au courant, elle avait pleurer. En arrivant à l’hôpital, j’ai constater que c’était quelque chose de grave. Un médecin est venu me voir ou du moins un psychologue. Et là, il m’a sortie tout un tas de mots incompréhensible. Et j’ai simplement répondu « Où est ma maman ? » Il m’a prit dans ses bras et j’ai compris la suite. J’ai pleurer, pendant une heure, deux heures, trois heures, des jours, puis des semaines. Je n’avais plus de vie à l’heure actuelle. Au final, j’ai étais placé dans un orphelinat, mon père ne voulait pas de moi. La police l’avait retrouver, mais il ne voulait rien savoir. Trois mois après, je tombe dans une famille richissime comprenant de nombreux garçons et de nombreuses filles, tous adoptés. Comme moi à dix ans. « Nous sommes ta nouvelle famille, si tu as besoin de quoi que ce soit on est là. » avait-elle dit. J’avais déménager en France à Paris, loin de mon pays au Portugal. J’avais tout perdu ma mère, mon pays, mes amies, mon école, mes passions, mais surtout le pire dans tout ça … ma meilleure amie. Celle qui a toujours été la pour moi. J’étais détruite, à quoi bon continuer de vivre ?
Mon adolescence✩J’avais tout perdu, pourquoi continuer ? Je n’en sais rien. Cette famille d’accueil est vraiment fabuleuse, mais je savais qu’en restant avec eux ma vie changerait au plus haut point. J’avais l’intention d’être une femme sage, amoureuse, qui veut fonder une famille, mais non là tout va changer. Je dois attendre mes dix-huit ans avant de pouvoir faire quoi que ce soit, cet-à-dire quitter la maison. Ma vie changera. Cependant je vais vous raconter un peu rapidement mon adolescence. Tout d’abord, j’entre dans une école privé à Paris. Au départ, je me sentais vraiment mal à l’aise … je ne me sentais pas dans mon élément, pas chez moi quoi. Cela forgé mon caractère et c’est à partir de là que j’ai commencé à devenir une vraie peste. Malgré tout, je prenais soin de mon image. Je me respecte et ça, personne ne le croit à cause de mon physique de poupée Barbie. Aux yeux des autres, je serais une fille facile. Oui, j’ai quinze ans et on me qualifie déjà comme ça et pourtant, je n’ai encore jamais eu de rapport et encore moins d’histoire d’amour. Enfin presque, au final je suis devenue la méchante, tout le monde me détestait, je subissais beaucoup de moqueries à cause de mon asthme, on me ridiculisais tellement que j’ai finis par devenir plus forte, plus sur de moi. J’ai commencer a sécher les cours, a sortir en boite de nuit, à me défoncé la tête avec ce que je pouvais que ce soit alcool ou drogue. Et ça, personne ne l’avait remarquer. Un jour, alors que j’étais en train de me rouler un joint … une fille de mon âge est venu me voir. Je n’ai même pas poser mon regard sur elle, que je reconnu cette voix familière. « Tu ne devrais pas te détruire pour eux. Tu as changé Ina » avait-elle dit en me regardant, les bras croisés. En relevant la tête, j’ai tout de suite compris que j’allais redevenir le moi d’avant, la fille sage, celle qui ne fume pas et qui ne boit pas. « Mais que fais-tu ici ? » « Cache ta joie. Et bien, dis-toi que j’ai réussi à convaincre ma mère pour venir vivre ici près de toi. » « T’es sérieuse ? Mais Liciya, tu ne peux pas savoir comment je suis heureuse de te revoir. Tu m’as tant manqué ! » « Je sais, mais je suis là maintenant alors tu va vite arrêter tes bêtises. Commence par jeter ce que tu as dans la main. » J’ai fais ce qu’elle m’avait dit de faire. A présent, je devais me reprendre en main et avec son aide, je pouvais m’en sortir. Elle et moi c’est pire qu’une famille, c’est toute ma vie, ma meilleure amie, la seule et l’unique à mes yeux. Sans elle, je suis vraiment foutu … la preuve durant cinq ans que je ne l’ai pas revu - en dehors des conversations skype - j’étais devenue une sale camée. Je ne m’aimais plus. J’ai donc tout jeté, seulement malgré qu’elle soit présente j’étais déjà devenue accroc à cette drogue et il faudra beaucoup de temps pour me faire arrêter. « Ina ! Tu m’avais promis d’arrêter ! Pourquoi tu continue ?! » Dit-elle en me regardant fumer et devenir plus zen. J’étais dans ma chambre, ma famille d’accueil n’étais pas là. J’avais sécher encore une fois, Féliciya l’avait compris et elle tout de suite arriver. « J’en ai besoin Liciya Je ne peut plus m’en passer. Il faut vraiment que tu m’aides. » « J’ai beau le faire, tu ne fais rien pour arrêter. Ecoute, si tu continue, nous deux c’est terminé. » « QUOI ? Mais tu es cinglé, nous deux c’est pour toujours, tu as déjà oublier ? » « Disons que, si tu ne t’arrête pas, tout va changer. » Et elle est partit. J’ai compris … il faut vraiment que j’arrête sinon je perd ma meilleure amie. Alors, j’ai commencé par fumer un peu moins, j’ai pris des médicaments antistress et tout ça pendant un petit moment. Au final, j’ai mis un an et demi pour tout arrêter et ça grâce à elle. Que ce soit alcool, drogue et même le sexe … et oui, car je ne me respectais plus. Je couchais avec n’importe qui. Je suis devenue plus clean et j’ai changer d’école après avoir raconté mes histoires à mes parents adoptifs, je suis dans la même école que Féliciya.
Depuis son arrivé, ma jeunesse a vraiment changer. J’avais l’impression d’être importante dans ce monde. J’ai changer et je suis heureuse. Féliciya a vraiment tout fait pour moi, elle s’est une fille modèle, super, géniale, personne n’est aussi parfaite qu’elle. C’est mon repère, à présent j’ai toujours besoin d’elle. A nos dix-sept ans, dans notre école de mannequinat, car oui, Féli est entré dans une école de mannequinat et elle ne m’avait pas prévenu, finalement on quitte Paris pendant une bonne année pour aller à New-York faire des études. Et c’est ainsi que ma carrière de mannequin à commencer. Nous étions les Elites modèles, de vrais beauté sortie de nulle part. Notre vie était tracé. Ensuite, on est revenue vivre à Paris pendant un an, mais pour moi c’était l’heure de dire au revoir à ma famille d’accueil. « Je tiens à vous remercier de tout ce que vous avez fait pour moi, sincèrement merci. Mais aujourd’hui, il est venu le temps pour moi de vous dire au revoir pour un petit bout de temps. Je vais à Harvard avec Féliciya, ont part faire des études de droit et on ne reviendra pas avant trois bonnes et longues années. De plus, j’ai prévu de partir vivre à New-York ensuite. Je ne reviendrais plus, vous avez mon numéro n’hésitez pas à me contacter. » C’est fait, j’ai pris mes valises et je me suis rendu à l’aéroport pour m’envoler à Harvard. Féliciya était déjà là, comme si ça avait été simple pour elle de quitter sa mère. « Sa va aller ma puce, on va y arriver. » lui dis-je en entrant dans l’avion. Et voilà, c’était finis la vie à Paris.
Passage à l'âge adulte✩Je suis donc aller vivre à Harvard. C’était en quelque sortes un nouveau départ dans cette vie merdique que j’avais, pour moi tout allait à nouveau changer. Avec l’aide de Féliciya, il y avait beaucoup de chance pour qu’on s’en sorte. Comment recommencer une vie sans argent, sans amies, sans endroit ou loger ? C’est ça la question. En arrivant à Harvard, l’université nous propose des chambres étudiants/étudiantes. On a finit par choisir cela et donc au fil du temps on a finit par s’intégrer. On est devenue des adultes, on doit se débrouiller comme ont peut. On a finis par se trouver un appartement au bout de quelques mois et même des petit travail qui nous sert à payer le logement. Au départ, je me suis lancé en tant que serveuse dans un bar très connu là-bas et puis, au final j’ai commencer à faire autre chose, une chose que Féliciya n’est pas au courant. Je suis devenue stripteaseuse à mes heures perdu, mais cela seulement quand les fins de mois sont vraiment très rêche. Bref, rien d’important puisque j’y fais que très rarement. Il y a un petit temps, j’ai rencontré ce garçon à Harvard, Jaõ. J’avais complètement craquer dessus, j’étais amoureuse … Je ne me voyais plus sans lui et ça, Féliciya l’avait bien remarquer elle aussi. J’adorais ce garçon, il avait le don de me faire rire, de me faire sourire. Il me rendait heureuse. Tout le mal que j’avais vécu dans mon passé c’était envolé. Il était vraiment amoureux de moi, tout comme moi de lui. J’ai finis par rencontre ses parents. Nous sommes restés ensemble pendant bien deux ans et demi. On a dû se quitter quelques mois après, car j’avais terminé mes études et il était temps pour moi d’aller à New-York. « Jaõ … je dois te dire quelque chose. » « Quoi ? Tu es enceinte ? » « Non, c’est pire que ça. » « Dis-moi alors ! » « Je vais vivre à New-York. » « Tu rigoles ? » « Non, pas du tout. Viens avec moi. » « Je ne peut pas venir, j’ai pas terminé mes études ! » « A New-York il y a une université, tu pourras reprendre d’où tu en est. » « Laisse tombé, il en est hors de question. Je suis bien ici. » « Je … je suis désolé. » « Pas autant que moi, salut. » Une relation complètement fichu tout ça à cause de mon avenir. Et oui, je voulais absolument vivre là-bas quitte à ruiner ma vie amoureuse. On sait dit au revoir et on ne sait plus jamais revus. J’avais vraiment le cœur brisé, tout ça était de ma faute et je m’en suis voulu pendant un bon moment. En le quittant, j’ai su que je faisais une erreur. En arrivant à l’aéroport avec ma meilleure amie, j’ai constaté que je ne pouvais pas être loin de lui. J’ai vingt ans et je veux faire ma vie avec lui. En revenant chez lui, je pouvais remarquer qu’il m’aimait vraiment. Il était en larmes. Je l’ai pris dans mes bras et il fut heureux d’apprendre que je restais près de lui. Seulement, notre histoire ne continuera pas vraiment. Encore à cause de moi. J’avais des nausées matinale très souvent, des mal de crâne, je mangeais tout et n’importe quoi. J’ai finis par me rendre chez le médecin et j’apprends que j’attends un bébé. Je ne savais pas comment le prendre, bien ou mal ? Aucune idée. J’ai donc était le dire à Jaõ. « Bébé, j’ai un truc important à te dire. » « Encore ! Dis-moi pas que tu pars encore une fois ?! » « Non … c’est mieux que ça. » « T’es enceinte ? » « Oui, j’attends notre bébé Jaõ ! » « Tu es sérieuse ? Mais mon cœur, c’est super ! » Oui en effet, ça l’été. Sa réaction été notre décision, on garde le bébé. Félicya était déjà nommé comme étant la marraine. Elle en était très heureuse même si elle le croyait pas vraiment. Nous allons fonder une famille et c’était la chose qui m’importait le plus. Vous allez vous demander pourquoi j’ai dis que notre histoire ne durerais pas ? Tout simplement parce que ce qui suit n’est pas vraiment un rêve. C’était mon plus grand cauchemar. J’étais enceinte de cinq mois, un vraie bébé que j’avais en moi. Et j’ai fais une fausse couche. Ne me demandez pas le pourquoi du comment, car je ne saurais vous dire la réponse. A cause de ça, j’ai commencer à devenir une vraie dépressive, je disais que du mal à Jaõ et il ne le supportait plus. Il avait beau me soutenir, je lui faisais beaucoup de mal en échange. Il m’a quitté ! J’ai encore plus souffert et j’ai mis très longtemps à m’en remettre. Avec Féliciya, ont s’est décidé de retourner à Paris dans ma famille d’accueil histoire que je me « remette de mes émotions » J’étais la femme la plus mal au point.
Ma vie aujourd'hui✩Voilà, je crois que je vous ai tout raconté. Pour finir, je suis donc retourné à Paris quelque temps histoire que j’oublie tout mes soucis d’avant et ce fut loin d’être facile. Il y a de nombreux truc auquels je pense comme par exemple ma maman, mon pays, mon père - car oui, sa m’arrive d’y penser - ma meilleure amie, mon ex petit ami et surtout … mon bébé, mon enfant que j’ai perdu il y a de ça trois ans. Je suis partie de Paris il y a à peine quatre mois, je me sens un peu mieux et avec les garçons je suis devenue une vraie peste. Je joue beaucoup avec eux et je les laisse croire tout et n’importe quoi … Cependant j’arrête de m’attacher à eux. Je vie pour moi et pour ma meilleure amie. Je suis devenue gérante d’une boutique de prêt-à-porter de la marque Victoria’s Secret et la nuit, je m’occupe de satisfaire les besoins de certains hommes enfin surtout des shows privé, mais pas de sexe pour l’instant. J’aimerais me relancer dans une carrière de mannequinat et j’aimerais reprendre mes études, mais finalement j’ai tout ce que je veux. New-York, la belle ville, j'y ai fais de nombreuses rencontres plus attachantes les unes que les autres.
Dernière édition par Catarina L. Costa le Dim 19 Fév - 17:57, édité 31 fois
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Sujet: Re: COSTA ☆ on a qu'une seule vie, viens tu me donnes trop chaud ♪ Ven 17 Fév - 23:20
Rebienvenue ici & bon courage pour ta fiche
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Sujet: Re: COSTA ☆ on a qu'une seule vie, viens tu me donnes trop chaud ♪ Ven 17 Fév - 23:22
Oh merci
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Sujet: Re: COSTA ☆ on a qu'une seule vie, viens tu me donnes trop chaud ♪ Ven 17 Fév - 23:32
bon courage pour ta nouvelle fiche
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Sujet: Re: COSTA ☆ on a qu'une seule vie, viens tu me donnes trop chaud ♪ Ven 17 Fév - 23:34
Merci Dylan
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Sujet: Re: COSTA ☆ on a qu'une seule vie, viens tu me donnes trop chaud ♪ Ven 17 Fév - 23:35
Rebienvenue
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Sujet: Re: COSTA ☆ on a qu'une seule vie, viens tu me donnes trop chaud ♪ Ven 17 Fév - 23:38
Hihi, merci Johnathan
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Sujet: Re: COSTA ☆ on a qu'une seule vie, viens tu me donnes trop chaud ♪ Ven 17 Fév - 23:42
Re bienvenue & courage pour ta nouvelle fiche
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Sujet: Re: COSTA ☆ on a qu'une seule vie, viens tu me donnes trop chaud ♪ Ven 17 Fév - 23:49
Merci Jude
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Sujet: Re: COSTA ☆ on a qu'une seule vie, viens tu me donnes trop chaud ♪ Sam 18 Fév - 0:07
candice + ce prénom. rebienvenue parmi nous.
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Sujet: Re: COSTA ☆ on a qu'une seule vie, viens tu me donnes trop chaud ♪ Sam 18 Fév - 1:55
Ton avatar et ton pseudo =
Rebienvenue parmi nous et bon courage pour ta fiche
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Sujet: Re: COSTA ☆ on a qu'une seule vie, viens tu me donnes trop chaud ♪ Sam 18 Fév - 3:24
Re-bienvenue ma belle
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Sujet: Re: COSTA ☆ on a qu'une seule vie, viens tu me donnes trop chaud ♪ Sam 18 Fév - 11:09
Hihihi Merci à tous les troiiiiiis
Mackenzie J. Howard
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i love the ring of your name you're the yin to my yang
▌INSCRIT LE : 01/07/2010
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